Mots-clés : aneroless
- Ce sujet contient 1,189 réponses, 15 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
bzo, le il y a 8 heures et 41 minutes.
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- 4 septembre 2023 à 8 h 14 min #46317
bzo
Participantl’étape suivante, c’est qu’il soit sans modération, absolument sans aucune modération,
débridé de chez débridé
4 septembre 2023 à 23 h 51 min #46318bzo
Participantj’adore tellement cet état
quand ma chair est sursaturée d’énergie sexuelle
parce que je n’ai plus éjaculé depuis des semaines
la moindre caresse, la moindre contraction,
le moindre mouvement langoureux de la hanche,
le moindre frottement d’une de mes cuisses, sur mon pénis, mes couilles,
me mettent dans un état d’ébriété sexuelle, avancé
mon sexe coule quasi en permanence,
une sorte d’excitation permanente que j’entretiens,
comme un feu que je ne laisse pas éteindre, qui me tient au chaud,
dont j’aime sentir les flammes danser en moi
c’est juste délicieux de se sentir de la nitroglycérine,
à tout moment capable d’exploser,
de rester ainsi, pendant des heures,
avec la fusée fumante, les réacteurs en train de s’allumer,
la coque qui vibre de tous les côtés
mais retardant sans fin le décollage,
comme un arrêt sur image,
dégustant toutes ces énergies virevoltantes, bouillonnant en moi
et si je entrevois un sein, par hasard, dans une série,
j’y prends un plaisir fou, lentement, longuement,
une sorte d’éblouissement prolongé
c’est comme si ce sein dévoilé, un instant,
s’introduisait en moi,
fondant en gouttes de miel chauds et duveteux,
me traversant ineffablement de tous les côtés,
s’insinuant dans toutes mes cellules
s’engouffrant dans mon cerveau,
y remuant langoureusement, encore et encore
éblouissement, étonnement, délicieuse, voluptueuse, sidération,
grâce à l’absence totale de pornographie, dans ma vie,
redécouvrir le corps de l’autre, à chaque fois,
comme si c’était la première fois,
apprécier le dévoilement, à sa juste mesure ,
son caractère exceptionnel, non frelaté,
émettant, irradiant, toute sa possible puissance, sur mes sens, sur mes nerfs
5 septembre 2023 à 8 h 32 min #46319bzo
Participantsplendide séance, hier, dans la nuit,
je parviens, désormais, à enchaîner, à alterner, des moments d’une extraordinaire intensité,
en mode 100% prostatique, en mode 100% anal, en mode 100% mode yin, mon plaisir au féminin,
les changements complets d’univers de sensations, de type de volupté et de jouissance,
d’une minute à l’autre,
étaient tellement décoiffants à vivre, tellement grisants
malgré la puissance et la richesse des orgasmes prostatiques et anaux
je continue de préférer toujours mon mode yin, mon plaisir au féminin
même s’il n’y a pas vraiment d’orgasmes avec cette façon de pratiquer,
enfin chez moi,
plutôt une sorte de sensation de volupté qui devient tellement intense, tellement riche, tellement variée,
qu’on a l’impression de jouir en continu
mais cette façon est tellement spéciale, tellement unique,
tellement chaque fibre de mon être, participe,
tellement chaque seconde passée, ainsi, est gratifiante, épanouissante,
apporte une sensation de plénitude, de complicité et de communion, avec son corps,
tellement celui-ci semble chanter
un peu mal au cul, néanmoins, de hier soir,
j’ai adoré y aller, vers la fin dans les moments anaux,
avec trois doigts formant comme un engin bien bombé,
enfoncé vraiment loin, aussi loin que possible, sans aucun ménagement
(mais avec pas mal de beurre de karité, tout de même),
empli de telle manière, le moindre mouvement de va et vient, le moindre frottement,
m’arrachait des hurlements,
je devenais fou de plaisir, je n’en pouvais plus,
moments contorsionnistes, aussi
car toujours, rien qu’avec les doigts et les seules ressources de mon corps,
sans aucun accessoire,
de la production 100% maison
6 septembre 2023 à 9 h 52 min #46320bzo
Participantmatinée de stupre, ce mercredi,
pas envie de bricoler, sinon juste dans ma chair,
mes outils sont déjà bien chauffés,
