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20 sujets de 41 à 60 (sur un total de 1,406)
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  • #40415
    bzo
    Participant

    toujours ce bug d’affichage qui ne montre pas le dernier message mais une page vide 3

    ah enfin du texte

    #40416
    bzo
    Participant

    pour ceux qui me suivent un peu,
    ils auront pu remarquer que mes derniers messages indiquent
    que je suis repassé en mode petit avion qui fait des loopings, toutes sortes de figure, à quelques centaines de mètres du sol,
    plutôt que gros Boeing qui de toute la puissance de sa turbine prostatique, fonce vers les nuages

    bah, je passe de l’un à l’autre au gré de mon envie,
    on peut pas être tous les jours un explorateur voulant percer les mystères de la stratosphère,
    juste jouer comme cela, légèrement, avec mon corps, à décliner les gammes délicieuses de la volupté,
    à allumer des feux de paille partout en moi,
    me suffit amplement à certains moments

    #40436
    bzo
    Participant

    si le scénario par défaut ne vous convient pas, ne vous suffit plus,
    ne vous satisfait pas, en quelque manière que ce soit,
    il vous suffit d’aller dans les différents menus du programme et d’en changer des options,
    de modifier certains comportements du logiciel, d’en rajouter, d’en supprimer, etc, etc

    et si cela ne va vraiment toujours pas,
    vous avez aussi la possibilité d’accéder au code derrière, de tout reprogrammer,
    dans le menu il y a aussi cette option, moins accessible mais elle est bien là,
    bien sûr, c’est plus compliqué et cela prend plus de temps,
    on peut être emmené dans certains cas, à tout réécrire de A à Z
    ou du moins des pans entiers du logiciel,
    cependant il faut le savoir, aucun manuel n’est fourni avec pour cela,
    il faut tout découvrir par soi-même si on s’engage dans cette voie-là

    mais bien sûr, vous avez toujours la possibilité à tout moment de revenir à la programmation par défaut du logiciel,
    de faire fonctionner en parallèle, selon les moments, selon votre envie,
    des tas de profils différents, enregistrés, concoctés par vos soins,
    la puissance du programme, c’est sa versatilité, son extrême configurabilité,
    on peut tout adapter à ses besoins, ses goûts, sa libido,
    jusqu’à dans les plus infimes détails, si on veut

    mais la plupart se contente de l’utiliser, tel qu’il leur a été livré,
    juste ils font, au fil des années, quelques adaptations, quelques vagues changements, à gauche et à droite,
    ne profitant pas des infinies possibilités de personnalisation du programme,
    du potentiel de développement et d’épanouissement personnel sous-jacent,
    en s’engageant sur un chemin de découverte de soi-même, en s’explorant

    #40438
    bzo
    Participant

    le rythme, le rythme,
    ce rythme de vagues lancinantes dans ma chair,
    comme il est irrésistible, comme il me fait danser,
    mes hanches se déplacent d’avant en arrière, de gauche à droite, de plus en plus lascivement,
    je suis pris par le rythme, pénétré par le rythme,
    c’est une caresse qui passe et repasse dans ma chair, qui me traverse comme une houle de soie,
    comme cela frotte partout, comme cela passe doucement entre mes cellules,
    s’introduit dans le moindre interstice, fluidifie mes rouages dans l’infiniment petit,
    c’est chaud, c’est caressant, cela coule lentement et frémit soyeusement

    l’arabesque du rythme, la courbe du rythme, le sinueux du rythme, l’ondoyant du rythme,
    l’anguilles lascive du rythme, la liane ondulante du rythme,
    cela roule en moi de tous les côtés, je suis frotté suavement par un milliards de mains,
    oh l’orient et ses tapis volants, est partout en moi,
    Shéhérazade, les milles et une nuits, la jouissance comme un conte sans fin, dans ma chair

