Mots-clés : aneroless
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RomPat33, le il y a 1 mois et 3 semaines.
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- 8 avril 2021 à 23 h 52 min #40868
bzo
Participantje suis affalé dans mon siège face à mon écran, les pieds sur la table,
ma main gauche erre paresseusement au hasard sur la peau,
je laisse les doigts trotter légèrement, flâner à gauche, à droite
tandis que mes cuisses se contentent d’envelopper mes bijoux de famille,
leur forment une gangue chaude, douce,
changeant sans cesse un peu la pression, serrant, desserrant, frottant doucement, lentementtout cela reste léger, ludique,
sous ma peau, comme une meute joyeuse semble suivre mes doigts,
les nuances changent constamment, couleurs dansantes de la volupté,
sensation d’épanouissement, de bien-être dans la chair, tout le réseau vibre doucement,
mon corp me susurre son contentement, mon corps me susurre son consentement,
qu’on est sur la même longueur d’ondes, qu’on se comprend jusqu’au plus profond des fibres,
comme ce mode yin, chante l’accord intime, chante l’union ardenteles orgasmes sont comme des plantes qu’il faut faire germer, croître,
rendre de plus en plus luxuriantes, verdoyantes,
elles apparaissent dans l’instant, tout à coup envahissent notre corps,
frémissent, boivent la lumière, laissent un peu entrevoir le ciel parmi leurs feuillages
et déjà disparaissent10 avril 2021 à 0 h 38 min #40873bzo
Participantles énergies vitales que la vie a placées en nous
pour que jour après jour, année après année, minute après minute,
toute cette belle mécanique tourne, s’anime,
ont besoin de temps à autre de galoper librementla chair s’embrase en nous parce que les énergies s’emballent,
n’en font plus qu’à leur tête,
volètent dans tous les sens, nous entraînant avec elles un peu, beaucoup, à la folienous avons des tas de passagers clandestins dans notre véhicule,
j’en ai déjà rencontré quelques uns,
l’instant ne passe jamais, c’est juste nous qui passons10 avril 2021 à 9 h 37 min #40874bzo
Participantmon ou mes doigts, m’apportent des sensations vraiment délicieuses
quand ils vont s’aventurer derrière dans la petite crevasse d’amource que j’obtiens dans le bassin, c’est toujours un mélange d’ondes anales et de prostatiques,
tout comme quand les doigts sont en gambade ailleurs,
ce sera un mix d’ondes génitales et de prostatiques,
dans ma manière, les ondes prostatiques, la plupart du temps,
sont essentiellement là pour renforcer, modifier, les effets des autres types d’ondes,
leur distiller leur puissance, leur capacité à nous arracher à la gravité dans la chairc’est obtenu d’une façon assez simple, on met en place le doigt,
lentement, sensuellement, on l’introduit
mais une fois qu’on juge qu’il est logé à la bonne distance, confortablement,
il cesse de bouger, il devient complètement statique
et ce sont les muscles tout autour qui vont faire le travaill’entourer comme dans un manchon affectueux, tout plein de sollicitude,
le pressant, le frottant, le serrant, le desserrant,
des contractions avec le doigt planté au milieu, bien au chaud, en quelque sorte,
ce corps étranger qui n’en ai pas un
puisqu’il c’est notre doigt, après tout, il nous appartient, il fait partie de notre corps
mais enfin, ce n’est pas dans son périmètre habituel de déplacementl’effet est mystérieux, délicieux, en même temps comme une intrusion mais en même temps, pas,
bouger le quand même, de temps à autre mais pas trop,
juste un peu, cela va renforcer le côté anal des sensations pour un moment
mais laisser les muscles tout autour, rapidement reprendre le dessus, retrouver l’exclusivité des mouvementsce doigt sera comme un bâton de dynamite dans votre séant,
n’en finissant pas d’exploser doucement, comme au ralenti,
les ondes se répandant dans des nuances, façon pieuvre de soie
avec des tentacules très chaudes qui ondulent délicieusement en vous,
ah cela me donne envie, comme cela me donne envie tout de suite, là en train d’écrire,
un doigt restant pour le clavier, l’autre pour allumer mes entrailles,
pas terrible tout de même, étant droitier, je suis habitué à y aller avec la main droite, derrière,
il ne resterait que la gauche pour taper du texte, extrêmement maladroite gesticulation, cela seraitassis, c’est tellement bon, il y a un effet empalement en plus,
vous bougez votre popotin de bas en haut et de haut en bas, en plus des contractions,
effets garantisau lit , bien sûr, couché sur le côté, sur le flanc, souvent
ou alors juste sur le dos,
avec toujours les mêmes principes, appliquésbon vent et bon doigt au fondement, à vous
10 avril 2021 à 10 h 34 min #40875bzo
Participantet puis il vous reste l’autre main pour vous caresser,