n’attendent que moi pour se mettre au travail
splendidement dormi,
je dors toujours merveilleux bien
quand ma chair est surchargée d’énergie sexuelle,
avec des rêves tellement puissants, tellement riches
au réveil,
j’ai toujours l’impression de sortir d’une super production hollywoodienne
dans laquelle j’ai été le personnage principal
à qui sont arrivés des tas d’aventures fabuleuses, en 3D, que dis-je en 20D,
au scénario complètement psychédélique
au réveil, la première chose que je fais,
je me caresse tandis que je m’étire lentement, lascivement, dans mon lit,
pour prendre la température,
pour me réapproprier, de la meilleure manière qui soit,
cette chair
j’aime aussi m’enfoncer un doigt ou deux , bien profond, dans l’anus,
gigoter un peu sur le pal,
sentir le volcan,
faire vibrer de toutes ses basses, mon fondement
ça y est, mon destrier est prêt,
prêt à galoper, avec moi dessus,
douceur ondoyante de la volupté, soie dans le vent,
chant dans la chair,
ineffable sensation de pénétration,
les entrailles qui fondent et encore fondent, dans un grésillement velouteux,
va et vient en paradis
les rêves, décidément, carburent , aussi, à nos énergies les plus intimes
6 septembre 2023 à 11 h 57 min #46321bzo
Participantau fond,
ce que j’appelle le plaisir en mode yin,
c’est juste une façon d’approcher son corps,
une façon d’approcher le plaisir, sans rien retenir
une façon de chercher sa complicité,
une façon de l’impliquer,
une façon de lui laisser les commandes,
tout en collaborant intimement avec lui
et puis, on se fait offrande,
de la tête aux pieds et jusqu’au fond de l’âme,
on se fait offrande
offrande jusqu’au fond de l’âme,
on s’offre tout entièrement, sans rien retenir,
on lui laisse faire ce qu’il veut,
on ne retient plus rien, on ne réfléchit plus,
juste, on s’offre,
juste , on cède, encore et encore,
on se laisse assimiler
et ne plus exister que par ce que l’on ressent
céder, s’ouvrir, plier,
embrasser la courbure sans fin du désir,
embrasser l’ondulement sans fin du désir,
de tout son être,
embrasser sa puissance, pour la faire notre,
l’envelopper, l’avaler,
se laisser envelopper, avaler
6 septembre 2023 à 23 h 19 min #46323bzo
Participanton ne s’en lasse pas,
j’ai beau avoir connu ce type de sensations, ce type de volupté, ce type de jouissance,
100 fois, 1000 mille fois, 10000 fois,
c’est comme si c’était pour la première fois, à chaque fois,
cela parait neuf, à chaque séance
mon plaisir prostatique a bien évolué ce soir,
je me suis beaucoup caressé en même temps,
beaucoup bougé aussi,
j’ai laissé aller les contractions, vraiment sans rien essayer controller,
parfois elles étaient très fortes, grosse, grosse pression,
parfois tout en délicatesse, appuyant à peine,
tantôt des pressions maintenues, longuement,
tantôt de très courtes, comme en rafales
j’ai senti ainsi que je m’aventurais dans de nouveaux territoires,
vraiment très prometteurs,
j’ai senti ma prostate, réactive comme jamais
et la coordination, la chorégraphie, improvisée,
entre les contractions, les mains et tout le reste,
était juste parfaite
je sentais tout mon corps tellement engagé,
tellement à l’oeuvre, comme un ensemble ,
c’était superbe,
moments pleins, telement épanouissants
aussi, je me suis senti rebasculer, vers du plaisir au féminin
mais sans aucune onde génitale,
rien que la prostate , à l’oeuvre dans le bassin,
cela ouvre des perspectives d’orgasmes splendides,
je l’ai tout de suite senti
7 septembre 2023 à 13 h 54 min #463277 septembre 2023 à 14 h 02 min #46328PetitsPlaisirs76
Participantbzo dit
j’aime aussi m’enfoncer un doigt ou deux , bien profond, dans l’anus,
gigoter un peu sur le pal,
sentir le volcan,
faire vibrer de toutes ses basses, mon fondement
Indubitablement notre “rondelle” est une petite nerveuse, si je ne suis pas un grand adepte de l’autodoigtage
je m’insère volontiers un aneros peredise qui va discrètement exciter cette zone.Il a la taille d’un doigt et je le dirige doucement où je veux, je peux monter assez haut avec.
