Mots-clés : a-less, anerosless, journal, orgasme
- Ce sujet contient 370 réponses, 8 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Jieffe, le il y a 6 années et 3 mois.
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4 mai 2018 à 8 h 21 min #27497EpictureParticipant
Excuse-moi, BZO, mais je ne peux m’empêcher de relier l’exploration prostatique à la vie en général.
Il ne faut pas entendre le terme défrichement comme la transformation d’une jungle luxuriante en champ de patates biens rangées. Notre terre doit rester luxuriante. Nous devons juste apprendre à en connaitre les méandres, à nous nourrir de ses fruits, et revenir là où la vie y est la plus propice à notre épanouissement. Mais que serait notre épanouissement sans le respect que nous lui devons ? La machette ne sert pas à tailler cette jungle qui gène ma progression, mais à découper en petits morceaux, la croyance selon laquelle elle va me prendre dans sa gueule pour m’avaler. Non, elle me prend dans sa gueule comme moi je me confie à elle pour que s’accomplisse notre joie de vivre.
Finalement, tu n’as plus besoin de rien ni de personne. Je veux dire : il n’y plus que toi… et toi. De cette union, nait la confiance et l’apaisement.Bises à toi aussi BZO
4 mai 2018 à 8 h 32 min #27498bzoParticipantmais je ne peux m’empêcher de relier l’exploration prostatique à la vie en général.
bien sûr, l’exploration prostatique fait partie intégrante,
elle concerne quelque chose de tellement fondamentale dans notre vie, à la sexualité
et le massage prostatique nous donne accès à un autre type de sexualitéIl ne faut pas entendre le terme défrichement comme la transformation d’une jungle luxuriante en champ de patates biens rangées. Notre terre doit rester luxuriante.
si tu veux que cela reste un champ de patates bien rangées, il ne faut pas s’engager dans le massage prostatique
qui donne accès à des parts inexplorées de nous-même,
on s’enfonce dans l’inconnu, on va au-delà de certaines limitesc’est en ce sens que j’entendais que j’avance machette à la main,
comme un explorateur s’ouvrant son chemin dans une jungle vierge, une jungle sauvagetoi aussi, je l’avais compris ainsi,
c’est aussi de cette façon que tu l’entendais, j’en suis certainJe veux dire : il n’y plus que toi… et toi. De cette union, nait la confiance et l’apaisement.
oui tout dépend de nous seuls ici
et de notre capacité à éveiller le féminin en nous (cela va faire froncer les sourcils de certains par ici
mais qu’importe, mon expérience du plaisir prostatique est ce qu’il est)c’est une réelle aventure individuelle,
c’est rare de nos jours dans nos vies tranquilles , civilisées, balisées,
avec le massage prostatique on se frotte à l’inconnu en nous,
on se frotte à l’animal en nous, on se frotte au sublime en nous, on se frotte au féminin en nous,
il s’agit de laisser nos instincts, nos pulsions, s’exprimer entièrement
et de parvenir à des états supérieurs de plaisir
qui touchent parfois à des états de conscience bien mystérieux4 mai 2018 à 9 h 30 min #27502JieffeParticipantBonjour bzo,
enfin pour l’instant, peut-être vais-je y arriver un jour, qui sait,
pour l’instant je laisse tomberJe pense que tu touches ici ce qui est compliqué pour la plupart d’entre nous et qui t’est facile parce que très certainement naturel, la concentration et l’abandon. Comme on l’a souvent répété, pour que le massage prostatique fonctionne, il faut s’y abandonner tout en restant concentré sur ses sensations. Souviens toi, le cerveau crocodile, celui qui agit sans réfléchir…. et bien là c’est ce que tu as fait, tu as réfléchi, tu étais concentré sur ce que tu faisais, ouvrir et fermer tes yeux, et le plaisir n’est pas venu.
Cela confirme les conseils que tu as maintes fois répétés, il ne faut pas penser, mais laisser agir son corps et son esprit.
Je suis persuadé qu’en décidant d’abandonner, cela reviendra naturellement lors d’une prochaine séance, pendant laquelle tu alterneras les moments paupières closes et paupières ouvertes sans y penser, sans réfléchir, naturellement, parce que tu en as envie, et tu retrouveras tes sensations.Et oui clairement, je te vois comme un explorateur qui trace son chemin dans la jungle, et qui l’ouvre pour nous.
4 mai 2018 à 19 h 08 min #27514bzoParticipantje m’excuse @Epicture, ce matin j’ai répondu un peu rapidement et platement,
je n’avais pas lu assez attentivement ce que tu écrivais, j’étais plutôt presséje ne peux m’empêcher de relier l’exploration prostatique à la vie en général
Il faut bien sûr, notre discipline fait partie intégrante de la vie,
elle concerne la sexualité et celle-ci est un de nos moteursil y a quelques activités qui donnent du sens à ma vie,
la littérature, l’art, le cinéma et aussi mon activité prostatique,
chacun dans son domaine,
m’apporte de l’épanouissement, des émotions, des sensations, du plaisir,
des possibilités de m’enrichir et de me dépasser
et enfin, de toucher à du mystère, à du sublimeIl ne faut pas entendre le terme défrichement comme la transformation d’une jungle luxuriante en champ de patates biens rangées. Notre terre doit rester luxuriante. Nous devons juste apprendre à en connaitre les méandres, à nous nourrir de ses fruits, et revenir là où la vie y est la plus propice à notre épanouissement. Mais que serait notre épanouissement sans le respect que nous lui devons ? La machette ne sert pas à tailler cette jungle qui gène ma progression, mais à découper en petits morceaux, la croyance selon laquelle elle va me prendre dans sa gueule pour m’avaler. Non, elle me prend dans sa gueule comme moi je me confie à elle pour que s’accomplisse notre joie de vivre.
Finalement, tu n’as plus besoin de rien ni de personne. Je veux dire : il n’y plus que toi… et toi. De cette union, nait la confiance et l’apaisement.quand on commence à prendre mesure de ce qu’on a en face,
on a l’impression d’être aux pieds des arbres immenses en lisière de la forêt amazonienne,
on devine qu’on est en face d’une immensité quasi insondable de richesses, de luxuriance, de mystère,
de vie sauvage, de vie animalecommencer à l’explorer, c’est aller au-delà de nos limites, c’est grandir
essayer de transformer cela en champ de patates bien rassurant?
je crois que c’est impossible, à moins de rester en lisière
et de se contenter d’un tout petit bout de territoire qu’on défriche et qu’on va cultiver,
peut-être au début est-ce rassurant de procéder ainsi,
on a peur de l’inconnu, on a peur de tout ce qui est réveillé,
du féminin en nous, de l’animal en nous, de nos instincts quand ils se déchaînentFinalement, tu n’as plus besoin de rien ni de personne. Je veux dire : il n’y plus que toi… et toi. De cette union, nait la confiance et l’apaisement.
on est seul face à cette Amazone en nous, une extraordinaire aventure individuelle,
il rest si peu d’aventure individuelle en ce 21ème siècle,
tous les continents ont été explorés,
les peuples sauvages civilisées, formatés à peu près, plus ou moins, sur le modèle occidental
les dernières terra incognita se trouvent en nous,
c’est individuellement, dans notre monde intérieur que se situent les dernières grandes aventures à menermais cette Amazone à explorer est aussi une amazone à éveiller,
donc moi et moi, moi et moie plutôt, un couple d’une ardeur qui peut se révéler peu à peu sans limites
pour faire l’amour, pour se faire l’amour4 mai 2018 à 19 h 35 min #27515bzoParticipantJe pense que tu touches ici ce qui est compliqué pour la plupart d’entre nous et qui t’est facile parce que très certainement naturel, la concentration et l’abandon.
