Mots-clés : aneroless
- Ce sujet contient 1,446 réponses, 17 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par bzo, le il y a 1 jour et 23 heures.
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7 janvier 2024 à 20 h 28 min #48036bzoParticipant
J’aime onduler le bassin, me caresser les fesses et les écarter, offrant mon anus, qui ne demande que ça, la sensation d’offrande est excitante.
ô combien délicieuse volupté, dans le bassin, du mode yin,
irrésisitible, n’est-ce pas?
Par contre avoir un vrai gland qui me dilate, casserait le plaisir et ma petite rondelle avec.
tu as déjà essayé?
objectivement, si tu aimes le plaisir anal avec des godes,
en principe, c’est encore bien mieux, avec une vraie bite,
ce sont juste des idées préconçues, des préjugés
qui nous retiennent, la plupart du temps
bon, je te taquine un peu,
en fait, même si en théorie, c’est vrai
mais la liberté d’expérimentation sexuelle
et pas mal de tabous qui ont sauté,
de nos jours,
en tout cas, dans pas mal de milieux,
permet à chacun,
de prendre les chemins de traverse
qui le tentent,
de s’imposer ses propres limites
il y a de tout et de toutes les couleurs,
il existe des homos qui ne pratiquent pas la sodomie,
certains hétéros aiment que leur femme,
avec un strapon leur ramone le derrière,
bref, tous les goûts sont dans la nature
personnellement mes expérimentation BI,
ne m’ont pas encore poussé jusque là, non plus
Qui sait, peut-être un jour,
je ne suis pas contre l’idée, en tout cas,
d’accueillir une bite dans mon arrière -train
10 janvier 2024 à 0 h 28 min #48047bzoParticipantj’ai l’impression d’avoir une mer de soie, en moi
et chaque fois que je me caresse,
que je contracte quelque chose,
que mes cuisses effleurent les bijoux de famille,
c’est comme si je plongeais dedans,
la tête la première
me voilà entourée, de la tête aux pieds,
jusqu’au plus profond de mon être,
de cette chaleur tellement caressante
qui s’insinue partout,
qui semble danser avec toutes mes particules,
qui semble se frotter doucement à tout
ô mon corps,
comme en action,
nous ne formons plus qu’un,
comme je me sens uni à toi,
expérience unique,
expérience totale
comme il est tentant de se mettre à bouger,
d’onduler du bassin,
pour sentir tout cela, en moi,
se mettre en mouvement, se mettre à danser
je bouge, la mer me répond,
je me caresse, la mer me répond
nous dialoguons,
la volupté me parle,
parfois élève la voix,
alors je jouis, encore et encore,
tant qu’elle me parle fort
10 janvier 2024 à 9 h 27 min #48049bzoParticipantil y a quelques jours,
une jeune femme très jolie,
superbe même, en fait,
m’a taté les couilles un peu,
m’a fait même du fisting, brièvement,
m’a manipulée longuement la prostate avec délicatesse
un peu avant, quand elle m’a dit d’enlever mon caleçon
et mes chaussettes, aussi,
j’ai un peu bredouillé,
je n’ai plus trop l’habitude
mais j’ai obtempéré avec célérité
bon, les plus attentifs auront deviné
qu’il s’agissait d’un médecin
et que c’était la visite annuelle de la prévention du cancer
mais c’est la première fois
que c’était avec une jeune femme aussi jolie et sexy
en plus elle a accompli sa tâche,
très très consciencieusement,
j’étais tellement satisfait,
que je lui ai dit que je ne voulais plus qu’elle
pour aller me tâter la prostate et les bourses,
une fois par an
bon, je suis un garçon bien élevé,
je suis resté de marbre, en apparence,
enfin quand je dis de marbre,
je veux dire que mon pénis, c’était tout le contraire,
il est resté bien au repos
malgré tous ses attouchements
qui, par moments, semblaient aller au-delà du professionnalisme
