20 réponses de 881 à 900 (sur un total de 950)
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  • #12109
    Andraneros
    Participant

    Bonsoir @yastrale,

    La réponse à vos questions est OUI et OUI.

    D’une part on trouve de nombreux témoignages d’anérosiens sur les vagues de plaisir et éventuellement les orgasmes qu’ils connaissent en dehors de leurs sessions régulières. Certains sont devenus si sensibles qu’ils peuvent déclencher leurs orgasmes presque à volonté.

    D’autre part, à un niveau beaucoup plus modeste pour le moment, je ressens en dehors de mes sessions de plus en plus fréquemment, de plus en plus longuement et de plus en plus intensément ces vagues de plaisir qui finiront par me conduire moi aussi à l’orgasme. Le processus d’apprentissage de cette nouvelle voie de plaisir semble suivre celle qui est la mienne avec insertion de l’Aneros. Je suis donc la même méthode de progression, relaxation, concentration sur les sensations, accompagnement par de petites contractions volontaires des muscles du plancher pelvien. Ces vagues de plaisir s’accompagnent maintenant de petites contractions involontaires. C’est un sujet auquel vous aviez participé et que j’avais abordé ici.

    Je pense, à la lumière des interventions lues sur les autres forums et à celle de ma propre expérience, que, si vous faites consciencieusement sans Aneros le même apprentissage que celui que vous avez fait et continuez à faire avec l’Aneros, vous progresserez ainsi jusqu’aux orgasmes prostatiques. Le cheminement est de même nature et à mon avis d’autant plus facile que vous avez déjà et la méthode et les repères personnels pour jalonner votre nouvelle progression.

    Il est dit dans le forum officiel que l’Aneros n’est qu’un moyen, parmi d’autres d’accès à l’orgasme de la prostate, n’est qu’une béquille qui nous aide à avancer dans une nouvelle voie du plaisir. Vous êtes en train de découvrir que désormais votre rééducation touche à sa fin et que vous pourrez bientôt marcher sans béquille.

    Bon voyage @yastrale.

    #12099
    Andraneros
    Participant

    Bienvenue au sein de notre communauté @Johaneros !

    En vous lisant je pense que vous avez bien commencé votre cheminement vers le Super O’. Vous nous dites en effet que vous ressentez bien des contractions involontaires anales et périnéales et aussi que ces contractions sont associées à des vagues de plaisir.

    Votre problème si j’ai bien compris est que pour l’instant tout cela ne vous mène pas encore à l’orgasme.

    Tout d’abord, sur ce forum comme sur d’autres consacrés au même sujet, vous avez lu ou vous lirez que l’accès à l’orgasme par le massage de la prostate peut prendre du temps. Certains y parviennent très vite, d’autres mettent plusieurs semaines, plusieurs mois voire plusieurs années avant de connaître l’extase. Vous devez donc vous montrer patient et être attentif à ne pas attendre l’orgasme à chacune de vos sessions, attitude qui est une cause fréquente d’échec.

    Ensuite les deux clés du succès sont la relaxation de tout votre corps et l’attention portée aux plus subtiles sensations que la présence de l’Aneros fait naître au plus profond de votre intimité.

    Les contractions involontaires que vous connaissez vous apportent du plaisir. Ils ne faut donc pas les bloquer. Par contre si l’intensité de votre plaisir vous conduit à contracter certaines partie de votre corps et donc à bloquer les vagues de plaisir suivantes, il faut vous efforcer à ces moments d’approfondir votre relaxation, de relâcher un peu plus tous les muscles concernés avec pour résultats :
    1) la prolongationde votre vague de plaisir qui pourra éventuellement s’amplifier en toute liberté,
    2) la répartition progressive de ce plaisir dans le reste de votre corps qui vous conduira à une jouissance d’autant plus intense qu’elle concernera tout votre être.

    Il ne faut pas essayer de contrer vos sensations. Il faut y apporter toute votre attention pour permettre à votre cerveau de se reprogrammer en apprenant que ces sensations nouvelles sont la porte d’un nouveau chemin de plaisir. Il faut comprendre que la pratique de l’Aneros est l’apprentissage d’une nouvelle forme d’orgasme, qui doit se différencier de celle que votre cerveau connaît déjà.

    @Johaneros votre enthousiasme et l’application de ces quelques règles devraient vous permettre de bien avancer dans votre cheminement vers le Super O’. Revenez vite nous faire part des résultats que vous obtiendrez ou des nouvelles questions que vous vous poserez. Notre communauté sera heureuse de vous entendre et de vous aider.

    Bonne route…

    #11873
    Andraneros
    Participant

    Merci @emeric de nous proposer cette suggestion.

    C’est l’occasion de nous rappeler que le massage de la prostate par l’Aneros est le résultat de l’instabilité du masseur dans le rectum. Il peut ainsi être légèrement aspiré plus profondément ou tout aussi légèrement repoussé vers l’extérieur au gré de subtiles contractions antagonistes volontaires pour amorcer le mouvement qui, sous réserve de maintenir un état de relaxation suffisant, vont devenir involontaires et à ce stade autoriser l’abandon qui offre votre intimité aux vagues de plaisir puis aux orgasmes.

