Mots-clés : mon amour, plaisir androgyne, prostate
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bzo, le il y a 3 années et 10 mois.
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- 23 février 2019 à 1 h 53 min #33110
bzo
Participantidem pour mes séances au lit avec masseur, elles ont aussi leurs spécificités
et ici aussi ces contacts dénaturent la nature profonde, l’essence des sensations
que je peux espérer de ces moments-làça ce n’est pas du tout exact, j’ai eu tort,
j’ai eu tort d’étendre mes conclusions toutes fraîches acquises en aneroless
à mes séances avec masseur parce qu’elles se passent aussi au litmais là j’en sors du lit, j’ai eu d’abord une bonne demie heure en aneroless,
splendide, splendide, splendide,
puis j’enfourné le masseur
et là j’ai eu droit à une fournaise d’un tout autre type
et puis n’y tenant plus,
j’ai fini par y aller avec les cuisses frottant mes boules, frottant ma verge
et puis enfin avec la main aussi,
c’était la fête du bassin avec des tas de feux de joie allumés partouten fait j’avais la sensation de ne plus être qu’un bassin,
tout mon corps semblait ne plus être que ce bassin en fête,
tout mon corps semblait ne plus être que ce bassin qui était comme une fournaise,
pénétré tranquillement
par Carabosse avec sa hampe dure, soyeuse, en silicone et puis sa grosse tête tellement fouineuse
qui venait buter contre la paroi derrière laquelle se trouve ma prostate chérie,
ma princesse emmurée, celle grâce à qui la magie peut avoir lieu,
elle était ravie, quelle connivence avec le masseuret puis j’ai fini par y aller avec les cuisses aussi,
venant se frotter contre mes boules, contre ma petite queue toute flasque
et puis enfin j’y ai été aussi avec les doigts
sans retenue, caressant, frottant, les laissant faire absolument tout,
tellement la puissance du masseur était grande,
que je sentais que je pouvais tout me permettre tout avec ces doigts
et le résultat a été une fournaise d’une puissance inouïe,
comme je l’ai écrit plus haut,
tout mon corps semblait être mon bassin
ou vice et versa,
mon bassin semblait être tout mon corpsj’ai désormais trois pratiques différentes avec une identité bien définie,
chacun me procurant des sensations tellement dissemblables,
le spectre du ressenti s’est encore tellement décupléchacun de ces trois façons de pratiquer a désormais aussi sa technique aussi bien définie,
avec ses spécificités23 février 2019 à 10 h 49 min #33111bzo
Participantpresque onze heures du matin
et j’ai passé l’essentiel de mon temps éveillé, au lit à m’envoyer en l’air,
enfin plutôt à m’envoyer en mer
car chez moi quand je suis chaud au lit en aneroless,
j’ai l’impression d’être roulé par des vagues, enveloppé par une mer chaude, soyeuse, sensuelle
qui effleure toute ma peau, qui effleure tous mes membres,
qui imbibe tout mon être en faitje chéris la vie de me donner des moments pareils,
habité par un tel bonheur dans la chair,
animé par une telle volupté déchaînée doucement, soyeusementtout est en courbes, en ondulations, en soie frissonnante, durant mes séances,
cela devient tellement puissant, tellement envahissant,
j’ai l’âme au ciel encore rien que d’y penser,
je sens encore dans ma chair l’ineffable qui passait à travers moi,
qui dansait en moimes mains, comme elles allaient et venaient,
comme elles allaient et venaient partout, éveillant la joie sur leur passage
dans les plus lointains hameaux comme dans les grands centres,
comme j’aime onduler sur mon lit,
en mode liane lascive avec mes mains allant et venant
et puis de temps à autre une contraction remontant dans mes entrailles,
je suis aux combles de la joieune telle lascivité s’éveille désormais en moi,
j’ai la sensation que tout le lit bouge avec moi, que les draps bougent avec moi,
que peu à peu tout ondule au même rythme lancinant
et je me sens pénétré de partout,
tout mon corps n’est plus qu’une grosse partouze au niveau cellulaire
et avec des milliards de petites bites qui travaillent en moi,
chacun sa cellule, il la laboure, il la fait gémir
et moi je suis comme une passoire à plaisir, cela dégouline de partout,
cela m’envahit de partout, je suis trempé jusqu’au fond de l’âme de plaisir,
je grince comme une vieille porte,
c’est le son qui sort de ma gorge sans discontinuité,
un râle comme un grincement langoureux qui monte de mes entrailles toutes retournéesvive la vie, vive la chair, vive le plaisir,
merveilleux week-end en perspective,
en plus je n’ai presque plus de fièvre et je n’ai pratiquement plus mal à la gorge,
que demander de plus?24 février 2019 à 11 h 06 min #33126bzo
Participantah, mes amis, quels moments délicieux,
une quart d’heure de micro-séances,
un chapelet de micro-séances, tantôt assis au bord du lit, tantôt dans mon fauteuil face à l’ordi,
tantôt dans un fauteuil bas ou encore assis sur mon coin de table favori,
à me frotter par derrière au bois,
sentant celui-ci presser mon périnée, sentant presser mon trou-trou, s’enfoncer un peu dedans,
