Mots-clés : aneroless
- This topic has 1,629 réponses, 17 participants, and was last updated il y a 1 months et 1 weeks by bzo.
-
AuteurArticles
-
13 septembre 2024 à 18 h 50 min #50684bzoParticipant
la volupté, au sens général
et au sens particulier,
est,
j’ai de plus en plus cette impression,
comme un interrupteur,
un peu, voir par moments,
un peu beaucoup, magique
qui nous permet de nous réapproprier le monde,
un instant ou deux
comme si nous allumions une faible lumière
dans cette vaste pièce obscure et mystérieuse
qu’est le monde
se retrouvant, en état, un peu,
de percevoir des formes, des ombres,
habituellement absentes
la chair est devenue comme une ampoule
qui s’est mise à rayonner
levant, un brin, le voile
sur nous-même et les alentours
avec le cloisonnement, les distances,
définitivement, réordonnancées,
les matières restructurées
avec comme une épaisseur
vibrante, pénétrable, malléable,
dans l’invisible,
aux choses
13 septembre 2024 à 18 h 57 min #50685bzoParticipantsuite et fin du texte au-dessus:
le monde tout entier,
semble, en même temps,
être sexuel et pas,
spirituel, métaphysique
et pas
13 septembre 2024 à 23 h 37 min #50686bzoParticipantje peux éveiller la tempête en moi,
tellement facilement,
oh c’est magique,
une tempête de soie tournoyante,
tellement chaude, tellement douce
comme mon corps prend feu,
pour un rien,
est habité directement
par un carrousel de sensations ineffables
oh mais j’ai travaillé pour cela,
ce n’est pas venu tout seul,
je l’ai mérité,
j’ai marché, marché, marché,
tant et tant exploré
mais ma récompense est là,
je prends feu pour un oui, pour un non,
un arc en ciel géant, s’installe en moi
avec tout son orchestre
23 septembre 2024 à 21 h 13 min #50838bzoParticipantles ondes de la prostate,
au début, quand elle commence à être sollicitée avec succès
sont tellement, tellement, plaisantes,
leur petit faisceau, titillant, fourmillant,
qui va en s’accroissant,
montant, s’élargissant,
répandant leur volupté si particulièrecependant, il faut bien avouer,
après un certain temps,
que si leur intensité cesse de croître,
on finit par être frustré
car elles manquent singulièrement de variété,
sont plutôt monocordesl’aboutissement logique
de toutes ces ondes
qui sont, en fait, normalement,
juste qu’un préliminaire ou transitoires,
cela devrait être le feu d’artifice d’un orgasmele plaisir prostatique,
c’est cela, avant tout, un orgasme,
un de temps à autre, dans un premier temps
puis à la chaîne,
arrivant les uns après les autres,
plus ou moins rapidement,
parfois en continuet c’est là
que toute la richesse, toute la diversité
du plaisir prostatique,
se révèle dans toute sa splendeur,
des orgasmes à la pelle,
de toutes les couleurs et de toutes les formes,
chacun d’eux étant unique,
avec une progression sans limites, possible,
dans leur intensification et dans leur diversificationalors, ce fameux plafond de verre,
comment passer de ces ondes plaisantes,
parfois même très très intenses, par moments,
à l’implosion généralisée, incontrôlée,
dans notre chair?le raz de marée qui ne se produit pas,
jour après jour, séance après séance
les digues qui frémissent, qui sont ébranlées
mais qui tiennent,
mettent à l’épreuve notre motivation,
l’usent peu à peula qualité , l’excellence, en tout domaine,
n’arrive pas toute seule,
ne nous tombe pas dans la bouche comme un fruit mûr
sans qu’on ait rien eu besoin de faire,
sauf pour quelques personnes à part,
qui ont certains talents de naissance
la plupart du temps, pour la plupart, cela se mérite,
il faut lutter pour,
parfois même beaucoup et longtemps,
parfois même, cela ne suffit pasil nous faut découvrir une petite clef en nous, en fait
mais qui est unique, personnalisée, à chacun
