Mots-clés : aneroless
- This topic has 1,629 réponses, 17 participants, and was last updated il y a 2 months et 2 weeks by bzo.
-
AuteurArticles
-
28 février 2021 à 12 h 50 min #40312bzoParticipant
bien sûr, pas de problème, cependant je m’en vais là dans quelques minutes et ne reviendrais que ce soir
28 février 2021 à 19 h 08 min #40329bzoParticipantdans l’autre fil
2 mars 2021 à 21 h 32 min #40403bzoParticipant@andraneros, tu as oublié d’en déplacer un, de message, vers l’autre fil
2 mars 2021 à 23 h 01 min #40406AndranerosParticipantMerci @bzo. C’est corrigé.
Bonne nuit !2 mars 2021 à 23 h 33 min #40409bzoParticipantbonne nuit à toi aussi @andraneros
2 mars 2021 à 23 h 34 min #40410bzoParticipantle désir fait de moi sa chose,
sa chose transie de plaisir, sa chose transie d’amour,
sa chose vibrante, frémissante, secouée de soubresautssa chose aimante, sa chose aimée, sa chose aimantée,
sa chose tout en effusions, sa chose tout en communion,
sa chose en rut, sa chose en chaleur,
sa chose vingt mille lieues sous les mers, sa chose perdue dans les étoiles3 mars 2021 à 2 h 44 min #40411bzoParticipantnotre identité sexuelle est une entrave à la libération totale du désir
parvenir à s’en débarrasser, ponctuellement, de plus en plus, durant la séance,
c’est goûter à un spectre de plus en plus riche, de plus en plus complet, de sensationsparadoxalement, enfin du moins en apparence, on se sent de mieux en mieux en tant qu’homme,
plus équilibré, plus posé, plus calme, plus confiant, en un mot, plus épanoui,
elle est pas mal, tout compte fait, cette virilité,
elle forme comme un terreau riche pour déployer ponctuellement tout ce que l’on a au fond de soi,
pour goûter à ses racines dans les profondeurs, pour connaitre d’extraordinaires verdoiements,
on se sent bien avec cette virilité de plus en plus accueillante, ouverte, souple dans ses principes,
qui cache bien son jeuce sexe capable de durcir, d’aboyer tellement fort, de jouer très sérieusement au petit soldat,
peut aussi aider à faire chanter le corps de mille autres manières3 mars 2021 à 9 h 36 min #40412bzoParticipantréveil sous les draps,
je ne suis pas encore sûr de mon nom, dans quelle année on est, ni même sur quelle continent je suis
mais mon corps s’est souvenu déjà pour moi
de faire remonter lentement, voluptueusement, ma main le long de la hanche
tandis que que tout mon corps s’étire lascivement
et que pour faire bonne mesure, une contraction se forme entre mes fesses, remonte en moiah oui, je me souviens, je suis ce gars
en qui un camion déverse son plein chargement de miel chaud, doux, frémissant, soyeux,
je suis ce gars qui a fait pousser lentement au fil des années
une baguette magique et un chapeau de prestidigitateur, en sa chair
qui à présent, sont là à sa disposition, à pleine puissance, quand il veut, comme il veutle tout n’aura duré qu’une quinzaine de secondes
mais chacune est passée avec une telle intensité délicieuse en moi,
continuons, continuons encore un peu, c’est mercredi, j’ai congé, comme presque tous les mercredis,
je laisse glisser deux, trois doigts sur ma peau, vers le bas,
juste les bouts touchent, ils dessinent des figures au hasard comme un patineur sur la glace,
ma peau au passage apprécie,
je suis sur le côté, comme je me sens de plus en plus liane lascive,
comme j’ai envie de bouger, de danser, tout mon corps,
de sentir toute cette viande chaude, frémissante, s’enflammer de plus en plusma main arrive en bas, trouve la petite crevasse derrière,
c’est humide, c’et chaud, cela glisse divinement, là-dedans,
avec la crème que je me suis mis avant de m’endormir, comme tous les soirs,
c’est juste à point, superbe consistance, je laisse un doigt plonger dedans comme dans du beurre, jusqu’à la garde,
comme tout frémit sur son passage, mes entrailles fondent déjà, mon cerveau fond déjà aussimes cuisses se remettent à danser un tango lascif avec mon sexe, mes couilles,
comme tout cela forme un paquet chaud, soyeux, vibrant,
oh, j’ai envie de hurler, de gémir, sous les draps,
gentil petit volcan en moi, crache, crache, crache, crache pour moi,
