Mots-clés : énergie sexuelle, plaisir androgyne, prostate
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Andraneros.
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25 décembre 2019 à 0 h 46 min #35757
bzo
Participantj’adore comme ma pratique est totalement intégrée dans mon quotidien,
dans chacune des actions domestiques de mon quotidien,
s’y mêlent désormais quelques gestes, quelques mouvements, en plus,
qui les colorent, qui les épicent, qui les endiablent, qui les rendent ensorcelantesen marchant, en touillant la soupe, en sortant le linge de la machine,
en faisant ma vaisselle, en me brossant les dents,
il y a toujours quelque chose à faire, à rajouter
pour que des sensations naissent en moi,
pour que le plaisir s’empare plus ou moins de moiil y a toujours un air de fête dans ma chair, j’en prends soin,
elle en raffole et moi aussi,
rien ne se galvaude, rien ne s’émousse malgré les nombreuses micro-séances et séances au quotidien
si son seul focus est sur la qualité des sensations25 décembre 2019 à 10 h 56 min #35758bzo
Participantmon corps m’a fait un beau cadeau ce matin,
j’ai posé mes mains sur ma peau et je l’ai immédiatement senti,
j’ai senti que j’étais empli de vibrations,
de belles, de magnifiques vibrations partout immédiatement en moi,
affalé sur ma chaise de bureau, les pieds sur la table, comme souvent,
tout mon corps résonnait splendidementje bougeais un peu les doigts, les laissais courir par monts et par vaux,
je bougeais les hanches
et cela se confirmait, une limpidité extrêmement puissante ce matin,
cette journée va être un bon crû, un très bon crû, voir un crû exceptionnel, je le sensnulle part où aller aujourd’hui, rien de programmé, repos et repas post-Noel généralisés,
farniente sexuelle pour moi, dialogue sensuel avec ma chair, avec mes tripes,
nous allons nous envoyer en l’air délicieusement, je le sens,
cela va chanter, cela va enchanter, dans mes entrailles,
alléluia25 décembre 2019 à 11 h 36 min #35759bzo
Participantavoir les clefs,
c’est avoir un accès direct aux énergies qu’il y a au fond de nous,
savoir les éveiller, savoir les faire monter,
savoir les laisser jouer dans notre chairune fois qu’on est capable de cela,
cela devient un jeu d’enfant,
cela devient un jeu d’enfant dans tous les sens de l’expression
car on acquis le pouvoir de se restituer à soi-même ponctuellement,
de ne plus vivre que dans sa tête comme dans un donjon
mais c’est comme si on avait acquis le pouvoir
d’aller se faire faire une promenade comme à un chien
pour s’aérer, se dégourdir les pattes, faire ses besoins,
dans un tout autre mondese libérer de toutes ses entraves,
de sortir de sa cage plus ou moins dorée d’adulte,
l’échappée libre vers l’inconnu en nous,
aller faire un tour comme si on était dehors,
être restitué à l’entièreté de son corps,
comme quand on était enfant où notre imagination, nos sens et nos sensations,
galopaient librement à la rencontre du monde, à la rencontre des événementsune petite ouverture, une minuscule ouverture, comme le chas d’une aiguille au fond de nous
mais qui donne accès à tout un continent en nous
où notre identité sexuelle est abolie,
où beaucoup d’autres limites en fait sont abolies
où beaucoup de sortilèges mystérieux deviennent possibles25 décembre 2019 à 12 h 09 min #35760bzo
Participantcertes je ne suis plus innocent,
c’est même tout le contraire,
puisque je suis ce que l’on pourrait appeler, un dépravé,
un libertin à ma façon, dans mon coin, tout seulmais il y a une pureté en nous qu’on peut retrouver par une sexualité débridée,
une sexualité débridée méticuleusement choisie, adaptée à nous
et vécue dans le respect de soi et des autres,
dans le respect grandissant de soi-même et respect grandissant des autres,
une pureté qui résonne magnifiquement en nous,
une pureté qui éveille des échos lointains sublimes,
une pureté qui nous relient d’une étrange façon à l’enfanceun élan de liberté totale dans sa chair
qui fait fi de toutes les règles profondément ancrées en nous,
de tous les tabous profondément ancrés en nous,
nous permet, au moins momentanément,
de retrouver en nous un espace de jeu qu’on croyait aboliun espace de jeu où vivre des moments d’incandescence, délié de toutes entraves
où le chaman en nous peut officier
et libérer nos sens, nos sensations, nos fantasmes, notre imagination, nos pulsions, notre instinct,
au-delà de toutes les limites25 décembre 2019 à 12 h 17 min #35761bzo
Participantj’ai la plume facile ce matin, elle lâche bordée sur bordée
mais tellement de choses se passent en moi,
j’ai l’impression d’avoir mis des continents en mouvement
