Mots-clés : énergie sexuelle, plaisir androgyne, prostate
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Andraneros, le il y a 2 années et 9 mois.
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- 18 avril 2020 à 11 h 00 min #37197
bzo
Participanttiens, cela fait un certain temps que je n’ai plus écrit ici,
je suis surtout occupé avec l’autre fil, le fil techniquece matin, il pleut sur Bruxelles,
je suis merveilleusement calme, j’ai commencé la journée par une délicieuse séance
qui s’est conclue par un orgasme XXL accompagné d’une éjaculation,
elle est venue à son heure, je n’ai plus cherché à forcer,
elle est montée lentement en moi, j’ai particulièrement bien réussi cette fois,
pour la première fois en fait, toute cette lente et irrésistible arrivée de la cavalerie,
les trompettes et les tambours se mettent à résonner de tous les côtés dans ma chair
et les légions romaines en rangs serrés montent, montent, montent,
jusqu’à ce que soudainement, plus rien,
plus rien qu’une vaste atomisation de tout mon être, de toute ma chair,
plus qu’un immense flux de lave partout, partout en moi, partout dehors,
partout, partout, partoutavant cela, j’ai vécu des moments tellement délicieux,
chaque geste, chaque mouvement, était une nuance de plaisir,
une vague qui se levait en moi et vivait sa vie quelques instants,
les nuances variaient constamment,
le mode yin était déployé tellement totalement, d’une façon tellement épanouie,
je reviens toujours à cette image d’un papillon immense aux ailes battantes,
aux ailes merveilleusement coloréesquel chatoiement de couleurs en moi
et puis tant de duvet, tant de duvet,
le vol est si léger, la communion si totale,
les énergies tellement libérées, tellement jouant librement en moiaprès je suis devenu tellement calme, j’ai été jusqu’à ma fenêtre velux qui ouverte,
me protégeait de la pluie qui tombait,
je respirait cet air chargé de l’humidité de la pluie et je me sentais tellement bien,
mon corps libre sous moi, libre de passer du mode yang au mode yin instantanément,
je le bougeais de temps à autre un peu pour sentir des éclairs de douceur me traverser,
je sentais une incroyable liberté en moi, un profond accord au fond de moi,
me sentais en accord total avec quelque chose que je porte en moije regardais les quelques arbres à ma gauche, portant désormais toutes leurs feuilles,
ce vert si tendre, si lumineux, comme gorgé de lumière,
le vent qui provoque des lentes vagues parmi la frondaison,
tout d’un coup je réalisais que j’étais à l’écoute,
à l’écoute de mes abysses comme à l’écoute de ce monde en face de moi,
je me laissais pénétrer, je me laissais imbiber, par ce que je voyais,
le yin est totalement éveillé constamment en moi,
je peux m’en servir sexuellement
mais je peux aussi le connecter au monde que je vois, que j’entends, que je respirevivre, vivre de tout mon être
19 avril 2020 à 14 h 07 min #37199bzo
Participantcette chair est un territoire immense, sans limites,
un dessert à croquer à pleines dentson en occupe généralement qu’une toute petite partie
autour partout, dès qu’on s’aventure hors du périmètre,
des frissons d’un type inconnu,
la soie chatoyante et colorée d’une volupté
qui semble appartenir à un autre monde19 avril 2020 à 14 h 07 min #37200bzo
Participantj’écris mes mots en essayant d’être au plus près de ce que je vis,
à l’instant pour vérifier, je me caresse, me laisse emporter un moment,
pour voir si les mots habillent bien,
sont bien taillés sur mesure à ce que j’ai éveillé un instant en moi19 avril 2020 à 17 h 58 min #37203bzo
Participantje pressais lentement, maintenant la contraction,
juste une fraction avant, j’avais fait passer tout mon corps en mode yin,
