Mots-clés : a-less, anerosless, journal, orgasme
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20 avril 2018 à 23 h 02 min #27259bzoParticipant
aujourd’hui au boulot,
j’ai eu mon premier orgasme
et sans gémir, svpaux toilettes, silencieux et sérieux comme un pape pour contenir le plaisir à l’intérieur,
debout, plaqué contre le mur, face contre le mur,
comme labouré puissamment par derrière,
j’avais l’impression d’être une barque trouée à grands coups de boutoir qui s’emplissait de plaisirpuis soudainement mon corps a été traversé par une grosse déferlante de chaleur
qui est venu exploser et s’attarder dans mon cerveau,
j’avais joui en quelques minutesen aneroless, le féminin est encore plus omniprésent, encore plus omnipotent,
encore plus aux commandes, encore plus s’exprimant dans tous mes membres, par tous mes membresil semble que le fait qu’il n’y ait plus d’objet externe, plus d’intermédiaire en silicone,
seulement les ressources de ce corps,
a comme conséquence qu’on le ressent encore plus, cette divinité des profondeurs,
tellement m’envahissant, tellement m’absorbant,
mouvant mes membres, mouvant mes hanches, mouvant mon bassin,
ses seins, oh ses seins dans mes mains,
je me lasse pas de les triturer, de les tripoter, de les malaxer, de les chiffonner,
ils me répondent en envoyant de tous les côtés des ondes de plaisir, des vagues de chaleur
et je me sens femme entre des mains d’homme, j’ai l’impression de prendre mon envolet puis ce sexe, son sexe sublime, insatiable boule de nerfs, insatiable déesse, entre mes jambes,
cette chair tout en plis et en replis, mélange de velours gluant et de soie humide
prêts à frissonner, prêts à frémir et à diffuser des vagues de plaisirbon dieu que c’est bon,
de sentir les contractions comme un phallus bien dur s’enfoncer là-dedans,
aller et venir, comme un limier infatigable poursuivant sa proie, reniflant dans tous les coins
freinant tout d’un coup, s’arrêtant net puis repartant de plus belle,
s’enfoncant jusque la garde d’un coup sec et violent
puis se retirant en faisant des petits mouvements latéraux,
fais-moi gémir, fais-moi jouir, fais-moi vibrer au diapason de l’océanoui, moi-même je vais me faire jouir car je suis deux en ces moments-là,
mes reins sont suprêmement femelles, mes reins sont suprêmement mâles,
je ressens les deux, oui je ressens les deux, il est temps de l’affirmer
cela a été clairement établi par mes soins en aneroless,
j’enfonce mon dard bien dur, je prends plaisir à pénétrer,
à m’enfoncer avec un sexe tendu, gonflé de sang,
à me sentir m’enfoncer dans cette chair qui s’ouvre, se déplie sur son passage,
qui s’offre, qui offre ses plis humidesoh comme je prends plaisir à pénétrer en ma part féminine
et comme je prends plaisir à me sentir pénétré, je m’abandonne, je m’ouvre,
monte en moi, fraie-toi un passage dans ma chair,
ne me ménage pas, je ne suis pas une poupée de porcelaine,
offre-moi toute la violence et toute la douceur dont je suis capable,
mon plaisir d’enfoncer mon sexe, mon plaisir de me sentir pénétrer,
ces sensations s’entremêlent, maintenant je m’en suis rendu compte,
divin corps à corps dans le sous-sol entre mes jambes
mais tout le reste,
en-dehors de mes mains peut-être,
appartienne à elle,
et elle appartient à l’océan dans mes ténèbres21 avril 2018 à 0 h 57 min #27261bzoParticipantj’arrive à me lâcher de plus en plus
et au plus je me lâche, au plus mon coup de rein est efficace,
au plus le coup dans mes reins est efficace,
au plus je sens sur le passage du dard, le miel du plaisir se répandre dans ma chairje suis au deux bouts de la pénétration,
je me sens m’enfoncer dans ma chair, je me sens enfoncé dans ma chair,
je nage en eaux délicieusement troubles,
mon dieu que j’aime cela, le plaisir prostatique est une drogue dureune de mes positions préférées actuellement, est sur mon bureau,
il est bien grand, désormais il y a toujours un coin dégagé pour m’accueillir,
me faire l’amour à même le boisje me baisse, une fois bien penché en avant, reposant sur la surface en hêtre,
je me caresse les flancs, les fesses, écarte les lobes,
j’adore sentir, confondu à mon anus, ce sexe s’ouvrir,
c’est comme si un papillon déployait ses ailes quand il s’ouvre, qu’il baille,
c’est là à ce moment précis,
quand j’ai cette sensation de lèvres bien écartées
avec une petite démangeaison de plaisir déjà entre elles,
que je m’enfonce bien fort, bien à fond,
un peu de biais pour bien racler la paroi durant toute la pénétrationj’ai le souffle coupé tellement le plaisir semble un coup porté dans mes entrailles,
je pousse encore plus, mon tronc en est déplacé vers l’avant,
je grogne, je râle, je gémis,
je bouge langoureusement ma croupe, avec totale indécence,
tout notion de pudeur ou de masculinité disparue,
juste une femme en rut voulait être pénétrée à nouveau,
invitant cette queue imaginaire entre mes jambes à recommencer son divin manège,
à revenir fouiller mon fondement de toute sa vigueur,
j’arrive plus à me retenir de hurler mais on va pas trop m’entendre,
il y a une bande de jeunes homos sur une terrasse pas loin de chez moi
en train de rigoler, de se trémousser, de s’embrasser, de se faire des papouilles,
ils ont vraiment l’air bien ensemble, heureux de vivre et de s’aimer,
et moi, cela m’arrange, ils couvrent même mes cris qui sont pourtant vraiment très forts pour l’instant
mais je me lâche complètement, je donne des cordes vocales sans me retenir,
