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bzo, le il y a 2 jours et 23 heures.
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- 11 septembre 2023 à 23 h 01 min #46350
bzo
Participantj’ai beaucoup gémi,
les voisins ont du pester,
oh ma chair, ma chair chérie,
nous avons passé de bons moments, n’est-ce pas,
douce, douce tempête,
le chant était partout
12 septembre 2023 à 1 h 20 min #46351bzo
Participantdivine lenteur,
au plus je me freine,
au plus lentement passe en moi, le plaisir
et j’ai tout le loisir d’observer tous les détails
de sa parure
par moments, même, il semble faire du vol sur place,
battant doucement des ailes et comme fixant mon âme,
comme m’invitant à me dissoudre entièrement
la grâce cohabite tellement bien avec le stupre,
les ailes des anges tiennent ensemble avec du sperme séché
et les vagins béants, sont des figures de saints,
tout emplis de dévotion et de sacré
16 septembre 2023 à 9 h 15 min #46361bzo
Participantla perfection absolue, la beauté parfaite,
du moindre insecte, de la moindre fleur, la plus modeste,
trouble jusqu’à dans ses profondeurs,
mon athéisme
mais ce n’est pas grave, pas grave du tout,
je me suis rendu compte,
car je n’ai jamais eu peur, d’aimer fort,
d’aimer passionnément, d’aimer sans réserve
m’agenouiller intérieurement,
devant le soleil et les grands arbres,
jusqu’avoir le nez dans la poussière,
ne me fait pas peur
mais revenons-en à nos moutons,
revenons-en aux bites et aux chattes,
aux muqueuses enflammées par le désir,
aux raideurs et mollesses humides, adorées, de la chair,
aux lèvres d’en haut, aux lèvres d’en bas,
à tout ce qui se gobe goulument,
à tout ce qui se lèche, se frotte, se presse,
avec avidité, avec passion,
aux nez et aux langues, en plongée,
parmi les poils et les odeurs,
à la rencontre des fentes et des petites tourelles,
tout à leur exploration passionnée
les deux nuits passées, j’étais à l’hopital,
rien de grave, juste des examens avancés, en neurologie,
cependant, certains, vraiment très désagréables,
après la ponction lombaire, par exemple,
il a fallu que je reste 6 heures, couché sur le dos, sans trop bouger,
la colonne vertébrale, devait rester bien à plat ,
pour que le liquide rachidien, se reconstitue,
si j’ai bien compris
pour m’occuper,
je me tournais vers les occupations que je connaissais le mieux,
à savoir la lecture
mais pas évident, tenir un livre à bout de bras, sur de longs laps de temps
et puis, et puis. ahem, vous devinez déjà, bandes de petits coquins,
le dialogue intime avec ma chair,
en mode, micro mouvement, maxi effet, pour 6 heures
je laissais les cuisses presser un peu mes bijoux de famille
et je faisais de légères contractions,
tout en laissant les doigts errer sur les tétons,
les titiller, les frotter, les presser, sans discontinuité
comme cela,
tout en gardant une quasi rigidité de statue, avec le haut de mon corps,
pour que ma colonne vertébrale bouge le moins possible,
comme les effets étaient spéciaux,
les sensations plus brèves
car je ne pouvais les attiser, les endiabler,
avec des mouvements, des ondulations,
des caresses enflammées sur tout le corps
cependant, les contrastes,
entre la chair muette et la chair qui chante, l’instant d’après,
ressortait avec une acuité tout à fait frappante,
dans cette quasi immobilité
l’effet sphynx,
mort et renaissance des sensations,
enchantait et surprenait constamment,
je gémissais doucement, en sourdine,
ne voulais pas que l’on m’entende du couloir
où des infirmières passaient régulièrement
enchantement portatif, déplié, adapté aux circonstances,
j’ai ma boite à outils, constamment, avec moi
je suis sorti vendredi midi, c’est-à-dire, hier
et l’après-midi, j’ai pu aller me promener dans la forêt,
la migraine carabinée qui me taraudait,
a disparu progressivement, parmi les grands arbres,
faisant place à un éblouissement de tous les instants,
devant toute cette verdure dansante, baignant dans une glorieuse lumière
je me sentais à la fois, tellement hors du temps
et tellement au coeur battant, au coeur ardent, de l’instant,
moments extatiques, moments de glorieuse paix intérieure
17 septembre 2023 à 21 h 56 min #46363bzo
Participantah jouir, être empli de volupté
a-t-on jamais inventé meilleure façon de passer le temps?