c’est devenu si simple, si naturel, c’est si proche de moi, cela m’attend en moi,
c’est avant tout, toute une attitude intérieure d’ouverture, de lâcher prise, de s’offrir au plaisir,
les ondes prostatiques sont montées, tellement denses, tellement irradiantes,
on aurait dit que j’avais un soleil dans le bas-ventre
qui dardait ses rayons de tous les côtésje restais ainsi de longues secondes sans bouger, juste maintenant la contraction,
dégustant ce rayonnement dense, chaud, tellement cristallin,
cela semblait imprégner mes tissus de plus en plus,
c’était comme un bain de soleil prostatique, du bronzage prostatique de l’intérieur,
le réchauffement soyeux, régénérateur, ressourçant d’un halo de félicité20 avril 2020 à 8 h 49 min #37205bzo
Participanthum…
time upj’ai plus ou moins terminé pour l’instant, je crois, mon fil technique,
il y a suffisamment de matériau dedans
pour que quelqu’un qui aurait envie de vivre son plaisir en mode yin,
ne doive pas se lancer là-dedans à l’aveugle, sans signes de pisteje me suis rendu compte qu’avec les circonstances exceptionnelles de ce confinement,
c’était pour moi une occasion unique pour bien progresser dans mes travaux
puisque mes week-ends sont totalement libérés pour l’instant, ils sont tout à moi,
en ce sens que je ne me rends plus chez ma mère à la campagne tous les dimanches
puisque les déplacements sont interdits
mais que de toutes façons, elle est chez moi quatre jours par semaine en journée
où je peux la gâter et échanger avec elle, plus en ces dernières semaines,
que ces dernières annéesdonc je vais reprendre ma discipline de ne plus venir ici mettre des messages qu’après 20h,
aussi, commencer à regarder des films ou des séries, pas avant 18h,
cela avait été une formule gagnante pour libérer du temps chez moi,
je n’en avais pas vraiment profiter
mais là je vais remettre cela en place,
je veux absolument terminer mon appartement,
cela devient scandaleux, cette procrastination,
pour reprendre un terme de mon cher Proustalors voilà
22 avril 2020 à 0 h 07 min #37209bzo
Participantil y a comme un soleil au nid dans ma chair,
plus aucune barrière, plus aucun obstacle,
entre les énergies et moi,
la plus délicieuse promiscuité imaginable,
les tempêtes sont comme de grands fauves ultra-doux,
rôdant librement22 avril 2020 à 0 h 47 min #37210bzo
Participantune rose s’est ouverte dans ma chair,
comme elle rayonne,
comme son parfum envahit mes fibres22 avril 2020 à 23 h 27 min #37214bzo
Participantaprès de longs et délicieux moments aneroless
où les vagues de plaisir se sont succédé aux vagues de plaisir,
j’ai inséré mon Vice 2 amplement lubrifié,
après quelques instants où je continuais alternant les mouvements du masseur
avec la danse de mes cuisses avec les bijoux de famille,
je décidai d’essayer d’avoir des moments uniquement prostatiques comme par le passéj’ai persisté cette fois
mais je me suis graduellement rendu compte
qu’il y avait une évolution qui empêchait cela désormais,
qui fait qu’en mode yin, le pur prostatique je peux oublier,
cette évolution, c’est la sensibilité tellement accrue de mes génitaux,
au moindre contact, au moindre frottement
et même au moindre déplacement de mes couilles ou de mon sexe, juste provoqué par les mouvements du masseur,
ils émettent des vibrations, ils émettent de la soie qui se disperse,
tout sortes de délicieuses sensationsuniquement si j’écarte au maximum les cuisses
et encore, en ne bougeant pas trop le masseur,
que je parviens à garder à peu près silencieux mes organes génitaux
bon je ne vais pas me plaindre, j’ai travaillé pour cela, j’ai oeuvré pour cela pendant des mois,
pour qu’ils réagissent de plus en plus à la moindre sollicitationpeut-être en retournant encore plus en arrière,