tu as tort, c’est beaucoup de travail, sur des mois et des mois, cela vient peu à peu, rien d’inné
et bien là c’est ce que tu as fait, tu as réfléchi, tu étais concentré sur ce que tu faisais, ouvrir et fermer tes yeux, et le plaisir n’est pas venu.
effectivement tu as bien compris la problématique
Dans ma manière de pratiquer, on se lâche complètement,
on laisse les instincts, le cerveau reptilien mener la danse,
garder dans sa tête une injonction d’ouvrir et de refermer les yeux,
parasitent les sensations, les tuent peu à peuen tout cas pour l’instant, je n’ai pas encore trouvé la solution pour concilier tout cela
Je suis persuadé qu’en décidant d’abandonner, cela reviendra naturellement lors d’une prochaine séance, pendant laquelle tu alterneras les moments paupières closes et paupières ouvertes sans y penser, sans réfléchir, naturellement, parce que tu en as envie, et tu retrouveras tes sensations.
peut-être, peut-être pas, je ne vais plus m’en préoccuper pour l’instant
la technique qu’on acquiert peu à peu, c’est notre véhicule, au début c’est un véhicule poussif, lent,
toussotant, tombant souvent en panne
mais au fur et à mesure qu’on la perfectionne,
notre moyen de locomotion devient peu à peu une voiture de sport capable d’immenses performances,
de nous apporter des griseries enivrantes, uniquesil reste cependant la question du conducteur, elle est au moins aussi importante que le véhicule
car tant qu’on reste soi-même derrière le volant,
ce sera comme de mettre un bolide sans pareil entre les mains d’un conducteur du dimanchenon, il faut laisser monter notre cerveau reptilien, nos instincts, le féminin dans nos profondeurs,
c’est une voie étroite, fragile à établir avec les insondables abysses en nous,
qui demande beaucoup d’entraînement, c’est une véritable gymnastique mentale,
que de laisser le volant de cette belle mécanique qu’on a mise au point à tout cela
qu’on va inciter soir après soir, séance après séance,
à monter, à venir prendre les commandesnous, on sera finalement quand tout cela sera au point, dans le siège passager,
on déguste la course, jouit du paysage, de tout ce qui se passe,
et de temps à autre, si le véhicule commence à faire n’importe quoi,
on reprend la direction des opérations, on donne un petit coup de volant en quelque sorte
pour remettre le bolide en piste
car personne ne le connait mieux que nous
puisqu’on l’a mis au point, construit de nos mains de A à Z pour ainsi dire4 mai 2018 à 20 h 47 min #27516bzoParticipantdans la continuation
c’est quoi ma technique dont je parle plus haut, d’où vient-elle, comment m’est-elle venue?
c’est un véhicule adapté en fait à être conduit pas par moi
mais par tout ce monte de mes profondeurs, mes instincts, le féminin, etcelle a été mise au point lentement au fur et à mesure
que je parvenais de plus en plus à me lâcher et à laisser les commandes à ce qui monteje me fais l’amour donc, je me ressens essentiellement comme femme durant la séance
avec une petite zone qui reste masculine dans le bassin qui manipule les contractions,
les faisant ressentir comme un sexe dressé, gorgé de sang, engagé dans une pénétration,
dans un va et vient vibrant, variécette technique donc, ce sont tous les mouvements, tous les gestes de l’amour à deux
mais adaptés, traduits en quelque sorte à la situation particulière
où deux sont en un,
cela vient assez naturellement en fait, une fois qu’on a compris le truc,
on esquisse, on suggère un mouvement,
l’imagination, les sens, l’excitation, la chair en action, font le reste automatiquement,
le font ressentir dans son entièreté et bien au-delà
puisque tout ce qui se passe dans le bassin par exemple
est ressenti tantôt comme masculin, tantôt comme féminin, tantôt fusionnés,
tantôt passant de l’un à l’autre,
c’est indescriptiblement délicieux, puissantà la limite, en aneroless il suffit d’évoquer un mouvement
et on peut parvenir à le ressentir avec un réalisme sidérant,
j’imagine que notre ami @Ch313 doit fonctionner essentiellement comme cela,
je fais de plus en plus de progrès dans cette directionpar exemple, je contracte un peu les fesses, les muscles autour de l’anus
ainsi que les abdominaux, le mouvement partant des reins, très ample en fait
et je ressens comme un pénis montant au plus profond de mes entrailles,
cela allume le feu partout en moi, c’est divin4 mai 2018 à 22 h 33 min #27518bzoParticipantje crois que je vais quand même y arriver,
à cette alternance évoquée plus haut,
je touche du bois mais ça a l’air de marcher quand mêmecomment? qu’ai-je changé pour que soudainement?
difficile à répondre, je pourrai apporter des réponses définitives
que si je parviens à confirmer cette évolution sur plusieurs jours
et non pas que demain déjà je déchantec’est une question de concentration et de continuer à se lâcher
et à se laisser guider entièrement par son élan, par ses instinctsne pas se laisser démonter par les moments de chutes de tension sexuelle
quand on commence à penser qu’il faudrait alterner, ouvrir ou fermer les paupières,
ces petits moments où notre intellect reprend le contrôle
mais qu’en même temps les sensations continuent d’affluer,
les mains continuent de caresser, les contractions continuent les mouvements de pénétrationsi on est bien lancé, bien excité, c’est un peu comme si on coupait le moteur
mais qu’on continue sur sa lancée à avancer,
il faut juste s’arranger pour que cela ne dure pas trop
sinon on commence à ralentir,
donc on a alterné, immédiatement on ne pense plus à rien,
on se concentre sur l’action et les sensations, on en rajoute un peu,
on en fait un peu trop, cela relance tout de suite le moteur avec fougue
et c’est déjà reparti avec des sensations différentes,
cela ne s’additionne pas, c’est exponentiel au niveau des sensations,
donc il est assez facile de se laisser entraîner,
il suffit juste de négocier les moments d’alternance
comme des virages , c’est un peu délicat, il faut ralentir, il faut se pencher,
équilibrer l’engin engagé dans un changement de directionpour l’instant ça a l’air de fonctionner,
on va voir4 mai 2018 à 23 h 48 min #27519bzoParticipantje sors du lit,le cul encore en feu
et les oreilles encore emplies de mes râles et de mes gémissementsquelle intensité de chaque instant,
le plaisir prostatique est le nectar des dieux,
une bonne demie heure au paradisquestion alternance, étonnant,
