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1 novembre 2017 à 20 h 22 min #24280bzoParticipant
se renouveler, vous avez dit se renouveler?
après des semaines sans aucune activité sexuelle,
il y a quelques jours assis devant mon ordinateur,
j’ai tout d’un coup senti des démangeaisons insistantes quelque part dans mon fondement,
en vieux loup des mers du plaisir, j’ai immédiatement reconnu l’appel du grand largeen deux temps, trois mouvements, j’ai sorti mon matériel qui prenait la poussière dans une armoire,
lubrifié ce qu’il y avait à lubrifier et vogue la galère.
Les premières pressions de mon G-Rider sur ma prostate étaient très encourageantes
mais très vite le soufflet est retombé, aussi vite qu’il s’était gonflé,
en d’autres mots, plus de vent dans mes voiles, en panne sèche, encalminéd’abord je n’avais plus la patience et même plus l’envie de m’activer, je ne suis vite rendu compte
et en plus à mon grand étonnement le G-Rider sortait à tout bout de champ,
ce qui ne m’était jamais arrivé, avant, une fois en place,
il semblait faire partie de moi et quand je l’enlevais, j’avais l’impression d’arracher une partie de moi-même.
Mais là il sortait sans cesse comme une savonnette glissante,
du coup j’ai testé avec d’anciens favoris, relegués depuis des mois , le Vice et le Prosgasm, nettement moins gros et massif que le G-Rider
et avec ceux-là le problème ne se présentait plus,
donc en quelques semaines, je suppose, le couloir non utilisé, s’est rétréci,
au point que mon fondement pour l’instant rejette le G-Rider,
mon gros joujou tout joufflu, mon favori au museau délicieusement insistant
qui savait aller farfouiller comme pas un et mettre ma prostate dans tous ses étatsJ’ai laissé tomber assez vite, les sensations du Vice ou du Progasm ne me disaient rien,
je me sentais frustré , inassouvi car malgré tout , j’avais envie de plaisir prostatique,
une masturbation ne me disait rien.Quelques heures plus tard, au lit , je me suis dit, “pourquoi pas, va pour une séance sans masseur, je n’ai rien à perdre…”.
Et quelques minutes plus tard, tout d’un coup le déclic, c’est comme si un moteur s’était mis en route, les ondes de plaisir m’ont envahi.Pas encore eu d’orgasme pour l’instant mais je suis patient, pas pressé, chaque chose en son heure,
pour l’instant je découvre mon nouveau territoire, c’est beaucoup plus fatiguant pour les muscles du périnée, de l’anus,
enfin tous ceux qui participent à l’action,
dans le yoga il y a le mula bandha, cette contraction des muscles du périnée que je pratique depuis de longues années,
cela aide beaucoup mais là pour le plaisir sans masseur, la fréquence, l’intensité et la durée des contractions, sont à un autre niveau,
donc il me faudra un certain temps pour me mettre à niveau physiquement.Cependant ces premières séances ont été assez extraordinaires, l’intensité des sensations, leur qualité surtout,
l’expression “se faire l’amour”, prend désormais encore plus de sens pour moi,
je me prends dans la salle de bain sous la douche, ruisselant, gémissant, m’écrasant contre le mur,
debout dans la cuisine j’arrête quelques instants de cuisiner,
me penche un peu en avant, écarte un peu les jambes, ferme les yeux, et applique quelques contractions, le plaisir est quasi instantané, je suis en même temps celui qui pénètre et celui qui est pénétré, les sensations sont d’une puissance inouïe, Je décrirai tout cela plus en détails.Journal d’un prostatomane II, le retour, le journal garanti sans silicone, sans plastique, sans lubrifiant,
rien que des contractions, du plaisir et des expériences à partager2 novembre 2017 à 7 h 28 min #24281bzoParticipantle relâchement est inné aux femmes,
d’instinct elles savent se laisser aller et ne plus exister
que par ce bout de chair tout tendu, congestionné de sang
qui va et qui vient en elles.Nous pouvons aussi y arriver, je crois.
L’erreur , c’est de confondre les causes et les conséquences,
ce relâchement est la conséquence d’une intense action qui doit nous occuper tout entièrement,
l’action d’être à l’écoute de notre corps, à l’affût de tout ce qui monte,
à l’affût de toutes nos sensations, à l’affût de notre instinct, à l’affût de lui laisser libre cours,
à l’affût toutes les barrières qui pourraient s’élever entre nous et notre plaisir
et d’accepter de faire le saut au moment voulu4 novembre 2017 à 2 h 16 min #24307bzoParticipantallons bon, je dois déjà me contredire, renier quelques paroles plus haut,
à savoir “le journal garanti sans silicone, sans plastique, sans lubrifiant,etc”
mais hier soir et cette nuit, j’ai ré-enfourché mon G-Rider, ma monture favorite,
mon pur-sang en silicone, mon fidèle destrier noir dont le galop, à la fois si puissant et si doux,
m’emporte vers des horizons torrides, flamboyants dont seul lui connait le chemin.Mais bon, que voulez-vous… Tant de plaisir ne se refuse pas, ce serait indécent,
une trahison envers mon corps,
mon corps qui m’appartient, sur lequel j’ai droit de vie et de mort
mais dont la seule véritable patrie est le plaisirlibertins et libertines de tous les pays, entonnez avec moi l’hymne national,
cris, ahanements et gémissements en mesure, couilles et vulves au diapason!Aux pénis, citoyens
Formons les couples
Baisons ! Baisons !
