Mots-clés : aneroless
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bzo, le il y a 18 heures et 4 minutes.
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- 28 janvier 2023 à 11 h 00 min #45322
PetitsPlaisirs76
ParticipantSalut
bzo a écrit
mais oui, un coin de table,
c’est avant tout une question de chevaucher comme une amazone,
en bien se lâchant, faisant fi de toute retenue,
mais c’était moins de sentir le coin du bois, vaguement enfoncé en moi
que le pressage, le massage qui était fourni au périnée,
qui compte
Tu es très inspirant.
Au petit matin j’ai introduit le suppo_3* et avec la partie charnue de mon majeur,
je me suis massé/pressé le périnée, de l’orifice à la base du pénis, pendant une demi-heure
le bas du bassin s’est bien échauffé, ce fut un bon moment de petit plaisir, 5 heures après le périnée me dit encore merci.*: le suppo_3 est le peridise n°3, lorsque je l’insère bien lubrifié, il remonte seul dans l’anus
comme les suppos que me mettait Maman et dont les sensations “bizarres”, m’interrogeaient un peu.
A+
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PetitsPlaisirs76.
28 janvier 2023 à 12 h 58 min #45327bzo
Participantoui, il faut absolument laisser parler son imagination,
associée au désir, boostée par le désir,
elle est plus la voix de notre corps qu’on se l’imagine,
elle est son porte-voix si on la laisse s’exprimer librement,
sans interférer avec notre intellect
il faut la laisser délirer absolument,
la laisser jouer avec le corps,
librement dans le bac à sable
je parle pour moi, bien sûr,
cela n’engage que moi, toutes ces idées, toutes ces images,
je ne prétends détenir aucune vérité,
ni imposer quoi que ce soit, à qui que ce soit,
que les gens prennent là-dedans, ce qu’ils veulent
et rejettent ce qu’ils veulent
mais donc pour moi,
tout débrider le plus possible, dans l’action,
le désir, les instincts, les pulsions, l’imagination,
les gestes, les mouvements, les postures,
le moindre déplacement du corps,
tout, ne plus rien freiner, plus rien de réfléchi,
se lâcher le plus possible,
se laisser conduire par le désir, comme il veut,
dans la direction qu’il veut
cela ne veut pas dire une frénésie, de tous les instants,
c’est tout le contraire, la plupart du temps,
une exploration systématique, imaginative, débridée,
méticuleuse, de plus en plus optimisée,
où l’on recherche, avant tout, la richesse, la variété et la qualité des sensations,
de la volupté et de la jouissance
c’et un lent apprentissage pour la plupart de nous
car les gestes, les mouvements, les déplacements, les postures,
conduit par le désir complètement débridé,
n’ont pas de sexe, ont les deux,
donc il faut apprendre à laisser son corps , être conduit comme cela,
cela ne se fait pas en un jour, de se lâcher comme cela
l’écoute de son corps est le secret,
acquérir sa complicité,
le laisser prendre les commandes, momentanément,
débrider son imagination, aussi, comme dit plus haut
car elle est le porte-voix de sa chair,
si on apprend à la laisser parler bien haut,
sans interférences de notre intellect
une fois qu’on a goûté à cela,
à ces moments de totale liberté du désir
avec notre corps en action,
cette sorte d’incandescence totale de tout son être,
où les sensations sont générées de toutes parts,
pas seulement confinées à nos génitaux, à la zone du bassin
mais que tout notre corps semble s’enflammer,
semble réactive comme un sexe,
sensible au moindre contact,
s’enflammant sous les doigts de tous côtés,
s’enflammant au moindre mouvement, au moindre geste, à la moindre contraction,
générant des ondes de toutes parts
29 janvier 2023 à 11 h 24 min #45344PetitsPlaisirs76
ParticipantSalut
bzo a écrit (je ne sais plus où)
nous pouvons mouler notre plaisir comme nous le souhaitons intimement
car le désir est une force créatrice, une force aveugle qui nous pousse toujours de l’avant,
qui nous permet d’investir l’instant autrement,
qui non plus, n’a pas de sexe,
si on le laisse gambader dans la direction qu’il veut,
sans aucune barrière, sans aucun tabou,
il va aller indifféremment, nous pousser, selon les moments
vers des hommes ou vers des femmes
Le yin de certains les pousse vers des symboles très féminins.
