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20 sujets de 141 à 160 (sur un total de 1,444)
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  • #40868
    bzo
    Participant

    je suis affalé dans mon siège face à mon écran, les pieds sur la table,
    ma main gauche erre paresseusement au hasard sur la peau,
    je laisse les doigts trotter légèrement, flâner à gauche, à droite
    tandis que mes cuisses se contentent d’envelopper mes bijoux de famille,
    leur forment une gangue chaude, douce,
    changeant sans cesse un peu la pression, serrant, desserrant, frottant doucement, lentement

    tout cela reste léger, ludique,
    sous ma peau, comme une meute joyeuse semble suivre mes doigts,
    les nuances changent constamment, couleurs dansantes de la volupté,
    sensation d’épanouissement, de bien-être dans la chair, tout le réseau vibre doucement,
    mon corp me susurre son contentement, mon corps me susurre son consentement,
    qu’on est sur la même longueur d’ondes, qu’on se comprend jusqu’au plus profond des fibres,
    comme ce mode yin, chante l’accord intime, chante l’union ardente

    les orgasmes sont comme des plantes qu’il faut faire germer, croître,
    rendre de plus en plus luxuriantes, verdoyantes,
    elles apparaissent dans l’instant, tout à coup envahissent notre corps,
    frémissent, boivent la lumière, laissent un peu entrevoir le ciel parmi leurs feuillages
    et déjà disparaissent

    #40873
    bzo
    Participant

    les énergies vitales que la vie a placées en nous
    pour que jour après jour, année après année, minute après minute,
    toute cette belle mécanique tourne, s’anime,
    ont besoin de temps à autre de galoper librement

    la chair s’embrase en nous parce que les énergies s’emballent,
    n’en font plus qu’à leur tête,
    volètent dans tous les sens, nous entraînant avec elles un peu, beaucoup, à la folie

    nous avons des tas de passagers clandestins dans notre véhicule,
    j’en ai déjà rencontré quelques uns,
    l’instant ne passe jamais, c’est juste nous qui passons

    #40874
    bzo
    Participant

    mon ou mes doigts, m’apportent des sensations vraiment délicieuses
    quand ils vont s’aventurer derrière dans la petite crevasse d’amour

    ce que j’obtiens dans le bassin, c’est toujours un mélange d’ondes anales et de prostatiques,
    tout comme quand les doigts sont en gambade ailleurs,
    ce sera un mix d’ondes génitales et de prostatiques,
    dans ma manière, les ondes prostatiques, la plupart du temps,
    sont essentiellement là pour renforcer, modifier, les effets des autres types d’ondes,
    leur distiller leur puissance, leur capacité à nous arracher à la gravité dans la chair

    c’est obtenu d’une façon assez simple, on met en place le doigt,
    lentement, sensuellement, on l’introduit
    mais une fois qu’on juge qu’il est logé à la bonne distance, confortablement,
    il cesse de bouger, il devient complètement statique
    et ce sont les muscles tout autour qui vont faire le travail

    l’entourer comme dans un manchon affectueux, tout plein de sollicitude,
    le pressant, le frottant, le serrant, le desserrant,
    des contractions avec le doigt planté au milieu, bien au chaud, en quelque sorte,
    ce corps étranger qui n’en ai pas un
    puisqu’il c’est notre doigt, après tout, il nous appartient, il fait partie de notre corps
    mais enfin, ce n’est pas dans son périmètre habituel de déplacement

    l’effet est mystérieux, délicieux, en même temps comme une intrusion mais en même temps, pas,
    bouger le quand même, de temps à autre mais pas trop,
    juste un peu, cela va renforcer le côté anal des sensations pour un moment
    mais laisser les muscles tout autour, rapidement reprendre le dessus, retrouver l’exclusivité des mouvements

    ce doigt sera comme un bâton de dynamite dans votre séant,
    n’en finissant pas d’exploser doucement, comme au ralenti,
    les ondes se répandant dans des nuances, façon pieuvre de soie
    avec des tentacules très chaudes qui ondulent délicieusement en vous,
    ah cela me donne envie, comme cela me donne envie tout de suite, là en train d’écrire,
    un doigt restant pour le clavier, l’autre pour allumer mes entrailles,
    pas terrible tout de même, étant droitier, je suis habitué à y aller avec la main droite, derrière,
    il ne resterait que la gauche pour taper du texte, extrêmement maladroite gesticulation, cela serait

    assis, c’est tellement bon, il y a un effet empalement en plus,
    vous bougez votre popotin de bas en haut et de haut en bas, en plus des contractions,
    effets garantis

    au lit , bien sûr, couché sur le côté, sur le flanc, souvent
    ou alors juste sur le dos,
    avec toujours les mêmes principes, appliqués

    bon vent et bon doigt au fondement, à vous

    #40875
    bzo
    Participant

    et puis il vous reste l’autre main pour vous caresser,
    pressez un sein, entourez-le avec ardeur, avec tendresse, titiller la pointe
    tandis qu’en bas, l’autre doigt, enfoui bien au chaud,
    est entouré par des muscles caressant, pressant, frottant

    les ondes générés par votre torse, votre sein
    vont se joindre aux ondes montant du bassin
    comme deux cours d’eau se rejoignent pour aller vers l’océan

    bouger le reste du corps aussi un peu,
    ondulez, mettez-vous en mode liane lascive,
    ah, vous voilà déjà empli de toutes sortes d’ondes ineffables des pieds à la tête,
    il ne vous reste plus qu’à gémir doucement,
    à râler de toute votre âme et de vos entrailles surchauffées

