Mots-clés : aneroless
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RomPat33, le il y a 1 mois et 2 semaines.
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- 21 mai 2021 à 23 h 15 min #41298
bzo
Participantcomme elle a germé en moi,
comme elle a grandie,
comme elle s’est épanouie
comme elle m’accompagne,
comme elle se tient prête,
comme j’aime la laisser prendre possession de mon corps,
comme j’aime lui prêter ma chair,
comme j’aime ressentir à travers elle,
comme j’aime vibrer à travers elle,
comme j’aime jouir à travers ellecomme j’aime m’abandonner,
comme j’aime lever toutes mes défenses,
comme j’aime m’ouvrir,
comme j’aime me laisser entraîner,
comme c’est devenu facile,
comme je suis devenu un aimant à plaisir,
comme je suis devenu un amant,
comme je suis devenu une amante22 mai 2021 à 13 h 05 min #41300bzo
Participantattention, spoilers,
élucubrations ambitieuses, délires cosmologiques,
diva divagante qui s’épanche sur la page, sans limites,
qui se déverse, corps et âme,
donner corps à mon foutre, foutre à mon âmeau plus j’avance dans mon parcours, au plus j’ai cette intuition,
que le plaisir, le plaisir au sens large,
jouissance, orgasme, volupté, extases de toutes sortes, mystique ou autre,
émotions même, aussi, de l’art, de la littérature, de l’échange avec l’autre,
enfin tout ce qui nous élève pour un instant, nous détache de nous-même, nous fait vibrer,
est comme une autre réalité,
une réalité parallèle à ce monde, une réalité immémoriale, une réalité sans âge
qui est, en fait, derrière toute chose, vivante ou pas, constammentbah, je sais que c’est juste mon imagination
mais nous autres humains, on est comme cela, on joue à ce genre de choses depuis toujours,
on a bâti des cathédrales, ériger des dogmes, avec le jus de l’imagination de quelques uns,
fait s’agenouiller et prier des milliards de gens,
massacrer, torturer, ruiner, sur foi des élucubrations de quelques unsalors, je m’amuse aussi dans mon coin,
moi, au moins, tout ce que les gens risquent de dégainer après m’avoir lu,
c’est leur sexe, de leur pantalon,
c’est chercher à débusquer leur prostate
et ils s’agenouillent, s’ils se couchent, ce n’est pas pour prier ou pour mourir,
c’est pour se goûter mutuellement, c’est pour entremêler leurs corps,
c’est pour écarter les jambes, s’enfiler, par devant, par derrière, par tous les orifices
oh oui, ce serait mon ambition, qu’après m’avoir lu,
les gens se déshabillent, se mettent à se caresser, à se faire l’amour,
se pressent les uns contre les autres pour communier corps et âmeen quête constamment, du monde parfait, de l’instant parfait,
les dieux n’existent pas, juste des moments divins,
l’autre est partout, en nous, au dehors, en d’autres corps,
communier un instant avec lui, par tous les moyenson a cette réalité à nous dans laquelle on évolue,
dans laquelle on est arrimé pour quelques instants,
dans laquelle ce corps est notre véhicule, pour le meilleur et pour le pire
et puis il y en a une autre, derrière toute chose
à laquelle on accède sporadiquement, comme par un sas,
qui est cette réalité du plaisir, au sens large, que j’ai décrite plus haut,
qui est l’autre dimension de ce monde,
basée sur une sorte de combustion des énergies,
contenues en toute chose, vivante ou morte, inerte ou animée,je vois la nature comme une sorte de jouissance continue,
les arbres, les plantes, l’océan, tout cela,
c’est l’expression d’une sorte de jouissance en continu,
nous autres, petites personnes, de chair et de sang, tombé dans le temps
quand nous accédons un instant à cette réalité, nous retrouvons la vaste mer,
cette espèce d’orgasme lent qui roule sa bosse de l’avant, depuis toujoursnous avons été détaché, dans le temps, comme en mission
la mort et la vie, associés, nous ont pondu,
avec cette capacité en nous de leur tendre un miroir pour se regarder jouir
elle dort quelque part en nous,
quelques gouttes ont été déposées
qui permettent de ranimer la flammejouir, jouir, c’est renaître en rafale,
c’est la vie et la mort qui se font l’amour sans finah je m’arrête pour quelques instants d’écrire,
tout cela m’excite au plus haut point,
cela me démange, je bande ferme déjà depuis quelques minutes,
je le vois qui se dresse, mon petit pic qui dépasse de mes genoux
et mon bassin m’envoie toutes sortes de signaux,
j’ai besoin de me caresser, de sentir couler en moi des flots de volupté,
de sentir cette chair vibrer,
de me laisser emporter, quelques instants, par la danse sans fin
de pirouetter, de voltiger, d’entrer dans la ronde,
de laisser tournoyer follement ma chairvoilà la crise délicieuse est passée,
jouir m’est devenu, une seconde nature,
c’est comme une gourde que je porte constamment,
à la moindre petite soif, je me désaltère,
je laisse l’arbre se déplier en moi
et frémir de toutes ses feuillesce corps est un instrument merveilleux
pour accéder à un autre monde,
découvrir ses clefs intimes, s’accorder,
on a la possibilité d’avoir les doigts sur les cordes en permanence,
de jouer, jouer, jouer avec nous-même quand on a envie, de faire monter le chant,vibrer, vibrer, se retrouver au coeur de la vie pour quelques instants,
non plus juste dérivant, à la surface désertique des choses23 mai 2021 à 1 h 32 min #41306bzo
Participanteu ce soir un orgasme accompagnant l’éjaculation,
en mode yin, ce type d’orgasme, est toujours particulièrement violent,
ce soir, je me suis bien laissé aller, ça a pu décoller sans la moindre entrave
et ce fut assez apocalyptique pendant une trentaine de secondes,
je devais avoir l’air d’un épileptique en pleine crise,
tellement j’étais parcouru de convulsions
et mes membres voltigeaient dans toutes les directionsla violence du plaisir, ne m’a jamais fait peur,