il y a une bonne heure, c’était encore comme décrit juste plus haut
mais là cela ne me coûtait plus aucun effort,
les transitions yeux ouverts-yeux fermés se faisaient sans la moindre anicroche la plupart du temps,
cela semble tellement intégré pour l’instant, une autre corde à mon arc,
comme les caresses, comme les contractions, tout cela est fait sans réfléchir
et il semble que cette alternance ait pris la même directionles gains sont déjà énormes, mes séances et micro-séances
vont décoller encore plus et plus facilement,
cela va devenir indécent de facilité et d’intensité si cela continue comme cela5 mai 2018 à 1 h 03 min #27520bzoParticipantcela va devenir indécent de facilité et d’intensité si cela continue comme cela
c’est devenu indécent de facilité et d’intensité,
comment aller se coucher quand on peut obtenir des orgasmes en quelques secondes d’une telle intensité,
en en faisant de moins en moins, de plus en plus dans le dépouillement,
dans le minimalisme mais avec maximum d’effets
je m’en abreuve, je m’en enivre, pas d’overdose d’overdose,
juste magique, une chanson légère empli mon âmej’appuie sur mes seins,
une contraction me remontant lentement dans le fondement,
j’ouvre les yeux puis les referme,
cela a pour effet d’accélérer quelque chose dans mon sang,
à chaque fois que j’ouvre ou que je referme mes paupières,
cela a comme effet d’emballer quelque chose dans mon sang
cela se met à bouillonner dans ma chair, cela se met à ruer de plus en plus,
irrésistiblement comme une marée au galop maintenant,
je suis submergé, la bouche ouverte, emplie de sons denses, rauques
j’ai envie de rester ainsi pour l’éternité,
figé, statue dédiée au plaisir, masque de jouissance tourné vers le ciel,
le fondement en feu, le fondement en flammes5 mai 2018 à 2 h 35 min #27521bzoParticipanteu mon premier super O, vers 02h 15
dans mon fauteuil devant mon ordinateur,
j’avais les jambes écartées, les bras croisés sur mes seins,
les serrant comme si j’avais peur qu’ils s’envolent si j’enlevais les mainsbien enfoncé dans ma chair entre mes cuisses écartées,
il y avait vous savez quoi, bien dur, bien raide, bien turgescent,
il y a eu une fissure dans ma réalité,
j’ai senti quelque chose fondre dans le coeur du béton,
une plaie s’est mise à saigner de l’or, les premiers tremblements sont arrivés
et puis le plaisir en staccato, comme des rafales de mitraillette,
l’instant d’après je pleurais de joie, je pleurais de bonheurje me demande si je vais dormir cette nuit,
je n’ai envie que d’une chose, c’est de m’envoyer en l’air
et de jouir
et de jouir encore,
il faut battre le fer pendant qu’il est chaud
et pour être chaud, il est chaud5 mai 2018 à 3 h 21 min #27522bzoParticipantun deuxième super O à peu près dans la même position
mais encore plus tellurique, plus possessif,
j’avais l’impression qu’il allait m’envoyer dans la troisième dimension
tellement tout s’est déchiré,
une goutte d’anti-matière avait tout mis sens dessus sens dessousl’alternance yeux ouverts yeux fermés fonctionnent désormais totalement sans le moindre accroc,
fait partie de mon arsenal au même titre que les caresses,
les mouvements du bassin, les contractions,
je me caresse même le sexe, les couilles,
les sensations que j’en tire sont immédiatement intégrés au flux de mon plaisir prostatique
à titre de sensations exotiques, même pas l’ombre d’un raidissement de mon péniscette alternance, c’est quelque chose de monstrueux,
c’est comme un turbo ultra-puissant qui se met en route
et qui propulse mes micro-séances et mes séances à des hauteurs que je n’avais jamais atteintesla nuit est chaude, la nuit n’est pas finie,
il y a encore quelques frémissements, quelques convulsions, à tirer de cette carcasse
avant d’aller s’écrouler mort de plaisir dans mon lit5 mai 2018 à 4 h 25 min #27523bzoParticipantencore eu deux autres super O, toujours dans la même position,
quelle nuit, plein d’étoiles dans ma chair,
le plaisir coule à flotsj’ai la recette
désormais avec tous les ingrédients
5 mai 2018 à 23 h 39 min #27525bzoParticipantj’arrive désormais à avoir des orgasmes tellement puissants, des super O
tellement rapidement, tellement facilement
grâce à cette alternance de moments yeux ouverts, yeux fermésj’essaie de comprendre comment est-ce possible,
comme je l’ai déjà décrit, les sensations sont totalement différentes
paupières ouvertes, paupières closes
et c’est encore plus nettement perceptible en aneroless
car les sensations y sont plus précises, plus acérées, d’un réalisme totalle fait de passer d’un plaisir intériorisé goûté dans l’intimité feutrée
soudainement vers un plaisir extériorisé, plus exacerbé,
semble provoquer une sorte de stimulation, de renforcement des sensations
qui fait qu’en quelques instants l’intensité augmente dramatiquement
et l’accroissement semble exponentiel au fur et à mesure que les instants passenthier dans la nuit j’ai eu quatre super O, ce matin encore un,
depuis je n’ai plus vraiment exercé,
chacun a été atteint en cinq à dix minutes à peine, ont duré une minute en moyenne,
celui de ce matin, deux ou troisparvenir en quelques minutes à de pareils états d’excitation et de jouissance,
cela devient magique,
je suis le plus heureux des prostatophages, le plus comblé des prostatophiles,
le plus enchanté des prostatovores6 mai 2018 à 3 h 00 min #27526bzoParticipantles orgasmes viennent les uns après les autres,
ils me secouent, comme ils me secouent!
j’ai l’impression d’avoir un arbre dans mes entrailles
cela frémit, cela tremble de tous les côtés,
corps et âme,
je suis empli par ce bonheur fugace si vif, si unique, si puissantessentiellement dans la même position,
les jambes bien écartées reposant sur le bureau en face de l’ordinateur,
avec les mains je tire en arrière le haut des cuisses,
cela a pour effet de m’écarter encore plus, posture délicieusement indécente,
comme si je me préparais au passage de quelque chose d’énorme,
totalement accessible, totalement ouvert, incroyablement pénétrable
et puis je presse, je presse, je presse, comme je presse!
quelques moments yeux ouverts, quelques moments yeux fermés,
les sensations s’emballent à chacune de ces transitions un peu plus,
je halète en quelques secondes déjà parcourus de spasmes,
je suis déjà au bord de l’orgasme,
cela vient, cela monte, je m’entends gémir de plus en plus fort,
c’est plus crier en fait,
cela dure, cela dure, comme cela dure!