bon, il y a quelques autres activités qui sont pas mal,
se promener en forêt, lire, être avec des amis, aller au théatre, faire du yoga
mais être empli de volupté, jouir, c’est spécial, tout de même,
on est comme au zénith, du bien-être physique et mental, dans ces moments-là
j’alterne des moments en 100% prostatique et puis en mode yin
où je mélange allègrement tous les types d’ondes,
même, hors du lit, j’y arrive , désormais
la seule différence, c’est qu’au lit, en mode yin,
je n’utilise pas les mains, je bouge peu,
c’est devenu tellement fort, que juste, j’enveloppe mes génitaux avec les cuisses
puis j’ondule un peu, je bouge lascivement mon bassin,
cela me suffit pour devenir une boule de soie chaude dansante, de la tête aux pieds
je me laisse rouler ainsi quelques instants
puis je retourne en mode 100% prostatique
car au lit, c’est avant tout, ainsi, que je pratique,
là, uniquement je me titille les tétons
et puis en bas les contractions,
le corps bouge un peu
mais en accompagnement reflexe
en mode yin, là, c’est la complicité absolue de la chair et de l’esprit,
tout participe tellement,
oh comme c’est bon de sentir cela,
tout votre être embarqué, roulé par le désir
le mode prostatique m’apporte les orgasmes
et puis des sensations tellement différentes,
l’alternance est saine, l’alternance enrichit
hors du lit, c’est avant le mode yin,
avec des caresses à volonté, le corps aussi qui participe pleinement,
ondule, vacille, tremble, danse
mais désormais, comme signalé plus haut,
je me mets aussi en mode 100% prostatique,
j’y arrive, ce sont des contractions uniquement avec les muscles du périnée
et puis le titillement des tétons
curieux d’avoir mon premier orgasme prostatique, hors du lit, debout,
curieux de voir ce que cela va être
et puis tout cela, toujours en mode ralenti,
la lenteur, l’étirement, les petites accélérations et décélérations,
le plaisir en moi, se met au même rythme,
c’est juste trop bon, de sentir une vague passer en vous au ralenti,
la sentir passer à travers toutes vos cellules, comme cela,
on a tellement le temps de la déguster, encore et encore,
d’en apprécier toutes les nuances, n’en rater aucune
22 septembre 2023 à 9 h 38 min #46385bzo
Participantdebout, devant l’évier, l’eau coule à flot,
j’ai arrêté de faire la vaisselle, pour un moment,
mes deux mains se sont posées sur la peau,
caressent, le torse, les seins,
un lent mouvement de va et vient,
anime mon bassin,
mes jambes sont écartées un peu,
je suis en 100% prostatique, en bas, pour l’instant
la sensation de pénétration, est partout, entre mes reins,
je me sens monter, je me sens pénétrer,
je me sens porteur d’un dard durci, allant et venant,
je me sens monté, je me sens pénétré, je me sens envahi,
je sens mes chairs, être labourées,
frottées de l’intérieur, fouillées, pressées, cognées,
s’enflammer de plus en plus
c’est juste parfait, c’est juste complet,
c’est total, pour l’instant,
rien ne manque, le désir danse en moi,
sans retenues, sans frontières,
il m’emmène sur tout le spectre de la sensation,
je jouis du vagin, je jouis du pénis, je jouis par les deux bouts,
dans mes profondeurs, le masculin et le féminin,
inextricablement, entremêlés,
travaillent ensemble, dansent ensemble
22 septembre 2023 à 10 h 11 min #46386bzo
Participantainsi, en action,
le masculin en le féminin, les deux en moi, éveillés
je me sens femme à bite, je me sens homme à vagin
je sens les deux sexes, se défaisant, se reformant,
se cherchant et se trouvant constamment,
je me sens rond, je me sens complet
je me sens de fond en comble,
de fond en comble, une splendide confusion, un splendide trouble,
une balade aux extrêmes de moi-même,
une constante recherche d’union, dans l’instant,
un vaste territoire, en feu, sans limites, sans frontières,
un réceptacle bouillonnant, ouvert sur l’univers,
envahi, envahi, envahi
la déchirante perfection de l’explosion, au ralenti dans le vide,
tout coule, tout fond, tout se sépare, tout tournoie,
il n’y a plus de parois, plus de fondations, plus de toit
juste un moment de fusion,
des chairs qui n’existent plus, des chairs fantômes,
du pur carburant en combustion,
de la bouillie d’être, en offrande aux dieux
23 septembre 2023 à 9 h 00 min #46387bzo
Participantl’art, le délicieux art, de se donner du plaisir,
un intime art de vivre,
l’art de faire défiler,
la palette infinie des nuances de la volupté et de la jouissance,