je ne la recherche pas particulièrement, encore que…
durant mon temps en massage prostatique avec masseur,
j’avais découvert les joies des pincements, des torsions, des griffures,
j’ai eu une période comme cela où mes mains ne caressaient quasi plus,
depuis que je pratique en mode yin aneroless,
j’ai à peu près complètement abandonné cela,
il faut que je m’y remette au plus vitela douleur est tellement proche du plaisir, on s’en rend compte très vite
si on joue un peu ces jeux-là,
déjà rien qu’avec les mains, se griffer, se pincer, tordre un peu la chair,
un instant, vous sentez la brûlure de l’ongle enfoncé dans la peau qui trace son chemin,
comme une charrue qui laisse un sillon derrière lui
mais si vous êtes dans les bonnes conditions d’excitation,
cela se transforme quasi instantanément en plaisir intense,
les nuances ainsi, sont toujours tellement épicée, tellement poivrée,
résolument différente, de ce qu’on peut obtenir avec des caressessurtout les ongles griffant que j’aimais,
vraiment comme des patineurs dansant sur la glace, je parcourais,
il y a aussi moyen de bien alterner cela avec des caresses, d’une manière totalement fluidequand je pratiquais ainsi, je me rappelle,
j’avais certains jours, certaines parties du corps entièrement couvertes de griffures
et de rougeurs des pincements,
c’était assez impressionnant quand je voyais cela dans la glacemais aussi, je me rappelle de certains super O où je tombais du lit,
où je continuais à orgasmer par terre, rebondissant comme un kangourou apoplectique,
me cognant à la table de nuit, aux pieds du lit,
j’avais des bleus après un peu partoutj’aime cela les corps à corps, l’amour, c’est parfois une lutte,
il ne faut pas avoir peur de se faire un peu mal,
pour pimenter ses séancesle truc, c’est de bien se laisser aller, le phénomène de dérèglement ainsi, s’aggrave encore,
il ne faut pas avoir peur, rien ne va nous arriver, rien de mauvais, en tout cas,
surtout pas se raidir, essayer de changer le cours des choses
car, bien sur, cela va s’arrêter net
mais si on persiste bien dans l’attitude de laisser faire totalement,
de bien se laisser porter par tout ce qui arrive, aussi violent que ce soit,
on se rend compte que le plaisir est bien toujours là
mais c’est comme si on était dans un shaker, ça secoue dans tous les sens,
ce n’est pas désagréable, c’est différent, c’est un peu comme si on avait une armée de tamtam
battant le rappel dans notre sang,
c’est extrêmement sauvage, carnassier,
on est dans la gueule du tigre pour quelques instants, j’adore celaces orgasmes allant avec l’éjaculation, en mode yin,
arrivent chez moi quand le corps décide,
il n’y a rien pour me pousser artificiellement à avoir envie de me vider,
rien qui y incite avant l’heure, étant donné que je ne regarde jamais de porno,
je ne voudrais pour rien au monde perturber ce cycle naturel de montée en puissance
où je sens chaque matin que mes réserves d’énergie sont de plus en plus débordantes, explosives,
les sensations deviennent tellement précises, tellement fines, au moindre contact
puis après quelques jours, le corps décide que c’est le moment,
alors à un moment donné, le tremblement de terre délicieux arrive,
me secoue pendant une trentaine de secondes, jusqu’à une minute, dans les bons joursje me laisse aller, cela se dérègle de plus en plus,
j’ai l’impression de ne plus être qu’un pantin désarticulé, secoué dans tous les sens,
le plaisir est comme un entrepôt de de stockage de dynamite, qui a pris feu,
les orgasmes basés sur des ondes prostatiques sont moins violents, me font monter plus haut,
je les préfère bien sûr
mais un comme cela, tous les 5, 6 jours, cela fait vraiment du bien,
cela débouche toute la tuyauterie
et puis je sens mes couilles bien vidées,
le cycle va pouvoir recommencer23 mai 2021 à 10 h 17 min #41312bzo
Participanthier dans la nuit, juste avant de m’endormir,
je me suis décidé à me masturber à l’ancienne,
la bonne vielle méthode manuelle, à la force du poignetaucune envie spéciale de le faire,
je venais juste d’éjaculer dans le cours de ma pratique en mode yin, quelques heures plus tôt,
le texte que j’ai écrit juste au-dessus de celui-ci, le relate d’ailleurs,
juste une soudaine curiosité,
cela faisait des années que je ne l’avais plus fait,
un plaisir pénien en mode yang, bien basiquedonc le projet aussitôt conçu dans ma tête, aussitôt mis en pratique,
je me saisis de l’engin, du petit bout bien mou, bien flasque
qui pendouillait placidement, qui ne s’attendait certainement pas à cela,
depuis le temps que je l’avais embarqué dans des aventures de bien d’autres types,
je le cajolais, je le pressais jusqu’à ce qu’il prenne de la consistance,
suffisamment pour commencer des mouvement de va et vient dessus,
là, j’alternais, tantôt des petits mouvements circulaires, rien qu’autour du gland,
tantôt toute la hampe, du va et vient, accélérant, ralentissant, pressant un peu, etc.
jusqu’à ce que le plaisir devienne de plus en plus fort
et qu’enfin, qu’arriva ce qui devait arriverj’ai obtenu une belle intensité, ma foi, rien à dire, c’était bon,
mais qu’est-ce que c’était horriblement court,
c’est plus frustrant qu’autre chose,
quand on a déjà connu d’autres façons d’obtenir de bons moments
qui font durer, varier, les sensationsil faut vraiment ne pas être au courant
et à l’ère de l’internet, ce n’est plus vraiment une excuse pour le mâle occidental,
sans doute dans d’autres régions du monde, avec toutes les limitations,
pauvreté extrême, interdits religieux, etc, c’est autre choseje n’évoquerais même pas le plaisir de type anal ou prostatique
car là, on tombe directement sur un tabou encore bien présent, le genre “hé, je ne suis pas un pédé, moi!”