avec tout l’intérieur qui tremble de bonheur,
comme il tremble mon intérieur, ces orgasmes sont des shakers
qui me mettent sens dessus, sens dessous en un tour de main,
comme si tous mes organes, tous mes tissus se frottaient lubriquement les uns contre les autres,
tout mon intérieur en pleine partouze frénétiquej’ai les bras en croix serrés contre ma poitrine, pour changer,
je ferme les yeux, je m’envole,
de ma tête comme d’un nid, quelque chose s’envole,
tourne détaché de ce cerveau dans mon petit ciel personnel,
je tourne là-haut, petit point dans le lointain
tandis que le bonheur continue de me monter par le fondement
comme si un robinet était ouvert à plein débit,
déversait la jouissance sans discontinuer6 mai 2018 à 10 h 56 min #27528bzoParticipantun peu d’exercice prostatique juste avant le petit déjeuner tardif
il faudra que je filme cela un jour,
curieux de voir à quoi cela ressemble,
particulièrement ce que j’ai fait là il y a quelques minutes,
debout, me caressant, me dandinant sur place,
balançant mes hanches, chaloupant mon bassin,
gémissant de plus en plus fortc’est assez fou quand on y pense,
clairement une caméra capterait qu’il y a beaucoup de plaisir
en train d’être pris là tout seul,
cela doit ressembler à un numéro de cirque quelque part,
comme cela, sans aucun accessoire, pas de porno visionné,
pas de femme nue ou d’homme nu devant soi
pour être mis dans un état d’excitation pareil,
rien, pas de drogue priserien, juste un gars en train de se caresser,en train de bouger,
certes de manière assez équivoque, assez efféminée,
peu à peu arrivant au bord de l’orgasme
qu’on devine à ses râles, à ses gémissements,
à son visage exprimant de plus en plus un plaisir intense, vifc’est de la haute voltige mentale,
loin des fugaces jets de sperme à la force du poignet,
loin des branlettes qui alimentent les mouchoirs en papier,
des extases sublimes à la force du mental
reproductibles à l’envi6 mai 2018 à 11 h 16 min #27529bzoParticipantet puis dans la position favorite, décrite au-dessus,
les jambes écartées posées sur le bureau,assis dans ma fauteuil,
un super O de plusieurs minutes pour conclure ma séance avant le petit déjeunerparticularité, j’ai enveloppé mon sexe dans une main,
je le sentais se mouvoir un peu entre mes doigts
à cause des contractions dans mon fondement
mais jamais durcir sérieusement,
l’ai gardé ainsi un bon moment,
sentant de l’excitation supplémentaire, des ondes de plaisir, des vibrations,
se répandre dans mon bassin grâce à cette action
tandis que je continuais à presser dans mon fondement comme je le fais habituellementen quelques instants, je n’en pouvais plus,
je haletais, je gémissais, je râlais, les tremblements ont commencé,
je retirai la main du pénis et déjà j’étais parti,
emporté sur les vagues, couché dans ma petite barque,
secoué, dorloté, enivré, possédé, hors de moi, hors de tout,
juste qu’un paquet de chair en rut, jouissant7 mai 2018 à 8 h 33 min #27585bzoParticipantl’alternance de moments yeux fermés et de moments yeux ouverts durant mes séances
est maintenant constante
et celle-ci m’a imposé peu à peu un nouvel rythme,
un rythme de slow food, un rythme de slow food sexuel, un rythme de slow pénétration,
un rythme de slow caresses, slow mouvements, slow jouissance, slow orgasme, slow séance
tout s’est ralenti donc, plus d’insistance, plus d’appuis insistants, têtus,
on appuie là où cela fait du bien et on insiste, on insiste,
plus de mouvements frénétiques, de cavalcade, en tout cas pour l’instant,
peut-être plus de contrôle et un jour cela reviendrala raison? Je viens de la comprendre seulement hier
pourquoi ce rythme est train de s’imposer dans tous les départements de mon action seconde par seconde,
rester connecté , rester connecté à ses sensations,
cette lenteur me permet de rester connecté à mes sensations quasiment en continu
malgré les moments de transitions où je ré-ouvre les paupières ou je les referme,
ce qui devrait constituer des moments de flottement où la conscience reprend plus ou moins le contrôle,
est ainsi réduit au minimum
et de ne pas être coupé dans mon élanune adaptation de ma jeune technique en aneroless, un ré-ajustement complet,
freiner pour mieux exploser, ralentir pour mieux se sentir,
lentement lentement pour mieux sentir les frottements,
lentement lentement pour mieux sentir les doigts glisser sur la peau
lentement lentement pour mieux sentir la chair remonter dans la chair
lentement lentement pour mieux sentir les frissons et les vagues de chaleur dans les entrailles7 mai 2018 à 13 h 34 min #27593JieffeParticipantBonjour bzo,
Content pour toi. C’est formidable ce que tu écris.
Ce qui est également remarquable, c’est que tu illustres bien ce que tu as dis et les conseils donnés: ce n’est que lorsque tu as décidé de ne plus te préoccuper de cette alternance que la méthode s’est mise au point, et est devenue naturelle.Je pense que tu touches ici ce qui est compliqué pour la plupart d’entre nous et qui t’est facile parce que très certainement naturel, la concentration et l’abandon.
tu as tort, c’est beaucoup de travail, sur des mois et des mois, cela vient peu à peu, rien d’inné
Oui, je sais bien que cela représente du travail et de la persévérance, en anerosless en particulier, mais tu ne peux nier que tu as une certaine facilité pour ce type de ‘travaux’. Je comparais surtout la difficulté qu’ont les nouveaux à parvenir à cet état de concentration et d’abandon avec masseur. Rien que le comprendre n’est pas aisé. Ça n’a pas été pour toi si je ne me trompe pas aussi difficile que pour certains, mais ça l’est devenu sans masseur. C’est ce que j’ai voulu dire avec cette phrase.
J’ai suivi avec attention ton évolution anerosless et j’ai bien vu qu’il t’a fallu du temps et de nombreux essais, mais je continue de penser que tu as des facilités dans ce domaine, alors j’imagine des personnes comme moi ou d’autres….En tout cas, je suis content pour toi. Tu es désormais libre, libre de jouir du plaisir prostatique où et quand tu veux, c’est quand même formidable.
7 mai 2018 à 17 h 49 min #27602Ch313ParticipantBonjour,
@Bzo a écrit le 4 mai 2018 à 20 h 47 min.je me fais l’amour donc, je me ressens essentiellement comme femme durant la séance
avec une petite zone qui reste masculine dans le bassin qui manipule les contractions,
les faisant ressentir comme un sexe dressé, gorgé de sang, engagé dans une pénétration,
dans un va et vient vibrant, variécette technique donc, ce sont tous les mouvements, tous les gestes de l’amour à deux
mais adaptés, traduits en quelque sorte à la situation particulière où deux sont en un,
cela vient assez naturellement en fait, une fois qu’on a compris le truc, on esquisse, on suggère un mouvement,
l’imagination, les sens, l’excitation, la chair en action, font le reste automatiquement,
le font ressentir dans son entièreté et bien au-delà puisque tout ce qui se passe dans le bassin par exemple est ressenti tantôt comme masculin, tantôt comme féminin, tantôt fusionnés, tantôt passant de l’un à l’autre,
c’est indescriptiblement délicieux, puissantà la limite, en aneroless il suffit d’évoquer un mouvement
et on peut parvenir à le ressentir avec un réalisme sidérant,
j’imagine que notre ami @ch313 doit fonctionner essentiellement comme cela,
je fais de plus en plus de progrès dans cette directionSalut @Bzo,
Je vois que tu fais référence à ma façon de fonctionner. Alors je vais essayer de préciser les choses d’une séance réussie.
Tout d’abord l’envie, c’est pour moi primordial, elle peut venir à tout instant, déclenchée par n’importe quoi. Il suffit d’une seconde où mon conscient se libère de l’action ou de la réflexion en cours.
Ensuite, le temps qui s’offre à moi. De quelques secondes où je vais juste prendre plaisir à ‘sentir‘ mon intérieur, à le ‘remuer’, à le décontracter, cette bulle de détente grandissant dans tout mon corps. Cas typiques, rêvasseries devant mon bol de thé, ou même en conduisant (sur autoroute), ou en tondant la pelouse. C’est instant plaisir.
En passant par quelques dizaines de minutes, promenade matinale du chien, ou même balade en campagne (j’ai déjà relaté ici une d’elles) . Ces instants de plaisirs peuvent m’amener jusqu’à la jouissance.
À plus d’une heure et davantage, où je peux ‘m’installer’ dans cet univers, par exemple le matin quand je me réveille de bon heure. Là je me laisse aller jusqu’à l’orgasme, aux orgasmes.Le premier plaisir est de retrouver mon intimité féminine, mon intérieur profond que je connecte à mon conscient. Je prends possession de moi. Je suis décontractée, c’est le début de l’embrasement. Quelques dizaines de secondes sans aucune stimulation matérielle m’ont suffit.
Je n’ai pas une petite zone qui reste masculine, nous faisons l’amour à deux je suis tout entier à la fois féminine et masculin. Tout au long de notre action, je lui parle, je lui crie ce que je ressens, ce que je veux. Tout en sentant son sexe me pénétrer, je sens son vagin me serrer, me masturber par les allées et venues de son, mon bassin. Je veux qu’il me sodomise et qu’il enfonce ses doigts dans ma chatte et je sens mes doigts sur ses lèvres, mon autre main pétrissant ses seins. Tout est possible je veux que ma copine m’offre sa chatte, elle est là, disponible à toutes mes envies. Je luis fais l’amour, je la suce frénétiquement pendant qu’il lui roule un patin langoureux, je sens sa langue contre la mienne, c’est ses seins que je caresse maintenant. Je suis trois dans un vertige étourdissant.