pressez un sein, entourez-le avec ardeur, avec tendresse, titiller la pointe
tandis qu’en bas, l’autre doigt, enfoui bien au chaud,
est entouré par des muscles caressant, pressant, frottantles ondes générés par votre torse, votre sein
vont se joindre aux ondes montant du bassin
comme deux cours d’eau se rejoignent pour aller vers l’océanbouger le reste du corps aussi un peu,
ondulez, mettez-vous en mode liane lascive,
ah, vous voilà déjà empli de toutes sortes d’ondes ineffables des pieds à la tête,
il ne vous reste plus qu’à gémir doucement,
à râler de toute votre âme et de vos entrailles surchauffées10 avril 2021 à 17 h 20 min #40877bzo
Participantpar moments, j’ai l’impression de m’être calé dans une sorte de posture aérodynamique,
tout entièrement des pieds à la tête, à la fois physiquement et mentalement,
une sorte de boulevard-toboggan semble ainsi s’être ouvert en moi,
cela devient tellement précis, tellement inéluctable,
que c’est comme si je n’avais plus qu’appuyer sur la pédale d’accélérateur,
fermer les yeux et laisser venir,
les énergies commencent à monter, commencent à se déverser, commencent à se répandre,délicieux amalgame changeant d’ondes prostatiques et d’ondes génitales,
dont je change les proportions au gré de mon envie
en insistant plutôt sur le jeu des cuisses avec les bijoux de famille
ou plutôt sur la contraction en plein milieu de tout cela11 avril 2021 à 0 h 10 min #40882bzo
Participantj’ai de plus en plus souvent des sortes d’éjaculations énergétiques,
ce sont les termes qui me paraissent le mieux caractériser ces phénomènes délicieuxc’est comme si tout mon corps, était la hampe durcie d’un sexe
qui tout d’un coup, était traversé, montant à toute vitesse des tréfonds,
par un long jet d’énergie pure
venant exploser dans ma tête, éclaboussant de tous les côtéscela ne dure que quelques secondes comme l’équivalent avec du sperme
mais cela se répète de plus en plus souvent,
c’est d’une puissance volcanique, irrésistible,
ce liquide énergétique chaud, doux qui monte,
dans une caresse formidable de tout mon intérieur, au passageje peux les provoquer plus ou moins, en fait,
bien que je ne sois pas encore sûr de tous les ingrédients, cependant,
il faut qu’il y a une certaine tension qui s’accumule, en tout cas,
cela ne peut pas venir en cascade à volonté,
c’est plutôt une décharge qu’il y moyen de provoquer assez régulièrement11 avril 2021 à 0 h 55 min #40883bzo
Participantautre chose aussi,
il y a quelques minutes, j’ai réussi à obtenir un long et délicieux orgasme en urinant,
pas sûr que le terme de golden shower corresponde, cependant, à ce qui s’est passéil y a quelques années, du temps de ma période prostatique avec masseur uniquement,
j’avais relaté régulièrement mes jeux avec de l’urine, je ne m’en suis jamais caché,
j’aimais cela, terminer mes séances en m’urinant dessus dans le lit
sur mon matelas, à l’époque, je disposai une alèse imperméable pour ne pas avoir de taches de toutes sortes
et à la fin donc, après les nombreux délicieux orgasmes prostatiques, voire super O certains jours
quand toute la zone était bien hypersensibilisée,
avec tous ces flots d’ondes prostatiques qui étaient passées par là,
j’avais bien bu beaucoup d’eau avant la séance pour être sûr que j’en aurai la possibilité,
je lâchais les troupes dans ma vessie, j’urinais lentement,
les chaudes gouttes qui dévalaient à la queue leu leu ,
étaient chacune comme une petite caresse ineffable
et dans mon sexe, la même sensation de plaisir que si j’éjaculais,
sauf que là , cela durait des minutes,
c’était la cerise sur le gâteau de mes séancesmais là, il y a une demie heure, il n’y avait pas d’alèse sur le lit,
cela fait longtemps que je n’en mets plus, étant que je ne pratique plus qu’aneroless
mais j’ai eu envie malgré tout d’avoir ces sensations,
cela tombait bien, je sentais que je devais uriner fortement,
ce n’était sans doute pas un hasard, l’un a entraîné l’autre, a fait naître l’idée de l’autre
je me suis mis dans la douche,
j’ai croisé les bras sur ma poitrine doucement, serré mes cuisses autour de mes génitaux
et ai commencé à faire remonter lentement des contractions tout en ondulant de tout le corpsau bout de longues secondes, j’ai senti que j’étais prêt,
bien excité, bien empli d’ondes de toutes sortes,
alors j’ai fait monter lentement le liquide chaud,
comme je serrais bien entre mes cuisses mon sexe, mes couilles,
le liquide ne coulait pas librement mais zigzaguait comme un petit ruisseau entre des cailloux,
je le sentais à gauche, à droite, sur mes cuisses,
cela dégoulinait le long de mes jambes,
cela chatouillait doucement comme des micro-caresses,