7 septembre 2023 à 18 h 23 min #46330bzo
Participantsi je ne suis pas un grand adepte de l’autodoigtage
je m’insère volontiers un aneros peredise qui va discrètement exciter cette zone.Il a la taille d’un doigt et je le dirige doucement où je veux, je peux monter assez haut avec.
de mon expérience, avec mon parcours,
je ne prétend aucunement détenir la recette absolue,
je suis devenu adepte farouche du sans accessoire,
rien qu’avec ce que le corps nous fournit
le peridise est un objet en plastique, un objet mort,
mon doigt est de chair, est irrigué, est chaud,
il peut bouger dans tous les sens
et il est en contact direct, avec le reste du corps
je me suis engagé dans une voie,
peut-être qu’un jour, je la changerai, voire l’abandonnerai
mais actuellement,
mes sensations sont les plus fortes, ainsi,
rien qu’avec ce que le corps me fournit comme accessoires,
c’est ainsi que j’arrive à avoir cette sensation de complicité absolue,
de me sentir totalement relié à lui, sans aucun intermédiaire
ce n’est pas tant une question de puissance des sensations
mais une question de qualité, de richesse,
enfin, c’est ainsi que je le vis
7 septembre 2023 à 20 h 00 min #463317 septembre 2023 à 20 h 38 min #46332bzo
Participantc’est quelque peu mystérieux et étonnant,
les effets de la non-éjaculation sur une plus longue période,
il y a les effets que j’ai déjà décrits, sur ma sexualité en solo,
réactivité incroyablement accrue du corps,
richesse, intensité, diversité, des sensations, tellement démultipliées,
etc, etc
mais il n’y a pas que cela,
jai évoqué un peu au-dessus, l’effet que cela a sur mes rêves,
c’est bien réel, je n’exagère pas,
ce n’est pas juste du lyrisme gratuit,
ils sont juste devenus incroyables, d’une puissance et d’une richesse
j’ai l’impression d’avoir deux vies, pour l’instant,
de passer d’un monde à l’autre,
en journée, il y a comme cela des bribes qui me reviennent,
comme si j’avais été visité un autre pays durant la nuit,
je suis heureux de m’endormir et d’aller vivre une autre vie
mais ce n’est pas tout,
j’ai une de ces pêches, mais alors une de ces pêches,
c’est bien simple, suis tout le temps en forme, en super forme même,
je suis plus vif, j’arrive à mieux me concentrer, suis plus calme, plus composé,
plus d’énergie, aussi, dans le sport,
je m’exerce tous les jours sur une machine que je me suis achetée,
eh bien les chiffres montent, je pédale plus fort, plus longtemps,
la différence est flagrante
mais ce n’est pas tout,
le plus intéressant (après la sexualité), pour la fin,
je suis quelqu’un qui n’est plus tout jeune
et qui a plein de problèmes physiques
mais alors, vraiment plein
eh bien, une bonne partie de ces problèmes,
n’handicapent plus mon quotidien,
tout ce qui est de l’ordre de douleurs de type inflammatoire,
s’est peu à peu envolé, pour l’instant,
mes douleurs aux coudes, (tendinites chroniques), évanouies,
dernière constatation en date, l’épine calcanéenne que j’avais au pied droit,
qui me faisait horriblement boîter, certains jours,
ppffiou, plus rien, partie
(bon elle est encore là mais la douleur s’est évanouie)
il faudra que je me plonge vraiment sérieusement dans la lecture de textes sur le tao sexuel
car ils évoquent cela,
que celui qui pratique le tao sexuel, retrouve la santé, retrouve la jeunesse,
ce qui m’arrive, me donne irrésistiblement envie d’en lire plus
mon dentiste qui est un jeune, enfin, assez jeune,
avec lequel je peux évoquer toutes sortes de sujets,
