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  • Ce sujet contient 1,442 réponses, 17 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par bzo, le il y a 1 jour.
20 sujets de 221 à 240 (sur un total de 1,443)
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  • #41298
    bzo
    Participant

    comme elle a germé en moi,
    comme elle a grandie,
    comme elle s’est épanouie
    comme elle m’accompagne,
    comme elle se tient prête,
    comme j’aime la laisser prendre possession de mon corps,
    comme j’aime lui prêter ma chair,
    comme j’aime ressentir à travers elle,
    comme j’aime vibrer à travers elle,
    comme j’aime jouir à travers elle

    comme j’aime m’abandonner,
    comme j’aime lever toutes mes défenses,
    comme j’aime m’ouvrir,
    comme j’aime me laisser entraîner,
    comme c’est devenu facile,
    comme je suis devenu un aimant à plaisir,
    comme je suis devenu un amant,
    comme je suis devenu une amante

    #41300
    bzo
    Participant

    attention, spoilers,
    élucubrations ambitieuses, délires cosmologiques,
    diva divagante qui s’épanche sur la page, sans limites,
    qui se déverse, corps et âme,
    donner corps à mon foutre, foutre à mon âme

    au plus j’avance dans mon parcours, au plus j’ai cette intuition,
    que le plaisir, le plaisir au sens large,
    jouissance, orgasme, volupté, extases de toutes sortes, mystique ou autre,
    émotions même, aussi, de l’art, de la littérature, de l’échange avec l’autre,
    enfin tout ce qui nous élève pour un instant, nous détache de nous-même, nous fait vibrer,
    est comme une autre réalité,
    une réalité parallèle à ce monde, une réalité immémoriale, une réalité sans âge
    qui est, en fait, derrière toute chose, vivante ou pas, constamment

    bah, je sais que c’est juste mon imagination
    mais nous autres humains, on est comme cela, on joue à ce genre de choses depuis toujours,
    on a bâti des cathédrales, ériger des dogmes, avec le jus de l’imagination de quelques uns,
    fait s’agenouiller et prier des milliards de gens,
    massacrer, torturer, ruiner, sur foi des élucubrations de quelques uns

    alors, je m’amuse aussi dans mon coin,
    moi, au moins, tout ce que les gens risquent de dégainer après m’avoir lu,
    c’est leur sexe, de leur pantalon,
    c’est chercher à débusquer leur prostate
    et ils s’agenouillent, s’ils se couchent, ce n’est pas pour prier ou pour mourir,
    c’est pour se goûter mutuellement, c’est pour entremêler leurs corps,
    c’est pour écarter les jambes, s’enfiler, par devant, par derrière, par tous les orifices
    oh oui, ce serait mon ambition, qu’après m’avoir lu,
    les gens se déshabillent, se mettent à se caresser, à se faire l’amour,
    se pressent les uns contre les autres pour communier corps et âme

    en quête constamment, du monde parfait, de l’instant parfait,
    les dieux n’existent pas, juste des moments divins,
    l’autre est partout, en nous, au dehors, en d’autres corps,
    communier un instant avec lui, par tous les moyens

    on a cette réalité à nous dans laquelle on évolue,
    dans laquelle on est arrimé pour quelques instants,
    dans laquelle ce corps est notre véhicule, pour le meilleur et pour le pire
    et puis il y en a une autre, derrière toute chose
    à laquelle on accède sporadiquement, comme par un sas,
    qui est cette réalité du plaisir, au sens large, que j’ai décrite plus haut,
    qui est l’autre dimension de ce monde,
    basée sur une sorte de combustion des énergies,
    contenues en toute chose, vivante ou morte, inerte ou animée,

    je vois la nature comme une sorte de jouissance continue,
    les arbres, les plantes, l’océan, tout cela,
    c’est l’expression d’une sorte de jouissance en continu,
    nous autres, petites personnes, de chair et de sang, tombé dans le temps
    quand nous accédons un instant à cette réalité, nous retrouvons la vaste mer,
    cette espèce d’orgasme lent qui roule sa bosse de l’avant, depuis toujours

    nous avons été détaché, dans le temps, comme en mission
    la mort et la vie, associés, nous ont pondu,
    avec cette capacité en nous de leur tendre un miroir pour se regarder jouir
    elle dort quelque part en nous,
    quelques gouttes ont été déposées
    qui permettent de ranimer la flamme

    jouir, jouir, c’est renaître en rafale,
    c’est la vie et la mort qui se font l’amour sans fin

    ah je m’arrête pour quelques instants d’écrire,
    tout cela m’excite au plus haut point,
    cela me démange, je bande ferme déjà depuis quelques minutes,
    je le vois qui se dresse, mon petit pic qui dépasse de mes genoux
    et mon bassin m’envoie toutes sortes de signaux,
    j’ai besoin de me caresser, de sentir couler en moi des flots de volupté,
    de sentir cette chair vibrer,
    de me laisser emporter, quelques instants, par la danse sans fin
    de pirouetter, de voltiger, d’entrer dans la ronde,
    de laisser tournoyer follement ma chair

    voilà la crise délicieuse est passée,
    jouir m’est devenu, une seconde nature,
    c’est comme une gourde que je porte constamment,
    à la moindre petite soif, je me désaltère,
    je laisse l’arbre se déplier en moi
    et frémir de toutes ses feuilles

    ce corps est un instrument merveilleux
    pour accéder à un autre monde,
    découvrir ses clefs intimes, s’accorder,
    on a la possibilité d’avoir les doigts sur les cordes en permanence,
    de jouer, jouer, jouer avec nous-même quand on a envie, de faire monter le chant,

    vibrer, vibrer, se retrouver au coeur de la vie pour quelques instants,
    non plus juste dérivant, à la surface désertique des choses