que c’est bon de hurler son plaisir sans aucune retenue21 avril 2018 à 1 h 36 min #27262bzoParticipantça y est, j’ai eu mon premier super O aneroless,
toujours le haut du corps affalé sur mon bureau, comme pris par derrièrec’était impressionnant, j’avais le cerveau explosé de plaisir
et le corps secoué de spasmes, j’étais comme un dément, un forcené,
la croupe en feubon dieu j’ai jamais vécu quelque chose d’aussi fort,
jouir comme cela, c’est de la folie furieuse,
c’est le plaisir comme un alcool à 80% qui vous passe dans tout le corps
et qui vous rend fou, complètement déchaîné, ivre, ivre, ivreune petite minute de frénésie complète,
secoué de convulsions et de pleurs à chaque fois que je ré-enfonçais le dard en moi21 avril 2018 à 10 h 15 min #27268bzoParticipantj’ai recommencé ma journée comme je l’ai terminé hier,
vous avez déjà une petite idée, n’est-ce pas…pourquoi se priver, pourquoi se retenir,
j’ai maintenant en aneroless un accès facile en quelques secondes,
à une jouissance lumineuse comme des rires joyeux, tonitruants du corpstandis que je me caresse, tandis je me fais l’amour,
la sensation d’être sous une cascade d’eau claire, une cascade d’eau fraîche
mais qui au lieu de ruisseler sur ma peau, de m’inonder de l’extérieur de la tête aux pieds,
me traverse, s’introduisant partout, dans tous mes tissus, dans tous mes os, ma chair, mon sang,
ruisselant abondamment dans tous les directions,
roulant joyeusement ses gouttelettes lumineuses, ses gouttelettes chaleureuses,
ses gouttelettes caressantes, ses gouttelettes légères, ses gouttelettes dansantescadeau du ciel, cadeau des nuages,
les beaux nuages là-haut, je vous rejoins,
je monte, je monte, j’arrive,
j’éclate, j’éclate21 avril 2018 à 11 h 33 min #27277bzoParticipantle mâle en moi donc participe aux ébats
le féminin monte, le féminin me submerge,
le féminin s’empare de mon corps, en prend possession entièrement,
ses sensations, ses sens m’habitent, son sexe palpite et frémit entre mes jambes,
mon bassin est habité par sa houle sensuelle,
je m’ouvre, je me lâche, je fais sauter tous mes verrous, toutes mes résistancesmon pénis est en exil, recroquevillé dans son coin
mais pourtant quelque part dans la zone du bassin,
le masculin est bien là, comme concentré entièrement dans ce phallus formé par les contractions,
le maniant, percevant par lui,
ah l’extraordinaire sensation de pénétrer,
sentir cette chair raidie, gonflée de sang, aux terminaisons nerveuses prêts à s’enflammer,
allant et venant dans une vulve, dans un vaginse faire l’amour, cette expression est si profondément vraie, si profondément exacte,
si totalement vécue par moi désormais
que rien que de l’écrire, j’en suis tout bouleversé, tout ému,
près des larmes tellement ce plaisir est ineffable,
j’en ai des frissons qui me parcourent tout le corps
et déjà la femme et l’homme en moi, se désirent, veulent s’enlacer, s’unir,
une irrésistible attirance s’éveille en moi,
ma peau désire ses mains, les sentir me parcourant, les sentir la parcourant,
leurs deux sexes se cherchent déjà à distance,
voudraient fusionner, ne plus former qu’un jusqu’au ciel21 avril 2018 à 13 h 35 min #27279bzoParticipantah les femmes dans la rue il y a quelques minutes quand j’ai été faire mes courses,
toute légèrement vêtues par cette grande chaleur,
comme leurs corps m’ont parlé,
comme ils m’ont susurré des choses douces et sensuelles à tout mon être,
je me sentais amoureux un instant de chacune d’ellecela doit faire longtemps que je ne les ai plus bien regardées
car j’avais l’impression de les voir pour la première foisle spectacle de ces courbes sensuelles, de l’harmonie animale de leur corps
de ces seins qui bougeaient sous les t-shirt,
j’en ai même entrevu une paire magnifique dans l’échancrure d’une chemise,
lourds globes de chair si désirables,
qu’on a envie de happer avec les mains, de les couvrir de baiser,
tout cela m’a particulièrement parlé aujourd’huije ressentais leurs courbes en moi,
je ressentais leurs hanches en moi, je ressentais leurs cuisses en moi,
je ressentais leur sexe en moi, je ressentais leur poitrine en moi,
tout cela faisait écho à mon intimité la plus ardente, à ma féminité,
éveillait le désir de l’homme que je suis encore plus envers toutes ces femmes,
maintenant que celle que j’ai en moi, répond si fougueusement à toutes mes sollicitationsil y a eu à des moments de mise en perspective vertigineuse
où mon désir s’envolait par mes yeux vers elles,
embrassait la courbe de ces fesses, de ces seins
et que c’est la femme en moi qui répondait immédiatement à mon excitation,
pendant un instant je n’étais plus sûr de ce qui se passait,
le corps de ces femmes s’entremêlaient à celui de celle que je porte,
il me semblait que je pouvais leur faire l’amour à toutes au travers elle
et que si je terminais ma journée dans le lit d’une de ces délicieuses créatures,
je ferai aussi l’amour à ma muse tout en allant et venant entre les cuisses de la belle,
tellement il y avait de magnétisme mystérieux désormais
établi entre le féminin que je porte en moi si totalement éveillé, si vivante, si perçue,
et toutes ces créatures divines dans les rues22 avril 2018 à 5 h 08 min #27281bzoParticipanttrois heure et demie du mat,
me suis réveillé, n’arrive plus à me rendormir pour l’instant,
vais dresser une sorte de premier bilan après quelques quelques semaines en anerolessl’intensité moyenne du plaisir est désormais supérieure, beaucoup supérieure même,
même si cela parait incroyable tellement ce que j’ai vécu avec Carabosse,