et d’en cueillir les fruits désormais
et cela doit sortir aussi par l’écriture
sinon la fête ne serait pas complète25 décembre 2019 à 12 h 36 min #35762bzo
Participantce qu’on peut retrouver de l’enfance, pour être plus précis,
ce que j’ai qualifié au-dessus, de pureté inouïe en nous,
c’est cette liberté totale dans notre tête et dans notre corps
où notre imagination, nos sens, nos sensations, notre instinct, nos pulsions,
peuvent nous jouer tous les tours possibles et imaginables
car rien ne les retient plus, ils galopent librement en nousc’est cela qu’on peut retrouver avec une pratique qui arrive à un certain stade de son évolution,
cela se passe dans un cadre bien précis certes, celui où l’on est en action, en action sexuelle
mais c’est déjà pas mal de pouvoir vivre cela dans sa chair,
dans tout son être en fait,
de longues, longues minutesde longues, longues minutes, libérés de toutes entraves,
vivant son corps, goûtant à ses trésors cachés,
goûtant à toute la folie douce qu’il recèle,
délié de tout,
le temps de quelques caresses, de quelques frottements, de quelques gémissements25 décembre 2019 à 14 h 07 min #35763bzo
Participantpar moments, je sens entre mes jambes un sexe de femme,
ou en tout cas quelque chose que j’y assimile,
sensation de chair au plus intime de moi,
en même temps comme un chantier à ciel ouvert, joignable, touchable, frottable, parcourable,
de la chair intimement connecté à tout mon être,
de la chair connectée à tout mon être sensiblequelque chose de profondément ouvert dans ma chair, en bas entre mes jambes
quelque chose d’extraordinairement intimement moi, en bas entre mes jambes,
de la chair intense, souple, chaude, soyeuse,
en bas entre mes jambes, des plis de chair chaude, souple, soyeuse,
comme ayant une vie propre par moments tellement cela s’enflamme tout seuldans l’action, j’ai souvent envie d’écarter le plus possible mes cuisses
pour bien sentir tout cela grand ouvert,
de la chair intime, grande ouverte, en parade, sans plus aucune pudeur,
tout son intérieur rose et humide, baillant,
prêt à se laisser engouffrer et à envelopper de chair soyeuse et souple25 décembre 2019 à 17 h 05 min #35764bzo
Participanttoute cette niaiserie de Noel
n’aurait pas grand sens s’il n’y avait les enfants,
ce sont eux la seule et véritable magie de Noel25 décembre 2019 à 17 h 10 min #35765bzo
Participantgoûter au corps de l’aimée,
goûter aux fruits que constituent le corps de l’aimée,
voir celui-ci s’épanouir comme une fleur magnifique au soleil, sous nos caresses,
voir les courbes dansantes du corps de l’aimée s’animer sous nos caresses,
voir sur son visage l’évolution du plaisir qui danse dans sa chair,
sentir qu’elle ouvre ses jambes pour notre dard dressé,
pour que le suprême dialogue prenne son envol dans sa chair26 décembre 2019 à 0 h 45 min #35768bzo
Participantj’ai commencé à lire plus sérieusement ce livre sur l’hermaphrodisme que j’ai acheté,
dont je donne les références plus haut,
un gros pavé universitaire qui a l’air d’aborder le sujet sous tous ces anglesfascinant, je me sens déjà moi seul avec mon androgynie durant mes séances
cela traverse l’histoire en fait, des premiers chrétiens, aux grecs,
moyen-âge, penseurs du 18, 19 siècles,
c’est constamment là en faitAdam était androgyne, il aurait du s’appeler Adam-Eve,
c’est d’une de ses côtes que Dieu créa la femme
et depuis l’homme et la femme cherchent à s’unir pour retrouver l’androgynie originellebien des courants philosophiques avaient pour idéal, l’androgynie,
considéré comme la perfection, l’unité retrouvée,
je confirme pour l’unité, cette sensation est omniprésente en moi
durant les moments les plus intenses de mes séancesbien d’autres choses encore,
je voulais retranscrire des passagers complets tellement fascinants et instructifs
mais je suis trop paresseux, un autre jour peut-êtreje vais y revenir régulièrement à ce bouquin,
il éclaire certains aspects de ce que je vis durant ma pratique,
je rêve cependant de trouver un jour, au moins sur internet,
des témoignages de gens qui vivent la même chose que moi,
ici il y avait bien @ch313, mais il ne vient plus,
lui il vivait la même expérience,
même si ses déclencheurs étaient tellement spéciaux
mais l’androgynie complète durant était là chez lui aussi,
les ébats du masculin et du féminin dans une chair, il le vivait aussi26 décembre 2019 à 9 h 59 min #35769Andraneros
ParticipantBonjour @bzo,
Faut-il bien lireje me sens déjà moi seul avec mon androgynie durant mes séances
avec “moi” comme tu l’as écrit ou faut-il plutôt lire “je me sens déjà MOINS seul avec mon androgynie durant mes séances” ?