    #41306
    bzo
    Participant

    eu ce soir un orgasme accompagnant l’éjaculation,
    en mode yin, ce type d’orgasme, est toujours particulièrement violent,
    ce soir, je me suis bien laissé aller, ça a pu décoller sans la moindre entrave
    et ce fut assez apocalyptique pendant une trentaine de secondes,
    je devais avoir l’air d’un épileptique en pleine crise,
    tellement j’étais parcouru de convulsions
    et mes membres voltigeaient dans toutes les directions

    la violence du plaisir, ne m’a jamais fait peur,
    je ne la recherche pas particulièrement, encore que…
    durant mon temps en massage prostatique avec masseur,
    j’avais découvert les joies des pincements, des torsions, des griffures,
    j’ai eu une période comme cela où mes mains ne caressaient quasi plus,
    depuis que je pratique en mode yin aneroless,
    j’ai à peu près complètement abandonné cela,
    il faut que je m’y remette au plus vite

    la douleur est tellement proche du plaisir, on s’en rend compte très vite
    si on joue un peu ces jeux-là,
    déjà rien qu’avec les mains, se griffer, se pincer, tordre un peu la chair,
    un instant, vous sentez la brûlure de l’ongle enfoncé dans la peau qui trace son chemin,
    comme une charrue qui laisse un sillon derrière lui
    mais si vous êtes dans les bonnes conditions d’excitation,
    cela se transforme quasi instantanément en plaisir intense,
    les nuances ainsi, sont toujours tellement épicée, tellement poivrée,
    résolument différente, de ce qu’on peut obtenir avec des caresses

    surtout les ongles griffant que j’aimais,
    vraiment comme des patineurs dansant sur la glace, je parcourais,
    il y a aussi moyen de bien alterner cela avec des caresses, d’une manière totalement fluide

    quand je pratiquais ainsi, je me rappelle,
    j’avais certains jours, certaines parties du corps entièrement couvertes de griffures
    et de rougeurs des pincements,
    c’était assez impressionnant quand je voyais cela dans la glace

    mais aussi, je me rappelle de certains super O où je tombais du lit,
    où je continuais à orgasmer par terre, rebondissant comme un kangourou apoplectique,
    me cognant à la table de nuit, aux pieds du lit,
    j’avais des bleus après un peu partout

    j’aime cela les corps à corps, l’amour, c’est parfois une lutte,
    il ne faut pas avoir peur de se faire un peu mal,
    pour pimenter ses séances

    le truc, c’est de bien se laisser aller, le phénomène de dérèglement ainsi, s’aggrave encore,
    il ne faut pas avoir peur, rien ne va nous arriver, rien de mauvais, en tout cas,
    surtout pas se raidir, essayer de changer le cours des choses
    car, bien sur, cela va s’arrêter net
    mais si on persiste bien dans l’attitude de laisser faire totalement,
    de bien se laisser porter par tout ce qui arrive, aussi violent que ce soit,
    on se rend compte que le plaisir est bien toujours là
    mais c’est comme si on était dans un shaker, ça secoue dans tous les sens,
    ce n’est pas désagréable, c’est différent, c’est un peu comme si on avait une armée de tamtam
    battant le rappel dans notre sang,
    c’est extrêmement sauvage, carnassier,
    on est dans la gueule du tigre pour quelques instants, j’adore cela

    ces orgasmes allant avec l’éjaculation, en mode yin,
    arrivent chez moi quand le corps décide,
    il n’y a rien pour me pousser artificiellement à avoir envie de me vider,
    rien qui y incite avant l’heure, étant donné que je ne regarde jamais de porno,
    je ne voudrais pour rien au monde perturber ce cycle naturel de montée en puissance
    où je sens chaque matin que mes réserves d’énergie sont de plus en plus débordantes, explosives,
    les sensations deviennent tellement précises, tellement fines, au moindre contact
    puis après quelques jours, le corps décide que c’est le moment,
    alors à un moment donné, le tremblement de terre délicieux arrive,
    me secoue pendant une trentaine de secondes, jusqu’à une minute, dans les bons jours

    je me laisse aller, cela se dérègle de plus en plus,
    j’ai l’impression de ne plus être qu’un pantin désarticulé, secoué dans tous les sens,
    le plaisir est comme un entrepôt de de stockage de dynamite, qui a pris feu,
    les orgasmes basés sur des ondes prostatiques sont moins violents, me font monter plus haut,
    je les préfère bien sûr
    mais un comme cela, tous les 5, 6 jours, cela fait vraiment du bien,
    cela débouche toute la tuyauterie
    et puis je sens mes couilles bien vidées,
    le cycle va pouvoir recommencer

    #41312
    bzo
    Participant

    hier dans la nuit, juste avant de m’endormir,
    je me suis décidé à me masturber à l’ancienne,
    la bonne vielle méthode manuelle, à la force du poignet

    aucune envie spéciale de le faire,
    je venais juste d’éjaculer dans le cours de ma pratique en mode yin, quelques heures plus tôt,
    le texte que j’ai écrit juste au-dessus de celui-ci, le relate d’ailleurs,
    juste une soudaine curiosité,
    cela faisait des années que je ne l’avais plus fait,
    un plaisir pénien en mode yang, bien basique

    donc le projet aussitôt conçu dans ma tête, aussitôt mis en pratique,
    je me saisis de l’engin, du petit bout bien mou, bien flasque
    qui pendouillait placidement, qui ne s’attendait certainement pas à cela,
    depuis le temps que je l’avais embarqué dans des aventures de bien d’autres types,
    je le cajolais, je le pressais jusqu’à ce qu’il prenne de la consistance,
    suffisamment pour commencer des mouvement de va et vient dessus,
    là, j’alternais, tantôt des petits mouvements circulaires, rien qu’autour du gland,
    tantôt toute la hampe, du va et vient, accélérant, ralentissant, pressant un peu, etc.
    jusqu’à ce que le plaisir devienne de plus en plus fort
    et qu’enfin, qu’arriva ce qui devait arriver

    j’ai obtenu une belle intensité, ma foi, rien à dire, c’était bon,
    mais qu’est-ce que c’était horriblement court,
    c’est plus frustrant qu’autre chose,
    quand on a déjà connu d’autres façons d’obtenir de bons moments
    qui font durer, varier, les sensations

    il faut vraiment ne pas être au courant
    et à l’ère de l’internet, ce n’est plus vraiment une excuse pour le mâle occidental,
    sans doute dans d’autres régions du monde, avec toutes les limitations,
    pauvreté extrême, interdits religieux, etc, c’est autre chose

    je n’évoquerais même pas le plaisir de type anal ou prostatique
    car là, on tombe directement sur un tabou encore bien présent, le genre “hé, je ne suis pas un pédé, moi!”
    mais même en restant dans du plaisir pénien en mode yang,
    on a toutes sortes de pratiques qui permettent d’obtenir déjà quelque chose de plus élaboré, de plus riche,
    qui dure bien plus longtemps,
    je pense à l’électrostimulation, par exemple ou bien, encore mieux, aux pratiques d’edging genre Mantak Chia

    il s’agit juste faire preuve de curiosité et d’audace,
    à partir du moment où l’on n’a pas accès au sexe avec partenaire,
    pour s’offrir en solitaire un plaisir plus élaboré, plus satisfaisant, plus prolongé,
    plutôt que ces quelques secondes à se secouer le prunier face à des images pornographiques sur internet
    ou même juste aux toilettes, sans rien

    une éducation sexuelle réactualisée,
    qui informe les gens de l’existence de ces pratiques, leur transmet l’idée qu’il n’y a rien de mal à cela,
    que c’est même une excellente chose de vouloir s’offrir du bon temps avec soi-même, de manière plus organisée, plus gratifiante,
    serait sans doute une clef