une petite colonne de fourmis chatouillant délicatement qui avançait au hasarddans mon sexe, cela devenait de plus en plus chaud et dense, comme un liquide de plus en plus épais
qui semblait former tout l’intérieur de mon sexe flasque, sans raideur,
je continuais de le presser, de le frotter en mes cuisses,
tout en essayant en même temps de faire monter des contractions et de lâcher le plus lentement possible l’urine
pour que cela dure le plus longtemps possible,
je râlais sans discontinuité, c’était une sorte d’orgasme de tout le corps, je me rendais compte peu à peu
qui semblait m’emporter, je dansais lascivement sur place,
j’aurai voulu avoir des centaines de litres d’urine en réserve et que cela dure toute la nuit
mais bon, ce n’était pas le cas,
j’ouvrais le robinet de la douche et aspergeais d’eau chaude, le bas du corps, pour me rincer11 avril 2021 à 10 h 17 min #40884bzo
Participantah cela fait maintenant 3 ou 4 jours que je n’ai plus éjaculé,
les sensations se sont délicieusement exacerbées,
les réservoirs d’énergie débordent, débordent, en moi, je le sens,
comme c’est bon, comme c’est délicieux,
le moindre contact sur la peau, la moindre caresse, me donnent tellement envie de gémir, de hurler, de bonheur
mais je ne tomberai plus dans le piège de me dire qu’il faut que je continue ainsi,
de prolonger plus en plus l’abstinence pour accentuer encore plus cet effetcar c’est une illusion, c’est définitivement une illusion car à double tranchant,
en tout cas dans ma façon de pratiquer,
on se retient de plus en plus quelque part, on n’ose plus y aller, on n’ose plus se lâcher complètement,
on reste, en fait, avec la dégustation de ces sensations au premier degré constamment,
mais on n’ose plus les pousser jusqu’à leur limite et au-delà,
bref, exploiter tout leur potentielvaudrait mieux finalement, à la limite, une sensation à 50, 75% de sa puissance
parce qu’on se serait masturbé tous les jours,
mais exploitée à fond, qu’elle donne tout ce qu’elle a dans le ventre,
qu’une sensation à 250%, disons
mais qu’on n’ose plus pousser dans ses derniers retranchements,
qu’on n’ose pas dégoupiller,
faire exploser pour vivre toute sa richesse, toutes ses nuances, toute son intensitémais le mieux bien sûr, c’est ainsi, je crois, ce que je suis en train de mettre en place,
une sorte de cycle naturel de la montée en puissance de son désir, en quelque sorte,
où l’éjaculation est totalement commandée par le corps
si on n’ajoute pas à son désir de l’excitation artificielle genre porno,
c’est facile à tenir, on n’a jamais une envie irrésistible de se masturber,
même après une longue séance de frotti-frotta avec ses cuisses sur ses génitaux
quand il n’y plus eu d’éjaculation depuis plusieurs joursainsi, cela monte en puissance, deux, trois, quatre, cinq, jours,
jusqu’à ce le le corps décide que c’est le moment, cela a assez duré
il faut maintenant relâcher la pression de la cocotte-minute
entretemps, on aura dégusté pendant quelques jours
des sensations de plus en plus en surrégime, sans rien retenir, en se donnant à fond11 avril 2021 à 12 h 57 min #40885bzo
Participantce soir, ce sera prostate night au saloon,
n’entrerons que les ondes prostatiquesde la prostate, rien que de la prostate et encore de la prostate,
de la prostate à gogo, de la prostate dans tous ses étatsj’ai eu ce matin de très bonnes sensations avec ma prostate, sans les génitaux,
je vais creuser cela ce soir à mon retour d’une visite dominicale,
de lentes et longues pressions maintenues, les cuisses écartées, cambré,
cela s’est mis, en quelques instants, à tellement bouillonner dans mon bassin,
tout mon corps tremblait et j’étais au bord de l’orgasme prostatique,
délicieusement volcanique, définitivement à creuser, à expérimenter plus en avant12 avril 2021 à 0 h 33 min #40889bzo
Participantbon, j’ai annulé finalement la soirée “prostate à gogo”
néanmoins que de délicieux chipotages tout de même encore ce soir,
je sors du lit, encore tout ébouriffé de sensations dans ma chair,
ma prostate et mes génitaux se sont encore tellement bien entendus
pour me faire monter au plafond, encore et encoreet puis tout le reste aussi, bien sûr
mais enfin, ce sont eux en bas qui font le gros du travail, tout de mêmemes bras sont restés croisés sur ma poitrine la plupart du temps,
allant chacune, jusqu’à l’épaule opposée quasiment, les doigts bougeant un peu là,
je cherchais un contact tendre, chaud, unificateur, ainsi,
restant collés à la même place quasi sans mouvement, ils ont semblé prendre racine par moments,
c’était très agréable, il y avait une espèce de sensation de stabilité, de puissance, supplémentaires,
qui se dégageaient grâce à eux ainsi,