envoie la purée, ne te retiens pas, que tout ne soit plus que lave ineffable en moij’ai tout mon temps, la première chose inscrite à mon calendrier, je viens de me souvenir,
c’est un rendez-vous à 14h chez le dentiste, on a toute la matinée pour s’envoyer en l’air,
ah non, j’ai faim et puis j’ai la tête aussi empli de mots, ils ont pris forme en moi en quelques minutes,
il faut que je me lève, que j’aille les taper sinon je vais tout oublier,
des phrases toutes chaudes, sorties du four, dégoulinantes de sexe,
comme c’est délicieux, dans ma tête, tous ces mots imbibés de stupre, de lascivité,
allons se lever, débarrassons-nous-en avec le clavier et l’écran
et puis passons à autre chose, je vois qu’il y a du soleil dehors,
j’irais me promener dans la forêt après le dentistequel délicieuse façon de se réveiller, de recommencer à vivre,
mon corps chéri, comme je t’adore3 mars 2021 à 9 h 46 min #40413bzoParticipanttoujours ce bug d’affichage qui ne montre pas le dernier message mais une page vide 1
3 mars 2021 à 9 h 46 min #40414bzoParticipanttoujours ce bug d’affichage qui ne montre pas le dernier message mais une page vide 2
3 mars 2021 à 9 h 46 min #40415bzoParticipanttoujours ce bug d’affichage qui ne montre pas le dernier message mais une page vide 3
ah enfin du texte
3 mars 2021 à 10 h 58 min #40416bzoParticipantpour ceux qui me suivent un peu,
ils auront pu remarquer que mes derniers messages indiquent
que je suis repassé en mode petit avion qui fait des loopings, toutes sortes de figure, à quelques centaines de mètres du sol,
plutôt que gros Boeing qui de toute la puissance de sa turbine prostatique, fonce vers les nuagesbah, je passe de l’un à l’autre au gré de mon envie,
on peut pas être tous les jours un explorateur voulant percer les mystères de la stratosphère,
juste jouer comme cela, légèrement, avec mon corps, à décliner les gammes délicieuses de la volupté,
à allumer des feux de paille partout en moi,
me suffit amplement à certains moments4 mars 2021 à 18 h 02 min #40436bzoParticipantsi le scénario par défaut ne vous convient pas, ne vous suffit plus,
ne vous satisfait pas, en quelque manière que ce soit,
il vous suffit d’aller dans les différents menus du programme et d’en changer des options,
de modifier certains comportements du logiciel, d’en rajouter, d’en supprimer, etc, etcet si cela ne va vraiment toujours pas,
vous avez aussi la possibilité d’accéder au code derrière, de tout reprogrammer,
dans le menu il y a aussi cette option, moins accessible mais elle est bien là,
bien sûr, c’est plus compliqué et cela prend plus de temps,
on peut être emmené dans certains cas, à tout réécrire de A à Z
ou du moins des pans entiers du logiciel,
cependant il faut le savoir, aucun manuel n’est fourni avec pour cela,
il faut tout découvrir par soi-même si on s’engage dans cette voie-làmais bien sûr, vous avez toujours la possibilité à tout moment de revenir à la programmation par défaut du logiciel,
de faire fonctionner en parallèle, selon les moments, selon votre envie,
des tas de profils différents, enregistrés, concoctés par vos soins,
la puissance du programme, c’est sa versatilité, son extrême configurabilité,
on peut tout adapter à ses besoins, ses goûts, sa libido,
jusqu’à dans les plus infimes détails, si on veutmais la plupart se contente de l’utiliser, tel qu’il leur a été livré,
juste ils font, au fil des années, quelques adaptations, quelques vagues changements, à gauche et à droite,
ne profitant pas des infinies possibilités de personnalisation du programme,
du potentiel de développement et d’épanouissement personnel sous-jacent,
en s’engageant sur un chemin de découverte de soi-même, en s’explorant4 mars 2021 à 23 h 02 min #40438bzoParticipantle rythme, le rythme,
ce rythme de vagues lancinantes dans ma chair,
comme il est irrésistible, comme il me fait danser,
mes hanches se déplacent d’avant en arrière, de gauche à droite, de plus en plus lascivement,
je suis pris par le rythme, pénétré par le rythme,
c’est une caresse qui passe et repasse dans ma chair, qui me traverse comme une houle de soie,
comme cela frotte partout, comme cela passe doucement entre mes cellules,