Qu’un sperme très pur
Abreuve nos sillonsBlague à part, j’ai eu une séance de près de trois heures cette nuit,
à partir d’un certain niveau d’excitation, il devient si facile de jouir,
j’en avais jamais assez, j’en voulais toujours plus, insatiableVers la fin j’ai eu un de ces fameux super O,
quand j’ai senti que quelque chose de spécial se préparait,
je me suis immobilisé, cabré, tendu comme un arc prêt à décocher sa flèche,
j’ai appuyé de toutes mes forces mon G-Rider contre ma prostate,
à partir de là, ce fut une explosion graduelle
et j’ai commencé à trembler, à avoir des convulsions,
tout mon intérieur n’était plus que vagues de chaleur s’entrechoquant, dansant de tous les côtés,
cela a bien duré deux minutes, splendidebravo et merci la bidoche,
merci du son et lumière,
j’étais aux premières loges, ai raté aucune mietteallez bonsoir,
À vous Cognacq-Jay4 novembre 2017 à 13 h 14 min #24309bzoParticipantcette nuit, après ma séance mémorable décrite juste plus haut, juste avant de me coucher
et encore ce matin au réveil une quinzaine de minutes, je me suis fait une petite séance sans masseur,
pas tant réellement pour me procurer du plaisir, enfin c’est quand même le but ultime, on est bien d’accord,
que pour m’entraîner, expérimenter, tracer ma voie dans ce territoire encore essentiellement inconnu.j’ai pu percevoir avec grande acuité comment les contractions volontaires se répandent
aux alentours dans le bassin et vers la prostate donc aussi.
C’est un mécanisme qu’il est très difficile de percevoir avec un masseur,
tant l’interaction de celui-ci avec la prostate et avec les chairs environnantes
couvrent toutes les autres.Mais si celles-ci, les contractions sans masseur et les sensations qu’elles provoquent,
deviennent notre principal facteur de plaisir, au moins le temps d’une séance
et qu’on s’emploie à les développer, à les renforcer et à les diversifier,
elles peuvent en principe (j’écris “en principe” car je n’en suis pas encore là,
je me réfère aux témoignages d’autres qui sont plus avancés dans le domaine),
devenir aussi puissantes, si pas plus que les sensations éprouvées avec masseur.Chaque contraction, donc, je la ressentai comme un caillou plus ou moins gros,
que j’aurai lancé vers la surface d’un plan d’eau,
à partir du point d’impact des ondes concentriques se formaient immédiatement,
de minuscules vaguelettes qui s’élançaient vaillamment les unes après les autres
pour se répandre brièvement aux alentoursc’était fascinant à ressentir, clairement il y a des potentialités énormes,
des mécanismes subtils sans aucune interaction extérieure,
je vais continuer à travailler dans cette voie parallèlement à mes chevauchées sauvages avec mon G-Rider
mais “the learning curve”, la courbe d’apprentissage est plus abrupte, plus ardue
qu’avec masseur, il faut s’armer de persévérance.la sensation de se faire l’amour
est très impressionnante aussi, beaucoup plus prégnante encore qu’avec masseur,
cette constante dualité de sensation, si tranchée, si précise et si forte
d’être en même temps pénétré par un sexe et de pénétré dans un sexe
est délicieuse et troublante au possible6 novembre 2017 à 0 h 55 min #24310bzoParticipantquelle douce musique aux oreilles que les gémissements de son corps!
les plaintifs s’élançant brièvement, que me fais-tu là, masseur, masseur…
plus tard les extatiques de plus en plus rauques qui n’en finissent pas (mes préférées)
ceux où l’on sent le travail, l’acharnement, la tension, la volonté de décoller,
d’autres encore, délicats et doux, émis comme des caresses vocales
et mille autres sortes, variété luxuriante,
par ma gorge, exprime ton animalité heureuse du moment,
mon corps, ma bidoche à la fête!délicieuse séance encore ce soir, une heure et demie,
des orgasmes à la pelle dans la seconde moitié et deux super O.A propos de ceux-ci, j’ai de plus en plus la conviction
qu’ils sont l’équivalent d’un jouissance avec éjaculation quelque part,
je veux dire qu’on se sent, pour parler un peu vulgairement,
les couilles complètement vidées
et on ne ressent plus aucun besoin sexuel après la séance10 novembre 2017 à 1 h 11 min #24428bzoParticipantoserai-je écrire que j’entre dans un stade de maturité de ma pratique…
ces quelques semaines d’arrêt m’ont font apparemment beaucoup de bien,
même si ma technique est restée la même,
il y a tout de même à présent des différences fondamentales.je ne brûle plus les étapes,
je fais monter le désir progressivement, je prends le temps de bâtir un socle,
une piste de décollage pour mon plaisir
et quand vient le premier orgasme, il est massif, il est dense, il fleure déjà bon le super O
qui vient désormais immanquablement plus tard couronner ma séance,
voire plusieurs si séance très longueavant j’ai écris qu’il m’arrivait déjà parfois d’éprouver un premier orgasme en moins d’une minute
et c’était vrai,
ma séance était en montagnes russes, je prenais jamais le temps de cette lente progression
qui exigeait des préliminaires patients qui permettent de mettre la machine en route durablement
et d’arriver à pleine puissance comme un immense cargo fendant les flots après un certain tempsaussi je ne fais plus tous les jours une séance,
cela devient une routine, cela banalise la pratique,
par période cela va mais si cela devient systématique durant des semaines, des mois
comme cela a été le cas avec moij’attends désormais de ressentir les petites démangeaisons, les petits chatouillis dans le fondement,
ils m’indiquent que les batteries sont rechargées
et que le tigre est prêt à rugir à nouveauactuellement cela me fait un rythme de 2,3 séances par semaine