me caressant la poitrine, les flancs , les fesses,
écartant toujours plus les jambes, m’arquant toujours plus,
pour mieux sentir le bois prendre possession de mon bassin,
prendre possession de moiun bon quart d’heure ainsi, cela vous réveille, cela fait circuler du jus dans l’invisible,
par moments, empalé sur deux, trois doigts, remuant dessus,
je voudrais les sentir remonter jusqu’à tout en haut, faire éruption dans mon crâne,
c’est comme cela que je me presse dessus, que je danse dessus, que je joue dessusà d’autres moments, avec deux doigts pressant mon pubis tout contre la base de ma verge,
là je simule de puissants va et vient de pénétration
et à chaque fois cette sensation totalement surréelle, irrésistible
de se faire l’amour avec son propre sexe dressé vers l’intérieurd’autres moments encore, simplement pressant avec mes cuisses mes parties
et faisant remonter de lentes contractions,
j’avais la sensation ainsi d’avoir dans le ventre
un gourdin allant et venant baignant dans un vibrant fourreau de nectar
grâce aux pressions et aux frottements des cuisses contre mes couilles
en même temps occasionnées par les contractionsmieux que la messe, je vous dis, pour commencer son dimanche,
une prière dans la chair, une prière à la vie, une ode au plaisir,
alléluia, j’ai égrené mon chapelet de micro-séances consciencieusement25 février 2019 à 0 h 34 min #33129bzo
Participantsuis-je obsédé? suis-je “addict”?
le fait est que quand je suis chez moi, je passe une bonne partie de mon temps à ça,
c’est trop bon, c’est mieux que l’alcool et la drogue réunis,
je me défonce au plaisir, je me défonce aux sensations voluptueuses que j’éveille en moimon corps est devenu si réactif, joue tellement le jeu avec moi,
encore ce soir, quels moments j’ai vécus,
j’ai été tellement loin mais tellement loin,
pendant de longues minutes je n’avais plus conscience qui j’étais et où j’étais,
je n’étais plus qu’une masse de chair enivrée
avec quelque chose de moi qui dérivait quelque part aux confinsc’est cette volupté en moi qui est devenu tellement puissante, tellement omniprésente,
cela me fait comme une mer de soie en moi
qui comme un tapis magique en un tour de main
m’envoie vers une plage inconnuej’y suis tout nu sur le sable avec les éléments, le soleil, un ciel bleu bleu bleu , immense,
partout au-dessus de moi, avec ce soleil resplendissant qui trône en son milieu
sauf qu’ils semblent me faire l’amour
tout comme la mer qui monte entre mes jambes, me prend et me reprend inlassablement,
tout semble être en extase sexuelle avec moi, tout semble être en rut langoureux avec moi,
des liens me relient à tout, des ondes, des ondesmon corps est loin derrière,
mon corps est loin derrière moi,
je le sens pourtant bouger mais en même temps il est tellement loin derrière moi25 février 2019 à 8 h 20 min #33130bzo
Participanthum, j’espère que cela va rester sous contrôle
la danse intime, la danse sensuelle de mes cuisses et de mes couilles,
se frottant, se pressant inlassablement, serrées les unes contre les autres,
est devenu un moteur essentiel de ma pratique,
au même titre que la prostate mise en route par les contractionspar contre ce qui m’inquiète un peu,
c’est que le moindre effleurement désormais de mes cuisses et de mon appareil génital,
même habillé, même occupé à autre chose,
met en route toute la machinerie
et des ondes de chaleur, de la soie frissonnante, se répandent partout dans mon bassin,
c’est assez surprenant, bien agréable pour l’instant
mais un peu inquiétant tout de même25 février 2019 à 22 h 16 min #33141bzo
Participantlongue journée au boulot,
cela fait maintenant une petite heure que j’ai pris ma douche,
allumé les chauffages pour que l’appartement soit bien chaud
afin que je puisse me promener tout nu comme j’aime le faire chez moi,
sentir ce corps sans la moindre entrave vestimentaire,
prêt pour le plaisir,
ma principale occupation à la maison, m’envoyer en l’airsouvent mes cuisses et mes couilles quand je me déplace,
vont se frotter, vont s’effleurer,
ainsi je me sens constamment tout chose à la maison,
toujours une légère excitation dans mon bassinmais c’est il y a 5 mn
quand enfin rassasié, dans le bon état d’esprit, que je me suis senti prêt
et que j’ai fais remonter une première contraction, assis dans mon fauteuil face à l’ordi
tout en commençant à me caresser et à presser mes cuisses contre mes génitaux
variant lentement la pression
et en même temps leur imprimant un petit mouvement de haut en bas et de bas en hautimmédiatement un nectar épais, un nectar dense, un nectar chaud, se répand, coule en moi,
quelque chose comme un bienfait des dieux,
quelque chose comme un miracle sans âge dans ma chair
astreint sinon à la banalité du quotidien
quelque chose qui donne des ailes à mon sang
quelque chose d’inespéré massivement dans les tuyauxje suis empli de frissons, je frissonne de bonheur,
