Mots-clés : mon amour, plaisir androgyne, prostate
- Ce sujet contient 738 réponses, 14 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
bzo, le il y a 3 années et 10 mois.
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- 16 janvier 2019 à 6 h 32 min #32658
Epicture
ParticipantJe n’ai jamais éliminé totalement la manipulation des parties genitales de ma pratique. Pour ne pas troubler trop les prostatonautes qui me lisent je n’en fait pas trop etat.
Il y a un seuil. Un seuil au delà duquel les sensations basculent dans un autre univers, que tu nommerais masculin et je suis d’accord. En dessous dece seuil, les sensations sont tout à fait différentes, et beauxoup plus féminines. Ce que jadore faire, en cours de mes sessions, c’est franchir ce seuil, et revenir en arrière. Encore et encore.
Je me tiens le plus près possible de cet espace minuscule, cette frontière qui en même temps résonne comme un passage, dans une troisieme dimension du plaisir. Pour moi ca se localise dans la poitrine.
Mais je ne pourrais affirmer qu’il est possible de passer de l’autre côté. Alors parfois je bascule définitivement en mode masculin, et je profite des orgasmes secs jusqu’au super T, ou je me maintien dans la zone féminine et profite de cette houle vibrante qui envahi tout mon corps a chaque flux et reflux. Quel que soit mon choix, je me suis un peu plus rapproché de ce passage, et mon plaisir est indescriptible. Je peux parfois tout arrêter, et rester dans un etat de volupté, immobile, totalement sensitif. Mais je n’ai pas encore été emporté par un Tsunami.
Il faut distinguer dans les parties genitales le gland. C’est le gland qui ecrase le reste. Mais routes les autres parties parricipent de la montée du plaisir, en particulier pour moi le dessous de la verge.
Bises @bzo16 janvier 2019 à 10 h 22 min #32660bzo
ParticipantIl faut distinguer dans les parties genitales le gland. C’est le gland qui ecrase le reste. Mais routes les autres parties parricipent de la montée du plaisir, en particulier pour moi le dessous de la verge.
pour moi, c’est plutôt une question de type de contact avec mes parties,
avec mes cuisses il n’y a aucun problème, ils accompagne et fortifient les sensations de mon plaisir au féminin,
mon sexe, mes couilles deviennent une véritables petite usine
à produire un nectar ineffable qui renforce les sensations des caresses,
des vagues de douceur chaude, frissonnante, une volupté délicieuse et constante
additionnée au corps en mode liane lascive et aux caresses
qui forment mon miel de chaque instant
qui sera en mode dialogue concertant avec les contractions,
les mouvements de va et vient ou les doigts dans mon A-pussyle gland en fait, je ne le touche jamais, en tout cas avec les doigts,
c’est plutôt la base de la hampe, les couilles,
je préfère nettement, j’ai même jamais vraiment essayé, faudra que j’essaie une fois,
au moins pour voir pourquoi cela ne me parle pas du toutje perçois bien ton jeu à cette limite entre ondes masculines, et ondes féminines,
personnellement il m’intéresse moins,
pas du tout en fait,
les contacts avec mes parties génitales ne m’intéressent
que dans la mesure où je peux les intégrer à mon plaisir au féminin, ce que j’appelle mon plaisir au féminin
quand ils prennent trop le pas, les ondes mâles,
cela devient vite moins fin, moins riche, moins varié,
moins cette sensation d’harmonie sauvage, d’harmonie chantante
dans tout le corps16 janvier 2019 à 11 h 09 min #32661bzo
Participantne tiens pas compte de ce texte au-dessus,je n’ai pas assez réfléchi, il est trop machinal,
j’écrirais quelque chose de plus approprié, de plus précis, plus tard16 janvier 2019 à 14 h 14 min #32663Epicture
Participant@bzo
Au contraire, ces propos écris à la volée montrent clairement ta passion de la liberté. Tu ne veux pas te laisser enfermer dans un modèle de pratique et tu te laisses toujours la possibilité d’évoluer.
