Mots-clés : a-less, anerosless, journal, orgasme
- Ce sujet contient 370 réponses, 8 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
Jieffe, le il y a 5 années et 2 mois.
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- 12 avril 2018 à 8 h 06 min #27126
bzo
Participantun orgasme avant le petit déjeuner,
rien de tel pour vous mettre en appétit
et partir de bonne humeur au travail…le matin, en aneroless, quand toutes mes énergies sont encore intactes,
mes piles bien rechargées, mes nerfs encore non sollicitées par la journée,
sur ma chaise de bureau, je vais m’envoyer en l’air, vite fait, bien faitje prends mes seins à pleins mains,
j’écarte bien les jambes en cambrant les reins pour sentir mon pussy bien ouvert
et je fais monter la contraction entre mes jambes
tandis que je joue aussi un peu en même temps des muscles autour de l’anus,
leur imprimant un léger mouvement d’avant en arrière,
la contraction maintenue, bien dure, remonte,
glisse irrésistiblement comme un paquebot entrant au port,
frottant souverainement les chairs sur son passage
et je suis déjà au bord de l’orgasmeencore quelques autres contractions bien décidées, bien fermes, dans mon pussy
et ça y est une bouffée de chaleur qui m’envahit de la tête aux pieds,
je frissonne, grosse lumière éblouissante dans le cerveau
derrière mes yeux fermés,
explosion atomique en toute discrétion à guichets fermésallons bon, je recommence, vite encore un deuxième,
profitons de ces merveilleuses dispositions matinaleset puis qu’on dit que jamais deux sans trois,
pour faire bon mesure…ah ça, les céréales et un petit bout d’emmental, rien de tel pour un bon départ matinal
12 avril 2018 à 13 h 00 min #27135Jieffe
ParticipantOui, belle façon de commencer la journée… 🙂
12 avril 2018 à 19 h 02 min #27143bzo
Participantaujourd’hui au boulot, j’ai multiplié les micro-séances
aux toilettes et puis à midi dans la salle de gym,
je me sens de plus en plus à l’aise avec ce que je peux me permettre,
à la salle de gym, je peux y aller sans restrictions
puisque habituellement il n’y a pas un chat,
aux toilettes, je me suis fixé comme règle
que dès que je sens des gémissements monter, j’arrête ou je freineje vais mettre en épingle ma dernière micro-séance vers 17h
après une journée à se creuser les méninges, à faire chauffer ses cellules grises,
me suis dit, offrons-nous ce petit moment de détente,
certains vont se fumer une cigarette, d’autres se contente de rêvasser ,
d’autres encore surfent sur internet,
moi je vais m’offrir quelques instants de plaisir prostatique aux toilettesdonc le cerveau déjà bien fatigué par une journée complète de travail intellectuel,
je m’assieds sur le siège, déboutonne ma chemise
et commence à serrer mes seins, les bougeant lentement , je ferme les yeux,
j’applique une lente contraction, je ne la relâche pas,
je m’immobilise pour bien sentir m’emplir du féminin,
ce féminin hélé, convoqué,
“complice des ténèbres, viens empare-toi de ce corps, de cet esprit, de ces sens”je vais essayer de décrire ce qui arrive en ces moments,
cette alchimie mystérieuse qui s’opère sur l’injonction de mes mains,
du relâchement complet de toutes mes défenses, de tous mes verrousc’est comme si tout d’un coup tous les canaux de sensations qui nous connectent à notre corps,
se démultipliaient
et nous faisaient parvenir de toutes parts un flot supplémentaire d’informations sensoriellesrapidement on se rend compte
que toutes ces nouvelles sensations ne sont pas seulement beaucoup plus nombreuses
mais qu’elles sont plus intenses et aussi complètement différentes
de la palette des sensations habituelles qu’en tant qu’homme je reçois habituellement de mon corpsc’est tout d’un coup comme si on était passé en plein écran,
imaginez sur votre écran d’ordinateur une toute petite fenêtre dont vous ne discernez quasiment aucun détail,
même pas l’image dans son ensemble
et soudainement vous passez en plein écran, chaque détail vous saute aux yeux,
les couleurs sont vives, riches, profondes et éclatantes,
avec mille variations subtiles qui vous échappaient jusqu’ici,
vous voyez aussi à présent beaucoup plus nettement le contenu de l’image,
vous en percevez les personnages, ce qu’ils font, le paysage dans lequel ils baignentune minute ainsi à rester immobile, la contraction tenue autant que possible
et les seins comme dans des coques, pressés par mes mains
puis je commence quelques mouvements de pénétration et de fouillements du pussy,
je sens ce corps vibrant doucement à présent de partout,
léché ou fouetté aussi par moments par une vague
comme si je n’étais qu’une plage sans fin offerte à la vastitude de l’océanaprès quand je m”arrête, j’aime aussi presque autant ce que je ressens
ce sont encore des moments qui appartiennent au féminin et au plaisir prostatique,
cette sensation de ressourcement, de rééquilibrage,
de baume adoucissant sur mes cellules grises, sur mes nerfsje me reboutonne, je sors des toilettes un léger sourire aux lèvres
13 avril 2018 à 7 h 49 min #27146Jieffe
ParticipantBelle description bzo, et qui fait envie.