mais c’est peut-être mon imagination
ce fut un drôle d’exercice car quand elle a enfoncé ses doigts en moi,
lentement, lentement
puis est allé chipoté très méticuleusement du côté de ma prostate,
vous pensez bien que cela me faisait tout chose,
surtout avec toutes ces énergies en sursaturation en moi
mais j’ai tenu stoïquement
vraiment un drôle d’exercice,
je sentais les frissons en masse qu’elle provoquait
et je m’en tenais comme à distance,
je restais bien détaché,
je refusais de m’y laisser aller
mais comme j’ai dit plus haut,
elle semblait, par moments, s’attarder et effectuer certains gestes
qui étaient un peu plus que juste qu’un examen
mais j’ai tenu
et l’année prochaine,
je reviendrais me remettre entre ses mains, avec grand plaisir,
elle a fait tout cela tellement bien
quel chance il a, son amant ou son mari
ou son amante, ou ses,
enfin, vous voyez de qui je veux parler,
tout celle ou celui ou ceux ou celles
dont elle chanter le corps ,
en-dehors de son travail
11 janvier 2024 à 21 h 40 min #48063bzoParticipantaujourd’hui, sur mon lieu de travail,
j’ai fait quelque chose que je n’avais plus fait depuis longtemps,
bon, je ne suis pas très souvent, là-bas, non plus,
étant la plupart du temps, en télétravail
aux toilettes,
j’ai eu envie de combler une petite envie,
debout, à travers la chemise,
je me suis mis à me caresser, lentement, très lentement
et puis mon bassin, s’est mis à bouger,
comme à danser sur place, voluptueusement
et enfin, mes cuisses se sont serrées autour des génitaux
et j’ai fait monter quelques contractions,
toujours à un rythme de ralenti, de chez ralenti
oh, j’ai cru que j’allais m’évanouir,
tellement le plaisir a envahi mon bassin
et je m’y attendais pas du tout,
à y repenser, ça a été une sorte d’orgasme instantané
je me suis retrouvé plaqué contre le mur,
mes mains se baladant sur les fesses, les hanches,,
remontant vers les seins, les pressant, les frottant, lentement
et toujours mon bassin, ondulant, ondulant
ma chair était devenue tellement capiteuse,
j’étais ivre, ivre, de plaisir,
je grognais, je gémissais, je ahanais, tout bas
j’avais l’impression de vivre une overdose de volupté
le tout ne dura que deux, trois, minutes, à peine
mais quel moment splendide de rut, au ralenti
13 janvier 2024 à 10 h 05 min #48145bzoParticipantmoments splendides, moments ardents,
hier, au lit, dans la nuit,
je suis presque arrivé,
j’étais tout à fait, au bord, de basculer dans un orgasme,
rien qu’avec des ondes prostatiques
mais en mode yin
je ne parle pas, donc, d’orgasmes prostatiques,
cette nuance est importante,
j’étais en mode yin à 100%
mais avec des ondes prostatiques,
uniquement associées à des sollicitations des tétons
et là, et là, mes ami(e)s
oh comme c’était déjà incroyable,
d’être là tout au bord d’un orgasme,
d’un type, encore jamais vécu,
je sentais comme un vaste océan,
incroyablement proche,
j’en sentais les vagues, à une distance, minimale de moi,
j’en sentais le souffle, partout sur moi
j’en sentais l’écume venir m’éclabousser,
quelques gouttes venir me mouiller
mais elle ne m’a pas emporté,
m’enveloppant, me roulant,
irrésistiblement, comme un fétu de paille,
explosant dans toutes les cellules de ma chair
ça viendra, je ne suis pas pressé,
je sais, désormais, que c’est possible,
j’ai les clefs, j’ai la recette, je connais le chemin
en mode yin, tout est vraiment inversé,
c’est le monde depuis l’autre côté de nous-même,
par rapport à notre chair,
notre face cachée
notre sexe réel, ce petit tuyau, si apte à se raidir,
me fournit des ondes d’une incommensurable douceur et richesse,
avec une variété de nuances subtiles, sans limites,
