Mots-clés : aneroless
- Ce sujet contient 1,449 réponses, 17 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par bzo, le il y a 19 heures et 47 minutes.
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21 avril 2024 à 10 h 37 min #49435bzoParticipant
hé hé mes amis (la poussière, le vent et le temps qui passe)
hier soir ou plutôt, hier dans la nuit,
ca a été mémorable,
j’ai déterré mon masseur
et j’ai pris mon pied monstrueusement,
comme les deux textes précédant celui-ci, le décrivent en détails
j’en ai des frissons, rien que d’y penser,
suis assez occupé aujourd’hui en journée
mais dès que je reviendrais,
je me beurre l’anus et le masseur
et hop et hop et hop,
en avant, avanti, pour les ondes prostatiques
je ne peux m’empêcher de délirer , de m’enthousiasmer,
j’en ai rêvé de ce moment
où les deux types de pratique, prostatique et en mode yin,
cohabiteront en moi,
que les deux seront à ma disposition, à volonté
voilà, c’est là, c’est à moi,
mon cul en est tout émoustillé rien que d’y penser,
cela me démange au fond de l’anus,
il y a un masseur fantôme pour l’instant
qui va et qui vient
j’ai l’impression de sentir encore celui de hier,
ma fée Carabosse en silicone noir
qui récure diaboliquement mon petit canal comme aucun autre,
la sorcière adorée (allusion télévisuelle aux plus vieux d’entre vous) bien lubrifiée
qui m’emporte sur son balai magique,
faisant miroiter de mille feux ma prostate
comme une de ces boules à facettes qu’il y a dans les boîtes de nuit
tandis que ma chair danse follement tout autour
22 avril 2024 à 9 h 42 min #49447augnatParticipantUne question, comme ça : pourquoi vouloir à tout prix utiliser un masseur pour la stimulation prostatique ? Tu te sens obligé de cloisonner les pratiques yin et prostatique, ou c’est autre chose ?
22 avril 2024 à 17 h 46 min #49448bzoParticipantsalut
d’abord, je n’ai pas cherché absolument à utiliser un masseur prostatique,
c’est tout le contraire,
après des années de pratique du massage prostatique avec masseur,
très prolifiques et très réussies,
je suis passé à l’anerolesset pendant des années je ne m’en suis plus jamais servi
et je le regrette bien de ne pas avoir gardé les deux,
car je n’obtiens pas du tout le même type de résultat,
avec ou sans
j’ai pu le constater sans ambiguïté , ces derniers joursle fait est qu’aneroless,
mon massage prostatique ne m’a jamais vraiment permis
d’atteindre les mêmes hauteurs qu’avec un masseur,
je me dois, pour être totalement honnête, de l’avouerla raison n’est pas du tout,
un manque de qualité, de richesse, inhérent à la pratique aneroless
par rapport à celle avec masseur,
non, définitivement non,
c’est tout le contraire,
la pratique aneroless est plus riche, plus variée
et offre bien plus de libertémais c’est plus que probablement lié
à ma pratique en mode yin qui est aussi aneroless
et qui finalement, laisse que peu de place, voire pas du tout
pour une autre pratique aneroless à côté d’elleil m’est beaucoup trop mais alors beaucoup trop facile
de basculer en mode yin instantanément
quand je suis en mode prostatique, sans masseur entre les jambes,
c’est juste trop irrésisitible de le faire, au bout d’un certain temps,
tellement le plaisir y est plus simple, plus naturel, sans effort,
ressenti dans tout le corps, variant sans cesse, etc, etcje mélange des moments 100% prostatiques dans la pratique en mode yin,
ils sont tout à fait délicieux , riches et puissants
mais ce n’est pas du massage prostatiquela définition du massage prostatique,
pour moi, est, on ne peut plus simple,
c’est du massage ou du chipotage comme vous voulez,
quand vous voulez, tout seul ou avec qui vous voulez
qui conduit à des orgasmes prostatiques.