    #40439
    bzo
    Participant

    le plaisir est comme un mille-feuilles aux couches successives,
    des strates viennent s’ajouter au fur et à mesure
    qu’il prend de l’ampleur, qu’il s’enrichit

    les premières que je perçois d’abord, les couches les plus immédiates,
    ce sont toutes ces nuances sans cesse changeantes de volupté,
    qui se disséminent un peu partout depuis le bassin,
    circulant, voyageant sans cesse

    viennent ensuite rapidement chez moi, les strates de sensation de communion avec mon corps,
    de complicité totale, jusqu’au plus profond de mes fibres, avec lui, de ne plus faire qu’un,
    sensation d’épanouissement dans l’instant, sensation d’accomplissement dans l’instant,
    sensation de moment parfait, de moment d’incandescence totale, de ne plus être qu’une flamme dansante,
    un être hybride, à la fois masculin et féminin, se faisant l’amour à lui-même

    viennent ensuite au bout d’un certain temps, les couches de la jouissance,
    c’est comme si en fait, certaines couches de la volupté, s’étaient densifiées
    au point que ma chair se soit mise à fondre,
    on se sent vraiment dissoudre,
    la matière, elle-même qui semble se transmuter en un liquide chaud, épais, incroyablement caressant
    qui dégouline lentement, de plus en plus, de toutes les côtés

    en train de fondre sans discontinuité, comme glissant lentement sur un toboggan,
    ayant laissé mon moi habituel derrière tandis ce que je suis devenu, s’éloigne toujours plus,
    plus de taille, plus de forme, plus de poids,
    juste une nage dansante, de milliers de particules heureuses, frémissantes,
    juste une dissolution massive, intégrale, sans concessions, occupant tout l’espace

    dans les moments plus calmes de la jouissance,
    c’est plutôt une sensation de vide chaud, frémissant, soyeux, très très dense qui s’installe,
    comme si j’avais atteint le fond de la mer,
    avec une muraille de 10 km d’eau au-dessus qui me sépare du reste du monde

    #40440
    bzo
    Participant

    les plus simples gestes, d’habitude si anodins, si machinaux,
    durant la séance, chacun peut prendre soudainement une importance toute particulière

    nos postures, nos attitudes, là encore, si trivialement effectuées habituellement,
    là, tout d’un coup, peuvent devenir cruciales,
    dans l’accomplissement du dessein vissé à nos entrailles

    #40441
    bzo
    Participant

    le plaisir est en fait tout le temps là dans notre chair
    mais nous nous en rendons pas compte

    il est comme un sang invisible circulant dans un réseau
    partout dans notre corps

    un train qui a l’air de tourner sans nous,
    sauter dans un de ses wagons quelques instants

    #40442
    bzo
    Participant

    des jours durant parfois, je ne fais pas de vraies séances,
    je veux dire par là, être au lit ou ailleurs, en action plus de quelques minutes,
    me contentant de micro-séances d’au maximum une minute ou deux
    mais la plupart même, pas plus d’une trentaine de secondes

    elles m’apportent déjà tellement énormément, l’intensité du plaisir ne dépend pas de la durée,
    enfin chez moi, c’est comme cela,
    quelques secondes de volupté tellement riche et variée, un étourdissant carrousel de nuances,
    c’est comme une injection au plus profond de soi-même, un geste chirurgical de plaisir rassasiant

    mais surtout, surtout, elles m’apportent des moments de communion avec mon corps,
    de connexion totale à mon corps
    car c’est cela qui m’intéresse avant tout, sentir avec une intensité maximale,
    un lien profond, total, à cette chair

    en quoi consiste-t-il, c’est quoi une connexion totale à son corps, une communion avec lui?
    c’est être là dans l’instant avec lui, être vraiment là dans l’instant avec lui,
    lui, avec ses myriades de nerfs, barbotant dans du sang, sa viande bien réelle, ses os,
    être là avec tout cela, toute cette barbaque dégoulinante, à un certain moment, en un certain endroit,
    on ne s’en rend pas bien compte mais on ne vit pas dans son corps vraiment,
    on vit dans sa tête