Je comprends bien que le contact de tes doigts avec les parties génitales conduisent à des sensations masculines qui prennent trop le pas sur celles que tu nommes féminines. Mais justement, entre les unes et les autres, il y a un seuil de basculement que la stimulation du gland permet de passer. Pour moi, dans ma pratique, il s’agit de s’exercer à rester juste en dessous de ce seuil. Rester dans la zone féminine, mais en s’approchant au plus près de la zone masculine. C’est à cet endroit que pour moi les sensations sont les plus délicieuses. Mais il ne s’agit que de ma pratique, je ne t’engage pas à faire quoi que ce soit, je te fait part de mon expérience pour alimenter ton questionnement sur ce point particulier de la stimulation ou pas des parties génitales.
Bon cheminement @bzo16 janvier 2019 à 18 h 34 min #32666bzo
Participantmoi j’ai une autre optique,
il y a beaucoup de similitude dans nos pratiques sans doute,
un peu comme si en cuisine, on utilisait plus ou moins les mêmes ingrédients
mais pas dans les mêmes proportions
et au final on obtient un plat différent,
assez différentnon, moi, ces ondes mâles ne m’intéressent que dans la mesure
où je peux les intégrer dans ma pratique
qui est exclusivement orientée plaisir au féminin, enfin ce que je nomme ainsimais à partir du moment où je ne parviens plus à créer cette synergie
entre les sensations éveillées par les différents acteurs de mon plaisir,
cela ne m’intéresse plus trop,
même si dans l’instant, ce sont des sensations très puissantes
et qui continuent à être vécues au féminin chez moi
car je me suis conditionné ainsimais il ne faut pas que cela déséquilibre tout,
or cela a toujours été le cas chez moi avec des contacts directs sans retenue,
ces excès d’ondes mâles sont ressentis
comme des moments de pénétration dans mon A-pussy tout à fait délicieux, enivrants,
c’est très puissant, assez irrésistible,
je décolle au quart de tour, je suis arraché, catapulté, tout ce qu’on veut
c’est agréablement pendant un quart d’heure
mais il y a peu de progression
et comme je l’ai dit, la sensation d’harmonie, d’épanouissement de la chair,
ne sont plus làpar contre pour l’instant j’obtiens des résultats très intéressants
en me restreignant rien qu’à des effleurements,
de vagues attouchements tout légers,
ainsi j’ai la sensation d’avoir juste ce qu’il faut comme ondes mâles éveillées par les doigts
pour endiabler la séance
tout en gardant toutes les qualités que j’ai déjà maintes fois décrites
des séances entièrement dépourvues de contacts entre mes mains et mes partiesbon cheminement à toi aussi, @epicture
16 janvier 2019 à 23 h 05 min #32668bzo
Participantune première séance ce soir,
une bonne demie heure,
10 premières minutes avec des effleurements légers en mouvement de mes génitaux,
comme des caresses mais à peine effleurant
puis dix minutes grosso modo sans aucun contact
et enfin les dix dernières minutes avec des contacts à nouveau
mais légèrement plus appuyés, cependant plus statiques, immobiles en fait,
la deuxième et la troisième parties ont été les plus réussiessurtout vers la fin, je me suis senti comme un arbre,
un arbre parcouru de sève,
un arbre parcouru de sève dense, de sève sexuelle,
de la sève dense, sexuelle, partout dans les branches
des branches comme des bras d’amour
s’agitant lentement, s’agitant langoureusement, dans le vent,
cherchant à attraper le soleil,
cherchant à attraper les nuages,
chérissant les oiseaux18 janvier 2019 à 23 h 01 min #32693bzo
Participantà la sortie d’une tellement délicieuse séance,
comme ce plaisir est riche, comme ce plaisir est suave, comme ce plaisir est dense,
comme ce plaisir a planté ses griffes loin en moiai encore passé un cap, un cap important,
ça, c’est ma récompense, d’expérimenter sans relâche,
c’est vraiment devenu une seconde nature, aucune routine,
je grimpe, je grimpe, je monte
ou alors je ne monte pas? je ne grimpe pas?