à ma première année où je pratiquais le massage prostatique en mode yang comme la plupart,
avec donc au bout d’un certain temps, enfin pour ceux qui ont atteint un certain stade,
les orgasmes qui se mettent en route et viennent à la queue leu leu
et puis si on est dans un jour de chance, même un super O qui enlumine notre chairle challenge peut sembler intéressant en théorie
mais de fait, il ne me tente pas un instant,
je suis trop bien dans ma pratique en mode yin
avec ce plaisir qui démarre instantanément,
qui est ressenti dans tout le corps,
moins d’orgasmes certes mais qu’est-ce que cela peut faire,
quand on a constamment ce plaisir tellement riche, ressenti partout ou à peu prèsune des caractéristiques justement d’un orgasme,
c’est qu’au plus fort il est, au plus on va le ressentir un peu partout,
donc en mode yin, avec ces sensations que l’on ressent constamment dans tout le corps,
on a déjà une des caractéristiques les plus importantes de l’orgasme,
je ne parle même pas de la finesse, de la variété et de la richesse des sensations
qui n’est pas comparable, enfin selon mon expérience,
je n’évoque même pas cette extraordinaire sensation de se faire l’amour constamment,
non, aucune envie de retourner vers un plaisir en mode yang,
ni vers du pur prostatique non plus d’ailleursla synergie, le dialogue, des ondes prostatiques et des ondes des génitaux,
est la combinaison la plus puissante et la plus riche qui soit dans le bassin de l’homme,
enfin encore une fois, selon mon expérience,
je l’ai développée en moi,
désormais j’explore le vaste continent qui s’est ouvert ainsi
avec un éblouissement devant tant de splendeurs vécues qui ne se tarit pas23 avril 2020 à 23 h 50 min #37225bzo
Participantle crescendo du palais des délices,
c’est un escalier sans fin en soien monter les marches une à une,
c’est faire preuve de la volonté de vivre chaque instant pour ce qu’il pourrait apporter,
c’est faire preuve de la volonté d’ouvrir les portes en grandc’est ce qu’il a de plus difficile
car il y a toujours une part de nous
qui voudrait monter les marches quatre à quatre25 avril 2020 à 23 h 42 min #37236bzo
Participantil me suffit par moments juste d’invoquer brièvement
ce qui est éveillé en permanence désormais en moi,
cela fait un instant comme si on allumait une flamme
dans une pièce remplie de gaz,
tout mon intérieur prend feu délicieusement,
juste un instant,
après je laisse la chose s’éteindre, je suis déjà content,
content d’avoir senti que c’est en moi,
que c’est tellement puissamment en moi,
que tout mon intérieur peut s’enflammer en un instant,
tellement puissamment,
tellement particulièrement,
tellement hors de toutes les normescette chose qui monte de tellement profondément,
qui fait irruption un instant dans ma chair, l’enflamme délicieusement,
c’est à moi, c’est ma conquête,
je l’ai gagné à la sueur de mon front,
j’y ai travaillé longtemps, patiemment
et c’est désormais là à tout instant à ma dispositionma petite réserve inépuisable de jouissance et de volupté
prête à inonder ma chair, prête à m’emporter,
comme cette complicité est merveilleuse,
mon corps et moi, nous nous entendons, comme nous nous entendons,
que le chant monte de toutes parts,
que la danse emporte mes sens,
que l’ivresse soit divine,
que l’instant soit divin28 avril 2020 à 0 h 06 min #37248bzo
Participantquelle sublime contradiction,
ma pratique est depuis belle lurette totalement consistante,
la complicité avec mon corps, sans limites
et pourtant plus que jamais, il n’y a en moi
que le foutoir à l’infini d’un immense chantier
où une chatte n’y retrouverait pas ses petits28 avril 2020 à 16 h 42 min #37249Andraneros