Point.En faisant le poirier sur une main et écoutant du Bach
ou en vous grattant les aisselles avec une petite cuillère
si cela fonctionne chez vous,
et que vous obtenez des orgasmes prostatiques ainsi,
alors c’est du massage prostatiquenon, le fait d’utiliser un masseur,
justement compartimente plus efficacement,
me permet, pour l’instant, de garder chaque type de pratique, dans son pré,
et me permet, ainsi, d’avoir à nouveau une pratique 100% prostatique
qui conduit aux résultats escomptéspour plusieurs raisons, cela fonctionne, en tout cas, pour l’instant,
d’abord avec un masseur planté dans le cul,
les mouvements sont plus limités, je bouge nettement moins,
or le mode yin, c’est le mouvement,
le bassin danse, les hanches ondulent,
le corps se meut, se meutil y a nettement moins de liberté, à tous les points de vue
dans une pratique avec masseur,
or mon mode yin, s’accommode mal d’une quelconque restriction, au stade où j’en suis
les contractions, sont comme une danse des muscles du périné,
sont comme des ailes d’oiseau qui battent librement,
mais avec le masseur,
c’est plutot être comme avec des chaînes aux pieds, de ce point de vue,
les mouvements sont plus limités, on ne doit pas trop bouger
sinon le masseur devient inactif, perd de son efficacitéles contractions avec masseur,
sont beaucoup moins riches, moins libres, moins variés, aussi,
cependant cette relative pauvreté de la pratique avec masseur par rapport à l’aneroless,
est compensée en grande partie par une surpuissance obtenue grâce à l’objet physique, masseur,
une fois qu’on sait bien le manipulersurpuissance qui utilisée à bon escient,
délivre une qualité de plaisir totalement différente,
matérialisée par de nombreux types d’orgasmesces limitations et la répétition, jour après jour,
sont les raisons même
pour lesquelles j’ai abandonné, il y a quelques années le masseur complètement,
j’en avais fait le tour,
j’avais obtenu des super O qui duraient plusieurs minutes,
des séances où j’enchaînais des dizaines et des dizaines d’orgasmes à la queue leu leu,
vécu aussi des orgasmes de style “mer calme”
durant certaines, j’ai même eu de splendides hallucinations
qui ont été des moments vraiment très très spéciauxquand pendant un temps indéterminé,
on devient de tout son être, une aile d’oiseau en mouvement,
qu’on sent partout en soi, dans chacune de ses cellules,
cet effort formidablement synchronisé et gigantesque pour battre l’air
ou que j’entrevois en moi, un long pont suspendu qui se perd la lumière,
ce sont des choses qu’on n’oublie pas,
qui restent imprégnées en soi, pour toujours
et que je veux absolument revivremais comme je l’ai écrit, il y a pas longtemps,
il n’y a aucun plaisir, aussi intense qu’il soit,
dont on ne peut se lasser
si on ne progresse plus,
je voulais vivre autre chose, j’avais besoin d’autre chose,
j’avais besoin de changer d’aire de plaisirlà, en alternant les deux types de pratique
qui sont splendidement complémentaires, je le répète
car ce qui est moins présent dans l’une,
sont les atouts principaux de l’autre
et vice et versaavec l’une,
j’ai l’infinie variété, l’infini carrousel, des nuances d’une volupté
comme un nectar ineffable dans la chair ,
une sensation de jouissance en continu, en fait,
j’ai aussi cette sensation de complicité, de communion, avec mon corps,
sensation d’un épanouissement superbe, à chaque instantavec l’autre j’ai la puissance pure, violente, sans restriction,
de la prostate titillée par un masseur
j’ai les orgasmes divers et variés que cela peut provoquer,
j’ai les détraquements totaux du corps pendant de longues minutes
qui peuvent me catapulter dans des zones de moi-même totalement inconnues et mystérieuses,
avec des résultats parfois carrément mystiqueset puis je compte aussi développer dès que je suis à la retraite,
encore une pratique anale,
rien qu’avec les doigts ou avec des joujou, je verrai23 avril 2024 à 22 h 23 min #49450bzoParticipantau fond, le mode yin, le plaisir au féminin,
c’est apprendre à aimer son corps
quand celui-ci sent cela,
il réagit
et comme il réagit,
vous n’imaginez même pas
je veux dire,
vraiment aimer son corps,
pas juste comme cela, une notion abstraite,
l’aimer dans sa tête,
se dire comme je t’aime, comme je t’aime ,
mon corps chéri
non, l’aimer dans l’instant,
l’aimer concrètement , avec ses mains
avec toute sa fougue, toute son ardeur, toute sa délicatesse,
tout son raffinement, toute sa sauvagerie,
se donner entièrement, être entièrement, dans chaque caresse
l’aimer avec ses gestes, l’aimer avec ses mouvements,
effectuer ceux-ci comme si on voulait le caresser à chaque instant, avec,