je les sentais comme dans un rôle de guides, genre chiens de berger pour le troupeau des ondes12 avril 2021 à 17 h 39 min #40891bzo
Participantse faire l’amour…
j’espère que vous avez déjà eu le bonheur, la chance,
de vivre de pareils moments,
de pareils moments de sensations de lutte amoureuse,
d’entremêlement intime,
avec soi-mêmepour aller plus loin
qu’est-ce qu’il y a, selon moi,
derrière ces mots?pour moi,
ce sont les sensations à l’intensité toute particulière
que vous commencez à vivre,
quand vous atteignez, au moins pour quelques instants,
un très haut degré de complicité avec votre corps,
que vous parvenez à communier sans réserve,
au plus intime de vous-même,
avec luile yin s’éveille aussi automatiquement,
en effet, pas de sensation de se faire l’amour, possible,
sans l’hôte ardent, le réceptacle vibrant,
au fond de soi qui s’ouvre, qui se laisse envahirsi cela vous arrive, ne ratez pas l’occasion,
c’est soyeux, c’est souple, c’est chaud, à l’infini,
laissez-vous faire toujours plus,
ne vous sentez pas gêné, n’ayez aucune honte,
d’avoir cette sensation d’être pénétré par vous-même,
déguster ce petit miracle, sans modération,
ces moments de trouble absoluc’est le moment androgyne, en fait,
le moment parfait, le moment unique, le désir en cercle,
la chair qui se satisfait elle-même, sans retenue,
sans tenir compte des frontières de notre identité sexuelle,
pour quelques instantspersonnellement, il n’y a plus que cela qui m’intéresse,
j’ai développé, depuis des années, tout ma pratique en fonction de cela,
de vivre constamment de pareils moments,
de pareils moments de transes voluptueuses, de transes en eaux troubles,
c’est devenu systématique chez moise faire l’amour,
être devenu capable d’ouvrir intimement sa chair, à soi-même,
d’y butiner le pollen soyeux13 avril 2021 à 8 h 32 min #40898bzo
Participantah cette sensation que toute ma chair est en train de fondre,
plus particulièrement celle du bassinj’appelle cela ma petite fonte contagieuse, ma petite fonte organisée,
cela commence par la région de l’anus, du périnée, de mes génitaux,
cela se met à se dissoudre en un liquide chaud, tellement caressant
et puis cela se répanddebout, le cul un peu contre la table, travaillant sur des contractions
et des mouvement élaborés du bassin, de mes hanches,
je sens toutes ces zones se liquéfier,
la lave douce, chaude, gagne du terrain en moi,
je l’attire avec des courbes, des arabesques, dansant lascivement, rythmiquement ma viande
vers leur consumation, leur incandescence, dans l’instantoh oui, je suis une chandelle, je brûle, je brûle, je sens la flamme danser en moi
et puis je me sens fondre, comme c’est délicieux,
toute cette matière, d’habitude, juste inerte, ici se transforme, se transmute,
me rappelant de plus en plus que je suis coincé inlassablement dans la gueule d’un volcan,
en bas dans mes profondeurs, je sens le grondement, le bouillonnement du noyau de la terre
et puis ma viande qui se délite, qui fond, qui monte, monte, partout en moi,
le ciel m’attend, m’attend brièvement,
il est juste au-dessus de ma tête13 avril 2021 à 18 h 09 min #40903bzo
Participantla femme de ménage qui vient pour l’instant, en remplacement chez moi,
est beaucoup plus jeune
et elle a un splendide popotin, ferme, plein de puissance,
même à 62 ans, cela fait germer instantanément plein d’idées dans ma tête, par moments
ponctuellement occasionne, une petite raideur dans mon pantaloncette partie de son anatomie, o combien intéressante,
apparaissait et disparaissait régulièrement de mon champs visuel,
que j’admets, je laissais plus que d’habitude s’éloigner de l’écran
devant lequel j’étais en télétravail depuis des mois
pour aller errer, mine de rien, dans la direction vers laquelle elle se trouvaitelle était montée, à un moment donné, sur un escabeau pour laver une vitre,
je me suis mis à la fixer, sans discontinuité, goulument, du coin de l’oeil,
buvant les courbes de son corps en action,
m’abreuvant à sa chute de reins qui ondulait tellement sensuellement
et puis son cul splendide, quel morceau, ah mes amis, mais quel morceau de roi,
j’avais envie furieusement de m’en saisir, de le manipuler, de le frotter, de le presser dans tous les sens,
mordre dedans avec avidité, comme dans une pomme juteuse, bien ferme, bien mûre,
tout cela parlait tellement à mes entrailles, évoquait tellement d’envolées voluptueusesquelle dommage qu’il y avait cette différence d’âge, entre nous
sinon j’aurai bien essayé de la draguer un peuje me contentais de faire quelques contractions discrètement tout en fixant à nouveau mon écran,
c’est devenu tellement effectif, qu’en quelques instants, j’ai failli jouir,
cela m’a complètement surpris, j’ai eu tout le mal du monde