Ils ont un goût prononcé
pour les tissus doux et légers comme, soie, satin, nylon qui, comme des bas, caressent subtilement les jambes.
pour les combinaisons, jupes, robes qui moulent corps et fesses, qui modifient les démarches avec des enjambées plus courtes.
pour les escarpins à talons qui galbent les mollets et cambrent le bassin.Manifestement ton yin n’a pas ou n’a plus besoin de ces symboles pour vivre.
A+
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PetitsPlaisirs76.
29 janvier 2023 à 12 h 16 min #45346bzo
Participantla puissance sexuelle est du côté du féminin,
c’est presque un lieu commun d’affirmer cela,
dès lors, tout seul dans mon coin,
il est normal que j’ai été toujours plus du côté du yin
car c’est là qu’il y a le plus de volupté et de jouissance
si tu veux le fond de ma pensée sur ce sujet,
pour moi, pour utiliser une image parlante, enfin, je crois,
le yin est le baril de poudre
et le yang est l’étincelle
l’étincelle a son petit plaisir, en soi, de brûler,
d’être une petite flamme dansante
mais il s’agrandit singulièrement , son plaisir,
s’il se fait complice du baril de poudre,
qu’il assimile et déploie toute une science de l’allumage optimisé,
s’il apprend à être pris dans la déflagration,
à être entraîné par elle
c’est un peu comme cela que je vois les choses
et là où cela devient vraiment très intéressant
c’est que chacun de nous,
nous avons aussi bien le baril de poudre que l’étincelle en nous
et que donc nous pouvons être en même temps, les deux
ce sont tous les enjeux de ma pratique
tout le fétichisme autour du féminin, des habits, des accessoires,
n’est pas vraiment mon truc,
comme tu dis, je n’en ai pas besoin,
je me fais mon cinéma sans accessoires,
l’action, c’est ce qui compte, ce que je vis dans l’instant,
ce qui s’éveille dans la chair, en toute spontanéité,
sans aucun intermédiaire
très important cela, sans aucun intermédiaire,
rien que le corps et moi
et ce que notre complicité, éveille
c’est pour cela que je n’utilise plus de masseur, de gode, rien du tout,
juste parfois, je chevauche le coin de mon bureau
ou je me frotte contre mon armoire,
des actions, en toute spontanéité, improvisées,
suggérées par le désir
29 janvier 2023 à 23 h 47 min #45362bzo
Participantj’ai formé une petit boule, avec mon sexe, mes couilles
que je pétris et encore pétris, avec les cuisses
chaleur roulante, chaleur soyeuse,
chaleur qui se diffuse en répandant ses tentacules ondulantes,
oh mon bassin en est empli, maintenant!
comme j’ai envie de me caresser,
de me sentir m’enflammer de partout
à la première contraction et balancement des hanches,
je suis pris de frissons, irrésistiblement,
cela remonte le long de l’échine,
comme un bouchon de champagne,
cela mousse, cela éclabousse, cela pétille,
partout dans ma tête,
je suis trempé de volupté, de fond en comble
30 janvier 2023 à 13 h 50 min #45363PetitsPlaisirs76
ParticipantSalut
bzo a écrit (p34 le 16/4)
vos lèvres, vos glands, vos clitoris, vos poils,
vos muqueuses, vos pénis, vos salives, vos anus, vos seins, vos culs,
tout cela est à moi pour l’instant, j’en suis propriétaire,
je vous ai pris au piège
puisque vous me lisez
../..
une partouze intime, un instant,
c’est ce que je vous impose par surprise, par l’intermédiaire de mes mots,
je veux vous sentir bander ferme de l’autre côté de l’écran,
../..
je veux sentir vos lèvres devenir humides, moites, gluantes,
../..
agissons un instant ensemble, en décalé, voulez-vous,
laissez-vous faire, ouvrez vos cuisses, vos braguettes, dans l’imaginaire,
les mots vont toujours nous faire vibrer dans le temps présent,
que ce soit celui de hier, d’aujourd’hui ou de demain
Bravo…à 73 ans l’érection est moins prompte, mais elle est aussi à l’intérieur.
Je surprends même ma main entrain de me tripoter le gland.