    Les masseurs Aneros sont très légers et donc très sensibles à de faibles pressions. Le massage interne est en conséquence très subtil. Ces caractéristiques expliquent pourquoi la relaxation et la concentration sur ces minuscules sensations sont très importantes. Tout effort trop intense, contractions crispées, respiration forcée, toute pensée parasite va bloquer à la fois les mouvements et la perception des sensations.

    Plutôt que d’ouvrir la voie à l’orgasme prostatique, comme le bulldozer ouvre la route en déchirant la forêt tropicale, il faut penser à s’offrir à la jouissance qui viendra récompenser notre abandon, comme la fleur s’offre à l’insecte butineur. Nous ne savons pas à l’avance quand l’orgasme viendra nous butiner, mais en attendant nous nous préparons à le recevoir et nous profitons au mieux de toutes ces nouvelles sensations, aussi légères soient-elles, que nous découvrons.

    #11721
    Garrett
    Participant

    Je viens apporter quelques détails qui dans ma courte expérience, toujours exempte de climax superOesque, m’ont aidé à identifier et à mieux sentir le contact de l’aneros et de la prostate.

    En effet je mentionnai dans un autre post, que le placement du P-tab ne m’avait aucunement donné de doute quand à son positionnement, jusqu’à ce que je le change de place ! Déplacé vers le haut, plus près du scrotum, mes sensations ont changées. Deux fois, au milieu de séances un peu trop calmes en sensations, je déplaçais le P-tab : et là presque miracle, je ressentais d’un coup une légère sensation interne et je me disais que c’était ça la prostate. Mais le premier intérêt de cette technique, est qu’elle provoque une dynamique dans la synergie entre périnée, anus, et prostate, et je ressens l’instabilité qui se joue entre toutes ces zones. Dans une relaxation totale, l’aneros bougerait presque par lui même au rythme des fantasmes. Et l’excitation monte jusqu’à un certain point pour moi, c’est agréable. Et je sens aussi que provoquer des contractions involontaires serait beaucoup plus facile ainsi.

    Voilà, il ne s’agit en aucun cas d’un conseil ou d’un exemple à suivre, car je pense aussi, que si la pression exercée sur la prostate est trop fore, c’est pas forcément géniale. D’ailleurs j’ai ressenti mon premier et seul petit orgasme, sans appliquer ceci.

    #11673
    Andraneros
    Participant

    Bienvenue dans notre communauté @prograsmjoy.

    Je veux d’abord vous remercier pour la description, à la fois précise et concise, de vos sessions avec le Prograsm qui sera très utile à tous les débutants qui cherchent dans les témoignages que propose ce site des repères vivants pour jalonner le début de leur cheminement.

    A vous lire il semble que vous faites partie des pratiquants qui connaissent l’extase. Félicitations pour le chemin parcouru en seulement 6 mois. Votre problème pourrait passer pour un problème de riche aux yeux des débutants laborieux !

    Je n’ai pas ce genre de « trop plein de plaisir » lors de mes sessions. Mes conseils vont donc rester plutôt théoriques et peut-être les avez-vous déjà appliqués.

    L’éjaculation finale n’est en aucun cas un échec de votre pratique puisque vous semblez baigner dans les orgasmes prostatiques avant cette explosion. A mes yeux votre question porte sur les moyens qui vous permettraient de poursuivre votre baignade dans la jouissance en évitant cette perte de contrôle.

    Le premier conseil, qui reste vrai à toutes les étapes du cheminement vers le Super O’, est d’approfondir votre état de relaxation quand vous sentez que les tensions musculaires deviennent très fortes. C’est plus facile à dire qu’à faire, c’est vrai, mais c’est en me concentrant sur ce point que j’ai fait mes progrès les plus spectaculaires.

    Le deuxième conseil, lui aussi banal, est de désarmer votre bombe éjaculatoire en honorant votre compagne ou en pratiquant une masturbation 1, 2 ou 3 heures avant votre session de massage prostatique. Vous pourriez ainsi tirer tout bénéfice de votre période réfractaire si votre désir de la caresse du Prograsm reste à son plus haut niveau. Les délais sont évidemment à tester en fonction des réactions de votre propre corps.

    Le troisième conseil est de modifier le déroulement de vos sessions. Vous pouvez en effet interrompre votre session au bout de 30 ou 40 minutes, retirez le Prograsm, vous occuper à toute autre chose pendant 10 ou 15 minutes en prenant bien soin de conserver un désir très chaud de la caresse du Prograsm, et reprendre le cours de votre session. Cette rupture peut vous permettre de mieux vous concentrer tout en bénéficiant très vite à nouveau d’un plaisir très intense.

    Le quatrième conseil est de ne pas vous bloquer sur cette situation qui n’est peut-être que provisoire dans votre cheminement. Le nouveau circuit de plaisir que votre corps et votre cerveau sont en train de construire n’est pas terminé. Vous nous dites que c’est la deuxième fois que cela se produit. Je traduis, peut-être à tort, que c’est la deuxième fois que vous atteignez un tel niveau de jouissance. Je pense que les prochaines sessions devraient peu à peu vous libérer de ce retour au pénis au fur et à mesure que le circuit de l’orgasme prostatique s’imprimera dans votre cerveau.