mais même en restant dans du plaisir pénien en mode yang,
on a toutes sortes de pratiques qui permettent d’obtenir déjà quelque chose de plus élaboré, de plus riche,
qui dure bien plus longtemps,
je pense à l’électrostimulation, par exemple ou bien, encore mieux, aux pratiques d’edging genre Mantak Chiail s’agit juste faire preuve de curiosité et d’audace,
à partir du moment où l’on n’a pas accès au sexe avec partenaire,
pour s’offrir en solitaire un plaisir plus élaboré, plus satisfaisant, plus prolongé,
plutôt que ces quelques secondes à se secouer le prunier face à des images pornographiques sur internet
ou même juste aux toilettes, sans rienune éducation sexuelle réactualisée,
qui informe les gens de l’existence de ces pratiques, leur transmet l’idée qu’il n’y a rien de mal à cela,
que c’est même une excellente chose de vouloir s’offrir du bon temps avec soi-même, de manière plus organisée, plus gratifiante,
serait sans doute une clef23 mai 2021 à 10 h 29 min #41313bzo
Participantarf, je n’ai pas pu terminer d’éditer le précédent texte,
voilà:hier dans la nuit, juste avant de m’endormir,
je me suis décidé à me masturber à l’ancienne,
la bonne vielle méthode manuelle, à la force du poignetaucune envie spéciale de le faire,
je venais juste d’éjaculer dans le cours de ma pratique en mode yin, quelques heures plus tôt,
le texte que j’ai écrit juste au-dessus de celui-ci, le relate d’ailleurs,
juste une soudaine curiosité,
cela faisait des années que je ne l’avais plus fait,
un plaisir pénien en mode yang, bien basiquedonc le projet aussitôt conçu dans ma tête, aussitôt mis en pratique,
je me saisis de l’engin, du petit bout bien mou, bien flasque
qui pendouillait placidement, qui ne s’attendait certainement pas à cela,
depuis le temps que je l’avais embarqué dans des aventures de bien d’autres types,
je le cajolais, je le pressais jusqu’à ce qu’il prenne de la consistance,
suffisamment pour commencer des mouvement de va et vient dessus,
là, j’alternais, tantôt des petits mouvements circulaires, rien qu’autour du gland,
tantôt toute la hampe, du va et vient, accélérant, ralentissant, pressant un peu, etc.
jusqu’à ce que le plaisir devienne de plus en plus fort
et qu’enfin, qu’arriva ce qui devait arriverj’ai obtenu une belle intensité, ma foi, rien à dire, c’était bon,
mais qu’est-ce que c’était horriblement court,
c’est plus frustrant qu’autre chose,
quand on a déjà connu d’autres façons d’obtenir de bons moments
qui font durer, varier, les sensationsil faut vraiment ne pas être au courant
et à l’ère de l’internet, ce n’est plus vraiment une excuse pour le mâle occidental moyen,
sans doute dans d’autres régions du monde, avec toutes les limitations,
pauvreté extrême, interdits religieux, etc, c’est autre choseje n’évoquerais même pas le plaisir de type anal ou prostatique
car là, on tombe directement sur un tabou encore bien présent, le genre “hé, je ne suis pas un pédé, moi!”
mais même en restant dans du plaisir pénien en mode yang,
on a toutes sortes de pratiques qui permettent d’obtenir déjà quelque chose de plus élaboré, de plus riche,
qui dure bien plus longtemps,
je pense à l’électrostimulation, par exemple ou bien, encore mieux, aux pratiques d’edging genre Mantak Chiail s’agit juste faire preuve de curiosité et d’audace,
à partir du moment où l’on n’a pas accès au sexe avec partenaire,
pour s’offrir en solitaire un plaisir plus élaboré, plus satisfaisant, plus prolongé,
plutôt que ces quelques secondes à se secouer le prunier face à des images pornographiques sur internet
ou même juste aux toilettes, sans rienune éducation sexuelle réactualisée,
qui informe les gens de l’existence de ces pratiques, leur transmet l’idée qu’il n’y a rien de mal à cela,
que c’est même une excellente chose de vouloir s’offrir du bon temps avec soi-même, de manière plus organisée, plus gratifiante,
serait vraiment une bonne idéemais cela ne se fera sans doute jamais
car a-t-on vraiment besoin de gens qui prennent soin d’eux-mêmes,
de leur satisfaction sexuelle, qu’elle soit un peu plus épanouissante, plus riche?
comme dans d’autres domaines, dans nos sociétés d’exploitation de l’homme par l’homme,
la réponse est non, mille fois, nonl’homme qui se vide les couilles en quelques secondes pour se soulager, suffit amplement,
un homme qui commence à se poser des questions, qui prend soin de lui-même,
qui pratique tout un artisanat, un art même pour trouver toutes sortes de satisfactions,
qui se cultive, qui lit des livres,
ne doit pas devenir une généralité, la norme mais rester une exception
car cela fait des gens moins corvéable, moins rentable,
des gens qui se remettent en question, qui se posent des questions, attendent des réponses,
qui acquièrent de la culture, de la lucidité, de la sensibilité,
qui deviennent exigeants sexuellement,
tout cela qui passe mal avec les règles basiques de l’exploitation de l’homme par l’homme24 mai 2021 à 9 h 24 min #41330bzo
Participantles joujoux de la marque Aneros sont toujours livrés dans de superbes boîtes noires, très classe
j’ai gardé celles des deux derniers que j’ai acquis,
le Vice 2 et puis le Helix Trident que je me suis acheté par erreur
mais que j’ai finalement gardépar contre avant, je ne sais pas pourquoi j’ai fait cela,
les autres de la gamme que j’ai achetés,
il y a bien plus longtemps, au début, dans la première année,
un Progasm, un Progasm Junior, le Vice 1 et l’ancien Helix,
non, j’ai tout de suite balancé leur boîte à la poubelleje le regrette bien, c’est comme un écrin pour ces petits bijoux du plaisir