Satan est à la manœuvre…..pour notre plaisir.A+
30 janvier 2023 à 18 h 11 min #45364bzo
Participantétonnant que tu cites ce texte
car j’y pensais justement, cet après-midi, en télétravail
car je venais d’écrire un autre texte que je vais mettre en ligne, ce soir
qui comporte des similitudes avec celui que tu cites
comme quoi, quel hasard, quelle coïncidence
30 janvier 2023 à 18 h 16 min #45365bzo
Participantaller, encore un petit texte de fantasme,
à fond, sans rien retenir,
qui m’aime , me suive,
enfin plutôt, que ceux qui aiment autant les bites que les chattes,
plus ou moins secrètement,
me suiventmais j’accepte aussi dans mon sillage
ceux qui n’aiment que les bites,
pour ceux qui n’aiment que les adorables fentes, dans la chair, à l’avant,
cela risque d’être un peu compliqué,
ils risquent de bander coupable, de bander gênépendant que je le tapais au clavier, ce texte,
j’en avais le sexe qui coulait en continu,
pourtant, je ne faisais strictement rien d’autre,
aucune autre action d’une quelconque partie de mon corpsseule, la puissance des mots, ici,
elle et elle seule,
agissant sur ma libido,
forçant un petit robinet quelque part,
en bas, dans mon pénis, à s’entrouvrirles phrases coupables suivront, plus bas,
j’espère qu’elles vous feront juter, aussi, autant que moi,
que votre trique se dressera, à la lecture de ce texte
car moi, je l’imaginais, votre braquemart,
se durcissant progressivement dans votre pantalon,
à la lecture de mes motsje vous imaginais aussi, redoublant de rigidité pénienne,
en lisant que je vous imaginais, dans un futur très proche,
bandant à ma lectureet moi-même, pour l’instant,
bandant toujours plus fort, en écrivant,
vous imaginant, m’imaginer, turgescent de plus en plusc’est comme un passage de relai, dans le temps,
un passage de bâton grandissant, dans le pantalon,de personne à personne
je nous imaginais, donc, tous les deux,
turgescent, à distance, de plus en plus, lâchant quelques gouttes,
humidifiant un peu la toile qui enveloppe nos bijoux de famille,
grâce à mes motsmouillons-le, donc, ensemble, ce caleçon, voulez-vous,
sous la toile de coton, enveloppant notre raideur de plus en plus marquée,
semons quelques gouttes de liquide pour exprimer notre contentement profond,
notre chair qui exulte,
chacun de notre côténos sexes dressés, à distance,
comme des petits monuments, érigés un instant, à la gloire de la volupté en solitaire
saluant la force des mots,
saluant la virilité et la fémininité,
emmêlées intimement en chacun de nous,
saluant le bonheur, l’incandescence, dans la chair,
saluant l’érotisme et l’auto-érotisme,
tellement féconds et tellement épanouissants
quand on s’engage sur les chemins de traverse de la sexualitévoici, donc, le texte, en question,
finalement, je vous le livre,
accrochez vos ceintures
ou plutôt décrochez-les,
ouvrez vos braguettes en grand, si vous le pouvez,
laissez l’oiseau s’envoler un petit moment, de sa cage30 janvier 2023 à 18 h 20 min #45366bzo
Participantsentir mon petit sexe, bien dressé et dur,
rudoyé, manipulé sans ménagement,
par des mains poilues, des mains calleuses, des mains puissantes, des mains sales,
le secouant, le pressant, le tordant,
le faisant lâcher quelques gouttes de sperme, à la ronde,
ou autre liquide, que sais-jetandis que ma bouche avale tant bien que mal,
des gourdins, à la queue leu leu,
que je suis trempé de leur foutre,
que j’en ai les cheveux qui collent,
les paupières à moitié refermées,
avec le sperme, en abondance, dégoulinantcela me fait cambrer le cul et offrir l’anus,
toujours plus et plus que jamais, à la ronde
pour qu’on vienne m’enfiler
et enfiler encore, jusqu’à la garde,
pour qu’on vienne me secouer la croupe
à grands coups de boutoirenfin pour ceux qui ne sont pas alignés
pour me mettre la queue dans la bouche
et pour ceux qui ne s’amusent pas,
à me tordre et à me presser, le sexe, dans tous les sens
pour me voir faire des grimaces
où se mêlent la douleur et une extase extrêmetout en m’arrosant d’insultes les plus grossières et les plus vexantes possible
et en me donnant, de temps à autre, de grandes claques sur les fesses
31 janvier 2023 à 10 h 44 min #45374PetitsPlaisirs76
ParticipantSalut
bzo a écrit le 22/01/12023 10h46
puisque je ne regarde jamais de porno
Moi non plus, il y a trop de grosses bites, trop de foutre, trop d’anus dilatés, trop de grimaces, trop d’insultes.