À d’autres moments d’autres envies, d’être lui et lui sous la douche, qu’elle (je) les surprenne, qu’ils me prennent, lui devant et lui derrière. Les variations sont infinies, les vibromasseur ou womanizer peuvent être aussi maniés allègrement. Je ne compte plus les orgasmes.J’invoque mes partenaires intimes pour qu’ils, elles m’apportent les plaisirs, et ils, elles ne se privent pas d’en jouir et donc moi aussi. Je ne cherche pas une sensation, elle vient de mon intérieur profond. Je m’abandonne à MOI. Je ne cherche même plus ma prostate, je ne parle pas d’orgasme prostatique, l’orgasme est entier, un muscle qui vibre n’est ni masculin ni féminin, seule la vibration importe.
J’ai pourtant des limites. Mon écosystème sexuel m’en impose : je ne crie pas fort, je me parle à voix basse et je contrôle mes spasmes. Le super O n’est pas un but pour l’instant.Voilà les grandes lignes de mon ‘fonctionnement’. À plus.
7 mai 2018 à 18 h 41 min #27604bzoParticipantje continue de penser que tu as des facilités dans ce domaine
peut-être
mais je ne crois pas que ce soit inné pour l’essentielc’est la combinaison d’un certain nombres de paramètres:
-d’abord mon héritage de dix ans de yoga
1)Dans le yoga, on apprend à être entièrement à l’écoute de son corps, importantissime.
C’est le principal apport pour moi, réutilisable dans le massage prostatique,
quand je m’active, je ne suis plus qu’une grande oreille façon radar géant tout à l’écoute de ce qui se passe dans mon corps, aucune nuance ne m’échappe2)Des années de pratique du mula bandha, cette “clef du bas”, traduction à peu près littérale
qui empêche les déperditions d’énergie au niveau du chakra le plus bas dans le corps, au niveau du sexe et du fondement,
dixit les textes ésotériques, on accepte ce genre d’explication ou pas, moi je m’y intéressait pas trop
mais cela avait plein d’effets bénéfiques sur ma pratique yogique,
même sans prendre trop au sérieux l’aspect ésotérique.
on le pratique synchronisé à la respiration yogique,c’est essentiellement une action sur le muscle du périnée, on sert.
Cela tombe aussi divinement à point pour les contractions ou le maniement du masseur.3) l’ouverture des hanches, certaines postures de base du yoga travaillent l’ouverture des hanches,
chez les femmes c’est inné, chez l’homme, il y a peu d’ouverture des hanches, cela doit se travailler.
Je continue à le faire d’ailleurs tous les jours, grâce à cela je sens durant la séance que je suis capable d’ouvrir mon bassin comme une femme, de l’offrir à la pénétration comme elles.– le fait que je n’ai aucune autre vie sexuelle que mes activités prostatiques, aucune déperdition d’énergie par de la masturbation, tout est concentré sur la sexualité prostatique.
Je suis motivé comme pas deux car si ma pratique quotidienne n’atteint pas un certain degré de satisfaction,
ne m’apporte pas ce sentiment de satiété sexuelle dont j’ai déjà parlé
alors la frustration pointe rapidement son nez du fait de mon absence d’autres activités sexuelles– les conditions idéales dans lesquelles je peux pratiquer,
j’habite seul, dès que je suis chez moi, s’il n’y a personne en visite,
l’aneroless fait partie intégrante de ma vie à la maison, je m’arrête très souvent dans mes diverses activités ménagères ou mes loisirs pour me donner du plaisir quelques secondes, quelques minutes, voire une séance plus complète au lit, tellement facile, pas besoin de préparation, je me débarrasse juste de mes vêtements et hop c’est parti!
En fait, même plus besoin de me débarrasser de mes vêtements car depuis une semaine à peu près, je reste nu chez moi quand je suis tout seul, justement pour pouvoir à tout instant pratiquer si l’envie m’en prendau final cela représente chaque jour, au moins une à deux heures en semaine
et deux à quatre , le week-end.
Eh oui, je suis accroc,
j’adore me donner du plaisir, certaines nuits je ne fais que cela et je ne vois pas pourquoi je m’en priverai.
L’autre nuit, quatre super O plus des dizaines d’orgasmes plus légers, je me suis endormi comme un bébé après cela
vers cinq heures du matinAvec autant de temps consacré à la pratique, on avance , on progresse à toute vitesse.
7 mai 2018 à 19 h 37 min #27605bzoParticipanttu es un cas trop à part
pourtant je suis sûr qu’on a un certain nombre de points communs dans notre façon de fonctionner
et j’ai l’impression, maintenant que mes progrès en aneroless sont foudroyants,
de’aller dans ta direction
mais peut-être que je me trompetu dis que tu te sens entièrement en même temps masculin et féminin,
ce n’est pas, par exemple, contradictoire, je crois, avec ce que j’écris,
ce que je voulais dire quand j’écrivais que je ressentais une zone distinctement dans mon bassin comme masculine,
c’est que le féminin, les sensations du féminin, le plaisir du féminin,
étant tellement plus puissants, tellement plus envahissants,
que je me sentais essentiellement femme durant la séance
et que la seule zone où je sentais précisément encore le masculin à l’oeuvre en moi,
c’était dans la zone du bassin
mais tout cela, sans doute , est à relativiser,
sans doute est-il un peu partout,
même si je le sens moins du fait de la puissance du féminin
qui a tendance à occuper beaucoup plus de place,
j’essaierai d’y faire plus attentionÀ d’autres moments d’autres envies, d’être lui et lui sous la douche, qu’elle (je) les surprenne, qu’ils me prennent, lui devant et lui derrière. Les variations sont infinies, les vibromasseur ou womanizer peuvent être aussi maniés allègrement. Je ne compte plus les orgasmes.
J’invoque mes partenaires intimes pour qu’ils, elles m’apportent les plaisirs, et ils, elles ne se privent pas d’en jouir et donc moi aussi. Je ne cherche pas une sensation, elle vient de mon intérieur profond.