    #40877
    bzo
    Participant

    par moments, j’ai l’impression de m’être calé dans une sorte de posture aérodynamique,
    tout entièrement des pieds à la tête, à la fois physiquement et mentalement,
    une sorte de boulevard-toboggan semble ainsi s’être ouvert en moi,
    cela devient tellement précis, tellement inéluctable,
    que c’est comme si je n’avais plus qu’appuyer sur la pédale d’accélérateur,
    fermer les yeux et laisser venir,
    les énergies commencent à monter, commencent à se déverser, commencent à se répandre,

    délicieux amalgame changeant d’ondes prostatiques et d’ondes génitales,
    dont je change les proportions au gré de mon envie
    en insistant plutôt sur le jeu des cuisses avec les bijoux de famille
    ou plutôt sur la contraction en plein milieu de tout cela

    #40882
    bzo
    Participant

    j’ai de plus en plus souvent des sortes d’éjaculations énergétiques,
    ce sont les termes qui me paraissent le mieux caractériser ces phénomènes délicieux

    c’est comme si tout mon corps, était la hampe durcie d’un sexe
    qui tout d’un coup, était traversé, montant à toute vitesse des tréfonds,
    par un long jet d’énergie pure
    venant exploser dans ma tête, éclaboussant de tous les côtés

    cela ne dure que quelques secondes comme l’équivalent avec du sperme
    mais cela se répète de plus en plus souvent,
    c’est d’une puissance volcanique, irrésistible,
    ce liquide énergétique chaud, doux qui monte,
    dans une caresse formidable de tout mon intérieur, au passage

    je peux les provoquer plus ou moins, en fait,
    bien que je ne sois pas encore sûr de tous les ingrédients, cependant,
    il faut qu’il y a une certaine tension qui s’accumule, en tout cas,
    cela ne peut pas venir en cascade à volonté,
    c’est plutôt une décharge qu’il y moyen de provoquer assez régulièrement

    #40883
    bzo
    Participant

    autre chose aussi,
    il y a quelques minutes, j’ai réussi à obtenir un long et délicieux orgasme en urinant,
    pas sûr que le terme de golden shower corresponde, cependant, à ce qui s’est passé

    il y a quelques années, du temps de ma période prostatique avec masseur uniquement,
    j’avais relaté régulièrement mes jeux avec de l’urine, je ne m’en suis jamais caché,
    j’aimais cela, terminer mes séances en m’urinant dessus dans le lit
    sur mon matelas, à l’époque, je disposai une alèse imperméable pour ne pas avoir de taches de toutes sortes
    et à la fin donc, après les nombreux délicieux orgasmes prostatiques, voire super O certains jours
    quand toute la zone était bien hypersensibilisée,
    avec tous ces flots d’ondes prostatiques qui étaient passées par là,
    j’avais bien bu beaucoup d’eau avant la séance pour être sûr que j’en aurai la possibilité,
    je lâchais les troupes dans ma vessie, j’urinais lentement,
    les chaudes gouttes qui dévalaient à la queue leu leu ,
    étaient chacune comme une petite caresse ineffable
    et dans mon sexe, la même sensation de plaisir que si j’éjaculais,
    sauf que là , cela durait des minutes,
    c’était la cerise sur le gâteau de mes séances

    mais là, il y a une demie heure, il n’y avait pas d’alèse sur le lit,
    cela fait longtemps que je n’en mets plus, étant que je ne pratique plus qu’aneroless
    mais j’ai eu envie malgré tout d’avoir ces sensations,
    cela tombait bien, je sentais que je devais uriner fortement,
    ce n’était sans doute pas un hasard, l’un a entraîné l’autre, a fait naître l’idée de l’autre
    je me suis mis dans la douche,
    j’ai croisé les bras sur ma poitrine doucement, serré mes cuisses autour de mes génitaux
    et ai commencé à faire remonter lentement des contractions tout en ondulant de tout le corps

    au bout de longues secondes, j’ai senti que j’étais prêt,
    bien excité, bien empli d’ondes de toutes sortes,
    alors j’ai fait monter lentement le liquide chaud,
    comme je serrais bien entre mes cuisses mon sexe, mes couilles,
    le liquide ne coulait pas librement mais zigzaguait comme un petit ruisseau entre des cailloux,
    je le sentais à gauche, à droite, sur mes cuisses,
    cela dégoulinait le long de mes jambes,
    cela chatouillait doucement comme des micro-caresses,
    une petite colonne de fourmis chatouillant délicatement qui avançait au hasard