Bigre !! Manifestement Satan est à la manœuvre et il est plus yang que yin…
A+
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PetitsPlaisirs76.
2 février 2023 à 19 h 10 min #45397bzo
Participantcomme c’est agréable, après une longue journée de travail, dans les locaux de l’entreprise,
de retour à la maison, sous la douche,
de s’enfoncer un doigt ou deux, bien profond, dans le cul
c’est comme si une seringue m’injectait une bonne dose de paradis,
je la sens se répandre entre mes reins, dans mes veines,
monter, monter
la caresse de l’eau chaude, en plus, partout sur moi,
je commence à me balancer, avec langueur, tout doucement,
comme c’est bon, comme c’est magique,
me voilà déjà, en quelques instants, empli de volupté, de la tête aux pieds
gémissant en sourdine
mon corps, mon cher corps, à nous deux,
nous avons tellement de choses à nous dire,
tellement de sensations, de volupté, de jouissance,
à partager entre nous
2 février 2023 à 21 h 49 min #45398bzo
Participantj’ai ce plaisir tranquille, ces derniers jours,
qui ne cherche même pas l’accroissement de l’intensité, encore moins les orgasmes,
juste vivre des sensations,
une variété sans cesse changeante de sensations,
baignant dans un flot de volupté
mon corps, plus instrument de musique que jamais,
j’improvise dessus, enchaîne toutes sortes d’accords,
que l’instant devienne une voluptueuse dégustation ,
aux infinies nuances
4 février 2023 à 10 h 45 min #45401bzo
Participantmon rapport à mon corps est en train de changer radicalement,
avec les énergies qui s’accumulent,
depuis des mois que je n’éjacule plus
c’est étonnant, il faut l’avoir fait comme cela, sur une très, très, longue durée,
comme c’est mon cas, maintenant,
cela se met, peu à peu, jour après jour, en place,
c’est fragile, bien sûr, un seul jet laiteux par le petit tuyau raidi
et cela s’est envolé, disparu en fumée, éparpillé
mais, en attendant, je déguste, je n’en pers pas une miette,
c’est un peu, comme un immense palace qui devient, toujours plus vaste, plus mystérieux,
avec un dédale de couloirs qu’on découvre,
qui a poussé, encore, dans la nuit, durant notre sommeil,
toujours plus labyrinthique,
avec toujours plus de rencontres mystérieuses qu’on peut y faire, à tout moment
cela fait, distinctement, cour des miracles, là-dedans,
dès que je me mets en action,
comme si je me retrouvais à l’intérieur d’un chapeau de prestidigitateur,
où je sens passer, à côté de moi, toutes sortes de bestioles
qui surgissent de nulle part et qui galopent, un instant, vers la lumière,
quel cavalcade miraculeuse, par moments
je me sens compact, puissant, incroyablement énergisé,
bien, bien dans ma peau,
c’est étonnant, cette sensation de bien-être, constamment, en moi, en journée, désormais,
parce que je me sens suffisamment serein et sûr de moi,
je recommence à regarder les femmes, avec de l’amour et de l’admiration, plein les yeux
et une envie de retourner vers elles, d’aller à leur redécouverte
et puis je lorgne aussi, bien sur, plus que jamais, aux bosses des pantalons de ces messieurs,
hum, de drôles d’envie d’ouvrir des braguettes, de gober des dards
les religions ont à la fois tout vrai et tout faux
quand elles prêchent l’abstinence sexuelle,
oui, pour accumuler les énergies, au maximum,
quand on n’a pas d’interaction sexuelle avec autrui,
absolument, absolument,
mais pas sans alternatives, pas sans voies de traverse,
que diable, surtout pas,
quel poison, quel piège, le corps et l’esprit, deviennent ainsi
non, les possibilités de s’assouvir sexuellement, loin de l’éjaculation,
sont tellement vastes,
prostate chérie, depuis ton trône, tu nous fais entrevoir une voie royale,
vers une jouissance et une volupté, sans limites,
mais tellement d’autres possibilités,
tellement de potentiel inutilisé en nous,
on dit que le cerveau humain n’est exploité qu’à quelques pourcents,
on peut dire la même chose de nos capacités au plaisir,