11 novembre 2017 à 2 h 39 min #24429bzoParticipantBatman, Superman, Spiderman
mais mon préféré, c’est Prostatoman, ça c’est du super pouvoir!Daredevil, Daredecampagne, ah non celui-là il n’existe pas,
il n’y a pas de super-héros à la campagne, ils préfèrent les villes…
les petits oiseaux, les papillons, la verdure, cela les motivent pas plus que celaAi-je déjà écrit à quel point j’adore m’uriner dessus
après une séance en tête à tête avec mon masseur,
enfin je devrai plutôt écrire, tête à tête entre mon masseur et ma prostate
auquel moi, j’ai l’honneur d’assister,
de fournir la bidoche pour le barbeculLe masseur à peine éjecté donc, je referme les yeux, je me détends
et puis je fais monter lentement l’urine,
le liquide chaud se répand autour mon bas ventre, de mon sexe,
celui-ci se durcit un peu, s’arque-boute, tremblote,
la chaleur humide, maintenant que le flot est régulier,
se répand sur mon ventre en caresses sophistiquées,
atteint mon cou, mon visage quand le jet se fait plus fort brusquement,
je sors la langue pour cueillir quelques gouttes à portée de bouche
des petites flaques se sont formées ici et là,
réchauffement climatique, micro-climattoute cette zone est dans un état d’excitation maximale
après la séance avec ses orgasmes, voire son ou ses super O,
les sensations sont exacerbées,
assez identique d’une part à une éjaculation sauf qu’il y a plus de liquide émis
et que cela dure donc plus longtemps
et puis il y a les fourmillements comme de minuscules caresses
occasionnées par les gouttelettes chaudes courant sur la peau
toutes ses sensations conjuguées me font gémir et râler sans discontinuité
pendant de longues secondes encoretemps d’aller laver le matériel et la barbaque
petite parenthèse, j’utilise des protège-matelas imperméables durant mes séances,
cela me permet de bouger autant que je veux sans risque de salissure aucune
et puis après quand je m’arrose religieusement, cela ne craint rien non plus
après directement dans la machine à laver avec un programme court
et hop le tour est joué13 novembre 2017 à 0 h 46 min #24447bzoParticipantil y a dans le plaisir sexuel,
dans cette sur-combustion quelque part dans la chair
quelque chose de si miraculeusement unique, hors du temps et hors de l’espace
que les instants d’après quand tout est fini, quand tout est consommé
c’est comme si tout ce qu’on a ressenti, n’avait jamais existé,
comme si on s’était réveillé d’un rêve de la chairainsi la fois suivante, tout sera neuf encore une fois,
ce sera comme si on n’avait jamais rien ressenti de pareil
pour la énième fois14 novembre 2017 à 1 h 20 min #24474bzoParticipantla mer est formée,
tout d’un coup d’un coup de rein une vague parmi tant d’autres,
grimpe sur le dos de la plus proche, accélère,
se met à galoper de plus en plus vite au-dessus des autres vagues
comme libérée des lois qui il y a quelques instants encore lui dictaient son rythme et ses mouvementsde plus en plus écumante, de plus en plus bouillonnante, de plus en plus haute,
la déferlante a jaillit brusquement de nulle part,
s’offrant un galop effréné entre mer et ciel
avant de se disperser dans un ultime plongeon,
tournoiement de lumière et de gouttes d’eau entremêlées16 novembre 2017 à 1 h 24 min #24479bzoParticipantconcernant le relâchement.
Cette notion revient souvent liée au plaisir prostatiqueje vais un peu dire comment je vois la chose
car enfin le plaisir sexuel et prostatique en particulier,
c’est avant tout une affaire de tensions.
Tensions intimes de toutes sortes, entre deux corps comme en un, dans un seul corps comme en deux,
par moments dans les orgasmes, la tension est énorme, impression d’exploser
tel du verre soumis à trop de pression, c’est même douloureux musculairement
mais ces tensions sont positives, elles sont génératrices du plaisir.
Alors à trop vouloir se relâcher, il peut arriver qu’on défasse ces bonnes tensions aussi.
Personnellement je trouve qui si on est entièrement concentré sur ce qui se passe dans notre corps,
à l’écoute de toutes les sensations,
l’esprit totalement tourné vers l’intérieur et concentré sur le plaisir
on sera toujours relâché juste ce qu’il faut, pas plus, pas moinsle juste relâchement, ni trop, ni pas assez, cela me semble important comme notion
Par contre, sur une séance d’une heure , disons,
je serai resté au moins le tiers, voire près de la moitié à ne rien faire,
le masseur enfoncé, je me mets directement en action,
j’adore ces premières pressions du masseur contre la prostate,
des sensations de retrouvailles délicieuses, des sensations d’éveil
et de réponse immédiate de la prostate invitée au plaisir
mais par périodes, en moyenne de 5 minutes que je vais alterner avec des poses plus ou moins longues,
30 secondes, une minute, deux minutes.
Là je me relâche complètement, je me laisse aller.Typiquement une séance d’une heure va se dérouler de cette façon:
30 à 40 minutes que je qualifierai de préliminaires
avec donc des périodes d’action de 5 minutes en moyenne alternant avec des poses de 1 minute en moyenne.
Un lent crescendo où l’excitation va augmenter graduellement, le plaisir va devenirde plus en plus intense
jusqu’à avoir un premier orgasme, c’est le premier qui est le plus difficile à obtenir,
il est la porte, une fois que vous l’avez passée et si vous persévérez,
ils vont se succéder à une fréquence de plus élevée, jusqu’à culminer avec un super O vers la fin de la séancedeux parties donc, la partie des préliminaires et celle des orgasmes,
saison des moissons et saison de la cueillette.