dans lequel ils peuvent dormir tranquillement à l’abri de la poussière et de la lumière,
en attendant qu’on les remette en service
pour éveiller des délicieux orages en nousj’aurai adoré voir ces boîtes alignés les unes sur les autres, bien sagement
avec leur cargaison explosive, dans le ventre de ma table de nuit,
cela devient à chaque fois que je m’apprête à m’en servir d’un,
même si c’est assez rare ces derniers temps,
comme un petit rituel,
certains ont une bible à côté de leur lit,
ils le prennent de temps à autre pour en lire quelques pages,
gardent un instant l’épais livre entre leurs mains, avant de l’ouvrir
comme s’ils portaient toute leur foi à bout de bras,
s’apprêtaient à la sortir de son nid pour la faire voler un peumoi, je sors une de ces boîtes de ma table de nuit,
j’en ouvre lentement les deux battants aimantés qui forment couvercle
comme on ouvre un livre sacré du plaisir,
l’engin encore endormi se révèle, tout enveloppé dans sa couche de plastique sur mesure,
je l’en extrais, le dirige vers le tube de lubrifiant,
verse dessus quelques gouttes que je répands bien sur toute sa surface,
en met aussi avec le doigt dans mon anus
et déjà voilà, le masseur, tel un obus chargé entre mes doigts
qui se dirige vers l’anfractuosité entre mes fesses qui l’attend,
qui a hâte de l’engloutir, de le sentir glisser, de le sentir frottervole, vole, petit Aneros, vole parmi les chairs, affole les nerfs,
dérègle autant que tu peux, fais-lui en voir de toutes les couleurs,
des vertes et des pas mûres,
qu’il en ait pour son argent, qu’il ait le fondement en feu,
le bassin comme la bouche d’un volcan,
qu’il s’agite comme un possédé et gémisse de toutes ses entrailles
jusqu’à ce que la jouissance le secoue sans relâche, encore et encore24 mai 2021 à 21 h 17 min #41342bzo
Participantla forêt nous offre un miroir de ce qu’il y a en nous,
le bruissement des feuilles a des résonnances lointaines,
regarder vers le haut parmi cette mer de branches,
c’est une occasion de plonger au plus profond de soi-mêmetel un plongeur en apnée, je m’élance vers l’avant,
il y a un océan devant mes yeux, je le sens de plus en plus,
il a autant de mètres de profondeur que ce qu’il y a en nousune grande danse s’organise de branche en branche,
les oiseaux comme des électrons libres, n’en font qu’à leur tête,
leur chant, en contrepoint du silence, colore de sons, la forêtregarder l’étang avec ses roseaux, ses canards,
tout semble tellement paisible par ici et hors du temps,
tous font pourtant partie du cycle,
fort de mes énergies, de ma pompe avec laquelle je peux faire appel à eux,
j’ai bien l’intention de me connecter au mystère de la forêt, un jour,
juste l’impression qu’il faut prendre son temps,
cela tombe bien, dans 3 ans et demie, je suis à la retraite,
je me vois bien venir par ici, quasi tous les jours,
faire mes dix kilomètres, faire le tour de ces étangs, de ces deux vallons avec leur maigre ruisseau,
essayer de participer à la fête silencieuse,
m’y plonger corps et âmedéjà maintenant quand je m’immobilise au milieu de tout cela,
le silence semble devenir tellement épais,
comme je l’ai déjà écrit, semble comme annuler la distance entre la forêt et moi,
il suffirait de continuer, de pousser en avant, quelque chose se passera, une sorte de contact,
la révélation peut-être d’une harmonie sauvage bouleversante qui anime la forêt à tout instant
et qu’il y a moyen d’accrocher avec les yeux,
de s’en laisser imbiber, de s’en laisser envahiron va voir,
déjà maintenant, constamment quand je marche parmi les grands arbres centenaires,
je baigne dans une sorte d’extase douce, d’extase légère, tout à fait délicieuse,
c’est tellement ressourçant, un bain de jouvences’il n’y avait pas ces 45 minutes aller et autant pour le retour,
enfin je préfère quand même rester habiter dans l’archi-centre,
là où cela grouille de gens et d’évènements,
les banlieues me semblent comme des cimetières question ambiance, pour un célibataire,
en couple, surtout avec des enfants, c’est déjà tout à fait différent,
les besoins sont différents25 mai 2021 à 22 h 16 min #41350bzo
Participanttrès excité à nouveau toute la matinée, tout en travaillant,
enfin essayant du moins…assis devant mon écran, ma tête essayait de se concentrer sur le code
et puis tout mon bassin, bougeait, ondulait, remuait, presque malgré moi
mes cuisses venaient se frotter allègrement contre mes génitaux
et puis je faisais monter aussi, bien sûr, des contractionsavantage de pouvoir être en télétravail, tout nu devant son écran,
juste faire attention de ne pas allumer accidentellement la webcam,
comme cela m’est arrivé une fois,
heureusement je n’étais pas en action
et puis la table cachait ce qu’il faut cacher entre collègues quand on est au travail
sauf si on est des acteurs tournant un pornoassez régulièrement, je n’en pouvais plus, il m’en fallait plus,
alors je me levais et me mettais sur le bord de la table, un peu appuyé dessus
et puis montait et descendait, appuyant les bras derrière,
comme m’empalant, comme chevauchant, dansant lubriquement, sans retenue, avec mon bassin,
un coït très fougueux, de plus en plus en rut,
c’est tellement sublime, toute cette animalité qui s’exprime,
j’aime sentir toute cette sauvagerie, ce rusch dans le sang et les membres,
l’envie de me prendre, de me défoncer et d’être défoncé aussi, bien sûr, en même temps
toujours cette délicieuse ambivalence dans le bassin, en même temps, mâle et femelle
oh mes amis, comme c’était bon!
