Mots-clés : aneroless
- Ce sujet contient 1,446 réponses, 17 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par bzo, le il y a 1 jour et 7 heures.
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14 mars 2024 à 22 h 49 min #49146bzoParticipant
quelques corrections, encore
la finesse, la précision, la douceur soyeuse,
la longueur, l’étalement, l’élasticité,
de chaque vague, en mode yin,
évolue, progresse, jour après jour,
se bonifie comme un vieux vin
émergeant de mes caves
ma chair est comme un terrain de jeu,
il y a quelque chose de tellement libérateur,
de tellement épanouissant,
de tellement ressourçant, de tellement ineffable,
quand elles roulent dans ma chair,
un monde de nectar, s’abbat sur moi,
l’instant devient le duvet frissonnant d’un oiseau
du sens semble, aussi, être là, quelque part,
du sens d’être ici,
du sens d’être ici, dans un corps et un esprit,
ne plus être qu’un réceptacle pour une fête voluptueuse,
s’unir de tout son être,
semble de plus en plus, comme un moment de grand sens,
enveloppé dans une ivresse qui inonde les cellules
le monde vert, le monde brun, le monde bleu,
de la terre,
semble constamment vibrer,
constamment baigner dans une sorte de liesse silencieuse
mais qu’on ne percevrait que de loin, de très loin,
une grande fête, une toute grande fête,
semble se passer par là, en face de nous,
si cruellement proche
quelque chose en nous, est pourtant capable d’accéder,
se mettre au niveau, se synchroniser avec la terre,
vivre au rythme des battements silencieux de son noyau,
l’animal et l’ange, sont en nous,
association possible
le plus humble objet dans le paysage,
le silence comme un sirop,
nous engloutissant encore et encore,
l’éponge sans fond, filtrage du torrent,
consommation à la lumière, de poussières d’or
14 mars 2024 à 23 h 56 min #49147bzoParticipantmes cuisses connaissent mes couilles, ma bite, par coeur,
elles se collent les unes contre les autres,
pour un oui, pour un non,
comme des danseurs de tango qui se mettent à bouger,
ne formant plus qu’un, sous leur ballet chorégraphié par le désir,
quel festival d’effleurements, de pressions, de frottements, de toutes sortes
délicieuse moiteur d’en bas,
poils se collant les uns aux autres, en nombre,
se décollant,
peau contre peau,
douceur de la soie chaude, frottée,
douceur des rayons de la volupté dardant dans la chair,
douceur des génitaux, massés, triturés, roulés
qui semblent maintenant comme une petite pile atomique,
émettant des flots de nectar soyeux,
vers mes entrailles, ma poitrine
mon cul, ô mon très cher cul,
comme tu louvoies langoureusement,
la sensation de pénétration te donne des ailes,
mes fesses se tendent, se détendent,
ma fente s’élargit, se rétrécit,
je me cabre, je me cambre, je me penche, je me redresse,
je me dandine
la volupté me fait jouir,
elle est , juste, d’une telle qualité et d’une telle intensité,
que je ne peux m’empêcher de constater
que j’ai une impression irrésistible de jouir en continu
15 mars 2024 à 13 h 23 min #49165PetitsPlaisirs76Participantbzo écrit
mon cul, ô mon très cher cul,
comme tu louvoies langoureusement,
la sensation de pénétration te donne des ailes,
mes fesses se tendent, se détendent,
ma fente s’élargit, se rétrécit,
je me cabre, je me cambre, je me penche, je me redresse,
je me dandine
Lorsque je me suis bien chauffé, il arrive que mon cul soit dans le même état et je n’ai qu’une envie, une bite ou de quelque chose de ressemblant,
je ne cède pas toujours, ce serait trop facile la chair est si faible…
- Cette réponse a été modifiée le il y a 1 mois et 2 semaines par PetitsPlaisirs76.