et il n’y a pas de mots, pas de phrases
qui la décrivent avec sufisamment de précision
pour que ce soit transmissible d’un être à l’autre,
cela ne peut être décrit, détaillé,
sans foule d’ambiguïtés et de malentendus
qui font que cela ne passera jamais dans le cerveau d’une autre personne,
de façon que ce soit utilisable concrètementune clef ,en même temps,
dans notre mental et dans notre chair
une interaction subtile, profonde
dans tout notre être
pour ouvrir durablement la voie aux orgasmes prostatiquesune capacité,
de se laisser aller, tout en libérant les énergies,
de jouer tantôt en finesse, tantôt en force,
avec les muscles du périné ou avec le masseurune capacité à jouer de la tension
engendrée par notre positionnement dans l’espace,
de se mettre dans les meilleures dispositions,
mentales comme physiques,
sentir quand il faut se relâcher,
quand il faut maintenir une certaine tensionça a l’air compliqué comme cela
et ça l’est tant qu’on n’a pas saisi comme au vol,
au plus intime de soi-même,
cette clefquelques petits pistes, malgré tout:
il faut s’armer d’une patience toute spéciale,
il faut essayer de la faire fructifier
pas juste persévérer, insister, platement, de manière têtue,
elle doit devenir le matériau même sur lequel on travaille
on doit pouvoir la transformer en une sorte d’humilité,
apprendre à laisser royalement faire le corps
et ne pas essayer, même du bout du bout de l’intellect,
encore de continuer à tirer les ficelles
de ce qui est en train d’être effectuéet puis le rythme,
le plaisir prostatique a un rythme,
relâchement, mise en tension,
relâchement, mise en tension,
cela doit glisser, cela doit monter et descendre,
de plus en plus comme des vagues qui se suivent paresseusement
bien dessiner les creux,
bien dessiner les cîmes,
oser les temps mortsentre le creux de l’une
et la cîme de l’autre,
ne pas hésiter à laisser s’installer
comme un moment de silence dans la chair,
laisser quelque chose se regrouper en nous,
quelque chose se préparer pour le prochain bond en nous,
se recueillir dans le moment
pour être prêt à mieux germer,
prêt à mieux éclore dans l’instant suivantet puis, et puis,
il faut oser la lenteur,
oser l’exploration minutieuse, détaillé, tatillonne,
rendre le désir curieux des plus infimes détails,
qu’elle ne soit pas juste bonne pour la cavalcadeencore un élément à prendre sérieusement en considération,
c’est le titillement des tétons,
tellement important cela,
nos tétons sont les plus précieux alliés de la prostate,
les tripoter, les chipoter, du bout des doigts,
quasi en continu,
en se synchronisant au rythme des contractions ou du masseur
cela s’enflamme tellement plus facilement en nous, ainsi,
tellement plus durablement25 septembre 2024 à 8 h 58 min #50841bzoParticipantencore une autre piste
mais uniquement pour ceux qui s’essaient au plaisir prostatique
et qui n’ont aucune interaction sexuelle
ou du moins , très rarement
pour les autres, j’imagine,
cela devrait être nettement plus compliqué d’explorer cette piste,
bien que les taoïstes, professent,
des interactions sexuelles avec pénétration
mais sans jamais éjaculer,
j’ai du mal à imaginer que cela fonctionne bien longtemps,
qu’on puisse ainsi continuer pendant de plus longues périodes
mais ma piste donc pour faciliter l’accès au plaisir prostatique,
c’est l’abstinence d’éjaculation,
au plus vous accumulez vos énergies sexuelles,
au plus facile, ce sera d’y arriver
essayer ainsi,
après deux semaines, déjà,
mettez-vous sur votre lit, nu,
couchez-vous sur le dos,
écartez bien les cuisses,
moi ce que je fais, c’est que je joins la plante des deux pieds,
mes jambes pliées,
forment ainsi comme un losange par rapport à mon bassin
personnellement , je pratique systématiquement dans cette position