avait suggéré que c’était l’augmentation très forte de testostérones
qui avait un effet anti-inflammatoire,
peut-être qu’il a raison, je ne sais pas
mais en tout cas, c’est assez génial à vivre
7 septembre 2023 à 23 h 00 min #46333bzo
Participantje me sens un peu paresseux, ce soir,
enfin, paresseux, n’est pas le mot,
plutôt indolent, plutôt nonchalant,
pas envie d’être super actif, de bouger beaucoup,
juste de me laisser faire,
de laisser couler tranquillement et puissamment, le fleuve
car néanmoins, je me sens toujours lascif,
lascif de chez lascif,
lascif, capiteux et excité de partout, quelque part, tout le temps,
excité avec tranquillité et profusion,
excité, avec une générosité sans bornes, prête à s’exprimer,
voici l’état d’esprit permanent, entre mes reins
toujours quelque part, dans ma chair,
une envie de jouir et d’être empli de volupté,
cela s’appelle, sans doute, vivre
et avoir assumé le désir en soi,
l’avoir cultivé, l’avoir fait grandir, l’avoir ,développé
lui avoir donné libre cours de déployer ses ailes
entre mes reins, une constante lascivité
qui ne demande qu’à germer, qu’à fleurir,
qu’à fleurir superbement dans l’instant
et elle a besoin de si peu de choses,
oh si peu de choses,
c’est pour cela que je peux me laisser à une indolence crasse, ce soir,
je l’avoue,
laisser mes bras pendre lamentablement, de part et d’autre
car il suffit de si peu de chose, entre mes hanches,
oh , si peu de choses,
de les laisser esquisser, par exemple, comme un pas de danse sexuel vers le côté,
un petit mouvement langoureux, velouteux, tout de travers,
un de ces mouvement qui semble en dérapage contrôlé par le désir,
pour que déjà des vagues s’éveillent partout, entre mes reins
et si j’enchaîne immédiatement,
avec un lent frottement, une légère pression maintenue,
de mes cuisses, sur mes bijoux de famille,
tout en faisant monter une petit contraction, de derrière les fagots,
enfin, de derrière les couilles, plutôt, du côté du périnée,
oh mes enfants,
il y a directement comme du velours chaud, plaintif
et du rauque s’étirant interminablement,
dans ma voix,
que mes entrailles ont commencé à actionner
comme je suis envahi par la jouissance et par la volupté, pour un oui, pour un non,
quelle sensation de grâce cristalline, dans la chair,
quelle sensation de soie dansante dans tout mon être
aussi, ce soir, je laisse faire, tout entièrement, mon bassin,
je laisse faire, tout entièrement, mes reins,
mes bras sont au repos,
pendent, pendent, n’existent plus,
c’est uniquement en bas que cela se passe, ce soir
enfin non, plutôt, il faudrait écrire
que c’est initié uniquement d’en bas, ce soir
car tout le reste continue de participer encore,
hormis les bras et les mains,
tout mon corps danse de l’intérieur, participe à la fête,
certes un peu moins directement
que si mes bras étaient de la partie,
enflammaient, en même temps, ma poitrine, mes flancs, avec des caresses
cela se répand, un peu moins rapidement
mais cela se répand, il faut juste quelques secondes de plus,
pour que le feu prenne
8 septembre 2023 à 22 h 43 min #46340bzo
Participantma pratique au lit, est tellement au point,
tellement bien adapté au fait que je n’ai plus éjaculé depuis des semaines,
que je peux rester une heure si j’en ai envie,
alternant du mode prostatique à 100%
et passer au mode yin
où les génitaux sont constamment sollicités,
sans qu’un instant, je bande, même que mon sexe s’épaississe un peu,
par contre qu’est-ce qu’il coule,