je défaille déjà en quelques instants,
c’est tellement intense, c’est tellement riche, tellement au point,
mon corps est devenu si réactif, ma technique désormais tellement ajustée,
j’ai osé, j’ai été patient,
je récoltema vie tout en secrets insoupçonnés
ma vie tout prières païennes et en luxure,
mes moments avec plein de ciel dans ma chair26 février 2019 à 0 h 57 min #33147bzo
Participantaujourd’hui sur mon lieu de travail , j’ai pu me rendre compte
que tant que je faisais juste quelques vagues pressions, quelques fugaces frottements
de mes cuisses sur mes parties génitales avec de toutes légères contractions,
cela passait,
j’avais d’agréables, de délicieuses sensations partout dans le bassinmais que je devais aussi faire très attention
car mon moteur pouvait démarrer ainsi à tout instant plus sérieusement, monter instantanément en régime
et qu’en une fraction de seconde je ne me contrôlais plus
et risquais de laisser échapper un gémissement ou deux bien gras, bien juteux, bien chargés de plaisircela a failli arriver à mon poste de travail,
j’avais croisé les genoux et ainsi je bougeais un peu, je frottais un peu
tout en faisant remonter de lentes contractions assez machinalement,
je parvenais à rester bien impassible, bien détaché de ce que je faisais
mais à un moment donné, j’ai senti une brusque chaleur envahir soudainement mon bassin,
j’ai senti que toute ma machinerie s’était mise en route,
mes paupières se sont abaissées malgré moi
et j’ai du faire un effort surhumain pour ne pas laisser passer un gémissement
tellement j’avais été envahi en un instant dans tout le corps
de vagues frissonnantes, de soyeuse chaleurc’est un jeu vraiment dangereux et qui n’en vaut pas la peine en définitive,
je préfère autant me réserver pour le soir où je peux donner libre cours à tout mon désir
sans me préoccuper de quoi que ce soit26 février 2019 à 1 h 11 min #33150lighteningbolto
ParticipantJe te rejoins dans ton opinion. C’est certes tentant de profiter de ce trésor qu’est l’A-less, mais le phénix doit rester en cage à certains moments, sur si il est comme le tiens, bien flamboyant 😉
27 février 2019 à 0 h 35 min #33160bzo
Participantj’étais mort de fatigue ce soir,
cela fait des nuits et des nuits que je me couche vers deux heures du matin
et me lève à sept heures pour aller travailler
mais je ne pouvais me décider à aller dormir
sans avoir tout de même une séance A-less au lit,
il fallait que je sente passer en mes tuyaux le nectar délicieux, les vagues, le frissons,
que j’aie les oreilles emplies de mes gémissementsfinalement ce fut une séance d’une petite heure,
des sensations comme cela, cela vous réveillerait un mort,
comme j’aime onduler sur mon lit,
comme j’aime sentir le féminin bouger ce corps,
il y a une telle langueur qui s’exprime, une telle volupté,
cela n’arrête pas, vague après vague,
partout en moi comme si de la fourrure effleurait tout,
j’en frissonne jusqu’au plus profond de mon êtreet puis comme j’aime parcourir ce corps avec mes mains,
j’adore ces derniers temps mettre en arrière mes bras étendus
et puis lentement d’une main caresser l’autre bras puis vice et versa,
puis je descends vers mes seins, je les presse, je les empoigne, je les frotte,
plus bas encore le long de mes flancs,
je sens mes hanches ondulant suavement, je laisse mes mains un peu dessus,
sentir la houle dans ma chair, dans ma chair ivre, la houle lascive du largevibrer, vibrer, vibrer,
mes entrailles ne sont que vibrations par moments,
vibrations délicieuses, vibrations amoureuses,
je vibre de tout mon être,
je vibre par amour27 février 2019 à 8 h 39 min #33162bzo
Participantassis sur mon tabouret haut, en train de prendre mon petit déjeuner,
je m’interromps, j’ai envie de frissons, j’ai envie de volupté, j’ai envie de chair enivrée sous moije croise les genoux, mes cuisses viennent presser mes roubignolles,
je glisse une main sous ma chemise, saisis un sein
tandis que l’autre descend lentement sur mon flanc vers une fesse,
je varie très légèrement la pression de mes cuisses contre mes génitaux
synchronisé avec des contractions comme des aller retour lents, langoureux, de pénétrationje commence à gémir,
une multitude de tentacules de soie semblent se répandre, semblent s’insinuer partout,
d’abord dans mon bassin puis se disséminant dans tout mon corps,
soie chaude, soie frissonnante, soie vivante, soie vibrante, soie flottantechair en fleur, chair éclose, chair butinée,
bonjour vie, bonjour plaisir,bonjour matin,
allons bon, mon café va refroidir27 février 2019 à 19 h 39 min #33167bzo
Participanthé hé ces derniers jours, je rentre chez moi en hâtant le pas imperceptiblement
comme quelqu’un qui sait qu’un programme extraordinaire l’attend à la maisonen refermant la porte derrière moi,
je suis excité comme un enfant entrant dans un magasin de bonbons
où on lui a dit qu’il pouvait prendre tout ce qu’il voulaitle magasin de bonbons m’est grand ouvert,