l’aimer avec ses contractions,
effectuer chacune de celles-ci,
comme si on voulait aussi le caresser de l’intérieur avec
aimer son corps,
avec toutes nos actions,
une façon de se pencher sur son corps
comme si c’était le corps de notre amante ou de notre amant
ou les deux
à qui on voudrait procurer le plus de plaisir possible
25 avril 2024 à 20 h 53 min #49453bzoParticipantj’ai dix doigts
mais quand ils courent sur ma peau,
j’ai parfois l’impression qu’ils sont cent,
les chenapans
mon bassin me veut du bien
mais il faut que je le laisse faire, totalement,
il me susurre
expertise de mes cuisses ,
transformer mon sexe et mes couilles,
en un torrent de soie,
à coups de frottements, d’effleurements,
de pressions plus ou moins légères
26 avril 2024 à 22 h 04 min #49454bzoParticipantj’évoque le sujet, une ou deux fois par an,
à quel point le plaisir yeux fermés,
est différent de celui, yeux ouverts
quand on se laisse aller à garder longuement les paupières closes,
j’enfonce là une porte ouverte,
on vit les sensations dans l’intimité feutrée,
d’un corps à corps, d’un tête à tête, avec sa chair,
d’un corps à tête, disons,
une effusion, derrière des volets fermés
alors qu’en se forçant à garder les yeux ouverts, ben,
c’est comme si l’intérieure sortait, peu à peu,
que l’extérieur se joignait à lui,
l’air semble acquérir une puissance, les objets aussi
qui viennent se joindre aux ébats, d’une certaine manière
il y a juste plus de relief, dans la moindre sensation,
un épanouissement plus grand vécu à chaque instant
le fait, aussi, de voir son corps empli de désir,
tellement capiteux,
de voir ses mains sur la peau, s’y déplacer,
sentir celle-ci réagir sous les doigts,
de voir ses hanches danser tellement langoureusement
voir sa queue bouger,
sous l’effet des pressions, des frottements des cuisses,
cela c’est très bizarre
car j’ai l’impression, à chaque fois,
d’un corps étranger qui a atterrit là dans mon giron,
un objet distilleur d’ondes qui me semble totalement externe,
un oiseau bizarre qui s’est posé là, qui se laisse faire,
qui déverse des tonnes de vibrations délicieuses aux alentours
et puis mes gestes, mes mouvements,
les voir se dérouler de façon, si langoureuse, si capiteuse,
si naturellement,
le mouvement semble une caresse de la peau jusque dans les profondeurs,
la chair est échauffé de l’intérieur, à chaque geste,
la soie se réveille partout,
une mer de douceur voluptueuse se met à danser
dans tout mon être
27 avril 2024 à 10 h 20 min #49455bzoParticipantcette nuit, la séance au lit, 100% prostatique,
a, à la fois, très bien et très mal tourné,
enfin j’ai cru dans un premier temps,
elle a, juste, très bien tourné, en fait
je décrivais plus haut,
à quel point j’étais content d’avoir à nouveau une pratique 100% prostatique
et que j’y parvenais en établissant une sorte de barrière, de séparation
entre le mode yin qui est aneroless et hors du lit
et puis le massage prostatique avec masseur
que je pratique à l’horizontale, sur le matelas
l’utilisation d’un engin en silicone et tout ce que cela sous-entend,
une pratique uniquement au lit, donc,
tout un petit rituel pour se préparer avant,
tout un autre, après, pour nettoyer l’engin,
la moindre mobilité durant l’action ,
la différence très nette entre le type des sensations
m’a aidé à garder séparés les deux mondes, quelques jours
eh bien , c’est fini,
le mode yin a gagné, a envahi le lit aussi
et ma pratique avec masseur
avant-hier, en parvenant à me lâcher complètement
durant une séance au lit en prostatique avec masseur,
je me suis rendu compte que j’avais basculé en mode yin
sans même m’en rendre compte
au lieu des contractions aneroless habituelles
pour recréer en moi la sensation de pénétration,
les va et vient, la sensation de se faire l’amour,
le masseur prenait tout cela en charge,
réveillant en moi, ainsi, aussi, complètement le féminin
mais ce n’est pas grave, ce n’est pas un problème,
en fin de compte, je me suis rendu compte
car l’important , c’est que les sensations soient totalement différentes,
cela reste, ainsi, comme deux pratiques complètement différentes, complémentaires,
même s’il y a des similitudes certaines et des points communs
il semble qu’en solitaire, le mode yin est ma voie exclusive,
qu’elle trouve le moyen de s’exprimer, de m’envahir,
de quelque manière que je m’y essaie,
le lâcher prise XXL, la voie royale d’accès total à mes énergies
qu’elle me propose,
sont trop fortes et s’imposent à moi après quelques jours
quoique je tente
cependant, encore une fois, je me suis rendu compte
que ce n’est pas un problème, finalement,