Je suis tenté de penser que c’est plutôt la seconde version.
Bon cheminement @bzo.26 décembre 2019 à 17 h 58 min #35770bzo
Participantoui effectivement, c’est bien le mot moins qu’il faut lire
découvrir dans ce bouquin à quel point la notion d’androgynie,
au-delà de ses aspects superficiels de l’apparence extérieure,
est profondément ancrée dans la sexualité de l’homme
et de la femme aussi en fait,
dans le questionnement sur la sexualité,
dans toute une métaphysique de la sexualité, si j’osais cette association de mots,
de l’union de l’homme et de la femme, dans tous ces courants,
considérée comme une tentative de retrouver durant l’acte à deux, l’androgynie originellede découvrir que tout un tas de conclusions auxquelles j’étais arrivé empiriquement avec ma pratique
sont corroborées par certaines phrases que j’ai lues dans ce bouquin,
me conforte personnellement énormément dans mon cheminement
qui, je me rends compte, n’est pas juste une lubie, une extravagance, de ma part
mais s’inscrit bien dans tout un courant qui traverse les siècles
et répond à quelque d’ancré au plus profond de nous,
de notre identité sexuelle, de ses frontières, du flou et de l’inconnu qui l’entoure,
de son dépassement possible,
d’une unité possible en nous avec le féminin que nous portons aussi en nous
dans des proportions dont j’ai pris conscience peu à peu, qui sont énormissimes
et que j’ai essayé d’activer et de faire monter en en moi le plus possible durant les séances26 décembre 2019 à 22 h 06 min #35771bzo
Participanttrouver toujours de nouvelles hauteurs,
quelle délice,
chaque jour est une nouvelle aventure sensuelle dans ma chair,
quel bonheur de pouvoir vivre de pareils moments,
la magie de vivre ce corps comme si j’étais soudainement une différente personne,
au sexe indéterminé, au sexe trouble,
au spectre plus complexe, plus riche, sans limitesah mes amis, quel trouble divin dans ma chair, quel trouble divin dans ma chair,
des eaux tellement délicieusement troubles,
des vagues tellement délicieusement troubles,
ma chair vécue autrement soudainement,
tout ce féminin qui m’envahit,
c’est comme une drogue, des limites ne sont plus là, tout peut arriver,
tout peut arriver au niveau des sensations, de la jouissance,
de l’inconnu peut à tout moment surgirl’étrangeté absolue qui s’installe dans ma chair,
je suis accroc à ce dépaysement complet, à ce corps vécu comme si j’étais une autre personne
je est un autre écrivait Rimbaud,
je est un autre et une autre, en même temps chez moi27 décembre 2019 à 1 h 00 min #35772bzo
Participantsors d’une petite séance délicieuse au lit,
de longs moments à jouir, des gémissements comme du miel plein la gorge,
plein d’étoiles aussi, du miel avec des étoiles de lumière, plein les yeuxj’ai ré-appliqué une vieille recette,
l’alternance de moments yeux ouverts et de moments yeux fermés,
cela a vraiment bien fonctionné,
plus que jamais quand j’appliquais une contraction
et puis que je refermais les pupilles en même temps,
les deux actions comme intimement synchronisés l’une avec l’autre,
j’avais cette impression extraordinaire de plonger comme un dauphin vers mes profondeurs
dans une onde voluptueuse, chaude, soyeuseje semblais démarrer du bord de mes yeux
et en quelques instants j’étais par mille mètres de profondeur en moi
dans la densité sans âge de la jouissance
qui envahissait tout mon corpsau coeur de la vie, il y a cette fragilité, cette gracilité,
quelque chose de tellement éphémère,
qu’on se demande si on a rêvémais oui bien sûr qu’on a rêvé,
ensemble avec ma chair, j’ai rêvé,
le monde entier a rêvé un instant avec moi28 décembre 2019 à 9 h 51 min #35775bzo
Participantles bidets,
je me rappelle dans mon enfance, il y en avait dans toutes les salles de bain,
désormais ce article semble avoir disparupourquoi j’évoque les bidets?
