Mots-clés : aneroless
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10 mars 2021 à 13 h 20 min #40519bzoParticipant
bug de changement de page 4
10 mars 2021 à 22 h 38 min #40523bzoParticipantj’arrive tellement à me faire l’amour,
je ne connais rien de plus délicieux que cette sensationrien de plus délicieux, de plus trouble et de plus riche que cette sensation,
en même temps de se sentir pénétré et en même temps de se sentir pénétrant,
de sentir des deux côtés à la fois, de se sentir des deux côtés à la foiscercle parfait de l’androgynie
11 mars 2021 à 0 h 47 min #40524bzoParticipantcercle parfait de l’androgynie,
la sensation d’unité est bouleversante, sentir qu’on est deux qui s’unissentjouir de soi, c’est avoir un soleil dans le bassin,
se sentir tous ses rayons11 mars 2021 à 20 h 05 min #40531bzoParticipantj’évoquais il y a quelques jours le fait que je n’effectuais quasiment plus de séances longues, au lit ou ailleurs,
juste des micro-séances de maximum quelques minutes, voire de quelques secondes,
cela se confirme, je n’ai pour l’instant, plus aucune appétence pour des durées plus conséquentes,
donc, grand grand maximum, une dizaine de minutes mais plutôt une minute ou deux, en moyennecela me convient totalement ainsi pour l’instant,
ainsi, c’est parfaitement intégré à mes faits et gestes du quotidien,
elles viennent les ponctuer, leur donner un relief inattendu, des colorations spéciales,
un dépaysement totalement fou, d’un instant à l’autre,
une plongée sensuelle, sexuelle, en moi-même, n’importe où, n’importe quand, avec quoique je sois occupé,
décorant irrésistiblement ce flux des minutes d’habitude si ordinairesil y a une parfaite continuité la plupart du temps,
je commence un geste anodin et puis tout d’un coup, il dévie, il ralentit, il se fait lascif
cela diverge en moi de plus en plus, des barrières sautent, des règles, des lois, n’existent plus,
je prends un tournant, je prends la tangente, je me dirige vers un autre pays,
je m’organise une coulée douce en moi, vite fait, bien faitoh oui, la coulée douce en soi,
moments mystère, moments soyeux, moments frissons voluptueux de toutes parts, moments liane lascive,
s’injecter de la magie, vivre avec une intensité bouleversante, tout d’un coup, le moment,
intégrer une exploration folle, super-pointue, de soi-même, dans le fil du quotidienj’écrivais aussi plus haut que l’intensité du plaisir chez moi, n’était pas liée à la durée de la séance,
que dès les premiers instants, c’était très très intense,
c’est entièrement vrai, cependant il faut tout de même nuancer,
bien sûr, si je fais une séance d’une demie heure, il va y avoir une progressive augmentation de la tension sexuelle,
cela va aller plus loin, beaucoup plus loin même, qu’en une ou deux minutes
la jouissance va s’installer en permanence ou à peu près,
je vais être de plus en plus en roue libre, un délire de plus en plus extravagantd’un point de vue, satisfaction basique des besoins physiques,
je n’ai plus vraiment besoin de séances comme cela depuis longtemps,
comme je l’ai écrit aussi dernièrement, ces micro-séances, de parfois seulement, quelques secondes,
sont comme des gestes chirurgicaux de plaisir rassasiant
et donc, de ce point de vue, je sens que mon corps y trouve largement son compte en fin de jour,
après que j’ai multiplié suffisamment ce genre de moments intimesles séances plus longues, à bien des égards, ne m’apportent rien de plus,
par exemple, sur la perception de la complicité avec mon corps, la sensation de communion avec lui,
je les perçois, en fait, plus, avec 30 micro-séances d’une minute en moyenne,
qu’avec une séance de 30 mn sans discontinuitéet puis j’aime tellement quand cela démarre, quand soudainement je prends la tangente,
c’est toujours comme si je basculais instantanément dans une autre dimension de moi-même,
j’étais occupé au-dessus de la poubelle, à peler une patate
et puis d’un instant à l’autre, le légume dans une main et dans l’autre, le couteau à peler,
je suis parti, je ne suis plus là, enfin je suis là mais autrement, tellement autrement,
mon corps et moi, avons décollé, je dévale en trombe un toboggan de voluptéet puis le féminin aussi, je le sens mieux en action avec les micro-séances
car une fois que les flots de la jouissances sont constamment en moi,
le yin s’est déployé, m’habite entièrement, interagit avec le yang, je suis alors immergé dedans, je le vis de l’intérieur
mais au fond, les moments où je le sens le mieux, c’est quand il monte en moi, quand il se déploie,
quand il s’installe dans ma chair, le court moment de la transmutation, de la permutation, de la transformation,