c’est de plus en plus riche en tout cas, de plus en plus épanouissant en tout casje crois vraiment que c’est ce qui est le plus caractéristique de mon plaisir,
cette sensation d’épanouissement dans l’instant,
cette sensation de plénitude dans l’instant,
un orgasme calme, comme si toute ma séance n’était plus qu’un long orgasme calme
mais en même temps tellement puissant, tellement irrésistible,
je me sens emporté comme un fétu de pailleces vagues de volupté qui m’entraînent, c’est la grande houle du large,
la démesure est calme par ici, loin des côtes,
elle est la norme de chaque instant, naviguer sur les abysses,
naviguer sur le dos des abysses19 janvier 2019 à 9 h 44 min #32694bzo
Participantla femme que tu aurais pu être, la femme que tu aurais pu devenir,
la femme qui n’est jamais née,
tout le matériau pour la construire, pour la développer,
à ta naissance, a été rangé quelque part au fond de toioh certes le chemin est long, très long
entre les caves aux tréfonds de toi
où ces petites graines avec des instructions pour le développement,
ont été remisées, où elles prennent la poussière
et puis la piste de danse au milieu de ta chair, au milieu de ton sang,
la piste de danse qui peut faire vibrer tout ton corps,
la piste de danse qui peut faire vibrer tout ton corps de mille magiesil faut creuser, creuser et encore creuser,
égyptologue, archéologue, tu recherches un chapeau,
le chapeau de Houdini le magicien, enfoui au fond de ta chairton corps régi par des règles qui semblaient à peu près aller de soi,
mais le territoire en fait, n’est fixé que par tous les miroirs qui te sont tendus,
tu cherches, tu cherches désormais comment tu pourrais sortir des clous,
au moins momentanément,
en quête d’un plaisir plus grand,
en quête de sensations plus puissantes, plus riches
qui puissent te faire décoller, qui puissent te faire vibrer des pieds à la tête,
qui puissent te faire goûter au ciel,
à un vrai ciel en toi,
un ciel sans limites au-dessus de territoires inconnus à exploreril y a un chapeau de Houdini enfoui quelque part au fond dans ta chair,
ces petites graines d’où auraient pu surgir lentement au fil des jours une femme,
tombe un jour dessus par hasard,
caresse le bord du haut de forme lentement, ne perd pas patience, les rouages sont un peu grippés,
et voilà déjà tout un lapin qui surgit, certes un peu poussif au début,
il faut bien commencerretourne-y, retourne-y nuit après nuit, dans la cave,
grandis, apprends à distinguer dans l’obscurité, apprend, apprends,
tu t’es muni d’une baguette de magicien dans ta chair,
apprends à cajoler le chapeau, apprends à jouer avec,
touche ses bords, frotte ses bords, sens comme il se met à vibrer directement,
comme il se met à vibrer de plus en plus fort au fil des jourset ne voilà t-il pas déjà tout un bestiaire magnifique qui prend vie,
mille animaux de légende qui apparaissent de nulle part, qui se répandent dans ta chair
qui bondissent à toute allure de l’obscure orifice du haut de forme
dont tu cajoles les bords, dont tu frottes les bords inlassablement
pour faire naître la magiemille troubles délicieux t’attendent, mille sortilèges,
cherche et crois,
cherche et crois en toi,
cherche et crois en toi et écoute-toi,
cherche et crois toujours plus en tes pouvoirs,
laisse-les monter, laisse-les sortir du chapeau, les animaux magnifiques, les animaux à fourrures soyeusesun autre toi t’attend au fond de toi,