    dans mon sexe, cela devenait de plus en plus chaud et dense, comme un liquide de plus en plus épais
    qui semblait former tout l’intérieur de mon sexe flasque, sans raideur,
    je continuais de le presser, de le frotter en mes cuisses,
    tout en essayant en même temps de faire monter des contractions et de lâcher le plus lentement possible l’urine
    pour que cela dure le plus longtemps possible,
    je râlais sans discontinuité, c’était une sorte d’orgasme de tout le corps, je me rendais compte peu à peu
    qui semblait m’emporter, je dansais lascivement sur place,
    j’aurai voulu avoir des centaines de litres d’urine en réserve et que cela dure toute la nuit
    mais bon, ce n’était pas le cas,
    j’ouvrais le robinet de la douche et aspergeais d’eau chaude, le bas du corps, pour me rincer

    #40884
    bzo
    Participant

    ah cela fait maintenant 3 ou 4 jours que je n’ai plus éjaculé,
    les sensations se sont délicieusement exacerbées,
    les réservoirs d’énergie débordent, débordent, en moi, je le sens,
    comme c’est bon, comme c’est délicieux,
    le moindre contact sur la peau, la moindre caresse, me donnent tellement envie de gémir, de hurler, de bonheur
    mais je ne tomberai plus dans le piège de me dire qu’il faut que je continue ainsi,
    de prolonger plus en plus l’abstinence pour accentuer encore plus cet effet

    car c’est une illusion, c’est définitivement une illusion car à double tranchant,
    en tout cas dans ma façon de pratiquer,
    on se retient de plus en plus quelque part, on n’ose plus y aller, on n’ose plus se lâcher complètement,
    on reste, en fait, avec la dégustation de ces sensations au premier degré constamment,
    mais on n’ose plus les pousser jusqu’à leur limite et au-delà,
    bref, exploiter tout leur potentiel

    vaudrait mieux finalement, à la limite, une sensation à 50, 75% de sa puissance
    parce qu’on se serait masturbé tous les jours,
    mais exploitée à fond, qu’elle donne tout ce qu’elle a dans le ventre,
    qu’une sensation à 250%, disons
    mais qu’on n’ose plus pousser dans ses derniers retranchements,
    qu’on n’ose pas dégoupiller,
    faire exploser pour vivre toute sa richesse, toutes ses nuances, toute son intensité

    mais le mieux bien sûr, c’est ainsi, je crois, ce que je suis en train de mettre en place,
    une sorte de cycle naturel de la montée en puissance de son désir, en quelque sorte,
    où l’éjaculation est totalement commandée par le corps
    si on n’ajoute pas à son désir de l’excitation artificielle genre porno,
    c’est facile à tenir, on n’a jamais une envie irrésistible de se masturber,
    même après une longue séance de frotti-frotta avec ses cuisses sur ses génitaux
    quand il n’y plus eu d’éjaculation depuis plusieurs jours

    ainsi, cela monte en puissance, deux, trois, quatre, cinq, jours,
    jusqu’à ce le le corps décide que c’est le moment, cela a assez duré
    il faut maintenant relâcher la pression de la cocotte-minute
    entretemps, on aura dégusté pendant quelques jours
    des sensations de plus en plus en surrégime, sans rien retenir, en se donnant à fond

    #40885
    bzo
    Participant

    ce soir, ce sera prostate night au saloon,
    n’entrerons que les ondes prostatiques

    de la prostate, rien que de la prostate et encore de la prostate,
    de la prostate à gogo, de la prostate dans tous ses états

    j’ai eu ce matin de très bonnes sensations avec ma prostate, sans les génitaux,
    je vais creuser cela ce soir à mon retour d’une visite dominicale,
    de lentes et longues pressions maintenues, les cuisses écartées, cambré,
    cela s’est mis, en quelques instants, à tellement bouillonner dans mon bassin,
    tout mon corps tremblait et j’étais au bord de l’orgasme prostatique,
    délicieusement volcanique, définitivement à creuser, à expérimenter plus en avant

    #40889
    bzo
    Participant

    bon, j’ai annulé finalement la soirée “prostate à gogo”

    néanmoins que de délicieux chipotages tout de même encore ce soir,
    je sors du lit, encore tout ébouriffé de sensations dans ma chair,
    ma prostate et mes génitaux se sont encore tellement bien entendus
    pour me faire monter au plafond, encore et encore

    et puis tout le reste aussi, bien sûr
    mais enfin, ce sont eux en bas qui font le gros du travail, tout de même

    mes bras sont restés croisés sur ma poitrine la plupart du temps,
    allant chacune, jusqu’à l’épaule opposée quasiment, les doigts bougeant un peu là,
    je cherchais un contact tendre, chaud, unificateur, ainsi,
    restant collés à la même place quasi sans mouvement, ils ont semblé prendre racine par moments,
    c’était très agréable, il y avait une espèce de sensation de stabilité, de puissance, supplémentaires,
    qui se dégageaient grâce à eux ainsi,
    je les sentais comme dans un rôle de guides, genre chiens de berger pour le troupeau des ondes