    #41313
    bzo
    Participant

    arf, je n’ai pas pu terminer d’éditer le précédent texte,
    voilà:

    hier dans la nuit, juste avant de m’endormir,
    je me suis décidé à me masturber à l’ancienne,
    la bonne vielle méthode manuelle, à la force du poignet

    aucune envie spéciale de le faire,
    je venais juste d’éjaculer dans le cours de ma pratique en mode yin, quelques heures plus tôt,
    le texte que j’ai écrit juste au-dessus de celui-ci, le relate d’ailleurs,
    juste une soudaine curiosité,
    cela faisait des années que je ne l’avais plus fait,
    un plaisir pénien en mode yang, bien basique

    donc le projet aussitôt conçu dans ma tête, aussitôt mis en pratique,
    je me saisis de l’engin, du petit bout bien mou, bien flasque
    qui pendouillait placidement, qui ne s’attendait certainement pas à cela,
    depuis le temps que je l’avais embarqué dans des aventures de bien d’autres types,
    je le cajolais, je le pressais jusqu’à ce qu’il prenne de la consistance,
    suffisamment pour commencer des mouvement de va et vient dessus,
    là, j’alternais, tantôt des petits mouvements circulaires, rien qu’autour du gland,
    tantôt toute la hampe, du va et vient, accélérant, ralentissant, pressant un peu, etc.
    jusqu’à ce que le plaisir devienne de plus en plus fort
    et qu’enfin, qu’arriva ce qui devait arriver

    j’ai obtenu une belle intensité, ma foi, rien à dire, c’était bon,
    mais qu’est-ce que c’était horriblement court,
    c’est plus frustrant qu’autre chose,
    quand on a déjà connu d’autres façons d’obtenir de bons moments
    qui font durer, varier, les sensations

    il faut vraiment ne pas être au courant
    et à l’ère de l’internet, ce n’est plus vraiment une excuse pour le mâle occidental moyen,
    sans doute dans d’autres régions du monde, avec toutes les limitations,
    pauvreté extrême, interdits religieux, etc, c’est autre chose

    je n’évoquerais même pas le plaisir de type anal ou prostatique
    car là, on tombe directement sur un tabou encore bien présent, le genre “hé, je ne suis pas un pédé, moi!”
    mais même en restant dans du plaisir pénien en mode yang,
    on a toutes sortes de pratiques qui permettent d’obtenir déjà quelque chose de plus élaboré, de plus riche,
    qui dure bien plus longtemps,
    je pense à l’électrostimulation, par exemple ou bien, encore mieux, aux pratiques d’edging genre Mantak Chia

    il s’agit juste faire preuve de curiosité et d’audace,
    à partir du moment où l’on n’a pas accès au sexe avec partenaire,
    pour s’offrir en solitaire un plaisir plus élaboré, plus satisfaisant, plus prolongé,
    plutôt que ces quelques secondes à se secouer le prunier face à des images pornographiques sur internet
    ou même juste aux toilettes, sans rien

    une éducation sexuelle réactualisée,
    qui informe les gens de l’existence de ces pratiques, leur transmet l’idée qu’il n’y a rien de mal à cela,
    que c’est même une excellente chose de vouloir s’offrir du bon temps avec soi-même, de manière plus organisée, plus gratifiante,
    serait vraiment une bonne idée

    mais cela ne se fera sans doute jamais
    car a-t-on vraiment besoin de gens qui prennent soin d’eux-mêmes,
    de leur satisfaction sexuelle, qu’elle soit un peu plus épanouissante, plus riche?
    comme dans d’autres domaines, dans nos sociétés d’exploitation de l’homme par l’homme,
    la réponse est non, mille fois, non

    l’homme qui se vide les couilles en quelques secondes pour se soulager, suffit amplement,
    un homme qui commence à se poser des questions, qui prend soin de lui-même,
    qui pratique tout un artisanat, un art même pour trouver toutes sortes de satisfactions,
    qui se cultive, qui lit des livres,
    ne doit pas devenir une généralité, la norme mais rester une exception
    car cela fait des gens moins corvéable, moins rentable,
    des gens qui se remettent en question, qui se posent des questions, attendent des réponses,
    qui acquièrent de la culture, de la lucidité, de la sensibilité,
    qui deviennent exigeants sexuellement,
    tout cela qui passe mal avec les règles basiques de l’exploitation de l’homme par l’homme

    #41330
    bzo
    Participant

    les joujoux de la marque Aneros sont toujours livrés dans de superbes boîtes noires, très classe

    j’ai gardé celles des deux derniers que j’ai acquis,
    le Vice 2 et puis le Helix Trident que je me suis acheté par erreur
    mais que j’ai finalement gardé

    par contre avant, je ne sais pas pourquoi j’ai fait cela,
    les autres de la gamme que j’ai achetés,
    il y a bien plus longtemps, au début, dans la première année,
    un Progasm, un Progasm Junior, le Vice 1 et l’ancien Helix,
    non, j’ai tout de suite balancé leur boîte à la poubelle

    je le regrette bien, c’est comme un écrin pour ces petits bijoux du plaisir
    dans lequel ils peuvent dormir tranquillement à l’abri de la poussière et de la lumière,
    en attendant qu’on les remette en service
    pour éveiller des délicieux orages en nous

    j’aurai adoré voir ces boîtes alignés les unes sur les autres, bien sagement
    avec leur cargaison explosive, dans le ventre de ma table de nuit,
    cela devient à chaque fois que je m’apprête à m’en servir d’un,
    même si c’est assez rare ces derniers temps,
    comme un petit rituel,
    certains ont une bible à côté de leur lit,
    ils le prennent de temps à autre pour en lire quelques pages,
    gardent un instant l’épais livre entre leurs mains, avant de l’ouvrir
    comme s’ils portaient toute leur foi à bout de bras,
    s’apprêtaient à la sortir de son nid pour la faire voler un peu

    moi, je sors une de ces boîtes de ma table de nuit,
    j’en ouvre lentement les deux battants aimantés qui forment couvercle
    comme on ouvre un livre sacré du plaisir,
    l’engin encore endormi se révèle, tout enveloppé dans sa couche de plastique sur mesure,
    je l’en extrais, le dirige vers le tube de lubrifiant,
    verse dessus quelques gouttes que je répands bien sur toute sa surface,
    en met aussi avec le doigt dans mon anus
    et déjà voilà, le masseur, tel un obus chargé entre mes doigts
    qui se dirige vers l’anfractuosité entre mes fesses qui l’attend,
    qui a hâte de l’engloutir, de le sentir glisser, de le sentir frotter

    vole, vole, petit Aneros, vole parmi les chairs, affole les nerfs,
    dérègle autant que tu peux, fais-lui en voir de toutes les couleurs,
    des vertes et des pas mûres,
    qu’il en ait pour son argent, qu’il ait le fondement en feu,
    le bassin comme la bouche d’un volcan,
    qu’il s’agite comme un possédé et gémisse de toutes ses entrailles
    jusqu’à ce que la jouissance le secoue sans relâche, encore et encore

