Mots-clés : 

20 sujets de 1,161 à 1,180 (sur un total de 1,447)
  • Auteur
    Articles
  • #46317
    bzo
    Participant

    l’étape suivante, c’est qu’il soit sans modération, absolument sans aucune modération,

    débridé de chez débridé

    #46318
    bzo
    Participant

    j’adore tellement cet état

    quand ma chair est sursaturée d’énergie sexuelle

    parce que je n’ai plus éjaculé depuis des semaines

     

    la moindre caresse, la moindre contraction,

    le moindre mouvement langoureux de la hanche,

    le moindre frottement d’une de mes cuisses, sur mon pénis, mes couilles,

    me mettent dans un état d’ébriété sexuelle, avancé

     

    mon sexe coule quasi en permanence,

    une sorte d’excitation permanente que j’entretiens,

    comme un feu que je ne laisse pas éteindre, qui me tient au chaud,

    dont j’aime sentir les flammes danser en moi

     

    c’est juste délicieux de se sentir de la nitroglycérine,

    à tout moment capable d’exploser,

    de rester ainsi, pendant des heures,

    avec la fusée fumante, les réacteurs en train de s’allumer,

    la coque qui vibre de tous les côtés

    mais retardant sans fin le décollage,

    comme un arrêt sur image,

    dégustant toutes ces énergies virevoltantes, bouillonnant en moi

     

    et si je entrevois un sein,  par hasard, dans une série,

    j’y prends un plaisir fou, lentement, longuement,

    une sorte d’éblouissement prolongé

     

    c’est comme si ce sein dévoilé, un instant,

    s’introduisait en moi,

    fondant en gouttes de miel chauds et duveteux,

    me traversant  ineffablement de tous les côtés,

    s’insinuant dans toutes mes cellules

    s’engouffrant dans mon cerveau,

    y  remuant langoureusement, encore et encore

     

    éblouissement, étonnement, délicieuse, voluptueuse, sidération,

    grâce à l’absence totale de pornographie, dans ma vie,

    redécouvrir le corps de l’autre, à chaque fois,

    comme si c’était la première fois,

    apprécier le dévoilement, à sa juste mesure ,

    son caractère exceptionnel,  non frelaté,

    émettant, irradiant,  toute sa possible puissance, sur mes sens, sur mes nerfs

     

     

     

    #46319
    bzo
    Participant

    splendide séance, hier, dans la nuit,

    je parviens, désormais, à enchaîner, à alterner, des moments d’une extraordinaire intensité,

    en mode 100% prostatique, en mode 100% anal, en mode 100% mode yin, mon plaisir au féminin,

    les changements complets d’univers  de sensations, de type de volupté et de jouissance,

    d’une minute à l’autre,

    étaient tellement décoiffants à vivre, tellement grisants

     

    malgré la puissance et la richesse des orgasmes prostatiques et anaux

    je continue de préférer toujours mon mode yin, mon plaisir au féminin

    même s’il n’y a pas vraiment d’orgasmes avec cette façon de pratiquer,

    enfin chez moi,

    plutôt une sorte de sensation de volupté qui devient tellement intense, tellement riche, tellement variée,

    qu’on a l’impression de jouir en continu

     

    mais cette façon est tellement spéciale, tellement unique,

    tellement chaque fibre de mon être,  participe,

    tellement chaque seconde passée, ainsi, est gratifiante, épanouissante,

    apporte une sensation de plénitude, de complicité et de communion, avec son corps,

    tellement celui-ci semble chanter

     

    un peu mal au cul, néanmoins, de hier soir,

    j’ai adoré y aller, vers la fin dans les moments anaux,

    avec trois doigts formant comme un engin bien bombé,

    enfoncé vraiment loin, aussi loin que possible, sans aucun ménagement

    (mais avec pas mal de beurre de karité, tout de même),

    empli de telle manière, le moindre mouvement de va et vient, le moindre frottement,

    m’arrachait des hurlements,

    je devenais fou de plaisir, je n’en pouvais plus,

    moments contorsionnistes, aussi

    car toujours, rien qu’avec les doigts et les seules ressources de mon corps,

    sans aucun accessoire,

    de la production 100% maison

    #46320
    bzo
    Participant

    matinée de stupre, ce mercredi,

    pas envie de bricoler, sinon juste dans ma chair,

    mes outils sont déjà bien chauffés,

    n’attendent que moi pour se mettre au travail

     