    #40891
    bzo
    Participant

    se faire l’amour…

    j’espère que vous avez déjà eu le bonheur, la chance,
    de vivre de pareils moments,
    de pareils moments de sensations de lutte amoureuse,
    d’entremêlement intime,
    avec soi-même

    pour aller plus loin
    qu’est-ce qu’il y a, selon moi,
    derrière ces mots?

    pour moi,
    ce sont les sensations à l’intensité toute particulière
    que vous commencez à vivre,
    quand vous atteignez, au moins pour quelques instants,
    un très haut degré de complicité avec votre corps,
    que vous parvenez à communier sans réserve,
    au plus intime de vous-même,
    avec lui

    le yin s’éveille aussi automatiquement,
    en effet, pas de sensation de se faire l’amour, possible,
    sans l’hôte ardent, le réceptacle vibrant,
    au fond de soi qui s’ouvre, qui se laisse envahir

    si cela vous arrive, ne ratez pas l’occasion,
    c’est soyeux, c’est souple, c’est chaud, à l’infini,
    laissez-vous faire toujours plus,
    ne vous sentez pas gêné, n’ayez aucune honte,
    d’avoir cette sensation d’être pénétré par vous-même,
    déguster ce petit miracle, sans modération,
    ces moments de trouble absolu

    c’est le moment androgyne, en fait,
    le moment parfait, le moment unique, le désir en cercle,
    la chair qui se satisfait elle-même, sans retenue,
    sans tenir compte des frontières de notre identité sexuelle,
    pour quelques instants

    personnellement, il n’y a plus que cela qui m’intéresse,
    j’ai développé, depuis des années, tout ma pratique en fonction de cela,
    de vivre constamment de pareils moments,
    de pareils moments de transes voluptueuses, de transes en eaux troubles,
    c’est devenu systématique chez moi

    se faire l’amour,
    être devenu capable d’ouvrir intimement sa chair, à soi-même,
    d’y butiner le pollen soyeux

    #40898
    bzo
    Participant

    ah cette sensation que toute ma chair est en train de fondre,
    plus particulièrement celle du bassin

    j’appelle cela ma petite fonte contagieuse, ma petite fonte organisée,
    cela commence par la région de l’anus, du périnée, de mes génitaux,
    cela se met à se dissoudre en un liquide chaud, tellement caressant
    et puis cela se répand

    debout, le cul un peu contre la table, travaillant sur des contractions
    et des mouvement élaborés du bassin, de mes hanches,
    je sens toutes ces zones se liquéfier,
    la lave douce, chaude, gagne du terrain en moi,
    je l’attire avec des courbes, des arabesques, dansant lascivement, rythmiquement ma viande
    vers leur consumation, leur incandescence, dans l’instant

    oh oui, je suis une chandelle, je brûle, je brûle, je sens la flamme danser en moi
    et puis je me sens fondre, comme c’est délicieux,
    toute cette matière, d’habitude, juste inerte, ici se transforme, se transmute,
    me rappelant de plus en plus que je suis coincé inlassablement dans la gueule d’un volcan,
    en bas dans mes profondeurs, je sens le grondement, le bouillonnement du noyau de la terre
    et puis ma viande qui se délite, qui fond, qui monte, monte, partout en moi,
    le ciel m’attend, m’attend brièvement,
    il est juste au-dessus de ma tête

    #40903
    bzo
    Participant

    la femme de ménage qui vient pour l’instant, en remplacement chez moi,
    est beaucoup plus jeune
    et elle a un splendide popotin, ferme, plein de puissance,
    même à 62 ans, cela fait germer instantanément plein d’idées dans ma tête, par moments
    ponctuellement occasionne, une petite raideur dans mon pantalon

    cette partie de son anatomie, o combien intéressante,
    apparaissait et disparaissait régulièrement de mon champs visuel,
    que j’admets, je laissais plus que d’habitude s’éloigner de l’écran
    devant lequel j’étais en télétravail depuis des mois
    pour aller errer, mine de rien, dans la direction vers laquelle elle se trouvait

    elle était montée, à un moment donné, sur un escabeau pour laver une vitre,
    je me suis mis à la fixer, sans discontinuité, goulument, du coin de l’oeil,
    buvant les courbes de son corps en action,
    m’abreuvant à sa chute de reins qui ondulait tellement sensuellement
    et puis son cul splendide, quel morceau, ah mes amis, mais quel morceau de roi,
    j’avais envie furieusement de m’en saisir, de le manipuler, de le frotter, de le presser dans tous les sens,
    mordre dedans avec avidité, comme dans une pomme juteuse, bien ferme, bien mûre,
    tout cela parlait tellement à mes entrailles, évoquait tellement d’envolées voluptueuses