    quand je fais le lien avec mon corps, pour quelques instants,
    je suis là dans l’espace et dans le temps, sans mon intellect, sans mon moi,
    enfin du moins, ils sont en retrait, au second plan,
    je suis là, une bête parmi des bêtes, une éponge à sensations, à signaux de toutes sortes, perçues, générées
    qui vit au-travers de ses sens,
    qui vit au-travers d’une imagination débordante, débordée, sans queue, ni tête, sans règles, ni lois,
    une bête en train de se frotter maladroitement à elle-même pour jouir de l’instant,
    je patauge dans le mystère sourd de l’animal en moi,
    je suis extatique d’être juste là dans l’instant, ressentant, vibrant, éveillant toutes sortes de sensations,
    bref d’être en vie, chaud, explosif, volcanique, doux comme du miel, doux comme du velours,
    doux et violent à la fois comme un sexe prêt à cracher sa ridicule cargaison blanchâtre

    le mystère, c’est qu’il ne semble pas y avoir de mystère, juste des moments mystérieux,
    des moments mystérieux à se découvrir,
    des moments mystérieux à découvrir une portion plus ou moins grande de ce que la vie a placé dans notre soute

    l’instant est magique parce qu’on est là et qu’on est capable d’en vibrer,
    la vie semble n’être que rythme et vibrations, notre chair arrive par moments à s’accorder à cela,
    on semble alors goûter à l’essence-même des choses, éphémère, fragile, dérisoire,
    aucun sens en nous, semble-t-il, aucun autre sens que de fêter l’instant, que de fêter l’instant d’être là,
    que de partager l’instant d’être là en vie, avec soi-même ou avec d’autres,
    de toutes les manières possibles et imaginables

    #40461
    bzo
    Participant

    se défoncer, se défoncer par le rythme et le mouvement,
    le corps qui se libère, https://youtu.be/x9VYKrtziSg,
    la chair qui se fait danse, la danse qui se fait chair

    la musique, le rythme, les vibrations, le corps qui se libère,
    la danse, un univers parallèle dans la chair

    #40462
    bzo
    Participant

    dans certains films de science-fiction, plus précisément cyberpunk, plutôt,
    on voit des protagonistes se mettre un dispositif sur la tête,
    appuyer sur un bouton et hop c’est parti,
    ils sont dans un univers parallèle où les règles sont différentes, les sensations sont différentes,
    où ils ont toutes sortes de pouvoirs

    eh bien, chez moi c’est pareil, sauf que le dispositif, c’est tout mon corps,
    j’appuie quelque part un peu dessus ou le caresse, le frotte,
    ou juste même, le mets en mouvement un peu différemment
    et c’est parti, j’accède à un univers parallèle dans ma chair
    où les sensations sont démultipliées, où les barrières ont sauté, où j’ai les deux genres
    où des flots d’énergie montent de mes profondeurs, semblant se répandre partout,
    provoquant toutes sortes de phénomènes sensoriels et sensibles, fous, délicieux, extravagants

    #40463
    bzo
    Participant

    je suis debout au milieu de la pièce, nu, je me balance légèrement, je me caresse lentement, rêveusement,
    je m’attarde autour de la bouche,
    c’est extrêmement érotique, la bouche
    comme tous les orifices de notre corps

    mais plus que cela, tous les orifices de notre corps semblent comme reliés entre eux,
    une sorte de confraternité des orifices, ils communiquent entre eux par télépathie
    qui fait que vous en caressez un, les autres réagissent aussi, semblent d’une certaine manière, entrer en action aussi

    je descend maintenant vers un sein, une bombe à retardement, je vous dis,
    il ne faut pas trop le titiller, je touche la pointe, trop tard, c’est enclenché,
    short fuse, cela va exploser bientôt, je sens cela,
    une vraie soucoupe remplie d’ondes, cela commence à s’agiter là-dessous
    ah comme j’aime les caresser, ceux-là, quel pente à remonter, à redescendre, à remonter, à redescendre
    et puis ces petites pointes toutes dures, les petites bites du haut,
    comme elles sont sensibles à la moindre sollicitation, cela bande léger mais ferme, là-haut