Les périodes d’activité seront plus irrégulières durant cette deuxième partie de séance,
pourront être plus courtes, 2,3 minutes alternant des poses
ou plus longues quand l’excitation devient de plus en plus paroxystique17 novembre 2017 à 1 h 01 min #24483bzoParticipantah j’étais vraiment en roue libre par moments ce soir,
j’ai eu entre autres vers la fin cinq bonnes minutes où chaque nouvelle pression du masseur sur ma prostate,
m’arrachait des larmes,pas quelques petites gouttes, non,
cela dégoulinait, cela débordait, une vraie inondationchaque nouvelle pression sur la prostate déclenchait comme un énorme coup de piston
qui remontait à toute allure depuis mon fondement,
faisant tournoyer chaque fibre de mon être au passage,
pour venir exploser juste derrière mes yeux comme une grosse vague se fracassant contre une digue,
ces larmes, c’était de l’éjaculation quelque partc’était intense, c’était nouveau, vivement remettre cela,
creusons le sujet des super O, voyons voir jusqu’où on peut aller18 novembre 2017 à 0 h 34 min #24485bzoParticipantadeptes du “slow food”,
n’oubliez pas aussi d’adopter le “slow massaging”dans une casserole de chair bien récurée, laissez mijoter à feu doux un masseur dans son lubrifiant,
remuez lentement mais avec fantaisie et variété,
n’hésitez pas non plus à venir presser au fond de la casserole la prostate, celle-ci aime cela
et rendra de plus en plus de jus, ne vous inquiétez pas, c’est normal et même souhaitable.
N’hésitez pas non plus à presser bien fort par moments,
la prostate n’est pas une fleur de papier qui se froisse irrémédiablement au moindre contact,
ce serait plutôt une tubéreuse des profondeurs qui n’a pas froid aux yeux,
qui aime la douceur, les caresses délicates et sophistiquées
mais aussi des traitements plus rudes, plus cavaliers (genre cosaque, quoi!)quand celle-ci sera à point, prêt à vous envoyer au septième ciel,
la casserole se mettra à trembler et à remuer de plus en plus fort,
c’est aussi normal, ne vous effrayez pas, la prostate est très communicative
et sait partager avec les organes, tissus et chairs environnantes et même bien au-delà
les sensations de l’intense combustion qui l’habitetiens justement à propos de la bite, n’y touchez surtout pas,
pas bon ingrédient du tout pour la cuisine prostatiquevoilà c’est prêt, dégustez!
20 novembre 2017 à 1 h 36 min #24493bzoParticipantcela veut dire quoi l’expression “se faire l’amour”?
quand notre sexe est tout flasque, pour ainsi-dire inexistant, ne participant aucunement à l’action,
certes de temps à autre il durcit, il se dresse, il opine
mais c’est passager, anecdotiquec’est quoi cette expression “se faire l’amour”
quand on s’introduit juste un masseur en silicone dans le fondement
et qu’on le bouge interminablement avec les muscles aux alentours
pour aller chatouiller, taquiner, presser, cajoler notre prostate?c’est là que s’accomplit le petit miracle,
c’est alors que se passe un des tours de magie des plus sensationnels dont notre corps est capable,
cette glande dans les profondeurs a la capacité de transformer notre fondement
en un sexe aux millions de terminaisons nerveuses
capables de nous envoyer au septième ciel,
de nous faire gémir, râler, ahaner, hurler de plaisir pendant de longues heures éventuellementon est devenu baisable mystérieusement et on se baise
méthodiquement, allègrement, patiemment et impatiemment tout à la fois,
volcaniquement votre, silence, moteur, action!
madame est en monsieur, monsieur est en madame,
madame jouit à ne plus en finir et monsieur aussi23 novembre 2017 à 1 h 05 min #24514bzoParticipantle massage prostatique est un art martial…
comme tout art martial qui se respecte, il a son code, ses rituels, sa discipline et ses techniques,
en action, c’est une lutte amoureuse où tous les coups portés,
toutes les positions, toutes les prises, toutes les feintes,
n’ont qu’un seul but, contribuer au plaisir et nous rapprocher de l’orgasmedans un autre sujet de conversation consacré à la nouvelle gamme Trident d’Aneros,
j’ai essayé assez rapidement et de façon plutôt brouillonne
de décrire un peu en détails les points forts et les sensations assez uniques
du masseur, le Nexus G-Rider, que j’utilise depuis des mois maintenant exclusivement,
m’ayant fait ranger dans une boîte tous les autres qui étaient mes préférés avant, les Aneros Vice et ProgasmCela m’a donné l’idée ici, dans mon thread à moi,
d’essayer de synthétiser plus clairement et plus précisément
ce que devrait être le masseur idéal selon moi au jour d’aujourd’hui,
au point où j’en suis arrivé de ma trajectoire,
quelles devraient être ses qualités, ses caractéristiques de l’extrémité de sa tête jusqu’à ses butées,
en passant par sa surface , sa hampe, etcaprès cette brève introduction,
suite au premier épisode de la mini-série demain soir, consacré aux butées24 novembre 2017 à 0 h 21 min #24525bzoParticipantles butées…
bien évidemment mon sujet ne concerne que les masseurs dits “sans les mains”,
les autres , ma foi, ils ne font pas partie de mon église,
je n’ai aucun plaisir avec eux, la magie est tuée à l’instant-même
où la sensation de se faire l’amour ne commence pas à être éveillée
et avec un masseur qu’on doit manipuler avec les mains,
il n’y a pas moyenje considère trois catégories de butées,
je vais décrire les deux premières
mais il n’y a vraiment plus que la troisième catégorie
qui aujourd’hui m’intéresse en fait car ce type de butée
me semble bien supérieur aux deux autres types1) les masseurs avec une butée et une sorte de butée inversée, dite aussi poignée de manœuvre,
certains les coupent, c’est déjà un progrès, au moins on peut se touiller, se fouiller,
s’envoyer en l’air, couché sur le dos,