J’espère un jour connaître ça.
Dans certaines entreprises, ils ont créé des espaces détentes, on y voit apparaître des espaces massages, méditation, sport… Pour une meilleure productivité de leurs employés. Je crois que ce sont les Chinois ou les Japonais les plus novateurs dans ce domaine. Toi même dans ton entreprise vous avez une salle de sport.
Je ne sais pas si c’est très répandu en Belgique, mais de ce que j’en sais, c’est assez rare en France, dans ma région tout au moins.
Alors pourquoi pas le massage prostatique, anerosless???
Il permettrait comme tu le soulignes de détendre les employés, de leur permettre de se vider la tête pour mieux repartir, être plus efficace.
Bien sûr, ce n’est pas pour tout de suite, mais dans un avenir lointain, pourquoi pas????13 avril 2018 à 8 h 37 min #27148bzo
ParticipantToi même dans ton entreprise vous avez une salle de sport.
c’est assez modeste en fait,
deux vestiaires avec douches, évier, banc, chauffage
puis une petite salle où il y a des tapis de gym et un espalier,
mais pour moi, c’est suffisant
et surtout il n’y a pratiquement jamais personne à l’heure où j’y vais,
donc je peux m’envoyer en l’air en toute tranquillité et sans restrictionma technique aneroless évolue, s’améliore journalièrement
l’absence de masseur à créer un vide à combler,
les contractions, bien sûr, avant tout, c’est toute une technique à acquérir
pour qu’elles deviennent efficaces à chaque instantmais aussi, l’absence d’interférences au niveau des sensations due à l’absence du masseur,
crée un vide presque encore plus grand,
là ma technique doit s’adapter, devenir plus pointue, plus sophistiquée,
l’aneroless est plus exigeant, plus de concentration, le mental est plus fortement sollicité,
on peut être un peu paresseux et approximatif avec le masseur,
en aneroless pas,
enfin chez moi en tout cas, pour l’instant, ce n’est pas le casles gestes aussi, doivent acquérir un plus haut niveau de fluidité, de précision, d’engagement,
tant de nouveaux mouvements, tant de nouvelles postures, plus de limite,
grâce à l’absence de masseur et de ses restrictions de déplacementhier j’étais par terre, à faire l’amour comme une bête,
les jambes se levaient, le corps bougeait librement, plus aucune restriction,
l’imagination sexuelle déployant en toute liberté ses fantasmesle super O n’était plus très loin par moments,
je l’ai senti, des signes que j’ai reconnus,
certains tremblements, certains convulsions musculaires,
une sensation de vague immense qui se lève dans le lointainje sens aussi que dans un avenir pas très lointain,
je pourrai commencer à prolonger mes séances,
de la consistance, un rythme, une dynamique, propres à l’aneroless
sont en train de prendre formele rewiring aussi, de plus en plus avancé
13 avril 2018 à 16 h 33 min #27152Jieffe
Participantc’est assez modeste en fait,
deux vestiaires avec douches, évier, banc, chauffage
puis une petite salle où il y a des tapis de gym et un espalier,Ça a tout de même le mérite d’exister 🙂
mais aussi, l’absence d’interférences
Qu’entends tu par interférence?