16 mars 2024 à 0 h 58 min #49207bzoParticipantce qui désire en moi,
désire du masculin, désire du féminin,
désire les deux , entremêlés
les forces qui s’éveillent dans mes entrailles,
se cherchent et se trouvent toujours plus
magique transgression,
mes hanches sont larges, mon rythme est une houle,
l’horizon semble infini, en face de mon galop
je vais vers lui sans bouger, c’est lui qui se rapproche,
bientôt sa ligne qui sépare le ciel de la terre,
va me traverser,
va s’éloigner derrière
16 mars 2024 à 9 h 30 min #49209bzoParticipantl’immense pouvoir de l’imagination,
est due, pour moi, pour une raison bien simple,
c’est que pas seulement notre esprit a accès à elle,
a le pouvoir d’influer sur elle, de jouer avec elle,
mais notre corps , aussi,
notre corps , aussi,
peut jouer avec notre imagination,
les deux donc, peuvent jouer, tantôt en solo, avec elle,
tantôt peuvent l’influer, en même temps
et c’est là que cela devient vraiment intéressant
quand les deux comme dans un théatre de marionnettes,
tirent les ficelles en même temps
un des meilleurs exemples de cette double influence, en simultané,
ce sont les fantasmes,
vous vous mettez à imaginer quelque chose de bien cochon,
quelque chose de cochon de chez cochon,
quelque chose de bien tordu, de bien vicieux, de bien débridé
eh bien, votre corps va se mettre à réagir,
ayant accès directement à votre imagination, aussi,
elle va commencer à y mettre son grain de sel,
même tout un paquet taille XXL de sel
les images d’actions érotiques
que vous vous construisez dans votre imagination,
vont commencer à influer sur votre corps
ou plutôt, votre corps va se mettre à influer sur elles,
elles vont vous sembler de plus en plus vivantes, réelles,
vous semblerez les vivre de plus en plus, dans votre chair,
votre corps s’est mêlé au jeu,
va provoquer toutes sortes de réactions bien réelles en vous,
cela vous semblera de plus en plus vécu,
non plus seulement imaginé
maintenant, imaginez
que vous n’imaginez plus rien du tout avec votre esprit,
juste que vous tentez de libérer les énergies yin en vous,
vous vous caressez, vous vous laissez aller,
vous faites fi des frontières du genre de votre corps,
vous vous laissez entraîner dans vos caresses, vos mouvements, vos postures,
ils deviennent plus en plus alanguis,
une houle capiteuse, de plus en plus, fait danser votre bassin,
vous vous lâchez, vous vous laissez entraîner
miracle, vous ressentez des choses étranges,
une volupté nouvelle semble naître,
des sensation d’une richesse, d’une variété, jusqu’ici, inconnues
bientôt vous allez sentir des hanches larges, vous pousser,
des hanches larges et dansantes
qui semblent emplies d’une soie chaude, ondulante,
incroyablement douce et caressante,
vous vous sentez des seins lourds, ronds,
incroyablement réactifs au moindre toucher,
qui frissonnent comme des oiseaux dans vos paumes
et puis en bas, vous voyez votre sexe,
peut-être même complètement durci, dressé,
sous l’action de vos cuisses qui les pressent, les frottent,
pourtant vous sentez tout autre chose,
vous sentez une fente en vous,
vous la sentir vivre, vous la sentez vibrer,
vous la sentez déverser une chaleur liquide qui monte dans vos entrailles
vous la sentez délicieusement au travail,
vous sentez des va et vient en elle, des frottements, des pressions de toutes sortes,
des vagues sont générées, incroyablement soyeuses,
qui montent de plus en plus en vous, qui se répandent, se dispersent,
qui vous montent au cerveau, qui l’emplissent
qui clapotent, qui louvoient dedans
que se passe-t-il, comment tout cela est-il possible?