les rayons sont remplis de friandises splendides,
une multitude de friandises extravagantes
de toutes les couleurs et de toutes les formes,
jusqu’au plafond de tous les côtés,
qui n’attendent que mon bon plaisir28 février 2019 à 8 h 56 min #33171bzo
Participanthuit heures quart, cela fait maintenant près d’une heure et demie que je suis occupé,
que j’ai mis en route mon petit hors-bord,
mes vieilles couilles poilues joue contre joue avec mes cuisses,
se frottant les unes contre les autres, se pressant les unes contre les autres,
avec les contractions comme un piston,
venant régulièrement fendre ce mille feuille de chairs serrées,
venant régulièrement s’enfoncer comme dans du beurre
dans ce mille feuille de chairs incrustées les unes dans les autres,
dans ce mille feuille de chairs bougeant langoureusement les unes contre les autres,
dans ce mille feuille de chairs sillonnées de connections nerveuses en folieoui j’ai une addiction à cette sensation de nectar voluptueux coulant partout en moi,
oui j’ai une addiction à cette sensation de pal chaud, de pal dur, remontant en moi,
allumant une fournaise sur son passage dans mes entraillestout mon corps ondule, mes mains caressent mon ventre, mes épaules,
mes seins, mes flancs, mes hanches, mes bras,
je suis au milieu de tout cela,
au milieu de toute cette chair enivrée
comme un poisson pris délicieusement dans la nasse, tournant et tournantde quelque côté que je m’avance, un peu affolé, ce sont des filets voluptueux
qui m’enserrent, qui m’effleurent, qui me frottent, qui me repoussent
j’ai beau me débattre, je suis de plus en plus emmêlé dedans,
les frissons, le nectar, la chaleur bienfaitrice, resourçante, me retiennent prisonnier,
que puis-je faire, comment me libérer?
il faut que cela explose, que je m’échappe,
par le haut, il n’y à rien, il n’y a rien, plus de filet,
juste la divine apesanteur dans le bleu lumineux sans âge du ciel,
un ciel comme un ventre qui m’accueille dans sa chaleur nourricière
que je veux sillonner un instant, libre28 février 2019 à 19 h 35 min #33178bzo
Participantdans le quotidien quand on sent son corps, ce n’est jamais bon signe,
cela veut dire qu’on est blessé par exemple, ou maladequand on se fait vieux malheureusement , il y a l’usure du corps qui s’installe,
on commence à le sentir à tout bout de champs,
le genou avec ses problèmes d’articulation, problème de vertèbre dans le dos, etcdans le sport, on a un certain rapport à son corps,
c’est bien, cela me manque
mais avec tous mes problèmes articulaires, j’ai du renoncer à toute activité sportive
et même à mon cher yoga
où ce rapport du corps est si puissant, si développé, si poussémais avec ma pratique, le rapport au corps a pris une dimension vraiment spéciale,
une tellement puissante complicité, une tellement puissante intimité,
et puis pendant la séance,
là comme je le sens, je vis dedans, mon moi pensant est la plupart du temps en veilleuse
et je suis mon corps, je suis tout mon corps, je me sens à 100% dans mon corps vivant avec,
je suis dans ma chair, je vis dans ma chair, je suis ma chair, je bouillonne avec,
plus juste dans une tour isolée dans ma tête,
porté par mon corps comme par un vaisseau dont je suis le pilote
je redeviens animal
et je sens par moments de mystérieuses connexions au monde naturel en moi,
à la terre aussi, je sens un tel tellurisme en moi par momentssans même parler de ce féminin qui monte de mes abysses,
qui prend les commandes,
là cela devient vraiment magiquemais ce rapport que j’ai désormais à mon corps,
cette proximité, cette complicité tellement spéciale,
cela je le dois à ma pratique
parmi tant d’autres choseset puis
même les excrétions de ce corps, je les vois d’un autre oeil désormais,
tout ce qui s’écoule de mon sexe particulièrement attise ma curiosité,
j’aime goûter tout ce qui en sort, urine et puis tout le restemon urine d’ailleurs, j’aime toujours autant terminer une séance en m’aspergeant copieusement avec,
même si je ne le fais plus ces derniers temps
mais c’est plutôt par paresse, je suis trop paresseux pour enfiler l’alèse imperméable sur le lit
mais autrement j’adore,
après une séance réussie, toute la zone génitale est dans un tel état de surexcitation
que se lâcher, faire monter le liquide chaud doré,
le laisser s’écouler sur le bas-ventre, l’estomac,
procure un plaisir semblable à une éjaculation
mais pendant de longues minutes
sans compter le liquide chaud qui fait comme des petites souris courant sur la peau,
des micro-caresses délicieuseset puis même quand je m’empale sur mes doigts,
même si la plupart du temps ils en sortent propres, avant par mesure d’hygiène j’allais les laver,
depuis un certain temps, je les lèche juste consciencieusement28 février 2019 à 21 h 52 min #33179bzo
Participantje me suis mis au lit mais je n’ai pas trop insisté
malgré quelques bons moments,
je sentais bien que mes batteries n’étaient plus suffisamment chargées,