    D’autres amis vous donneront leurs conseils. J’espère que vous nous ferez bénéficier de vos retours d’expériences et que vous serez très vite en état de nous dire ce qui vous aura réussi.

    #11589
    Andraneros
    Participant

    @emeric Vos remarques sont intéressantes.

    Relire le Traité d’Aneros et pour ceux qui lisent l’anglais le Wiki associé au site du fabricant au fur et à mesure de ses progrès permet à la fois de mieux comprendre ce qu’on lit au regard de l’expérience accumulée et de mieux reconnaître ce qu’on ressent dans le détail des explications données.

    Pourriez-vous expliquer dans le sujet de Conseils pour les débutants laborieux les variations de positionnement du P-Tab que vous avez expérimentées ?

    La relaxation de l’esprit, du corps en général ou de la région périnéale est l’une des principales clés qui ouvre la porte des sensations orgasmiques. C’est ce qui explique que mon cheminement soit passé en grande partie par des sessions nocturnes, mes progrès en sessions diurnes étant plus lents faute d’une relaxation suffisament profonde.

    #11585
    Garrett
    Participant

    @filou Je ne suis pas non plus arrivé à l’orgasme. Cela fait six mois que je pratique. Néanmoins, j’aimerais faire part de deux ou trois choses qui pourraient ressembler à des conseils 🙂

    -Relire le traité, et le relire. C’est assez frappant, mais plus vous avancez, et plus vous trouverez dans le traité des infos nouvelles, ou mêmes que vous aviez oublié !

    -J’ai dernièrement fait une avancée majeure dans mon usage de l’aneros (helix). En effet j’ai joué sur le positionnement du P-tab, (le bras du perriné)et l’ai ajusté différemment : surprise, la stimulation de la prostate m’est soudain apparu comme évidente, et les sensations étaient au rendez-vous. Si je puis me permettre d’ajouter ici même une petite critique au traité, c’est qu’il n’insiste pas sur le fait que le positionnement sur ce point peut être variable selon les goût et(ou) les personnes. Sur le wiki en anglais, c’est spécifié.

    -Pour finir, j’ai aussi fait beaucoup de progrès en me relâchant, relaxant. Alors ça, c’est écrit dans le traité de partout !! Mais, que cela veut-il vraiment dire ? Pour moi, cela signifie obtenir une vrai décontraction anale : aucune force n’y est appliquée durant ma phase de relaxation, et même après ! Car dans mon cas, l’excitation le fera bouger seul. C’est l’approche du “Do nothing”, qui gagnerai à être mentionné dans le traité. Car j’ai la sensation d’avoir perdu beaucoup de temps à essayer de contracter mes sphincters pour obtenir des contractions anales plaisantes et excitantes. En même temps je dois préciser que je n’ai pas appliqué à la lettre ce qui est dit dans le traité (20 ou 30 contractions légères du début), par feignantise et surtout parce qu’en fait, et c’est là je pense tout ce qu’il faut retenir, je ressentais déjà beaucoup de plaisir durant toutes (presque) ces sessions.

    Voilà, j’espère que mon post pourra vous aidez, ou tout au moins vous montrez que vous êtes probablement sur la bonne piste si vous avez tant persévéré.

    #11509

    En réponse à: L'orgasme total du corps

    Andraneros
    Participant

    Merci mille fois, Madame Jojodiscrète d’être venu nous apporter ce témoignage sur votre expérience. C’est en effet à la fois très intime et très intense, et donc très difficile à exprimer publiquement.

    Ce que je retiens d’abord c’est la manifestation d’amour et de tendresse qui caractérise ces moments. C’est la preuve que la recherche d’une transe orgasmique, qui peut être extrême chez nos amis les plus avancés, ne condamne pas à l’isolement et peut être partagée.

    Ensuite je suis heureux de lire comment il semble se produire un transfert de désir et d’énergie orgasmique entre vous. Je pense que si vous cherchiez à vivre ces moments en suivant la même préparation mentale que ce que nous les hommes faisons pour engager la montée de notre plaisir, entre autres relaxation et écoute active de notre corps et de ce que nous ressentons, vous pourriez approfondir votre sentiment d’union orgasmique avec votre Chéri.

    En attendant profitez dans l’instant de ce que vous vivez, et n’hésitez pas à nous tenir au courant des progrès que vous ferez ensemble et chacun de votre côté. Vous aiderez certainement beaucoup nos amis qui souhaitent partager leur cheminement avec leur partenaire et qui ne le peuvent pas ou pas autant qu’ils le souhaitent.

    Encore merci.

    Andraneros
    Participant

    Je vous propose de regrouper dans ce sujet l’expérience de nos amis débutants au cours de leurs séances de découverte du massage de la prostate.

    Pour commencer en temps réel je recopie ici le témoignage de @anty qui vient de nous rejoindre.