votre corps a envahi votre imagination,
les énergies montent, sont libérées en vous,
votre pénis génére des torrents d’ondes,
tout votre corps génère des ondes
qui se sont mises au service du féminin
que vous avez éveillé en vous
votre imagination, aussi, pour l’instant,
est au service de ce qui est en train de se passer,
vous n’imaginez pas avec votre esprit,
votre corps imagine pour vous,
dessine des seins, dessine des hanches, dessine un vagin, pour vous,
dessine dans tout votre être,
en collaboration avec tout le reste,
une volupté et des orgasmes
tout votre être travaille d’une seule pièce, vers le même but,
vous permettant de vivre, de ressentir, le mode yin,
dans toute sa splendeur
18 mars 2024 à 21 h 05 min #49308bzoParticipantmon sexe est devenu quelque chose,
de tellement totalement, sublimement, extravagant et indécent,
de l’extérieur, il n’a pas beaucoup changé,
un peu rétréci avec l’âge,
devenu plus sombre, plus rabougri
mais de l’intérieur,
si vous pouviez le voir, de l’intérieur,
ce petit pilier de la masculinité, symbole de virilité,
il semble se ramifier, fleurir, frémir, vibrer,
envahir tout l’espace existant,
offrir comme des pétales couleur rouge chair, charnues, au vent
et à tout ce qu’il transporte de remuant, de voletant qui possède un dard
imaginez ce sexe en érection
qui soit en même temps, un vagin entrouvert
dont les lèvres se développent à partir du gland,
l’enveloppant, l’entourant, le décorant,
poussant dessus comme une plante exotique
aux excroissances vibrantes, colorées, chatoyantes
qui l’élargissent, l’agrandissent, de tous les côtés
coiffe immense, fantaisiste, luxuriante,
lui donnant des parois élastiques, de la profondeur,
de la capacité à contenir, à accueillir, à réceptionner,
un vrai home pour bourdons de passage
désireux d’un peu de nectar
mon sexe est une fontaine chantante enfouie dans la chair,
je caresse avec délectation, sans me lasser, tout ce corps,
devenu si monstrueusement, mais dans le bon sens, réactif,
extension vibrante, globalisante, de mon sexe,
mon corps, hampe raidie, mon corps lèvres humides,
mon corps gland, mon corps clitoris
il y a , tantôt, une préciosité infinie, dans mes gestes,
tantôt, une telle animalité débridée,
mon cul semble respirer,
semble avoir un pouls bien à lui
comme je les chéris ces moments
où comme une puissance indépendante, autonome, énorme,
semble s’aimer à travers moi,
resplendir et me faire resplendir
j’aime à la folie, la vie, dans ces moment-là
car je sens son torrent brûlant, soyeux, épais,
comme un sperme resourçant, dans l’invisible,
s’injecter dans mes veines, comme un diamant liquide
20 mars 2024 à 10 h 29 min #49316bzoParticipantmon corps est juste parfait,
mes mains me le disent, mes mains me l’affirment,
le chant est leur baromètre
21 mars 2024 à 23 h 54 min #49336bzoParticipantj’aime sentir la femme s’éveiller en moi,
tout devient tellement capiteux,
il faut tellement peu pour déclencher le mécanisme,
juste un peu décaler les hanches, tendre les fesses,
serrer vaguement les cuisses
et c’est comme si un autre continent prenait la place,
basculement généralisé dans la soie
mes mains se posent la peau,
deux baguettes magiques
qui éveillent le troupeau joyeux des étoiles de chaleur
qui se déplacent en bande
ô ma chair, ce désir,
cette flamme tellement douce qui brûle dans chacune de mes cellules,
quel nectar de tous les instants,
le monde n’est plus qu’ondulations chaudes et lascives,
je jouis sans discontinuité de toute cette volupté,
si fine, si ciselée, si précise, si dansante,
si présente partout en moi,
de cette éruption d’orfèvrerie liquide, travaillée dans l’or
je m’abandonne, en cours de route, quelques instants,
un être de plénitude, un être complet, un être épanoui,
me remplace,
remplace toutes mes blessures, toutes mes incertitudes
somptueux, majestueux, phénix en moi,
laisse-moi me réchauffer, un instant, à tes flammes,
tes cendres s’éparpillent en voletant jusque dans les cieux,
la lumière creuse de longs tunnels éphémères, dansant dans la nuit
je me caresse lentement le sein,
comme tout s’enflamme immédiatement,