ma petite fée du logis qui me récurait le fondement avec son balai magique en silicone,
était déjà une aventure extraordinaire où j’avais connu des sommets de jouissance
assez phénoménauxmais les sensations en aneroless,
du fait de l’absence des interférences du masseur sont beaucoup plus précises, incroyablement plus précises
ressenties tellement réalistiquement dans notre chair, tellement,
on les vit totalement on y est, on baise et on est baisé,
on est tout seul certes mais on est deux à l’intérieur,
le féminin dans les profondeurs et moi avec mon corps et ma tête d’homme
et on s’est arrangé pour copuler et jouir ensemble,
cela peut se réaliser, j’en suis la preuve vibrantec’est pourtant beaucoup plus fragile en aneroless
parce que c’est juste le mental et lui seul qui est en charge, la concentration est beaucoup plus sollicitée,
les mains caressent, le corps bouge, les contractions font office d’instrument de pénétration
mais quelque part c’est le mental seul qui génère, qui porte tout le poids du plaisir, des sensations,
aucune aide externe, pas de masseur qui a un contact physique avec la prostate,
cela fait une énorme différence en fait, je répète cette phrase,
le masseur a un contact physique direct avec la prostate
qui se charge en partie de la génération du plaisir,
toute cette partie doit être désormais assurée par le mental seul
en aneroless il n’y a plus de contact direct, juste du massage indirect de la prostate
et j’ai encore du mal pour l’instant à avoir des séances de plus d’une demie heure
tellement je me sens mentalement éreinté au bout d’un certain temps
et j’ai besoin d’arrêter pour laisser mon esprit reprendre son souffle en quelque sortemais c’est déjà pas mal un quart d’heure à une demie heure,
il y a quelques jours à peine,
je n’arrivais pas à sortir du cadre de mes micro-séances qui durent au maximum 3, 4 minutesl’extraordinaire variété des positions à disposition
a ouvert des territoires nouveaux dont je n’ai fait que commencer l’exploration,
je revisite mon appartement pièce par pièce, recoin par recoin,
je me fais l’amour par terre, sur les meubles, sous les meubles,
durant le déjeuner, après le déjeuner, durant la douche, après, avant,
en fait pour l’instant toutes mes activités au quotidien à la maison,
sont entrecoupées de moments de plaisir prostatique plus ou moins longsje rappelle qu’avec le masseur, on a toutes sortes de limitations
dans les positions qu’on peut prendre et les gestes qu’on peut faire,
du fait de la perte d’efficacité des mouvements du masseur,
ainsi donc en aneroless c’est la découverte de tas de nouvelles positions,
à quatre pattes, le cul en l’air, debout, enfin plus aucune limitations,
tout le kamasutra est à notre portée en anerolessle fait de pouvoir entamer une petite séance n’importe quand et à peu près n’importe où,
est un immense avantage,
c’est tout à fait une autre ère de mon plaisir prostatique dans laquelle je suis entré,
plus besoin du lit, plus besoin de matériel, plus besoin de préparation,
on peut improviser une petite séance dans la salle d’attente de son dentiste s’il n’y a personne,
dans les toilettes au boulot, dans une voiture dans une file d’embouteillage,
du moment qu’on se contrôle un peu et qu’on peut se retenir de gémirle plaisir prostatique sort du cadre du lit donc
et on peut l’éprouver à tout moment de la journée
du moment qu’on peut un peu s’isoler à peu près n’importe où, c’est magnifique, c’est génial,
du plaisir prostatique portable, en poche, prêt à l’emploisurtout que je n’ai pas besoin d’aucune périodepréliminaire, de mise en condition,
quasi instantanément le plaisir est là intense
et le premier orgasme peut arriver après quelques secondes,
même si je n’ai pas encore comme avec le masseur, mon délicieux orgasme au premier contact
que j’avais toujours quand celui-ci touchait pour la première fois de la séance ma prostatemais cette intensité du plaisir présente dès le premier instant chez moi,
je tiens à le préciser, c’est grâce au fait au féminin,
grâce au fait qu’elle est totalement aux commandes et que j’arrive totalement à me lâcher,
cette combinaison fait que le masculin et le féminin en moi
peuvent s’exprimer sans frein, s’adonner à toutes leurs fantaisies,
moi et moie, totalement libres, totalement dévergondés, totalement déchaînés,
nous nous embarquons dans une aventure sexuelle inouïe,
unique à chaque foisdans mon bas-ventre, dans mon fondement,
j’ai l’impression de percevoir désormais un spectre complet de sensations, du mâle jusqu’au féminin,
en aneroless c’est nettement plus marqué, on perçoit cela très bien,
que le mâle est aussi là, certes assez noyé dans le féminin
mais néanmoins là avec son coup de rein
et la sensation du bâton de chair durci, raide, qui va et qui vientde la puissante sensation de pénétration que ressent le mâle par le truchement de sa queue dressée
jusqu’à la marée irrésistible de chaleur, aux frissons délicieux
qui m’envahissent par le bas à sentir les contractions comme un phallus s’enfonçant en moi,
me faisant l’amourtoutes ces sensations sont unies, se mêlant, s’entremêlant,
ressenties en même temps séparément et en même temps comme fusionnées,
même si les sensations féminines de plaisir sont beaucoup plus puissantes
parce qu’elles envahissent rapidement tout le corps, toute la tête
alors que la sensation de pénétration, elle, elle reste confinée au bas-ventre, au fondementbref l’aneroless est totalement adopté désormais