c’est rapide mais j’en sens tellement chaque détail à chaque fois, à chaque fois aussi ineffable,
cette caresse inouïe qui m’envahitc’est toujours différent à chaque fois, en plus, les nuances sont vraiment infinies,
je le perçois aussi plus avec ces très courtes séances,
cela peut être au fil des secondes tout en ciselures fines mais aussi en rut bien bourrin, bien animal en chaleur,
moments dentelles ou moments bûcheron, voire un mix des deux
alors que quand je suis parti au long cours, les nuances sont noyées dans un flux continuel, au bout d’un moment,
c’est puissant, majestueux comme une grande houle loin des côtes, on a tendance alors, juste à se laisser entraîné,
moins à explorer, moins à relancer sans cesse sa curiosité
c’est moins laboratoire, moins expérimentation, plus croisière au grand largepar contre, j’ai l’intention de me remettre au lit pour m’exercer en massage prostatique pur,
rien que des ondes prostatiques,
je n’ai pas beaucoup progressé sur ce front,
toujours le même obstacle, j’ai tellement facile à basculer dans cette pratique désormais si aboutie,
que je ne parviens tout simplement pas à rester plus de quelques minutes en prostatique puremais je continue, je veux persévérer, le challenge en vaut la peine,
si je parvenais à réactiver un massage prostatique en mode plus ou moins yang ,
avec son cortège d’orgasmes qui se suivent à la queue leu leu et ses super O,
tel que je l’ai déjà connu, que je l’ai déjà vécu, pendant plus d’une année,
ce serait vraiment fantastique,
alors je serais comblé au-delà de tous mes espoirs secrets les plus fous12 mars 2021 à 8 h 28 min #40532bzoParticipantle plaisir est comme dans une éponge, dans ma chair,
elle en est imbibée, elle en est saturée,
il me suffit d’un peu presser dessus
pour qu’immédiatement, cela sorte de tous les côtés,
pour qu’immédiatement, cela se mette à dégouliner de tous les côtésqui s’en plaindra? certainement pas moi,
imbibé d’ivresse, imbibé d’ineffable, à toute heure du jour ou de la nuit, en tout endroit,
j’ai travaillé pour cela,
l’heure est à la vendange, l’heure est à la chair mûre des grappes juteuses dans la bouche13 mars 2021 à 1 h 31 min #40539bzoParticipantl’appétit vient en mangeant,
ceux qui se sont mis à avancer sérieusement dans leur pratique,
sauront immédiatement à quoi je fais allusionc’est comme Christophe Colomb découvrant l’Amérique, cette histoire
quand notre plaisir n’est plus lié aux éjaculations et aux érections,
que l’on découvre que l’on peut passer aussi des heures à jouir sans diminution de l’intensitél’oiseau se fait son nid en nous, le terrain est devenu propice aux envols,
on est quand même mieux à faire cela
qu’à passer des heures devant la télé à tuer le tempsau stade où j’en suis arrivé, je suis devenu un self-service
où le désir se sert tout seul, à la moindre petite fringale,
qu’il fait bon de sentir en soi toute cette petite mécanique bien au point
avec le plaisir qui a sa place de choix à la table de mon quotidien,
il s’y est installé, il s’y sent bien,
un dialogue avec ma chair, vivre cela, c’est tellement bouleversant,
la vie a placé en nous des possibilités étonnantesregardons autour de nous en été quand la nature est verdoyante,
des insectes et des oiseaux de tous les côtés,
au-dessus de nous, un ciel bleu tellement gorgé de soleil
et puis la chaleur sur notre peau
et puis une sève encore plus chaude qui irrigue notre corps,
l’été n’attend que nous, est prêt à nous envahir à tout instantl’épanouissement dans l’instant, l’accord vibrant,
rien ne rime à rien, juste vivre des moments passionnément, sans concessions13 mars 2021 à 11 h 07 min #40540bzoParticipantsamedi matin, suis resté un peu plus longtemps au lit,
ces derniers temps, indifféremment en semaine ou le week-end, je ne me couche plus avant 03h du matin,
un flux des minutes passant avec un mélange de lecture, de films, de séries et puis d’intimité voluptueuse avec ma chair,
m’a poussé à retarder toujours plus le moment où je me couche,
bien que j’adore dormir aussi
mais hé, j’aurai toute l’éternité pour dormir après,
à moins que je rôtisse en enfer, on verra bien, cela ne me dérange pas outre-mesure, non plusen fait si je suis capable de rester en semaine avec si peu de sommeil, j’ai un truc,
je vais le donner à mes millions de lecteurs aussi, peut-être que cela les intéressera aussi,
son nom, c’est le Aloe Vera,
cette plante est miraculeuse,
sous forme de gel, elle a restitué à mes cheveux qui étaient gras, avait un aspect maladif, les pointes cassantes,
tout leur éclat, ils sont en parfaite santé désormais,
une ou deux fois par semaine, avant de me faire mon shampoing,