comme il est doux, comme il est malléable, élastique, soyeux,
j’entoure l’autre aussi, avec la paume en coupelle,
je les serre un peu, les presse avec douceur, avec égard,
comme tout mon corps a envie de leur répondre,
de les rejoindre,
quel joie voluptueuse partout en moi,
quelle complicité dans tout mon être,
quelle communion organique et spirituelle
23 mars 2024 à 12 h 19 min #49337bzoParticipantdimensions mystérieusement amples et élastiques,
dans l’invisible, du plaisir,
les vagues de volupté semblent créer en moi,
une sensation de pente infinie,
comme des fourmis, elles la nourrissent de partout,
viennent fusionner dedans, de partout
une pente comme un lent décollage vers le haut
quelque part, quelque chose en moi, cherche, fouille, se remue,
cherche à se tailler un chemin vers les hauteurs,
le miracle d’un pont de fortune, un moment
le miracle d’une route immense de soie mouvante, ondulante
et de toutes sortes de choses dans la chair et dans l’esprit
qui se réunissent un moment, s’entremêlant, fusionnant
libération du désir,
libération des énergies,
temps de vibrer magnifiquement,
temps de vibrer uniquement,
temps de la somptueuse incandescence
désir XXL en action, si en même temps,
homme et femme, s’entremêlant sous chaque peau
tout seul ou à plusieurs,
temps de vibrer magnifiquement,
temps de vibrer uniquement,
temps de la somptueuse incandescence
hommes entre eux, femmes entre elles,
homme et femmes entremêlés,
temps de vibrer magnifiquement,
temps de vibrer uniquement,
temps de la somptueuse incandescence
23 mars 2024 à 12 h 31 min #49338bzoParticipantdimensions mystérieusement amples et élastiques,
dans l’invisible, du plaisir,
les vagues de volupté semblent créer en moi,
une sensation de pente infinie,
comme des fourmis, elles la nourrissent de partout,
viennent fusionner dedans, de partout
une pente comme un lent décollage vers le haut
quelque part, quelque chose en moi, cherche, fouille, se remue,
cherche à se tailler un chemin vers les hauteurs,
le miracle d’un pont de fortune, un moment
le miracle d’une route immense de soie mouvante, ondulante
et de toutes sortes de choses dans la chair et dans l’esprit
qui se réunissent un moment, s’entremêlant, fusionnant
libération du désir,
libération des énergies,
temps de vibrer magnifiquement,
temps de vibrer uniquement,
temps de la somptueuse incandescence
désir XXL en action, si en même temps,
homme et femme, s’entremêlant sous chaque peau
temps de vibrer magnifiquement,
temps de vibrer uniquement,
temps de la somptueuse incandescence
hommes entre eux, femmes entre elles,
homme et femmes entremêlés,
homme tout seul, femme toute seule,
temps de vibrer magnifiquement,
temps de vibrer uniquement,
temps de la somptueuse incandescence
23 mars 2024 à 13 h 35 min #49339bzoParticipantje sculpte mon plaisir,
c’est totalement spontané
mais en même temps,
dirigé à l’extrême par le ressenti
je sculpte un vagin, je sculpte des seins, je sculpte des hanches,
je sculpte une peau avide de frottements, de pressions, d’effleurements,
je sculpte une bite dressée, enfouie,
je sculpte son va et vient,
je sculpte ses ralentissements, ses accélérations, ses changements de direction,
destinés à enflammer toujours plus,
je sculpte des fesses qui s’écartent, qui se resserrent, comme une bouche qui gémit
je sculpte des reins qui se cambrent, qui dansent, qui s’offrent,
je sculpte des mains avides d’agripper, de frotter, de presser, de titiller, de toucher,
je sculpte des caresses, oh comme je les sculpte,
avec quel soin, quelle animalité, quelle passion, quelle sophistication,
quelle rudesse, aussi, de temps à autre
le corps réuni à l’esprit,
c’est le désir libéré,
le désir qui court,
le désir qui enflamme
25 mars 2024 à 19 h 09 min #49340bzoParticipantau fond, tout cela tient avant tout,
enfin, dans ma façon de pratiquer,
à apprendre à ressentir, à percevoir,
ce qui se passe dans son corpstellement de choses y arrivent constamment
sans que nous n’y fassions vraiment attention,
tellement, tellementapprendre à ressentir, à percevoir
ce qui se passe dans son corps,
c’est apprendre à l’écouter
et à apprendre à l’écouter,