    « Ma première séance :
    15h, cette après midi. Je ferme les rideaux, lance le CD d’hypnoaerosession et m’installe confortablement sur une peau de bête sur le canapé. Je n’ai pas tout à fait respecter le traité sur certains points (fatigue et souci pro) et je sais que cela à jouer sur ma séance, mais la curiosité l’a emporté. J’ai l’avantage (peut-être) de maîtriser les muscles de cette zone dû à des premières fois pas très concluantes… Bref, ceci est une autre histoire 😀

    Long moment de relaxation… et puis début des contractions avec l’aneros. J’ai remarqué plusieurs sensations au bout de quelques minutes à savoir lourdeur des jambes et le souffle court.
    Le plaisir est très vite monté, j’ai fait quelques contractions plus longues, plus puissantes, un peu trop même et je pense que ça a fini par nuire à mon plaisir, mais ici aussi, ma curiosité a pris le dessus.
    Je me suis senti vaciller une première fois, puis perdre totalement le contrôle pendant qqes secondes en position “chien de fusil”. Puis une deuxième fois, quelques minute après, moins puissante cette fois-ci. Je pense avoir trop forcé et manqué de contrôle… Ce fut une première expérience assez concluante et je n’ai pas pu m’empêcher de tomber dans les bras de Morphée quelques instants après. Et quel bonheur à mon réveil, une sensation de bien-être très agréable, un vrai moment de plaisir. »

    #11483

    En réponse à: Présentation des membres

    Anty
    Participant

    Bonsoir à tous,

    Je viens vous faire part de ma première expérience avec mon aneros reçu ce matin, mais avant tout, des remerciements et une petite présentation s’imposent 🙂

    Merci à toi ô NXPL pour, comme l’a si bien dit Modjo, cette mine d’information que tu nous proposes, pour ton humour, et pour tes fautes d’ortaugrafe (oui oui j’ose le dire :p) et merci à toi andraneros pour tes commentaires, toujours clairs et pertinents (à vrai dire j’ai rarement vu quelqu’un écrire autant sur un forum 🙂 )

    Je m’appelle Anty, j’ai 22ans, et j’ai toujours été curieux de découvrir de nouveaux plaisirs… Une question très existentielle de mes années d’adolescent : “existe-t-il un autre moyen de prendre du plaisir autre qu’avec son service 3 pièces, de découvrir de nouvelles
    sensations ?” Aujourd’hui, j’ai bien évidemment la réponse 😀

    Je suis en couple avec une femme mûre (une couguar si vous préférez) d’une quarantaine d’années. J’étais déjà très curieux avant de la rencontrer et je le suis encore plus aujourd’hui, avec un “passage à l’acte” sur de nombreux fantasmes, dont le plaisir anal chez l’homme.

    Ma première expérience a été avec un Lelo Mona premier du nom, très sympa! Ensuite, un gode ceinture, pour inverser les rôles. Pas mal aussi, mais j’ai mes périodes (c’est à dire pas souvent^^).
    Notre Mona ayant décidé de nous lâcher après de bons et loyaux services, j’ai commencé à farfouiller de ci de là, et je suis tombé sur le site d’aneros, puis sur ce blog. J’ai lu bcp de retour d’expériences et autant dire qu’il ne m’a pas fallu longtemps pour l’acheter 😀

    Ma première séance :
    15h, cette après midi. Je ferme les rideaux, lance le CD d’hypnoaerosession et m’installe confortablement sur une peau de bête sur le canapé. Je n’ai pas tout à fait respecter le traité sur certains points (fatigue et souci pro) et je sais que cela à jouer sur ma séance, mais la curiosité l’a emporté. J’ai l’avantage (peut-être) de maîtriser les muscles de cette zone dû à des premières fois pas très concluantes… Bref, ceci est une autre histoire 😀

    Long moment de relaxation… et puis début des contractions avec l’aneros. J’ai remarqué plusieurs sensations au bout de quelques minutes à savoir lourdeur des jambes et le souffle court.
    Le plaisir est très vite monté, j’ai fait quelques contractions plus longues, plus puissantes, un peu trop même et je pense que ça a fini par nuire à mon plaisir, mais ici aussi, ma curiosité a pris le dessus.
    Je me suis senti vaciller une première fois, puis perdre totalement le contrôle pendant qqes secondes en position “chien de fusil”. Puis une deuxième fois, quelques minute après, moins puissante cette fois-ci. Je pense avoir trop forcé et manqué de contrôle… Ce fut une première expérience assez concluante et je n’ai pas pu m’empêcher de tomber dans les bras de Morphée quelques instants après. Et quel bonheur à mon réveil, une sensation de bien-être très agréable, un vrai moment de plaisir.

    Voilà pour ma part, encore merci pour votre blog et vos partages.

    Cordialement,

    Anty.