Modérateur28 avril 2020 à 18 h 38 min #37250bzo
Participantah tu me taquines…
28 avril 2020 à 22 h 18 min #37253bzo
Participantje me suis demandé un instant si j’étais encore éveillé,
je me suis senti tellement emporté, tellement flottant, dérivant, éloigné de tout
je me sentais comme dissous à jamais dans un rêve érotique de la chair,
mais au fait, peut-être étais-je en train de dormir,
en train de rêver que je pratiquais, que je me donnais du plaisir?peut-être que la nuit, toutes les vannes de nos énergies les plus secrètes
sont ouvertes en grand
et qu’ainsi nous flottons, nous dérivons, pendant de longues heures
entouré des innombrables débris de nos souvenirs les plus récents et les plus lointains
se mélangeant, se cognant, nous entraînant dans la plus étrange des farandoles?ma main bougeait lentement sur ma poitrine, je repris conscience,
dans mon bassin, comme une inondation de soie chaude
comme si c’était un évier débordant avec les robinets ouverts en grand,
ça fuyait, ça dégoulinait, de tous les côtés dans mon corps,
je me laissais à nouveau absorbé, à nouveau happé par le flux,
redevins un fétu de paille dans le courant turbulent,
un nouveau blackout dans ma tête,
plus que de la lumière cristalline partout dans tout mon être
dans laquelle je semblais dissous
comme si j’avais été lâché dans l’espace interstellaire,
tournoyant lentement à des millions d’années-lumière de tout29 avril 2020 à 22 h 39 min #37264bzo
Participantentre mes jambes, il y a comme un petit feu de camp,
qu’il fait chaud, qu’il fait doux, entre mes cuisses,
oh que ma chair est vivante, les secondes palpitantes,
au fond de moi, de or luit, un vieux coffre s’est ouvertje me caresse un instant,
et c’est comme si mille mains
étaient passées brièvement en moidans le silence de plus en plus épais
en moi et autour de moi,
mon écoute semble une route qui passe entre des portesvibrer, vibrer de plus en plus,
plein de choses cherchent l’accord,
leur donner une chance30 avril 2020 à 23 h 30 min #37276bzo
Participantcela fait maintenant 4 jours que je n’ai plus éjaculé,
la tension est monté tout doucement durant ce temps,
tout mon corps est devenu tellement réactif,
le moindre effleurement de mes cuisses sur mes génitaux me fait gémir de plaisir,
la moindre caresse me fait frémir dans tout le corpsfais une longue séance au lit, elle a été étonnante,
depuis le début jusqu’à la fin,
à chaque instant j’avais la sensation que mon sexe allait exploser,
lâcher de longs jets de sperme jusqu’au plafond,
une telle puissance en irradiait, rendait fou mon yin,
je m’en tortillais dans tous les sens, je n’en pouvais plus,
j’avais une telle boule de feu dans le bas-ventreet pourtant non, du précum constamment, un petit filet qui coulait
mais le sperme n’est jamais monté
malgré constamment tous les signaux qui normalement accompagnent ce moment,
constamment là
et j’ai bien senti que j’aurai pu continuer ainsi encore toute la nuitil y a une sorte d’équilibre au bord du précipice, qui s’établit,
peut-être grâce aux ondes prostatiques
ou bien juste mon yin qui tient cela bien en laisse pour en profiter un maximum,
va savoir,
en tout cas, c’est fichtrement bon3 mai 2020 à 21 h 10 min #37294bzo
Participantse sentir possédé,
le plaisir de se sentir possédé,
d’éveiller des forces tellement irrépressibles en soi
qu’on se sent le corps complètement parti en roue libre,
dans la frénésie sexuelle la plus débridée qui soitil y a quelque chose de magique, de surnaturel
à ce que le moindre mouvement, le moindre geste,
provoque un torrent de sensations en soi,
possédé, se sentir possédé,
emporté par une magie noire sexuellese sentir un animal en rut,