ce matin j’ai été réveillé par mes mains qui se baladaient sur mes fesses, dans ma raie
et je n’ai pratiquement pas arrêté de 7h du matin jusqu’à midije vais plutôt me réserver ce soir pour quelques micro-séances,
pour ces courts moments ultra-intenses, ultra-concentrés,
reste toujours suffisamment d’énergie
pour en vivre quelques uns de bien épiques, de bien grandiosesd’ailleurs j’en ai déjà fait une depuis que je suis rentré qui était absolument superbe,
la tête renversée en arrière dans mon fauteuil, j’étais tendu comme un arc par le plaisir1 mars 2019 à 20 h 06 min #33181bzo
Participantboulot, boulot, boulot, boulot toute la journée, vivement la retraite
et plein de temps libre à nouveau,
je suis rentré enfin,
première chose que j’ai faite,
c’est d’allumer les chauffages et de me mettre nu,
comme un drogué sans sa substance vitale,
mon vice délicieux m’a tellement manqué,
mon vice délicieux a tellement manqué à ma chair,
il était temps,
j’ai laissé un peu mes mains courir sur ma peau,
serrer mes cuisses, frotter, presser lentement
tout en faisant remonter quelques contractionssurtout caresser, caresser beaucoup,
je sentais que ma peau en avait besoin
elle semble assoiffée, desséchée, comme par une traversée du désert
comme si cela faisait des siècles qu’elle n’avait plus été désaltérée à la fontaine secrèteje commence à ressentir des frissons un peu partout,
le nectar voluptueux commence à m’irriguer, je revis,
je respire à nouveau, c’est bon, il y a encore de la vie dans cette vieille carcasse,
mon corps, ma chair, mes sens, mon coeur, mon sexe, mes deux sexes,
nous allons encore beaucoup communier ensemble, festoyer ensemble
nous allons encore beaucoup vibrer ensemble, beaucoup nous envoler ensemble2 mars 2019 à 1 h 32 min #33182bzo
Participantarf, j’ai la peau du ventre qui brûle, avec plein de traces rougeâtres
tellement je me suis griffé,
j’étais comme une chatte en chaleur
et par moments j’avais des envies irrésistibles de me grifferj’ai alterné ce soir des moments d’extrême douceur soyeuse,
de longues, de tranquilles vagues de volupté avec le corps en mode liane lascive
et puis des moments violents, explosifs, animal
où j’avais beaucoup de contacts avec les doigts sur mon sexe, mes couilles
et je laissais tout ce beau monde, ce paquet de nerfs et de muscles se tordre à loisir,
cela faisait des mouvements et des postures vraiment étonnantes par moments,
comme des sculptures modernes, des muscles en tension, en torsion,
et puis donc je me pinçais la chair, je me griffais aussi fort que possible,
cela faisait une gamme de sensations très fortes
qui formaient un contraste délicieux
avec les moments de langueur où j’ondulais, me caressais tranquillement,
laissant mes cuisses et mes couilles joue contre joue, se serrant, se frottantj’adoré ces contrastes, passer comme cela d’un moment à l’autre
à des sensations si différentes, si éloignées,
j’y parvenais avec une étonnante facilitépour ma mes prochaines séances, je me suis établi un menue à la carte,
début sans les doigts, langueur et volupté au programme,
finesse et délicatesse tout en nuances et en variationscela pendant un laps de temps variables selon mon envie, mon état de fatigue, etc,
disons d’un quart d’heure à voire, toute la séance, on verra, il faut garder une certaine souplesse
mais toute cette dentelle jouant en moi, cette fourrure vivant en moi,
offre très certainement la plus haute qualité de sensations possible
mais cela manque d’explosivité
et puis la tension sexuelle croît un peu trop lentement , à mon goût, certains jours,
je ne suis pas d’une nature très patientealors après la seconde phase, ce sera de l’alternance,
des moments avec les doigts allant puissamment au contact suivant mon inspiration
mais les doigts restant assez statiques comme je l’ai déjà décrit maintes fois,
ainsi on obtient l’effet fiche enfoncée dans la prise avec plein de courant sexuel qui passe,
qui vient se mêler au restant du flux créé par les mouvements du corps, les caresses
et puis bien sûr, la prostate éveillée par les contractionsc’est le reste autour qui bouge, les reins, le bassin, les cuisses, les contractions,
tout cela commence à se mouvoir un peu n’importe comment, grotesquement même souvent
mais c’est ainsi que c’est bon, avec des mouvements extrêmes, des gestes sans queue, ni tête
et puis les doigts qui se mettent à griffer, à pincer,
à ce stade c’est comme de jeter de l’huile sur le feu,
dépaysement assuréet puis brusquement, je me remets à onduler lascivement,
la volupté se remet à chanter partout en moi comme un chœur sensuel s’élevant de partout,
des sensations de courbes qui bougent ,
pour être honnête, ce n’est plus la même finesse, ni la même richesse que dans la phase initiale
car les contacts massifs de mes doigts avec mes génitaux,
m’imprègnent encore, ont fait augmenter la tension sexuelle sans ménagement,
toute la délicieuse sophistication, la délicate sensualité omniprésente ,