sans que cette poignée ne se cogne à tout bout de champs à la couche sous nous,
déséquilibrant et désorientant les mouvements du masseuron peut s’habituer à ce type de masseur, comme je suppose, un unijambiste peut s’habituer
à se déplacer que sur une jambe
mais le fait est que le mouvement est constamment en déséquilibre par la force des choses,
un seul point d’appui, mouvement toujours en biais,
on ne peut en aucune façon faire avec ces mouvements en va et vient verticaux, tout de suite beaucoup plus réalistes
et qui offrent tellement plus de possibilités de variations des angle de pressions et de frottements sur la prostate2) masseurs à deux butées type Aneros Progasm ou tout la nouvelle gamme Trident,
appelons plus simplement la double butée genre Aneros puisque seul le modèle Vice détonne,
fait exception dans leur gamme (hélas).Deux points d’appui donc mais gros problème, deux butées , chacun formant un L avec une petite boule à chaque extrémité,
peu de points de contact avec le périnée et de l’autre côté pour la seconde butée,
là aussi instabilité innée des mouvements du fait du peu de surface de contact avec la chair,
pour les contractions volontaires, constante imprécision et limitations des mouvements,
comme si on avait un masseur évoluant “sur échasses” en quelque sorte3) nous voici dans la troisième catégorie, la seule vraiment intéressante aujourd’hui à mes yeux,
la double butée type Aneros Vice ou Nexus G-Rider.Deux butées avec une légère courbure qui leur permet d’épouser
parfaitement la forme de la chair de part et d’autre de l’anus, deux butées assez larges aussi
d’où une très grande stabilité et de parfaits points d’appui
pour pouvoir faire ses contractions, produire des mouvements précis et contrôlés,
à vitesse lente comme à grande vitesse, en douceur , comme en force,
on pénètre et on va où l’on veut,
on peut appliquer toutes sortes de mouvements complexes et raffinées à notre prostate
qu’avec les autres types de masseurs on ne peut même pas imaginer,
le mouvement de pénétration est beaucoup plus réaliste,
la sensation de se faire l’amour est renforcée,
on peut aller fouiller le moindre recoin de notre prostate,
chorégraphie élaborée et virtuose toute entièrement dévolue au plaisir25 novembre 2017 à 1 h 11 min #24526bzoParticipantparlons de formes ce soir…
la hampe, d’abord, ah la hampe,
de nos jours si on jette un coup d’œil à la hampe de tout masseur qui se respecte,
on se rend vite compte qu’elles ont toutes plus ou moins la même formela hampe, ce sont des variations sur le thème des courbes et des ondulations,
la hampe, c’est un pénis et des courbes de femme tout à la fois confondus
en une tige de silicone ou de plastiqueil faut au moins cela pour que votre fondement se révèle soudainement volcan
expulsant cent mille morceaux de lave rougeoyante vers le cielconcernant la hampe, un dernier mot
méfiez-vous de tout ce qui est trop droit, trop plat ou trop rainuré,
point de salut en-dehors des courbes viriles et des gracieuses ondulations!voyons voir la tête maintenant,
cette infatigable farfouilleuse, ce groin gourmand en quête de truffe
qui va nous faire franchir toutes les frontières de la décence
en nous faisant gémir et bouger comme une femme en chaleur
alors qu’on a des poils sur la poitrine et des biscotos.Là encore et toujours règne la courbe mais des courbes moins ondulantes que celles de la hampe,
il s’agit ici de former un museau, une tête chercheuse de missile,
la surface doit être compacte, une impression de casque, tout en arrondis vertigineux et en courbes têtuesrotations, brusques têtes à queue, arabesques, chassés, piqués, pointes, déboulés,
tous les pas de danse , figures de style à la surface de votre prostate
comme si la troupe de l’Opéra de Paris au grand complet
s’y était donné rendez-vous pour une représentation endiablée25 novembre 2017 à 3 h 02 min #24527bzoParticipantmais comment se faire l’amour?
il faut se libérer de toutes les contraintes, s’affranchir de toutes les barrières,
saisis-toi de cette poitrine opulente qui s’offre à toi,
malaxe-moi ces seins sans ménagement, agace du bout des doigts ces pointes dressées,
titille-les, pince-les, descends maintenant les mains lentement le long des flancs,
sens leur courbes qui s’éveillent sous tes doigts,
sens ces hanches qui ondulent de plus en plus lascivement sous la pression de tes paumes,
enfonce en même temps d’un coup sec ce dard de substitution, ce dard de silicone, entre tes jambes écartées,
sens-le venir se presser tout contre ta prostate,
bouge-le un peu latéralement, lentement, tout lentement, tout en variant la pression,
laisse courir aussi maintenant tes doigts librement sur la peau,
sens les vagues de chaleur soulevées qui veulent les suivre au passageune partie de ton corps est devenu féminin pour l’instant
mais une autre , est plus mâle que jamais, ton pénis est en silicone,
tu prends un extraordinaire plaisir à le manipuler,
ah et tu sens bien dans ton bassin le plaisir de t’enfoncer dans un corps féminin,
et tu es de plus en plus excité de l’entendre gémir et bouger sous toieh mais attends! ce corps à qui tu donnes tellement de plaisir, que tu sens vibrer intensément sous toi
c’est aussi toi, en même temps qui jouit de se sentir pénétré, caressé,
fouillé dans ses moindres recoins par cette hampe qui ne faiblit pas une seconde dans sa résolution,
ces mains d’homme qui arpente inlassablement ta peau aussi, qui te rende fouah jouis sans honte et sans vergogne de cette dualité éveillée mystérieusement pour quelques instants,
ose, ose, ose25 novembre 2017 à 15 h 55 min #24528eveilletajoieParticipantBzo, j’ai pris grand plaisir à te lire, c’est drôle, d’une franchise qui me submerge… et d’une très belle plume !