    splendidement dormi,

    je dors toujours merveilleux bien

    quand ma chair est surchargée d’énergie sexuelle,

    avec des rêves tellement puissants, tellement riches

     

    au réveil,

    j’ai toujours l’impression de sortir d’une super production hollywoodienne

    dans laquelle j’ai été le personnage principal

    à qui sont arrivés des tas d’aventures fabuleuses, en 3D, que dis-je en 20D,

    au scénario complètement psychédélique

     

    au réveil, la première chose que je fais,

    je me caresse tandis que je m’étire lentement, lascivement, dans mon lit,

    pour prendre la température,

    pour me réapproprier, de la meilleure manière qui soit,

    cette chair

     

    j’aime aussi m’enfoncer un doigt ou deux , bien profond, dans l’anus,

    gigoter un peu sur le pal,

    sentir le volcan,

    faire vibrer de toutes ses basses, mon fondement

     

    ça y est, mon destrier est prêt,

    prêt à galoper, avec moi dessus,

    douceur ondoyante de la volupté, soie dans le vent,

    chant dans la chair,

    ineffable sensation de pénétration,

    les entrailles qui fondent et encore fondent, dans un grésillement velouteux,

    va et vient en paradis

     

    les rêves, décidément, carburent , aussi, à nos énergies les plus intimes

    #46321
    bzo
    Participant

    au fond,

    ce que j’appelle le plaisir en mode yin,

    c’est juste une façon d’approcher son corps,

    une façon d’approcher le plaisir, sans rien retenir

     

    une façon de chercher sa complicité,

    une façon de l’impliquer,

    une façon de lui laisser les commandes,

    tout en collaborant intimement avec lui

     

    et puis, on se fait offrande,

    de la tête aux pieds et jusqu’au fond de l’âme,

    on se fait offrande

     

    offrande jusqu’au fond de l’âme,

    on s’offre tout entièrement, sans rien retenir,

    on lui laisse faire ce qu’il veut,

    on ne retient plus rien, on ne réfléchit plus,

    juste, on s’offre,

    juste , on cède, encore et encore,

    on se laisse assimiler

    et ne plus exister que par ce que l’on ressent

     

    céder, s’ouvrir, plier,

    embrasser la courbure sans fin du désir,

    embrasser l’ondulement sans fin du désir,

    de tout son être,

    embrasser sa puissance, pour la faire notre,

    l’envelopper, l’avaler,

    se laisser envelopper,  avaler

     

    #46323
    bzo
    Participant

    on ne s’en lasse pas,

    j’ai beau avoir connu ce type de sensations, ce type de volupté, ce type de jouissance,

    100 fois, 1000 mille fois, 10000 fois,

    c’est comme si c’était  pour la première fois, à chaque fois,

    cela parait neuf, à chaque séance

     

    mon plaisir prostatique a bien évolué ce soir,

    je me suis beaucoup caressé en même temps,

    beaucoup bougé aussi,

    j’ai laissé aller les contractions, vraiment sans rien essayer controller,

    parfois elles étaient très fortes,  grosse, grosse pression,

    parfois tout en délicatesse, appuyant à peine,

    tantôt des pressions maintenues, longuement,

    tantôt de très courtes, comme en rafales

     

    j’ai senti ainsi que je m’aventurais dans de nouveaux territoires,

    vraiment très prometteurs,

    j’ai senti ma prostate, réactive comme jamais

    et la coordination, la chorégraphie, improvisée,

    entre les contractions, les mains et tout le reste,

    était juste parfaite

     

    je sentais tout mon corps tellement engagé,

    tellement à l’oeuvre, comme un ensemble ,

    c’était superbe,

    moments pleins, telement épanouissants

     

    aussi, je me suis senti rebasculer, vers du plaisir au féminin

    mais sans aucune onde génitale,

    rien que la prostate , à l’oeuvre dans le bassin,

    cela ouvre des perspectives d’orgasmes splendides,

    je l’ai tout de suite senti

    #46327
    modeyin
    Participant

    Ravi de ton retour @bzo

     

     

    #46328
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    bzo dit

    j’aime aussi m’enfoncer un doigt ou deux , bien profond, dans l’anus,

    gigoter un peu sur le pal,

    sentir le volcan,

    faire vibrer de toutes ses basses, mon fondement

     

    Indubitablement notre “rondelle” est une petite nerveuse, si je ne suis pas un grand adepte de l’autodoigtage
    je m’insère volontiers un aneros peredise qui va discrètement exciter cette zone.