et je ne pense pas pour l’instant à retourner vers le masseur22 avril 2018 à 11 h 19 min #27284bzoParticipantbon je me suis relu,
pas juste le message juste au-dessus mais un peu plus
et je tiens à préciser à nouveau certaines choses pour d’éventuels lecteurs qui passeraient par icid’abord j’essaie de transcrire dans le fil de ce journal aussi fidèlement que possible
ce qui s’est passé, ce que j’ai fait et ce que j’ai ressenti durant mes séances en aneroless,
même si parfois je me laisse emporter par les mots, par mon lyrisme
et que j’en rajoute un peumais dans l’ensemble c’est assez fidèle
là par contre où cela pêche plus, c’est quand j’essaie, quand je me hasarde,
à théoriser, à dégager quelques règles,
je revendique une subjectivité absolue dans le fil de ce journal,
j’avoue ce ne sont que des vérités du moment que je peux très bien contredire quelques jours après,
voire le lendemaincela me gêne un peu en me relisant, j’aimerai être plus fiable,
énoncer des vérités d’or valables pour les siècles à venir,
mais non ce sont juste des balbutiements au fur et à mesure de mon cheminement
qui correspondent à des tentatives pour comprendre
comment cela s’est produit, pourquoi cela s’est produit et comment faire pour que cela se reproduiseà prendre avec des pincettes donc et à confronter à sa propre expérience,
pratiquer, se tromper, un peu de plaisir, pratiquer, se tromper, un peu plus de plaisir,
pratiquer, se tromper, plus du tout de plaisir, pratiquer, se tromper, beaucoup de plaisir,
pratiquer, se tromper, beaucoup de plaisir, pratiquer, se tromper, plus du tout de plaisir,
pratiquer, se tromper, etc
le long parcours d’apprentissage tout en patience et en persévérance
et puis un jour, la consistance arrive, la technique est au point,
du moins suffisamment au point, vous arrivez à vous lâcher complètement,
si vous pratiquez à ma manière,
le féminin est bien là éveillé, désormais totalement aux manettes,
votre instinct, vos pulsions, mènent la séance, vous vous faites l’amour
alors là, que du bonheur du début à la fin de vos séances,
même les erreurs sont noyés dans le flot du plaisir, vif, quasi continu et puissant,
comme des débris emportés par le courantcomme il est souvent écrit ici et là donc, l’auteur dégage sa responsabilité,
il cherche juste à se donner du plaisir et à partager son plaisir,
et s’il se prend parfois trop au sérieux,
n’oubliez pas qu’il est irresponsable puisqu’en en quête de plaisir chroniquement22 avril 2018 à 13 h 11 min #27285EpictureParticipantSais tu a quoi on reconnait quelque chose de vivant ? Ca bouge tout le temps et c’est toujours en mouvement. Quand ca s’arrête c’est que c’est mort ! Alors ne t’inquiète surtout pas et continue a être vivant, et a partager !
Bon cheminement @BZO22 avril 2018 à 20 h 30 min #27320bzoParticipantmerci @Epicture, c’est gentil d’avoir écrit cela
ce matin avant de partir chez des amis, j’ai eu le temps de faire quelques séances
et j’ai fait des progrès sérieux, même assez décisifs, je croisle mouvement de pénétration, le maniement du phallus,
entre d’autres termes, les contractions partaient jusqu’ici des fesses,
puis les rejoignaient les muscles autour de l’anus, périnée, etcdepuis ce matin désormais la pénétration est démarrée par les reins,
tout le bassin s’engage, collabore avec les fesses
et puis bien sûr les muscles immédiats autour de l’anus entrent en action aussi, terminent le mouvement
c’est beaucoup plus puissant, plus complet dans sa courseen fait ma maîtrise de la reproduction du mouvement de pénétration a abouti,
il se produit désormais à peu près de la même façon qu’avec un(e) partenaire ,
une amplitude beaucoup plus grande du mouvement
et beaucoup plus de puissance à ma disposition avec les reins et tout le bassin engagésc’est impressionnant à voir et à sentir, tout le bassin bouge énormément, un mouvement de houle
et c’est encore plus impressionnant à ressentir,
la perception de la dualité mâle, femelle est encore montée d’un cran,
je me sens avoir un bassin, des reins d’homme au travail avec le pénis allant et venant
et en même temps, superposé, mêlé à ce bassin d’homme,
je me sens aussi avoir un bassin et des hanches de femme
avec son sexe dans lequel se produit les va et vient,
sexe et bassin de femme tout emplis de vagues de chaleur, de vibrations, de frémissements et de frissons,
se diffusant à l’ensemble du corpsje sens ces deux bassins comme travaillant de concert, unis dans l’acte d’amour,
collaborant, délicieusement mêlés,
c’est sublime comme sensation, d’une richesse et d’une puissance inouïes,
je les sens fusionnés et en même temps je les sens bien distinctement l’un par rapport à l’autre
comme si j’étais deux personnes de sexe différent en même temps,en tout cas, c’est tout à fait extraordinaire,
cela renforce encore plus la sensation de se faire l’amour
et désormais la perspective de pouvoir faire des séances de longue durée
jusqu’à extinction du désir, satisfaction complète des sens
est bien présente, je le sensavec à la fin cette ultime récompense, ce long moment si abouti, si accompli
on l’on reste couché après l’amour, immobile, léger, profondément apaisé, satisfait, calme
et on se sent tout empli de bienveillance, de bonheur et de tendresse
car le corps a exulté, le corps a chanté, le corps s’est uni à l’océan
et nous on a vécu avec lui le mystère du plaisir au coeur de l’action22 avril 2018 à 23 h 04 min #27329Ch313ParticipantEnfin il faut bien que je prenne un petit moment pour écrire ici je l’avais promis !