dans sa chair
ces derniers temps,
en dehors de mon mode yin et du mode prostatique,
tous les deux qui règnent en moi,
qui me fleurissent, qui m’épanouissent, au fil des jours,
colorant mes instants, colorant mes moments de vie,
je m’offre, aussi, juste avant de m’endormir,
un curieux moment, très intense, je dois avouer, de plaisir pénien,
sans bander, sans éjaculer, bien sûr
très très spécial, à peine une trentaine de secondes, au maximum,
selon les jours,
un moment de plaisir pénien en mode masochiste, en mode ultra-violent,
avec la main droite, je commence à triturer mes génitaux,
très très fort,
je les presse, je les tords, je les pince,
je les moleste, sans aucun ménagement
un mélange de douleur vive et de plaisir, du aux manipulations,
les premières empêchent la moindre bandaison,
pourtant je m’engage quelque peu , sur la route de l’éjaculation,
surtout dans mon état, vous imaginez,
plus lâché mon coup, plus évacuer de petit nuage laiteux,
depuis des mois, maintenant
mais c’est minime, aucun risque , vraiment, que cela arrive,
tellement je dose avec un maximum de douleur injectée,
aux limites du supportable,
mais en même temps, moments très délectables,
je suis emporté par un élan irrésistible de plaisir brut, de plaisir explosif,
l’excitation monte en flèche à la verticale
et atteint des sommets étonnants en quelques secondes
la douleur alimente le plaisir, lui confère des colorations pimentées, incroyables,
je ne peux me retenir,
je presse, je tords, de plus en plus, goulument, avec déchainement,
après, pendant de longues secondes, mon sexe me fait vraiment mal
mais il ne m’en veut pas, je le sens,
il aime cela, oh combien il a aimé cela
j’ai décidément tous les vices,
après mes jeux avec l’urine,
comme c’est bon, le liquide jaune, chaud et un peu visqueux,
sur les cuisses, l’entrejambe, le bas ventre,
petites fourmis velouteuses qui courent, qui frottent, qui titillent,
voilà maintenant votre serviteur, en mode maso,
on aura tout vu,
il est irrécupérable, ce garçon
(garçon fille, à ces moments perdus, encore pire, direct vers le bûcher)
23 septembre 2023 à 11 h 23 min #46389bzo
Participantles secretions les plus intimes,
la sueur dans la région des sexes, le sperme,
toutes ces odeurs, vaguement d’urine, aussi,
tout cela devrait être dans mes textes
j’aimerai que vous ayez tout cela, pendant quelques instants,
sur les lèvres, dans la bouche, dans les narines,
que vous le perceviez au bout de vos doigts,
leur teneur, leur substance, leur consistance,
leur fumet, plein, plein, partout,
que vous en soyez trempés, imbibés,
jusqu’au plus profond de l’âme
que vous nagiez dedans, avec délectation,
que vous tournoyez dedans, comme un moucheron, tombé dans un verre de champagne,
qui va connaître, pour un moment,
la première et la dernière, ivresse, de sa vie,
avant que d’être englouti par des lèvres riantes, pulpeuses,
le regard, juste au-dessus, ayant remarqué
mais qui ne va pas se priver pour autant,
de ce moment de liquide ambré et pétillant
23 septembre 2023 à 11 h 55 min #46390bzo
Participantdès que j’ai les mains libres,
qu’elles ne sont plus occupées, avec une de ces taches anodines, quotidiennes,
elles se posent sur ma peau,
irrésistiblement, elles sont attirées,
par cette bonne pâte à jouir,
tout imbibée de volupté, de lascivité
qui ne demander qu’à s’exprimer
tels des chevaux sortis de l’écurie,
elles se mettent à gambader sur ce pré qui leur est dédié,
qui appartient à leurs sabots, à leurs muscles assoiffés de galop
oh, sentir ces seins , dans mes paumes,
sentir ces tétons sous mes doigts,
cette peau, comme elle parfume mon intérieur, de sensations
dès qu’on la caresse, qu’on la frotte, qu’on la presse, un peu
et puis mon pénis, comme il est doux entre mes cuisses,
qui la pressent, tantôt avec délicatesse, tantôt sans ménagement,
comme il rayonne généreusement,
quelle suavité cristalline, partout dans ma chair,
grâce à ses ondes
une petite contraction, des muscles du périnée
et ne voilà-t-il pas déjà que la prostate s’en mêle,
dardant tout autour ses bonnes vibrations,
porteuses d’interminable jouissance
oh ma chair, tout ce travail, au fil des années,
quelle récompense, ta complicité absolue,
ces innombrables moments de communion, avec toi,
ces moments d’abandon langoureux
où n’existe plus qu’un fleuve de nectar, dans lequel je suis dissous
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