parce que ces derniers temps, je vais me nettoyer systématiquement le popotin,
plus exactement la crevasse de popotin dans la salle de bain avec de l’eau,
histoire d’avoir l’emplacement toujours propre
de façon à pouvoir aller y jouer avec les doigts sans les ressortir vaguement brunâtresen fait, j’ai évoqué il y a quelque temps,
que la nuit lors de mes nombreux micro-éveils,
j’allais systématiquement introduire deux, trois doigts dedans,
c’est devenu une sorte d’automatisme délicieux,
j’avais écrit que ce n’était pas mon “anus-pussy” que je visitais ainsi
mais juste mon anus, plaisir anal d’homme donc que je ressentais
mais c’était bien agréable aussieh bien cela a évolué, le féminin en moi a conquis aussi ce terrain,
désormais, même complètement à froid, sans rien bouger d’autre,
quand j’introduis mes doigts par derrière,
c’est toujours l’intérieur soyeux de mon “anus-pussy” que je ressens,
ma petite caverne nucléaire où il fait tellement bon farfouiller entre les rayons
pour y dénicher des perles rares,
comme j’aimerai pouvoir aller y introduire la langue aussi,
me faire des cunnilingus en quelque sorte,
enfin ce n’est pas le cas mais avec les doigts , j’obtiens déjà de délicieuses sensationsdonc je me nettoie systématiquement après chaque visite “lourde” aux toilettes
dans la salle de bain
mais ce n’est vraiment pas pratique, il y a de l’eau qui dégouline le long de mes jambes,
cependant j’aime de plus en plus le faire, j’ai un réel plaisir,
j’y plonge les doigts, je nettoie bien tous les recoins, je gémis de toutes ces intrusions,
je prends mon temps, je récureah mais je vois sur amazon ce genre d’article, douchette qu’on installe sur la toilette
et qui envoie un jet juste là où il faut pour nettoyer les lieux
directement après l’évacuation des excréments,
c’est juste ce qu’il me faut:https://www.amazon.fr/Boss-Bidet-Buse-pulvérisation-autonettoyante/dp/B06WP78R7S/ref=sr_1_11?__mk_fr_FR=ÅMÅŽÕÑ&keywords=bidet&qid=1577521384&sr=8-11sinon mes couilles sont de plus en plus réactives jour après jour,
elles semblent vraiment former, enfin tout mon paquet entre mes jambes,
n’en excluons aucune partie,
comme une éponge imbibée de nectar chaud, soyeux, incroyablement voluptueux,
il suffit que je presse un peu dessus
et cela dégouline partout dans mon bassin tellement fort,
j’ai vraiment l’impression de sentir comme un liquide ineffable se répandre en moi,
c’est absolument irrésistible28 décembre 2019 à 22 h 21 min #35777bzo
Participantpar moments, j’ai l’impression de travailler les énergies qui montent en moi
comme un potier qui a les mains sur la pâte qui tourne,
qui prend forme peu à peu29 décembre 2019 à 9 h 30 min #35779bzo
Participantdélicieux orgasme de bon matin,
c’était comme si je dévalais un toboggan,
toujours plus vite,
je fermais les yeux, je me laissais complètement aller,
je commençais à rouler dans toutes les directions,
me cédais, me livrais, toujours plus,
comme c’est bon de ne plus être qu’un fétu de paille sans volonté aucune,
roulé par un torrent voluptueux,
du feutre, de la soie, qui bouge partout, en moi, autour de moi,
c’est chaud, c’est doux, c’est incroyablement chaud, incroyablement doux,
je roule toujours plus, je suis roulé toujours plus,
cela roule en moi, cela roule autour de moi,
le monde entier roule et moi avec, dans un torrent de nectar ineffable,
mes gémissement,mes râles, se détachent à la queue leu leu,
s’envolent les uns à la suite des autres, gorgés de mille nuances de plaisir,
mes petites colombes, envolez-vous,
allez porter au monde entier la nouvelle,
je jouis de tout mon être,
mon âme est au firmament des gueux,
des gueux dépravés et heureux29 décembre 2019 à 22 h 29 min #35785bzo
Participantpour répondre dans un fil qui demande conseil concernant les masseurs prostatiques,
je suis retourné sur le site de la marque Nexus
et j’ai eu l’heureuse surprise de constater qu’ils ont sorti un modèle
qui m’intéresse grandementc’est un peu paradoxal d’écrire cela, moi qui n’utilise quasi jamais de masseurs
mais je le regrette car à chaque fois que j’y retourne, j’ai de très bonnes sensations qui me changent du aneroless,
cependant sans masseur, ce sera toujours plus riche, plus varié et tellement plus facile ,
je peux me procurer du plaisir quand je veux, comme je veux,
là en écrivant, il me suffit d’un peu serrer mes cuisses sur mes parties,
de faire remonter une ou deux contractions
et déjà je suis empli d’un plaisir intense de la tête aux pieds
alors qu’avec masseur, well…
il faut aller jusqu’au lit, sortir une des bêtes de sa boîte, puis le lubrifiant,
enduire le premier du second,
puis enfin insérer,
après c’est partienfin bon, en tant que personne, tirant son plaisir uniquement de ma pratique en solitaire,