tellement c’est une autre facette, un autre versant du mode yin
qui s’offre à moi, ainsi, au lit
je qualifie cela de mode yin car je sens
que je bascule au-delà des frontières de mon genre
et que je prends mon plaisir au féminin
mais je pourrais tout aussi bien qualifier cela
de variante du plaisir prostatique
puisque seule ma prostate est sollicitée dans le bassin
et que les sensations sont constamment orgasmiques,
splendidement orgasmiques
et me conduisent aussi aux superbes explosions des orgasmes
ce qu’il n’y a jamais en mode yin aneroless
où c’est plutôt le royaume de la volupté,
d’un carrousel de sensations sans cesse changeantes
et d’une espèce de sensation de jouissance dans tout le corps
mais sans explosions orgasmiques
quand l’intensité de la volupté augmente au-delà d’un certain stade
30 avril 2024 à 16 h 22 min #49466bzoParticipanton se contente parfois de si peu,
assis, je couve entre les cuisses, mes génitaux,
mine de rien, cela me fait une chaleur toute capiteuse,
partout, dans le bassin
comme c’est soyeux, comme c’est doux,
à la moindre occasion, dans mes diverses activités, à la maison, anodines,
à la cuisine, dans la pièce de séjour, dans la salle de bain, aux toilettes,
je profite du moindre instant pour m’adonner à cette légère et innocente activité
je joue aussi sur ma position dans l’espace,
cambre les reins, contracte les fesses,
imprime une légère houle, un instant, à mes hanches
ça n’a l’air de pas grand chose
mais tout cela combiné,
cela m’installe directement une volupté,
tellement délicieuse, partout
juste, quelques gestes, quelques mouvements,
comme je me sens résonner du nectar des ondes,
pas besoin de plus, ces derniers jours,
quelques notes légères,
improvisées sur mon instrument de musique,
en toute liberté,
en toute complicité avec mon corps
1 mai 2024 à 11 h 07 min #49472bzoParticipantce qui est mystérieux, assez miraculeux, même, osons le mot,
dans ma pratique en mode yin,
c’est que le corps semble réagir,
comme un tout, comm un ensemble,
à la moindre sollicitation
je me caresse à un endroit
et c’est un peu comme si je m’étais caressé un peu partout,
tellement la sensation semble venir de tous les côtés
pour reprendre une analogie que j’ai déjà employée par le passé,
c’est un peu comme si en mode yin,
tout mon être réagissait comme la surface d’un plan d’eau,
je lance un caillou quelque part dedans
et des ondes concentriques immédiatement se forment,
s’éloignent du point de chute
pour aller dans toutes les directions
j’en lance un deuxième,
en me caressant une fesse, par exemple
et en même temps un troisième, en me frottant les tétons
et des cercles concentriques d’ondes s’en vont des deux points de contact,
envahissent toute la surface, se croisent, se décroisent,
unissent en certains endroits leurs vagues,
en d’autres, les font se ruer les unes contre les autres
et si dans la foulée,
je contracte un peu les muscles du périnée,
cela fait comme un autre caillou, bien gros celui-là (puissance de la prostate)
qui entre en contact avec la surface
une fois bien en action,
c’est un fil continu de cailloux qui atterrissent, qui plongent dans les eaux,
parfois, trois, quatre, cinq , six, en même temps,
parfois qu’un seul,
parfois des toutes minuscules, parfois des énormes,
parfois qui s’enchaînent à un rythme soutenu, à toute vitesse,
parfois plus lentement, plus sporadiquement
la combinaison de tous ces jets,
arrivant avec plus ou moins de force de lancée, de poids initial,
selon un certain angle, quasi à la verticale
ou au contraire, plus ou moins en rase motte de la surface,
fait que rapidement,
tout le plan d’eau, on pourrait dire, qu’est mon être en mode yin,
n’est plus qu’une danse d’ondes exubérantes,
une grande salle de bal avec des milliers de danseurs qui papillonnent
3 mai 2024 à 0 h 31 min #49484bzoParticipantj’arrive à des orgasmes d’une puissance et d’une singularité splendides, ce soir,
en combinant , en libérant, toute la puissance de la prostate
et en même temps des génitaux,
en un flux qui me traverse irrésistiblement
j’ai l’impression d’être dans la bouche d’un canon,
la poudre prend feu graduellement tout autour de moi,
moi, le boulet , je deviens tout léger
et je me sens de plus en plus expulsé,
prendre de la vitesse,
me libérer des lois de la pesanteur
me voilà en l’air,
tournoyant de plus en plus sur moi-même,
filant à toute vitesse,
la griserie aveugle mon cerveau,
fait s’évanouir mon corps,
je ne suis plus que jouissance s’autosuffisant à elle-même,
la lumière, seule, existe encore autour de moi,
elle m’enveloppe, elle me caresse, elle me soutient
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