    Il a la taille d’un doigt et je le dirige doucement où je veux, je peux monter assez haut avec.

    #46330
    bzo
    Participant

     si je ne suis pas un grand adepte de l’autodoigtage
    je m’insère volontiers un aneros peredise qui va discrètement exciter cette zone.

    Il a la taille d’un doigt et je le dirige doucement où je veux, je peux monter assez haut avec.

     

    de mon expérience, avec mon parcours,

    je ne prétend aucunement détenir la recette absolue,

    je suis devenu adepte farouche du sans accessoire,

    rien qu’avec ce que le corps nous fournit

     

    le peridise est un objet en plastique, un objet mort,

    mon doigt est de chair, est irrigué, est chaud,

    il peut bouger dans tous les sens

    et il est en contact direct, avec le reste du corps

     

    je me suis engagé dans une voie,

    peut-être qu’un jour, je la changerai, voire l’abandonnerai

    mais actuellement,

    mes sensations sont les plus fortes, ainsi,

    rien qu’avec ce que le corps me fournit comme accessoires,

    c’est ainsi que j’arrive à avoir cette sensation de complicité absolue,

    de me sentir totalement relié à lui, sans aucun intermédiaire

     

    ce n’est pas tant une question de puissance des sensations

    mais une question de qualité, de richesse,

    enfin, c’est ainsi que je le vis

     

    #46331
    bzo
    Participant

    Ravi de ton retour  @bzo

    merci, c’est gentil

    #46332
    bzo
    Participant

    c’est quelque peu mystérieux et étonnant,

    les effets de la non-éjaculation sur une plus longue période,

     

    il y a les effets que j’ai déjà décrits, sur ma sexualité en solo,

    réactivité incroyablement accrue du corps,

    richesse, intensité, diversité, des sensations, tellement démultipliées,

    etc, etc

     

    mais il n’y a pas que cela,

    jai évoqué un peu au-dessus, l’effet que cela a sur mes rêves,

    c’est bien réel, je n’exagère pas,

    ce n’est pas juste du lyrisme gratuit,

    ils sont juste devenus incroyables, d’une puissance et d’une richesse

     

    j’ai l’impression d’avoir deux vies, pour l’instant,

    de passer d’un monde à l’autre,

    en journée, il y a comme cela des bribes qui me reviennent,

    comme si j’avais été visité un autre pays durant la nuit,

    je suis heureux de m’endormir et d’aller vivre une autre vie

     

    mais ce n’est pas tout,

    j’ai une de ces pêches, mais alors une de ces pêches,

    c’est bien simple, suis tout le temps en forme, en super forme même,

    je suis plus vif, j’arrive à mieux me concentrer, suis plus calme, plus composé,

    plus d’énergie, aussi, dans le sport,

    je m’exerce tous les jours sur une machine que je me suis achetée,

    eh bien les chiffres montent, je pédale plus fort, plus longtemps,

    la différence est flagrante

     

    mais ce n’est pas tout,

    le plus intéressant (après la sexualité), pour la fin,

    je suis quelqu’un qui n’est plus tout jeune

    et qui a plein de problèmes physiques

    mais alors, vraiment plein

     

    eh bien, une bonne partie de ces problèmes,

    n’handicapent plus mon quotidien,

    tout ce qui est de l’ordre de douleurs de type inflammatoire,

    s’est peu à peu envolé, pour l’instant,

    mes douleurs aux coudes, (tendinites chroniques), évanouies,

    dernière constatation en date,  l’épine calcanéenne que j’avais au pied droit,

    qui me faisait horriblement boîter, certains jours,

    ppffiou, plus rien, partie

    (bon elle est encore là mais la douleur s’est évanouie)