le corps est une caverne d’Ali Baba, aux trésors illimités
sérieusement, ma vie est en train de complètement changé,
aussi étonnant que cela puisse paraître,
émotionnellement, je deviens toujours plus chargé à bloc, plus puissant,
ma capacité de m’émouvoir a triplé, quadruplé, quintuplé,
chaque film de qualité que je regarde, chaque livre que je lis, chaque tableau que je contemple,
deviennent comme des montagnes russes himalayesques, émotionnellement,
je suis emporté, estourbi, fracassé aux quatre coins de l’horizon,
vis des moments magiques, avec l’art, le cinéma, la littérature,
encore, bien, bien, plus qu’avant,
mes rêves, aussi, sont encore plus en technicolor, 3D, avec Dolby,
Imax, écran géant, immersion totale
tout cela , j’en ai la conviction, désormais,
c’est parce qu’il y a des racines, au plus intime de nous-même,
qui plongent profondément dans les énergies,
on s’en abreuve, on s’y ressource,
on s’y reconstruit, retrouve puissance, équilibre et richesse émotionnelle
et cela se répercute, a des conséquences, sur toutes sortes d’aspects de nos vies
autant mon corps est devenu réactif sexuellement,
à un point que vous ne pouvez imaginer,
capable de jouir, au plus petit frôlement de doigt sur la peau,
autant , en même temps, je suis beaucoup plus apaisé,
il n’y a pas de surexcitation constante,
comme on pourrait l’imaginer , après des mois et des mois, sans éjaculation,
c’est plutôt le contraire
c’est assez étonnant, cela, au plus le temps passe, ainsi,
au plus vite, je me sens rassasié,
sens mon corps comblé, plus rapidement et plus à fond,
ma capacité à obtenir un plaisir totalement satisfaisant,
qui m’a traversé et imbibé, de fond en comble,
s’est décuplée, à un point
et ne riez pas,
j’ai une constante sensation d’euphorie, en journée,
c’est tellement agréable, je plane sans réelle raison
sinon que je suis très bien dans ma peau, content , content juste d’être là,
avec cette complicité incroyable que j’ai avec mon corps,
mon regard aussi, de plus en plus bienveillant,
alors que d’habitude, je suis plutôt sur mes gardes
5 février 2023 à 12 h 34 min #45408bzo
Participantje bricole à nouveau,
besoin sans cesse, de nouvelles étagères que je case à gauche, à droite, dans les hauteurs, sur mes murs
pour mettre des livres et encore des livres, que j’achète chez les bouquinistes,
je les accumule pour ma retraite,
comme un oiseau ramène des brindilles pour son nid
je me suis peu à peu, complètement dévêtu,
à bouger tout le temps, on attrape chaud,
ma peau à l’air libre, je me sens directement tout chose,
avec les énergies qui se sont accumulées en moi,
mon corps est devenu tellement réactif
c’est juste magique de bricoler comme cela,
le contact de toutes sortes de matériaux contre ma peau,
me fait frissonner tellement,
je compare les types de sensations que cela éveille en moi,
le contact des planches de sapin,
à la fois si doux, si velouteux et un peu rugueux, râpeux, tiède,
le contact des outils, en métal froid, dur, avec des coins , des arêtes,
tout un monde nuances de frissons qui s’éveillent
que je déguste,
tandis que je me déplace, que je bouge, que je me penche,
que je m’assieds, me mets sur le marchepieds
continuant mon travail, le décorant, le colorant,
il y a des guirlandes de fête, accrochés au-dessus de mes instants,
qui clignotent,
la vie, à la maison,
c’est une communion avec mon corps qui s’exprime librement,
quelque soit mon activité,
moments d’unisson, moments d’incandescence,
brefs mais si complets, si totaux,
si désaltérant
il s’agissait de s’assurer des points d’eau,
tout le long du parcours,
tout le long du parcours de ma caravane,
s’assurer une capacité à étancher la soif dans ma chair,
s’assurer des moments de magie, avec elle,
sentir mes ailes battre, frissonner dans les airs,
mission accomplie
5 février 2023 à 13 h 20 min #45409bzo
Participantles gestes, les mouvements, les déplacements de mon corps,