on peut être un peu paresseux et approximatif avec le masseur,
en aneroless pas,
enfin chez moi en tout cas, pour l’instant, ce n’est pas le casHum, je pense chez tout le monde. Cela doit demander une concentration bien supérieure.
e super O n’était plus très loin par moments,
je l’ai senti, des signes que j’ai reconnus,Super bzo, tu t’approches, tu t’approches…
13 avril 2018 à 18 h 23 min #27154bzo
ParticipantQu’entends tu par interférence?
ce que j’entends par là?
maintenant que j’ai atteint un niveau assez sérieux en aneroless aussi,
aux portes désormais de mon premier super O
et en voie de pouvoir prolonger de plus en plus mes séances,
je sens deux nettes différences dues à l’absence de masseurcela crée chez moi une sensation de vide à deux niveaux,
d’abord l’absence physique du masseur,
que remplacent les contractions dans l’aneroless, en tout cas chez moi,
je me sers de celles-ci en fait, exactement de la même façon qu’avec un masseur,
je crée en quelque sorte une sorte de masseur invisible
mais dont je peux faire varier la forme, la longueur, l’épaisseur,
c’est beaucoup plus subtil et varié comme effets
mais cela demande du temps d’apprentissage et le rewiringce que j’appelle les interférences du masseur,
ce sont les sensations que créent les contacts avec la prostate,
bien sûr dans le contexte du massage prostatique avec masseur, ce sont des sensations plaisantes
et comme on va et vient avec celui-ci, elles sont plus ou moins constamment là
à partir du moment où on a un certain niveau,
on est totalement habitué ainsi à ce que toute une certaine zone autour de la prostate
soit occupée par ces sensationsune fois qu’on est en aneroless, chez moi en tout cas,
j’avais une sensation de vide là où habituellement il y a ces sensations,
il faut repeupler cette zone en quelque sorte, la recoloniser
car les sensations des contractions sont plus subtiles, moins envahissantes,
ressenties différemment, c’est moins facile,
il faut plus se concentrer, mettre plus la main à la pâte en quelque sorte
pour que toute cette zone soit habité de sensations aussi,
c’est moins simple
mais une fois qu’on y arrive, c’est plus fort, plus riche,
enfin cela l’est désormais chez moi,
même si la sensation de vide ,’est pas totalement morte
et qu’elle revient encore parfois,
c’est une question d’habitudeje ne sais pas si c’est suffisamment clair, expliqué ainsi,
j’avais vraiment une sensation de vide autour de la prostate
quand j’étais en action pendant tout un temps en aneroless,
là c’est en train de partir peu à peu,
cela se restructure au niveau des sensations, au niveau du ressenti des mouvements,
la sensation du féminin en action est beaucoup plus fort,
cela compense très largement les sensations qu’il n’y a plus
grâce au contact direct du masseur avec la prostate
et que dans le contexte de l’aneroless , j’appelle interférences13 avril 2018 à 19 h 05 min #27155bzo
Participantpour continuer d’essayer de décrire les différences
tout est à la fois très semblable et très différent…
je veux dire, que tous les aspects de l’aneroless me sont familiers, très familiers
mais les équilibres sont différents, c’est agencé autrementle féminin est beaucoup plus présent, c’est une aubaine bien sûr,
elle occupe aussi la place laissée vacante par le masseur,
dis comme cela, cela peut paraître pas grand chose
mais le masseur, c’est un objet externe, qu’on bouge et qui provoque des réactions, des sensations,
tout cela n’est plus là,
c’est énorme en faitaussi j’ai parlé maintes fois de la synchronisation entre les mouvements du masseur
et des caresses et des mouvements du corps,
ça aussi c’est bouleversé, il faut retrouver une synchronisation
entre les contractions et puis le reste,