s’introduit dans le moindre interstice, fluidifie mes rouages dans l’infiniment petit,
c’est chaud, c’est caressant, cela coule lentement et frémit soyeusementl’arabesque du rythme, la courbe du rythme, le sinueux du rythme, l’ondoyant du rythme,
l’anguilles lascive du rythme, la liane ondulante du rythme,
cela roule en moi de tous les côtés, je suis frotté suavement par un milliards de mains,
oh l’orient et ses tapis volants, est partout en moi,
Shéhérazade, les milles et une nuits, la jouissance comme un conte sans fin, dans ma chair5 mars 2021 à 17 h 48 min #40439bzoParticipantle plaisir est comme un mille-feuilles aux couches successives,
des strates viennent s’ajouter au fur et à mesure
qu’il prend de l’ampleur, qu’il s’enrichitles premières que je perçois d’abord, les couches les plus immédiates,
ce sont toutes ces nuances sans cesse changeantes de volupté,
qui se disséminent un peu partout depuis le bassin,
circulant, voyageant sans cesseviennent ensuite rapidement chez moi, les strates de sensation de communion avec mon corps,
de complicité totale, jusqu’au plus profond de mes fibres, avec lui, de ne plus faire qu’un,
sensation d’épanouissement dans l’instant, sensation d’accomplissement dans l’instant,
sensation de moment parfait, de moment d’incandescence totale, de ne plus être qu’une flamme dansante,
un être hybride, à la fois masculin et féminin, se faisant l’amour à lui-mêmeviennent ensuite au bout d’un certain temps, les couches de la jouissance,
c’est comme si en fait, certaines couches de la volupté, s’étaient densifiées
au point que ma chair se soit mise à fondre,
on se sent vraiment dissoudre,
la matière, elle-même qui semble se transmuter en un liquide chaud, épais, incroyablement caressant
qui dégouline lentement, de plus en plus, de toutes les côtésen train de fondre sans discontinuité, comme glissant lentement sur un toboggan,
ayant laissé mon moi habituel derrière tandis ce que je suis devenu, s’éloigne toujours plus,
plus de taille, plus de forme, plus de poids,
juste une nage dansante, de milliers de particules heureuses, frémissantes,
juste une dissolution massive, intégrale, sans concessions, occupant tout l’espacedans les moments plus calmes de la jouissance,
c’est plutôt une sensation de vide chaud, frémissant, soyeux, très très dense qui s’installe,
comme si j’avais atteint le fond de la mer,
avec une muraille de 10 km d’eau au-dessus qui me sépare du reste du monde6 mars 2021 à 0 h 49 min #40440bzoParticipantles plus simples gestes, d’habitude si anodins, si machinaux,
durant la séance, chacun peut prendre soudainement une importance toute particulièrenos postures, nos attitudes, là encore, si trivialement effectuées habituellement,
là, tout d’un coup, peuvent devenir cruciales,
dans l’accomplissement du dessein vissé à nos entrailles6 mars 2021 à 1 h 45 min #40441bzoParticipantle plaisir est en fait tout le temps là dans notre chair
mais nous nous en rendons pas compteil est comme un sang invisible circulant dans un réseau
partout dans notre corpsun train qui a l’air de tourner sans nous,
sauter dans un de ses wagons quelques instants6 mars 2021 à 10 h 36 min #40442bzoParticipantdes jours durant parfois, je ne fais pas de vraies séances,
je veux dire par là, être au lit ou ailleurs, en action plus de quelques minutes,
me contentant de micro-séances d’au maximum une minute ou deux
mais la plupart même, pas plus d’une trentaine de secondeselles m’apportent déjà tellement énormément, l’intensité du plaisir ne dépend pas de la durée,
enfin chez moi, c’est comme cela,
quelques secondes de volupté tellement riche et variée, un étourdissant carrousel de nuances,
c’est comme une injection au plus profond de soi-même, un geste chirurgical de plaisir rassasiantmais surtout, surtout, elles m’apportent des moments de communion avec mon corps,
de connexion totale à mon corps
car c’est cela qui m’intéresse avant tout, sentir avec une intensité maximale,
un lien profond, total, à cette chairen quoi consiste-t-il, c’est quoi une connexion totale à son corps, une communion avec lui?