à ne pas laisser échapper un gémissement, que dis-je, un grognement gras, genre sanglier chatouillé,
tellement mes entrailles se sont mises à se tordre de plaisirc’est la première fois que je faisais un truc de ce genre, en présence d’un ou d’une autre, chez moi
jamais jusqu’ici je n’avais essayé,
je n’aurai pas cru que cela fonctionnait si facilement et avec si peu de moyens mis en oeuvre,
j’avais gardé tout mon tronc bien immobile, ainsi que mon bassin,
j’avais juste écarté les fesses sur mon siège, m’étais cambré un peu et fait monter quelques contractions
immédiatement, j’ai senti, en bas, toute ma chair s’imprégner d’ondes,
cela s’est répandu comme une traînée de poudre vers le haut en quelques instants,
provoquant derrière mes yeux, comme une explosion d’étoiles dans tous les sens,
mes paupières se sont refermés, par habitude, pour mieux déguster le moment,
c’est là que j’ai du faire un effort surhumain
pour rattraper les sons qui avaient commencé déjà à rouler à bonne vitesse vers la sortieelle est partie un peu plus tard,
je me suis remis immédiatement dans mon peignoir, tout nu dessous,
me suis appuyé contre la table, dans une de mes positions favorites,
avec le bout du cul dessus, les jambes écartées, les fesses cambrées,
ainsi, j’ai fait monter lentement, très lentement, quelques contractions,
la jouissance a été quasi immédiate et pendant de longues secondes,
des vagues soyeuses, chaudes, montaient les unes après les autres depuis mon bassin,
son petit cul flottait encore en filigrane devant mes yeux,
ma mémoire avait enregistré le moindre détail du mouvement de ses reins
et à présent, le rejouaient sans cesse avec des haut-parleurs pour tout mon intérieurah qu’elle m’a fait passer un bon moment, cette diablesse au corps agile,
comme c’est bon, tout cela, cette chair tellement prompte à l’ivresse,
tout ce corps comme une formidable machinerie,
tellement prompte à jouir, tellement prompte à produire des flots de voluptéaboutissement de ces longues années d’exploration,
une approche goulue, gourmande, des instants, avec mon corps,
ma petite caverne d’Ali Baba chérie, toujours à portée,
toujours prête à déverser ses trésors13 avril 2021 à 21 h 51 min #40905bzo
Participantc’est quelque chose de tellement sensuel, de tellement érotique, une douche,
enfin, l’acte de prendre une douche, je veux direles mains qui savonnent lentement le corps, méticuleusement le parcourent,
ces gestes, chez moi en tout cas,
se transforment systématiquement en caresses langoureuses, partout, peu à peu,
je ne peux y résister ces derniers temps, c’est plus fort que moi,
mon corps nu, humide, le frôlement caressant de ces millions de gouttes d’eau chaude
mes doigts glissent avec de plus en plus de lascivité,
d’attention au grain de la peau, à ses contours
et toujours, ce flot vertical d’eau qui m’entoure comme une gangue douce, dégoulinante
oh, le manège de mes mains m’enchante, me ravit de plus en plus
au fil des joursje me savonne, cela mousse à gauche et à droite,
je m’approche de mon sexe, de mes couilles, je les palpe, je les presse,
je les retourne, je les inspecte, je les nettoie avec mille attention,
je les bichonne, mes petits outils, au repos, enfin plus pour longtemps,
je vais derrière, j’introduis un doigt plein de savon dans ma petite crevasse d’amourj’ai commencé à me balancer sur place, à onduler un peu,
mes cuisses se sont serrés autour de mes bijoux de famille,
je continue à me savonner consciencieusement, joindre l’utile à l’agréable, n’est-ce pas,
presque une philosophie, un mode de vie,
tout un programme en tout casune contraction remonte en moi maintenant, quel délicieux et lent piston,
qui semble tout desceller sur son passage,
oh je jouis déjà, comme des filets d’orgasme semblent me parcourirultime bonheur, cerise sur le gâteau, je sens que je dois uriner,
arrêtons la douche pour déguster ce petit moment, à part comme il le mérite,
toujours je serre délicatement entre mes jambes, mon petit paquet vibrant doucement,
le liquide chaud commence à dégouliner,
mon sexe semble l’éjaculer plutôt, une longue et interminable coulée,
oh comme c’est bon, je continue à me balancer de plus en plus langoureusement,
et je me serre entre mes propres bras,
pressant de plus belle l’éponge de soie que j’ai entre les jambes
qui lâche un petit filet jaune pour l’instant
c’est plus chaud et plus doux que jamais, là en bas,
comme la volupté monte en moi, comme elle s’étend, comme elle me fait frissonner,
je suis pris dans des sables mouvants, je m’enfonce de plus en plus dedans,
oh que je coule à pic, que je m’enfonce jusqu’au centre de la terre ainsi!ah, il faut finir, se sécher,
déjà!!!