c’est le pendant des ondes péniennes,
si promptes à galoper de plus en plus vite, de plus en plus fort,
pour aller se jeter dans une brève extase,
accompagnant le petit jet laiteux
et puis la prostate
qui durant le massage prostatique,
consomme des ondes féminines,
fournit en mode yin, comme l’inverse,
des ondes mâles
semblant nous mouler entre les jambes,
comme un objet raide, comme un objet turgescent
qu’on peut faire aller et venir en nous,
jouer avec, se connecter à elle, avec,
la rendre de plus en plus folle, avec,
la faire décoller, avec
et lui, avec
et nous, avec
la prostate, en mode yin,
devient l’instrument mâle, en elle,
allant et venant, en elle,
lui et elle, entremêlés, en nous,
la prostate, nous emplit d’ondes viriles, dans l’action,
d’ondes viriles comme nous empalant,
nous fouillant, nous explorant, par en bas,
d’ondes viriles sur lesquelles il fait si bon chevaucher,
il fait si bon se lâcher, il fait si bon décoller
raideur idéale, malléable, de taille interchangeable,
dans nos entrailles,
modifiant sans cesse sa trajectoire,
un coup à gauche, un petit coup à droite,
un petit ralentissement, une petite plongée ,
quelques accélérations, quelques décélérations,
un peu plus fort,
en mode bucheron, par moments,
en mode, magasin de porcelaine, sur la pointe des pieds, à d’autres
mes hanches chantent de leur duo,
mon ventre est empli de leur duo
mon cerveau est tout empli de leur duo
hier, donc, j’y étais presque,
la grande mer était à mes pieds, m’entourant, me léchant
et c’était immense, déjà, comme cela,
mes yeux en étaient complètement retournés,
j’étais dans une dimension parallèle,
une galaxie de volupté, une émanation
de mon corps et de mon esprit, réunis
quelque allait exploser, quelque chose était tout près,
un continent de frissons m’accueillait déjà
et un vent du grand large, me caressait de partout
oh comme ce frisson était exotique,
était sauvage,
implacablement sauvage et doux, à la fois,
oh comme mon coeur battait la chamade,
oh comme toute ma chair s’entrouvrait comme une fleur,
butinée par une myriade de bourdons,
qui sans ménagement, se frottaient en moi
ce pré-orgasme,
était déjà un orgasme,
en soi,
l’autre qui n’a pas déferlé,
qui était tout proche,
peut probablement être apparenté
à une sorte de super O,
en mode yin,
plutôt
13 janvier 2024 à 13 h 32 min #48155PetitsPlaisirs76Participantà des sollicitations des tétons
Comme je ne suis qu’un indécrottable copieur et que je ne veux pas m’enfermer dans une pratique, j’essaie vers cette voie qu’apporte la sollicitation des tétons.
Lorsque le corps le veut, c’est très encourageant.
14 janvier 2024 à 10 h 19 min #48402bzoParticipantqu’il fait bon de se laisser aller au féminin en soi,
une fois qu’on a trouvé les clefs
pour la laisser prendre les commandes
on pose les mains sur la peau,
on se met à se caresser,
on laisse ses hanches divaguer librement,
selon les envies qui montent,
on fait monter quelques contractions,
on a les cuisses qui viennent se frotter contre les génitaux
et déjà on est sur un tapis roulant de volupté et de jouissance,
on avance sans efforts,
sans poids à porter, sans aucune contrainte,
un désir XXL nous motorise
être dans un corps d’homme,
se sentir bien dedans,
sans aucun désir de changer de sexe
mais néanmoins goûter,
sans compromissions, sans limites,
à ce que peut nous faire vivre le féminin en nous
14 janvier 2024 à 10 h 23 min #48404bzoParticipantComme je ne suis qu’un indécrottable copieur et que je ne veux pas m’enfermer dans une pratique, j’essaie vers cette voie qu’apporte la sollicitation des tétons.