27 novembre 2017 à 1 h 16 min #24533bzoParticipanthello WhatTimeIsLove, merci du compliment concernant ma belle plume…
la franchise, tout dire, oui c’est l’idée, ce journal, en-dehors du plaisir que j’ai à l’écrire,
me sert de miroir, me permet de faire le point et puis si en plus il peut servir à quelqu’un dans son parcours,
alors mission doublement accompliela séance qui a précédé mon dernier message “mais comment se faire l’amour?”
est à marquer pour moi d’une pierre blanche,
j’y ai vécu des découvertes décisives qui ont changé ma pratique en deux temps, trois mouvementsjusque là mes séances étaient en quelque sorte, des solos entre un instrumentiste et son instrument,
mon corps servait essentiellement de réceptacle au plaisir qui se diffusait,
rayonnant depuis mon bas-ventre, me submergeant parfois entièrementmais il y a deux jours, je ne sais pas ce qui m’a pris, une soudaine inspiration,
j’ai commencé à me caresser, j’ai persisté, je me suis impliqué, je me suis appliqué,
et tout mon corps à commencé à réagir, il y a eu un déclic,
il est devenu soudainement un acteur à part entière du massage prostatique,
tout un orchestre est désormais là, plus seulement un soliste avec son instrumentla prostate avec le masseur est toujours l’instrument principal bien sûr
mais les doigts, les mouvements du corps, les membres interviennent constamment qui concertent avec lui,
tous travaillant ensemble au gré de mon instinct
à faire monter l’intensité du plaisir à des niveaux que je n’avais jamais connus jusqu’icitout mon corps est devenu depuis ce déclic hyper sensible,
durant la séance, quand le masseur a bien mis ma prostate en action,
il suffit que je fasse courir mes doigts sur ma peau,n’importe où
et je suis parcouru de frissons de la tête aux pieds,
magique27 novembre 2017 à 10 h 23 min #24535JieffeParticipantBonjour bzo,
Je rejoins totalement WTIL (si tu permets WhatTimeIsLove que je synthét!se ton pseudo qui est un peu long à écrire 🙂 ) sur la qualité de ta plume mais aussi sur le contenu de tes textes. Je lis ton journal que je n’ai pas osé interrompre avec grand plaisir. J’ai particulièrement apprécié le dernier ‘Comment se faire l’amour’. C’est exactement ça, c’est ce que je recherche et que j’ai entre-aperçu lors de ma dernière séance (séance de reprise après un arrêt de 2 ans, mais je n’ai jamais vraiment commencé puisque je dois en être à ma 3 ou 4 ème séance). J’ai ressenti la première vague de plaisir alors que je ne faisais rien (relaxation uniquement, pas de contraction, ni volontaire, ni involontaire) en m’imaginant me faire pénétrer.
enfonce en même temps d’un coup sec ce dard de substitution, ce dard de silicone, entre tes jambes écartées,
une partie de ton corps est devenu féminin pour l’instant…ah et tu sens bien dans ton bassin le plaisir de t’enfoncer dans un corps féminin,
et tu es de plus en plus excité de l’entendre gémir et bouger sous toiJ’adore.
Il y a eu des discussions à l’époque ou j’ai commencé qui traitaient de ces sensations, féminin/ masculin dans la pratique du massage prostatique. J’essaierai de les retrouver et de vous fournir les liens.
Encore merci pour tes textes, et continue de nous faire rêver.27 novembre 2017 à 11 h 00 min #24537JieffeParticipantIl me semble que tu pourrais trouver matière à tes réflexions (féminin/ masculin) ici: https://www.nouveauxplaisirs.fr/forums/topic/lucky-son-experience-sa-basilique-du-xiieme-son-petit-joyau et ici: https://www.nouveauxplaisirs.fr/forums/topic/le-pur-plaisir-de-se-suffire-sexuellement-a-soi-meme
de mémoire, mais également sur les sujets de caresses… etc. Nous avions eu des discussions très intéressantes à mon sens avec Lucky et Hyménée sur ces sujets là.27 novembre 2017 à 19 h 13 min #24544bzoParticipanthello Jieffe, merci pour les liens, je vais plonger là-dedans ce soir-même
ceux qui découvrent la féminisation de plus en plus marquée de notre corps
le temps de la séance sous l’influence grandissante de la prostate
j’admets que cela peut être déstabilisant et même inquiétant quand on en prend conscience,
que certains peuvent être emmenés même à se poser des questions sur leur identité sexuelle,
vais-je être de plus en plus attiré par des hommes, etc?