comme c’était bon, dommage que la femme de ménage de tout l’heure,
n’était pas là avec moi sous la douche, sa peau contre ma peau,
nous aurions fait des tas d’étincelles ensemble,
nos corps auraient chanté de concert14 avril 2021 à 10 h 11 min #40907bzo
Participantle désir,
ce sont les chevaux de l’attelage,
constammentlibérer le désir,
lors de nos moments sexuels,
c’est offrir au plaisir,
un espace toujours plus vaste, toujours plus richemais pas seulement
car le désir infuse absolument tout,
il est partout, constamment,
derrière tous nos faits et gesteson s’en rend pas compte immédiatement
car hors du contexte sexuel,
il est d’une remarquable discrétion
mais sous des couches et encore des couches
c’est encore lui, toujours luile moteur dans le noyau,
le seul, l’unique, le vrai,
c’est lui et encore luilors de nos moments d’intimité,
il s’exprime au grand jour
mais sinon, au fil du quotidien,
il reste enfoui dans les profondeurs,
comme un sang invisible qui circule,
caché en nouslibérer le désir de plus en plus,
c’est découvrir peu à peu toute la richesse
de ce que la vie a placé en nouslibérer le désir de plus en plus,
c’est permettre aux fruits sur l’arbre de mûrir,
c’est un possible épanouissementlibérer le désir de plus en plus,
c’est le révéler peu à peu dans toute sa splendeur,
vivre son incandescence protéiforme, sans restrictionsavec le plus d’acuité,
lors de nos moments sexuels
mais en percevoir aussi les mille et un reflets
dans notre quotidien14 avril 2021 à 10 h 57 min #40908bzo
Participantévoquer le plaisir qu’on peut éprouver avec de l’urine,
enfin mes jeux à moi, en solitaire donc, avec ce liquide jaune doré,
c’est évoquer son écoulement chaud si particulier,
comme une colonne de fourmis qui chatouillent de leurs petites pattes,
effleurant délicatement la peau sur leur passageil faut surtout s’être bien préparé,
c’est-à-dire, avoir un peu pratiqué avant
pour que toute la zone du bas-ventre soit encore bien sensibilisée,
ait été traversée de toutes sortes d’ondes, soit encore un peu vibrante d’excitation,
là le moment est parfait pour ce petit jeu spécial de quelques minutes
que vous pouvez pratiquer au lit avec une alèse imperméable dessus
ou alors sous la douche,
enfin chez moi, c’est comme celaje ne suis pas très fort en physiologie,
je ne pourrais donner une description précise, scientifique,
mais quand que le jet d’urine monte lentement,
une tension s’installe dans le sexe
et les muscles aux alentours qui permettent cette action,
avec donc toute cette zone bien excitée en préliminaire, bien sensibilisée,
eh bien les sensations vont être assez similaires à celles qu’on peut éprouver lors d’une éjaculation
mais en moins explosives, plus localisées au sexe, plus subtiles, plus délicates
et définitivement qui durent plus longtemps,
jusqu’à plusieurs minutesil ne faut pas se précipiter,
essayer de ralentir le flot au maximum pour faire durer le plaisir, l’intensifier ainsiune sorte d’intensité coulante à l’intérieur du sexe,
de la densité liquide, épaisse qui s’installe dedans,
un frottement intense depuis l’intérieurc’est assez fragile comme plaisir, assez capricieux, il faut bien le dire,
on ne réussit pas à chaque fois
mais quand c’est un succès, c’est un sacré bon moment,
la cerise sur le gâteau d’une séance
ou un petit aparté délicieux, irrésistible, de plaisir bien spécial15 avril 2021 à 20 h 01 min #40915bzo
Participantcela fait un certain temps, un temps certain, même
que l’idée de développer en parallèle à ma pratique actuelle,
un massage prostatique plus conventionnel,
me trotte dans la têtepour rappel, j’ai commencé comme cela,
avec un masseur, allongé, en tête à tête uniquement avec ma prostate
et puis même si je n’ai pas du tout suivi le Traité d’Aneros à l’époque,
les résultats obtenus, étaient bien des orgasmes prostatiques, des super O, etc, etc.aujourd’hui ce que je fais, n’a plus rien à voir avec tout cela
et le plaisir que je vis, non plus,
c’est quelque chose de totalement différent,
le mode yin est enfoui en chacun de nous et c’est tout un autre continent
avec un autre type de sensations, de jouissance, d’orgasme, de volupté,
on vit son corps radicalement autrementmais j’ai envie de retrouver aussi donc le plaisir prostatique de mes débuts,
il y a des moments qui me manquent vraiment,