     

    il faudra que je me plonge vraiment sérieusement dans la lecture de textes sur le tao sexuel

    car ils évoquent cela,

    que celui qui pratique le tao sexuel, retrouve la santé, retrouve la jeunesse,

    ce qui m’arrive, me donne irrésistiblement envie d’en lire plus

     

    mon dentiste qui est un jeune, enfin, assez jeune,

    avec lequel je peux évoquer toutes sortes de sujets,

    avait suggéré que c’était l’augmentation très forte de testostérones

    qui avait un effet anti-inflammatoire,

     

    peut-être qu’il a raison, je ne sais pas

    mais en tout cas, c’est assez génial à vivre

     

    #46333
    bzo
    Participant

    je me sens un peu paresseux, ce soir,

    enfin, paresseux, n’est pas le mot,

    plutôt indolent, plutôt nonchalant,

    pas envie d’être super actif, de bouger beaucoup,

    juste de me laisser faire,

    de laisser couler tranquillement et puissamment, le fleuve

     

    car néanmoins, je me sens toujours lascif,

    lascif de chez lascif,

    lascif, capiteux et excité de partout, quelque part, tout le temps,

    excité avec tranquillité et profusion,

    excité, avec une générosité sans bornes, prête à s’exprimer,

    voici l’état d’esprit permanent, entre mes reins

     

    toujours quelque part, dans ma chair,

    une envie de jouir et d’être empli de volupté,

    cela s’appelle, sans doute, vivre

    et avoir assumé le désir en soi,

    l’avoir cultivé, l’avoir fait grandir, l’avoir ,développé

    lui avoir donné libre cours de déployer ses ailes

     

    entre mes reins, une constante lascivité

    qui ne demande qu’à germer, qu’à fleurir,

    qu’à fleurir superbement dans l’instant

     

    et elle a besoin de si peu de choses,

    oh si peu de choses,

    c’est pour cela que je peux me laisser à une indolence crasse, ce soir,

    je l’avoue,

    laisser mes bras pendre lamentablement, de part et d’autre

    car il suffit de si peu de chose, entre mes hanches,

    oh , si peu de choses,

    de les laisser esquisser, par exemple, comme un pas de danse sexuel vers le côté,

    un petit mouvement langoureux, velouteux, tout de travers,

    un de ces mouvement qui semble en dérapage contrôlé par le désir,

    pour que déjà des vagues s’éveillent partout, entre mes reins

    et si j’enchaîne immédiatement,

    avec un lent frottement, une légère pression maintenue,

    de mes cuisses, sur mes bijoux de famille,

    tout en faisant monter une petit contraction, de derrière les fagots,

    enfin, de derrière les couilles, plutôt, du côté du périnée,

    oh mes enfants,

    il y a directement comme du velours chaud, plaintif

    et du rauque s’étirant interminablement,

    dans ma voix,

    que mes entrailles ont commencé à actionner

     

    comme je suis envahi par la jouissance et par la volupté, pour un oui, pour un non,

    quelle sensation de grâce cristalline, dans la chair,

    quelle sensation de soie dansante dans tout mon être

     

    aussi, ce soir, je laisse faire, tout entièrement, mon bassin,

    je laisse faire,  tout entièrement, mes reins,

    mes bras sont au repos,

    pendent, pendent, n’existent plus,

    c’est uniquement en bas que cela se passe, ce soir

     

    enfin non, plutôt, il faudrait écrire

    que c’est initié uniquement d’en bas, ce soir

    car tout le reste continue de participer encore,

    hormis les bras et les mains,

    tout mon corps danse de l’intérieur, participe à la fête,

    certes un peu moins directement

    que si mes bras étaient de la partie,

    enflammaient, en même temps, ma poitrine, mes flancs, avec des caresses

    cela se répand, un peu moins rapidement

    mais cela se répand, il faut juste quelques secondes de plus,

    pour que le feu prenne

     

     

    #46340
    bzo
    Participant

    ma pratique au lit, est tellement au point,

    tellement bien adapté au fait que je n’ai plus éjaculé depuis des semaines,

    que je peux rester une heure si j’en ai envie,

    alternant du mode prostatique à 100%

    et passer au mode yin

    où les génitaux sont constamment sollicités,

    sans qu’un instant, je bande, même que mon sexe s’épaississe un peu,

    par contre qu’est-ce qu’il coule,

    de grosses larmes de bonheur qui humidifient mes poils, mes couilles,

    le haut de mes cuisses

     

    de temps à autre,

    je passe le doigt sur le méat

    puise un peu de son humidité

    que je porte ensuite à mes lèvres

     