c’est à apprendre à se connecter à celui-ciquand je me mets en action,
je me connecte juste à mon corps,
et puis je libère le désir comme un animal sorti de sa cage,
je me laisse envahir par celui-ci,
je deviens son pantin, sans restriction aucune,
je me laisse entraîner par son flot,
dans tous les gestes, tous les mouvements,
toutes les actions diverses et variées, possibledevenir capable de percevoir
la moindre activité dans son être physique,
depuis l’intérieur,
c’est être au bord, déjà, d’une constante et changeante volupté,
d’une douce extase d’être dans de la chair chaude, vivante,
avec son réseau dense de nerfs prêts à entrer en action à tout moment,
de vibrer au fil des instants d’être en viecomme un doux ronronnement de chat en nous,
d’être là dans l’espace et le temps,
à nous consumer comme une chandelle vacillantetous nos gestes, tous nos mouvements,
touts nos positionnements dans l’espace,
leur évolution sans que nous y fassions attention,
tous les effleurements, le moindre contact,
le moindre petit déplacement de la moindre partie de notre corps,
la moindre petite contraction de muscle, n’importe où, dans notre être,
même le vent, les rayons du soleil, les odeurs, tout autourl’espace en trois dimensions dans lequel nous sommes plongé,
occupé comme une scène de théatre par les êtres et les objets
qui semblent débiter dans l’invisible, entre eux,
comme les dialogues d’un scénario mystérieux,
non-écrit, non-traduit, non-compréhensible
mais exprimé malgré tout, quelque parttout cela est sexuel fondamentalement
ou du moins, soyons plus précis,
a la capacité de nous émouvoir,
de nous troubler, de nous faire frémir, de fond en comble,
si on y fait attention comme il faut
si on y accorde toute l’attention que cela mérite,
si on se met dans les bonnes dispositions,
avec la bonne attitude mentale et physiquese laisser déstabiliser radicalement, désenclavé, déraciné,
ne plus avoir aucun appui, aucune frontière,
ne plus rien retenir, se laisser totalement entraîner
ne plus faire attention à aucune limite,
être prêt à s’offrir tout entièrement,
être prêt à se prendre tout entièrementnous ne sommes que circulation d’énergie,
c’est cela être en vie
et qui dit circulation d’énergie,
dit potentiel de maelstrom de sensations, d’émotions, d’extases,
à vivre à tout momentune caresse, cela peut grandir, grandir,
devenir quelque chose de géant
et moi, je peux,
ne plus être qu’une toute petite chose,
entraînée par elle, au hasard,
faisant irruption dans la cour des miraclesune hanche d’homme,
c’est fait pour abriter tout autant de volupté
que la hanche d’une femme
et son sein, tout autant de chaleur
et leur sexe est double, à l’un comme à l’autre,
à la fois fendu, profond, accueillant, élastique et souple
et aussi, capable de se redresser, gorgé de sang27 mars 2024 à 0 h 29 min #49341bzoParticipantje mets en pause la série que je regarde,
mes mains se portent sur ma poitrine,
mes hanches commencent à bouger,
je me caresse lentement
oh cette volupté,
qui m’envahit, instantanément, tellement totalement,
comme c’est bon, comme c’est libérateur,
comme c’est doux, chaud, soyeux
mon sexe, entre mes cuisses, est comme un oiseau au nid,
je sens sa chaleur dans mes cuisses
et la chaleur de mes cuisses, dans mon sexe,
un peu de pression, un peu de frottement,
une contraction, maintenant
comme c’est bon de gémir,
je me cambre, je me cabre,
ma tête se rejette en arrière,
j’enfonce un doigt derrière dans mon cul,
je le bouge tout doucement dedans,
mon petit volcan chéri aime quand je touille dedans,
il y a une éruption tout de suite vers mes entrailles,
de lave chaude, chaude, dense, dense
allons bon, je retourne vers la série,
ces interludes voluptueux,
sont comme une respiration magique de tout mon être
27 mars 2024 à 11 h 37 min #49343bzoParticipantavec les années de pratique en solo,
une des choses les plus remarquables de ce qui s’est passée en moi,
de ce qui s’est développé splendidement,
c’est la réactivité de mon corps
à quel point, il réagit au quart de tour au moindre contact,
ne fusse qu’avec les objets les plus banals,