où les génitaux n’ont aucun contact avec les cuisses,
ne bougent quasiment pas
car ceux-ci sont devenus tellement sensible au moindre contact
que si je ne peux m’engager sur la voie d’un plaisir prostatique autrement
cette hyper-sensibilité s’est développée avec mon mode yin
où les génitaux sont constamment sollicités,
en même temps que la prostate et tout le reste du corps, aussi d’ailleurs,
alors que le plaisir prostatique,
eh bien c’est un dialogue avec sa prostate,
enfin un dialogue avec son corps, aussi, bien sûr
mais presque uniquement par l’intermédiaire de sa prostate
le titillement des tétons, étant quelque chose à part,
tellement spécifique, tellement lié au massage prostatique,
que l’on pourrait presque dire,
que les tétons chez l’homme, sont une extension de sa prostate
donc, couché ainsi à plat sur le lit,
avec vos mains fermées, avec le dos de vos phalanges repliées,
mettez-vous à tournicoter lentement, très lentement, sur vos tétons,
accélérez, décélérez, titiller, tripoter,
montez dessus, descendez dessus,
soyez inventif,
profitez de ce merveilleux instrument de musique
que sont ces petits tiges de chair
et puis et puis, en bas,
mettez en route les contractions,
là encore lentement, très lentement,
synchronisez-vous avec le chipotage des tétons,
je parle ici d’un orchestre,
les musiciens doivent jouent ensemble,
engager le dialogue, se questionner, se répondre
sentez sentez comme avec vos énergies sexuelles en suraccumulation,
comme votre prostate vous répond,
comme elle est lyrique, comme elle s’épanche
et au plus l’abstinence d’éjaculation perdure,
au plus le plaisir prostatique sera facile, puissant, incisif
bien sûr, une fois que vous parvenez à bien vous connecter à votre prostate,
que celle-ci est bien réveillée,
que votre technique est bien au point,
même en ne maintenant plus l’abstinence d’éjaculation,
vous y parviendrez,
vous parviendrez à obtenir du plaisir prostatique
1 octobre 2024 à 9 h 06 min #50897bzoParticipantla personne qui s’essaie au plaisir prostatique,
à ces débuts,
est un peu comme un boyscout maladroit
qui s’aventure hors des sentiers battus
et qui essaie d’allumer son feu
pour se réchauffer et se cuire un orgasme
mais il n’a aucune expérience,
alors il ne prend pas le bois mort qu’il faut,
il le ramasse humide
ou difficile, voire impossible à allumer
qui ne va pas bien brûler
ou encore qui va se consumer trop vite
il n’a pas les bons matériaux,
il n’a pas non plus les gestes, les actions qu’il faut
pour produire les étincelles nécessaires
pour le feu démarre, prenne vie,
grandisse, grandisse,
jusqu’à devenir un foyer puissant
capable d’embraser sa chair
il n’a pas encore aussi la patience qu’il faut
pour bien souffler sur les braises,
en voulant trop bien faire,
il éteint les flammèches
ou en ne faisant pas assez,
les jeunes flammes chétives
retournent au néant
selon les moments,
il ne souffle pas assez,
souffle trop fort,
ou pas à l’endroit qu’il faut
plus tard dans son cheminement,
si tout ce sera bien passé,
il sera devenu un trappeur expérimenté et aguerri
qui pourra s’aventurer loin, loin, en terre inconnue,
qui repèrera immédiatement en lui-même
le bois mort qu’il faut,
celui qui s’embrasera rapidement et durablement
il pourra produire aussi
instantanément
les étincelles qu’il faut
pour la naissance du brasier en lui
souffler dessus pour l’attiser comme il faut
et obtenir rapidement,
de magnifiques flammes dansantes
qui l’embraseront de fond en comble
et lui fourniront des orgasmes
aux saveurs riches et variées
22 octobre 2024 à 13 h 29 min #51040noustaParticipantBonjour Bzo
Je vois que tu n’es pas allé sur le site depuis trois semaines, j’espère que tout va bien pour toi et ta santé !!!