c’est être là dans l’instant avec lui, être vraiment là dans l’instant avec lui,
lui, avec ses myriades de nerfs, barbotant dans du sang, sa viande bien réelle, ses os,
être là avec tout cela, toute cette barbaque dégoulinante, à un certain moment, en un certain endroit,
on ne s’en rend pas bien compte mais on ne vit pas dans son corps vraiment,
on vit dans sa têtequand je fais le lien avec mon corps, pour quelques instants,
je suis là dans l’espace et dans le temps, sans mon intellect, sans mon moi,
enfin du moins, ils sont en retrait, au second plan,
je suis là, une bête parmi des bêtes, une éponge à sensations, à signaux de toutes sortes, perçues, générées
qui vit au-travers de ses sens,
qui vit au-travers d’une imagination débordante, débordée, sans queue, ni tête, sans règles, ni lois,
une bête en train de se frotter maladroitement à elle-même pour jouir de l’instant,
je patauge dans le mystère sourd de l’animal en moi,
je suis extatique d’être juste là dans l’instant, ressentant, vibrant, éveillant toutes sortes de sensations,
bref d’être en vie, chaud, explosif, volcanique, doux comme du miel, doux comme du velours,
doux et violent à la fois comme un sexe prêt à cracher sa ridicule cargaison blanchâtrele mystère, c’est qu’il ne semble pas y avoir de mystère, juste des moments mystérieux,
des moments mystérieux à se découvrir,
des moments mystérieux à découvrir une portion plus ou moins grande de ce que la vie a placé dans notre soutel’instant est magique parce qu’on est là et qu’on est capable d’en vibrer,
la vie semble n’être que rythme et vibrations, notre chair arrive par moments à s’accorder à cela,
on semble alors goûter à l’essence-même des choses, éphémère, fragile, dérisoire,
aucun sens en nous, semble-t-il, aucun autre sens que de fêter l’instant, que de fêter l’instant d’être là,
que de partager l’instant d’être là en vie, avec soi-même ou avec d’autres,
de toutes les manières possibles et imaginables7 mars 2021 à 10 h 57 min #40461bzoParticipantse défoncer, se défoncer par le rythme et le mouvement,
le corps qui se libère, https://youtu.be/x9VYKrtziSg,
la chair qui se fait danse, la danse qui se fait chairla musique, le rythme, les vibrations, le corps qui se libère,
la danse, un univers parallèle dans la chair7 mars 2021 à 12 h 06 min #40462bzoParticipantdans certains films de science-fiction, plus précisément cyberpunk, plutôt,
on voit des protagonistes se mettre un dispositif sur la tête,
appuyer sur un bouton et hop c’est parti,
ils sont dans un univers parallèle où les règles sont différentes, les sensations sont différentes,
où ils ont toutes sortes de pouvoirseh bien, chez moi c’est pareil, sauf que le dispositif, c’est tout mon corps,
j’appuie quelque part un peu dessus ou le caresse, le frotte,
ou juste même, le mets en mouvement un peu différemment
et c’est parti, j’accède à un univers parallèle dans ma chair
où les sensations sont démultipliées, où les barrières ont sauté, où j’ai les deux genres
où des flots d’énergie montent de mes profondeurs, semblant se répandre partout,
provoquant toutes sortes de phénomènes sensoriels et sensibles, fous, délicieux, extravagants7 mars 2021 à 13 h 33 min #40463bzoParticipantje suis debout au milieu de la pièce, nu, je me balance légèrement, je me caresse lentement, rêveusement,
je m’attarde autour de la bouche,
c’est extrêmement érotique, la bouche
comme tous les orifices de notre corpsmais plus que cela, tous les orifices de notre corps semblent comme reliés entre eux,
une sorte de confraternité des orifices, ils communiquent entre eux par télépathie
qui fait que vous en caressez un, les autres réagissent aussi, semblent d’une certaine manière, entrer en action aussije descend maintenant vers un sein, une bombe à retardement, je vous dis,
il ne faut pas trop le titiller, je touche la pointe, trop tard, c’est enclenché,
short fuse, cela va exploser bientôt, je sens cela,