    mes hanches dansent, ma main arrive, on dirait qu’ils se mettent à danser ensemble, duo torride,
    je glisse la pointe de mes doigts à gauche, à droite,
    je sens le rythme ivre, lascif, de mon bassin, j’arrive sur le pubis, je frotte un petit peu,
    je remonte, j’explore, j’agace, des feux de paille s’allument partout sous ma peau
    et puis toujours ce rythme dans mon bassin, cette houle lourde et lancinante

    je reste ainsi debout, les yeux fermés, de longues minutes,
    très régulièrement je fais monter une contraction,
    la horde des ondes prostatiques s’élancent à chaque fois vers le haut,
    place, place, faites- leur place,
    que de frissons le long de ma colonne vertébrale,
    je continue à maintenir la pression de la contraction, longtemps, longtemps,
    la densité de la chaleur augmente partout en moi, quelque chose va exploser,
    les digues tiennent à peine encore, je gémis de plus en plus fort
    mais non, je relâche, pas tout de suite, faisons durer durer, ce ballet miraculeux

    #40501
    bzo
    Participant

    c’est toujours plus ou moins la même panoplie de gestes et de mouvements
    mais quand je me lance, je ne sais jamais ce que je vais faire,
    je me lance dans l’inconnu, je suis complètement perdu, désorienté,
    et je le veux ainsi
    et c’est bien ainsi

    je laisse la place du conducteur, vide, c’est une invite,
    c’est mon truc, je l’ai bien mis au point, ça marche à tout les coups,
    j’invite tout ce qui voudra bien monter en moi
    à venir prendre à diriger la chariote
    ou à ne pas la diriger, à jouer à l’auto tamponneuse avec

    les gestes et les mouvements doivent venir d’eux-mêmes,
    on doit avoir la sensation que c’est totalement improvisé,
    même si on sent que quelque chose, quelque part, mène le bal,

    c’est une unique sensation en soi, il faut l’avoir vécue,
    comme si on n’était plus dans sa tête mais que celle-ci semble avoir fondu dans le corps
    et que j’habite l’ensemble, que l’ensemble me guide, que l’ensemble me mène,
    que je réfléchis avec mes mains, que je réfléchis avec mes jambes, que je réfléchis avec mes bras,
    que tout s’est mis à réfléchir en moi

    #40503
    bzo
    Participant

    libérer tout son potentiel énergétique dans l’instant,
    vivre tout son être en fusion

    #40510
    bzo
    Participant

    je suis nu au milieu de la pièce, les yeux fermés
    mais cette fois, je garde mes mains ballantes le long du corps,
    je ne vais utiliser que les balancements du bassin, des mouvements divers d’un peu partout,
    les contractions, essentiel, bien sûr,
    des changements de position, des raidissements, des relâchements, des cambrements,
    me remettre en mouvement, me laisser aller,
    resserrer les cuisses, les relâcher, effleurer ainsi mes bijoux de famille,
    les presser, les frotter, plus fort, par moments

    déjà juste fermer les yeux et commencer à me balancer langoureusement sur place,
    j’ai le bassin immédiatement empli d’ondes chaudes et frissonnantes,
    comme c’est bon, cette chair tellement prête à s’enflammer, tellement prête à faire la fête intime à tout moment,
    j’ai l’impression de me masturber tout l’être de l’intérieur, juste en bougeant sur place comme cela avec langueur,
    masturber n’est pas vraiment le mot qui convient,
    tellement ici, la sensation est un chant ardent qui monte des profondeurs, une communion,
    tellement ici, il n’est pas question juste de se soulager, de se vider de sa semence
    mais de partir à l’aventure, au dérèglement des sens, à la rencontre d’un soi inconnu,
    vivre l’extase entre les deux genres éveillés en soi, leur fusion, leur incandescence

    chante, mon corps, enflammons l’instant,
    qu’une magie, à la fois douce et ardente,
    colore cette chair des mille et une nuances de la volupté et de la jouissance