Allez , un petit compte rendu.
Cet après-midi, nous sommes partis nous balader en campagne. Et tout en marchant, je profite de cette chaleur printanière, je m’installe dans mon intérieur. La chaleur envahit mon bassin, mon ventre oscille au rythme de mes pas. Mes doigts s’insèrent dans mon pantalon, caressent mon pubis. Je descends entre mes lèvres, elles sont déjà bien mouillées. Le plaisir s’intensifie, je me pénètre sans plus attendre. Je suis complètement trempée. Je jouis. Et redoublant de caresses je jouis encre, cela dure plusieurs minutes toujours en marchant à côté de ma compagne. Et pourtant elle ne soupçonne rien, je contrôle mon apparence. Je contrôle aussi mon intérieur, je fais durer le plaisir pour ne pas m’abandonner complètement et ne pas entrer en orgasme. J’ai peur que des spasmes incontrôlés me trahissent.
Je me suis octroyé une petite demi-heure de voyage impensable dans ce dédoublement de personne.Le A_less est un univers merveilleux. On ne s’en lasse pas, bien au contraire, on essaie de le pénétrer sans en trouver les limites
Pour moi j’y suis entré tellement rapidement que j’en suis abasourdi. Comment presqu’instantanément pouvoir ‘décoller’ et aussi facilement revenir à l’état d’avant la ‘séance’. Si j’essaye de décrire mon état dans ces moments je dirais que je contrôle d’une part mon environnement et ce que ´je suis dans cet extérieur ´ et d’autre part ce que je suis dans mon intérieur.
Cette faculté qu’à partir de n’importe quoi je puisse me connecter à mon univers sexuel.
La vue de quelque chose objet ou paysage, une odeur, une sensation, et le feu s’embrase en moi en quelques secondes. Bien sûr j’ai analysé mon espace environnemental et je me suis donné le feu vert. Je suis à l’affût de tout ce qui m’entoure et pourtant en même temps je suis en total abandon intérieur.
Ma conscience externe gère le quotidien de l’instant alors que ma conscience interne gère mon moi en toute indépendance.
Vu de l’extérieur je suis le mec banal là devant la machine à laver (laverie commerciale) et en moi je suis enflammée à me caresser la chatte et sentir mes doigts au fond de ma vulve. Je contrôle mes mouvements comme si je me voyais de l’extérieur, quelqu’un s’approche, je suis instantanément redevenue le mec.
C’est pour cela que je fais le rapprochement avec l’hypnose, l’auto hypnose.
J’ai créé mon ancre avec le masseur et même si je ne le sens pas contre ma prostate, des spasmes envahissent pratiquement immédiatement.
J’ai progressé dans cet univers. Maintenant un truc totalement quelconque peut me servir, c’est l’inducteur du moment et me voilà sous emprise de mon intimité.
Dans ce principe je n’ai plus besoin d’un masseur puisqu’il n’est qu’un inducteur, me voilà adepte de l’ A_less. Et j’arrive aux mêmes sensations sans.Cette capacité d’être plusieurs corps et esprits à la fois démultiplie à l’infini les possibilités. Mon univers sexuel devient galactique sans limites.
Bonne soirée22 avril 2018 à 23 h 31 min #27330bzoParticipantCette capacité d’être plusieurs corps et esprits
moi je suis deux, c’est suffisant déjà pour faire l’amour,
je sors de mon lit justement, c’était divinEt tout en marchant, je profite de cette chaleur printanière, je m’installe dans mon intérieur. La chaleur envahit mon bassin, mon ventre oscille au rythme de mes pas. Mes doigts s’insèrent dans mon pantalon, caressent mon pubis. Je descends entre mes lèvres, elles sont déjà bien mouillées. Le plaisir s’intensifie, je me pénètre sans plus attendre. Je suis complètement trempée. Je jouis. Et redoublant de caresses je jouis encre, cela dure plusieurs minutes toujours en marchant à côté de ma compagne.
ça je ne pourrai jamais faire,
d’abord je serai rapidement trahi par par les différentes manifestations du plaisir sur mon visageet puis de toutes façons pour y arriver, je dois tout de même m’activer,
me lâcher complètement, cela sous-entend une certaine perte de contrôle
que je ne pourrai laisser faire que si je suis tout seul
ou alors avec des gens avertis, complices d’une manière ou d’autreet puis aussi, il faut que je me caresse, que je fasse des contractions,
que je me fasse l’amour, toute la gestuelle du corps qui va avec,
ça ne passe pas inaperçu, c’est le moins qu’on puisse diredonc je ne pourrai jamais obtenir ce genre de résultat tout en marchant à côté de quelqu’un
sans que cette personne s’en rende compteLe A_less est un univers merveilleux. On ne s’en lasse pas, bien au contraire, on essaie de le pénétrer sans en trouver les limites
tu désignes ta pratique d’aneroless désormais,
quelle sont les différences qui te la font qualifier ainsi
par rapport à avant, où tu amorçais ton plaisir entièrement de l’intérieur
pour ainsi dire sans aucun mouvement volontaire?en d’autres mots qu’est-ce qui te fait employer le terme aneroless pour désigner ta pratique désormais,
quelles sont les différences par rapport à avant?