de grosses larmes de bonheur qui humidifient mes poils, mes couilles,
le haut de mes cuisses
de temps à autre,
je passe le doigt sur le méat
puise un peu de son humidité
que je porte ensuite à mes lèvres
je bouge peu au lit, contrairement à quand je pratique hors,
en mode 100% prostatique, je m’en tiens à titiller les tétons,
il n’y a pas de secret, c’est ce qui est encore le plus efficace
et puis les contractions, en bas,
que je laisse monter à leur rythme, à leur fréquence,
tantôt de fortes pressions, de très fortes , même
tantôt plus légères, plus fines, en cadence plus ou moins rapide
tantôt rien que les muscles du périnée, tantôt tout participe, ceux autour de l’anus
et même les fesses entières poussent, se cabrent, pressent,
se contractent avec toute leur puissance
puis je passe en mode yin
ces derniers temps, c’est devenu fort statique,
plus besoin de beaucoup bouger,
mon corps est tellement réactif, ma prostate, tellement réactive,
mon anus s’enflamme pour un rien,
vraiment plus besoin de faire grand chose
et rester plus statique, cela veut dire que je peux me concentrer encore plus,
encore plus être à l’écoute, être dans la fusion précise, millimétrée
je galope au plus près de mon corps,
je fais corps avec mon corps,
nous ne faisons plus qu’un
et c’est une des sensations les plus extraordinaires que je connaisse,
une autre étant, de sentir le masculin et le féminin,
à l’oeuvre, en même temps, dans ma chair
donc, je passe en mode yin,
mes cuisses viennent envelopper mes génitaux, les pressent un peu mais pas trop,
peu de mouvement , donc,
une lenteur assumée, un ralenti, assumé
et puis je fais monter des contractions,
en fait ce sont elles qui mettent en mouvement , mon paquet
et c’est juste assez, c’est juste parfait, ainsi,
le pourcentage d’ondes est, plus ou moins, grosso modo,
de 75% d’ondes prostatiques et de 25% d’ondes génitales
ainsi, l’amalgame qui s’opère est absolument délicieux à vivre,
il suffit de changer, un tout petit peu de position
ou de changer la pression musculaire, un peu par-ci, par là
et déjà les nuances changent complètement
les ondes prostatiques, étant presque constamment majoritaires
et le peu de mouvement, essentiellement provoqués par les contractions,
mon pénis reste mou de chez mou
malgré qu’il participe, constamment, quand je suis en mode yin,
fournissant une abondance d’ondes génitales
et malgré que cela fait des semaines que je n’ai plus éjaculé
ah, j’allais oublié, en mode yin, au lit,
je n’utilise plus du tout les mains,
quand je repasse en mode 100% prostatique,
alors je me titille les tétons,
cela accélère tellement le processus,
immédiatement, je me mets à trembler, à sursauter,
des spasmes s’éveillent dans mon bassin,
un soleil darde de plus en plus puissamment ses rayons
et je me mets à jouir, et encore, à jouir,
après quelques minutes, ainsi
- Cette réponse a été modifiée le il y a 2 semaines et 4 jours par
bzo.
9 septembre 2023 à 8 h 47 min #46343PetitsPlaisirs76
ParticipantSalut
bzo écrit
et puis les contractions, en bas,
que je laisse monter à leur rythme, à leur fréquence,
tantôt de fortes pressions, de très fortes , même
tantôt plus légères, plus fines, en cadence plus ou moins rapide
tantôt rien que les muscles du périnée, tantôt tout participe, ceux autour de l’anus
et même les fesses entières poussent, se cabrent, pressent,
se contractent avec toute leur puissance
Pareil, ces moments sont très agréables et très addictifs j’en ai envie souvent.