une vraie soucoupe remplie d’ondes, cela commence à s’agiter là-dessous
ah comme j’aime les caresser, ceux-là, quel pente à remonter, à redescendre, à remonter, à redescendre
et puis ces petites pointes toutes dures, les petites bites du haut,
comme elles sont sensibles à la moindre sollicitation, cela bande léger mais ferme, là-hautmes hanches dansent, ma main arrive, on dirait qu’ils se mettent à danser ensemble, duo torride,
je glisse la pointe de mes doigts à gauche, à droite,
je sens le rythme ivre, lascif, de mon bassin, j’arrive sur le pubis, je frotte un petit peu,
je remonte, j’explore, j’agace, des feux de paille s’allument partout sous ma peau
et puis toujours ce rythme dans mon bassin, cette houle lourde et lancinanteje reste ainsi debout, les yeux fermés, de longues minutes,
très régulièrement je fais monter une contraction,
la horde des ondes prostatiques s’élancent à chaque fois vers le haut,
place, place, faites- leur place,
que de frissons le long de ma colonne vertébrale,
je continue à maintenir la pression de la contraction, longtemps, longtemps,
la densité de la chaleur augmente partout en moi, quelque chose va exploser,
les digues tiennent à peine encore, je gémis de plus en plus fort
mais non, je relâche, pas tout de suite, faisons durer durer, ce ballet miraculeux7 mars 2021 à 22 h 55 min #40501bzoParticipantc’est toujours plus ou moins la même panoplie de gestes et de mouvements
mais quand je me lance, je ne sais jamais ce que je vais faire,
je me lance dans l’inconnu, je suis complètement perdu, désorienté,
et je le veux ainsi
et c’est bien ainsije laisse la place du conducteur, vide, c’est une invite,
c’est mon truc, je l’ai bien mis au point, ça marche à tout les coups,
j’invite tout ce qui voudra bien monter en moi
à venir prendre à diriger la chariote
ou à ne pas la diriger, à jouer à l’auto tamponneuse avecles gestes et les mouvements doivent venir d’eux-mêmes,
on doit avoir la sensation que c’est totalement improvisé,
même si on sent que quelque chose, quelque part, mène le bal,c’est une unique sensation en soi, il faut l’avoir vécue,
comme si on n’était plus dans sa tête mais que celle-ci semble avoir fondu dans le corps
et que j’habite l’ensemble, que l’ensemble me guide, que l’ensemble me mène,
que je réfléchis avec mes mains, que je réfléchis avec mes jambes, que je réfléchis avec mes bras,
que tout s’est mis à réfléchir en moi8 mars 2021 à 19 h 48 min #40503bzoParticipantlibérer tout son potentiel énergétique dans l’instant,
vivre tout son être en fusion9 mars 2021 à 20 h 57 min #40510bzoParticipantje suis nu au milieu de la pièce, les yeux fermés
mais cette fois, je garde mes mains ballantes le long du corps,
je ne vais utiliser que les balancements du bassin, des mouvements divers d’un peu partout,
les contractions, essentiel, bien sûr,
des changements de position, des raidissements, des relâchements, des cambrements,
me remettre en mouvement, me laisser aller,
resserrer les cuisses, les relâcher, effleurer ainsi mes bijoux de famille,
les presser, les frotter, plus fort, par momentsdéjà juste fermer les yeux et commencer à me balancer langoureusement sur place,
j’ai le bassin immédiatement empli d’ondes chaudes et frissonnantes,
comme c’est bon, cette chair tellement prête à s’enflammer, tellement prête à faire la fête intime à tout moment,
j’ai l’impression de me masturber tout l’être de l’intérieur, juste en bougeant sur place comme cela avec langueur,
masturber n’est pas vraiment le mot qui convient,
tellement ici, la sensation est un chant ardent qui monte des profondeurs, une communion,
tellement ici, il n’est pas question juste de se soulager, de se vider de sa semence
mais de partir à l’aventure, au dérèglement des sens, à la rencontre d’un soi inconnu,
vivre l’extase entre les deux genres éveillés en soi, leur fusion, leur incandescencechante, mon corps, enflammons l’instant,
qu’une magie, à la fois douce et ardente,