    quelle dommage qu’il y avait cette différence d’âge, entre nous
    sinon j’aurai bien essayé de la draguer un peu

    je me contentais de faire quelques contractions discrètement tout en fixant à nouveau mon écran,
    c’est devenu tellement effectif, qu’en quelques instants, j’ai failli jouir,
    cela m’a complètement surpris, j’ai eu tout le mal du monde
    à ne pas laisser échapper un gémissement, que dis-je, un grognement gras, genre sanglier chatouillé,
    tellement mes entrailles se sont mises à se tordre de plaisir

    c’est la première fois que je faisais un truc de ce genre, en présence d’un ou d’une autre, chez moi
    jamais jusqu’ici je n’avais essayé,
    je n’aurai pas cru que cela fonctionnait si facilement et avec si peu de moyens mis en oeuvre,
    j’avais gardé tout mon tronc bien immobile, ainsi que mon bassin,
    j’avais juste écarté les fesses sur mon siège, m’étais cambré un peu et fait monter quelques contractions
    immédiatement, j’ai senti, en bas, toute ma chair s’imprégner d’ondes,
    cela s’est répandu comme une traînée de poudre vers le haut en quelques instants,
    provoquant derrière mes yeux, comme une explosion d’étoiles dans tous les sens,
    mes paupières se sont refermés, par habitude, pour mieux déguster le moment,
    c’est là que j’ai du faire un effort surhumain
    pour rattraper les sons qui avaient commencé déjà à rouler à bonne vitesse vers la sortie

    elle est partie un peu plus tard,
    je me suis remis immédiatement dans mon peignoir, tout nu dessous,
    me suis appuyé contre la table, dans une de mes positions favorites,
    avec le bout du cul dessus, les jambes écartées, les fesses cambrées,
    ainsi, j’ai fait monter lentement, très lentement, quelques contractions,
    la jouissance a été quasi immédiate et pendant de longues secondes,
    des vagues soyeuses, chaudes, montaient les unes après les autres depuis mon bassin,
    son petit cul flottait encore en filigrane devant mes yeux,
    ma mémoire avait enregistré le moindre détail du mouvement de ses reins
    et à présent, le rejouaient sans cesse avec des haut-parleurs pour tout mon intérieur

    ah qu’elle m’a fait passer un bon moment, cette diablesse au corps agile,
    comme c’est bon, tout cela, cette chair tellement prompte à l’ivresse,
    tout ce corps comme une formidable machinerie,
    tellement prompte à jouir, tellement prompte à produire des flots de volupté

    aboutissement de ces longues années d’exploration,
    une approche goulue, gourmande, des instants, avec mon corps,
    ma petite caverne d’Ali Baba chérie, toujours à portée,
    toujours prête à déverser ses trésors

    #40905
    bzo
    Participant

    c’est quelque chose de tellement sensuel, de tellement érotique, une douche,
    enfin, l’acte de prendre une douche, je veux dire

    les mains qui savonnent lentement le corps, méticuleusement le parcourent,
    ces gestes, chez moi en tout cas,
    se transforment systématiquement en caresses langoureuses, partout, peu à peu,
    je ne peux y résister ces derniers temps, c’est plus fort que moi,
    mon corps nu, humide, le frôlement caressant de ces millions de gouttes d’eau chaude
    mes doigts glissent avec de plus en plus de lascivité,
    d’attention au grain de la peau, à ses contours
    et toujours, ce flot vertical d’eau qui m’entoure comme une gangue douce, dégoulinante
    oh, le manège de mes mains m’enchante, me ravit de plus en plus
    au fil des jours

    je me savonne, cela mousse à gauche et à droite,
    je m’approche de mon sexe, de mes couilles, je les palpe, je les presse,
    je les retourne, je les inspecte, je les nettoie avec mille attention,
    je les bichonne, mes petits outils, au repos, enfin plus pour longtemps,
    je vais derrière, j’introduis un doigt plein de savon dans ma petite crevasse d’amour

    j’ai commencé à me balancer sur place, à onduler un peu,
    mes cuisses se sont serrés autour de mes bijoux de famille,
    je continue à me savonner consciencieusement, joindre l’utile à l’agréable, n’est-ce pas,
    presque une philosophie, un mode de vie,
    tout un programme en tout cas

    une contraction remonte en moi maintenant, quel délicieux et lent piston,
    qui semble tout desceller sur son passage,
    oh je jouis déjà, comme des filets d’orgasme semblent me parcourir

    ultime bonheur, cerise sur le gâteau, je sens que je dois uriner,
    arrêtons la douche pour déguster ce petit moment, à part comme il le mérite,
    toujours je serre délicatement entre mes jambes, mon petit paquet vibrant doucement,
    le liquide chaud commence à dégouliner,
    mon sexe semble l’éjaculer plutôt, une longue et interminable coulée,
    oh comme c’est bon, je continue à me balancer de plus en plus langoureusement,
    et je me serre entre mes propres bras,
    pressant de plus belle l’éponge de soie que j’ai entre les jambes
    qui lâche un petit filet jaune pour l’instant
    c’est plus chaud et plus doux que jamais, là en bas,
    comme la volupté monte en moi, comme elle s’étend, comme elle me fait frissonner,
    je suis pris dans des sables mouvants, je m’enfonce de plus en plus dedans,
    oh que je coule à pic, que je m’enfonce jusqu’au centre de la terre ainsi!