    #41342
    bzo
    Participant

    la forêt nous offre un miroir de ce qu’il y a en nous,
    le bruissement des feuilles a des résonnances lointaines,
    regarder vers le haut parmi cette mer de branches,
    c’est une occasion de plonger au plus profond de soi-même

    tel un plongeur en apnée, je m’élance vers l’avant,
    il y a un océan devant mes yeux, je le sens de plus en plus,
    il a autant de mètres de profondeur que ce qu’il y a en nous

    une grande danse s’organise de branche en branche,
    les oiseaux comme des électrons libres, n’en font qu’à leur tête,
    leur chant, en contrepoint du silence, colore de sons, la forêt

    regarder l’étang avec ses roseaux, ses canards,
    tout semble tellement paisible par ici et hors du temps,
    tous font pourtant partie du cycle,
    fort de mes énergies, de ma pompe avec laquelle je peux faire appel à eux,
    j’ai bien l’intention de me connecter au mystère de la forêt, un jour,
    juste l’impression qu’il faut prendre son temps,
    cela tombe bien, dans 3 ans et demie, je suis à la retraite,
    je me vois bien venir par ici, quasi tous les jours,
    faire mes dix kilomètres, faire le tour de ces étangs, de ces deux vallons avec leur maigre ruisseau,
    essayer de participer à la fête silencieuse,
    m’y plonger corps et âme

    déjà maintenant quand je m’immobilise au milieu de tout cela,
    le silence semble devenir tellement épais,
    comme je l’ai déjà écrit, semble comme annuler la distance entre la forêt et moi,
    il suffirait de continuer, de pousser en avant, quelque chose se passera, une sorte de contact,
    la révélation peut-être d’une harmonie sauvage bouleversante qui anime la forêt à tout instant
    et qu’il y a moyen d’accrocher avec les yeux,
    de s’en laisser imbiber, de s’en laisser envahir

    on va voir,
    déjà maintenant, constamment quand je marche parmi les grands arbres centenaires,
    je baigne dans une sorte d’extase douce, d’extase légère, tout à fait délicieuse,
    c’est tellement ressourçant, un bain de jouvence

    s’il n’y avait pas ces 45 minutes aller et autant pour le retour,
    enfin je préfère quand même rester habiter dans l’archi-centre,
    là où cela grouille de gens et d’évènements,
    les banlieues me semblent comme des cimetières question ambiance, pour un célibataire,
    en couple, surtout avec des enfants, c’est déjà tout à fait différent,
    les besoins sont différents

    #41350
    bzo
    Participant

    très excité à nouveau toute la matinée, tout en travaillant,
    enfin essayant du moins…

    assis devant mon écran, ma tête essayait de se concentrer sur le code
    et puis tout mon bassin, bougeait, ondulait, remuait, presque malgré moi
    mes cuisses venaient se frotter allègrement contre mes génitaux
    et puis je faisais monter aussi, bien sûr, des contractions

    avantage de pouvoir être en télétravail, tout nu devant son écran,
    juste faire attention de ne pas allumer accidentellement la webcam,
    comme cela m’est arrivé une fois,
    heureusement je n’étais pas en action
    et puis la table cachait ce qu’il faut cacher entre collègues quand on est au travail
    sauf si on est des acteurs tournant un porno

    assez régulièrement, je n’en pouvais plus, il m’en fallait plus,
    alors je me levais et me mettais sur le bord de la table, un peu appuyé dessus
    et puis montait et descendait, appuyant les bras derrière,
    comme m’empalant, comme chevauchant, dansant lubriquement, sans retenue, avec mon bassin,
    un coït très fougueux, de plus en plus en rut,
    c’est tellement sublime, toute cette animalité qui s’exprime,
    j’aime sentir toute cette sauvagerie, ce rusch dans le sang et les membres,
    l’envie de me prendre, de me défoncer et d’être défoncé aussi, bien sûr, en même temps
    toujours cette délicieuse ambivalence dans le bassin, en même temps, mâle et femelle
    oh mes amis, comme c’était bon!
    sentir toute sa chair se transformer en lave en fusion comme une marée qui monte au galop

    comme je l’ai déjà décrit, dans cette position, j’arrive superbement à manipuler
    tous les muscles de la zone de l’anus, des génitaux et du périnée
    et jambes écartées, la plupart du temps,
    c’est uniquement avec des ondes prostatiques que je m’envoyais en l’air,
    la jouissance vient rapidement, elle est tellement puissante,
    j’ai les yeux qui se révulsent, suis comme plongé dans un aquarium de chaleur très dense, ondoyante,
    mon sexe se dresse un peu,
    il y a aussi un peu d’ondes génitales avec les mouvements et les quelques frottements involontaires

    dans ces moments, j’ai cette sensation tellement puissante
    que j’ai depuis un certain temps très régulièrement
    que toute la zone de l’anus, des génitaux, du périnée,
    que tout cela est comme uni, soudé, d’un seul bloc,
    parcourue par une densité très forte d’ondes dans tous les sens

    la zone semble comme un ruche bourdonnante de vibrations
    et la moindre tension musculaire que je change désormais,
    me fait hurler,
    mon sexe se raidit encore un peu plus,
    les ondes semblent aller et venir dedans, je les sens tournoyer à l’intérieur,
    se ruer dans une direction puis dans l’autre, un peu comme un vol d’étourneaux dans le ciel,
    comme cela frotte, comme cela picote,
    des millions de petites pattes toutes douces qui courent, qui dansent,
    tantôt dans le désordre le plus complet, tantôt comme s’elles défilaient en rangs serrés, se pressant

    je me caresse un peu les seins, les pointes sont bien dures, je joue avec,
    des ondes du bassin semblent se ruer immédiatement vers le haut, comme attirées,
    pour aller à la rencontre de celles générées dans ma poitrine,
    elles font jonction rapidement, une autoroute de circulation semble s’établir,
    cela roule très régulièrement maintenant dessus,
    impression de Cadillac roulant à une vitesse de croisière
    pendant les quelques instants où je bouge à peine,
    juste titillant la pointe de mes seins
    et dégustant tranquillement toutes les nuances générées, quasi sans bouger

    bon, temps de retourner à mon code,
    oh mon sexe goutte à nouveau, je sens le haut d’une cuisse tout humide,
    je descends un doigt sur le gland, essuie avec, le liquide un peu collant fraîchement sorti,
    le lèche, recommence plusieurs fois le manège,
    bon, allons-y,
    mon gagne-pain m’attend