Lorsque le corps le veut, c’est très encourageant
oui , bien sûr, c’est pour cela qu’on est tous, ici,
échanger, trouver des infos pour enrichir, diversifier nos moments intimes,
essayer de débloquer une situation quand cela ne va pas
le titillement des tétons, uniquement,
chez moi, agit comme une sorte de booster, de turbo,
cependant au bout d’un certain temps,
j’éprouve le besoin de diversifier,
de laisser les mains se gambader, un peu partout
ça va surtout bien, je trouve, quand je suis en mode prostatique 100%
mais régulièrement , en mode yin,
je m’attarde, de temps à autre, aussi, rien que sur les tétons
mais ne reste exclusivement sur eux, jamais,
contrairement quand je fais une séance en mode prostatique
car le mode yin, c’est le rapport à tout le corps,
c’est la diversité, c’est un emmêlement généralisé
15 janvier 2024 à 23 h 42 min #48529bzoParticipantdebout, assis, couché,
je n’arrête plus de me titiller les tétons
pour accompagner mon bassin
quand il est en action,
quand mon corps s’est mis à onduler,
mes hanches, à danser
je ne peux y résister,
c’est juste trop puissant,
trop fin, trop riche,
trop intense, trop soyeux
cela m’a fait déjà éjaculé trois ou quatre fois,
en deux jours
mais je n’ai cure,
tant pis pour l’abstinence,
je l’ai jetée à la poubelle
c’est juste trop addictif,
mes doigts y reviennent irrésistiblement
comme des bouts de métal,
attirés par des aimants surpuissants
le désir m’emporte sur un tel tobogan,
ainsi,
comment pourrai-je m’arrêter,
quand j’ai pris de la vitesse,
cette pente est tellement sans autre but
que de foncer dans la lumière,
que de goûter au baiser de l’écume tourbillonnant,
dans la perte de soi
17 janvier 2024 à 11 h 25 min #48632PetitsPlaisirs76Participantc’est juste trop addictif,
mes doigts y reviennent irrésistiblement
Mon addiction, c’est le quatuor, tétons, périnée, anus, prostate.
Je me “gendarme” pour me limiter, de peur de me lasser ou que mon corps dise stop.
17 janvier 2024 à 21 h 02 min #48656bzoParticipantJe me “gendarme” pour me limiter, de peur de me lasser ou que mon corps dise stop.
alors si tu continues d’être curieux, explorateur,
de ne pas t’installer dans une routine
il n’y a aucun risque que cela arrive
je ne crois même pas que cela puisse arriver en aneroless,
il y a ce lien très fort, spécial, avec le corps,
du fait qu’il n’y a aucun intermédiaire,
ainsi, j’ai comme un doute qu’on puisse sans lasser,
le corps dirige ainsi, le corps nous fait découvrir,
il nous emmène en exploration, autant qu’en festoiement voluptueux
quant à ce que ton corps dise stop,
alors là, vraiment aucun risque
17 janvier 2024 à 22 h 16 min #48657augnatParticipantMon corps dit stop, parfois, au cours d’une session.
Pas de manière franche, le bougre, juste, je l’ai sollicité tant et plus, je me suis plié, déplié et replié sur mon lit, et alors qu’aucun autre signe extérieur ne vient l’annoncer, tout à coup, le plaisir refuse de décoller du niveau plancher. Ce qui fait que je ne m’en rends pas compte tout de suite.
Bon c’est sur les sessions de trois quarts d’heure une heure à ne rien faire d’autre que ça m’arrive parfois au bout d’un moment. Ça n’impacte jamais la session suivante. C’est autre chose que de devoir réinventer la danse parce qu’un grain de sable est venu gripper la machine. (Mais là aussi, on y arrive.)
- Cette réponse a été modifiée le il y a 3 mois et 1 semaine par augnat.
17 janvier 2024 à 22 h 40 min #48659bzoParticipantMon corps dit stop, parfois, au cours d’une session.