colore cette chair des mille et une nuances de la volupté et de la jouissance10 mars 2021 à 2 h 44 min #40511bzoParticipantah ce yin, c’est tellement comme une caresse de tout mon être, à l’intérieur,
c’est tellement comme une ondulation langoureuse partout, à l’intérieur,
je ne m’en lasse pas, comme je ne m’en lasse pas,
je m’en laisse envahir à tout bout de champ, un peu partout, quand je suis à la maison,
ne fusse que pour une seconde ou deuxparfois, je suis occupé avec tout autre chose qui réclame toute mon attention et j’oublie
et puis tout d’un coup, je m’en souviens et alors là, ce sont les retrouvailles,
oh comme c’est bon de se retrouver,
de se retrouver soudainement si splendidement enrichisur discord, je vois une discussion sur le féminin, le pénétrant et le pénétré
mais la vraie puissance, la vraie richesse
sera toujours du côté de celui ou de celle qui s’offre, de celui ou de celle qui s’ouvre,
de celui ou celle qui se laisse envahir, de celui ou celle qui se laisse entraîner,
de celui ou celle qui peut lever toutes ses défenses, de celui ou celle qui peut lever toutes ses barrières,
ainsi, on ouvre des portes secrètes en soi et des trésors peuvent sortir, peuvent envahir notre chair
sinon, on ne sera jamais qu’un petit pétard allumé
qui va faire, au mieux, quelques petites explosions qui vont faire beaucoup de bruit10 mars 2021 à 10 h 50 min #40512bzoParticipantje suis debout au milieu de la place, encore une fois, toujours aussi nu,
bon, entretemps, j’ai été tout de même dormir, me suis occupé avec tout autre chose aussi
mais là ce matin, me suis remis au milieu de la pièce,
j’ai beaucoup pratiqué ainsi ces derniers joursdebout, dans la verticalité, toute la surface de ma peau offerte,
il y a une sorte de dynamique très spéciale, ainsi,
tour de chair toute chaude,
se mettant en mouvement, fendant l’air lentement, caressé par le mouvement,
dansant sur place, bougeant langoureusement, liane lascive, ô combien lascivese caressant aujourd’hui, cela me démange de le faire à chaque instant,
de sentir ma peau sous mes doigts, elle semble frémir sous le contact, s’échauffer toujours plus
mes seins semblent se gonfler sous mes paumes qui s’attardent dessus,
les emprisonnent tantôt délicatement, tantôt sans ménagement, semblant les pétrir comme de la bonne pâte,
les pointes comme des détonateurs, à chaque fois que j’appuie dessus,
provoquant comme une petite explosion de soie en moiet puis mon bassin, cela semble de plus en plus se liquéfier dedans,
c’est une outre remplie, ce bassin, d’un vin capiteux
dont le parfum enivrant se répand partout en moi, me monte au cerveau,
comme je suis ivre en quelques instants, j’ai envie de jouir, de sentir ma chair en roue libre,
de sentir mes sens s’enflammer,
dansons, dansons, très lentement, liberté inouïe du plaisir sans frontières et sans limites10 mars 2021 à 13 h 17 min #40515bzoParticipantil y a un moment, j’étais agrippé d’une main à mon sein comme à une main courante
tandis qu’assis dans une position un peu acrobatique
je maintenais une contraction sur-puissante qui me faisait de plus en plus perdre mon équilibre,
je courais le risque de tomber du siège, sur le côtéla situation devenait de plus en plus critique,
je jouissais sans discontinuité depuis de longues secondes
mais ma position devenait de plus en plus précaire sur le siège,
je me sentais en même temps glisser lentement,
à ce rythme dans quelque instant, je valdinguerais sur le côté et tomberais par terre,
donc je m’agrippais de toutes mes forces à mon sein, c’était très excitant et très périlleux comme situationheureusement la chute a finalement été évitée,
je vis vraiment dangereusement10 mars 2021 à 13 h 19 min #40516bzoParticipantbug de changement de page 1
10 mars 2021 à 13 h 19 min #40517bzoParticipantbug de changement de page 2
10 mars 2021 à 13 h 20 min #40518bzoParticipantbug de changement de page 3
-
AuteurArticles
- Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.