    #41357
    bzo
    Participant

    en mode yin,
    le mouvement est le plaisir,
    le geste est le plaisir,
    la posture est le plaisir,
    cambrer les reins, est le plaisir,
    se déhancher, est le plaisir,
    écarter les cuisses, est le plaisir,
    les resserrer, est le plaisir,
    bouger les fesses, est le plaisir,
    frotter les cuisses sur les génitaux, est le plaisir,
    les contractions, est le plaisir

    en mode yin,
    le dialogue avec son corps, est le plaisir,
    sa proximité, est le plaisir,
    communier avec lui, est le plaisir

    #41370
    bzo
    Participant

    percevoir son corps d’énergie,
    c’est percevoir un instant la vérité de cette chair

    aussi fugace que ce soit, aussi fébrile, aussi capricieux,
    les lois d’airain qui nous régissent en ce monde,
    ont été un instant levées,
    cela suffit pour entrevoir, pour comprendre,
    que quand bien même, les bâtiments tout autour, seront encore en place, bien après notre mort,
    un instant, nous auront été dépositaires de ce qu’il y a de plus intangible, de plus immémorial, ici-bas
    d’une incandescence, d’une vibration
    qui peut s’élever comme une flamme sacrée

    j’ai dansé dans l’instant, vibrant comme du cristal,
    le chant montait de toutes parts,
    cet instant me suffira pour toujours,
    ultime refuge ici-bas,
    la rondeur d’un plaisir parfait, brûlant soleil de douceur

    #41377
    Caktil
    Participant

    Bonjour @bzo,
    J’aimerais te dire merci car dernièrement, au cours de mes sessions avec masseur, je me suis inspiré de tes récits où tu décris la “manipulation” ton sexe avec les cuisses.
    Ma position préférée est sur le dos avec les jambes relevées. Au cours de mes dernières séances, à presque chaque érection, j’ai coincé une partie plus ou moins grande de mon pénis en érection entre mes deux cuisses. C’est délicieux ! Les ondes de plaisir prostatique se mêlent aux ondes de plaisir pénien et propulse mes orgasmes encore plus haut. J’ai aussi parfois l’impression que mes cuisses forment un vagin enserrant mon membre palpitant. Je m’imagine savoir encore un peu mieux ce que peux ressentir une femme lors de la pénétration.
    Bref, ce nouveau jeu m’excite beaucoup et améliore encore un peu plus mes séances. Et je le dois à la lecture de tes aventures, merci !

    #41379
    bzo
    Participant

    cela fait plaisir que d’autres découvrent ce type de plaisir si particulier,
    autant le geste de toucher son sexe avec les doigts, est profondément yang,
    autant avec les cuisses, le yin immédiatement accourt
    et on peut ainsi vivre d’incessantes vagues de volupté aux nuances sans cesse changeantes

    eh oui, entremêler les ondes prostatiques et génitales, c’est un délice de chaque instant,
    les ondes anales sont aussi le bienvenu, on peut aller les chercher de temps à autre,
    sans aucune peine avec un doigt ou deux,
    effet explosif garanti

    #41399
    bzo
    Participant

    goûter une totale complicité avec son corps,
    c’est vivre le désir entièrement à son rythme,
    plus à celui d’une frénésie de surface,
    menée par notre intellect

    c’est souvent lent, très lent même,
    comme si la lenteur permettait à la chair de s’ouvrir magnifiquement,
    aux caresses, de ne rien rater du grain de la peau,
    aux contractions de presser là il faut, quand il faut, comme il faut,
    aux gestes et aux mouvements, d’avoir une précision chirurgicale
    tout en restant spontanés mais comme réfléchis par le corps

    là, par exemple, juste avant que je me mette à écrire ce texte,
    j’étais debout devant mon écran, pendant de longues minutes, je lisais
    et en même temps je me caressais tranquillement,
    plus bas, mes génitaux avec mes cuisses, étaient tout à leur manège habituel
    et puis je contractais aussi régulièrement des muscles,
    dans la région de l’anus, du périnée,
    pour sentir des ondes s’élancer de ma prostate

    tout tournait lentement, comme au ralenti quasi pour bien tout sentir,
    avec de soudaines accélérations comme d’éphémères pur-sang jaillissant de leur enclos,
    l’instant semblait se disséquer en multiples couches,
    les sensations s’étiraient,
    semblaient se presser jusqu’à la dernière goutte de nuance en elles

    j’étais là debout faisant tout cela distraitement,
    la lecture et puis le dialogue intime avec mon corps,
    occupait chacun tour à tour le devant de la scène,
    la cohabitation était sans heurts, machinale, maximale,
    mes yeux parcouraient les phrases, mes doigts parcouraient les seins,
    je bougeais mes hanches lascivement,
    mon sexe et mes couilles, étaient chauds, duveteux, tout contre la peau de mes cuisses,
    la volupté semblait en couler continuellement comme d’une éponge qu’on presse

    tout cela formait un ensemble vraiment étonnant,
    je me suis rendu compte à un moment donné,
    je veux dire, il me paraissait tout à fait normal, tout à fait naturel,
    de faire les deux occupations en même temps, rien de singulier là-dedans,
    tantôt pris par le travail intellectuel de suivre les mots, d’en déchiffrer le sens,
    de changer de page sur le site que je visitais,
    tantôt fermant les yeux ou même pas, juste me laissant emporter quelques instants,
    dégustant par gorgées, les nuances des sensations qui s’étaient éveillées

    il n’y avait pas de temps mort, d’enchaînement mal négocié,
    je passais de l’un à l’autre sans aucun problème,
    c’était un peu de la haute voltige malgré tout
    mais sans aucun accroc, tout s’enchaînait comme il faut

    le travail de lecture et l’action de jouer avec mon corps,
    s’accordaient parfaitement,
    mon intellect habitué, ne cherchait pas à s’immiscer ailleurs
    que dans ce que je lui demandais de faire
    et mon corps semblait s’accommoder qu’à d’autres moments,
    je retournais pour continuer la lecture

    il y a un rythme profond qui ouvre toutes les portes en nous
    c’est comme un sésame, le désir n’a plus qu’à s’élancer,
    les sensations naissent comme des tapis de fleurs et disparaissent

    laisser faire, servir de relai, agir sans savoir, où, quand, comment,
    le corps en retour, se charge de la transmutation,
    juste être là, à son service et lui, en retour, totalement au notre,
    se soumettre l’un à l’autre, agir l’un pour l’autre