sont imprégnées d’explosivité, d’animalité haletante,
je suis trop en rut désormais
mais malgré tout, il reste toujours suffisamment de finesse, de nuances, de langueur calme ainsi
que pour former un contraste superbe,des sensations de virages à 180°
dans le type du plaisir2 mars 2019 à 9 h 55 min #33183bzo
Participantil est persistant, le bzo, il creuse, il creuse,
ce matin déjà une séance d’une bonne heure au lit,
oh combien délicieuse,
à marquer d’une pierre blanchenotre plaisir, qu’on pourrait caractériser selon moi par un graphique de ce genre:
notre plaisir est caractérisée par une double progression,
une progression verticale et une progression horizontale.Une pure progression verticale, de même une pure progression horizontale, n’existent pas,
il y a toujours un peu de verticalité,
plus ou moins de verticalité dans une progression essentiellement horizontale,
sinon elle ne décollerait pasde même qu’une progression rien que verticale, totalement verticale, cela n’existe pas non plus,
cela voudrait dire un orgasme instantané, totalement plat finalement, sans aucune réelle épaisseur, consistancealors qu’une progression totalement horizontale, sans aucune verticalité,
sous-entendrait aucune explosivité d’aucune sorte,
aucune sensation de décollageces deux extrêmes n’arrivent jamais,
moi jusqu’ici sans aucun contact de mes doigts sur mes parties mais avec tout le reste
que j’ai déjà tellement souvent décrit,
j’avais une progression essentiellement horizontale,
dans mes meilleurs jours, quand j’avais toute la patience qu’il fallait,
j’atteignais des sortes d’état extatiques,
sensation d’avoir atteint l’horizon, la ligne d’horizon,
avec souvent des images splendides , grandioses vécus dans ma chairmais ce type de progression , même si la plupart du temps je le trouve trop lent pour mon goût
et que j’y cherchais à y injecter depuis toujours de la verticalité, de l’explosivité
avec les contacts de mes doigts sur mes parties,
même sans ceux-ci donc, sans les doigts,
il y avait malgré tout une progression verticale, mais souvent trop lente à mon goût,
c’est ce que j’ai résolu ce matin,
désormais j’ai le beurre et l’argent du beurremais avant de décrire ce que j’ai fait, je veux encore parler de mes séances
où je laissais mes doigts jouer comme ils veulent avec mes parties,
ainsi je parvenais à injecter beaucoup de verticalité, beaucoup d’explosivité,
la perspective d’orgasmes devient prégnante, devient palpable
mais en fait au bout d’un laps de temps plus ou moins long, je perçois des limitations
car ainsi c’est ma progression horizontale qui est devenue à peu près morte,
continuant ainsi, j’avais désormais une progression en dents de scie,
des espèces de sauts, des brusques montées verticales dans intensité du plaisir
mais juste des sauts plus ou moins hauts, avec retombée finalement toujours,
aucune sensation de progression vers l’apesanteur, une félicité jouissive,
aucune sensation d’avoir décollé durablement
avec toujours néanmoins, il faut le préciser, beaucoup beaucoup de plaisir à la clef
mais pour quelqu’un comme moi, qui a atteint un certain niveau dans sa pratique,
ce genre de sensations, ce genre de plaisir, peut me satisfaire quelques minutes
mais il me faut du décollage,
je voulais avoir le meilleur des deux mondes,
des orgasmes, des extases, des orgasmes teintés d’extase
et des extases teintés d’orgasme,
donc un contrôle sur les deux composantes, le plaisir dans sa verticalité
et puis le plaisir dans sa horizontalitéle plaisir prostatique tel qu’on le ressent à ses débuts
quand on parvient à obtenir ses premiers résultats sérieux,
est avant tout vertical, plus masculin, disons,
avec bien sûr, toujours la composante horizontale présente
mais c’est avant tout un plaisir verticalau fond à un moment donné, quand je pratiquais avec masseur,
c’est de ce composante horizontale que j’ai pris conscience,
le plaisir au féminin joue beaucoup plus de cette composante horizontale,
celle-ci est beaucoup plus présente dans leur plaisir,
c’est un peu de tout cela que j’ai pris conscience dans ma chairaprès avoir développé autant qu’il était possible une progression horizontale
dans mon plaisir, dans mes sensations,
il me fallait y réintégrer de la verticalité, de l’explosivité,
d’où mes nombreuses tentatives avec les contacts de mes doigts sur mes génitaux,
encore hier soir
et qui ont conduit à des moments tellement délicieux, tellement puissantsmais ce que j’ai fait ce matin, c’est encore tout autre chose,
j’ai atteint une toute autre dimension dans ma pratique,
c’est peut-être le début d’une contrôle sur la composante verticale
aussi bien que la composante horizontale de mon plaisir,
je suis en tout cas parvenu , sans les doigts, à injecter autant de verticalité que j’avais envie,
vers la fin je jouais des deux composantes de plus en plus, un début de contrôle en quelque sortecomment ai-je fait?