9 septembre 2023 à 9 h 55 min #46344bzo
Participantje me réveille,
la nuit aura été, à nouveau, une fête incroyablement ressourçante,
je sens encore la caresse ineffable des rêves, partout en moi,
leurs traces sont encore là, partout,
je les sens, tous ces gnomes et ces lutins,
en bande désorganisée, fourmillant dans mes veines,
refluant, s’éloignant, comme un sillage de bateau, dans ma chair
mais ce n’est que partie remise,
je vous rejoindrai bientôt, à nouveau,
pour reprendre cette exploration magique,
sur le continent secret, sans frontières et sans règles
en attendant, ma main se pose sur la peau,
mon cerveau est encore tout délicieusement embrumé,
quelle puissance sexuelle, je sens tout de suite,
cela semble vrombir sous mes doigts,
j’ai envie , irrésistiblement, de les bouger,
de les traîner dessus,
de sentir des flammes s’éveiller entre mes reins
oh comme j’ai envie de sexe, de stupre, pour l’instant,
si j’avais quelqu’un à côté de moi,
mes doigts, ma bouche, ma langue, mes hanches, ma peau,
se rueraient sur lui ou sur elle,
engloutiraient, caresseraient, lécheraient, frotteraient, presseraient
sentir sa peau, sentir son sexe, une fente ou une petite colonne raidie,
les deux me vont, les deux me conviennent,
sentir la chose se raidir, se dresser ou devenir humide, gluante, ouverte
les deux me conviennent,
ma langue aimera explorer une hampe gorgée de sang, un gland,
comme la petite crevasse chérie aux plis et replis de chair molle,
comme une huître entrouverte
il n’y a pas tout cela, à ma portée?
aucun problème,
je me débrouille très bien, tout seul aussi,
avec le féminin éveillé en moi,
avec le masculin éveillé, dans le féminin, en moi,
avec mon cul , ma prostate et mon braquemart, capable de jouir sur toute la gamme
je suis autonome, je suis auto-producteur,
je génère ce qu’il faut comme sensations
pour être des deux côtés de la pine, des deux côtés de la peau
mais je dois vous laisser,
il y a une vague de jouissance qui m’attend,
elle est trop tentatrice, je la sens qui gonfle sous ma peau,
qui n’attend que moi, pour galoper
les forces de la vie, les forces de la nuit, sont en moi,
je veux les sentir exploser, jaillir, le plus possible,
mourir pourrait être encore une autre aventure
mais en attendant, profitons, profitons,
l’instant est là, l’instant mystérieux, l’instant insondable
l’instant aux profondeurs sans fin,
l’instant voluptueux, l’instant velouteux,
l’instant nectar, l’instant extase,
l’instant communion de la chair et de l’esprit,
l’instant aux infinies possibilités de sensations et de ressenti
9 septembre 2023 à 18 h 06 min #46345bzo
Participantj’ai fait une belle et longue promenade, dans un quartier pittoresque du centre de Bruxelles,
bien que, qui commence sérieusement à se gentrifier et à être envahi par les touristes,
fait une halte chez un bouquiniste très intéressant,
ai ramené beaucoup de beaux livres,
tellement vital cela, les livres, dans ma vie,
ils constituent comme les brindilles d’un nid,
dans lequel je compte passer mes dernières années, de plus en plus
j’ai aussi beaucoup regardé, dans la rue, les hanches, les culs
et les braguettes, aussi, de temps à autre,
bien dodue, bien bombée, elle me faisait fantasmer,
j’imaginais l’engin recroquevillé dedans,
d’abord au repos puis au garde-à-vous
puis dans ma bouche, contre ma langue
mais surtout le postérieur de ces dames,
quelle houle lourde et capiteuse, chez certaines
et puis par cette chaleur caniculaire,
peu, peu de vêtements, quasi pas de soutien-gorge,
cela se balance librement sous la toile,
cela berce mes yeux, cela ravit mes sens
on devinait, de derrière, à travers le tissu de leur mince pantalon,
la fente entre les fesses,
aussi, la culotte en dentelle légère, toute remontée, coincée entre les lobes,
comme j’aurai aimé être à la place de ce string,
bien au chaud, dans ce nid humide, se frottant contre leur chair, à chaque pas
des seins, en veux-tu, en voilà,
de japonaises, d’espagnoles, d’américaines, etc