    #11307
    Theghosssst
    Participant

    Merci une fois de plus pour vos réponses. Andraneros, vous écrivez “Vous pouvez appliquer, lors de vos expériences avec le Vice, la méthode d’approfondissement de votre relaxation chaque fois que vous commencez à ressentir une tension. Cela permet de repousser la limite où la tension musculaire finit par tuer la vague de plaisir ou bloquer son développement”. Ceci est une information extrêmement importante à mes yeux. Je me posais la question “Pourquoi ces vagues ne s’amplifient elles pas ?”. Merci Andraneros. Hyménée, vous décrivez une session comme une aventure magique avec son corps, une rencontre avec certaines sensations générées contrôlables ou incontrôlables. J’avoue avoir des difficultés à expliquer ce qu’il m’arrive lors de mes sessions avec vagues de “quelque chose de nouveau”. Je découvre cela comme une quête qui va bien plus loin que la simple aventure. Pour moi, c’est un voyage à la découverte de mon corps que je ne connaissais pas. Je m’aperçois peu à peu, grâce aux sessions Aneros et à la lecture des forums NXPL que notre corps recèle bien des secrets; des secrets merveilleux mais si bien cachés !

    #11301
    Andraneros
    Participant

    Je pense que le premier travail est de découvrir un nouveau plaisir que l’on ne connait pas du tout, que notre cerveau n’identifie pas.

    @Theghosssst vous êtes au cœur du processus d’apprentissage. Vous avez parfaitement décrit la nature de cet apprentissage.

    Vous pouvez appliquer, lors de vos expériences avec le Vice, la méthode d’approfondissement de votre relaxation chaque fois que vous commencez à ressentir une tension. Cela permet de repousser la limite où la tension musculaire finit par tuer la vague de plaisir ou bloquer son développement. Mes progrès se sont accélérés quand j’ai réussi à effectuer ce travail de contrôle de mon état de relaxation.

    Pendant ma phase d’apprentissage, j’ai utilisé principalement l’Helix selon les conseils lus entre autre sur ce site. Mais j’ai aussi utilsé le Prograsm ponctuellement qui en me donnant des sensations différentes (et un peu moins confortables) me permettait de redécouvrir les mêmes sensations d’un point de vue différent.

    Vous êtes sur le bon chemin, votre chemin. Continuez et bientôt vous nous décrirez vous aussi, avec beaucoup d’émotion, votre premier Super O’.

    #11274
    nicolas775
    Participant

    ” Débutants laborieux ” …

    En ce qui me concerne, seul le second terme me correspond puisque j’en suis à ma 17ème session. Comme certainement d’autres l’ont déjà fait , je tiens une sorte de journal de ma progression sur le chemin solitaire de l’anerosien.

    j’ai traversé ce que j’ai ressenti comme étant une période de tagnation. Les sensations étaient chaque fois quasi éphémères et j’avais le sentiment de me perdre dans de nombreuses
    impasses, (déconcentration, dérangements divers au cours des séances, frustrations, découragement, …) Pourtant, avec un peu de recul, je me rends compte que j’ai progressé
    chaque fois dans un domaine particulier : la relaxation, la respiration abdominale, la con-
    centration sur les moindres sensations de plaisir. Au fil de mes recherches de témoignages et de conseils sur différents sites et forums (en anglais), j’ai été attentif à trois points qui ont été essentiels pour moi.

    1 La respiration abdominale provoque un blocage du diaphragme qui en se relâchant lors de l’expiration, sollicite certaines zones sensibles et génèrent des sensations de plaisir; Je me suis donc appliqué à harmoniser la relaxation et la respiration abdominale tout au long de mes dernières sessions et effectivement, j’ai connu chaque fois des frétillements internes et cela a fini, chaque fois, par favoriser les contraction internes involontaires.

    2 la nécessité de répondre aux réactions involontaires et aux sensations agréables en trouvant les positions, les mouvements et l’intensité des contractions qui maintiennent et amplifient ces sensations agréables. C’est sur ce point que tous s’accordent à dire que chacun doit dentifier ce qui lui convient.

    3 l’état d’esprit avec lequel aborder les sessions : ne rien attendre d’autre que de jouir des sensations les plus minimes, les plus faibles et de s’en satisfaire comme autant de petits “cadeaux”.

    C’est ainsi que j’ai mené ma dernière session, avec en bonus dans les oreilles une musique qui a pour moi une résonnance érotique. Très rapidement, au bout de 15 minutes j’ai ressenti le frétillement interne de la prostate qui s’est accompagné de contractions involontaires.
    Je suis parvenu à les relancer par des mouvements et resserrages des plus subtils autour de l’aneros. Hyménée parlait du corps comme un ensemble d’instruments de musique, et cette image s’est plusieurs fois présentée à mon esprit au cours de cette session. Progressivement, mes
    propres contractions se sont transformées en ce que j’ai ressenti comme une sorte d’échange par écho entre les contractions de ma prostate et l’aneros qui lui répondait. J’avais l’impression d’être un tiers dans cet ” échange ” dont les effets ont fini par me submerger. Cela
    s’est intensifié jusqu’à ce que survienne un très forte érection et une suite ininterrompue
    de spasmes et de vagues. J’avais l’impression que cela ne s’arrêterait pas. J’ai expérimenté le “dry O ” et ce, à deux reprises au cours de cette session qui m’a comblé, (et même ému) car je n’en attendais pas tant.