le plaisir de se sentir un animal en rut,
défoncé, défonçant, écartelant, écartelé, frottant, frotté, caressant, caressé,
jusqu’au fin fond de l’âme, jusqu’au fin fond de la chair
la moindre cellule de son être partie en vrille
dans une transe sexuelle chamanique sans bornes4 mai 2020 à 20 h 56 min #37296bzo
Participantavec mes dernières avancées spectaculaires,
j’ai atteint désormais un stade dans ma façon de pratiquer
où j’ai une idée assez claire et précise de ce qu’elle peut m’offrir et de ce qu’elle ne peut pasma pratique en mode yin, aneroless,
avec ce double moteur dans le bassin d’ondes prostatiques et d’ondes génitales dialoguant,
occasionnellement des ondes anales aussi,
couvre un spectre sexuel très très large, aussi large que possible, je crois,
de quoi explorer jusqu’à la fin de sa vie,
avec tout ce qu’il faut pour être satisfait dans sa chair, épanoui dans sa chair,
des moments de communion charnelle inouïs, des orgasmes XXL équivalent des super O prostatiques,
de la volupté à gogo,
oh oui, tant de volupté dans la chair, c’est indescriptiblement bonun plaisir par moments totalement animal,
à d’autres, c’est comme si l’on flottait dans une galaxie lointaine,
loin de tout, léger, sans corps, vibrant dans la lumière,
tellement la qualité des sensations est devenu miraculeusecependant je vois aussi qu’il y a certains moments, certaines états
qu’elle ne pourra jamais m’offrir,
je pense à certains types de transes prostatiques que j’ai vécus,
des moments extatiques, presque plus sexuels
où certaines fois j’ai même eu des visionsj’ai relaté tout cela en son temps,
par exemple, la vision d’un pont sans fin suspendu dans la lumière
ou encore une autre qui revenait régulièrement
où j’avais la sensation d’être couché sur une plage
avec le ressac de l’eau qui montait en moi, entre mes jambes, me pénétrant, me faisant l’amour
et puis le soleil et le ciel, aussi omniprésents, comme semblant m’étreindre,
une sorte de tête à tête intime extraordinaire avec les élémentsou encore une autre fois où tout mon être ne semblait plus qu’une immense aile au travail dans les airs,
chacune de mes cellules semblant oeuvrer à son lent battement,
je sentais que je formais les muscles de l’aile,
tout mon être n’était plus que cela, les muscles d’une aile immense, au travailces moments, appelons-les “mystiques”, me manquent,
jusqu’ici j’avais espéré qu’ils reviendraient
mais désormais je vois que ce ne sera jamais le cas avec ma façon actuelle de pratiquer en aneroless,
aussi indescriptiblement délicieuse, riche, qu’elle soit,
aussi j’ai décidé d’essayer de refaire du prostatique avec masseurj’ai évoqué il y a pas longtemps,
le problème que mes couilles, mon sexe, étaient devenus tellement sensibles
qu’au moindre contact, ils émettaient comme des vibrations voluptueuses,
c’est quelque chose que j’ai recherché et qui s’est développé comme je l’espérais,
je ne me plains pas une seconde,
cependant pour refaire du pur prostatique, c’est un obstacle clairement,
en ce sens que le moindre contact avec mes génitaux désormais,
crée une vague de volupté dans mon bassin
et que la tentation est là à chaque fois,
de resserrer les cuisses et de provoquer d’autres vagues de même nature
mais plus amples et en continu,
c’est tellement simple, il suffit vraiment que je resserre les jambes et que je les bouge
et mon bassin puis tout mon corps, en sont inondés directement,
c’est ineffablement divineh bien je vais essayer de résister à cette tentation
et de persévérer avec masseur en pur prostatique
pour essayer de retrouver ces extases si particulières que j’aimais tant
qui viendront compléter d’une façon superbe
toute cette pratique aneroless en mode yin que j’ai développée