    ah, il faut finir, se sécher,
    déjà!!!
    comme c’était bon, dommage que la femme de ménage de tout l’heure,
    n’était pas là avec moi sous la douche, sa peau contre ma peau,
    nous aurions fait des tas d’étincelles ensemble,
    nos corps auraient chanté de concert

    #40907
    bzo
    Participant

    le désir,
    ce sont les chevaux de l’attelage,
    constamment

    libérer le désir,
    lors de nos moments sexuels,
    c’est offrir au plaisir,
    un espace toujours plus vaste, toujours plus riche

    mais pas seulement
    car le désir infuse absolument tout,
    il est partout, constamment,
    derrière tous nos faits et gestes

    on s’en rend pas compte immédiatement
    car hors du contexte sexuel,
    il est d’une remarquable discrétion
    mais sous des couches et encore des couches
    c’est encore lui, toujours lui

    le moteur dans le noyau,
    le seul, l’unique, le vrai,
    c’est lui et encore lui

    lors de nos moments d’intimité,
    il s’exprime au grand jour
    mais sinon, au fil du quotidien,
    il reste enfoui dans les profondeurs,
    comme un sang invisible qui circule,
    caché en nous

    libérer le désir de plus en plus,
    c’est découvrir peu à peu toute la richesse
    de ce que la vie a placé en nous

    libérer le désir de plus en plus,
    c’est permettre aux fruits sur l’arbre de mûrir,
    c’est un possible épanouissement

    libérer le désir de plus en plus,
    c’est le révéler peu à peu dans toute sa splendeur,
    vivre son incandescence protéiforme, sans restrictions

    avec le plus d’acuité,
    lors de nos moments sexuels
    mais en percevoir aussi les mille et un reflets
    dans notre quotidien

    #40908
    bzo
    Participant

    évoquer le plaisir qu’on peut éprouver avec de l’urine,
    enfin mes jeux à moi, en solitaire donc, avec ce liquide jaune doré,
    c’est évoquer son écoulement chaud si particulier,
    comme une colonne de fourmis qui chatouillent de leurs petites pattes,
    effleurant délicatement la peau sur leur passage

    il faut surtout s’être bien préparé,
    c’est-à-dire, avoir un peu pratiqué avant
    pour que toute la zone du bas-ventre soit encore bien sensibilisée,
    ait été traversée de toutes sortes d’ondes, soit encore un peu vibrante d’excitation,
    là le moment est parfait pour ce petit jeu spécial de quelques minutes
    que vous pouvez pratiquer au lit avec une alèse imperméable dessus
    ou alors sous la douche,
    enfin chez moi, c’est comme cela

    je ne suis pas très fort en physiologie,
    je ne pourrais donner une description précise, scientifique,
    mais quand que le jet d’urine monte lentement,
    une tension s’installe dans le sexe
    et les muscles aux alentours qui permettent cette action,
    avec donc toute cette zone bien excitée en préliminaire, bien sensibilisée,
    eh bien les sensations vont être assez similaires à celles qu’on peut éprouver lors d’une éjaculation
    mais en moins explosives, plus localisées au sexe, plus subtiles, plus délicates
    et définitivement qui durent plus longtemps,
    jusqu’à plusieurs minutes

    il ne faut pas se précipiter,
    essayer de ralentir le flot au maximum pour faire durer le plaisir, l’intensifier ainsi

    une sorte d’intensité coulante à l’intérieur du sexe,
    de la densité liquide, épaisse qui s’installe dedans,
    un frottement intense depuis l’intérieur

    c’est assez fragile comme plaisir, assez capricieux, il faut bien le dire,
    on ne réussit pas à chaque fois
    mais quand c’est un succès, c’est un sacré bon moment,
    la cerise sur le gâteau d’une séance
    ou un petit aparté délicieux, irrésistible, de plaisir bien spécial

    #40915
    bzo
    Participant

    cela fait un certain temps, un temps certain, même
    que l’idée de développer en parallèle à ma pratique actuelle,
    un massage prostatique plus conventionnel,
    me trotte dans la tête

    pour rappel, j’ai commencé comme cela,
    avec un masseur, allongé, en tête à tête uniquement avec ma prostate
    et puis même si je n’ai pas du tout suivi le Traité d’Aneros à l’époque,
    les résultats obtenus, étaient bien des orgasmes prostatiques, des super O, etc, etc.