prêt à vibrer avec toi, prêt à flamboyer avec toi,
prêt à communier avec toi, frère et sœur vous êtes, tu es né, elle pas,
elle et toi ensemble, vous avez pouvoirs de vie et de petite mort illimités19 janvier 2019 à 21 h 36 min #32698bzo
Participantc’est la nuit étoilée de Van Gogh dans mes veines,
chaleur dense,
chaleur dense habitée,
chaleur dense habitée de frissons lumineux,
chaleur dense habitée de tournoiements soyeux,
fourmillement d’étoiles dans le ciel nocturne de mes veines20 janvier 2019 à 11 h 42 min #32699bzo
Participantje sors d’une séance
j’aime tellement cette sensation qui est quasi perpétuellement là d’être en apprentissage,
d’être en apprentissage amoureux,
d’être en apprentissage amoureusement,
d’être à la découverte des secrets les plus intimes de mon propre corps,
pour reprendre une expression que j’ai déjà utilisée,
d’être sur les bancs de l’école de l’amour
prenant des cours, apprenant des leçons,découvrant de nouvelles choses,
m’enthousiasmant, m’émerveillant21 janvier 2019 à 23 h 52 min #32717bzo
Participantoptimiser son immobilité,
optimiser ses sorties de l’immobilité,
deux phases délicieusement complémentaires
qui alternent l’action visible, l’action extérieure
et puis l’action intérieure, l’action partie immergée de l’icebergje me mets à bouger, je sors souplement de l’immobilité,
j’ai envie de sentir la volupté couler en moi,
des courbes frissonnantes, langoureuses, parcourir ma chair,
je me mets en mode liane lascive,
mes cuisses se frottent tantôt ardemment, tantôt tendrement, contre mes couilles, mon sexe,
mes mains vont et viennent, pressent mes seins,
parcourent mes flancs, effleurent, frottent,
je continue ainsi pendant de longues secondes , gémissant de plus en plus,
de plus en plus empli d’un nectar dense, chaud, soyeuxje me fige net, je me fige net pour la contraction qui s’annonce,
qui commence à se former, qui commence à remonter,
voluptueux coups de clairons partout dans la chair de mon bassin,
je commence à travailler la contraction, je joue avec,
je presse, je relâche, je presse à nouveau, toutes sortes de petits effets délicieux,
en même temps je plonge en moi-même,
je plonge en moi-même à la poursuite du dauphin
il va vers les profondeurs, je lui ai saisi l’aileron, je glisse, je suis devenu léger, je file
cela devient de plus en plus dense autour de moi, de plus en plus chaud,
la vie semble se concentrer de plus en plus,
je suis en train de vivre de très longs instants, de plus en plus longs,
ils semblent sans fin maintenant
la densité semble avoir presque arrêté le temps,
comme s’il tournait au ralenti, de plus en plus au ralentiquel aquarium sublime dans les profondeurs,
comme j’aime faire partie de cette faune et de cette flore dans mes abysses,
je sens ma chair partout tout autour,
l’impression d’être dans un dédale de cavernes immergées, en plongée,
explorant paresseusement des cavités au fil des courants
comme une algue marine détachée dansant lentement au fil de l’eau,
des signes mystérieux semblent se dessiner parfois dans l’obscurité de mon sang,
comme entrevus un instant dans l’éblouissement d’un éclair de plaisir
mais déjà les courants m’emportent plus loin de-ci de-là langoureusement,
jamais le temps de déchiffrer
mais y a-t-il seulement quelque chose à déchiffrer?