mais bon tu est vraiment trop à part, moi je suis déjà très content d’être capable de me faire l’amour,
alors faire intervenir suivant mes fantasmes toutes sortes d’autres participants,
ce n’est pas dans mes cordes,
tu sembles être capable de vivre dans ton corps tous tes fantasmes, tout ton imagination orienté vers le plaisir,
sans aucun frein, sans aucune limitesil y a effectivement des différences fondamentales là,
ce n’est pas du tout comme cela que je fonctionne,
ton imagination, tes fantasmes semblent avoir une capacité à s’incarner dans ton corps
et à te faire vivre des choses,
tout à fait remarquables, tout à fait à partTout d’abord l’envie, c’est pour moi primordial, elle peut venir à tout instant,
là par exemple, on est totalement d’accord, l’envie,
je dirai notre capacité à suivre notre désir en nous lâchant complètementmaintenant en aneroless, cela s’accroît de plus en plus chez moi,
j’arrive de plus en plus à vivre mes caresses
et le temps que je fasse ma première contraction et je suis déjà au bord de l’orgasmel’autre jour, rien que d’avoir effleure mes tétons durs,
de les sentir se ployer sous mes doigts
et j’ai jouisentir mon bassin bouger sous mes doigts, caresser mes flancs,
toutes ces actions sont ressenties de plus en plus fortrégulièrement même avec les doigts depuis quelques jours,
je frotte au passage les couilles,
enveloppe quelques instants mon sexe avec une main, le serre, le triture, le malaxe quelques instants,
cela dégage des ondes délicieuses qui viennent se joindre aux sensations prostatiques,
sans le faire durcir un instant,
je les fais contribuer au plaisir prostatique, c’est de la reconversion,
ils sont plus tout à fait au chômage8 mai 2018 à 0 h 55 min #27607bzoParticipantbon dieu que c’est bon de se donner quelques minutes de plaisir intense
puis d’arrêter, retourner vaquer à ses occupations
puis quelques minutes plus tard,
reprendre n’importe où, aux toilettes à la cuisine, debout, assis,
quand je veux, comme je veuxamour libre, plaisir en liberté, entièrement à ma disposition,
fontaine, en moi, par moi, pour moi,
émois, soupirs, vous m’accompagnez tout le long de ma soirée,
je me couche rassasié, je me couche combléle plaisir libère, le plaisir allège, le plaisir délie,
faire chanter ce corps, faire chanter cette chair,
jouer de cet instrument sublime8 mai 2018 à 7 h 31 min #27608bzoParticipantrégulièrement même avec les doigts depuis quelques jours,
je frotte au passage les couilles,
enveloppe quelques instants mon sexe avec une main, le serre, le triture, le malaxe quelques instants,
cela dégage des ondes délicieuses qui viennent se joindre aux sensations prostatiques,
sans le faire durcir un instant,
je les fais contribuer au plaisir prostatique, c’est de la reconversion,
ils sont plus tout à fait au chômagec’était une erreur de faire cela, je tiens à le préciser,
cela semblait une bonne idée mais non,
j’en suis revenu au précepte de base, on ne touche à rien dans cette zone,
même pas effleurer8 mai 2018 à 12 h 38 min #27620EpictureParticipantC’est très intéressant ce que vous nous racontez là @BZO et @CH313 Mais je m’intrigue, les parties à 2 ou 3 que décrit @CH313, sont des images qui viennent à son esprit pendant ses ébats de façon automatiques, comme des hallucinations ? Ou des histoires qu’il se raconte consciemment, au gré de son imagination ?
Dans le premier cas, cela fait penser aux transes hallucinatoires (bien que je ne sache pas vraiment de quoi il s’agit) qui sont décrites dans ces récits qui relatent des pratiques chamaniques.
Serait-ce comparable ? Sans drogues hallucinatoires bien sûr !!D’après tes récits @BZO, j’ai l’impression, bien que tu t’en défende, que tu sois sur le même parcours que @CH313.
Il y a autre chose qui m’intrigue. @BZO tu as décris ce qui apparait pour toi comme favorisant ton accès au plaisir prostatique : yoga et autres techniques de relaxation en lien avec les spiritualités orientales. Mais, alors que tu parles régulièrement de tes séances de gymnastique, de stretching, tu n’en parle pas lorsqu’il s’agit de favoriser l’accès au plaisir prostatique.
Pourtant, j’ai pu recueillir, dans les témoignages du forum de nombreuses situations ( à commencer par la mienne) qui intègre dans leur accès au plaisir un corps souple, musclé, un périnée tonique, une musculature anale endurante et puissante. En plus bien sûr, d’une maitrise respiratoire, et une concentration sur les sensations accrue. Mais il est bien connu que la musculature est entièrement innervée, que le système nerveux irradie dans tous le corps, autant la douleur, que manifestement aussi le plaisir.
Ainsi donc, je pense que la stimulation musculaire, localisée, maitrisée, sans pour autant être un athlète, est la base.A partir d’elle, peut-on raisonnablement penser que la stimulation du système nerveux (ou de l’énergie), via la mise en mouvement du corps, conduise à une réaction en chaine qui débouche sur des hallucinations ?
C’est une vraie question. Je ne suppose rien, je ne fais qu’explorer…Bon cheminement à tous
8 mai 2018 à 19 h 01 min #27629bzoParticipantdurant ce week-end extraordinaire où j’ai commencé à appliquer avec succès
l’alternance des moments yeux ouverts et des moments yeux fermés
et où j’ai eu en tout près de dix super O avec comme point d’orgue, cette presque nuit blanche
où j’en ai eu quatreimmédiatement dans la foulée de ces séances relativement courtes mais tellement intenses,
j’ai écrit:j’ai la recette
désormais avec tous les ingrédients
cela se voulait immodeste, avec le recul c’était même un peu trop présomptueux
avec l’intégration de cette alternance,
oui désormais j’ai tous les ingrédients principaux nécessaires,
cela je le sens bien, pas de doute là-dessuscependant il me manque encore les proportions de la recette
et les différents temps de cuissonen fait avec deux, trois jours de progression supplémentaires,
je crois pouvoir dire que la recette n’a pas de proportions définitivement arrêtées,
ni de temps de cuisson immuablesnon, selon les jours, les proportions diffèrent et les temps de cuisson aussi,
seuls les ingrédients restent les mêmesainsi pour prendre en exemple, le dernier ingrédient important que j’ai rajouté à ma pratique,
cette alternance paupières closes paupières ouvertes donc,
qui permet une émulation, un mélange de ces sensations si différentes qu’on peut éprouver
quand on pratique yeux ouverts et quand on pratique yeux fermés,
c’est une alchimie mystérieuse en tout cas mais qui est bien réelle,
je la vis désormais tous les jours avec plus ou moins de succès
car malgré ce week-end extraordinaire, ce n’est pas encore totalement maîtrisé, assimilépour prendre en exemple donc, cette alternance,
je dois apprendre à mieux écouter ce que mon corps veut,
celui-ci ne va pas ouvrir les paupières tout seul,
tout comme il ne va pas commencer à se caresser tout seul ou encore à balancer les hanches de lui-mêmenon, le corps envoie des signaux qu’il faut apprendre à interpréter,
il va nous faire savoir à un moment donné, “tiens, ce serait bien de refermer les yeux maintenant”,
“tiens, ce serait bien de monter les mains le long du tronc”, etcau mieux on interprète les desiderata du corps,
au moins on intervient dans l’élan du désir, dans l’accroissement du plaisir,
au mieux on interprète ces signaux, au plus on aura l’impression
que c’est notre instinct, nos pulsions qui mènent la dansepour en revenir à l’alternance,
j’ai encore du mal à bien reconnaître les signaux du corps à ce sujet,
autant pour le reste, les caresses, les mouvements, etc,
c’est devenu quasi automatique
et je puis dire que je ne suis plus qu’une sorte de relais,
j’écoute mes instincts féminins, mes pulsions féminines
que je laisse monter prendre les commandes durant la séance
et je relaie mon interprétation des signaux vers mes mains pour l’application des caresses,
je relaie vers mon bassin pour le mettre en mouvement, etcautant là il y a encore des progrès à faire
et ne pas confondre les ordres de mon conscient concernant cette alternance
et ce que mon corps me suggère à leur propos8 mai 2018 à 19 h 46 min #27637bzoParticipantD’après tes récits @bzo, j’ai l’impression, bien que tu t’en défende, que tu sois sur le même parcours que @ch313.
très franchement je ne crois pas,
il y a des similitudes, pas mal de similitudes mais aussi des différences fondamentales.
@ch313 semble alimenter par ses fantasmes, par son imagination,
il a cette capacité, cette faculté, assez unique, en tout cas je n’ai encore rien entendu ou lu de pareil,
de pouvoir vivre instantanément ses fantasmes dans son corps sans le moindre stimuli de l’extérieur,
il n’ pas besoin de se caresser, il n’a pas besoin de se mouvoir, tous les déclencheurs sont mentaux
et si mouvements il y a, ce sont les conséquences de son excitation,
si j’ai bien compris, c’est plus ou moins comme cela que cela se passe chez lui.