son positionnement dans l’espace, les contacts, dessus,
ma peau comme un buvard, s’imbibant de tout ce qui la touche,
la frôle, même qu’un seul instant,
tout cela m’envoie des signaux, sans cesse,
un flot constant d’informations,
il n’y a plus qu’à être suffisamment réceptif, suffisamment à l’écoute
et tout cela se transforme, instantanément, en sensations de plaisir, aussi
je bricole en volupté, je bricole en dégustations de sensations,
mon corps et moi, complices,
vivons les instants, comme si on faisait du piano à quatre mains,
deux mains pour le travail, le bricolage,
et deux mains pour l’ineffable dans la chair
5 février 2023 à 21 h 23 min #45410bzo
Participantquelque chose de tellement cristallin,
de tellement lumineux,
vibre,
des ondulations, des arabesques,
de soie chaude, frissonnante,
intérieur de nectar,
intérieur de joie pure
je me suis offert, je me suis ouvert,
ce qui vient me butiner,
a mille bouches, mille langues
qui voyagent à travers ma chair
mes gémissements,
comme un chant des entrailles en fête,
lente plainte du plaisir,
lente berceuse de la jouissance
qui accapare toutes les cellules
tranquille fleuve de lave, d’incandescence
qui m’a happé au passage,
souffle brûlant de la terre,
je me prosterne sur le sol, dans la poussière,
j’entends battre un coeur, sourdement, sauvagement,
un grand cri m’envahit, peu à peu, de toutes parts,
tous les animaux, tous les océans,
tous les rochers, toutes les feuilles,
sont au rendez-vous, pour la célébration
la sève brûlante monte,
le tamtam frénétique envahit,
la magie de s’enflammer, tout entièrement,
la magie de ne plus être qu’une flamme dansante,
de tout son être
6 février 2023 à 20 h 48 min #45414bzo
Participantje ne connais que quelques activités humaines,
capables de délivrer de la magie, ici bas,
l’art, la littérature, le théatre, la peinture, la musique, la danse,
en d’autres mots, l’émotion artistiqueet puis le cul,
le cul sous toutes ses formes
mais plus particulièrement, assez hors des sentiers battus,
explorations intimes, ardentes, audacieuses,
exploration de ses frontières, de ses limites, de ses tabous,
en solitaire ou à plusieursla beauté, hors du domaine artistique, sous toutes ses formes,
m’émeut, souvent, aussi,
plus particulièrement celle de la nature,
le bien-être que je peux ressentir à me promener, en été, en forêt,
indispensables moments de ressourcement dont je ne saurai me passeret puis il y a les oiseaux, tellement importants dans ma vie,
ils illuminent les moments quand j’en croise un
ou qu’un de leurs chants cristallins s’attarde dans mes oreilles,
leur passage dans mon champ de vision, est comme une brève caresse,
une balle colorée, bondissante, lancée à toute allure,
un moment de tendresse souriantemais enfin, on ne peut pas dire, si je suis totalement honnête
que cela m’apporte, actuellement,
la même sensation d’embrasement, d’incandescence, d’élévation,
dans tout mon être,
que l’émotion artistique
ou alors, le plaisir sexuel, tout seul, dans mon coinje cherche à communier avec les arbres, le soleil et le vent,
oui, ne riez pas, j’y travaille constamment,
quelque chose m’y pousse irrésistiblement,
quelque chose en moi, me dit, que la nature est là, aussi, pour cela,
qu’il y a moyen, comme de faire l’amour,
très discrètement, très platoniquement,
avec ellepeut-être, un jour, je serai à ce rendez-vous,
j’y serai pile poil, à un moment donné,
mais pour l’instant,
malgré tous mes efforts de détachement, d’ouverture,
d’exploration du grand silence qui règne parmi les arbres,
je n’y suis pas encore arrivé,
du moins pas avec le même succès qu’avec l’art ou le sexequelque chose se passe, incontestablement,
il y a comme une ligne ouverte, du grésillement dessus
mais pas encore de réponse nette, intelligible,
sans doute, suis-je encore trop impatient, trop intéressél’art quand il est de qualité,