Tu te caresses, tu pratiques des contractions?cela fait plaisir de te lire, je me sens très proche de toi à bien des égards
nous avons en commun ce féminin que nous avons su éveiller,
c’est rare de pouvoir en contact avec quelqu’un qui partage ce point avec vouslaisser monter la femme de nos profondeurs,
se laisser submerger par elle puis vibrer, frémir, bouger, dans son corps
et jouir par elleavoir un pareil plaisir sexuel à portée, convocable en un instant,
extraordinaire expérience, si les gens savaient23 avril 2018 à 0 h 24 min #27332Ch313ParticipantComment définir l’aneroless de ma pratique.
C’est le fait de ne pas utiliser de masseur de ne rien insérer.
Je commence seulement à sentir de nouvelles sensations sur quelques partie de mon corps. Les seins particulièrement me font réagir maintenant alors qu’avant cela ne me faisait rien. Je redis cet exemple :
Autre anecdote, quand j’ai voulu essayer d’avoir une expérience en club, j’ai été très déçu. Tout en me faisant une fellation, un gars me caressait les seins, les fesses sans résultat. Je n’ai pas joui et pratiquement trouvé aucun plaisir. Cela a été un échec très cuisant pour moi. J’ai laissé à l’abandon cette voie pendant longtemps avant de réessayer récemment.
Donc maintenant je prends plaisir à me caresser les seins et c’est suffisant pour déclencher des contractions dans mon bas ventre dès les premiers effleurements.
Je ne fais pratiquement pas de contractions volontaires, elles arrivent toutes seules. J’en fais un peu pour contrôler les spasmes.23 avril 2018 à 0 h 49 min #27333bzoParticipantoui les seins,
j’adore aussi, mes mains passent beaucoup de temps aussi dessus,
j’adore les triturer, les caresser, les malaxer
et ils me le rendent bienpas de contractions volontaires donc,
tu en es à un tout autre stade que moi avec la réactivité de ce féminin
mais j’entrevois ce que tu veux dire
maintenant que je suis en aneroless aussil’aneroless favorise beaucoup plus le féminin,
c’est étonnant et peut-être ingrat de ma part de l’écrire, compte de tout le plaisir que j’ai eu avec
mais quelque part au stade où j’en étais arrivé, le masseur était devenu un frein à mon développement,
là j’ai recommencé à pousser, à m’étendre, à découvrir plein de territoires inconnus,
en même temps que le féminin a recommencé aussi à croître fortement en moi
depuis mon passage en A-less, comme tu l’écris23 avril 2018 à 7 h 34 min #27335Ch313ParticipantBzo, Je ‘rends à Cesar . . .’ À Bzo . . .
C’est sur tes descriptions insistantes de ta façon de ‘traiter’ tes seins que je me suis forcé à les solliciter. Avec excès même parfois, jusqu’à l’endolorissement dont je me rendais compte seulement après la fin d’une session. Et je ne sais pas comment cela s’est produit mais un jour la ‘connexion’ s’est établie.
Maintenant un léger effleurement suffit pour qu’un spasme ou une contraction me parcourt. Et si je persiste, même à travers le T-shirt, au plus léger possible, en moins de dix secondes mon pubis fourmille, la chaleur se développe. Les muscles PC roulent en tous sens. Je décolle ‘au quart de tour’. Je sens des doigts me caresser longuement le pubis de plus en plus chaud. Je mouille, je laisse descendre la chaleur dans mes cuisses. Et mon bassin se met à rouler langoureusement, il se décolle du siège. C’est ça, viens en moi lui dis-je, et ses doigts glissent dans ma vulve, je tremble, mon rectum s’agite. Je gémis, ma respiration devient désordonnée. Mon anus ‘pulse’ avec frénésie, il te veut ! Je suis soulevée, complètement cambrée, encore plus ouverte pour m’offrir. Mes jambes tremblent sans fin je ne m’appartiens plus , ho oui! Encore, encore et encore. Plus de trois minutes un calme avec de longues et profondes inspirations que déjà mon vagin exulte. Les tremblements reprennent de plus belle, incontrôlable, je sens une goutte couler dans mon urètre. Mon anus va et vient, je coule de plus en plus, je me répands des spasmes incessants. Je suis trempée. Mon ventre est trempé. Dans un nouveau calme, totalement embrasée je jouis encore, je me répands chaudement et. Les tremblements repartent. À chaque pulsation de mon anus je coule encore, ça dégouline d partout sur mon ventre.Je ne veux pas aller plus haut dans l’incontrôlable, et voilà, en quelques secondes retour au calme, je suis détendue.
Voilà, EN DIRECT, j’ai passé une heure et demi de jouissance avec vous, transcrivant instant après instant ce merveilleux voyage. J’ai toujours des sensations, mon anus fourmille, je suis prête à repartir.
Stop, il faut que j’éponge l’inondation. Les essuies tout sont tous trempés.
C’est une bonne journée qui démarre.J’ai déjà eu plusieurs séances de ce type et dernièrement j’ai essayé de prendre en vidéo ces écoulements. Je reviendrai sur cette séance plus tard.
Bonne journée . . .23 avril 2018 à 7 h 55 min #27336bzoParticipantsuperbe
donc la manipulation des seins stimule, déclenche
as-tu essayer aussi le reste du corps?
mes mains insistent sur les seins mais vont et viennent aussi sur le reste du corpsc’est si bon d’explorer chaque centimètre de peau,
descendre lentement avec les mains le long des flancs, le long des hanches,
s’attarder un peu sur le globe des fesses, effleurer l’anus avec un doigt dans la raie,
puis remonter, quelques arabesques sur le ventre,
plus haut maintenant, les seins, les ports d’attache,
les presser, les cajoler, les mamelons avec leur pointes bien dures,
passer et repasser les doigts dessus,
la bonne pâte des seins, le four est chaud, chauffé à blanc
prêt à être enfournée dans la chaleur voluptueuse
hum c’est bon tout ça, je vais vite m’accorder quelques moments de plaisir
avant d’aller au boulot23 avril 2018 à 8 h 19 min #27337Ch313ParticipantParfois le pubis ou l’intérieur des cuisses répondent aux sollicitations parfois non. Si je me caresse, le retour est assez faible. Mais les dernières caresses de mon pubis par ma compagne ont déclenché un vrai festival. L’anus semble se réveiller doucement.