sentir toute sa chair se transformer en lave en fusion comme une marée qui monte au galopcomme je l’ai déjà décrit, dans cette position, j’arrive superbement à manipuler
tous les muscles de la zone de l’anus, des génitaux et du périnée
et jambes écartées, la plupart du temps,
c’est uniquement avec des ondes prostatiques que je m’envoyais en l’air,
la jouissance vient rapidement, elle est tellement puissante,
j’ai les yeux qui se révulsent, suis comme plongé dans un aquarium de chaleur très dense, ondoyante,
mon sexe se dresse un peu,
il y a aussi un peu d’ondes génitales avec les mouvements et les quelques frottements involontairesdans ces moments, j’ai cette sensation tellement puissante
que j’ai depuis un certain temps très régulièrement
que toute la zone de l’anus, des génitaux, du périnée,
que tout cela est comme uni, soudé, d’un seul bloc,
parcourue par une densité très forte d’ondes dans tous les sensla zone semble comme un ruche bourdonnante de vibrations
et la moindre tension musculaire que je change désormais,
me fait hurler,
mon sexe se raidit encore un peu plus,
les ondes semblent aller et venir dedans, je les sens tournoyer à l’intérieur,
se ruer dans une direction puis dans l’autre, un peu comme un vol d’étourneaux dans le ciel,
comme cela frotte, comme cela picote,
des millions de petites pattes toutes douces qui courent, qui dansent,
tantôt dans le désordre le plus complet, tantôt comme s’elles défilaient en rangs serrés, se pressantje me caresse un peu les seins, les pointes sont bien dures, je joue avec,
des ondes du bassin semblent se ruer immédiatement vers le haut, comme attirées,
pour aller à la rencontre de celles générées dans ma poitrine,
elles font jonction rapidement, une autoroute de circulation semble s’établir,
cela roule très régulièrement maintenant dessus,
impression de Cadillac roulant à une vitesse de croisière
pendant les quelques instants où je bouge à peine,
juste titillant la pointe de mes seins
et dégustant tranquillement toutes les nuances générées, quasi sans bougerbon, temps de retourner à mon code,
oh mon sexe goutte à nouveau, je sens le haut d’une cuisse tout humide,
je descends un doigt sur le gland, essuie avec, le liquide un peu collant fraîchement sorti,
le lèche, recommence plusieurs fois le manège,
bon, allons-y,
mon gagne-pain m’attend26 mai 2021 à 8 h 43 min #41357bzo
Participanten mode yin,
le mouvement est le plaisir,
le geste est le plaisir,
la posture est le plaisir,
cambrer les reins, est le plaisir,
se déhancher, est le plaisir,
écarter les cuisses, est le plaisir,
les resserrer, est le plaisir,
bouger les fesses, est le plaisir,
frotter les cuisses sur les génitaux, est le plaisir,
les contractions, est le plaisiren mode yin,
le dialogue avec son corps, est le plaisir,
sa proximité, est le plaisir,
communier avec lui, est le plaisir26 mai 2021 à 23 h 01 min #41370bzo
Participantpercevoir son corps d’énergie,
c’est percevoir un instant la vérité de cette chairaussi fugace que ce soit, aussi fébrile, aussi capricieux,
les lois d’airain qui nous régissent en ce monde,
ont été un instant levées,
cela suffit pour entrevoir, pour comprendre,
que quand bien même, les bâtiments tout autour, seront encore en place, bien après notre mort,
un instant, nous auront été dépositaires de ce qu’il y a de plus intangible, de plus immémorial, ici-bas
d’une incandescence, d’une vibration
qui peut s’élever comme une flamme sacréej’ai dansé dans l’instant, vibrant comme du cristal,
le chant montait de toutes parts,
cet instant me suffira pour toujours,
ultime refuge ici-bas,
la rondeur d’un plaisir parfait, brûlant soleil de douceur27 mai 2021 à 17 h 41 min #41377Caktil
ParticipantBonjour @bzo,
J’aimerais te dire merci car dernièrement, au cours de mes sessions avec masseur, je me suis inspiré de tes récits où tu décris la “manipulation” ton sexe avec les cuisses.
Ma position préférée est sur le dos avec les jambes relevées. Au cours de mes dernières séances, à presque chaque érection, j’ai coincé une partie plus ou moins grande de mon pénis en érection entre mes deux cuisses. C’est délicieux ! Les ondes de plaisir prostatique se mêlent aux ondes de plaisir pénien et propulse mes orgasmes encore plus haut. J’ai aussi parfois l’impression que mes cuisses forment un vagin enserrant mon membre palpitant. Je m’imagine savoir encore un peu mieux ce que peux ressentir une femme lors de la pénétration.
Bref, ce nouveau jeu m’excite beaucoup et améliore encore un peu plus mes séances. Et je le dois à la lecture de tes aventures, merci !27 mai 2021 à 19 h 43 min #41379bzo
Participantcela fait plaisir que d’autres découvrent ce type de plaisir si particulier,
autant le geste de toucher son sexe avec les doigts, est profondément yang,
autant avec les cuisses, le yin immédiatement accourt
et on peut ainsi vivre d’incessantes vagues de volupté aux nuances sans cesse changeanteseh oui, entremêler les ondes prostatiques et génitales, c’est un délice de chaque instant,
les ondes anales sont aussi le bienvenu, on peut aller les chercher de temps à autre,
sans aucune peine avec un doigt ou deux,
effet explosif garanti29 mai 2021 à 1 h 34 min #41399bzo
Participantgoûter une totale complicité avec son corps,
c’est vivre le désir entièrement à son rythme,
plus à celui d’une frénésie de surface,
menée par notre intellectc’est souvent lent, très lent même,
comme si la lenteur permettait à la chair de s’ouvrir magnifiquement,
aux caresses, de ne rien rater du grain de la peau,
aux contractions de presser là il faut, quand il faut, comme il faut,
aux gestes et aux mouvements, d’avoir une précision chirurgicale
tout en restant spontanés mais comme réfléchis par le corpslà, par exemple, juste avant que je me mette à écrire ce texte,
j’étais debout devant mon écran, pendant de longues minutes, je lisais
et en même temps je me caressais tranquillement,
plus bas, mes génitaux avec mes cuisses, étaient tout à leur manège habituel
et puis je contractais aussi régulièrement des muscles,
dans la région de l’anus, du périnée,
pour sentir des ondes s’élancer de ma prostatetout tournait lentement, comme au ralenti quasi pour bien tout sentir,
avec de soudaines accélérations comme d’éphémères pur-sang jaillissant de leur enclos,
l’instant semblait se disséquer en multiples couches,
les sensations s’étiraient,
semblaient se presser jusqu’à la dernière goutte de nuance en ellesj’étais là debout faisant tout cela distraitement,
la lecture et puis le dialogue intime avec mon corps,
occupait chacun tour à tour le devant de la scène,
la cohabitation était sans heurts, machinale, maximale,
mes yeux parcouraient les phrases, mes doigts parcouraient les seins,
je bougeais mes hanches lascivement,