me transporte sur un tapis volant,
me bouleverse de fond en comble,
me fait ressentir du mystérieux, de l’ineffable,
le sexe aussil’émotion dans l’échange humain, aussi,
peut résulter en des moments assez magiques
mais c’est beaucoup moins systématique,
beaucoup plus rare, beaucoup plus aléatoire
qu’avec l’art, la littérature ou le sexeet puis il faut être au moins deux pour cela,
toujours,
une rencontre, au bon moment, entre deux êtres,
c’est si rare
et c’est si fugitifalors que l’émotion artistique ou le sexe,
on peut y arriver, tout seul, dans son coin
ou à plusieurs,
beaucoup plus systématiquement,
avec de magnifiques et gratifiants résultats,
souvent à la clef6 février 2023 à 23 h 28 min #45415bzo
Participantje suis très muscles du périnée, ce soir,
en gardant les cuisses plus ou moins contre les génitaux
mais bien immobiles, dans une certaine position,
je peux avec ces muscles, solliciter en même temps,
la prostate et mes bijoux de famille
cela me fait un mélange constant d’ondes, très très homogènes,
avec un fort pourcentage, plutôt d’ondes prostatiques,
ce qui, bien sûr, m’arrange,
ma queue reste bien au repos, flasque de chez flasque,
toute velléité pénienne ,
malgré mes mois, déjà, d’abstinence éjaculatoire,
est tuée dans l’œuf,
ce sont de délicieuse ondes génitales
qui viennent se mêler aux prostatiques
et je consomme , ainsi, sans modération,
ce que mon bassin produit
je suis curieux de voir où cette façon de pratiquer , va me mener,
elle est beaucoup plus statique,
peu de balancement des hanches, pas de mode liane lascive,
mes génitaux, enveloppées, plus ou moins, par mes cuisses,
dans une certaine position,
ne sont actionnées que par les contractions des muscles du périnée,
en même temps que la prostate est sollicitée,
cela fait un ensemble, vraiment très très homogène, compacte,
la tectonique des plaques
il suffit que je change un peu de position
et la texture, les nuances, des sensations, changent du tout au tout
et les quelques mouvements que j’effectue brièvement, pour changer de position,
occasionnent des frottements délicieux sur mes couilles, mon pénis,
cela me fait des transitions
où le taux d’ondes génitales, s’élève brusquement,
le brusquement basculement, dans les proportions des ondes,
provoque vraiment des effets délicieux
une fois que j’immobilise à nouveau,
les pressions sur mes génitaux ont changé, les points de contact, sont différents,
la pression est différente, plus forte, ici, moins forte, là-bas,
le manège des muscles du périnée, peut reprendre,
occasionnant des très légers déplacements de tout le paquet
cela vibre, cela frémit, c’est dense, c’est compacte,
c’est de la musique sublime, entre mes cuisses,
je n’utilise pas mes mains, pour le moment,
je me concentre là-dessus
7 février 2023 à 19 h 27 min #45416bzo
Participantça n’a l’air de rien, juste une façon d’un peu booster son plaisir
mais en fait, quelle expérience étonnante, passionnante, unique
que l’accumulation des énergies, sur une très longue période
grâce à l’abstinence d’éjaculation,
je vis cela depuis plusieurs mois, maintenant,
que je sois enthousiasmé par les résultats,
est peu dire
et je suis plus motivé que jamais,
pour continuer indéfinimenten tout cas, bien sûr,
tant que je n’aurai pas, à nouveau,
des interactions sexuelles, avec d’autres personnes,
cela va de soi,
cela s’arrêtera automatiquement, alorsmais cela fait vraiment sens, pour moi, de rester ainsi
pour pouvoir optimiser au maximum, son plaisir, en solitaire,le transformer, le magnifier, lui conférer une toute autre dimension,
en ayant recours au massage prostatique
et autres pratiques non péniennes
qui bénéficient grandement de ce type d’abstinencelâcher tout seul dans son coin, sa semence
après s’être secoué la verge
on obtient juste, un soulagement bref dans sa chair
mais question, flots de volupté,
question, qualité et diversité des sensations,