le contact des matériaux, le métal, le bois, le verre,
pas seulement leur grain, leur consistance,
leur température, aussi
m’asseoir le cul nu sur de la pierre froide,
d’abord pendant une fraction de seconde,
il y a le désagrément de la différence de température
mais après, oh après…
je suis empli de frissons des pieds à la tête
et une envie irrésisitible de me caresser,
s’empare de moi
frotter mon cul, mon dos, mes flancs, contre du bois poncé,
me fait un de ces effets,
oh là encore,
en quelques secondes, je suis tellement émoustillé,
tellement envahi de frissons délicieux
j’ai la prostate qui bat comme un coeur, par moments,
comme un coeur en bas, tout vibrant, battant le rythme,
tam tam sauvage dans mon bassin
et tout autour qui danse, qui danse
pas seulement les contacts divers et variés,
juste mes mouvements,
par moments, rien que le fait de bouger,
provoque des vagues de plaisir en moi,
je me mets alors à chalouper du cul,
à faire monter des contractions,
mes cuisses viennent se frotter contre mes génitaux
et je suis déjà dans une autre galaxie,
frotté de tous les côtés, par des étoiles chaudes et fondantes
l’envie d’être pénétré, ah l’envie d’être pénétré
j’ai cultivé cela,
je me suis tellement laissé aller à cela,
d’abord eu peur, suis en train de devenir homosexuel?
cela me travaillait quelque part malgré mes expériences bisexuelles du passé,
là cette envie d’être pénétré , me faisait tellement basculer dans un autre monde
pas sûr que j’ai envie de recevoir une vraie bite dans la cul, cependant
maintenant je m’en rends bien compte
et cela ne me fait plus peur , un seul instant,
je me laisse aller totalement, sans rien retenir,
tout seul, je parviens tellement à vivre la pénétration par les deux bouts,
tellement à me sentir femme et en même temps, homme
mes fesses qui se resserrent qui s’écartent,
avec au milieu la petite fente, le petit tunnel sombre,
comme ils s’enflamment, quelle éruption de volupté
je marche dans mon appartement
et en même temps je me caresse
ou juste je bouge un peu le cul,
le plaisir semble là, à côté de moi,
à tout instant, prêt à m’envahir, au moindre signal
inventivité, imagination,
maîtres mots,
faire travailler son imagination,
les possibilités sont infinies,
en interactions, avec le monde qui m’entoure ou pas
apprendre à se lâcher complètement pour un oui, pour un non,
juste même pour quelques secondes,
baigner constamment dans les énergies prêtes à s’enflammer
29 mars 2024 à 1 h 17 min #49344bzoParticipantil y a des jours
où juste plonger le bout des doigts de pied dans la mer,
m’éclabousser un peu les jambes,
me suffit
d’autres jours,
j’ai besoin de m’immerger complètement,
de plonger encore et encore, de m’attarder sous la surface,
ne plus du tout sentir le rivage, non,
d’être enveloppé entièrement dans la majesté soyeuse des vagues
aujourd’hui, donc,
c’était jour de timide trempette
et encore, de temps à autre,
présence constante, pourtant , du désir
complice plus que jamais
mais en veilleuse
de temps à autre,
de petits moments de volupté, tout de même, donc,
à chaque fois, c’est tellement irréel,
ainsi, de part la raréfaction,
ces brèves irruptions dans la chair
j’en oublierai de respirer,
la beauté de la volupté est stupéfiante,
par moments, je constate,
une oeuvre d’art suprême, majeure, à consommation personnelle
qui s’est érigée d’elle-même,
un instant, qui s’installe, prend ses aises,
met sans gêne les pieds sur le canapé,
laisse tomber les cendres de son cigare, partout sur la moquette
et déjà, s’est évanoui en fumée,
avant même que j’ai pu commencer
à distinguer plus distinctement les traits du visiteur
l’illusion était parfaite, vécue de fond en comble,
les règles, comme toujours, totalement bouleversées,
le ressenti, devenu comme une norme sacrée, un instant,
un véhicule de transcendance et de pure animalité,
une respiration, de part en part, de tout mon être
29 mars 2024 à 13 h 28 min #49347PetitsPlaisirs76ParticipantLe 27 mars bzo écrit
l’envie d’être pénétré, ah l’envie d’être pénétré
j’ai cultivé cela,
je me suis tellement laissé aller à cela,
d’abord eu peur, suis en train de devenir homosexuel?