je m’en enduis les cheveux et le cuir chevelu, je frictionne un peu
et reste ainsi au moins une demie heure, avant d’aller les laveraussi mes plantes de pied, j’avais une mycose
qui malgré de nombreuses visites chez des médecins et des tas de remèdes tentés,
persistait depuis l’adolescence, rien n’y faisait,
là aussi, deux, trois fois par jour, je les enduit avec le gel
et c’est bien contenu, ils ont retrouvé un aspect normal, à défaut de guériravec le dentifrice au Aloe Vera, mes dents qui étaient très sensible au chaud et au froid,
avais tout le temps des inflammations, des saignements,
mes dents donc, tous ces symptômes ont complètement disparus en quelques jourset enfin, le meilleur pour la fin, l’Aloe sous forme de jus à boire, avant chaque repas,
pas un goût super super mais il y a bien pire cependant
et les effets ont été extraordinaires au fil des semaines,
d’bord celui que j’espérai secrètement sans trop y croire,
il faut savoir que je souffre d’une intolérance aigue au fructose,
pour ne pas en souffrir constamment, ne plus avoir des brûlures d’estomac à longueur de journée et de nuit,
comme cela a été le cas pendant des années
là aussi, après avoir tout essayé, j’ai du me résoudre à supprimer de mon alimentation autant que possible
le fructose et tous les polyols, sorbitol, xylitol, mannitol,
la plupart des fruits, pas mal de légumes aussi
la plus grande partie des édulcorants utilisé par l’industrie alimentaire, en fait,
je faisais mes coures avec une loupe pour vérifier les étiquettes de ce que j’achète constamment
et dès que c’était indiqué que cela contenait plus de 3% de sucre, je passais mon chemin,
eh bien, je ne peux pas manger à nouveau normalement grâce au jus d’Aloe
dont je prends une grosse cuillérée à soupe avant chaque repas
mais je peux me permettre des petits écarts, un peu de raisin, de chocolat, de la glace, etcmes problèmes d’acidité gastrique et surtout de colon irritable, eux ont complètement disparus
et puis enfin ce jus d’Aloe Vera à boire, avait la réputation de renforcer le système immunitaire,
je cite ici Doctissimo:Parmi les vertus non prouvées que l’on prête au jus d’aloe vera, on retrouve :
Une action anti-fatigue ;
Un effet stimulant du système immunitaire ;
Une action contre la perte de cheveux ;
Un purificateur sanguin ;
Une action antivirale.eh bien, cela fait des mois maintenant que j’en bois avant chaque repas,
j’ai passé tout l’hiver frais comme une fleur, sans aucun refroissèrent
mais cela c’est peut-être une coïncidence, il faudra voir sur plusieurs années,
par contre comme je l’écrivais au début de ce texte, je me couche vers 3h du matin depuis des semaines maintenant
et je tiens très bien le coup, ça ce n’est pas le hasard, je me connais suffisamment,
j’ai été comme cela pendant des années quand j’étais jeune adulte
mais cela n’est pas revenu tout seul, si j’en suis capable à nouveau, je l’associe sans hésitation au Aloe Vera
sous forme de jusune précision, il faut prendre la meilleure qualité, bien vérifier que c’est préparé à partir de vraie sève
et non pas juste de poudre d’Aloe Vera, même BIO,
ainsi l’Aloe Vera garde toutes ses qualités ,
personnellement je ne prends qu’une marque française , qui s’appelle Pur Aloe, ils ont toute une gamme
et j’ai pu constater la qualité,
bon il y en a d’autres aussi, très certainement13 mars 2021 à 12 h 49 min #40541bzoParticipantc’est étonnant car hier vers 3h du matin, avant de m’endormir,
j’ai fait une petite séance d’une dizaine de minutes qui m’a ouvert des horizons bien intéressantsma pratique actuelle, bien aboutie, pour la définir en quelques lignes,
en mode yin, un mix d’ondes prostatiques, génitales et anales, aussi par moments,
h bien ce que je suis parvenu à faire , c’est l’exact pendant mais en mode yang,
je me suis suis rendu compte donc qu’il y avait un autre versant à cette montagne,
un, en mode yin et un autre, avec la même technique ou à peu près mais en mode yang,
cela ouvre vraiment des perspectives plus qu’intéressantes
car c’étaient les mêmes sensations mais en même temps pas les mêmes,
les mêmes sensations mais plus en mode yin mais en mode yangcomment j’y suis arrivé? finalement techniquement il n’y a pas grande différence
mais cela provoque, cela enchaîne un monde différent en moi, au niveau sensitif, sensoriel, état intérieur,
au niveau de la façon dont l’excitation sexuelle s’empare de moi,
je suis plus statique, définitivement , en fait il n’y a plus trop de mode liane lascive, de danse avec mes hanches,
les mains ne caressent plus, restent aussi plus immobiles sur le corps,
c’est plus sage par rapport à la féminisation plus ou moins accentuée, selon les moments, du mode yin,