je me dois d’avoir sous la main tout ce qui pourrait avoir un apport substantiel
dans le dialogue sensuel au quotidien avec ma chair
qui ne me quitte jamais quand je suis à la maison tout seul,
c’est devenu une manière de vivre,
je fais tout en plaisir, c’est constamment là, cela m’accompagne quasi tout le tempsdonc, j’ai vu sur leur site qu’ils ont sorti un modèle
qui pourrait m’intéresser grandement dans un avenir plus ou moins lointain,
le Nexus G-Stroker, je ne peux pas être sûr bien sûr d’un apport positif de sa part avant de l’avoir essayer
mais comme il dérive directement du G-Rider
qui a été pendant longtemps le seul et unique modèle avec lequel je pratiquais,
il y a malgré tout de bonnes chances qu’il fasse l’affaire,
si je vais en acheter un , c’est parce qu’ils ont changé un certain nombre de choses dessus
plus encore apporté quelques caractéristiques qui pourraient s’avérer très intéressantes (ou pas)il semble encore un peu plus long et encore plus massif,
cela ne m’effraie pas, tout du contraireils ont changé légèrement la forme de la tête, cela m’intrigue et attise ma curiosité
il est devenu waterproof et semble avoir une télécommande digne de ce nom,
je ne suis pas fan du tout des vibrations
mais j’ai l’intention d’essayer de le devenir pour me diversifier,
avec le Vice 2, j’ai déjà ce qui ce fait de mieux dans le genre, à mon avis
mais j’ai envie irrésistiblement d’y ajouter celui-ciil est propose pour homme et pour femme aussi, massage clitoridien et massage prostatique,
bien que j’ai lu une revue en anglais, madame n’était pas très enthousiaste mais monsieur, l’était,
cela tombe bien, je suis un homme
(enfin pas trop durant mes séances mais bon, anatomiquement tout de même, j’en suis un)et puis à la base de la hampe, ils ont placé sous le silicone 3 ou 4 billes
qui montent et qui descendent un peu, d’après le test que j’ai lu, c’est assez diabolique,
cela stimule l’entrée de l’anus,
curieux de testerbref il fait partie des joujoux que je me sens obligé d’acheter et d’avoir dans mon tiroir
et il y en a vraiment pas beaucoup d’autres modèles dont je puis écrire cela
je vais donc m’en prendre un, même si je ne l’utiliserais peut-être pas beaucoup dans un premier temps
puisque je pratique essentiellement en aneroless30 décembre 2019 à 7 h 42 min #35793bzo
Participantj’ai déjà parlé de l’effet éponge gorgée de nectar voluptueux
que semble constituer mes parties génitales entre mes cuisses
et que dès que j’appuie un peu dessus en serrant les jambes,
cela commence à dégouliner dans mon bassineh bien, cela semble s’accentuer jour après jour,
l’éponge semble de plus en plus gorgée de nectar
et le moindre effleurement provoque immédiatement une petite inondation
de plus en plus forte dans mon bassincomme cela dégouline délicieusement, irrésistiblement,
cela forme comme un poulpe de volupté soyeuse, dansant, bougeant, ondulant,
cela semble grandir à vue d’oeil, je le sens sortir de mon bassin ses tentacules de velours,
caresser, effleurer,
former ses arabesques ondoyantes dans mon ventre qui m’arrachent gémissement sur gémissement30 décembre 2019 à 22 h 04 min #35802bzo
Participantil y a comme un processus d’épanouissement dans ma chair,
celle-ci semble durant la pratique, comme une plante luxuriante,
jour après jour s’élevant toujours plus, devenant plus foisonnante, plus majestueuse,
portant toujours plus de fleurs, toujours plus de fruits, toujours plus d’oiseaux,
avec un ciel toujours plus bleu, plus gorgé de soleil,
au-dessus de ses innombrables branches dansantes dans une lumière étincelante, cristallinema chair s’épanouit et moi avec,
dans une fête amoureuse où plus aucun tabou n’existe,
où le masculin et le féminin en moi, totalement éveillés, s’entremêlent joyeusement,
j’ai dit un grand oui à la vie, j’ai dit un grand oui au désir dans ma chair,
faisant monter mes énergies les plus secrètes et m’offrant sans retenue,
prêt à vivre le plaisir en tant que femme et en tant qu’homme, en même temps,
ayant brisé en mille morceaux toutes les limites de mon identité sexuelle30 décembre 2019 à 23 h 29 min #35803bzo
Participantje suis un nouveau-né sans sexe et sans âge
à chaque fois que la douce, la suave, tempête dans ma chair, m’emporteil faut dire que c’est devenu tellement facile de m’emporter,
je suis, pour ainsi-dire, sans poids aucun, sans pensée aucune,
je n’existe plus quand je suis en action,
le désir fait de moi une autre personneune autre personne, sans pudeur et prête à tout,
au nom du désir impérieux dans sa chairce que j’ai découvert,
c’est que la vie a placé en moi des ressources inépuisables,
que l’incandescence dans l’instant, n’a pas de limites