../..
pas sûr que j’ai envie de recevoir une vraie bite dans la cul, cependant
maintenant je m’en rends bien compte
et cela ne me fait plus peur , un seul instant,
Il y a peu, je me suis inséré un plug de 32 mm,
les 30 premières minutes ont été savoureuses dans le sens ou tous les nerfs étaient sollicités sans exagération,
c’était plaisant au point que je me suis mis à imaginer qu’il y avait un homme dans mon dos, en moi.
J’avais pour la première fois envie d’une sodomie,
par un homme peu membré, juste pour me remplir doucement l’anus.
Est-ce que je serais devenu homosexuel, oui dans les faits, mais réellement non puisque une expérience ne fait pas un statut définitif,et c’est toujours vers les femmes que mon regard se tourne.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 1 mois par PetitsPlaisirs76.
29 mars 2024 à 19 h 47 min #49349bzoParticipantJ’avais pour la première fois envie d’une sodomie,
par un homme peu membré, juste pour me remplir doucement l’anus.
Est-ce que je serais devenu homosexuel, oui dans les faitsde toutes façons, j’ai appris depuis
que ce n’est pas parce qu’on a envie ou qu’on aime, des bites,
dans le cul ou ailleurs,
qu’on est forcément homosexuel
et vice et versa, certains homosexuels n’aiment pas la sodomie
je ne suis pas vraiment un expert sur le sujet
mais si j’ai bien compris,
aimer les pénis et aimer les hommes,
ce n’est pas forcément synonyme,
être homosexuel, ce n’est pas juste sexuel,
cela peut être, même, pas sexuel du tout,
enfin quelque chose comme cela
30 mars 2024 à 10 h 24 min #49350bzoParticipanthier soir, j’ai joui longuement, longuement, par terre, sur mon tapis de yoga,
mes gémissements étaient d’une telle douceur, mais telle
que j’en avais l’impression que des fleurs s’envolaient depuis mon cerveau
pourtant à la fois, c’était d’une telle violence,
tellement tellurique
mais mes gémissements semblaient n’en refléter que l’autre aspect,
l’aspect délivrance, l’aspect envol tout en douceur,
comme si un ascenseur hydraulique m’emportait vers les cieux
dans mes entrailles, en tout cas, cela s’arrachait, cela se déchirait,
l’animal en moi éructait, se cabrait, faisait des bonds
mais par ma bouche, une longue et interminable plainte tellement douce,
oh quelle mélodie emplissait mes oreilles,
on aurait dit les gémissements d’une sirène
voulant couvrir le monde entier de fleurs colorées
un sacré bon moment,
cette douceur dans ma voix,
était tellement totalement irréelle,
semblait parvenir d’un autre monde,
à des années-lumière de moi-même
1 avril 2024 à 10 h 32 min #49357bzoParticipanten massage 100% prostatique, aneroless,
j’ai adopté, pour l’instant, une simplicité, un dépouillement, absolus
couché sur le dos, les jambes écartées, en losange,
avec les plantes de pied, l’une contre l’autre,
les bras le long du corps sans le toucher,
plus de titillement des tétons, plus de mouvement du bassin
juste les contractions et moi
le dialogue avec le corps,
rien que par l’intermédiaire de la prostate,
des moments de silence dans la chair,
entre chaque contraction
qui semblent leur appartenir encore
comme des silex qui s’entrechoquent,
à la recherche des précieuses étincelles
des vibrations
la chair a de plus en plus soif
que le feu prenne , que le feu se répande,
que toute la maison soit en flammes,
que cela brûle à tous les étages,
patience, patience
2 avril 2024 à 12 h 11 min #49365bzoParticipantl’amour intense, la volupté, produits,
sont comme une présence en chair et en os,
vivante, vibrante,
c’est moi et en même temps, c’est indépendant de moi
quelqu’un est tout contre moi,
je suis tout contre quelqu’un
je me caresse,
je suis caressé, je caresse,
dédoublement,
je me sens caressé par quelqu’un,
je sens que je caresse quelqu’un
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