    je bouge peu au lit, contrairement à quand je pratique hors,

    en mode 100% prostatique, je m’en tiens à titiller les tétons,

    il n’y a pas de secret, c’est ce qui est encore le plus efficace

    et puis les contractions, en bas,

    que je laisse monter à leur rythme, à leur fréquence,

    tantôt de fortes pressions, de très fortes , même

    tantôt plus légères, plus fines, en cadence plus ou moins rapide

     

    tantôt rien que les muscles du périnée, tantôt tout participe, ceux autour de l’anus

    et même les fesses entières poussent, se cabrent, pressent,

    se contractent avec toute leur puissance

     

    puis je passe en mode yin

    ces derniers temps, c’est devenu fort statique,

    plus besoin de beaucoup bouger,

    mon corps est tellement réactif, ma prostate, tellement réactive,

    mon anus s’enflamme pour un rien,

    vraiment plus besoin de faire grand chose

    et rester plus statique, cela veut dire que je peux me concentrer encore plus,

    encore plus être à l’écoute, être dans la fusion précise, millimétrée

     

    je galope au plus près de mon corps,

    je fais corps avec mon corps,

    nous ne faisons plus qu’un

    et c’est une des sensations les plus extraordinaires que je connaisse,

    une autre étant, de sentir le masculin et le féminin,

    à l’oeuvre, en même temps, dans ma chair

     

    donc, je passe en mode yin,

    mes cuisses viennent envelopper mes génitaux, les pressent un peu mais pas trop,

    peu de mouvement , donc,

    une lenteur assumée, un ralenti, assumé

    et puis je fais monter des contractions,

    en fait ce sont elles qui mettent en mouvement , mon paquet

    et c’est juste assez, c’est juste parfait, ainsi,

    le pourcentage d’ondes est, plus ou moins, grosso modo,

    de 75% d’ondes prostatiques et de 25% d’ondes génitales

     

    ainsi, l’amalgame qui s’opère est absolument délicieux à vivre,

    il suffit de changer, un tout petit peu de position

    ou de changer la pression musculaire, un peu par-ci, par là

    et déjà les nuances changent complètement

     

    les ondes prostatiques, étant presque constamment majoritaires

    et le peu de mouvement, essentiellement provoqués par les contractions,

    mon pénis reste mou de chez mou

    malgré qu’il participe, constamment, quand je suis en mode yin,

    fournissant une abondance d’ondes génitales

    et malgré que cela fait des semaines que je n’ai plus éjaculé

     

    ah, j’allais oublié, en mode yin, au lit,

    je n’utilise plus du tout les mains,

    quand je repasse en mode 100% prostatique,

    alors je me titille les tétons,

    cela accélère tellement le processus,

    immédiatement, je me mets à trembler, à sursauter,

    des spasmes s’éveillent dans mon bassin,

    un soleil darde de plus en plus puissamment ses rayons

    et je me mets à jouir, et encore, à jouir,

    après quelques minutes, ainsi

    #46343
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Salut

    bzo écrit

    et puis les contractions, en bas,

    que je laisse monter à leur rythme, à leur fréquence,

    tantôt de fortes pressions, de très fortes , même

    tantôt plus légères, plus fines, en cadence plus ou moins rapide

     

    tantôt rien que les muscles du périnée, tantôt tout participe, ceux autour de l’anus

    et même les fesses entières poussent, se cabrent, pressent,

    se contractent avec toute leur puissance

    Pareil, ces moments sont très agréables et très addictifs j’en ai envie souvent.

    #46344
    bzo
    Participant

    je me réveille,

    la nuit aura été, à nouveau,  une fête incroyablement ressourçante,

    je sens encore la caresse ineffable des rêves, partout en moi,

    leurs traces sont encore là, partout,

    je les sens, tous ces gnomes et ces lutins,

    en bande désorganisée, fourmillant dans mes veines,

    refluant, s’éloignant, comme un  sillage de bateau, dans ma chair

     

    mais ce n’est que partie remise,

    je vous rejoindrai bientôt, à nouveau,

    pour reprendre cette exploration magique,

    sur le continent secret, sans frontières et sans règles

     

    en attendant, ma main se pose sur la peau,

    mon cerveau est encore tout délicieusement embrumé,

    quelle puissance sexuelle, je sens tout de suite,

    cela semble vrombir sous mes doigts,

    j’ai envie , irrésistiblement, de les bouger,

    de les traîner dessus,

    de sentir des flammes s’éveiller entre mes reins

     