    #40511
    bzo
    Participant

    ah ce yin, c’est tellement comme une caresse de tout mon être, à l’intérieur,
    c’est tellement comme une ondulation langoureuse partout, à l’intérieur,
    je ne m’en lasse pas, comme je ne m’en lasse pas,
    je m’en laisse envahir à tout bout de champ, un peu partout, quand je suis à la maison,
    ne fusse que pour une seconde ou deux

    parfois, je suis occupé avec tout autre chose qui réclame toute mon attention et j’oublie
    et puis tout d’un coup, je m’en souviens et alors là, ce sont les retrouvailles,
    oh comme c’est bon de se retrouver,
    de se retrouver soudainement si splendidement enrichi

    sur discord, je vois une discussion sur le féminin, le pénétrant et le pénétré
    mais la vraie puissance, la vraie richesse
    sera toujours du côté de celui ou de celle qui s’offre, de celui ou de celle qui s’ouvre,
    de celui ou celle qui se laisse envahir, de celui ou celle qui se laisse entraîner,
    de celui ou celle qui peut lever toutes ses défenses, de celui ou celle qui peut lever toutes ses barrières,
    ainsi, on ouvre des portes secrètes en soi et des trésors peuvent sortir, peuvent envahir notre chair
    sinon, on ne sera jamais qu’un petit pétard allumé
    qui va faire, au mieux, quelques petites explosions qui vont faire beaucoup de bruit

    #40512
    bzo
    Participant

    je suis debout au milieu de la place, encore une fois, toujours aussi nu,
    bon, entretemps, j’ai été tout de même dormir, me suis occupé avec tout autre chose aussi
    mais là ce matin, me suis remis au milieu de la pièce,
    j’ai beaucoup pratiqué ainsi ces derniers jours

    debout, dans la verticalité, toute la surface de ma peau offerte,
    il y a une sorte de dynamique très spéciale, ainsi,
    tour de chair toute chaude,
    se mettant en mouvement, fendant l’air lentement, caressé par le mouvement,
    dansant sur place, bougeant langoureusement, liane lascive, ô combien lascive

    se caressant aujourd’hui, cela me démange de le faire à chaque instant,
    de sentir ma peau sous mes doigts, elle semble frémir sous le contact, s’échauffer toujours plus
    mes seins semblent se gonfler sous mes paumes qui s’attardent dessus,
    les emprisonnent tantôt délicatement, tantôt sans ménagement, semblant les pétrir comme de la bonne pâte,
    les pointes comme des détonateurs, à chaque fois que j’appuie dessus,
    provoquant comme une petite explosion de soie en moi

    et puis mon bassin, cela semble de plus en plus se liquéfier dedans,
    c’est une outre remplie, ce bassin, d’un vin capiteux
    dont le parfum enivrant se répand partout en moi, me monte au cerveau,
    comme je suis ivre en quelques instants, j’ai envie de jouir, de sentir ma chair en roue libre,
    de sentir mes sens s’enflammer,
    dansons, dansons, très lentement, liberté inouïe du plaisir sans frontières et sans limites

    #40515
    bzo
    Participant

    il y a un moment, j’étais agrippé d’une main à mon sein comme à une main courante
    tandis qu’assis dans une position un peu acrobatique
    je maintenais une contraction sur-puissante qui me faisait de plus en plus perdre mon équilibre,
    je courais le risque de tomber du siège, sur le côté

    la situation devenait de plus en plus critique,
    je jouissais sans discontinuité depuis de longues secondes
    mais ma position devenait de plus en plus précaire sur le siège,
    je me sentais en même temps glisser lentement,
    à ce rythme dans quelque instant, je valdinguerais sur le côté et tomberais par terre,
    donc je m’agrippais de toutes mes forces à mon sein, c’était très excitant et très périlleux comme situation

    heureusement la chute a finalement été évitée,
    je vis vraiment dangereusement

    #40516
    bzo
    Participant

    bug de changement de page 1

    #40517
    bzo
    Participant

    bug de changement de page 2

    #40518
    bzo
    Participant

    bug de changement de page 3

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