et que l’audace finit par payer au centuple1 janvier 2020 à 10 h 45 min #35847bzo
Participantje commence la nouvelle année de la plus belle façon,
de délicieux moments dans ma chair, d’incandescents moments dans ma chairmes doigts curieux, fouineurs, sortent de ma petite crevasse, de ma petite caverne, derrière,
ils y ont allumé le feu, provoqué des coulées de lave dans mes entrailles,
des feux d’artifice derrière mes prunelles,
je suis en train de redéfinir, d’aiguiser, d’affiner, leur rôle dans ma pratique au quotidien,
mieux intégrer ces séquences où mes doigts sont en moitout cela arrive en fait grâce à ces “moments nocturnes”
où mes doigts vont explorer très brièvement mon “anus-pussy”
tandis que je dors quasiment, en tout cas suis à peine éveillé,
durant ces très brefs moments où je sors à peine de mes rêves qui sont toujours si riches, si fournis,
mon corps s’ébrouant un petit peu
et où donc mes doigts à chaque fois, trouvent automatiquement ma petite fente, derrière,
y plongent avec une calculée avidité,
suis à peine éveillé, un pied, une jambe, encore dans mon monde nocturne
mais quelque part dans mon calepin mental, réservé à mon dialogue avec ma chair,
rien ne se perd, je prends note de tout, aucun détail ne m’échappeet grâce à ces moments, donc, je fais des progrès très intéressants
dans tout cet aspect de ma pratique qui étaient jusqu’ici des moments plutôt détachés,
des moments qui semblaient à part dans l’action, des apartés où les doigts fouillaient dans mon cul
alors que là, je parviens à les intégrer de mieux en mieux au flux, à l’élan général de l’action,
à les y amalgamer plus efficacement, à mieux intégrer les sensations qu’ils apportent
qui contribuent ainsi à me faire vivre de nouvelles nuances, des différents décollagesj’ai expliqué que la nuit,j’effectuais ces brèves explorations de plus en plus ces derniers temps,
ayant découvert à quel point cela me procurait des sensations agréables, intéressantes
grâce à la crème de soins intimes dont je m’enduit la crevasse juste avant de m’endormir
pour choyer cette peau qui est mise à contribution certains jours avec de forts frottements,
des robustes va et vient de doigts, de masseursil y a grâce à cette crème de soin donc une consistance et une humide parfaite pour les doigts la nuit,
ils plongent là-dedans, la chair s’anime irrésistiblement,
comme des plis et des replis, chauds, humides, soyeux, se mettent directement en mouvement,
s’écartant, laissant l’intrusion s’effectuer toujours toujours plus profondément,
des vagues se forment, la transmutation de la chair en vagues de tissu épais, doux,sensuel,
vibrant, frémissant, comme palpitant sur toute leur surface, se déplaçant dans mon bassin,
s’écartant toujours plus de la proue superbe formée par les doigts
qui tantôt sans ménagement, tantôt avec une délicatesse attentionnée,
rentraient toujours plus en avant en moices moments donc, je l’ai expliqué, au début, c’étaient des doigts qui pénétraient mon anus
et les sensations étaient des sensations d’homme, du plaisir anal donc
mais progressivement le féminin en moi, a gagné du terrain
et désormais, c’est bien dans mon anus-pussy que je perçois, que je vis ces moments,
ces doigts qui me fouillent, sont des doigts de coquin branleur qui cherche à m’allumer,
qui me rentrent dans le sexe imaginaire,
le branlent, le fouillent, le farfouillent, le frottent, le pressent, goulûmentmon petit sexe fendu qui n’existe pas,
qui est un fruit ardent, momentanément dans mes entrailles
mais pourtant que je perçois avec une totale acuité,
que je perçois comme un diamant de lumière irradiante, vibrante, dans ma chair,
ma petite centrale atomique, en bas, entre mes jambes,
mon petit monstre adoré
que j’aime tant ouvrir, agrandir, en écartant les cuisses,
laisser bailler un petit moment puis que je referme, que je referme comme une huîtrema petite cave chaude, vibrante, humide, imaginaire,
elle semble être un gîte ardent entre mes cuisses,
un hôte attentionné, attentif, prêt à accueillir plein de visiteurs,
des visiteurs en forme de petits totems gorgés de sang,
avec le dessin de veines bleutées courant sur toute leur surfacedes totems vibrants, dressés,
comme des petit bélier tantôt entrant et sortant, fonçant tête baissée,
tantôt fouillant méticuleusement, avec patience, avec d’infinies précautions,
totem-archéologue inspectant, manipulant un objet fragile
comme s’il avait émergé de sous la terre où il dormait depuis des siècles,
systématiquement explorant toute cette caverne imaginaire
prête à s’emballer dans ma chair d’une myriade de nerfs dansant follement
pour faire chanter tout mon êtrej’aime aussi sentir ces mains, mes mains en fait,