ce sont des rythmes différents, une toute autre harmonie,
c’est pour cela que pour l’instant je ne parviens pas encore à prolonger mes séances
mais cela vient peu à peutrouver de nouveaux enchaînements, de nouveaux rythmes,
c’est un orchestre dont le principal musicien, à savoir le masseur, n’est plus là,
il est remplacé par les contractions,
il faut répéter ensemble, retravailler les morceaux,rééquilibrer les improvisations
retrouver des automatismes, apprendre à se connaître13 avril 2018 à 23 h 08 min #27157bzo
Participantmicro-séance
mais maxi plaisirje ne m’en lasse pas, dès que je suis chez moi et que je suis en mode loisir,
j’arrête pas, c’est plus fort que moi,
la jouissance vient tellement facilement, en quelques secondes,
intensité qui semble allumer tout mon intérieurl’aneroless , je me rends compte de plus en plus ,
c’est minimaliste, bouger peu mais bouger bien,
être à l’écoute de ce qui se passe avant tout,
comme une grande oreille tournée vers l’intérieurle plaisir est un clavier,
il y a la touche sein gauche, il y a la touche sein droit,
il y a la touche bassin, il y a la touche fesse gauche, il y a la touche contraction,
et en avant la musique14 avril 2018 à 0 h 52 min #27158bzo
Participantparlez-moi d’addiction…
je dois bien avoir fait au moins 50 micro-séances depuis le début de la soirée,
trente secondes à deux, trois minutes
mais qu’est-ce que c’est intensesurtout, surtout, je commence à mettre au point une gestuelle, une façon de caresser, de presser ce corps,
une façon d’aller chercher le plaisir, qui se démarquent ,
jusqu’ici je fonctionnais essentiellement sur mon héritage que j’avais pris avec moilà ce soir, je sens que quelque de propre à l’aneroless,
en rupture avec cette technique, cette gestuelle, issues de mes séances avec masseur,
commence à prendre formele but, c’est bien de tout en gardant bien sûr ces micro-séances
qui ponctuent délicieusement le quotidien,
de pouvoir développer une pratique sur des laps de temps plus élevés14 avril 2018 à 2 h 39 min #27159bzo
Participantcette boulimie, cette frénésie sexuelle qui est la mienne actuellement,
porte ses fruitsj’expérimente, j’expérimente
j’avance à pas de géants,
pas toujours dans la bonne direction
mais j’y vais et toujours avec beaucoup de plaisirs et d’orgasmeslà, je viens de me rhabiller, je me suis mis au lit tout nu
et réussi une petite séance d’un quart d’heure en aneroless,
très encourageant car suis parvenu à maintenir une tension sexuelle très intense tout le longsans masseur, les temps morts sont plus nombreux, inévitables,
bien négociés, ils seront les creux de vague entre deux crêtes,
c’est le rythme de l’océan qui vit, qui bouge, au fond,
il faut les intégrer de façon à ce qu’ils fassent partie de la houle14 avril 2018 à 11 h 11 min #27160bzo
Participantarf, cette réflexion cette nuit concernant les creux,
je ne sais pas si elle fait sens pour quelqu’un qui lit cela
sans être en train de vivre ce que je vis comme expériencele fait est que la puissance extraordinaire de ce que je ressens durant mes micro-séances
se combine avec des moments creux, appelons-les ainsi,
cela forme un peu une sorte de houle au niveau du ressenti,
avec des différences d’intensité d’un moment à l’autre,
que j’ai encore du mal à gérerc’est un peu comme un surfeur face aux vagues,
je dois apprendre à négocier tous ces hauts et ces bas d’intensité
sans me braquer, sans me bloquer et tracer ma route
sinon je me retrouve à l’arrêt entre deux vagues,
cela brise le rythmeescalader vers la crête suivante
puis redescendre la pente en profitant bien de l’accélération
pour remonter plus vite sur la vague suivante,
ne pas rompre la dynamique de l’action, de l’acteavec masseur, tout cela est moins marqué,
la séance est moins une chevauchée débridée sans repère