    oh comme j’ai envie de sexe, de stupre, pour l’instant,

    si j’avais quelqu’un à côté de moi,

    mes doigts, ma bouche, ma langue, mes hanches, ma peau,

    se rueraient sur lui ou sur elle,

    engloutiraient, caresseraient, lécheraient, frotteraient, presseraient

     

    sentir sa peau, sentir son sexe,  une fente ou une petite colonne raidie,

    les deux me vont, les deux me conviennent,

    sentir la chose se raidir, se dresser ou devenir humide, gluante, ouverte

    les deux me conviennent,

    ma langue aimera explorer une hampe gorgée de sang, un gland,

    comme la petite crevasse chérie aux plis et replis de chair molle,

    comme une huître entrouverte

     

    il n’y a pas tout cela, à ma portée?

    aucun problème,

    je me débrouille très bien, tout seul aussi,

    avec le féminin éveillé en moi,

    avec le masculin éveillé, dans le féminin, en moi,

    avec mon cul , ma prostate et mon braquemart, capable de jouir sur toute la gamme

    je suis autonome, je suis auto-producteur,

    je génère ce qu’il faut comme sensations

    pour être des deux côtés de la pine, des deux côtés de la peau

     

    mais je dois vous laisser,

    il y a une vague de jouissance qui m’attend,

    elle est trop tentatrice, je la sens qui  gonfle sous ma peau,

    qui  n’attend que moi, pour galoper

     

    les forces de la vie, les forces de la nuit, sont en moi,

    je veux les sentir exploser, jaillir, le plus possible,

    mourir pourrait être encore une autre aventure

    mais en attendant, profitons, profitons,

    l’instant est là, l’instant mystérieux, l’instant insondable

    l’instant aux profondeurs sans fin,

    l’instant voluptueux, l’instant velouteux,

    l’instant nectar, l’instant extase,

    l’instant communion de la chair et de l’esprit,

    l’instant aux infinies possibilités de sensations et de ressenti

    #46345
    bzo
    Participant

    j’ai fait une belle et longue promenade, dans un quartier pittoresque du centre de Bruxelles,

    bien que, qui commence sérieusement à se gentrifier et à être envahi par les touristes,

    fait une halte chez un bouquiniste très intéressant,

    ai ramené beaucoup de beaux livres,

    tellement vital cela, les livres, dans ma vie,

    ils constituent comme les brindilles d’un nid,

    dans lequel je compte passer mes dernières années, de plus en plus

     

    j’ai aussi beaucoup regardé, dans la rue, les hanches, les culs

    et les braguettes, aussi, de temps à autre,

    bien dodue, bien bombée, elle me faisait fantasmer,

    j’imaginais l’engin recroquevillé dedans,

    d’abord au repos puis au garde-à-vous

    puis dans ma bouche, contre ma langue

     

    mais surtout le postérieur de ces dames,

    quelle houle lourde et capiteuse, chez certaines

    et puis par cette chaleur caniculaire,

    peu, peu de vêtements, quasi pas de soutien-gorge,

    cela se balance librement sous la toile,

    cela berce mes yeux, cela ravit mes sens

     

    on devinait,  de derrière, à travers le tissu de leur mince pantalon,

    la fente entre les fesses,

    aussi, la culotte en dentelle légère, toute remontée, coincée entre les lobes,

    comme j’aurai aimé être à la place de ce string,

    bien au chaud, dans ce nid humide, se frottant contre leur chair, à chaque pas

     

    des seins, en veux-tu, en voilà,

    de japonaises, d’espagnoles, d’américaines, etc

    comme j’aurai aimé palper chacune d’elles, au passage,

    quelle élasticité divine et en même temps, quelle fermeté

     