quelque chose d’autre à déchiffrer sinon que de vivre
la grâce et la magie de ces instants offerts à ma chair?22 janvier 2019 à 17 h 00 min #32719lighteningbolto
ParticipantMon cher @bzo, vous etes un poete 😉
Encore une fois tu nous fais rêver de sommet de plus en plus haut!23 janvier 2019 à 12 h 51 min #32730bzo
Participantce que je préfère tout de même comme contact des doigts avec mes parties,
c’est quand les doigts sont posés, pressant sur mon pubis à la base de la hampe,
touchant légèrement celle-cije vais tirer plus ou moins fort le pubis vers l’arrière avec les doigts enfoncés plus ou moins dans la peau,
tout mon appareil, couilles, sexe, est tiré aussi vers l’arrière,
mise plus ou moins en tension ainsi par la traction des doigts vers l’arrière
en même temps, je commence des contractions lentement, puissamment,
les sensations sont tellement irrésistibles, puissantes, ainsi,
jouant sur la longueur et la vigueur de la contraction,
variant les effets comme si j’étais engagé dans une pénétrationj’aime aussi les contacts par “accident”, souvent le gland,
je le cogne par inadvertance,
à force de laisser mes doigts roder dans la région,
ces contacts fugaces provoquent comme une décharge électrique dans tout le corps
que je prolonge par quelques contractions plus vigoureuses, plus appuyées,
qui accentuent encore le décollage dans l’instantla main sur le périnée, bien à plat, une partie de la paume touchant les bourses,
un bout de doigt effleurant l’entrée de mon A-pussy,
tantôt s’enfonçant légèrement, tantôt juste recouvrant celle-ci ,
ainsi de tranquilles contractions infusant de la vie à l’ensemble,
tout le bassin bientôt est en feu,
irradiant dans tout le corps d’ondes puissantesje reviens sur ma “philosophie” des contacts avec les parties génitales
qui, en principe, sont bannies de la pratique prostatique
et en effet on ne devrait pas trop en user
tant qu’on a pas acquis une forte maîtrise pour éveiller la prostatele type de contacts que je prône donc, cela n’a rien à voir avec la masturbation,
on ne cherche pas à éveiller le même type de plaisir ,
on veut des ondes sexuelles mâles, en quantité
on veut les mêler aux vibrations de la prostate
plus tout ce que le reste du corps, caresses, corps en mode liane lascive, produisent,
on veut que tout cela forme un flux puissant et homogène
qui nous envoie au septième ciel durablementquand vous y arrivez, votre sexe la plupart du temps, reste bien au repos
malgré de nombreux attouchements
et un flux constant massif d’ondes sexuelles mâlesil faut bouger la main le moins possible une fois que vous êtes au contact,
comme je l’ai déjà écrit,
ce que l’on doit parvenir à ressentir, ce que l’on doit rechercher,
c’st un effet fiche qui a été enfoncée dans une prise,
vos doigts sont la fiche mâle, une fois que vous êtes en contact, même légèrement,
vous êtes enfoncé dans la prise, les ondes sexuelles mâles tout de suite devraient affluer,
n’oubliez pas les contractions,
toujours synchroniser toutes ces actions à des contractions,
les contractions sont votre baguette magique touchant le chapeau
pour faire sortir le lapin qui va vous permettre de dévaler le tunnel vers le pays des merveillesau contraire les mouvements, dérangent ce flux d’ondes éveillé,
vont changer sa nature, si vous effectuez des mouvements de type caresse,
ce flux va se changer en sensations péniennes , pour reprendre une expression d’ @epicture,
ce n’est plus exploitable de la même façon,
il n’y aura plus une synergie qui va se produire avec les autres types d’ondes
et former un flux homogènevotre sexe aussi va avoir tendance à se raidir,
continuez ainsi et assez rapidement vous arriverez à l’éjaculation,
alors qu’avec l’autre manière décrite plus haut,
vous pouvez continuer pendant des heures même à produire des quantités massives d’ondes sexuelles mâles
sans que votre sexe ne prenne l’ombre d’un raidissement26 janvier 2019 à 10 h 57 min #32745bzo
Participantce matin je me suis éveillé assez tôt,