    étape ultime, respecter ce rythme qui pulse sourdement dans nos profondeurs
    un souffle de gouffre, déployer la voile la plus légère sur le pont,
    la laisser s’élever tranquillement comme un papillon de nos mains,
    avancer tout doucement, tout doucement

    s’emballer sans rien retenir quand le sang le commande,
    lâcher les chevaux pour le crescendo des gémissements de la bien-aimée
    la balance du fond du bassin, là où il y a les saletés qui s’accumulent,
    c’est là qu’il y a le la du clapotis,
    la main discrète de l’océan

    le moindre geste, le moindre mouvement, la moindre posture,
    semblent trouver l’accord intime dans le moment,
    les sensations fusent précises, claires, optimisées,
    du cristal nait directement avec un éclat de soleil dedans,
    avec de la lumière vibrante enveloppant un arc en ciel

    notre chair, comme une source de haute montagne,
    résonne joyeusement

    #41400
    bzo
    Participant

    tant que vous ne sollicitez qu’une source,
    votre prostate ou vos génitaux, par exemple,
    vous n’aurez pas ce problème
    mais si vous cherchez à faire intervenir plusieurs acteurs en même temps,
    disons, votre prostate et à vous caresser aussi,
    il faut absolument parvenir à obtenir une collaboration, un dialogue

    sinon, ils entreront en concurrence,
    c’est comme une loi naturelle de cette jungle en nous,
    tout ce qui ne collabore pas, tout ce qui ne dialogue pas,
    entre en concurrence

    #41401
    bzo
    Participant

    oh mon corps, comme c’est gentil,
    je sors à peine des bras de Morphée
    pour me retrouver entre les bras de la volupté directement,
    deux, trois mouvements ont suffi,
    quel passage en douceur, sans entraves, soyeux

    je sens tellement de similitudes entre ces deux mondes en nous,
    parfois j’ai l’impression que la seule différence,
    c’est qu’on entre dans le royaume des rêves par une porte dans notre esprit,
    alors que le royaume de la volupté, de la jouissance,
    on y accède par une porte dans notre corps

    mais quand je dors, quand je rêve,
    je sens la présence de mon corps aussi partout, il est omniprésent sous une forme ou une autre,
    et vice et versa, quand j’exulte charnellement, quand les chevaux sont libérés,
    quand je suis en roue libre, emporté par un torrent de soie,
    je sens les forces secrètes de mon esprit, qui sont là, qui m’accompagne,
    je pense à l’imagination avant tout, c’est la partie immergée de l’iceberg, dans notre tête,
    je la sens collaborer étroitement avec mon corps durant l’action

    dans les deux, les lois d’airain de ce monde, de cette réalité, n’ont plus cours,
    on est libre, désenclavé pour quelques instants,
    j’ai eu durant ma période prostatique,
    des sortes d’extase prolongée avec des hallucinations très puissantes,
    plus j’y repense, plus je vois cela
    comme des rêves qui sont passés un instant dans ma chair

    c’est d’ailleurs pour cela,
    que je veux aussi retrouver une pratique prostatique en mode yang comme par le passé ,
    en parallèle de ma pratique actuelle en mode yin,
    revivre de ces moments si spéciaux, à la magie si singulière,
    plus que pour enchaîner des orgasmes à la queue leu leu