mais la cavalcade est tellement intense pour l’instant
que j’ai du mal à la continuer plus de quelques minutes
bien que hier j’ai réussi une séance d’une petite quinzaine de minutesbon dieu, si j’arrive à vivre une séance d’une heure avec une pareille intensité,
alors là, alors là,
je risque l’overdoseje plaisante bien sûr, je risque de crever tous les plafonds de la jouissance en tout cas
14 avril 2018 à 11 h 52 min #27161bzo
Participantj’y suis de plus en plus
nu, c’est plus facile évidemment,
donc me suis mis à nu dans mon siège devant mon ordinateur
avec toute la surface de mon corps à la disposition de mes mainsimmédiatement elles se sont mis à se balader sur cette chair exposée, offerte,
j’ai bien écarté les jambes,
j’avais l’impression de sentir un courant d’air frais entrer par mon anus
tellement je les écartais
mais cela n’a duré qu’un instant
car la contraction est arrivé et immédiatement je me suis senti empli divinementcloué dans mon fauteuil que j’étais
par la pression monstrueuse du décollage de la fusée,
l’impression d’être pulvérisé de plus en plus,
pour décoller, ça décolle…
c’est tout juste si j’arrive encore à respirerbon dieu, la stratosphère,
les anges étonnés me voit passer à toute allure,
je monte encore plus haut,
pas s’arrêter en si bon chemin,
voyons voir ce qu’il y a encore plus haut14 avril 2018 à 12 h 41 min #27162bzo
Participantje me prends, me reprends, me reprends encore, me rereprends, me rereprends encore…
me rerereprends, me rerereprends encore…je n’arrête pas de me baiser,
je me baise avant le petit déjeuner, durant le petit déjeuner, après le petit déjeuner …j’entends certains murmurer tout bas le mot d’addiction,
peut-être…je ne suis pas sûr qu’ils ne feraient pas de même
s’ils pouvaient obtenir un plaisir de pareille intensité, des orgasmes aussi puissants
n’importe où, en n’importe quelle position, en deux temps, trois mouvementsje suis devenu une machine à orgasmer,
j’abrite une nymphomane,
au secours14 avril 2018 à 12 h 59 min #27163bzo
Participantallons bon, j’ai le nez qui saigne maintenant,
j’avais la tête écrasé contre l’oreiller tellement fort,
en plus je n’arrivais plus à respirer,
j’ai cru que j’allais étouffermais j’étais écrasé contre ce oreiller, le cul en l’air,
empalé par la jouissance,
je n’arrivais plus à bouger,
j’étais pétrifié par le plaisir14 avril 2018 à 13 h 18 min #27164bzo
Participantbon,
le reportage de ma matinée du samedi se termine ici,
il faut bien que j’aille faire mes courses
puis que je fasse mon tour chez les bouquinistesici radio orgasmes en direct depuis Bruxelles,
toute la matinée avec un fondement heureux, un fondement aux anges,
je vous rends l’antenne14 avril 2018 à 14 h 07 min #27165bzo
Participantje suis rentré de mes courses,
mes sacs emplis de victuailles à peine déposés,
je n’y résiste pas, je me débarrasse de mes vêtements à toute vitesse n’importe comment
les jetant à gauche et à droite
et je suis déjà sur mon fauteuil nu comme un ver les jambes écartés,
écartelé de plaisir, gémissant, me caressant,
empli délicieusement par des va et vient patients,
tout à l’écoute de mon plaisir,
je me sens tout souple et tout ouvert, prêt à jouir et à jouir encore10 minutes, j’arrive enfin à sortir peu peu de mes schémas de 2, 3 minutes maximum,
forza team orgasmes à gogo!14 avril 2018 à 14 h 31 min #27166bzo
Participantallons bon, je vais devoir bientôt partir chez le coiffeur,
j’ai rendez-vous à 15h30, c’est au diable vauvert,
je me demande pourquoi je vais si loin
alors que j’ai un coiffeur au coin de ma rue qui a l’air bien sympaj’étais encore nu comme un ver dans mon fauteuil,
à me caresser rêveusement le sein et appliquer quelques contractions sporadiquement,