comme j’aurai aimé palper chacune d’elles, au passage,
quelle élasticité divine et en même temps, quelle fermeté
leurs courbes dansaient dans mes yeux,
certaines le devinaient, je le sentais,
tantôt, elles baissaient les yeux, gênées,
tantôt cela les flattait et une petite lueur s’allumait,
quelques fois, même j’ai senti du feu, j’ai senti un brasier, en réaction,
là, mon pénis, directement, trouvait son chemin , vers le haut,
malgré l’étroitesse de l’espace qui lui était dévolu, pour l’instant
10 septembre 2023 à 9 h 39 min #46346bzo
Participantle stade ultime, pour moi, du “prendre son temps”, d’être bien à l’écoute,
pour communier avec son corps,
c’est quelque chose que j’ai déjà évoqué plusieurs fois, par le passé,
c’est adopter, ce que j’appelle, le rythme des profondeurs, durant la séance
je vais tenter d’expliquer par ce qui suit,
ce que j’entends par là,
les tenants et les aboutissants
c’est un rythme que j’adopte de plus en plus,
quand mon corps est sursaturé d’énergie,
du fait de la non-éjaculation qui perdure, qui s’installe
là, depuis hier soir, il est à nouveau totalement là
et c’est un miracle de tous les instants, à vivre,
à quel point, les sensations sont perçues à 100% de leur potentiel,
à quel point, leur richesses, leurs nuances peuvent s’exprimer,
à quel point, elles m’emmènent haut,
tout en gardant un certain contrôle constant, implicitement, de la tension sexuelle,
en filtrant constamment, automatiquement, le plaisir pénien
pour percevoir, ainsi, avec le plus d’acuité possible,
les ondes prostatiques, anales et génitales non péniennes
pour s’empêcher de basculer vers un plaisir pénien,
caractérisé par un épaissement et une raideur , de plus en plus marqués, du sexe
et qui finit toujours si on laisse faire, par le petit jet laiteux
un rythme, “normal”, disons,
laisse les mouvements, les diverses actions,
comme contractions, caresse, etc,
s’enchaîner les uns aux autres, n’importe comment,
le rythme des profondeurs, lui,
semble avoir systématiquement des temps morts entre les gestes, les mouvements,
entre toutes les choses que l’on fait pour attiser le désir,
il y a , aussi, très nettement, une lenteur assumée, un ralenti assumé
ce rythme peut paraître peu naturel, amorphe,
avec des interruptions, des temps morts, tout en lenteur
cependant ce n’est pas du tout le cas,
une fois qu’on parvient à bien l’appliquer,
c’est un rythme, juste, profondément différent,
qui est entièrement à l’écoute de ce qui se passe en nous,
qui adopte le cycle des sensations et le respecte totalement
c’est quoi le cycle d’une sensation, me demandez-vous?
eh bien, une sensation est comme une vague,
elle nait, elle connait ensuite une période d’ascendance,
durant laquelle elle atteint sa maturité,
puis elle ralentit et enfin, finit par s’éteindre
un rythme “normal” a tendance à enchaîner le plus vite possible,
c’est -à-dire, dès qu’une fois, la sensation n’est plus à son pic,
on cherche à générer la suivante,
les vagues se chevauchent, effectuent leur course, dans le désordre,
se bousculent, se brisent les unes contre les autres,
tentent d’effectuer leur cycle,
n’ont pas le temps de s’exprimer entièrement
que déjà la suivante est sur son dos
et c’est fortement dommage
car quand on respecte le cycle de chaque sensation,
celui-ci s’allonge de plus en plus
et toutes les nuances de son parcours, peuvent s’exprimer pleinement
et on se rend compte que jusqu’à la fin, il y a quelque chose qui se passe,
quelque chose à ressentir
qu’il y a des choses délicieuses à vivre jusqu’à la fin de son cycle
qu’une sensation s’exprime à 100% de son potentiel qu’ainsi,
qu’une sensation est un tout, qui fait fi du temps
et qui, en fait, devient apogée sur apogée si on la laisse courir librement jusqu’à la fin,
elle meurt en laissant échapper un crépuscule mordoré aux infinies nuances,
d’une beauté sans égale
donc, si vous voulez vivre tout le ciel qu’il porte,
vous recherchez son aurore, sa pleine expansion sur l’horizon où elle sera au zénith