    #41403
    loulounet
    Participant

    …Oh mon bzo que tes textes me portent…me touchent, me parlent…m’exitent…..tes conseils aussi, judicieux….”à ta place, je ne me toucherais pas la queue pendant tes délirs Yin…”
    Hier et ce matin, j’ai senti un nouveaux paliers franchi que je veux vous raconter
    D’abord le contexte : 10 jours maintenant que j’ai découvert Aneros, ce forum ect….avec essais prometteurs qui me ravissent…je sais que ce sera lent car je suis impatient mais c’est ok avec ça…là je suis à la campagne en we familial chez ma belle mère avec mon mec ,( beaux freres belles soeurs, neveux nèces ect…)- que je ne fais pas participer pour l’instant à ma recherche sur les plaisirs prostatiques Yang ou Yin…Le contexte aussi est que grâce au forum, j’ai découvert la méthode de Crimsonwolf : https://www.aneros.com/community/general-discussion/the-crimsonwolf-method-prewiring-and-the-confident-boomerang/ , methode en gros de relaxation très profonde et ou on bannit ensuite les contraction annales volontaires, et ou on ne fait que des contractions pc très petites…et on “laisse faire le corps qui sait mieux que nous comment jouir ect…
    Bref, hier, dès les premiers ronflements de mon amoureux à coté de moi, dans le lit, j’ai entrepris d’expérimenter cette contraction légère de mon pc à l’expire, puis relax à l’inspire, puis recontraction légère à l’expire ect….et surtout d’être comme un observateur…ne rien vouloir…juste me relaxer avant de dormir
    Les grosses bouffées de plaisir sont venues dès la première contraction légères de mon pc…puis je détendais à l’inspire, et rebelootte, recontraction légère à l’expire avec grosse bouffée de plaisir dans tout le corps avec en plus mes muscles du rectum et de l’anus qui se “contractent” sans leur avoir demandé…
    au bout de quelques minutes de ces vagues de plaisir qui venaient et s’en allaient, comme j’inspirait de nouveaux relax, mon pc lui a commencé à bouger tout seul ainsi que mon rectum…pendant bien trentes secondes…je m’efforcais d’être observateur, de laisser mon corps faire, comme si je disait à mon corps vas y, c’est toi qui à la main.
    Au bout des trentes secondes, je me suis relaxé, les muscles du bassin se sont détendus par eux même, j’ai inspirer relax profondément, et a à l’expir suivant, en pensant juste à contracter doucement (10%) mon pc, de nouveaux tout s’est emballé de façon autonome…et je me disais “ne fait rien, observe juste observe…et plus je me disait ça, plus mon corps faisait ça tout seul…mon muscle pc bougeait tout seul, mon rectum “pulsait tout seul, mon trou du cul était en feu, j’avais des sensation délicieuses dans ma bite qui mouillait beaucoup mais sans bander…je ne la touchais pas…PUTAIN QUE C’ETAIT BON!!!..parce que ça durait…durait..peut être deux minutes où ça bougeait tout seul dans mon cul….et ou je me disait “n’intervient pas”…laisse faire…non mais quel bonheur!….j’ai pensé aussi à des images “cochonnes”…deux mecs qui se bouffent le cul (je suis …gay…hi hi) ce qui activait relançait beaucoup mon désir…après deux minutes, relax générale, le temps d’une respiration profonde, d’une “légère” contraction volontaire toute petite et lente de mon pc , et hop reparti pour deux longues minute de spasmes dans mon cul, de ma prostate comme “qui chauffe’ et durci, se contracte…de deux minute en deux minute, ça a duré 1 heure…J’ai réalisé que je ne me posait pas la question du degré d’orgasme…surement un mini O, mais peu importe, c’était nouveaux pour moi, plus fort, plus “cochon”, et où mon esprit analytique était comme juste observateur, témoin de mon corps qui savait tout seul comment faire…c’était mon corp le boss, je pense que je ne me suis pas totalement abandonné car …ben je n’était pas seul au pieux et je ne voulais pas réveiller mon mec….j’ai dormi…heureux..contenté…je ne peux pas ecrire le mot de comblé..on verra plus tard (j’espère…lol)
    Ce matin, j’ai dormi plus tard que la maisonnée et au réveil….ben…j’ai remis ça whaaa..que c’etait bon…moins longtemps, mais les mini orgasme de 2 minutes ont démarré tout de suite…j’ai eu aussi…je me suis autorisé à laisser des spasme plus grands jaillir tout seuls…a avoir même des petits cris..
    Puis j’ai rejoins les autres au bout d’une demi heure, d’ultra bon humeur, AVEC les autres…..tout ça m’avait vraiment rendu encore plus guilleret que d’habitude….café…j’étais comme “fier” d’avoir lâché…enfin, d’avoir commencé à lâché…et d’avoir éprouvé des plaisirs nouveaux…des nouveaux plaisirs….prometteurs de plaisirs bien plus nouveaux et prometteurs..
    mais ce n’est pas tout…
    Dans la matinée…je suis allez pisser aux toilette de la maison…et là… une envie de me déshabiller…de me toucher…de me caresser en mode Yin…tes textes bzo me revenait en mémoire..et me voilà parti pour une session aneroless en mode Yin…à un moment (tu vas rire) je me suis dit :”fait chier, bzo, je peux quand même bien me branler la bite…! (dans un précédent post, bzo m’avait déconseillé de le faire si je voulait experimenter à fond le mode Yin)” et vas y que je m’astique la queue tout en me tremoussant debout…et puis je me suis dit : “t’es con, lâche ta bite, avec ce que tu as vécu cette nuit, experimente…et j’ai arrété de me masturber…ai essayé de toucher mes couilles et m queue avec mes cuisses ..un moment j’ai pensé que ça devait être cocasse, je devais avoir l’air d’un héron une jambe levée comme ça pour toucher “mes génitaux ” comme tu dis, et puis j’ai recommençé mes cycle de contractions légères de mon pc et des mini orgasme longs de 2 minutes…quel pied….!!!! seulement là, clairement, j’étais en mode yin (contrairement à la nuit précédente), je ne pensais pas à des ébats homo de pénétration, je me surprenait, comme j’étais debout, à avoir des positions lascives, à me toucher les seins, à tendre mon anus en arrière comme cherchant à “happer” le monde, le monde des bites surement, mais c’était pas si clair…à un moment, à quattre patte, les fesses ouvertes pendant un de ces mini orgasmes de 2 minutes…j’ai vu du precum couler de ma bite en gros fils et gouttes gluant….putain ce que ça m’a excité!!! là pour la première fois, j’ai eu des images de femmes fontaines….(je pense pas être bi…mais les video porno de femme fontaine m’ont toujours exitées, surtout quand ces flots liquides sont déclenché grace à la présence d’un garcon bien sûr…)à un moment j’ai eu un flash avec la vison d’Adam et Eve nus (le tableau de Rubens)….et ou moi même, j’étais à la fois Adam et Eve…
    quelle bonheur…non mais quelle bonheur tout ces plaisirs variés…quelle richesse…Merci si cher forum
    Merci bzo
    Je t’aime mon hétéro fantasque et libre , merci de toi…

    #41414
    bzo
    Participant

    10 jours maintenant que j’ai découvert Aneros, ce forum ect….avec essais prometteurs qui me ravissent

    pour quelqu’un qui n’a que dix jours derrière lui,
    je peux t’assurer que tu as déjà sacrément progressé,
    tu fais partie des chanceux pour qui cela vient presque tout seul

    .j’ai pensé aussi à des images « cochonnes »…deux mecs qui se bouffent le cul (je suis …gay…hi hi)

    on dirait que tu ne fais pas encore assez confiance à ton corps et à l’excitation qu’il peut générer,
    il n’a pas besoin d’un coup de pouce, tu es trop impatient, tu veux monter trop vite, prends ton temps, déguste,
    rien de plus délicieux, qu’un crescendo très progressif

    nul besoin de fantasmer, comme nul besoin de regarder du porno,
    je ne dis pas qu’on ne peut pas obtenir des résultats ainsi,
    je dis juste que c’est un peu comme de mettre de l’eau dans son vin
    et c’est dommage quand on a ton potentiel,
    aucun besoin de le faire,
    cela irait aussi sans,
    sois plus patient, apprends à déguster au lieu de t’en mettre plein la bouche le plus possible, à toute vitesse,
    tu en mets la moitié à côté comme cela

    tu as encore une série d’habitudes de ton plaisir en mode yang à perdre
    pour pouvoir goûter optimalement au plaisir prostatique,
    ainsi qu’au mode yin

    un moment j’ai pensé que ça devait être cocasse, je devais avoir l’air d’un héron une jambe levée comme ça pour toucher « mes génitaux » comme tu dis