    Je conseille à tous les apprentis de persévérer et de parvenir à ce stade. Pour être un peu moins poétique que Hyménée en matière d’analogies, (les ” laborieux ” sont en phase d’apprentissage) ce serait un peu comme apprendre à conduire non pas une voiture, mais son corps et se familiariser avec les commandes de son fonctionnement interne.

    #11059
    Andraneros
    Participant

    Je partage votre conclusion.Tel que vous présentez ce que vous avez ressenti, @Theghosssst, vous semblez avoir eu soit des mini O’s, soit des départs d’orgasmes.
    Vous nous dites avoir perdu le contrôle et le plaisir naissant. Lors de votre prochaine sortie avec le Naughty Boy, si vous retrouvrez les mêmes sensations, essayez à ce moment, comme vous le feriez pour une session avec votre Aneros, d’approfondir votre relaxation en isolant ces « vibrations internes », en vous concentrant sur cette sensation et en relâchant encore plus les muscles où ces vibrations peuvent générer des tensions.
    L’utilisation des vibrations peut offrir l’avantage des faire apparaître des ondes de plaisir sans effort volontaire, mais ne supprime pas pour autant l’intérêt d’un travail de concentration et de relâchement musculaire pour les amplifier comme avec votre Aneros.
    L’intérêt de cette expérience par contrtre est d’élargir la gamme des sensations que votre corps associe au plaisir anal et en conséquence de vous permettre de progresser un peu plus vite avec l’Aneros.
    A bientôt pour vos prochains progrès.

    #11032
    Andraneros
    Participant

    Je vous propose la traduction d’une intervention de @canacan lue sur le forum du fabricant des Aneros. Elle est longue mais elle est très pédagogique. Elle concerne la difficulté que peuvent avoir certains débutants à identifier les sensations génératrices des vagues de plaisir et à les amplifier jusqu’au moment où ces vagues deviennent involontaires et ouvrent l’accès à l’orgasme.

    <<
    Si cela peut aider, essayez de vous concentrer sur les petites sensations plaisantes, les sensations presque subliminales… Ce sont les rampes de lancement des vagues de plaisir. Le premier point est d’être capable de les remarquer (ce qui peut ne pas être facile si elles n’ont pas le temps de se développer), le second est d’apprendre à les gérer correctement (c’est à dire sans aucune tension brutale). (…) En un mot la bonne méthode est celle qui fonctionne au moment où on l’emploie, donc agissez en douceur pour voir si votre sensation s’amplifie ou disparaît et adaptez vous.

    Voici ce que je suggère :

    Faites ce que vous voulez pour créer les conditions qui vont vous permettre d’obtenir de bonnes sensations. Puis essayez de pousser très lentement, comme si vous étiez aux toilettes, et relâchez pour réduire la tension. Puis détendez-vous complètement, sans laisser aucun muscle antagoniste compenser. Soyez simplement complètement détendu, comme si vous dormiez.

    Ensuite portez votre attention sur vos sensations.

    Si vous ne remarquez rien concentrez-vous sur une seule zone de votre anatomie en recherchant les sensations associées et en basculant sur d’autre zones (ne vous concentrez pas toujours sur les mêmes) jusqu’à ce que vous trouviez la moindre sensation positive, aussi légère et ténue soit-elle. Alors ne cherchez plus, détendez-vous, laissez votre corps réagir spontanément tant que sa réaction est légère, progressive et involontaire.

    A ce stade vous pouvez ressentir une intensification de votre sensation ou pas du tout.

    Dans le premier cas ne forcez surtout pas, ne faites rien mais appréciez la moindre miette de plaisir qui devrait s’amplifier si vous parvenez à rester détendu et patient.

    Dans le second cas observez sans rien faire combien de temps cette sensation dure avant de s’évanouir ; avec un peu de chance vous aurez la surprise de constater que cette sensation de plaisir dure plus que ce vous pensiez. Laissez la s’évanouir et recommencez depuis le début. La seconde fois vous vous sentirez mieux et serez plus confiant pour vivre cette expérience. Ainsi plus confiant dans la durée de votre sensation, si elle ne prend pas d’ampleur en restant complètement détendu pendant un instant, vous pourrez la soutenir avant qu’elle ne s’évanouisse, avec par exemple une inspiration lente mais profonde et un étirement progressif de votre colonne vertébrale, en un mouvement très lent, très léger sans à-coups. Votre sensation va probablement s’amplifier, que vous le remarquiez ou non. Et maintenant la cerise sur le gâteau : laissez cette sensation déclencher une réaction qui va envahir tout votre corps.

    L’idée est que cette sensation a vocation à s’amplifier et à déclencher la réaction de votre corps mais sa voix est presque subliminale. Laissez-vous guider par votre intuition. Votre réaction peut être de fermer les yeux, d’ouvrir les yeux, d’ouvrir la bouche, de sourire, d’accélérer votre respiration ou n’importe quoi d’autre. La clé est que cette réaction ne soit ni forcée, ni complètement volontaire.

    En respectant ces règles pendant quelque temps vous devriez améliorer votre pratique et mieux l’apprécier.