mon sexe et mes couilles, étaient chauds, duveteux, tout contre la peau de mes cuisses,
la volupté semblait en couler continuellement comme d’une éponge qu’on pressetout cela formait un ensemble vraiment étonnant,
je me suis rendu compte à un moment donné,
je veux dire, il me paraissait tout à fait normal, tout à fait naturel,
de faire les deux occupations en même temps, rien de singulier là-dedans,
tantôt pris par le travail intellectuel de suivre les mots, d’en déchiffrer le sens,
de changer de page sur le site que je visitais,
tantôt fermant les yeux ou même pas, juste me laissant emporter quelques instants,
dégustant par gorgées, les nuances des sensations qui s’étaient éveilléesil n’y avait pas de temps mort, d’enchaînement mal négocié,
je passais de l’un à l’autre sans aucun problème,
c’était un peu de la haute voltige malgré tout
mais sans aucun accroc, tout s’enchaînait comme il fautle travail de lecture et l’action de jouer avec mon corps,
s’accordaient parfaitement,
mon intellect habitué, ne cherchait pas à s’immiscer ailleurs
que dans ce que je lui demandais de faire
et mon corps semblait s’accommoder qu’à d’autres moments,
je retournais pour continuer la lectureil y a un rythme profond qui ouvre toutes les portes en nous
c’est comme un sésame, le désir n’a plus qu’à s’élancer,
les sensations naissent comme des tapis de fleurs et disparaissentlaisser faire, servir de relai, agir sans savoir, où, quand, comment,
le corps en retour, se charge de la transmutation,
juste être là, à son service et lui, en retour, totalement au notre,
se soumettre l’un à l’autre, agir l’un pour l’autreétape ultime, respecter ce rythme qui pulse sourdement dans nos profondeurs
un souffle de gouffre, déployer la voile la plus légère sur le pont,
la laisser s’élever tranquillement comme un papillon de nos mains,
avancer tout doucement, tout doucements’emballer sans rien retenir quand le sang le commande,
lâcher les chevaux pour le crescendo des gémissements de la bien-aimée
la balance du fond du bassin, là où il y a les saletés qui s’accumulent,
c’est là qu’il y a le la du clapotis,
la main discrète de l’océanle moindre geste, le moindre mouvement, la moindre posture,
semblent trouver l’accord intime dans le moment,
les sensations fusent précises, claires, optimisées,
du cristal nait directement avec un éclat de soleil dedans,
avec de la lumière vibrante enveloppant un arc en cielnotre chair, comme une source de haute montagne,
résonne joyeusement29 mai 2021 à 10 h 05 min #41400bzo
Participanttant que vous ne sollicitez qu’une source,
votre prostate ou vos génitaux, par exemple,
vous n’aurez pas ce problème
mais si vous cherchez à faire intervenir plusieurs acteurs en même temps,
disons, votre prostate et à vous caresser aussi,
il faut absolument parvenir à obtenir une collaboration, un dialoguesinon, ils entreront en concurrence,
c’est comme une loi naturelle de cette jungle en nous,
tout ce qui ne collabore pas, tout ce qui ne dialogue pas,
entre en concurrence29 mai 2021 à 10 h 23 min #41401bzo
Participantoh mon corps, comme c’est gentil,
je sors à peine des bras de Morphée
pour me retrouver entre les bras de la volupté directement,
deux, trois mouvements ont suffi,
quel passage en douceur, sans entraves, soyeuxje sens tellement de similitudes entre ces deux mondes en nous,
parfois j’ai l’impression que la seule différence,
c’est qu’on entre dans le royaume des rêves par une porte dans notre esprit,
alors que le royaume de la volupté, de la jouissance,
on y accède par une porte dans notre corpsmais quand je dors, quand je rêve,
je sens la présence de mon corps aussi partout, il est omniprésent sous une forme ou une autre,
et vice et versa, quand j’exulte charnellement, quand les chevaux sont libérés,
quand je suis en roue libre, emporté par un torrent de soie,
je sens les forces secrètes de mon esprit, qui sont là, qui m’accompagne,
je pense à l’imagination avant tout, c’est la partie immergée de l’iceberg, dans notre tête,
je la sens collaborer étroitement avec mon corps durant l’actiondans les deux, les lois d’airain de ce monde, de cette réalité, n’ont plus cours,
on est libre, désenclavé pour quelques instants,
j’ai eu durant ma période prostatique,
des sortes d’extase prolongée avec des hallucinations très puissantes,
plus j’y repense, plus je vois cela
comme des rêves qui sont passés un instant dans ma chairc’est d’ailleurs pour cela,
que je veux aussi retrouver une pratique prostatique en mode yang comme par le passé ,
en parallèle de ma pratique actuelle en mode yin,
revivre de ces moments si spéciaux, à la magie si singulière,
plus que pour enchaîner des orgasmes à la queue leu leu29 mai 2021 à 14 h 45 min #41403loulounet
Participant…Oh mon bzo que tes textes me portent…me touchent, me parlent…m’exitent…..tes conseils aussi, judicieux….”à ta place, je ne me toucherais pas la queue pendant tes délirs Yin…”
Hier et ce matin, j’ai senti un nouveaux paliers franchi que je veux vous raconter
D’abord le contexte : 10 jours maintenant que j’ai découvert Aneros, ce forum ect….avec essais prometteurs qui me ravissent…je sais que ce sera lent car je suis impatient mais c’est ok avec ça…là je suis à la campagne en we familial chez ma belle mère avec mon mec ,( beaux freres belles soeurs, neveux nèces ect…)- que je ne fais pas participer pour l’instant à ma recherche sur les plaisirs prostatiques Yang ou Yin…Le contexte aussi est que grâce au forum, j’ai découvert la méthode de Crimsonwolf : https://www.aneros.com/community/general-discussion/the-crimsonwolf-method-prewiring-and-the-confident-boomerang/ , methode en gros de relaxation très profonde et ou on bannit ensuite les contraction annales volontaires, et ou on ne fait que des contractions pc très petites…et on “laisse faire le corps qui sait mieux que nous comment jouir ect…
Bref, hier, dès les premiers ronflements de mon amoureux à coté de moi, dans le lit, j’ai entrepris d’expérimenter cette contraction légère de mon pc à l’expire, puis relax à l’inspire, puis recontraction légère à l’expire ect….et surtout d’être comme un observateur…ne rien vouloir…juste me relaxer avant de dormir
Les grosses bouffées de plaisir sont venues dès la première contraction légères de mon pc…puis je détendais à l’inspire, et rebelootte, recontraction légère à l’expire avec grosse bouffée de plaisir dans tout le corps avec en plus mes muscles du rectum et de l’anus qui se “contractent” sans leur avoir demandé…
au bout de quelques minutes de ces vagues de plaisir qui venaient et s’en allaient, comme j’inspirait de nouveaux relax, mon pc lui a commencé à bouger tout seul ainsi que mon rectum…pendant bien trentes secondes…je m’efforcais d’être observateur, de laisser mon corps faire, comme si je disait à mon corps vas y, c’est toi qui à la main.