    tout à fait, debout, n’est effectivement pas la position la plus facile pour ce jeu-là,
    il faut être particulièrement patient et avoir déjà de l’expérience avec,
    mais les frottements, les contacts, ne doivent pas être ultra-puissants,
    bien sûr, moi j’ai la sensibilité de mes génitaux particulièrement développée,
    au moindre contact et juste un effleurement, suffit déjà
    à envoyer des vagues de volupté dans toutes les directions
    mais en tout cas, il n’est pas nécessaire que ces contacts soient forts,
    même pas au début,
    accepte le plaisir ne soit pas immédiatement là,
    juste frotte tes couilles, ton sexe, avec tes cuisses un peu, presse-les sans appuyer très fort,
    pas besoin de faire de l’auto-tamponneuse avec, de les pilonner comme avec un bélier

    vois cela, comme une danse entre tes génitaux et tes cuisses,
    une danse lascive, un tango sensuel l’un contre l’autre,
    c’est dans cet esprit que les contacts doivent se faire,
    des frottements sensuels, des effleurements, des petites pressions,
    parfois un peu plus fort
    mais en aucun cas, il faut y aller très fort

    coucher, assis, c’est plus facile, j’aime énormément, un peu appuyé contre une table aussi
    avec les bras en arrière qui me soutiennent,
    là avec les cuisses écartées, on est splendidement positionné pour effectuer des contractions très efficace,
    avec les muscles autour de l’anus et du périnée

    je me surprenait, comme j’étais debout, à avoir des positions lascives, à me toucher les seins, à tendre mon anus en arrière comme cherchant à « happer » le monde

    hé hé , je connais bien tout ça, le yin quand il prend possession de nous, quand il se déchaîne,
    nous fait faire des trucs, hum… pas très catholique, pas très mâle…

    le tableau de Rubens

    ah Rubens, très certainement , mon peintre classique préféré,
    quel sensualité, quel amour de la vie,
    j’aime surtout ses dessins, ses esquisses, qui sont des splendeurs absolues

    #41415
    bzo
    Participant

    et puis je reprécise encore,
    toujours bien combiner ce jeu langoureux des cuisses avec les génitaux
    avec des contractions volontaires,
    alterner, mêler, tantôt plus d’ondes génitales, tantôt plus de prostatiques

    c’est leur amalgame qui rend ce jeu ineffable,
    les ondes prostatiques apportent leur puissance de décollage, leur verticalité bondissante,
    les génitales, leur richesse de nuances, leurs vagues de volupté,
    leur capacité à se disperser dans toutes les directions

    #41418
    bzo
    Participant

    11h passées, ah je viens à peine de me réveiller,
    moi qui voulait me réveiller tôt pour aller toute la journée dans la forêt
    pour être parmi les arbres, m’imbiber de leur énergie,
    me plonger dans la féerie verte et dorée de la lumière s’entremêlant aux feuilles

    bon, comme ma mère a l’habitude de le dire, c’est que tu en avais besoin

    à peine le temps de faire cette constatation
    et avoir un petit moment de consternation, de dépit,
    que mon corps se met à onduler, mes cuisses à venir se frotter contre mes bijoux de famille,
    à la première contraction, effet d’ascenseur hydraulique irrésistible,
    l’impression qu’on m’arrache en douceur de moi-même vers le haut

    j’ai une main sur un sein, je tripote vaguement la pointe,
    je ne la bouge pas trop, en fait, j’ai décidé d’essayer ainsi,
    juste placée sur le corps à gauche ou à droite, juste accompagnant,
    de temps à autre, elle se remet en mouvement et je ralentis le mouvement du bassin
    pour bien laisser le devant de la scène aux sensations de la peau caressée,
    cette alternance me réussit bien ce matin

    je continuerais ainsi ce soir, à explorer ainsi le jardin des délices,
    toujours à la recherche de l’amélioration du dialogue en moi,
    comme des musiciens de jazz s’écoutant, tout en improvisant,
    se questionnant et se répondant avec les notes

    j’ondule de plus en plus,
    quand le yin est surchauffé, je ne fais attention plus à rien,
    le mouvement de mes hanches se féminise
    et j’aime tellement cela,
    ainsi onduler sans plus savoir si je suis mâle ou femelle,
    juste emporté sur les rails du plaisir follement par le désir express

    musique douce à mes oreilles, je ne pourrais pas me passer de mes gémissements plein les oreilles,
    d’ailleurs quand la machine à café se met en route et que je ne m’entends plus du tout,
    je m’arrête systématiquement si j’étais occupé car cela ne fonctionne jamais,
    c’est comme si je ne me sentais plus, je ne m’entendais plus, avec tout ce boucan,
    que la machinerie du plaisir tournait à vide, sans moi

    #41430
    bzo
    Participant

    bon dieu, la puissance et la richesse des ondes prostatiques et génitales
    quand elles sont parfaitement amalgamées,
    quand elles forment un flux parfaitement uni

    cela faisait un certain temps que je n’avais plus été surpris, vraiment surpris
    mais depuis hier soir, avec ma nouvelle manière de générer totalement en même temps
    les deux types d’ondes,
    s’élançant comme s’ils provenaient de la même source,
    c’est juste fabuleux,
    c’est comme si toute ma pratique venait d’être réinventée
    et me faisait entrevoir des horizons encore plus vastes, encore plus prometteurs

    le truc, très simple finalement, c’est que ce sont les contractions aneroless
    qui génèrent désormais en mêmes temps les deux types d’ondes
    d’où leur fusion parfaite et un gain, aussi bien en puissance qu’en variété et richesse,
    je serre les cuisses autour de mes bijoux de famille
    puis je ne les bouge plus trop, de temps à autre je change un peu
    ou j’ajoute quelques effets de frottement ou change un peu l’intensité de pression
    mais par rapport à avant, ils se déplacent beaucoup, beaucoup, moins

    mais donc quand la contraction monte, c’est elle qui va mettre en mouvement
    tout ce petit paquet délicieux, explosif, au possible, aux multiples strates,
    la prostate est sollicitée et en même temps,
    mes génitaux sont mis en mouvement un peu contre les cuisses,
    les ondes sont donc générés totalement en même temps, parfaitement unis
    et c’est juste sublime à chaque instant,
    quel kaléidoscope de sensations, ah quel kaléidoscope!

    je m’installe aussi beaucoup plus dans une posture,
    les cuisses bougeant moins beaucoup moins en bas,
    je laisse le yin guider mes hanches,
    toujours plus dans une position d’offrande, d’ouverture

    la balance, ainsi, est désormais nettement du côté des ondes prostatiques
    et c’est bien ainsi, très bien ainsi,
    les cuisses frottant, pressant, plus du tout de leur initiative,
    la fréquence des ondes génitales a diminuée
    par contre il y a une constante injection
    et je n ‘arrive plus du tout à les différencier tellement elles sont bien amalgamées

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