Le féminin aussi chez lui est directement accessible aussi par le mental
et dans des proportions, il semble, volcaniques, sans aucune restrictionschez moi c’est différent,
moi aussi j’éveille le féminin et même si c’est très puissant
et jour après jour de plus en plus puissant maintenant en aneroless,
cela reste encore bien en-dessous des descriptions de @ch313
mais je ne me plains absolument pas, ce serait indécent car ce que je vis ,
est déjà très extraordinaire et s’accroît nuit après nuit pour l’instantdonc moi mes déclencheurs sont physiques avant tout,
je veux dire que si je ne commence pas à bouger, à me caresser et à appliquer les contractions,
ben, il n’y a rien qui se passe,
même si je me lâche complètement en même temps, que je fais sauter tous mes verrous,
que je me laisse aller à mon désir, à mon plaisir,
une sorte d’élan que j’ai appris à développer, à favoriser
et qui augmente en puissance aussi de façon régulière en aneroless,
à tel point que l’autre jour comme je l’écris plus haut,
j’ai réussi à jouir rien qu’en sentant mes tétons durs sous mes doigtsnon les conséquences de nos actions par contre durant la séance, sont assez similaires,
avec le plaisir féminin et les sensations féminines tellement présents,
même si chez @ch313, cela semble encore bien plus puissant et spectaculaire que chez moiavec le yoga et autres techniques de relaxation en lien avec les spiritualités orientales.
j’ai décris très précisément plus haut, quels étaient, je considérais, les apports du yoga à ma pratique,
ils n’ont pour moi rien mais alors rien à voir avec les spiritualités orientales,
ouverture des hanches, écoute du corps et mula bandha .Je respecte les spiritualités orientales, je suis ouvert d’esprit, curieux et tolérant
mais c’est tout, pas question de commencer à les assimiler à ma pratique prostatique
ou même à mon yoga ou ce qu’il en reste
car avec mes problèmes de genou et de dos, j’ai été obligé de mes restreindre
et quasiment de tout supprimer peu à peuEn plus bien sûr, d’une maitrise respiratoire
je pratique toujours des techniques spéciales de respiration yogique, pranayama
mais il ne me viendrait pas à l’idée d’essayer de les assimiler à ma pratique prostatique,
cela n’a rien à voir pour moi,
ce sont des domaines radicalement différentsencore une fois je me fais l’amour
et la chose à laquelle il y a le plus moyen d’assimiler ce que je fais,
c’est au sexe à deux,
ma séance c’est du sexe à deux mais tout seul, en tout cas en apparence
mais les deux sont en moi, je les sens, même si comme je l’ai déjà écris,
je sens surtout le féminin en moi à l’oeuvre pour l’instantil y a des mouvements de pénétration divers et variés , avec les contractions,
la sensation est d’un réalisme inouï,
je te souhaite un jour d’en arriver là
et tu te rendras compte que je n’ai pas exagéré,
on sent un corps de femme sous nos doigts, caressé, bougeant, vibrant,
changeant de postures, de plus en plus en chaleur, de plus en plus excité
puis arrivant à la jouissance, etc
changement d’identité sexuel durant la séance,
en tout cas vécu par moi comme cela,
je sais que ce genre d’affirmations énervent certains par ici
mais je m’en fous, c’est ainsi que je le vis,
c’est ainsi que j’obtiens des résultats extraordinaires
et c’est ainsi que je décris dans mes messages ce que j’ai vécu durant mes séances,
j’ai envie de décrire tout cela avec tout le lyrisme dont je suis capableA partir d’elle, peut-on raisonnablement penser que la stimulation du système nerveux (ou de l’énergie), via la mise en mouvement du corps, conduise à une réaction en chaine qui débouche sur des hallucinations ?
C’est une vraie question. Je ne suppose rien, je ne fais qu’explorer…je ne peux parler que pour moi-même
et pour moi, c’est définitivement , nonenfin , il faut voir ce que tu appelles hallucinations ,
je ressens un corps de femme, j’ai l’impression de bouger,
de ressentir et de jouir avec ce corps de femme essentiellement durant la séance,
même si j’ai déjà écrit que je sentais certaines parts de moi-même, rester mâle,
si cela c’est halluciner,
alors oui j’hallucine9 mai 2018 à 0 h 48 min #27650bzoParticipantj’aimerai pouvoir décrire avec une complète exactitude
cette intensité qui se répand dans ma chair, qui s’écoule dans ma chair,
j’aimerai pouvoir vous la donner à sentir quelques instants, mes amis,
cette exquise intensité, cette ardente intensité, cette irrésistible intensité,
ce bain de jouvence qui traverse ma chair,
cet état de béatitude sexuelle, ce nectar des dieux,
cet état de tremblant frémissement, de frissonnement tremblant, omniprésent,
comme si je n’étais plus qu’une toute petite feuille verte au bout de la branche
d’un arbre immense baigné de soleil et de grand ventcet état de tremblant frémissement, de frissonnement tremblant
qui de bas en haut et de haut en bas, s’est installé en moi
comme des forains qui ont arrêtés leur caravane sur la place du village
et se donnent maintenant en spectacle, tournoyant, sautant, dansant, chantant
et ce ne sont plus qu’oripeaux colorés, bigarrés et rires joyeux
de tous les côtés dans mon âmedes orteils jusqu’à la pointe des cheveux,
transi tout entier de plaisir, pas une cellule y échappant,
le bonheur m’est monté par le fondement
et s’échappe musicalement par ma bouchece bonheur est tellement intense, il y en a pour tout le monde,
comme j’aimerai pouvoir le partager avec vous,
je vous aime, parole de jouissant9 mai 2018 à 7 h 30 min #27651Ch313Participant
Épicture a écrit le 8 mai 2018 à 12 h 38 min. #post-27620C’est très intéressant ce que vous nous racontez là @BZO et @CH313 Mais je m’intrigue, les parties à 2 ou 3 que décrit @CH313, sont des images qui viennent à son esprit pendant ses ébats de façon automatiques, comme des hallucinations ? Ou des histoires qu’il se raconte consciemment, au gré de son imagination ?
Dans le premier cas, cela fait penser aux transes hallucinatoires (bien que je ne sache pas vraiment de quoi il s’agit) qui sont décrites dans ces récits qui relatent des pratiques chamaniques.
Serait-ce comparable ? Sans drogues hallucinatoires bien sûr !!
Salut Épicture,
Je rebondis sur l’expression de transe et de pratiques chamaniques.
Je ne pense pas qu’il s’agisse de transes sauf à comparer (extérieurement) les mouvements corporels en en état de transe et en état d’orgasme ou encore en crise d’épilepsie .
Car les transes ou le chamanisme sont des pratiques sociétales en général très codifiées pour le bien communautaire. Ce n’est pas ce qui se passe dans mon cas.
Mais je trouverai intéressant d’étudier si un parallèle ne pourrait pas être évoqué. Je serais alors mon propre chamane pour le bien-être de ma micro société.Quant à parler d’hallucination, je ne pense pas non plus.
L’hallucination est un état pathologique où le ressentit n’est pas le résultat d’un stimuli extérieur, d’une sollicitation réelle. Il est d’ailleurs impossible au premier abord de l’arrêter. Je me souviens d’une fille qui, après avoir fumé un joint, voulait absolument enfiler son anorak et mettre sa capuche se croyant sous une pluie d’orage qu’elle nous décrivait avec réalisme, alors que nous étions sur la plage sous un grand soleil avec seulement nos serviettes. Il était impossible de la ‘ramener à la raison’ .