Au bout des trentes secondes, je me suis relaxé, les muscles du bassin se sont détendus par eux même, j’ai inspirer relax profondément, et a à l’expir suivant, en pensant juste à contracter doucement (10%) mon pc, de nouveaux tout s’est emballé de façon autonome…et je me disais “ne fait rien, observe juste observe…et plus je me disait ça, plus mon corps faisait ça tout seul…mon muscle pc bougeait tout seul, mon rectum “pulsait tout seul, mon trou du cul était en feu, j’avais des sensation délicieuses dans ma bite qui mouillait beaucoup mais sans bander…je ne la touchais pas…PUTAIN QUE C’ETAIT BON!!!..parce que ça durait…durait..peut être deux minutes où ça bougeait tout seul dans mon cul….et ou je me disait “n’intervient pas”…laisse faire…non mais quel bonheur!….j’ai pensé aussi à des images “cochonnes”…deux mecs qui se bouffent le cul (je suis …gay…hi hi) ce qui activait relançait beaucoup mon désir…après deux minutes, relax générale, le temps d’une respiration profonde, d’une “légère” contraction volontaire toute petite et lente de mon pc , et hop reparti pour deux longues minute de spasmes dans mon cul, de ma prostate comme “qui chauffe’ et durci, se contracte…de deux minute en deux minute, ça a duré 1 heure…J’ai réalisé que je ne me posait pas la question du degré d’orgasme…surement un mini O, mais peu importe, c’était nouveaux pour moi, plus fort, plus “cochon”, et où mon esprit analytique était comme juste observateur, témoin de mon corps qui savait tout seul comment faire…c’était mon corp le boss, je pense que je ne me suis pas totalement abandonné car …ben je n’était pas seul au pieux et je ne voulais pas réveiller mon mec….j’ai dormi…heureux..contenté…je ne peux pas ecrire le mot de comblé..on verra plus tard (j’espère…lol)
Ce matin, j’ai dormi plus tard que la maisonnée et au réveil….ben…j’ai remis ça whaaa..que c’etait bon…moins longtemps, mais les mini orgasme de 2 minutes ont démarré tout de suite…j’ai eu aussi…je me suis autorisé à laisser des spasme plus grands jaillir tout seuls…a avoir même des petits cris..
Puis j’ai rejoins les autres au bout d’une demi heure, d’ultra bon humeur, AVEC les autres…..tout ça m’avait vraiment rendu encore plus guilleret que d’habitude….café…j’étais comme “fier” d’avoir lâché…enfin, d’avoir commencé à lâché…et d’avoir éprouvé des plaisirs nouveaux…des nouveaux plaisirs….prometteurs de plaisirs bien plus nouveaux et prometteurs..
mais ce n’est pas tout…
Dans la matinée…je suis allez pisser aux toilette de la maison…et là… une envie de me déshabiller…de me toucher…de me caresser en mode Yin…tes textes bzo me revenait en mémoire..et me voilà parti pour une session aneroless en mode Yin…à un moment (tu vas rire) je me suis dit :”fait chier, bzo, je peux quand même bien me branler la bite…! (dans un précédent post, bzo m’avait déconseillé de le faire si je voulait experimenter à fond le mode Yin)” et vas y que je m’astique la queue tout en me tremoussant debout…et puis je me suis dit : “t’es con, lâche ta bite, avec ce que tu as vécu cette nuit, experimente…et j’ai arrété de me masturber…ai essayé de toucher mes couilles et m queue avec mes cuisses ..un moment j’ai pensé que ça devait être cocasse, je devais avoir l’air d’un héron une jambe levée comme ça pour toucher “mes génitaux ” comme tu dis, et puis j’ai recommençé mes cycle de contractions légères de mon pc et des mini orgasme longs de 2 minutes…quel pied….!!!! seulement là, clairement, j’étais en mode yin (contrairement à la nuit précédente), je ne pensais pas à des ébats homo de pénétration, je me surprenait, comme j’étais debout, à avoir des positions lascives, à me toucher les seins, à tendre mon anus en arrière comme cherchant à “happer” le monde, le monde des bites surement, mais c’était pas si clair…à un moment, à quattre patte, les fesses ouvertes pendant un de ces mini orgasmes de 2 minutes…j’ai vu du precum couler de ma bite en gros fils et gouttes gluant….putain ce que ça m’a excité!!! là pour la première fois, j’ai eu des images de femmes fontaines….(je pense pas être bi…mais les video porno de femme fontaine m’ont toujours exitées, surtout quand ces flots liquides sont déclenché grace à la présence d’un garcon bien sûr…)à un moment j’ai eu un flash avec la vison d’Adam et Eve nus (le tableau de Rubens)….et ou moi même, j’étais à la fois Adam et Eve…
quelle bonheur…non mais quelle bonheur tout ces plaisirs variés…quelle richesse…Merci si cher forum
Merci bzo
Je t’aime mon hétéro fantasque et libre , merci de toi…30 mai 2021 à 0 h 57 min #41414bzo
Participant10 jours maintenant que j’ai découvert Aneros, ce forum ect….avec essais prometteurs qui me ravissent
pour quelqu’un qui n’a que dix jours derrière lui,
je peux t’assurer que tu as déjà sacrément progressé,
tu fais partie des chanceux pour qui cela vient presque tout seul.j’ai pensé aussi à des images « cochonnes »…deux mecs qui se bouffent le cul (je suis …gay…hi hi)
on dirait que tu ne fais pas encore assez confiance à ton corps et à l’excitation qu’il peut générer,
il n’a pas besoin d’un coup de pouce, tu es trop impatient, tu veux monter trop vite, prends ton temps, déguste,
rien de plus délicieux, qu’un crescendo très progressifnul besoin de fantasmer, comme nul besoin de regarder du porno,
je ne dis pas qu’on ne peut pas obtenir des résultats ainsi,
je dis juste que c’est un peu comme de mettre de l’eau dans son vin
et c’est dommage quand on a ton potentiel,
aucun besoin de le faire,
cela irait aussi sans,
sois plus patient, apprends à déguster au lieu de t’en mettre plein la bouche le plus possible, à toute vitesse,
tu en mets la moitié à côté comme celatu as encore une série d’habitudes de ton plaisir en mode yang à perdre
pour pouvoir goûter optimalement au plaisir prostatique,
ainsi qu’au mode yinun moment j’ai pensé que ça devait être cocasse, je devais avoir l’air d’un héron une jambe levée comme ça pour toucher « mes génitaux » comme tu dis
tout à fait, debout, n’est effectivement pas la position la plus facile pour ce jeu-là,
il faut être particulièrement patient et avoir déjà de l’expérience avec,
mais les frottements, les contacts, ne doivent pas être ultra-puissants,
bien sûr, moi j’ai la sensibilité de mes génitaux particulièrement développée,