sans les doigts donc, ils restent complètement éloignés de mes parties,
ce sont toujours les mêmes acteurs en fait, mais utilisés différemment,
à savoir mes parties génitales, mes cuisses et puis les contractions,
les cuisses sont tout contre les parties mais immobiles
et puis les contractions sont sur-puissantes,
voilà c’est tout
mais ainsi j’ai obtenu une explosivité tout aussi puissante qu’avec les doigts
mais tout en gardant totalement toute la finesse, toute la sophistication possible,
toutes les nuances, la dentelle de mes contacts habituels de mes cuisses avec mes génitauxdes contractions vraiment sur-puissantes et effectuées plus que jamais n’importe comment,
je ne veux pas savoir ce que je fais, je veux le sentir, je veux le sentir et le diriger ainsi,
je pressais très fort donc,
mes cuisses venaient compresser très fort mes couilles, mon sexe,
je jouais sur la sur-puissance de cette action et ainsi je parvenais à obtenir toutes sortes d’effets
mais la montée verticale était décoiffantvers la fin de la séance, je jouais de plus en plus sur la verticalité et l’horizontalité des sensations,
j’en jouais, un peu plus de celle-ci, un peu plus de celle-là,
un début de contrôle, d’élargissement du spectre, qui offre des perspectives absolument extraordinaires2 mars 2019 à 12 h 12 min #33184bzo
Participantexactement les mêmes acteurs de mon plaisir dans mon bassin donc,
me permettent désormais de jouer tantôt sur la composante verticale,
tantôt sur la composante horizontale,
de mon plaisirc’est en fait une question juste de proportions
mais les deux pôles doivent rester actifs à peu près constamment,
pas en continu strictement
mais en assurant malgré tout une continuité de service
dans l’apport d’énergie mâle et d’énergie femelle autant que l’action dans l’instant le nécessite,
c’est ainsi qu’on a de puissants et de bien perceptibles pôle masculin et pôle féminin
en soi qui animent les débats,
que la sensation d’union, de communion est forte,
que la sensation d’un acte sexuel dans sa chair est vécu avec total réalisme ,
est vécu avec ardeur, avec passion, avec exaltationc’est en fait donc une question juste de proportions,
les cuisses s’immobilisent plus ou moins contre les couilles
et une contraction sur-puissante mais dont on peut aussi varier les effets grandement,
une fois qu’on a pris l’habitude (cela commence chez moi)
monte en nous,
explosivité, décollage, sont bien là,
la composante verticale est active à pleine puissance ainsi,
je dirai qu’il y a ici 75 % en moyenne de contraction
et 25% d’ondes provenant du contact immobile des cuisses tout contre les couilleset puis les cuisses se remettent à danser langoureusement tout contre les boules,
les contractions se font plus légères,
ainsi c’est la composante horizontale, chez moi, qui est activée, qui est sollicitée,
le doux nectar se propage, une volupté frissonnante m’envahit,
comme par une mer de sensualité, je suis emporté,
je dirai ici que les proportions s’inversent,
on a 75% des ondes qui sont assurées par le frottement, les effleurements, les pressions
des cuisses tout contre les couilles,
75% de composante horizontale donc,
et 25% qui sont apportées par la prostate via les contractionsla voie royale, mes amis, je suis engagé sur la voie royale,
temps de récolter ce que j’ai semé patiemment, une moisson arrivée à maturité
dans toute la splendeur de son grain germé
qui a monté, monté, monté
dans la splendeur de l’été, gorgé de soleil, gorgé de terrecela me fait écrire tout cela,
c’est comme une sorte d’éjaculation de mon cerveau basée sur ma pratique3 mars 2019 à 9 h 54 min #33188bzo
Participantj’ai l’impression qu’on a une batterie d’énergie sexuelle
avec une certaine capacité,
dans nos profondeursau-delà d’une certaine durée à pratiquer,
d’une certaine durée avec des résultats tangibles,
ayant donc atteint une certaine intensité dans les sensations ,
le niveau d’énergie à notre disposition dans cette batterie, commence à décliner
et on aura beau faire,
il faudra attendre que celle-ci soit rechargée (une bonne nuit de sommeil)
avant de retrouver des capacités à 100%c’est quelque chose que j’ai pu constater un certain nombre de fois,