il y a toute une dynamique intérieure qui est différente,
il n’y a plus le féminin qui s’empare de moi, qui danse à l’intérieur,
cela crée du vide, du silence, en moiil y a des petits moments de caresse, de danse avec les hanches mais c’est très bref, des moments de transition
avant de retrouver une sorte d’écoute intérieure plus passive, plus statique,
façon massage prostatique plus traditionnelc’est assez reposant en fait, j’aime bien
et donc au niveau des sensations , cela change du tout au tout, tout en restant identique aussi quelque part,
c’est la même montagne mais par le versant yang, je monte avec enthousiasme pour l’instant14 mars 2021 à 11 h 15 min #40552bzoParticipantarf, mon dernier texte, celui juste au-dessus, c’est n’importe quoi
14 mars 2021 à 11 h 40 min #40553bzoParticipantassis, j’agace la pointe de mes seins, je laisse courir mes doigts tout autour,
je me cambre, je ferme les yeux, je serre les cuisses,
immédiatement je sens le velours chaud de mon sexe, de mes couilles,
cela se met à vibrer, à ronronner là en basoh mon dieu, toutes ces ondes qui s’échappent de mon bassin,
qui viennent courir dans tous les sens,
elles semblent tenter de rejoindre mes doigts, les suivre comme une meute joyeuse,
je joue ainsi, je m’amuse, je m’enflamme,
toute cette volupté légère aux nuances sans cesse changeantes sous ma peau,
c’est tellement réactif, quel carrousel sensuel,
je gémis doucement, du miel sous mes paupières fermées,
mes globes oculaires nagent dans du miel chaud parcouru d’étoilesje me cambre encore un peu plus et je serre et desserre les cuisses rythmiquement,
quelle fournaise dans mon bas-ventre, oh c’est ineffable,
mes paumes emprisonnent mes seins, les serrent en les frottant, les pressant, par des petits mouvements,
les ondes du bassin et dans ma poitrine semblent s’accorder, se mettre à danser ensemble,
j’ondule lentement le tronc et mes hanches langoureusement, lascivement,
le bonheur est vraiment dans la danse, cela danse de partout en moije lance une contraction qui comme un pal entre mes jambes, remonte dans mes entrailles,
c’est un porte-avions lançant ses jets depuis son pont, ils s’envolent dans toutes les directions
tandis que le mastodonte continue à remonter en moi,
les canons aussi font feu, en rafales, des obus, du lourd, cela explose de tous les côtés,
ah vive la marine, je suis trempé de volupté de la tête au pied et jusqu’au fin fond de l’âme,
quelle délicieuse tempête à bord, aller mes gaillards, souquez ferme14 mars 2021 à 22 h 49 min #40556bzoParticipantj’ai eu , il y a quelques minutes, mon plus splendide orgasme en mode yin, à ce jour
j’étais debout, le cul reposant un peu sur la table, j’aime énormément pratiquer ainsi,
un mouvement de va et vient de plus en plus lancinant entre les hanches
tandis que je me caressais un sein d’une main et que l’autre restait ballantela chaleur et la densité, augmentaient de plus en plus dans mon bassin,
je sentais que j’étais dans le bon rythme, que graduellement plus rien ne me retenait,
je gémissais très fort sans discontinuité,
tout mon être était envahi d’une telle lascivité, d’une telle volupté,
j’en aurais pleurer de joie tellement ma chair était à la fête
et puis soudain j’ai senti que mes yeux se sont mis à loucher horriblement
mais je ne pouvais rien y faire, je n’avais envie de ne rien y faire
et puis de toutes façons, je n’avais plus aucun contrôle,
tout se relâchait, tout fondait, tout vibrait et puis mes reins tellement embrasés,
je me sentais en même temps étalon et jumentcela n’a pas duré très longtemps, une trentaine de secondes
mais j’ai bien senti qu’il y avait moyen avec un peu d’expérience,
faire durer la chose bien plus longtemps15 mars 2021 à 8 h 34 min #40558bzoParticipanthé hé, se réveiller, empli de volupté, empli de frissons langoureux,
cela fait quelque temps que mon corps me fait cette fleur, chaque matinquoi de plus délicieux comme accueil,
comme retour à la réalité de ce monde
qu’ainsi, déposé dans cette chair, parmi des frottements de veloursc’est ma prise de contact matinale,
la première chose qui accueille ma conscience,
dans ce corps qui s’ébroue sous les draps,
dans ce corps qui s’éveille à lui-même,
en possession de tout un potentiel d’incandescence instantanée15 mars 2021 à 17 h 30 min #40562bzoParticipantoh ces coulées chaudes à l’intérieur
qui semblent tout faire fondre sur leur passage,
elles me donnent envie de pleurer de bonheur15 mars 2021 à 20 h 07 min #40564bzoParticipantsi on qualifie d’obsédé sexuel, quelqu’un qui ne pense qu’a cela ou à peu près,
quelqu’un dont l’imagination est imbibée de fantasmes, d’idées lubriques, de visions salaces,