J’ai posé une question sur mon file, désolé de te déranger sur le tienJe suis persuadé que tu as la réponse
Merci bonne journée et prends soin de toi
à bientôt Nousta
2 novembre 2024 à 1 h 14 min #51185bzoParticipantarf,
j’ai ressorti mon masseur,
moi qui , il y a quelque temps encore,
disait que je ne me voyais plus trop me servir d’accessoires,
comme quoi il ne faut jamais écrire,
“fontaine, je ne boirai plus de ton eau”
j’ai sorti de son tiroir ma grosse bertha en silicone soyeux,
le seul et unique masseur à qui je confie mon anus et ma prostate,
en toute confiance des résultats,
j’ai nommé le Nexus G-Rider
un peu du y aller doucement, très doucement et très lentement,
comme c’est un gros calibre
et que cela faisait pas mal de temps
que je ne m’étais plus introduit autre chose dans le cul
qu’un ou deux doigts
mais enfin, avec une généreuse portion de beurre de karité,
c’est rentré, c’est aller se nicher là où il fallait
et puis j’ai commencé mes pressions,
mes lents va et vient,
mes petits mouvements sur les côtés ou de pivotement de la tête
oh la la, le pied énorme que j’ai pris,
c’était un mélange constant d’ondes anales,
prostatiques et génitales
comme j’avais les cuisses resserrées,
quel splendide amalgame,
quel décollage de fusée à chaque fois, dans mes entrailles
et qui me montait tout feu, tout flamme, jusqu’au cerveau
d’abord, rien que le bassin,
les bras étendus derrière la tête
puis je me suis mis à me chipoter les tétons en plus,
un sacré coup de turbo, en plus, donc, constamment
comme si c’était encore nécessaire
mais on est insatiable,
n’est-ce pas, messieurs dames,
on en veut toujours plus,
on a toute la main en bouche,
on veut alors tout le bras
et quand on a avalé celui-ci aussi,
alors on veut tout le reste encore aussi,
c’est ainsi
et c’est bien,
c’est le royaume ardent du désir
mais alors quand dans le bassin,
les génitaux, la prostate et l’anus,
travaillent ensemble,
en parfaite coordination,
leurs ondes parfaitement conjuguées, amalgamées,
c’est quelque chose,
vin dieu de biquette, c’est quelque chose
aneroless, il y a moyen aussi,
mais c’est assez fatiguant et moins efficace
car on doit se contorsionner,
la position est assez fatigante et moins efficace sur la durée,
alors qu’avec un masseur assez gros dans le cul
qui peut donc à la fois solliciter la prostate et l’anus sans effort,
cela va tout seul
si en plus on sert les cuisses sur les génitaux
et alors quel mélange,
ça vous fait une splendide explosion dans les entrailles
à chaque mouvement du masseur,
j’ai cru que j’allais me mettre à léviter
tellement j’étais parti,
tellement que mon corps semblait ne plus exister,
semblait avoir été remplacé par des ondes en furie
3 novembre 2024 à 13 h 01 min #51187PetitsPlaisirs76Participantj’ai sorti de son tiroir ma grosse bertha en silicone soyeux,
Au fil de tes écrits, je me demandais quand, de nouveau, te dilaterais tu l’anus, avec délectation ?? Et bien voilà c’est fait.
Après tant d’abstinence, que de patience et de douceur, il a sans doute fallu pour “convaincre” le petit trou de “s’offrir”…….
je ne me voyais plus trop me servir d’accessoires,
Ouf, je suis rassuré…. !! Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 1 months et 1 weeks par PetitsPlaisirs76.
3 novembre 2024 à 14 h 26 min #51189bzoParticipantque de patience et de douceur, il a sans doute fallu pour “convaincre” le petit trou de “s’offrir”
oui, il a fallu avancer millimètre par millimètre
car il est assez gros , le nexus g-rider
mais une fois en place,
j’ai vite retrouvé les bons réflexes
bon, je ne crois pas que je le ressortirai tous les jours
mais de temps à autre,
c’est vraiment agréable
-
AuteurArticles
- Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.