et qui désormais est arrivée à maturité4 mai 2020 à 23 h 09 min #37298bzo
Participantaussi tôt, aussi fait
me suis mis au lit avec l’idée d’avoir une séance prostatique avec masseur comme au bon vieux temps,
d’abord quelques minutes d’échauffement en aneroless
puis, hop le Vice2 bien lubrifié, enfourné,
pas une très longue séance, un bon quart d’heure
mais que j’estime totalement réussiedepuis que j’ai arrêté le masseur,
beaucoup d’eaux ont coulé sous les ponts de mon plaisir,
aussi j’ai été très agréablement surpris de me rendre compte immédiatement,
à quel point mon mode yin était totalement là,
arrive directement a bien prendre les choses en main,
à quel point aussi ma dextérité avec le masseur,
bénéficie de ces longs mois d’aneroless quasi exclusivement,
je me sens accomplir des va et vient avec l’engin, toutes sortes de mouvements,
avec une maîtrise que je n’ai jamais ressentie avantquelques interférences de mes couilles, de mon sexe, étaient à prévoir
mais pas grand chose finalement, suis resté assez immobile,
bien concentré sur les ondes prostatiques,
ainsi les quelques vibrations de mes génitaux à leur moindre effleurement ou mouvement,
n’étaient pas gênantsvenant maintenant à l’essentiel,
aux ondes prostatiques , aux sensations prostatiques, au plaisir prostatique,
eh bien très rapidement mes réflexes de prostatomane sont remontés à la surface,
je goûtais, je dégustais chaque contact, chaque va et vientma plus grand peur, en-dehors des interférences des génitaux,
était comment j’allais réagir par rapport au vide relatif dans le bassin,
du fait de la non-inondation de celui-ci par les vibrations voluptueuses des génitaux,
en effet ce qui caractérise mon plaisir en aneroless de la façon dont je le pratique,
c’est que dès le premier instant, tout le bassin est envahi, inondé, d’ondes
alors que là avec uniquement la prostate sollicitée, c’est différent,
c’est plus discret, moins tape-à-l’oeil
mais les sensations étaient très bonnes, surprenamment bonnes même, je diraispas eu d’orgasme mais de belles envolées tout de même,
en un quart d’heure après un si long arrêt, c’est plus qu’honorable,
mon plus grand défi après ces débuts encourageants,
c’est d’adapter ma patience au crescendo plus lent, pour l’instant en tout cas,
du massage prostatiquele mode yin, est tout à fait délicieux ainsi aussi,
je m’offre au masseur, je le laisse me pénétrer, me posséder,
je réapprends à tourner comme une toupie sur son chemin
à m’envoler comme un hélicoptère à chacun de ses délicieux petits va et vient en moi,
vivement de plus sérieux décollagesbon, après il faut aller nettoyer le matériel, c’est moins rigolo
6 mai 2020 à 15 h 32 min #37303bzo
Participantla chaleur de mes couilles entre dans ma cuisse
comme un coussin chaud, soyeux, souple,
semble nager façon poulpe toujours plus en avant,
se disperse lentement maintenant,
ainsi en mille petits nuages duveteux, frissonnants, doux
continue sa route, se répandc’est comme un tapis de fleurs d’été à l’infini qui naît dans ma chair,
je bois du ciel bleu gorgé de lumière,
cela volette, cela saute, dans toutes les directions, dans la lumière chaude,
la vie peut être si légère, si pleine d’ivresse et de grâce,
si pleine d’envolées vers les cieux,
la terre accueillante par moments
comme un baiser pour tout notre êtreune chair enchantée me berce,
je suis au nid, au chaud, à l’abri, dans mon appartement,
une musique s’est déployée, des danseurs se sont élancés,
mon âme est nue, mon corps aussi,
je suis empli de la grâce soyeuse d’une volupté ineffable,
ma chair brûle de bonheur, envoie des flammes jusqu’au ciel - AuteurArticles
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