alors je suis tout le contraire car je n’y pense jamaispar contre, c’est vrai que j’essaie autant que possible tout le long de la journée, de la nuit,
de me procurer des sensations voluptueuses, de la jouissance, des orgasmes
tant que cela n’empiète trop sur mes autres occupations,
j’ai mis au point en solitaire une technique qui est devenue très efficace,
pour faire couler à volonté des flots de volupté et de jouissance en moi,
comme ce fil-blog sur mon autosexualité, en attesteje ne fantasme pas non plus ou très rarement,
parfois en rue, quand je vois un beau cul, bien formé, bouger,
quelques secondes, je sens comme une raideur dans mon pantalon
ou encore deux seins se balancer dans un chemisier ou un t-shirt, font aussi leur effet
ou même, je devine la forme d’un sexe d’homme dans son pantalon, là aussi cela peut m’émoustiller un moment
mais pas beaucoup plus,
je ne regarde plus jamais de porno,
cela aide bien à se recentrer, à préserver ses forces sexuelles, à désintoxiquer son imagination
et savoir se donner dans les moments où cela vaut vraiment la peine, à 100%disons que c’est très très spécial pour l’instant chez moi, comme on peut le lire par ici,
c’est mêlé quasi exclusivement à mes autres occupations du quotidien,
deux, trois secondes par-ci, deux, trois minutes par-là,
j’ai effectué une espèce de fusion entre mes activités diverses du quotidien et puis ma pratique,
c’est possible uniquement, bien sûr car je suis en télétravail depuis des mois,
au bureau, avec des gens autour, ce ne serait pas le cas,
je gémis trop facilement sans même m’en rendre comptecomplètement entremêlés à mes faits et gestes, des sortes d’apartés de plaisir
comme une ponctuation délicieuse à la phrase de mes occupations quotidiennes
qui s’écrit et s’efface au fil des instants,
ou alors des espèces de petits entractes plus spécifiquement dédiés,
je me lève un instant, par exemple, debout contre mon bureau, le cul un peu posé dessus,
comme j’aime tellement à le faire ces derniers temps
ou encore alors, debout au milieu de la pièce, les yeux fermés, comme dansant voluptueusement en moi-même,
n’importe quel mouvement, n’importe quel geste, en fait, effectué lascivement,
très rapidement, me procure du plaisir, peut me faire jouirne pas y penser mais le faire le plus souvent possible,
au moins j’y pense, au mieux je le fais, je me suis rendu compte,
il faut relativiser, bien sûr, remettre dans son contexte, ce genre d’affirmation
car en fait, tous les aspects de ma pratique ont été à un moment donné ou à un autre,
pensés, décortiqués, dans leurs moindres détails, explorés dans leurs moindres ramifications
mais l’ensemble, finalement, doit juste servir à fournir un cadre, une structure ,
qui permette de faire jaillir, une fois que c’est au point, le plus efficacement possible, les forces en nous,
qui permette au corps de s’exprimer le plus librement possible, sans plus aucune contrainte, plus aucune restriction,
en tout cas, dans ma façon de pratiqueret donc tout ce qui ne peut pas être géré par le corps lui-même, durant l’action,
être effectué sans l’intervention de l’intellect,
en d’autres mots, tout ce qui nécessite systématiquement notre pensée pour être déclenché et puis guidé,
n’est pas bonne pour moi,
une bonne technique, est une technique qui se fait oublier complètement,
si elle continue de trotter dans notre tête,
qu’elle nécessite tout le temps l’intervention de notre intellect,
alors il y a quelque chose qui ne va pas aveclaissez vous bouger, laissez-vous mener, laissez-vous entraîner par le désir, par vos instincts,
séparez vos pensées et vos actions, forcez-vous à les garder séparées,
qu’il n’y ait plus aucune lien direct de cause à effet entre elles,
faites le vide dans votre tête,
vous allez être étonné comme c’est facile une fois qu’on en prend un peu l’habitude,
ne pas mener l’action avec son intellect, juste laisser faire,
on ne fait jamais très longtemps n’importe quoi,
notre désir, nos instincts, tout un collectif montant de nos entrailles
vont s’emparer des commandes, en deux temps, trois mouvements,
si vous êtes prêts pour celamais ce n’est pas non plus un problème, si vous n’êtes pas prêts,
maladroitement, on se fait son chemin petit à petit,
il faut savoir souffrir, en l’occurrence, dans notre quête de plaisir,
la souffrance correspond juste à ne rien ressentir ou du moins,
beaucoup moins que ce que l’on espéraitlaissez couler librement, éveiller le flux montant de vos entrailles,
la richesse et la variété des signaux sont confondantes,
le ressenti peut devenir comme un océan dansant en nous,
que les sensations jaillissent sans altération, pures, intactes, brillant de toute leur splendeur