ces super O qui me faisaient tomber du lit tellement je me tordais dans tous les sens,
qui me faisaient encore continuer par terre, me cognant aux meubles,
j’étais couvert de bleus après mais qu’est-ce que c’était bon,
d’avoir été aussi loin, aussi fort, en roue libre, dans un orgasme hors normes
cela et puis dans un tout autre genre,
ces longues extases interminables, parfois plus de cinq minutes, tellement calmes, comme en eau profonde,
où il m’arrivait même régulièrement d’avoir des hallucinations tout à fait étonnantesoui tout cela me manque quelque part, j’y pense avec nostalgie de temps à autre,
cependant s’il fallait choisir, je préfèrerai tout de même rester avec ce que j’ai maintenant
car le mode yin, il n’y a peut-être pas de super O, de ces longues extases,
parfois même il n’y a pas d’orgasmes du tout pendant des jours,
mais ce sont des sensations délicieuses, dès les premiers instants, dans tout le corps,
c’est vécu constamment comme si on se faisait l’amour, ça n’a pas de prix cela,
et puis cette sensation aussi, qui est tout le temps là, de complicité avec son corps, de communion avec lui,
et dans le bassin, celle du yin et du yang, entremêlés,
comme un noeud ineffable, un noyau multi-genre vibrant,
tout cela vaut tous les orgasmes du monde, c’est irremplaçable,
une fois qu’on y a goûté, on ne peut plus s’en passermais bon, encore une fois, s’il y avait moyen d’avoir les deux, ce serait encore mieux
mais c’est peut-être vouloir le beurre et l’argent du beurre,
avoir la maîtrise des deux pratiques, passer de l’un à l’autre , suivant son envie du moment,
pour l’instant, cela reste au stade du voeu pieux chez moi,
j’ai bien fait quelques essais en prostatique pur,
parfois avec des résultats très intéressants pourtantle problème, c’est que le mode yin reprend possession de moi beaucoup trop facilement
dès que je me mets en mode plaisir, à la maison, c’est devenu comme une seconde nature
et dès que j’essaie de m’en éloigner systématiquement, plus de quelques secondes,
j’ai l’impression rapidement que tout mon corps est en train de suffoquer,
je sens comme un terrible vide en moi,
toute cette volupté qui m’envahit d’habitude dès les premiers instants, partout,
n’est plus là pour abreuver ma chairaussitôt que je me remets en mode yin,
c’est comme un extraordinaire soulagement, dans tout mon être,
comme un poisson échoué sur la rive qui était en train de suffoquer pris de soubresauts,
je semble retrouver mon élément naturel, m’y réimmergeant avec délectationtoucher mes seins, les frôler un peu, me fait frissonner de partout,
toute ma peau est devenue tellement électrique,
resserrer les cuisses sur mes génitaux et onduler un peu du bassin,
envoie des ondes de volupté dans tout mon corps,
faire remonter une contraction, j’en ai tout de suite une pluie d’étoiles derrière les yeux
et la colonne vertébrale comme transformée en vibrations soyeuses,
à chaque contraction que je fais quasiment,
j’ai l’impression que mon âme est éjectée jusqu’au firmamentcependant j’ai décidé et je vais essayer de m’y tenir,
si je me met au lit, ce ne sera plus que pour m’exercer en massage prostatique,
plus de mode yin pour l’instant, sur le matelas, cela va me forcer un peu la main,
c’est une sorte de contrainte que je me suis fixé qui j’espère, portera ses fruits
et me fera progresser en massage prostatique anerolessaneroless, oui uniquement
car remettre un de mes masseurs en service, cela tout de même, c’est hors de question,
au stade où j’en suis, je n’ai plus aucune envie de masseur, je ne veux plus avoir de corps étranger en moi,
juste moi et mon corps, en tête à tête, on est trop bien ainsi, intimité délicieuse, tellement sans limites,
pas de matériau entre nous, juste au plus près de ma chair, de mes nerfs, de mes humeurs, de mon sang,
comme fusionné à eux, comme immergé en eux16 avril 2021 à 8 h 29 min #40916bzo
Participantentre mes cuisses, mes couilles et mon sexe, semblent comme radioactifs,
je veux dire qu’au moindre contact, ils semblent comme émettre un constant flux d’ondescouché, je dispose mes cuisses autour d’eux, elles leur font comme un nid chaud, douillet
où ils peuvent se reposer, ronronner tranquillement,
avoir constamment ce petit filet d’ondes délicieuses qui s’échappe,
ce matin sous la couverture, je suis resté bien immobile ainsi,