    leurs courbes dansaient dans mes yeux,

    certaines le devinaient, je le sentais,

    tantôt, elles baissaient les yeux, gênées,

    tantôt cela les flattait et une petite lueur s’allumait,

    quelques fois, même j’ai senti du feu, j’ai senti un brasier, en réaction,

    là, mon pénis, directement, trouvait son chemin , vers le haut,

    malgré l’étroitesse de l’espace qui lui était dévolu, pour l’instant

    #46346
    bzo
    Participant

    le stade ultime, pour moi, du “prendre son temps”, d’être bien à l’écoute,

    pour communier avec son corps,

    c’est quelque chose que j’ai déjà évoqué plusieurs fois, par le passé,

    c’est adopter, ce que j’appelle, le rythme des profondeurs, durant la séance

    je vais tenter d’expliquer par ce qui suit,

    ce que j’entends par là,

    les tenants et les aboutissants

     

    c’est un rythme que j’adopte de plus en plus,

    quand mon corps est sursaturé d’énergie,

    du fait de la non-éjaculation qui perdure, qui s’installe

     

    là, depuis hier soir, il est à nouveau totalement là

    et c’est un miracle de tous les instants, à vivre,

    à quel point, les sensations sont perçues à 100% de leur potentiel,

    à quel point, leur richesses, leurs nuances peuvent s’exprimer,

    à quel point, elles m’emmènent haut,

    tout en gardant un certain contrôle constant, implicitement, de la tension sexuelle,

    en filtrant constamment, automatiquement, le plaisir pénien

    pour percevoir, ainsi, avec le plus d’acuité possible,

    les ondes prostatiques, anales et génitales non péniennes

    pour s’empêcher de basculer vers un plaisir pénien,

    caractérisé par un épaissement et une raideur , de plus en plus marqués, du sexe

    et qui finit toujours si on laisse faire, par le petit jet laiteux

     

    un rythme, “normal”, disons,

    laisse les mouvements, les diverses actions,

    comme contractions, caresse, etc,

    s’enchaîner les uns aux autres, n’importe comment,

    le rythme des profondeurs, lui,

    semble avoir systématiquement des temps morts entre les gestes, les mouvements,

    entre toutes les choses que l’on  fait pour attiser le désir,

    il y a , aussi, très nettement, une lenteur assumée, un ralenti assumé

     

    ce rythme peut paraître peu naturel, amorphe,

    avec des interruptions, des temps morts, tout en lenteur

    cependant ce n’est pas du tout le cas,

    une fois qu’on parvient à bien l’appliquer,

    c’est un rythme, juste, profondément différent,

    qui est entièrement à l’écoute de ce qui se passe en nous,

    qui adopte le cycle des sensations et le respecte totalement

     

    c’est quoi le cycle d’une sensation, me demandez-vous?

    eh bien, une sensation est comme une vague,

    elle nait, elle connait ensuite une période d’ascendance,

    durant laquelle elle atteint sa maturité,

    puis elle ralentit et enfin, finit par s’éteindre

     

    un rythme “normal” a tendance à enchaîner le plus vite possible,

    c’est -à-dire, dès qu’une fois, la sensation n’est plus à son pic,

    on cherche à générer la suivante,

    les vagues se chevauchent, effectuent leur course, dans le désordre,

    se bousculent, se brisent les unes contre les autres,

    tentent  d’effectuer leur cycle,

    n’ont pas le temps de s’exprimer entièrement

    que déjà la suivante est sur son dos

     

    et c’est fortement dommage

    car quand on respecte le cycle de chaque sensation,

    celui-ci s’allonge de plus en plus

    et toutes les nuances de son parcours, peuvent s’exprimer pleinement

    et on se rend compte que jusqu’à la fin, il y a quelque chose qui se passe,

    quelque chose à ressentir

    qu’il y a des choses délicieuses à vivre jusqu’à la fin de son cycle

     

    qu’une sensation s’exprime à 100% de son potentiel qu’ainsi,

    qu’une sensation est un tout, qui fait fi du temps

    et qui, en fait, devient apogée sur apogée si on la laisse courir librement jusqu’à la fin,

    elle meurt en laissant échapper un crépuscule mordoré aux infinies nuances,

    d’une beauté sans égale

     

    donc, si vous voulez vivre tout le ciel qu’il porte,

    vous recherchez son aurore, sa pleine expansion sur l’horizon où elle sera au zénith

    mais aussi vous la laisserez aller jusqu’au bout de son cycle

    pour vivre la splendeur de son  crépuscule, dans votre chair

     

    et même j’irai plus loin,

    vous la dégusterez encore, quand elle se sera effacé derrière l’horizon,

    vous goûterez à sa nuit

    car chaque sensation a sa mini-nuit à elle,

    l’épaisseur de son silence à elle

    qu’il convient de goûter

    avant de lancer le cycle suivant

     