pour quelques instants dans notre chair16 mars 2021 à 8 h 34 min #40567bzoParticipantla notion de proximité avec mon corps m’est tellement chère,
notre complicité amoureuse sans faille,
fait des étincelles, génère des arc en cielà chaque fois que je me mets en action,
je ne recherche que cela,
m’unir à luien y réussissant,
je sens immédiatement l’étalon et la jument
qui se sont collés l’un à l’autreet la délicieuse fournaise se déclenche,
il remonte en elle de toute sa longueur
et moi, je suis catapulté vers le ciel16 mars 2021 à 22 h 02 min #40573bzoParticipantmon sexe devient tellement puissant quand je n’ai plus éjaculé depuis un certain temps,
il, littéralement, vibre entre mes jambes, au moindre effleurement, au moindre contact,
c’est absolument délicieux, irrésistible,
surtout que cela se répand comme un feu de paille quasi instantanément à tout mon corps
si j’enchaîne avec quelques mouvements lascifs du bassin ou que je me caresse la poitrine
et puis ma prostate aussi, à chaque contraction que je fais monter,
c’est comme un lent boulet de canon en soie qui remonte dans ma chair en tournoyantdans le métro, j’ai du me retenir de gémir de plaisir tout à l’heure,
quand quelqu’un par hasard, a effleuré ma main,
ce contact sur ma peau, a provoqué tout un vertige et des tourbillons d’énergie en moi
c’étaient comme si des feuilles d’ondes douces et frémissantes
voletaient capricieusement dans un vent invisible partout en moi,
pendant un bon quart d’heure, j’ai senti ma peau brûler doucement à l’endroit du contact,
je ne sais même pas si c’était un homme ou une femme,
quelle importance d’ailleursl’important, c’est que je sois un volcan dégoupillé, prêt à entrer en éruption à tout instant,
ah comme j’en profite, comme j’en profite,
les petites abeilles du plaisir, butinent entre mes jambes17 mars 2021 à 0 h 45 min #40574bzoParticipantne pas arriver jusqu’à l’éjaculation dans ma façon de pratiquer,
est une affaire de noyer les ondes génitales quand elles commencent à se transformer un peu trop en plaisir pénien
dans un flot accru d’ondes prostatiques,
celles-ci semblent les éteindre, les moucher comme une chandelleje frotte, je presse, mon sexe, mes couilles, ils semblent rayonner en moi leurs ondes par vagues délicieuses,
c’est la plus ineffable volupté que je connaisse,
ça mélangé aux mains qui courent un peu partout sur tout le corps,
je pourrais rester des heures ainsi,
comme on gratte sa guitare, improvisant et encore improvisanteh oui, c’est nouveau, j’ai refais une séance au lit de près d’une heure,
comme quoi il ne faut jamais écrire, fontaine, je ne boirai jamais plus à ton eau
mais je n’en suis pas à une contradiction près,
ce journal suit mes pérégrinations, c’est un joyeux zigzag, parfois je rebrousse chemin mêmeje croque les instants avec gourmandise avec mon cher complice,
en mode yin, je balance mon cul, j’écarte mes cuisses, j’attends que la contraction remonte en moi,
je vibre de toutes parts, je suis souple comme un roseau, je sillonne les draps,
le chemin le plus court d’un point à un autre, c’est une courbe,
tous les géographes vont le dirontla courbe est divine, la courbe est danse, la courbe est vibrations
et ma chair est une piste de danse, un bac à sable, un laboratoire d’alchimiste qui vise les étoiles17 mars 2021 à 0 h 47 min #40575bzoParticipantsaut de page 1
17 mars 2021 à 0 h 48 min #40576bzoParticipantsaut de page 2
17 mars 2021 à 0 h 51 min #40577bzoParticipantsaut de page 3
17 mars 2021 à 0 h 52 min #40578bzoParticipantsaut de page 4
17 mars 2021 à 10 h 00 min #40579bzoParticipantme suis levé plus tard, comme la plupart des mercredis, jour de congé pour moi,
j’adore couper la semaine ainsi, mon mini week-end à moi pour décompresser, me promener, aller chez mes bouquinistes
et puis et puis, bien sûr, lever de douces tempêtes en moioh ma chair, ce matin encore, j’ai immédiatement perçu qu’on avait augmenté le potentiomètre d’un cran,
mon sexe et mes couilles, bien au chaud dans leur nid entre mes cuisses,
ronronnaient de plus belle,
je ne bougeais pas, je restais ainsi, cela se diffusait lentement à travers mes cuisses
et mon bassin, tout lentement,
des ondes qui nageaient, qui répandaient le bonheur à travers mon êtrej’ai désormais constamment comme un foyer d’infection délicieux dans mon bas-ventre,
comme un supermarché surpeuplé, cela grouille tout en bas,
cela n’arrête pas et puis dès que j’y ajoute un petit mouvement ou deux,
c’est comme si on tirait un feu d’artifice dans mon corps,
je pars en roue libre, le bonheur est dans les prés, je suis le plus heureux des hommesdes hommes?