Je dois pouvoir progresser.23 avril 2018 à 8 h 25 min #27338bzoParticipantoui, tu dois insister pour agrandir ton domaine,le faire évoluer,
même si déjà tu as un accès plus que rare au féminin,
une réactivité de sa part, rare, exceptionnelle, tout à fait hors du communmais si tu es y arriver avec les seins,
tu peux y arriver avec le reste du corps aussi,
que du bénéfice, enrichissement du plaisir, de nouvelles variétés de sensations23 avril 2018 à 14 h 55 min #27355JieffeParticipantBonjour bzo,
Quelles avancées, c’est super, je suis content pour toi.
Je suis entièrement d’accord avec Epicture:
Alors ne t’inquiète surtout pas et continue a être vivant, et a partager !
Continues de nous faire rêver, même si tu dois revenir quelques fois sur tes écrits. Bien sûr que tous nos récits sont subjectifs, mais c’est ça aussi qui est intéressant. Comment chacun de nous perçoit les choses.
Et moi, j’aime ton lyrisme. On sent chez toi une passion, une fougue, qui est très motivante pour les débutants, et même pour les moins débutants.
Continues dans cette voie bzo, ne change rien.
CH313:
Je dois pouvoir progresser
Certainement, mais tu es déjà à mon sens bien avancé.
23 avril 2018 à 18 h 40 min #27358bzoParticipantParfois le pubis ou l’intérieur des cuisses répondent aux sollicitations parfois non. Si je me caresse, le retour est assez faible. Mais les dernières caresses de mon pubis par ma compagne ont déclenché un vrai festival. L’anus semble se réveiller doucement.
tu as la chance d’avoir ce féminin éveillé en toi d’une manière exceptionnelle
avec une réactivité et une puissance rares,
c’est même la première fois que j’entends de pareilles descriptions, un pareil témoignage,
tu es assez unique dans ton genre, tu as une chance inouïe quelque partmoi pour obtenir le même genre de résultat que toi,
je dois boulotter, je dois payer de ma personne,
cela ne vient pas tout seul en touchant simplement mes seins,
en tout cas pas encore, sait-on jamais un jour
maintenant que je suis passé en aneroless, tout me semble possibleen attendant, je fais tous les gestes et les mouvements de l’amour à deux,
je me caresse, j’utilise mon corps et surtout je reproduis une pénétration avec les contractions
à l’intérieur, en tout cas dans le bas-ventre, j’ai cette dualité homme-femme,
le reste est entièrement féminincependant même si tu as cette énorme chance et cette énorme facilité,
cela ne doit pas te rendre paresseux et t’arrêter de progresser,
te satisfaisant de ce que tu as déjà,
il y a toujours moyen de faire mieux,
il y a toujours moyen d’enrichir et de varier ce qu’on a déjàpar conséquent, si tes seins régissent maintenant, le reste le peut aussi,
imagine tout ce que cela va t’apporter
si tout ton corps devient réactif aux caresses
et se met à vibrer et à réagir au féminin23 avril 2018 à 18 h 53 min #27359bzoParticipantContinues dans cette voie bzo, ne change rien.
merci @Jieffe , oui bien sur je vais continuer,
je voulais surtout être certain que tous les gens qui me lisent, soient bien avertis,
qu’on vienne pas me reprocher un jour de me contredire d’une page à l’autre23 avril 2018 à 20 h 07 min #27363AndranerosParticipantl’auteur dégage sa responsabilité, il cherche juste à se donner du plaisir et à partager son plaisir,
et s’il se prend parfois trop au sérieux, n’oubliez pas qu’il est irresponsable puisqu’en en quête de plaisir chroniquementReste irresponsable @bzo, tu apportes la part de rêve dont ont besoin tous nos amis qui commencent leur cheminement en portant plus de doute que de confiance.
Bon cheminement @bzo.23 avril 2018 à 21 h 06 min #27365bzoParticipantReste irresponsable @bzo, tu apportes la part de rêve dont ont besoin tous nos amis qui commencent leur cheminement en portant plus de doute que de confiance.
Merci @Andraneros
Mon message était à ce point porteur de doute et besoin d’être rassuré? Je n’en avais pas conscience.