oui mais c’est différent de ce que PetitsPlaisirs appréhende,
un arrêt complet, comme si cela n’avait jamais existé
une petite panne, un moment creux,
cela peut arriver, on est fatigué, préoccupé, etc
nos pratiques exigent une bonne dose de disponibilité, je trouve,
ce n’est pas juste quelque chose de mécanique,
comme une basique masturbation,
il y a un effort d’aller à la rencontre de soi-même,
de faire un chemin vers son corps,
de s’ouvrir à lui,
de lui laisser prendre sa place dans la pratique
enfin, chez moi, c’est comme cela,
parfois, pour une raison ou une autre,
on n’est pas capable de faire cet effort, momentanément,
enfin, cela ne m’arrive pas trop
car je suis à l’écoute de mon désir
et donc, tout simplement, il ne se manifeste pas
et je ne cherche pas à le forcer
et comme je ne regarde aucun porno,
il n’y a pas d’excitation artificielle
qui vient solliciter mon désir
non, un arrêt total, je n’y crois pas,
pas si on est engagé dans une pratique saine et de qualité
qui est en constant “work in progress” mode,
on a besoin de respirer, il n’y a qu’un seul arrêt total,
tout à la fin,
en attendant, le désir infuse notre chair,
nous offre de l’extase, de la volupté, de la transcendance,
de l’inconnu à embrasser en soi, en d’autres,
une pratique de qualité, nous fait vivre tout cela,
c’est la vie même,
ce qu’elle peut nous offrir de meilleur
18 janvier 2024 à 8 h 21 min #48668bzoParticipantcar je suis à l’écoute de mon désir
et donc, tout simplement, il ne se manifeste pas
et je ne cherche pas à le forcer
enfin, je voulais dire par là,
que je ne pratique, même que pour quelques secondes,
que quand le désir s’est éveillé et m’y incite
et que donc, ainsi, je suis moins susceptible
de connaître, une panne momentané de celui-ci
je préviens la panne en ne pratiquant pas
si je ne me sens pas porté un désir,
suffisamment consistant, disons,
je ne démarre, même pas
une sorte d’auto-régulation
mais c’est peut-être juste l’âge
enfin, certains jours,
je suis excité comme une puce
et je n’arrête pas du matin au soir et du soir au matin
il ne faut pas écarter l’hypothèse, non plus,
que juste, je raconte n’importe quoi,
avec moi, c’est toujours possible
et que je ne me souviens pas vraiment de mes pannes
18 janvier 2024 à 17 h 36 min #48674bzoParticipantbo,, pas trop faire attention à ce que j’écris au-dessus,
c’est un peu n’importe quoi,
désolé
18 janvier 2024 à 23 h 21 min #48678bzoParticipantje suis pas mal ébranlé, ces derniers jours
et comme chacun le sait,
il vaut mieux être branlé qu’ébranlé,
foi de vieux sage, libertin sur les bords
ébranlé, en ce sens,
que j’avais des certitudes par rapport à ma pratique
et désormais, je n’en ai plus beaucoup
bon, heureusement,
cela n’affecte pas du tout la qualité de mon plaisir,
tout du contraire,
il ne s’est jamais aussi bien porté que ces derniers jours
quels étaient ces certitudes qui se sont évanouies?
toutes celles liées à l’abstinence d’éjaculation
car cela fait quelques jours maintenant
que je lance des petits jets laiteux, à gauche, à droite
et cela n’affecte en rien, l’intensité, la richesse et la variété, de mes sensations,
tout au contraire,
je sens que quelque chose s’est complètement libéré en moi,
cette fois, j’y vais vraiment sans rien retenir,
libérant les énergies au fond de moi, à 100%
et ma foi, le plaisir n’a jamais été aussi incroyable,
pourtant , oh la la, je n’avais déjà vraiment pas à me plaindre
alors est-ce à dire que tous ces mois, par intervalles,
d’abstinence d’éjaculation,
auront été pour rien,
une contrainte que j’ai appliquée, pour absolument rien?
peut-être
mais je ne crois pas, j’ai beaucoup progressé durant ces périodes
et si je suis, désormais, à ce stade,
ce n’est pas un hasard si c’est au sortie d’une de ces périodes de plusieurs mois,
presque 6
cependant, je me sens sérieusement gêné par rapport à tout ce que j’ai écrit, ici,
avec tellement de convictions,
voici pourquoi je me sens perturbé, ébranlé,
au point de me demander si je vais encore continuer de venir ici écrire des textes,
tellement je me sens plus trop de légitimité à le faire
malgré que ma pratique soit plus resplendissante et épanouie, que jamais
j’espère aussi
que toutes ces douleurs inflammatoires qui m’affectent depuis des années
et qui avaient complètement disparues durant la période d’abstinence,
ne vont pas progressivement revenir,
sinon il faudra que j’essaie de trouver un juste milieu
pour bénéficier de l’effet anti-inflammatoire de l’accumulation de testostérones,
tout en gardant cette qualité de libération des énergies, dans ma pratique
19 janvier 2024 à 11 h 12 min #48680PetitsPlaisirs76Participantsinon il faudra que j’essaie de trouver un juste milieu
Sans doute une piste à explorer.