Alors que moi j’arrête comme je veux mon voyage.
Il n’y a pas d’images qui viennent automatiquement, chaque chose est réellement induit(e) par le moment où la chose précédent(e) ou éventuellement par un stimuli extérieur ou une réaction corporelle inattendue.On pourrait penser que ma pratique se rapproche du rêve éveillé.
Mais je trouve cette pratique difficile. Il faut d’ailleurs du temps pour atteindre la phase rêve. J’y ai eu trouvé des moments chouettes, intenses mais sans ‘expression corporelle’. L’esprit est en éveil mais le corps reste en sommeil.Je me reconnais mieux dans l’auto hypnose.
Si je me compare à un spectacle d’hypnose je peux faire un parallèle.
Je ‘rentre’ dans mon voyage aussi vite que Messmer ‘endort’ son sujet.
J’en sort aussi vite et aussi facilement qu’il le ‘réveille’.
Dans l’auto hypnose, on se fixe des limites, des balises qui vont ‘réguler’ la séance.
Comme je l’ai dit par ailleurs, j’ai ces limites. Je dis aussi comment la ‘balise attitude de mon chien’ me ramène instantanément à l’état socialement acceptable pour ma compagne.
Comme si dans mon être complexe il y avait un superviseur, tout comme il y a le ‘scribe’ qui transcrit sur ma tablette en ‘direct live’ comme j’aime à le dire ce qui se déroule. J’ai beaucoup plus de difficultés à décrire une séance à posteriori. Je sais ce qui s’est passé, j’identifie les différentes phases, mais elles sont déjà ‘classifiées’ autrement que dans ce qui est la réalité de mon voyage et qui est virtualité vue de mon conscient extérieur.Ce n’est pas non plus une histoire que je me raconte. D’ailleurs, si j’essaye de revivre une session en prenant l’histoire qu’elle m’a fait vivre, ça ne marche pas, les phases ne s’enchaînent pas. Ce n’est pas reproductible. Chaque voyage est différent même s’il y a des éléments récurrents : il y a Moi et MoiE , ma copine, et des inconnus (inconnues) et des situations…
Il y a certainement des ‘supports’ dans ma mémoire (consciente et inconsciente), des images, des odeurs, des sensations, des situations qui vont par assemblages divers et improbables créer mon voyage.Bzo dans son post du 8 mai 2018 à 19 h 46 min me décrit dans un réalisme d’une simplicité surprenante que j’en suis même émue.
il a cette capacité, cette faculté, assez unique, en tout cas je n’ai encore rien entendu ou lu de pareil, de pouvoir vivre instantanément ses fantasmes dans son corps sans le moindre stimuli de l’extérieur,
il n’ pas besoin de se caresser, il n’a pas besoin de se mouvoir, tous les déclencheurs sont mentaux et si mouvements il y a, ce sont les conséquences de son excitation,
si j’ai bien compris, c’est plus ou moins comme cela que cela se passe chez lui.
Le féminin aussi chez lui est directement accessible aussi par le mental
et dans des proportions, il semble, volcaniques, sans aucune restrictions
Merci Bzo.Je reviens à ma pratique, et j’avais noté une fois pourquoi ce féminin :
Je suis celle que j’ai envie d’être
Celle en qui j’ai confiance
En qui je suis bien
En qui je jouis librement
En qui je vis au rythme de mes pulsionsJe pense que c’est bien au-delà des fantasmes et de l’imagination.
Je note que nous sommes dans cette discussion très, très loin de la sphère prostatique.
À plus et bonne journée à tous
9 mai 2018 à 7 h 56 min #27652bzoParticipantJe note que nous sommes dans cette discussion très, très loin de la sphère prostatique.
ça , je suis moins sûr, je crois au contraire que ta prostate est activée aussi,
simplement comme le reste, tu l’actives mentalementla prostate permet d’accéder au plaisir prostatique
mais on peut aller plus loin avec elle
car à travers le plaisir prostatique, on peut accéder au féminin,
cependant ce n’est pas systématique,
il faut une volonté déterminée à orienter notre pratique
vers ce féminin qu’on ressent dans le plaisir prostatique
en l’éveillant de plus en plusc’est ma théorie
mais sans doute elle ne s’applique pas à toi,
probablement dès que tu as éveillé ta prostate,
tu as pu accéder directement, sans limites et avec un minimum d’apprentissage
totalement à ce féminin en toitu es tombé dans la marmite de potion magique, en quelque sorte,
tu n’as pas besoin de boire à la gourde régulièrement
pour garder ces pouvoirs spéciaux si délicieux9 mai 2018 à 9 h 16 min #27653EpictureParticipantNon je ne crois pas non plus que nous soyons, dans cette discussion, très loin du plaisir prostatique.
Nous ne sommes plus en effet dans le comment y arriver, mais dans ce qu’il induit comme conséquences, une fois activé. Personnellement je suis assez loin de tout état extatique, mais je comprends assez bien le témoignage, pour le ressentir à un niveau plus fugace, de la vibration tremblante. Je perçois aussi, également de façon fugace, ces étranges sensations de ne plus être moi-même. En fait je ne sais plus si je ne suis plus moi-même, ou si je me retrouve moi-même, dans ce que je suis réellement. Ce nouveau moi-même que je rencontre à quelque chose de profondément féminin. C’est incroyable, c’est vraiment la rencontre d’un autre, en images, mais c’est moi. Mais c’est très fugace.Excusez-moi de poser toutes ces questions qui peuvent vous paraître saugrenues, ou inadaptées, mais vous n’imaginez pas à quel point vos réponses m’aide à circonscrire ce que c’est, finalement, le plus simplement possible, le massage prostatique. Cela m’aide à faire le tri, entre mes idées ou sensations à dominantes bloquantes qui viennent perturber le déroulé du plaisir, et celles à dominante excitante, qui alimentent l’accélération du processus.
Les réponse de @BZO, autant que celle de de @CH313 sont d’une telle précision, qu’elles m’aide à renforcer la confiance en mon propre cheminement.
Pour ce qui est des transes chamaniques, je n’ai pas suffisamment de connaissances pour pouvoir m’étaler sur le sujet, mais la distinction que tu fais @CH313 entre une pratique sociale (chamanique), et une pratique solitaire (prostatique) est très intéressante. J’aimerai juste signaler que si ce forum existe, c’est aussi pour socialiser cette pratique solitaire, bien que nous restions anonymes. Mais là il faudrait lancer un sujet de discussion. Je note bien aussi que l’autohypnose est plus appropriée pour faire un parallèle avec ton vécu.
Je reviens sur la question de la mobilisation musculaire : si l’on écarte définitivement toute dimension spirituelle, il reste que le yoga (mula Bandha) pour toi @BZO, Le Pilate pour moi, les exercices de Kegel pour certains, ont pour conséquence le renforcement musculaire de toute la zone du bassin (entre autres bien sûr). J’aimerai savoir si @CH313 a, par le passé ou récemment, eu une pratique musculaire, ou sportive particulière. Cette question s’adresse d’ailleurs aussi à tous ceux qui lisent ce post.
Pour ce qui me concerne, c’est lui, qui est responsable de ma nouvelle sensibilité : L’activation musculaire de toute la zone a éveillé ma prostate, plus que le massage en lui-même. Je pense que la possibilité de ressentir en anerosless le même type de sensations vient confirmer ce point.Ne pensez-vous pas que le travail musculaire (sans pour autant faire du body building) soit une condition préalable déterminante dans la progression ?
Bon cheminement à vous tous
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