J’avais ressenti la nécessité de prévenir que de mon expérience au jour le jour,
les enseignements et les théories que j’en tirais,
n’étaient pas toujours très pertinentes, très fiables, parfois même contradictoires d’un jour à l’autre23 avril 2018 à 21 h 18 min #27366bzoParticipantje viens de franchir le pas de ma porte, home sweet home,
tout autour, les meubles et les objets familiers, lentement, amoureusement réunis
qui correspondent à mes goûts, à mon sens de l’esthétique, à mes besoins,
la tension se relâche, je peux décompresser,
je peux laisser mon imagination vagabonder, abaisser mes défenses,
home sweet hometout ici est là pour me servir, pour ravir mes yeux ou m’être utile,
dans l’armoire là-haut, quelque part mes masseurs,
d’objets adorés, d’objets adulés, visitant quotidiennement mon fondement,
presque d’un jour à l’autre,
ils ont perdu mes faveurs, sont tombés en disgrâce, à présent relégués en haut d’une armoire23 avril 2018 à 23 h 00 min #27367bzoParticipantbougons peu mais bougons bien,
laisser l’intensité s’installer, laisser l’intensité se répandre, laisser l’intensité s’auto-alimenterreportage en direct, comme dirait @Ch313
j’ai la main sur mon sein, pressant, couvant tandis que je m’enfonce lentement par en-dessous,
oh comme cela remonte bien, cela remonte bien droit, cela remonte bien ferme,
cela remonte bien droit et bien fermement dans la chair tendre,
dans la chair frissonnante, dans la chair qui s’écarte, dans la chair qui rit aux éclats au passageil est arrivé, il est arrivé au nid, le gland,
bien blotti dans le nid, le gland se met à couver aussila main couve, le gland couve aussi,
ils couvent chacun de leur côté, cela va bientôt éclore,
le feu d’artifice va éclorebougons peu mais bougons bien,
bougons peu mais bougons bien24 avril 2018 à 0 h 12 min #27368bzoParticipantdélicieuse séance d’une demie heure au lit
qui a été ponctué par la mini-apothéose d’un super O
qui a duré une trentaine de secondesje l’ai vite reconnu, la grosse bestiole rare, la grosse bestiole exotique,
la grosse bestiole bariolée, à la fois à poils et à plumes
ça tremblait de tous les côtés, même mes gémissement sortaient en tremblotant
j’avais l’impression d’être dans une essoreuse coincé dans le noyau de la terre
je me disais quelque part au fond de moi, je vais bien finir par être éjecté,
recraché quelque part dans le calme souverain d’un ciel bleu inondé de soleil
mais non l’essorage tout en muscles bandés qui tremblotaient,
a continué une trentaine de secondes en tout
puis la machine à jouir s’est arrêté net,
me laissant pantois, tentant de reprendre mon souffle
et un peu perdu quoi faire maintenant, m’arrêter?mais au lieu, me suis donné instinctivement un grand coup de rein
qui s’est enfoncé comme dans du beurre entre mes cuisses,
j’ai senti le gros bazar de chair déjà bien raide à nouveau, remonter comme une ogive
et venir se loger en plein milieu de la cible,
long gémissement plaintif, ça y est, c’était reparti
la caravane du plaisir, après s’être arrêtée net,
en brinquebalant, en grinçant, s’est remise en route encore pour une dizaine minutes24 avril 2018 à 8 h 16 min #27371Ch313ParticipantJe viens de poster une réponse à Bzo sur mon fil partenaire réfractaire.
Je bascule mon fauteuil. Je prends une profonde inspiration et en expirant lentement je ‘scanne’ mon corps de la tête je descends vers les pieds. Ma gorge, mon cou, mes épaules j’inspire, elles s’enfoncent dans le fauteuil. Déjà des spasmes de mon diaphragme secouent mon ventre. D’une lente respiration je les calme et je descends dans mon ventre. Mon bassin est contracté, je sens mes fesses un peu serrées. Je m’arrête, je reprends à mes reins, plusieurs respiration et je laisse ma colonne vertébrale s’étaler dans le fauteuil. La face avant de mon ventre se détend, elle ondule en phase avec mon pouls, lance des vagues jusqu’à l’intérieur de mes cuisses. Mon anus me titille, mes fesses s’enfoncent à leur tour. Mon rectum bat au rythme de mon pouls. Mes mains tremblent et j’ai du mal à écrire. Des contractions montent de l’arrière de mon périnée vers l’avant de mon pubis jusqu’au mont de Vénus. Ma vulve masturbe mon sexe et mon sexe lui rend bien en la pénétrant dans des aller retour de mon bassin. Avec des poussées de plus en plus fortes mes jambes commencent à trembler , mon vagin palpite, serré mon gland, j’éjacule. Les poussées continuent plus lentes, plus profondes. Mes cuisses sont trempées, tout mon bassin tressaute et le va et vient continue et je coule encore
Une petite fenêtre sur ma tablette me dit que Bzo me répond
Mais je continue. Encore une longue poussée éjaculatoire m’inonde qui retombe en spasmes et tremblements désordonnés. Mes cuisses battent l’air comme un chef d’orchestre bat la mesure d’un final explosif. Je suis suspendue , en lévitation, mon anus pulse, sucé mes mollets tétanisent, j’éjacule en plusieurs spasmes.
Mais il est l’heure du réveil de ma compagne, dans une longue respiration je redescend mon corps, je refais mon ‘scan’ de la tête aux pieds, je repose mes muscles, mes organes, je suis calme, détendue. Je vais tout de suite poster ça, comme à l’habitude de mes directs live.
Bonne journée.24 avril 2018 à 8 h 45 min #27373bzoParticipantah je t’envie cette extraordinaire réactivité, explosivité du féminin en toi,
cela parait tout à fait surnaturelest-ce que cela a été toujours comme cela
ou ça c’est développé peu à peu?tu peux parler un peu de tes débuts, comment tu as découvert cela,
comment tu as développé cela?24 avril 2018 à 8 h 59 min #27374Ch313ParticipantSalut Bzo,
Je ne manquerai pas d’y revenir, peut-être créer un fil sur ce sujet, mais je devrais voir avant quelques déjà postés fils à ce propos.
Nous sommes dans les préparatifs d’un petit voyage en famille pour profiter des vacances. Je serai beaucoup moins disponible, ne m’en veuillez pas si j’ai l’air absent.24 avril 2018 à 18 h 12 min #27380bzoParticipantun petit voyage en famille pour profiter des vacances
eh bien bon amusement, bon repos et tout le reste
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