enfin pas tout fait mes mains,
des mains disons,
des mains qui me tripotent la poitrine, la malaxent, la pressent, la frottent,
ces seins qui sont les miens mais tout à fait mes seins,
des seins disons,
les seins de ce moi alterné, augmenté, complexifié, de ce moi à la fois masculin et féminin,
des seins gonflés, qui ont pris une consistance délicieuse entre les doigts,
qui semblent s’animer sous la peau d’une vie folle, palpitant sous les paumes caressantesils vibrent, ils palpitent, ces seins, ont des émois, traversés de vagues,
semblant par moments s’envoler comme des colombes
mais revenant vite au nid des mains où ils se sentent le mieux
qui reprennent de plus bel, les fieffés coquins, leur manège enivrant1 janvier 2020 à 12 h 23 min #35849bzo
Participant“unleash all the power in you, my friend, unleash,
you are a mustang, you are a devil”moi, j’ai “unleashé” comme un fou ces derniers temps
et c’est désormais sans restrictions, tout monte librement, tout monte follement,
autoroute au trafic dense de voitures filant à toute allure,
arbre à la sève circulant en accéléré follement,
je suis une fontaine, une fontaine des énergies de mes abysses,
je la sens jaillir en moi, éclabousser de tous les côtés,
c’est extraordinaire, c’est unique
de se sentir envahi comme cela par du concentré de soleil, du concentré d’azuron dirait un forage de puits dont jaillirait désormais à la moindre sollicitation
l’intensité de la vie-même, un diamant éclaté de vibrations cristallines,
ma chair en frémit,j’en frémis de la tête aux pieds,
jusqu’au plus profond de mon être,
tout chante, tout danse, en moi, pas une cellule qui reste à l’écart,
c’est un tournoiement divin océanesque
avec grappe de mouettes, vent, embruns et profondeurs sans fin, emplies de remous obscursbonjour la vie, bonjour l’amour,
j’aime, je suis un volcan, j’ai embrassé la terre et toutes ses forces brutes,
je me suis totalement ouvert, j’accueille, le grand océan monte en moi
et m’emporte dans un arrachement éblouissant de lumière sur les ailes du vent2 janvier 2020 à 22 h 16 min #35856bzo
Participantles bras avec les mains dans ma façon de pratiquer,
caressent tout le corps, sauf les parties génitales,
aussi les doigts s’aventurent derrière, explorent la petite fente, y farfouillent, explorentmais dernièrement j’ai découvert qu’il y avait aussi une autre façon de les utiliser
et c’est peut-être même la façon la plus puissante de se servir des bras et des mains,
dans cette manière, ils restent bien en contact avec le corps,
avec différentes parties de celui-ci
mais sont relativement inertes, collés à la peau, serrées contre la peau,
comme enlaçant, parfois sans bouger pendant de longues secondes,
parfois pressant un peu plus ou au contraire, relâchant la pression,
se déplaçant un petit peu, imperceptiblement, par petites touches, centimètre par centimètre,
comme explorant la peau au microscopeparfois soudainement s’animant pendant quelques secondes, vont caresser un sein, un flanc,
fiévreusement, ardemment ou alors avec une sensuelle lenteur
puis reprennent leur manège d’immobilité ou quasi, en un autre endroitde quoi s’agit-il?
il s’agit ici d’exploiter d’autres propriétés que je découvre peu à peu,
par un simple contact insistant, changeant un peu la pression,
se déplaçant moins, nettement moins,
les bras et les mains agissent comme des conducteurs, des canalisateurs, ils relient, forment des ponts,
des circuits accélérant, dirigeant, concentrant,
les énergies passent à travers eux d’une partie du corps à une autre,
les bras avec les mains relient des pans entiers de corps plus puissamment entre eux,
créent des points de focus, des points de concentration d’énergies,
des autoroute d’énergie où elles semblent se déplacer à plus grande vitesse
comme si elles prenaient un raccourci d’un endroit à un autrec’est assez mystérieux mais c’est là, cela fonctionne, j’en témoigne,
cela en alternance avec des moments, plus courts
où les mains retrouvent leur liberté de parcourir la peau, de caresser , de palper, de frotter, de presser,
c’est très très puissant et délicieux, ces alternancesune synchronisation où l’immobilité ou quasi immobilité, des bras et des mains
est coordonnée avec une activité intense dans le bassin de contractions
et de pressions des cuisses sur les génitaux,
se fait tout naturellementquand les mains reprennent leurs balades sensuelles sur la peau,
l’activité dans le bassin change, les contractions s’arrêtent
le corps se met en mode liane lascive, avec beaucoup d’ondulations,
de danse langoureuse des hanches, du bassin,
et puis libre cours au frotti-frotta délicieux des cuisses avec les génitaux,
ce sont des moments avant tout de volupté soyeuse,