Et ne pas oser s’engager dans cette voie, se freiner, se restreindreMais ce que l’on vit durant le massage prostatique, pour moi, c’est d’un tout autre ordre,
c’est l’occasion une fois une fois qu’on a accepté pleinement cet aspect de la pratique,
que toutes les barrières et toutes les inhibitions sont levées,
de vivre une aventure rare, une aventure unique, plus proche de pratiques tantriques que d’autres choses,
d’explorer des zones mystérieuses et lointaines aux confins de nous-même,
où sont enfoui toute la puissance et toute la formidable richesse du plaisir féminin,
comme un trésor immémorial, oublié,
à exhumer ponctuellement pour vivre des moments exceptionnels dans l’instant,
des moments de communion avec notre nature profonde28 novembre 2017 à 1 h 32 min #24546bzoParticipantje n’avais pourtant vraiment pas à me plaindre jusqu’à il y a quelques jours depuis mes débuts,
j’ai connu pas mal de super O, certains de plusieurs minutes,
des séances mémorables où les orgasmes s’enchaînaient pendant une demie heure, une heure,
parfois jusqu’à épuisement et je m’endormais tel quel,
mais aujourd’hui je me rends compte
que tout cela, c’était comme si je n’avais roulé jusqu’ici qu’en première,en deuxième ou en troisième
et là tout d’un coup j’ai découvert qu’on pouvait en quatrième et en cinquièmecolossal
je sais maintenant à quel point les mains sont un élément essentiel au plaisir prostatique,
pour que le corps en soit un acteur à part entière et non pas seulement un support et un réceptacle.
Il y a 2,3 jours il y a eu ce déclic, j’ai commencé à me caresser,
oh je me rends compte maintenant que je le faisais trop frénétiquement, trop systématiquement,
depuis j’ai appris à laisser errer mes doigts plus lentement,
en unisson aux mouvements du masseur contre ma prostate, de mes hanches qui ondulent,mes nombreux changements de position, mes membres, mes mains, le masseur,
tous s’essaient de s’écouter, se questionnent, se répondent,
l’un marque le tempo pendant quelques temps, puis l’autre,
l’un fait un solo tandis que les autres s’arrêtent quelques instants,
tout mon corps semble être devenu une chambre de résonance de ma prostate,
c’est comme si les doigts sur ma poitrine, se déplaçait directement dessus
tandis que le masseur vient se presser d’un autre côté
et que mon bassin se frotte contre elle au rythme de son chaloupement lascif,
le plaisir avant se concentrait dans mon bassin puis irradiait au fur et à mesure de plus en plus fort,
là maintenant je le ressens directement partout dans tout mon corps
comme si ma prostate était un peu partout
en plus que d’être toujours intensément vissé au milieu de mon bassin
comme un sexe humide et entrouvert28 novembre 2017 à 8 h 37 min #24548bzoParticipantles mains éveillent le corps,
le font pulser à l’unisson avec la prostate28 novembre 2017 à 12 h 10 min #24550JieffeParticipantBonjour bzo,
j’admets que cela peut être déstabilisant et même inquiétant quand on en prend conscience,
que certains peuvent être emmenés même à se poser des questions sur leur identité sexuelle,
vais-je être de plus en plus attiré par des hommes, etc?En ce qui me concerne, je n’ai aucune crainte à ce sujet. Même si je devais avoir une expérience bi, ça ne me poserait pas de problème. J’aime les femmes, leur corps, leur jouissance. Je suis intimement persuadé, et c’est un peu aussi l’esprit de ce site, qu’il faut arrêter avec les compartimentages homo, hetero, bi…etc. Le but étant de se faire plaisir, peu importe la manière du moment que tout le monde est consentant. En vertu de quoi devrions nous nous limiter à une pratique particulière? Le sexe est un des rares plaisirs dont nous pouvons abuser sans risques, en comparaison à l’alcool, la nourriture, le tabac…. Reste la question du sida, mais elle n’est pas liée à l’abondance de la pratique. Et cet abus est possible en tant qu’hétéro, homo, bi ou tout ce que l’on veut.
Si l’on devient plus attiré par les hommes, faisons l’amour avec des hommes…
Pour revenir au sujet de la féminité, ou plutôt de l’orgasme féminin, il m’a toujours fasciné. Je suis hypnotisé lorsque je vois une femme jouir. J’en suis même jaloux. Souvent, la femme est plus passive que l’homme, couchée sur le dos, offerte, elle reçoit et semble complètement s’abandonner à son plaisir. Son corps entier devient un organe de plaisir, c’est ce que tu sembles ressentir aujourd’hui, et c’est formidable. J’aime cette image, cette puissance dont elle semble submergée. C’est ce vers quoi je tends, ce qui me motive, ce que j’ai envie de vivre.
Je pense que nous avons à apprendre, nous autres hommes, à faire de notre corps un organe sexuel duquel peut se dégager une formidable énergie de plaisir. Lorsque nous faisons l’amour de façon classique, nous sommes focalisés sur notre queue, tout notre esprit est là, dans quelques centimètres de chair. Nous ne sommes pas programmés pour ressentir du plaisir ailleurs qu’à cet endroit là, et c’est très dommage, parce que c’est possible, et grandement plus satisfaisant.
De la même façon, et pour parler de mon expérience qui je pense est la même que la votre, lorsque je fais l’amour, il me faut avouer que je ne ressens pas de plaisir particulier jusqu’au moment de l’éjaculation. Alors le plaisir monte très rapidement et explose, et c’est fini. Je n’ai pas l’impression qu’il en soit de même pour nos congénères féminines. Il semblerait qu’elles éprouvent du plaisir de façon plus ou moins intense dès la pénétration (à quelque chose près) jusqu’à la jouissance finale. Et bien c’est ce que j’ai pu entrevoir avec l’utilisation de l’Aneros. Je ne connais pas encore les orgasmes, les super O’ etc, mais ce que j’ai pu ressentir pour le moment est engageant. Un petit moment après l’insertion, je ressens déjà des sensations agréables, qui ne me portent pas au 7ème ciel, mais qui sont très agréables. Bien plus satisfaisantes que le frottement de mon pénis dans un vagin (je ne parle pas de la jouissance qui suit, mais juste les premiers va et vients avant l’éjaculation). Les vagues de plaisir que j’ai pu ressentir ensuite (je n’ai fait qu’une séance après deux ou trois premiers essais il y a deux ans, je suis donc un grand débutant) n’étaient pas vraiment localisées au niveau de ma prostate, même si je pouvais deviner qu’elles provenaient de là, mais s’étendaient sur une grande partie de mon corps, et j’ai senti naturellement le désir de me caresser. Je me suis même surpris à me caresser les seins comme les femmes peuvent le faire lorsqu’elles éprouvent du plaisir.