    Les deux points à retenir :
    -1) améliorer votre capacité à enregistrer les moindres sensations de plaisir,
    -2) devenir plus sensibles à vos réactions et apprendre à les accompagner au lieu d’avoir des réactions musculaires excessives qui vont les engourdir et les tuer.

    Dès que vous avez trouvé le moyen de créer et de laisser s’amplifier 3 ou 4 vagues de plaisir à la suite (n’oubliez pas que la sensation disparaît entre deux vagues et qu’il ne faut en aucun cas forcer pour les maintenir) vous pourriez bien découvrir que la vague de plaisir suivante arrive sans aucune stimulation et que vous êtes enfin dans la dernière ligne droite. Soyez patient pour arriver là. Soyez aussi patient quand vous y êtes, car chaque vague a sa propre accélération, sa propre intensité et sa propre durée. Vous n’y pouvez rien sauf à la tuer. Si vous devez l’amplifier, faites le de la manière la plus progressive, la plus douce, proche de ce qu’elle serait en mode involontaire.
    >>

    On retrouve dans cette intervention de nombreux points souvent mentionnés sur notre forum, patience, écoute de son corps, humilité, douceur, progressivité, etc. Son intérêt est de les présenter très concrètement regroupés en une méthode et ainsi de faciliter l’apprentissage. La méthode de relaxation n’est pas abordée explicitement. Vous pouvez consulter pour cela les interventions faites sur notre forum.

    N’oubliez pas que chacun est différent et que ce qui réussit à l’un peut ne pas réussir à l’autre. Si certains de nos amis anérosiens vétérans ont accédé au Super O’ avec une méthode très différente, il sera certainement très utile de la lire pour ceux qui ne savent plus quoi faire pour progresser.

    #11007
    Andraneros
    Participant

    @Modjo votre suggestion pour passer de la relaxation à l’apparition des contractions (moteur du mouvement de l’Aneros) involontaires (carburant du moteur qui permettra aux mouvements de se répéter) sont très intéressantes.

    Mais je comprends que, si les genoux sont en l’air et les pieds à plat, ces derniers reposent sur le lit ou sur un support. Or vous parlez de position instable pour déclencher les spasmes libérateurs. Est-ce à dire que vos pieds ne reposent sur aucun support et restent en l’air pour créer la sensation d’inconfort génératrice des convulsions ?

    Les précisions concrètes que vous nous apportez vont fortement intéresser nos amis qui éprouvent des difficultés à obtenir les contractions involontaires.

    #11005
    Modjo
    Participant

    @Theghosssst, J’ai rencontré un peu le même problème au départ, peut-être que ce qui suit aidera ?

    Au début, j’utilisais la position la plus confortable et la plus relaxante : celle du chien de fusil.
    En effet, cette posture me permettait de me détendre et d’accepter plus facilement l’insertion de l’hélix.
    Cependant je n’ai obtenu aucun tremblement et très peu de sensation dans cette position (même au bout de 5-6 séances).
    Par pur hasard – j’ai alors adopté la position suivante : sur le dos, les jambes repliées, les genoux en l’air et les pieds à plats. Et la, ça a été radical ! Au bout d’une vingtaine de minutes, j’étais envahi de convulsions, de spasmes et de contractions incontrôlables. La transition entre les deux positions a été très marquante et ce n’était que ma 7ème session. J’ai essayé de comprendre pourquoi :
    Je pense que la relaxation ne doit pas forcément être interprété comme une totale détente du corps(*)
    (* je parle d’un point vue purement physique et non psychologique). Mais pour moi il n’a pas été utile de relâcher tous les muscles, j’explique :

    Le problème qui s’est posé, lorsque je commençais les contractions (et que l’insertion de l’helix ne constituait plus une gêne), c’est que je n’avais aucun “pont” pour faire l’intermédiaire entre la phase “relâchement” et la phase “spasmes”.
    De ce que j’ai vu, les tremblements constituent une étape clef dans l’établissement de l’orgasme prostatique.
    Or je crois qu’il est difficile de trembler lorsque la totalité de nos muscles sont détendu et que nous sommes étendus de tout notre poids sur le lit.

    En ce sens, je pense que la position à adopter pour favoriser le développement des premières contractions involontaires (du moins au début), doit être une position légèrement instable qui nécessite un peu d’effort.
    La position décrite un peu plus haut (contrairement à celle du chien de fusil) crée une tension légère et constante dans le bassin (on contracte pour garder les genoux en l’air). C’est cette sensation d’inconfort qui – paradoxalement – m’a aidé à trouver les premières convulsions.
    Visiblement, cette position m’a permis de transmettre directement les premiers frissons à la prostate (via le masseur) et sans avoir d’effort supplémentaire à faire. Progressivement, la sensation d’incommodité s’est transformée en “chatouilles”. Ces chatouilles étaient liées aux vibrations provoquées par mes convulsions, elles mêmes véhiculées par le masseur, faisant ainsi monter l’excitation et le plaisir par la même occasion.