alors que les contractions, bien sûr,
font vivre, font ressentir, des moments de pénétration, de va et vient3 janvier 2020 à 0 h 57 min #35859bzo
Participanton est né tous, en même temps homme et femme,
on le reste quelque part toute sa vie,
même si une grande partie de tout cela, est remisée à la cave,
nos pratiques consistent, essentiellement à mon avis,
à essayer de faire interagir de mille et une façons ces deux pôles,
à raviver cette dualité,
à faire à ce qu’ils forment à nouveau un arc tendu en nous
qui vibre sur toute sa longueur et envoie de délicieuses, d’ineffables, flèches3 janvier 2020 à 19 h 36 min #35865bzo
Participanthum, je rectifie le texte au-dessus pour qu’il exprime bien ce que j’ai voulu dire
avant la naissance, il y a toute une période où l’on est en même temps homme et femme,
on le reste quelque part toute sa vie,
même si une grande partie de tout cela, est remisée à la cave,
nos pratiques consistent essentiellement, à mon avis,
à essayer de faire interagir de mille et une façons ces deux pôles
dont l’un est enfoui au plus profond de nous,
à raviver cette dualité,
jusqu’à ce qu’ils forment à nouveau un arc tendu en nous
qui vibre sur toute sa longueur
et puisse envoyer de délicieuses, d’ineffables, flèches qui se perdent dans les cieux4 janvier 2020 à 1 h 02 min #35869bzo
Participantil y a quelque chose d’extraordinairement émouvant à parvenir à une telle complicité avec son corps,
à parvenir à ce qu’il se livre comme cela, à ce qu’il se révèle comme cela,
à ce qu’il nous emporte comme celaun corps à corps ardent du cavalier avec sa monture,
ils ne font plus qu’un, serrés l’un contre l’autre, tantôt au galop, tantôt au trot,
la cadence des sabots empli leur âme et leur cœur,
du doux rythme, du lancinant rythme, au contact répété de la terrec’est notre propre corps, cet amas de chair, d’os et de sang
et pourtant vécu autrement, habité autrement,
il y a comme de l’altérité en nous, une autre version de nous, en nous,
une version complémentairece corps, tellement il peut paraître étranger à nous par moments,
réagir différemment, vibrer de sensations inhabituelles
comme s’il était un peu devenu celui de quelqu’un d’autre,
en même temps que le notretelle est la zone d’ombre en nous,
que si nous parvenons à invoquer tout cela un peu puissamment dans la durée,
c’est comme si nous devenions un autre en nous,
plus riche, plus complexe, plus mystérieux, plus connecté en même temps au ciel et à l’animal
jouissant solairement,
d’un bloc des pieds à la têtel’altérité est en nous aussi donc, pas seulement hors de nous,
l’autre en nous, c’est ce que nous avons tous et toutes en commun,
trouver cet autre en nous, c’est aller immanquablement vers l’autre hors de nous aussi
mais par les souterrains, par les dédales sombres dans nos profondeurs, par la caveplonger en nous en se laissant entraîner par le grand désir,
en quêtes des forces les plus vives de la vie,
faire boire à cette source, notre chair,
s’en abreuver encore et encore,
jouir de toutes ces vibrations cristallines libérées,
laisser danser et chanter librement notre chair dans l’incandescence ineffable de l’instant,
est une aventure solaire,
un cheminement d’ouverture extraordinaire peu à peu et d’épanouissementbaignant dans l’apaisante douceur du plaisir,
il y a comme un baiser céleste dans mon âme,
en même temps que dans mon cul5 janvier 2020 à 0 h 36 min #35902bzo
Participantce corps a besoin de deux sortes de nourriture,
d’une part les aliments et puis d’autre part le plaisir sexuel, la voluptéles aliments assurent la survie de ce corps,
le plaisir sexuel, la volupté, lui font goûter à la vie véritablement,
comme un cheval qu’on dételle de l’attelage qu’il tire
pour lui permettre de galoper librement quelques instantss’offrir des ébats, offrir des ébats à ce corps,
c’est le sentir libre sous nous, galopant,
libre comme le vent5 janvier 2020 à 1 h 10 min #35905bzo
Participantà nous de bien saisir l’occasion
et de galoper avec lui, se serrant contre lui, faisant un avec lui5 janvier 2020 à 9 h 48 min #35906bzo
Participantquelques petits réajustements du texte au-dessus:
ce corps a besoin de deux sortes de nourriture ici-bas,
les aliments qui assurent sa survie
et le plaisir sexuel qui lui fait goûter à la vie
comme à un cheval qu’on dételle de l’attelage qu’il tire quelques instants
pour lui permettre de galoper librements’offrir des ébats, offrir des ébats à ce corps,
c’est le sentir libre sous nous, chevauchant libre comme le vent,
à nous de bien saisir l’occasion, de nous montrer à la hauteur
et de galoper de concert avec lui, serré tout contre lui, faisant un avec lui -
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