le fond du cerveau encore plein d’étoiles et de picotements
de l’orgasme il y a à peine quelques secondes
quand j’ai senti le mustang dans mon sang se dresser à nouveau,
d’un revers de la main j’ai balayé tout ce qu’il y avait sur mon bureau (pas l’écran d’ordinateur tout de même),
me suis debout contre, abaissé tout le haut du corps sur la surface de bois
et ainsi la croupe bien offerte,
entamé des mouvements lents et vigoureux de pénétration,
tout le bureau en était secoué,
je n’y résistai pas longtemps, je gémissais de plus en plus fort, j’avais orgasme sur orgasme,
si j’avais pu, je me serai attraper les cheveux aussi et tirer bien fort dessus
comme on attrape la crinière d’une jument pendant qu’on la chevauchebon, temps d’aller chez le coiffeur
15 avril 2018 à 10 h 06 min #27167bzo
Participantce matin sous les draps dans l’obscurité,
à peine ma conscience a repris possession de mon corps,
que je pose ma main sur une hanche et lentement, voluptueusement,
je la remonte vers mon sein droit
tout en m’étirant langoureusement, prêt au plaisirmon bassin rythmiquement déjà répond à l’appel,
je me sens déjà tout empli du féminin, mes sensations sont passées en mode turbo,
un premier gémissement de plaisir naît dans mon ventre
tandis que comme une première pénétration, me remonte irrésistiblement entre les jambes,
comme un lent piston qui presse, presse, presse, empli, empli , emplidouce musique aux oreilles,
cette plainte échappée de ma gorge comme un petit aéronef de volupté ,
est chargée de ma première sensation de plaisir de la journée,
elle remonte de mes entrailles, je la sens voyager depuis mon bassin,
monter, monter et enfin elle décolle par ma bouche,
toute chargée de ce plaisir cristallin qui explose entre mes reins,
fluidifie mon sang de doux picotementsje me laisse totalement aller, répondre au plaisir en se laissant encore plus aller,
“viens, envahis ce corps, je suis tout à toi, lames de la jouissance,
faites votre office, ces muscles, ces nerfs, ce sang, ces os, sont tout à vous
ne sont là que pour vous accueillir, vous sentir vibrer quelques instants,
submergez-moi, écartelez-moi, purifiez-moi dans les eaux divines du plaisir”une seconde colombe sonore s’envole de ma gorge,
toute chargée de ce coup de rein qui a fait mouche,
s’est enfoncée au plus profond de ma chair, est venu titiller une zone
où toutes les cellules se sont mises à convulsionner frénétiquement façon rave partyc’est bon de s’entendre gémir de plaisir,
quand les sons montent ainsi bien régulièrement, que les râles se font de plus en plus plaintives
façon “que m’as-tu fais là encore, mon dieu, arrête, c’est trop, je n’en peux plus”,
ma gorge semble être connectée directement à mon sexe, à son sexe
et les lents mouvements de pénétration, j’ai l’impression de les sentir remonter jusque là,
faisant monter les sons, les poussant dehors,
comme gorgés de plaisir pour que le monde tout autour en profite aussi15 avril 2018 à 10 h 51 min #27168bzo
Participantj’ai constaté qu’aneroless,
c’est le matin que cela fonctionne le mieux, beaucoup beaucoup mieuxquand on est encore gonflé à bloc, non entamé, chargé d’énergie,
les jours de congé, sans visite familiale à l’agenda,
mes matinées désormais seront aussi lubriques que possibleje vais visiter toutes les pièces et tous les recoins de mon appartement
y testant les possibilités de s’envoyer en l’air, debout, assis, couché,
par terre, dans mon lit, contre les meubles, sur les meubles,
sous la table, sur la table, contre la table,
accroupi, à quatre pattes, à califourchon, les jambes en l’air,
sur le ventre, sur le dos, sur le côté,
les mains baladeuses, les mains fouilleuses, les mains fouineusesforza team orgasmes à gogo
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