question, intensité et durée de la jouissance,
on est loin du compte,
très très loincela ne fait que s’appauvrir, jour après jour,
si on se contente de la branlette devant l’écran,
à regarder des gens simuler l’acte sexuelinventivité, exploration, diversification,
curiosité audacieuse, défier les tabous,
recherche de la complicité de son corps,
agrandissement de son territoire,
laisser libre cours à son désir, toujours plus,
devraient être des maîtres mot, des mottosnon,
si on n’a pas d’interaction sexuelle
mais qu’on veut vivre malgré tout,
quelque chose de hors normes,
quelque chose de spécial, de riche et d’épanouissant,
qu’on veut connaître des touts grands frissons,
en solitaire, c’est la voie royalece n’est pas facile, certes, par moments,
je ne le cache pas
mais néanmoins pas trop compliqué, non plus,
si on appplique, déjà, rigoureusement, deux règles de base
éviter tout porno,
je dis bien tout
et puis éviter tout contact de la zone génitale,
avec les mainsdéjà, avec ces deux règles appliquées scrupuleusement,
et puis une pratique quotidienne,assidue, à volonté,
du massage prostatique
et autres pratiques non péniennes
pour relâcher de plus en plus la pression dans la cocotte-minute,
au fur et à mesure qu’on progresse, qu’on devient plus avancé,
on a les ingrédients qu’il faut pour réussir, sans trop, trop, de difficultésqu’on soit bien d’accord,
il s’agit bien, de se priver d’éjaculation
uniquement pour pouvoir passer aux échelons supérieurs du plaisir,
rien à voir avec une privation pour de quelconques raisons morales, éthiques ou croyances,
non, juste, ne plus éjaculer, pour mieux jouir,
plus longuement et plus richementne plus éjaculer pour décupler la volupté, dans sa chair,
permettre à son désir de croître et encore de croître,
grâce à des pratiques qui ont une courbe d’apprentissage,
certes, parfois assez compliquée, pour certains,
mais néanmoins, un potentiel, sans limitesau jour d’aujourd’hui, après quelques mois de ce type de privation,
le moindre contact sur ma peau,
entraîne, désormais, immédiatement, de tels doux séismes, en moi,
il faut l’avoir vécu dans sa chair, pour en prendre la mesure,
à quel point, le moindre effleurement,
peut devenir un moment de volupté inouïe,
générer des sensations jouissives, se répandant dans tout le corpssans même parler des autres bienfaits que je constate,
que j’ai déjà évoqués un peu
mais dont je parlerais plus longuement,
il y a des choses très positives qui se passent actuellement en moi, à toute une série de niveaux,
cela ne peut pas être une coïncidence
mais je détaillerais tout cela quand tout sera confirmé à 100%,
sans la moindre ambiguïté possible
mais c’est assez étonnant, les répercussions que cela semble avoir, de plus en plus, dans ma vie,j’écris cela, très sérieusement et ne pense pas exagérer
8 février 2023 à 13 h 22 min #45417PetitsPlaisirs76
ParticipantSalut
bzo a écrit:
éviter tout porno,
je dis bien toutAhhh !La pornographie !!! mot fourre-tout par excellence, ( oui j’ai osé !!) cache sexe de nos frustrations, pas de nos instincts, puisque eux sont naturels.
Deux situations:
1) Le cyclisme professionnel (je ne prends pas la boxe où là on atteint des sommets) qui nous donne en pâture, avec la complicité des caméras haute définition,
un homme qui maltraite son corps, les images parlent d’elles-mêmes, ça grimace, ça transpire, ça crache, ça boit, ça souffre. Représentation noble de l’effort, montrable à des voyeurs prêts à le cataloguer de fainéant à la moindre défaillance .2) Un homme seul, étendu confortablement sur son lit, caresse doucement son sexe dressé, ça respire, ça se pâme un peu, ça éjacule, ça jouit. C’est de la pornographie, le mal devant nos yeux.
Cette comparaison est volontairement extrême, pour montrer l’hypocrisie dans l’utilisation de ce mot.
Et toi !Quelle est ta pornographie ?
A+
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