    Depuis, je réalise la relaxation en position chien de fusil et lorsque je souhaite lancer les contractions, je prends la position décrite plus haut. J’ai obtenu mes premières contractions involontaires de cette manière, depuis ma sensibilité a considérablement évolué. Ma dernière séance était incroyable…
    Je ne connais pas la position que tu utilises, mais peut-être pourrais-tu essayer celle la ? En espérant avoir été utile 🙂

    #10935
    Andraneros
    Participant

    @Theghosssst vous posez une question qui concerne presque tous les débutants.
    Je n’ai pas trouvé LA réponse alors je me suis débrouillé en utilisant les propositions faites ici ou là sur les forums spécialisés et en les adaptant selon mon état d’esprit et mes progrès.

    Lors de mes toutes premières sessions, la seule insertion de l’Aneros était en soi extrêmement excitante. Je n’avais donc qu’à me concentrer sur la relaxation.
    Ensuite, quand mon corps s’est habitué à sa présence, j’ai dû chercher des relais pour retrouver mon excitation. J’ai regardé des videos pornographiques surtout celles qui montraient des orgasmes prostatiques ; mais la répétition conduit à l’usure. J’ai donc évolué en visualisant des scènes qui avaient l’avantage de correspondre très précisément à MES fantasmes du moment. Quand j’ai commencé à ressentir un plaisir nouveau et fort, mon désir est redevenu suffisant pour nourrir naturellement mon excitation.

    La difficulté d’associer consciemment relaxation et excitation est que l’une tend à tuer l’autre.
    Mon expérience m’a appris qu’il est plus facile de me concentrer d’abord sur la relaxation (exercice difficile pour moi) pour préparer le corps et l’esprit à ressentir ces nouveaux stimuli. Ensuite, quand je me sens bien détendu, je bascule sur la visualisation d’un fantasme, si possible centré sur l’Aneros, pour accompagner les premières sensations.
    Si de temps en temps la détente m’enfonce dans le sommeil, en court-circuitant la session, ce n’est pas un problème soit parce que j’avais peut-être besoin de sommeil, soit parce que la récompense me réveille un peu plus tard sous la forme de vagues de plaisir.
    Cette dernière expérience tend à montrer que la relaxation et l’attention portée à ses sensations intimes (même inconsciemment en dormant) sont plus importantes que l’excitation formelle qui n’est que la conséquence du désir.

    C’est le DESIR qui est le grand moteur de mon excitation. Au commencement la promesse de l’Aneros est suffisante pour alimenter le désir. Plus tard (un peu ou beaucoup) quand on sent approcher l’orgasme prostatique, les progrès réalisés dans l’intensité du plaisir sont suffisants pour renouveler la promesse initiale et raviver le désir.
    La difficulté concerne ceux qui ont besoin de temps pour progresser. C’est entre promesse et frustration que se pose la question de l’excitation. C’est pourquoi il est important de ne pas sombrer dans la frustration et de capitaliser au contraire sur les plus petites sensations porteuses des progrès à venir car la frustration tue le désir. Cette constatation confirme aussi l’utilité d’espacer ses sessions pour que l’attente accentue le désir.

    En conclusion le meilleur moyen selon mon expérience d’associer relaxation et excitation est de ressentir un grand désir de l’Aneros comme on peut désirer une compagne ou un compagnon de sorte que l’excitation soit naturelle. Au niveau de chaque session chacun est différent et la méthode qui a fonctionné dans mon cas, priorité à la relaxation et au développement du désir, peut ne pas donner de résultats pour une autre personne.

    En tout cas @Theghosssst votre état d’esprit est parfait et devrait vous permettre d’atteindre très vite le paradis des anérosiens.

    #10933
    Theghosssst
    Participant

    Je comprends bien le principe nécessaire d’associer la détente et l’excitation et surtout de profiter d’une session tout simplement. Mes deux sessions étaient agréables pour leur temps de détente et de relaxation. Je ne suis pas pressé. L’aventure ne fait que commencer. Mais auriez-vous des techniques pour associer la relaxation à l’excitation ? Je ne vois pas trop comment faire. Merci.

    #10931
    Andraneros
    Participant

    @Theghosssst il y a idéalement plusieurs éléments à assembler pour réussir à bien lancer une session de massage prostatique. Le détente, l’excitation, la focalisation et les contractions d’amorçage. Telle que vous nous décrivez votre session, je ne sens pas la présence de l’excitation ce qui explique peut-être que vous n’ayez rien ressenti de “spécial”. Il a été difficile aussi pour moi d’associer relaxation et excitation. En outre vous n’en êtes qu’au tout début de votre cheminement et votre cerveau doit encore apprendre qu’il existe d’autres voies du plaisir. J’ajouterai enfin “le cinquième élément” de cette recette : ne rien attendre d’autre que de passer un moment agréable.

    @nicolas775 vous avez parfaitement raison. Mais vous employez les mots “tentatives” et “essais” qui laissent entendre que vous avez un objectif pour chaque session. Or si vous avez un objectif ultime, accéder à l’orgasme multiple de la prostate, le fantasque Super O’, vous ne devez rien attendre de chaque session. Les progrès vers le Super O’ se font quand votre cerveau et votre corps sont prêts, ensemble. Votre ressenti montre que vous êtes bien parti mais êtes-vous suffisamment excité quand vous commencez votre séance ? .

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