Pour résumer, oui, je pense que l’homme est une femme qui s’ignore, et qu’il est de son intérêt de la découvrir.
Bon cheminement bzo.28 novembre 2017 à 21 h 45 min #24551bzoParticipant“l’homme est une femme qui s’ignore”,
je suis assez d’accord avec toi, cela devient de plus en plus évident pour moi
au fur et à mesure que j’évolue dans ma pratiqueet le plaisir, oui désormais je le ressens dès l’insertion du masseur dans tout mon corps,
de la tête aux pieds, plus seulement au cours des orgasmes et des super O,
c’est comme une propagation, une diffusion instantanée des sensations à l’entièreté du corps
dès que les mains entrent en action en coordination avec les contractions du masseur.
Mieux, c’est d’une intensité maximale quasi immédiatement,
alors qu’avant (il y a quelques jours à peine) il me fallait une demie à trois quart d’heure de préliminaires
pour arriver à la même intensitécette féminisation du corps durant la séance, j’en ai pris conscience peu à peu,
elle m’a étonné d’abord, on est timide dans un premier temps
face à quelque chose de si puissamment nouveau et en apparence étranger à notre nature
et c’est normal
mais depuis je ne cesse d’être émerveillé et fasciné jour après jour,
c’est tellement mystérieux que nous ayons cela en nous,
j’explore cette voie avec gourmandise, curiosité et totale confiance
car en plus de l’extraordinaire plaisir ressenti au cours de la séance,
après, c’est un bien-être olympien, une sensation d’équilibre et d’apaisement profonds
qui m’habitent,
une impression aussi d’avoir vécu une aventure hors du commun,
une exploration au goût d’illimité29 novembre 2017 à 1 h 21 min #24552bzoParticipantmes mains, les contractions volontaires avec le masseur,
c’est tout ce qu’il y a de mâle en moi pour l’instant,
tout le reste n’est plus que chair ouverte sur l’océanje me suis éloigné de tout, les berges sont loin,
une soie en furie sous mon visage,
un tam-tam soyeux dans mes veines,
les yeux ouverts, les yeux grand ouverts
mais ne voyant plus rien d’autre que les éclairs qui montent30 novembre 2017 à 8 h 33 min #24557bzoParticipantpff hier soir pendant près d’une heure, j’ai composé un long texte
mais après avoir cliqué sur “envoyer”, m’étant pas rendu compte que je n’étais plus connecté avec mon pseudo,
tout a été perdu, je fulminaisla fenêtre “répondre à” devrait être désactivé ou au moins le bouton “envoyer”
quand on n’est plus connecté, cela éviterait ce genre de mésaventure30 novembre 2017 à 10 h 19 min #24558AndranerosParticipantLe fichier que vous recevez à la suite de la requête émise par votre navigateur et qu’il affiche comme une page du site n’est pas une application active capable de prendre le contrôle de votre connection et de vous informer de son état. Pour cela il faudrait que NXPL fonctionne à la manière d’un logiciel de communication ce qu’il n’est pas.
C’est pourquoi, après avoir vécu les mêmes désagréments, quand j’écris un texte qui dépasse trois lignes, j’utilise toujours un éditeur de texte qui conserve le contenu de mon message après que je l’ai recopié dans la fenêtre “répondre” de NXPL.
Bon cheminement @bzo.
1 décembre 2017 à 0 h 39 min #24564bzoParticipantplus haut,j’écrivais des choses du genre :
mes mains, les contractions volontaires avec le masseur,
c’est tout ce qu’il y a de mâle en moiforce est de constater que cela devait être sans doute encore quelque stupide fierté machiste
qui s’exprimait en moi, qui me faisait croire que c’était le mâle en moi
qui bougeait mes mains et le masseur pour me procurer le plaisir,
alors qu’en fait aujourd’hui je me suis bien rendu compte qu’il n’en était rien,
que durant la séance il n’y avait plus une once de mâle en moi,
juste une femme se caressant, bougeant lascivement et se donnant du plaisir
avec une sorte de dildo bizarroïde, de forme ondulante et plutôt petit, enfoncé entre ses jambesenfin quand j’écris qu’il y avait juste une femme,
c’est faire peu de cas du sorte de petit miracle qui s’accomplit là,
d’un mystère à l’oeuvre car il s’agit vraiment d’une prise de possession de l’intérieur,
d’un changement d’identité sexuelle le temps de la séancemystère à l’oeuvre mais en même temps finalement c’est assez simple,
vous aguichez votre prostate, celle-ci va éveiller une femme enfouie en vous,
coulée dans vos fondements comme un volcan semblant éteint depuis toujours.Vous, votre boulot consiste au fil des jours et des séances
à la laisser prendre de plus en plus les commande de votre corps,
cela ne se fait pas en une fois, je sais de quoi je parle,
mais une fois que vous y arrivez, c’est open bar -
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