je parle bien sûr dans le cadre d’une pratique totalement dépourvue de masturbation,
comme la mienne, cela va de soidans mon cas,
cette limite doit se situer aux environs des trois heures de pratique cumulée sur une journée,
cela m’arrive de temps à autre de la dépasser,
au-delà je sens que les résultats obtenus commencent nettement à diminuer dans leur intensité,
que mes capacités à ressentir du plaisir, semblent décroîtrebon, il y a de la marge heureusement
mais cela arrive tout de même assez régulièrement que je dépasse cette limite,
je commence à reconnaître relativement rapidement
quand la conjugaison de mes caresses, des ondulations de mon corps,
de la danse tout en frottements et en pressions de mes cuisses sur les parties
et de mes contractions (last but not least…)
semble avoir moins d’effetsune pratique avec masturbation, c’est encore pire, bien pire,
si vous vous secouez le gourdin,
il vous faudra au moins trois, quatre jours pour reconstituer cette réserve secrète d’énergie
et être à nouveau à 100%je me rappelle du temps où je me masturbais parfois,
je m’en voulais après car même si je parvenais à éprouver du plaisir prostatique
les jours suivants d’un soir où j’avais fait cracher le jujube,
je sentais bien que l’intensité était toujours un peu moindre, en-deçà
pendant au moins trois, quatre jours, voire plusbien sûr il n’est pas évident si on n’a pas de relations sexuelles avec une autre personne,
de rester sans se soulager par la masturbation,
ma pratique désormais me comble, rassasie mes appétits
et je n’éprouve plus jamais le besoin urgent de me secouer le cocotier
mais cela n’a pas toujours été le cas, loin de là3 mars 2019 à 11 h 11 min #33189bzo
Participantle fait est qu’à chaque fois que j’incorpore une nouveauté technique importante dans ma pratique,
c’est un peu comme si je devais repartir à zérole dialogue avec tous les autres acteurs de mon plaisir doit être mis en place,
doit être remis en question,
leur synchronisation, leur entente, un peu comme dans un orchestre de jazz,
qui improvise
mais dans le cadre de la ligne mélodique et la structure rythmique précises d’un morceau déjà existant,
ils doivent apprendre à se connaître, ils doivent apprendre à jouer ensembleainsi il en va avec mon nouveau coup de pine, ma contraction sur-puissante,
dont je parle avec enthousiasme un peu plus haut,
qui me permet d’obtenir de la verticalité, de l’explosivité,
cela se confirme merveilleusement, son potentiel se confirme divinement
mais je dois encore policer la chose,
varier les effets, les mouvements, optimiser la sensation de pénétration avec
rendre tout cela de plus en plus effectif, bien les incorporer au reste,apprendre à mon nouveau coup de pine dans les entrailles
à bien se synchroniser les autres membres de l’orchestre,
que tout le monde soit sur la même longueur d’ondetout cela est, oh combien, prometteur,
ma pratique devient toujours de plus en plus riche, de plus en plus variée,
toujours plus vivante, plus réalisteêtre habité par cette sensation de se faire l’amour,
toujours plus ressentir ce féminin à l’oeuvre en moi,
c’est là le petit miracle qui s’accomplit à chaque foistant de nuances différentes, tant de finesse et de volupté,
c’est bien là l’essence de ma pratique,
ce kaléidoscope de sensations sans cesse changeantes,
cette mer de volupté qui semble m’habiter,
qui semble danser en moi avec une telle lascivité,
semblant imprégner tellement chaque fibre de mon êtrematurer comme un bon vin, sentir sa chair et son âme s’épanouir,
quelque chose est en train de s’accomplir là, au de-là du plaisir sexuel immédiat,
un parcours initiatique, une exploration de soi-même,
une communion avec son corps, une réunification du masculin et du féminin en soi
et par l’intermédiaire de celles-ci une communion encore plus vaste,
une réunification encore plus vaste,
avec le monde silencieux qui nous entoure,
au-delà des murs, au-delà des maisonspercevoir en soi le grondement tellurique,
percevoir en soi le grondement animal,
qui subsistent encore en nous quelque part - AuteurArticles
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