m’étant couché aussi plus tôt, vers minuit, étant mort de fatigue,
suis resté au lit, bien au chaud sous la couverture
et bien sûr assez vite des idées grivoises bien à moi, me sont venues,
m’ont assailli généreusement,
des titillements dans le fondement, mon A-pussy qui me grattouillait, qui me chatouillait,
bref je m’y suis mis avec gourmandise, je m’y suis avec délectationce fut une séance longue, une séance d’entraînement
pour reprendre le terme et le concept de notre cher @andraneros national
je suis toujours occupé avec la même chose en fait,
quand je remets en question encore certaines parties de ma pratique,
les contacts des mains avec les parties génitaleseh oui, encore, me direz-vous, la question n’est toujours pas réglée
et je la remettrai sur le tapis autant de temps qu’il le faudrade quoi s’agit-il? plutôt qu’une explication technique laborieuse
qui essaie de décrire le problème pour la énième fois,
je vais user de quelque imageimaginez mon petit avion, mon petit monoplace pétaradant qui a décollé,
qui vole à 200 mètres d’altitude, aucun contact des doigts pour l’instant avec les parties,
la progression, le gain d’altitude est régulier, constant mais assez lent,
200 mètres, puis 210 puis 220 , etcet toujours en moi, faisant partie du terreau de mes sensations,
celle d’un ciel illimité est au-dessus de moi
et que si je suis suffisamment patient et appliqué,
la progression peut n’avoir aucune limite,
220 mètres d’altitude pour l’instant
mais dans une demie heure je pourrai être à 2500 mètres
et dans une heure à 5000, etcmais voilà que je perds patience, une brusque envie alors que je suis à 250 mètres,
de me retrouver soudainement à 2500 mètres,
mes doigts descendent, commencent à frotter mon pubis
et viennent se placer à la base de mon sexe flasque, contre la hampe
restent là en place, pressant et tirant un peu vers l’arrière
pour créer de la tensionje me mets à effectuer de lentes et vigoureuses contractions,
façon pénétration solide, engageant bien tout le bassin,
façon bûcheron attentionné mais bûcheron tout de mêmelà directement je me retrouve à 2500 mètres d’altitude,
euphorie généralisée dans le cockpit, je crie, je gémis , j’en peux plus,
cela va durer 10mn, 15 minutes
mais après une fois que je me suis habitué aux 2500 mètres d’altitude,
je cherche de nouveau à progresser vers le haut
et c’est là que cela va coincer,
je semble plafonner,
il y a bien des orgasmes, tout à fait délicieux et explosif
mais ce sont des soupapes qui sautent très momentanément,
après je retrouve plus ou moins la même altitude
qui semble aussi désormais et de plus en plus lourdement ressenti,
comme un plafond,
un plafond atteintvoilà , grosso modo,
comment je le visdonc revenons-en à ce matin,
j’ai cherché une alternative viable,
j’ai trouvé une piste intéressante que j’explore depuis avec des résultats intéressantsje privilégie désormais totalement pour l’instant,
l’élan vital ,l’instinct animal, le moi animal, la spontanéité de la chairj’ai déjà évoqué ce sujet, parfois très intensivement
mais je me rends compte que jusqu’ici,
ce n’est que momentanément que je le laissais prendre les commandes complètement,
la plupart du temps, j’étais en mode direction assistée,
le corps dirigeait l’action mais mon moi pensant veillait quelque part au grain
et reprenait régulièrement la direction des opérations pour changer ceci, pour changer celamais là, je lui ai laissé les commandes totalement, sans aucune interférence, même légère,
c’est assez fascinant à vivre dans l’instant,
comme si on bougeait sans aucune influence , même minime sur nos gestes, nos actions,
quand le moi pensant se remet un instant en activité,
j’ai l’impression d’être ballotté dans ma cabine, qu’autour de moi une machinerie
qui n’a pas besoin de moi, est en action
et je me laisse aller très rapidement à nouveau, juste à vivre mes sensations dans l’instant
et à suivre quelque part totalement fasciné
ce corps qui semble se mouvoir sans moi, qui semble s’activer sans moi,