je commence à me poser la question, moi aussi,
pourquoi j’écris cela?
parce qu’après avoir lu un article dans le New York Times sur une personne transgenre au Bengladesh,
j’en ai consulté d’autres dans leurs archives,
je me suis rendu compte que je lisais ces articles avec une avidité toute particulière,
qu’ils me bouleversaient de fond en comble,
cela a fait tilt chez moi soudainement, comment cela se fait que cela me parle tellement?
pourtant je n’ai jamais vraiment senti au niveau conscient une quelconque manifestation
de femme égaré dans un corps d’homme, appelons-le comme cela,
encore là maintenant à l’heure où j’écris ce texte, je me sens bien dans mon corps d’homme en tant qu’homme,
enfin c’est vrai tout de même que j’ai des idées très très, mais alors très très, féministes,
que je suis persuadé que la femme nous est bien supérieure,
qu’un jour, nous vivrons dans un matriarcat,
que j’ai une sensibilité très très développée, etc
mais jamais à aucun moment, une envie profonde d’être une femme, sinon pendant mes séances,
alors là , bien sûr, mes textes en témoignent, je vis mon plaisir à 100% en mode yinmais là ce matin, cela m’a fortement troublé,
la passion que j’éprouvais à lire ces reportages sur des personnes transgenres,
à quel point je me sentais concerné, à quel point ils m’émouvaient,
ce peut-il que quelque part au fond de moi-même, enterré sous des couches?
curieux, intrigant, en tout cas17 mars 2021 à 18 h 03 min #40584bzoParticipanthum, étonnant que je me sois cru obligé d’écrire cela ce matin
mais c’est une constatation qui ne date pas de ce matin chez moi,
je suis tout particulièrement intéressé et ému par les témoignages de transgenresc’est un difficile mais magnifique combat d’affirmation de soi, de son identité,
ceci étant dit, j’ai été très excessif en me posant la question
si cela pourrait être le signe que moi-même, quelque partbien sûr que non, c’est juste qu’avec la pratique que j’ai développée,
ce mode yin, ce plaisir vécu au féminin, cette habitude que j’ai prise durant l’action
de ne plus faire attention aux frontières de mon identité sexuelle,
eh bien, je crois que cela établit une sorte de proximité, de complicité, de lien, avec les personnes transgenres,
je me sens proche quelque part d’eux, je suis ému par ce qu’ils ou elles, vivent
et je le comprends profondément17 mars 2021 à 22 h 09 min #40589bzoParticipantau fond, une seule chose compte vraiment,
c’est savoir libérer les énergies qu’il y a au fond de soi,
le reste, ce ne sont que des variantes, d’un individu à l’autrequ’importe comment vous y arrivez à ça, l’important, c’est d’y arriver,
là, tout de vient possible, la magie peut naître, la magie peut envahir votre chairelle sera protéiforme, se manifestera de façon tellement différente, d’un personne à l’autre,
la montagne a tellement de versants17 mars 2021 à 23 h 10 min #40591bzoParticipantsi on pratique exclusivement ou du moins, très régulièrement, aneroless,
les muscles autour de l’anus et ceux du périnée,
finissent pas devenir tellement effectifs et puissantsje peux maintenir une contraction aussi longtemps que j’en ai envie,
avec autant de pression que je veuxje peux effectuer une très grande variété de contractions,
je peux leur conférer une précision chirurgicaleune fois qu’on a une maîtrise de ces muscles,
c’est comme si on manipulait un masseur de chair
mais à la forme et la taille sans cesse changeantes, s’adaptant à notre désir19 mars 2021 à 8 h 23 min #40606bzoParticipantc’est étonnant à quel point, le lendemain matin, au réveil,
chaque nouvelle journée que je suis resté, sans avoir éjaculé,
je perçois désormais avec une puissance distincte, en moi, l’augmentation de mon potentiel énergétiquequand j’avais pratiqué le massage prostatique exclusivement, dans mes premières années,
j’étais pourtant resté déjà pendant plus d’un an, ainsi,
je sentais, bien sûr, l’augmentation de mes capacités à jouir, à orgasmer,
à éprouver des sensations plus fortes et plus riches,