mais aussi vous la laisserez aller jusqu’au bout de son cycle
pour vivre la splendeur de son crépuscule, dans votre chair
et même j’irai plus loin,
vous la dégusterez encore, quand elle se sera effacé derrière l’horizon,
vous goûterez à sa nuit
car chaque sensation a sa mini-nuit à elle,
l’épaisseur de son silence à elle
qu’il convient de goûter
avant de lancer le cycle suivant
une fois que vous avez un peu d’expérience, avec tout cela,
vous parviendrez à enchaîner les sensations les unes aux autres,
elle sembleront être splendidement liées les uns autres,
une farandole joyeuse dans vos profondeurs
malgré que vous bougerez nettement moins,
qu’il semble y avoir un temps mort , entre chaque action
mais ce temps mort, en fait, est habité,
tout entièrement par le désir et ses rejetons
et vous êtes 100% imbibé, imprégné,
à l’écoute de ce qui ce qui se passe en vous,
vous le vivez avec une acuité totale,
une précision et une netteté, sans égales
aussi, les vagues de plaisir pénien, étant beaucoup plus courtes,
ayant un cycle beaucoup plus bref
que les ondes prostatiques, anales et génitales non péniennes
elles sont tuées dans l’oeuf, elles ne peuvent s’enchaîner et ainsi s’amplifier,
vous pouvez ainsi, beaucoup beaucoup mieux exploiter vos génitaux,
en tirer des ondes puissantes, riches, de plus en plus nuancées
qui viendront se mêler aux autres types d’ondes,
sans risquer l’éjaculation
et de perdre tout ce trésor d’énergie accumulée , au fil des semaines
qui vous permet des moments de volupté et de jouissance, inouïs
10 septembre 2023 à 12 h 08 min #46347bzo
Participantcette méthode vaut, aussi, bien sûr,
pour le plaisir 100% prostatique,
même plus peut-être
couché sur le dos, les cuisses bien écartées,
les doigts titillant les tétons,
je fais monter des contractions, plus ou moins fortes,
tantôt périnée, tantôt aussi anus, etc
comme décrit plus haut
oser l’interruption, oser le temps d’arrêt,
oser du retardement, oser du ralentissement,
oser du changement de rythme,
ainsi, l’orgasme arrive très rapidement chez moi
puis ils s’enchaînent à la queue leu leu
à chaque temps d’arrêt, à chaque freinage,
quand je sens que c’est devenu trop brouillon,
que j’appuie trop sur la pédale d’accélérateur ,
trop frénétiquement, trop ne comptant que sur elle,
la puissance, immédiatement, après,
semble resurgir de ses cendres, ressourcée, recentrée,
avec une efficacité retrouvée, avec une précision diabolique
faisant rejaillir à nouveau,
des flots sublimes de notes, de ma prostate
cjhercher, aussi, absolument,
la coordination, la complicité,
entre les doigts sur les tétons
et puis les contractions, dans le bassin
11 septembre 2023 à 22 h 07 min #46348bzo
Participantil y a dans les profondeurs de la chair,
un silence lourd, un silence épais, un silence fertile,
comme celui dans la forêt
un silence, que dis-je,
un sol à labourer, un sol à semer,
un sol où faire pousser,
dans l’instant
l’un génère, d’arbre en arbre,
ponctuellement,
les notes colorées et cristallines,
des chants d’oiseaux,
l’autre,
les volutes soyeuses de la volupté
et de la jouissance
ce que j’appelle, plus haut,
le rythme des profondeurs,
par ses ralentissements, par ces temps d’arrêt,
tente de restituer, à la chair, après chaque vague,
ce silence régénérant, ce silence ressourçant, ce silence fertile
pour que la suivante puisse s’élancer,
avec une puissance intacte, sans faille, maximale,
des nuances, non altérées, d’une richesse infinie
11 septembre 2023 à 22 h 27 min #46349bzo
Participantsentir les notes naître du silence,
les sentir y retourner,
une harmonie de tous les instants,
semble se mettre en place, ainsi
une harmonie sauvage et voluptueuse
qui fait chanter la chair,
qui fait respirer la chair
qui fait respirer à la chair, un autre air,
un air de fête ressourçante
toutes les fenêtres se sont ouvertes
pour laisser passer l’air de la fête,
pour laisser passer le torrent de montagne,
des rires de la fête, dans la chair
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