Pour tes écrits ne change rien, nous avons tellement appris de nouvelles pratiques et d’état d’esprit, que ça reste pour moi un plaisir fécond de te lire.
19 janvier 2024 à 21 h 36 min #48681bzoParticipantje frotte une cuisse et tout ce qu’il y a entre,
contre l’autre,
sous l’eau ruisselante de la douche
mes hanches dansent,
lentement, lentement,
comme c’est bon, de se laisser aller, ainsi,
sans retenue, sans tabou,
sentir les limites de son genre s’évanouir,
dans ses gestes, ses mouvements, ses postures ,
une façon de se lâcher, une façon de s’offrir au plaisir,
une façon d’aimer son corps, une envie de s’unir à lui
je m’écarte un peu de sous l’eau,
je sens que je dois uriner, de plus en plus fort,
je presse maintenant bien fort les génitaux,
je place mon pénis de façon,
à ce que le liquide inonde bien mon bas-ventre, mes cuisses,
le plus possible,
coule bien dans les interstices, sur les poils, partout
ça y est, comme c’est chaud, comme c’est doux, comme cela devient gluant,
l’urine est le lubrifiant le plus extraordinaire qui soit au monde,
son effet, malheureusement, ne dure que quelques secondes
mais quelles secondes,
quel contact soyeux, comme cela glisse irrésistiblement maintenant,
c’est juste divin, comme sensation
je frotte bien lentement mon paquet,
je le tords dans tous les sens, avec les cuisses,
pour bien profiter de cette effet de glisse tellement unique
je gémis de plus en plus fort,
je commence à me caresser les seins,
m’attarde sur les tétons,
immédiatement, leur effet booster se fait sentir,
ma hampe, en bas se durcit un peu,
tout en dérapant comme une anguille, encore, entre mes cuisses
le gland est tellement élastique et sensible,
j’ai envie de hurler tellement c’est bon,
mon sexe semble une antenne émettrice de radio,
envoyant dans toutes les directions, des ondes
et toujours cet effet patinoire, chaud et soyeux,
de mon sexe, durci
et de mes couilles aux poils collants, gluant de la pisse chaude,
je frotte, je frotte et je gémis,
m’en faut pas plus pour mon bonheur,
pour l’instant
les choses sérieuse, ce sera pour plus tard, au lit
19 janvier 2024 à 23 h 50 min #48682bzoParticipantquelle danse de saint-guy,
pendant une bonne trentaine de secondes,
sur le lit
j’aime, cela, moi,
quand le corps se détraque complètement,
sous l’effet, la puissance, de la jouissance
au plus, cela secoue, au plus j’aime,
cela me rappelle, le temps où je faisais de la voile
et qu’il fallait changer de voilure dans la tempête,
aller complètement à l’avant; à la proue du bateau, pour cela
qu’est-ce que cela secouait
et puis l’écume des vagues qui m’inondait complètement,
parfois j’avais du mal à respirer,
tellement il y avait de gouttes d’eau, en suspens dans les airs
mais qu’est-ce qu’on se sentait vivre, dans ces moments-là
eh bien il y a quelques minutes,
qu’est-ce que je me suis senti vivre,
c’étaient les montagnes russes
mais dans le genre, tours complets sur soi-même,
les membres qui partaient tout seuls, dans toutes les directions,
des convulsions, des tremblements, des secousses
et puis c’était très vocal, aussi, j’ai du pas mal hurler
ça ne rate jamais, j’ai la recette pour cela,
je masse, je roule, je frotte, mes couilles, mon pénis,
le gland, essentiellement, entre les cuisses,
lentement, lentement
et puis, en haut,
je titille les tétons
mais rien que les tétons,
quelques contractions, de temps à autre,
pour corser le tout,
c’est d’une puissance rare
20 janvier 2024 à 10 h 05 min #48683bzoParticipantquand j’écoute les variations Goldberg de Jean-Sébastien Bach,
je deviens une fontaine de bonheur,
je m’élance de tout mon être vers le ciel
et je sens mes racines profondément enfoncées dans la terre
ô mes extases,
que serai-je sans vous
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