je me souviens bien,
mais rien de comparable à ce qui se passe maintenantà chaque matin que je me lève désormais, au premier effleurement de mes cuisses sur mes génitaux,
à la première contraction, au premier mouvement lascif dans mes hanches,
c’est une information, en fait qui monte de partout en moi, au premier signe d’activité intime,
je sens que le potentiomètre a été augmenté d’un cran,
je le perçois distinctement, c’est tellement réjouissant,
me laissant entrevoir en un éclair, toutes sortes de promesses d’ivresse encore accruela différence est que désormais mes énergies peuvent monter tellement tellement librement, sans aucune restriction,
l’optimisation aussi de leur utilisation, de leur transformation, en sensations, est telle,
que la légère automatique augmentation quotidienne de la puissance du flux grâce à l’abstinence,
est immédiatement perçue à tous les niveaux de la chaîne, en moi, avec une clarté confondante19 mars 2021 à 21 h 19 min #40618bzoParticipantune question qui revient régulièrement chez les débutants, c’est,
où faut-il se concentrer, sur la prostate? sur un point en particulier?
sur les tétons, si on se les cajolent, par exemple?depuis la perspective de mon expérience, je puis affirmer sans hésitation
qu’il faut se concentrer sur rien, mais vraiment sur rien du tout,
ne fixer aucun point en particulier, le regard dans le vide,
le vide aussi dans sa tête, autant que possible, très important, bien sûr, cela,
ainsi, on est en état de réceptivité maximale, on est ouvert, on est béant, on est à l’écoute,
prêt à s’imprégner comme une éponge, à chaque instant, de ce qui montera en nous20 mars 2021 à 0 h 06 min #40619bzoParticipantje me sens comme une grenade dégoupillée
qui peut exploser à tout moment
sauf que chez moi, rien de brutal, rien de déchirant,
c’est tout en déflagration de volupté,
tout en tentacules de soie chaude
qui se répandent en ondulant et s’infiltrant partoutla chair, dans un autre monde, n’est que plaisir,
à la recherche de l’aiguille dans la botte de foin,
à la recherche du chas dans la botte de foin,
à la recherche de l’ineffable toboggan dans la botte de foin20 mars 2021 à 1 h 50 min #40620bzoParticipantles ondes prostatiques se marient tellement divinement avec les caresses
je suis au milieu de la pièce, nu, les yeux fermés,
mes paumes sur mes seins, je les frotte lentement, je les presse,
mes hanches bougent un peu, tout lentement,
tandis que je fais monter tranquillement des petites contractions,
les ondes prostatiques sont si cristallines pour l’instant,
elles semblent danser avec les feux de paille que mes doigts allument sous la peau de mes seinsquel mix réussi, lentement, très lentement, mes mains semblent se coordonner avec ma prostate, à distance,
quel jeu sensuel, aérien, dans ma chair,
je bouge lentement sur place, mes gémissements se lancent à la ronde,
comme c’est suave, comme c’est léger, tout ça,
je ne fais pas du tout intervenir d’ondes génitales pour l’instant,
juste envie de ma prostate et de mes mains,
oh et de mes hanches, bien sûr, qu’elles ondulent lentementô ma coque, danse sur la mer,
mes voiles sont légères et gonflées de volupté,
je m’abandonne, comme je m’abandonne, au frisson du vent20 mars 2021 à 10 h 41 min #40621bzoParticipantdes couples se sont formés durant les bals hier,
ils ont tellement bien dansés ensemble, je vais les garder ainsi pour un petit temps,
voir ce qu’ils peuvent continuer de produire ensemblemains actives, mains frottantes, mains caressantes
avec prostate, uniquementondes génitales avec prostate en support, sans les mains
ondes anales avec ondes génitales et prostate en support
chaque couple à son tour sur la piste de danse, selon l’envie
ou alors par séquence plus longue, voire un seul par séance ou micro-séance,
à déterminer encore ce qui est le plus efficace, le plus intéressant,
comment la dynamique est la meilleure, les résultats plus riches -
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