    aujourd’hui ce que je fais, n’a plus rien à voir avec tout cela
    et le plaisir que je vis, non plus,
    c’est quelque chose de totalement différent,
    le mode yin est enfoui en chacun de nous et c’est tout un autre continent
    avec un autre type de sensations, de jouissance, d’orgasme, de volupté,
    on vit son corps radicalement autrement

    mais j’ai envie de retrouver aussi donc le plaisir prostatique de mes débuts,
    il y a des moments qui me manquent vraiment,
    ces super O qui me faisaient tomber du lit tellement je me tordais dans tous les sens,
    qui me faisaient encore continuer par terre, me cognant aux meubles,
    j’étais couvert de bleus après mais qu’est-ce que c’était bon,
    d’avoir été aussi loin, aussi fort, en roue libre, dans un orgasme hors normes
    cela et puis dans un tout autre genre,
    ces longues extases interminables, parfois plus de cinq minutes, tellement calmes, comme en eau profonde,
    où il m’arrivait même régulièrement d’avoir des hallucinations tout à fait étonnantes

    oui tout cela me manque quelque part, j’y pense avec nostalgie de temps à autre,
    cependant s’il fallait choisir, je préfèrerai tout de même rester avec ce que j’ai maintenant
    car le mode yin, il n’y a peut-être pas de super O, de ces longues extases,
    parfois même il n’y a pas d’orgasmes du tout pendant des jours,
    mais ce sont des sensations délicieuses, dès les premiers instants, dans tout le corps,
    c’est vécu constamment comme si on se faisait l’amour, ça n’a pas de prix cela,
    et puis cette sensation aussi, qui est tout le temps là, de complicité avec son corps, de communion avec lui,
    et dans le bassin, celle du yin et du yang, entremêlés,
    comme un noeud ineffable, un noyau multi-genre vibrant,
    tout cela vaut tous les orgasmes du monde, c’est irremplaçable,
    une fois qu’on y a goûté, on ne peut plus s’en passer

    mais bon, encore une fois, s’il y avait moyen d’avoir les deux, ce serait encore mieux
    mais c’est peut-être vouloir le beurre et l’argent du beurre,
    avoir la maîtrise des deux pratiques, passer de l’un à l’autre , suivant son envie du moment,
    pour l’instant, cela reste au stade du voeu pieux chez moi,
    j’ai bien fait quelques essais en prostatique pur,
    parfois avec des résultats très intéressants pourtant

    le problème, c’est que le mode yin reprend possession de moi beaucoup trop facilement
    dès que je me mets en mode plaisir, à la maison, c’est devenu comme une seconde nature
    et dès que j’essaie de m’en éloigner systématiquement, plus de quelques secondes,
    j’ai l’impression rapidement que tout mon corps est en train de suffoquer,
    je sens comme un terrible vide en moi,
    toute cette volupté qui m’envahit d’habitude dès les premiers instants, partout,
    n’est plus là pour abreuver ma chair

    aussitôt que je me remets en mode yin,
    c’est comme un extraordinaire soulagement, dans tout mon être,
    comme un poisson échoué sur la rive qui était en train de suffoquer pris de soubresauts,
    je semble retrouver mon élément naturel, m’y réimmergeant avec délectation

    toucher mes seins, les frôler un peu, me fait frissonner de partout,
    toute ma peau est devenue tellement électrique,
    resserrer les cuisses sur mes génitaux et onduler un peu du bassin,
    envoie des ondes de volupté dans tout mon corps,
    faire remonter une contraction, j’en ai tout de suite une pluie d’étoiles derrière les yeux
    et la colonne vertébrale comme transformée en vibrations soyeuses,
    à chaque contraction que je fais quasiment,
    j’ai l’impression que mon âme est éjectée jusqu’au firmament

    cependant j’ai décidé et je vais essayer de m’y tenir,
    si je me met au lit, ce ne sera plus que pour m’exercer en massage prostatique,
    plus de mode yin pour l’instant, sur le matelas, cela va me forcer un peu la main,
    c’est une sorte de contrainte que je me suis fixé qui j’espère, portera ses fruits
    et me fera progresser en massage prostatique aneroless

    aneroless, oui uniquement
    car remettre un de mes masseurs en service, cela tout de même, c’est hors de question,
    au stade où j’en suis, je n’ai plus aucune envie de masseur, je ne veux plus avoir de corps étranger en moi,
    juste moi et mon corps, en tête à tête, on est trop bien ainsi, intimité délicieuse, tellement sans limites,
    pas de matériau entre nous, juste au plus près de ma chair, de mes nerfs, de mes humeurs, de mon sang,
    comme fusionné à eux, comme immergé en eux