n’en faire qu’à sa tête,
je le laisse faire ce qu’il veut,
il veut toucher le sexe, le presser, le frotter ou pas, il fait ce qu’il veut,
il est le patron, c’est lui le boss, je me suis soumis entièrement à sa volontépour l’instant, cela donne des résultats très excitants, très puissants
on va voir où cela me mène27 janvier 2019 à 11 h 55 min #32752bzo
Participantcourte séance d’une demie heure, j’en sors à l’instant,
me fais l’effet d’être encore tout trempé de l’intérieur
tant de délicieux embruns ont balayé mon pont,
tant de délicieux embruns ont chahuté ma coquehier soir je suis passé à travers une mini-crise,
les deux séances que j’ai eues,
n’avaient pas tout à fait été aussi réussies, aussi pleines, que d’habitude,
un goût d’inachevéj’ai réglé tout cela à l’amiable ce matin,
le fait est que ces derniers temps, j’ai tellement été habitué à des réactions immédiates, instantanées de mon corps,
que dès je me touchais, dès que je me mettais à bouger,
immédiatement les sensations étaient là, instantanées,
variant directement suivant ce que je faisais
que j’ai perdu un peu l’habitude de me battre pour obtenir des résultats,
ce que j’entends par me battre, c’est savoir se montrer humble,
savoir se montrer patient, savoir se montrer persévérant sans rien attendre
en cas où rien ne se passe ou que moins se passe que d’habitudeparfois pour des raisons plus ou moins mystérieuses,
fatigue, stress, préoccupations,
trop de sollicitations les derniers jours, peut-être,
cela ne se déclenche pas aussi vite que l’on voudrait,
ce matin j’ai su à nouveau me montrer humble, me montrer patient,
effectuer mes gestes, effectuer mes mouvements, effectuer ma non-routine
et attendre patiemment que les récompenses fleurissent dans ma chair————————–
il y a eu un moment ce matin tout à fait superbe,
ce n’était pas un orgasme mais une de ces sensations venues d’ailleurs comme j’en ai de temps à autrepar le passé, il y a eu “le pont suspendu dans la lumière”
ou encore la sensation que tout mon être n’était plus qu’une aile au travail dans les airs,
ce sont des moments assez uniques et que je chéris tout particulièrement
car ce n’est pas dans mon imagination que cela se passe,
c’est vraiment quelque chose de très spécial,
c’est vraiment comme si les sensations généraient aussi une image en moi,
perçue dans ma chair, perçue avec les sens, perçue avec tout mon être
cela devient vraiment ma réalité pour quelques instantslà ce matin, cela n’a duré que quelques secondes mais c’était un moment de grâce et d’étrangeté absolues,
j’avais déjà été bien assailli par de nombreuses vagues de volupté, de chaleur, de frissons divers et variés,
j’étais déjà dans un état d’excitation bien avancé
quand tout d’un coup, j’ai eu la sensation que je commençais à être descellé, à basculerd’ordinaire ce type de sensation est très déstabilisant
et j’ai eu un très court instant, une réaction d’appréhension
mais en même temps la conscience d’être au lit, cherchant le délire, cherchant l’ivresse,
m’assaillit aussi
et donc je me laissais aller,
je me laissais totalement aller à cette sensation de culbuter,
de commencer à m’effondrer,
de passer soudainement d’un objet immobile, aux fondements fermes, à toute épreuve
à fétu de paille emporté par le courant, soudainement ne pesant plus riencela a duré que quelques secondes, mais cette sensation soudainement d’être descellé,
de m’abattre , de me disloquer puis d’être emporté, ne pesant plus rien,
je l’ai vécu tellement puissamment dans ma chair,
je l’ai tellement en mode visualisé quelque part en moi
que j’en ai des frissons rien que de l’évoquer30 janvier 2019 à 0 h 52 min #32860bzo
Participantmon plaisir est plus onctueux que jamais,
je passe de longs moments à me frotter les jambes l’une contre l’autre,
de longs moments à me caresser lentement,
de longs moments à sentir cette peau vibrer doucement,
de longs moments à sentir cette peau parcourue d’un feu doux,
de longs moments à sentir cette peau parcourue d’un feu doux sous mes doigtsde longs moments rien qu’avec,