    une fois que vous avez un peu d’expérience, avec tout cela,

    vous parviendrez à enchaîner les sensations les unes aux autres,

    elle sembleront être splendidement liées les uns autres,

    une farandole joyeuse dans vos profondeurs

    malgré que vous bougerez nettement moins,

    qu’il semble y avoir un temps mort , entre chaque action

    mais ce temps mort, en fait, est habité,

    tout entièrement par le désir et ses rejetons

    et vous êtes 100% imbibé, imprégné,

    à l’écoute de ce qui ce qui se passe en vous,

    vous le vivez avec une acuité totale,

    une précision et une netteté, sans égales

     

    aussi, les vagues de plaisir pénien, étant beaucoup plus courtes,

    ayant un cycle beaucoup plus bref

    que les ondes prostatiques, anales et génitales non péniennes

    elles sont tuées dans l’oeuf, elles ne peuvent s’enchaîner et ainsi s’amplifier,

    vous pouvez  ainsi,  beaucoup beaucoup mieux exploiter vos génitaux,

    en tirer des ondes puissantes, riches, de plus en plus nuancées

    qui viendront se mêler aux autres types d’ondes,

    sans risquer l’éjaculation

    et de perdre tout ce trésor d’énergie accumulée , au fil des semaines

    qui vous permet des moments de volupté et de jouissance, inouïs

    #46347
    bzo
    Participant

    cette méthode vaut, aussi, bien sûr,

    pour le plaisir 100% prostatique,

    même plus peut-être

     

    couché sur le dos, les cuisses bien écartées,

    les doigts titillant les tétons,

    je fais monter des contractions, plus ou moins fortes,

    tantôt périnée, tantôt aussi anus, etc

    comme décrit plus haut

     

    oser l’interruption, oser le temps d’arrêt,

    oser du retardement, oser du ralentissement,

    oser du changement de rythme,

    ainsi, l’orgasme arrive très rapidement chez moi

    puis ils s’enchaînent à la queue leu leu

     

    à chaque temps d’arrêt, à chaque freinage,

    quand je sens que c’est devenu trop brouillon,

    que j’appuie trop sur la pédale d’accélérateur ,

    trop frénétiquement, trop ne comptant que sur elle,

    la puissance, immédiatement, après,

    semble resurgir de ses cendres, ressourcée, recentrée,

    avec une efficacité retrouvée, avec une précision diabolique

    faisant rejaillir à nouveau,

    des flots sublimes de notes, de ma prostate

     

    cjhercher, aussi, absolument,

    la coordination, la complicité,

    entre les doigts sur les tétons

    et puis les contractions, dans le bassin

    #46348
    bzo
    Participant

    il y a dans les profondeurs de la chair,

    un silence lourd, un silence épais, un silence fertile,

    comme celui dans la forêt

     

    un silence, que dis-je,

    un sol à labourer, un sol à semer,

    un sol où faire pousser,

    dans l’instant

     

    l’un génère, d’arbre en arbre,

    ponctuellement,

    les notes colorées et cristallines,

    des chants d’oiseaux,

    l’autre,

    les volutes soyeuses de la volupté

    et de la jouissance

     

    ce que j’appelle, plus haut,

    le rythme des profondeurs,

    par ses ralentissements, par ces temps d’arrêt,

    tente de restituer,  à la chair, après chaque vague,

    ce silence régénérant, ce silence ressourçant, ce silence fertile

    pour que la suivante puisse s’élancer,

    avec une puissance intacte, sans faille, maximale,

    des nuances, non altérées, d’une richesse infinie

    #46349
    bzo
    Participant

    sentir les notes naître du silence,

    les sentir y retourner,

    une harmonie de tous les instants,

    semble se mettre en place, ainsi

     

    une harmonie sauvage et voluptueuse

    qui fait chanter la chair,

    qui fait respirer la chair

    qui fait respirer à la chair, un autre air,

    un air de fête ressourçante

     

    toutes les fenêtres se sont ouvertes

    pour laisser passer l’air de la fête,

    pour laisser passer le torrent de montagne,

    des rires de la fête, dans la chair

     

20 sujets de 1,161 à 1,180 (sur un total de 1,447)
  • Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.