    #40916
    bzo
    Participant

    entre mes cuisses, mes couilles et mon sexe, semblent comme radioactifs,
    je veux dire qu’au moindre contact, ils semblent comme émettre un constant flux d’ondes

    couché, je dispose mes cuisses autour d’eux, elles leur font comme un nid chaud, douillet
    où ils peuvent se reposer, ronronner tranquillement,
    avoir constamment ce petit filet d’ondes délicieuses qui s’échappe,
    ce matin sous la couverture, je suis resté bien immobile ainsi,
    je rêvassais, je rêvassais
    et en même temps, je gouttais à cette flaque chaude, soyeuse qui s’était formé dans mes cuisses,
    cette mini-inondation issue de mes bijoux de famille,
    comme c’était doux, légèrement frissonnant

    mais ce n’est jamais totalement immobile là en bas,
    il y a toutes sortes de frémissements, de petits mouvements reflexe, j’ai pu constater,
    à chacune de ces légères mises en mouvement, malgré moi, de mes génitaux dans leur petit nid,
    c’est comme si le niveau d’émission d’ondes s’accentuait soudainement pour un temps,
    la flaque dans mes cuisses s’agrandissait, s’élargissait

    mais si j’y ajoutais un mouvement volontaire plus important,
    que je frottais ou que je pressais, par exemple, un peu mes cuisses, dessus
    alors l’émission d’ondes, brusquement, augmentait fortement de volume,
    la flaque s’agrandissait en proportion,
    immédiatement, tout mon bassin semblait envahi
    et si j’insistais, l’inondation commençait à gagner mon tronc, plus bas, mes jambes

    et puis si à tout cela, j’ajoutais une contraction,
    alors là, c’est comme si la cavalerie lourde débarquait,
    cela se met à galoper irrésistiblement depuis la zone de la prostate,
    il y a un amalgame qui se fait directement avec les ondes génitales,
    cela dépend, en fait, de la puissance et de l’insistance de la pression,
    si je la maintiens plus ou moins ou pas, si elle est plus ou moins forte

    plus la contraction sera brève et plutôt légère,
    plus les ondes prostatiques auront plutôt tendance à s’amalgamer avec les ondes génitales,
    à faire leur parcours avec elles, offrant alors des nuances riches, variées, issues de leur combinaison
    mais si la contraction est maintenue, est plus forte,
    je joue sur ces paramètres, constamment, bien sûr,
    alors les ondes prostatiques monteront plutôt toutes seules, comme une meute lancée à la poursuite de quelque chose,
    seront trop puissantes pour que les ondes génitales, puissent venir fusionner à elles,
    ainsi la sensation sera plutôt prostatique,
    c’est-à-dire, toujours une impression de fusée au décollage,
    s’arrachant, s’arrachant, essayant de monter et de faire monter,
    peu à peu qui entraîne tout avec elle, de plus en plus

    si je continue avec des contractions fortes, insistantes,
    alors c’est comme si la bouche d’un volcan se mettait en place, entre mes reins
    qui émettait vers le haut un flux de plus en plus constant de lave douce, chaude, bouillonnante
    qui s’éparpille de plus en plus dans une sorte de ciel à moi,
    qui lui-même devient de plus en plus vaste,
    la lave montant de plus en plus haut, le ciel s’agrandissant avec lui de plus en plus, pour l’accommoder

    #40919
    bzo
    Participant

    personne ne pourra jamais me procurer le plaisir que je me procure,
    personne

    jamais, je ne pourrais me procurer le plaisir que quelqu’un d’autre peut me procurer,
    jamais

    #40924
    bzo
    Participant

    je viens de me réveiller,
    ha ma chair est là, je serre les cuisses automatiquement,
    oh oui, comme c’est bon, tout est bien là,
    je me caresse, je laisse une main vagabonder, je suis sur le flanc pour l’instant,
    elle descend sur une fesse, passe un peu dans ma petite fente derrière,
    bien humide de la crème que j’y mets tous les soirs,
    je glisse le bout du doigt, dedans, je l’enfonce très très lentement,
    cela devient tellement chaud à l’entrée, tellement fondant,
    oh c’est indicible ce doigt qui entre lentement,
    tout à coup, je le fais entrer bien à fond et je laisse ainsi,
    je lance une contraction des muscles autour pour comme l’envelopper,
    je joue désormais avec un peu
    oh, ma chair, que me fais-tu là, me voilà déjà dans tous mes états,
    je ne suis même pas encore réveillé et déjà je suis en train de jouir

    je sors mon doigt du fourreau chaud de mon cul,
    la main se remet à caresser, je remonte lentement sur le flanc,
    à la hauteur du sein, je bifurque et je plonge vers lui,
    je commence à jouer avec la pointe, je passe et repasse dessus,
    je le frotte, je le presse, je fais des petits ronds dessus
    et puis en bas, je fais monter des contractions
    ah ma chair, je re-jouis, encore et encore,
    ma main continue de travailler sur le sein,
    tandis que je maintiens longtemps, longtemps, une contraction

    bonjour la vie, hello everybody, bonjour ma chair, bonjour mon corps,
    bonjour le plaisir

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