de longs moments rien qu’avec le tango voluptueux de mes cuisses,
avec le tango voluptueux de mes cuisses venant se serrer,
de mes cuisses venant se presser, de mes cuisses venant se frotter,
contre mon sexe, contre mes couilles,
inlassablementquelle étreinte douce, quelle étreinte chaude,
quelle volupté cristalline m’inonde des pieds à la tête,
quelle volupté cristalline m’inonde des pieds à la tête de millions de gouttelettes,
de millions de gouttelettes lumineuses,
de millions de gouttelettes soyeusessource joyeuse, source lumineuse, flanc de montagne en moi,
source joyeuse, source lumineuse, à flanc de montagne en moi,
quelle dévalement de millions de gouttelettes en moi,
quelle dévalement joyeux de millions de gouttelettes soyeuses en moi30 janvier 2019 à 8 h 48 min #32861bzo
Participantce matin, un peu par hasard, je me suis assis sur le bord de mon bureau,
plus précisément sur le coin de mon bureau,
j’ai tout de suite senti une pression délicieuse derrière,
des sensations familières qui s’éveillaient
“houla je me suis dit, il y a une idée à creuser ici”
et je me suis mis à remuer du popotin,
tout de suite des éclairs familiers de plaisir irradiaient dans mon bassin,
tout de suite j’ai compris qu’il y avait là un usage nouveau pour ce bureau,
un potentiel tout à fait intéressant à exploiteret quand j’exécutais la première contraction,
ah mes amis, je n’y tenais plus je gémissais tellement fort,
se faire prendre sur le coin du bureau, par le coin du bureau, c’est quelque chose,
avec la contraction, la sensation était du même ordre que celles
quand j’y allais avec les doigts dans mon A-pussy,
je vais dès ce soir revenir me frotter, revenir me presser, contre l’angle bien dur
de ce charmant meuble en hêtre massif
à qui j’ai trouvé un nouvel usage tout à fait inattendu et bienvenubon je ne vous cacherai pas que cela ne fait pas dans la finesse, dans la dentelle,
c’est du bourre-madame, enfin du bourre monsieur qui se prend pour madame,
façon bûcheron, façon bûcheron avec sa cognée s’abattant sans merci, sans relâche,
mais le plaisir animal flirtant avec les limites de la brutalité,
cela a du bon de temps en temps31 janvier 2019 à 20 h 50 min #32875bzo
Participantj’ai retrouvé le coin de ma table, massif et solide bureau en hêtre
je me suis frotté contre,
je montais et je descendais légèrement, tantôt augmentant, tantôt diminuant la pression,
je me caressais en même temps la poitrine
et faisait monter des contractionsun bon coin, un sacré bon coin, il m’en a fait voir de toutes les couleurs,
je cabrais l’échine, j’écartais bien les fesses,
moments animal, moments tempétueux, moments délicieuxdésormais à chaque fois que je passe à côté de mon bureau, je n’y résiste,
comme une chatte en chaleur je viens me frotter contre ce coin la raie des fesses,
sentant la pointe s’enfoncer légèrement
et avec la contraction qui vient,
cela me fait directement comme quelque chose de massif qui remonte entre mes reins,
qui vient me fouiller les entrailles1 février 2019 à 0 h 59 min #32876bzo
Participantj’étais comme un surfeur à la surface qui attendait les vagues
et en même temps un scaphandrier dans les profondeurs
essayant d’attraper les bonnes énergies,
essayant de descendre toujours plus basce que j’attrape, je l’envoie directement vers la surface,
sous chaque instant, un feuilleté, un feuilleté frémissant,
c’est une forge en fait, tout plein de forces sont à l’oeuvredes fleurs de chaleur naissent et meurent sous ma peau,
temps des caresses
du velours, du velours, il y en a partout
et de la soie,
c’est l’océan qui s’éveille partout en moi,
il y a un chant dans mon sang2 février 2019 à 0 h 18 min #32884bzo
Participantmoments de communion avec mon corps,
nous sommes séparés la plupart du temps
mais là nous étions unis dans la même quête,
il y avait comme un chant à la gloire des éléments en nous,
l’eau, la lumière, la terre, le feu - AuteurArticles
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