je rêvassais, je rêvassais
et en même temps, je gouttais à cette flaque chaude, soyeuse qui s’était formé dans mes cuisses,
cette mini-inondation issue de mes bijoux de famille,
comme c’était doux, légèrement frissonnantmais ce n’est jamais totalement immobile là en bas,
il y a toutes sortes de frémissements, de petits mouvements reflexe, j’ai pu constater,
à chacune de ces légères mises en mouvement, malgré moi, de mes génitaux dans leur petit nid,
c’est comme si le niveau d’émission d’ondes s’accentuait soudainement pour un temps,
la flaque dans mes cuisses s’agrandissait, s’élargissaitmais si j’y ajoutais un mouvement volontaire plus important,
que je frottais ou que je pressais, par exemple, un peu mes cuisses, dessus
alors l’émission d’ondes, brusquement, augmentait fortement de volume,
la flaque s’agrandissait en proportion,
immédiatement, tout mon bassin semblait envahi
et si j’insistais, l’inondation commençait à gagner mon tronc, plus bas, mes jambeset puis si à tout cela, j’ajoutais une contraction,
alors là, c’est comme si la cavalerie lourde débarquait,
cela se met à galoper irrésistiblement depuis la zone de la prostate,
il y a un amalgame qui se fait directement avec les ondes génitales,
cela dépend, en fait, de la puissance et de l’insistance de la pression,
si je la maintiens plus ou moins ou pas, si elle est plus ou moins forteplus la contraction sera brève et plutôt légère,
plus les ondes prostatiques auront plutôt tendance à s’amalgamer avec les ondes génitales,
à faire leur parcours avec elles, offrant alors des nuances riches, variées, issues de leur combinaison
mais si la contraction est maintenue, est plus forte,
je joue sur ces paramètres, constamment, bien sûr,
alors les ondes prostatiques monteront plutôt toutes seules, comme une meute lancée à la poursuite de quelque chose,
seront trop puissantes pour que les ondes génitales, puissent venir fusionner à elles,
ainsi la sensation sera plutôt prostatique,
c’est-à-dire, toujours une impression de fusée au décollage,
s’arrachant, s’arrachant, essayant de monter et de faire monter,
peu à peu qui entraîne tout avec elle, de plus en plussi je continue avec des contractions fortes, insistantes,
alors c’est comme si la bouche d’un volcan se mettait en place, entre mes reins
qui émettait vers le haut un flux de plus en plus constant de lave douce, chaude, bouillonnante
qui s’éparpille de plus en plus dans une sorte de ciel à moi,
qui lui-même devient de plus en plus vaste,
la lave montant de plus en plus haut, le ciel s’agrandissant avec lui de plus en plus, pour l’accommoder16 avril 2021 à 19 h 53 min #40919bzo
Participantpersonne ne pourra jamais me procurer le plaisir que je me procure,
personnejamais, je ne pourrais me procurer le plaisir que quelqu’un d’autre peut me procurer,
jamais17 avril 2021 à 8 h 54 min #40924bzo
Participantje viens de me réveiller,
ha ma chair est là, je serre les cuisses automatiquement,
oh oui, comme c’est bon, tout est bien là,
je me caresse, je laisse une main vagabonder, je suis sur le flanc pour l’instant,
elle descend sur une fesse, passe un peu dans ma petite fente derrière,
bien humide de la crème que j’y mets tous les soirs,
je glisse le bout du doigt, dedans, je l’enfonce très très lentement,
cela devient tellement chaud à l’entrée, tellement fondant,
oh c’est indicible ce doigt qui entre lentement,
tout à coup, je le fais entrer bien à fond et je laisse ainsi,
je lance une contraction des muscles autour pour comme l’envelopper,
je joue désormais avec un peu
oh, ma chair, que me fais-tu là, me voilà déjà dans tous mes états,
je ne suis même pas encore réveillé et déjà je suis en train de jouirje sors mon doigt du fourreau chaud de mon cul,
la main se remet à caresser, je remonte lentement sur le flanc,
à la hauteur du sein, je bifurque et je plonge vers lui,
je commence à jouer avec la pointe, je passe et repasse dessus,
je le frotte, je le presse, je fais des petits ronds dessus
et puis en bas, je fais monter des contractions
ah ma chair, je re-jouis, encore et encore,
ma main continue de travailler sur le sein,
tandis que je maintiens longtemps, longtemps, une contractionbonjour la vie, hello everybody, bonjour ma chair, bonjour mon corps,
bonjour le plaisir - AuteurArticles
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