au moindre contact et juste un effleurement, suffit déjà
à envoyer des vagues de volupté dans toutes les directions
mais en tout cas, il n’est pas nécessaire que ces contacts soient forts,
même pas au début,
accepte le plaisir ne soit pas immédiatement là,
juste frotte tes couilles, ton sexe, avec tes cuisses un peu, presse-les sans appuyer très fort,
pas besoin de faire de l’auto-tamponneuse avec, de les pilonner comme avec un béliervois cela, comme une danse entre tes génitaux et tes cuisses,
une danse lascive, un tango sensuel l’un contre l’autre,
c’est dans cet esprit que les contacts doivent se faire,
des frottements sensuels, des effleurements, des petites pressions,
parfois un peu plus fort
mais en aucun cas, il faut y aller très fortcoucher, assis, c’est plus facile, j’aime énormément, un peu appuyé contre une table aussi
avec les bras en arrière qui me soutiennent,
là avec les cuisses écartées, on est splendidement positionné pour effectuer des contractions très efficace,
avec les muscles autour de l’anus et du périnéeje me surprenait, comme j’étais debout, à avoir des positions lascives, à me toucher les seins, à tendre mon anus en arrière comme cherchant à « happer » le monde
hé hé , je connais bien tout ça, le yin quand il prend possession de nous, quand il se déchaîne,
nous fait faire des trucs, hum… pas très catholique, pas très mâle…le tableau de Rubens
ah Rubens, très certainement , mon peintre classique préféré,
quel sensualité, quel amour de la vie,
j’aime surtout ses dessins, ses esquisses, qui sont des splendeurs absolues30 mai 2021 à 1 h 49 min #41415bzo
Participantet puis je reprécise encore,
toujours bien combiner ce jeu langoureux des cuisses avec les génitaux
avec des contractions volontaires,
alterner, mêler, tantôt plus d’ondes génitales, tantôt plus de prostatiquesc’est leur amalgame qui rend ce jeu ineffable,
les ondes prostatiques apportent leur puissance de décollage, leur verticalité bondissante,
les génitales, leur richesse de nuances, leurs vagues de volupté,
leur capacité à se disperser dans toutes les directions30 mai 2021 à 11 h 37 min #41418bzo
Participant11h passées, ah je viens à peine de me réveiller,
moi qui voulait me réveiller tôt pour aller toute la journée dans la forêt
pour être parmi les arbres, m’imbiber de leur énergie,
me plonger dans la féerie verte et dorée de la lumière s’entremêlant aux feuillesbon, comme ma mère a l’habitude de le dire, c’est que tu en avais besoin
à peine le temps de faire cette constatation
et avoir un petit moment de consternation, de dépit,
que mon corps se met à onduler, mes cuisses à venir se frotter contre mes bijoux de famille,
à la première contraction, effet d’ascenseur hydraulique irrésistible,
l’impression qu’on m’arrache en douceur de moi-même vers le hautj’ai une main sur un sein, je tripote vaguement la pointe,
je ne la bouge pas trop, en fait, j’ai décidé d’essayer ainsi,
juste placée sur le corps à gauche ou à droite, juste accompagnant,
de temps à autre, elle se remet en mouvement et je ralentis le mouvement du bassin
pour bien laisser le devant de la scène aux sensations de la peau caressée,
cette alternance me réussit bien ce matinje continuerais ainsi ce soir, à explorer ainsi le jardin des délices,
toujours à la recherche de l’amélioration du dialogue en moi,
comme des musiciens de jazz s’écoutant, tout en improvisant,
se questionnant et se répondant avec les notesj’ondule de plus en plus,
quand le yin est surchauffé, je ne fais attention plus à rien,
le mouvement de mes hanches se féminise
et j’aime tellement cela,
ainsi onduler sans plus savoir si je suis mâle ou femelle,
juste emporté sur les rails du plaisir follement par le désir expressmusique douce à mes oreilles, je ne pourrais pas me passer de mes gémissements plein les oreilles,
d’ailleurs quand la machine à café se met en route et que je ne m’entends plus du tout,
je m’arrête systématiquement si j’étais occupé car cela ne fonctionne jamais,
c’est comme si je ne me sentais plus, je ne m’entendais plus, avec tout ce boucan,
que la machinerie du plaisir tournait à vide, sans moi31 mai 2021 à 22 h 02 min #41430bzo
Participantbon dieu, la puissance et la richesse des ondes prostatiques et génitales
quand elles sont parfaitement amalgamées,
quand elles forment un flux parfaitement unicela faisait un certain temps que je n’avais plus été surpris, vraiment surpris
mais depuis hier soir, avec ma nouvelle manière de générer totalement en même temps
les deux types d’ondes,
s’élançant comme s’ils provenaient de la même source,
c’est juste fabuleux,
c’est comme si toute ma pratique venait d’être réinventée
et me faisait entrevoir des horizons encore plus vastes, encore plus prometteursle truc, très simple finalement, c’est que ce sont les contractions aneroless
qui génèrent désormais en mêmes temps les deux types d’ondes
d’où leur fusion parfaite et un gain, aussi bien en puissance qu’en variété et richesse,
je serre les cuisses autour de mes bijoux de famille
puis je ne les bouge plus trop, de temps à autre je change un peu
ou j’ajoute quelques effets de frottement ou change un peu l’intensité de pression
mais par rapport à avant, ils se déplacent beaucoup, beaucoup, moinsmais donc quand la contraction monte, c’est elle qui va mettre en mouvement
tout ce petit paquet délicieux, explosif, au possible, aux multiples strates,
la prostate est sollicitée et en même temps,
mes génitaux sont mis en mouvement un peu contre les cuisses,
les ondes sont donc générés totalement en même temps, parfaitement unis
et c’est juste sublime à chaque instant,
quel kaléidoscope de sensations, ah quel kaléidoscope!je m’installe aussi beaucoup plus dans une posture,
les cuisses bougeant moins beaucoup moins en bas,
je laisse le yin guider mes hanches,
toujours plus dans une position d’offrande, d’ouverturela balance, ainsi, est désormais nettement du côté des ondes prostatiques
et c’est bien ainsi, très bien ainsi,
les cuisses frottant, pressant, plus du tout de leur initiative,
la fréquence des ondes génitales a diminuée
par contre il y a une constante injection
et je n ‘arrive plus du tout à les différencier tellement elles sont bien amalgamées - AuteurArticles
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