Mots-clés : aneroless
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11 mars 2023 à 0 h 45 min #45697bzoParticipant
il s’agit d’être prêt à se lâcher, à tout moment,
quand la posture et le mouvement, sont favorables,
pour un plongeon, propulsé par le désir,
quand une fenêtre pour l’action, s’est ouverte brièvement
pour atteindre d’avance, le centre de la cible,
il s’agit d’avoir décoché sa flèche
et dans le même élan,
d’avoir visé, sans réfléchir
un maximum d’intensité,
avec un maximum de nuances
pour quelques instants,
de carrousel dans sa chair
jusqu’à ce qu’on culmine,
qu’on atteigne une sorte de pic
et pour que la vague continue, encore et encore,
ne redescende pas,
se transforme en une déferlante, en quelque sorte,
il s’agit entièrement, de ne plus être
que ce véhicule sans chauffeur, en apparence,
d’avoir conquis l’absolue spontanéité,
du pantin dont les fils sont manœuvrés par le désir
certains chantonnent pendant qu’ils sont occupés,
avec leurs taches du quotidien,
moi, je fais chantonner mon corps
je m’injecte de l’intimité ardente,
dans mes activités du quotidien
ou je m’éjecte de mes activités du quotidien,
avec de l’intimité ardente,
selon les moments
11 mars 2023 à 11 h 50 min #45699bzoParticipantbon, cela, je le savais déjà,
qu’il était beaucoup, beaucoup, beaucoup, plus facile,
de mettre en mouvement, les masses d’énergie, en nous,
au plus, elles se sont accumulées, au fil des jours
mais ce que j’ai découvert, en plus, hier, dans la nuit,
c’est que les énergies, dans l’action,
peuvent se mettre à bouger, de plus en plus à notre place
si on s’immobilise bien comme il faut,
générant de la bonne tension en nous,
l’augmentant, la diminuant, la variant,
la moulant constamment, lui faisant changer de forme,
la faisant évoluer, en modifiant un peu, notre posture physique,
en bougeant , de manière plus minimaliste, ceci ou cela
de plus en plus de tensions intérieures, en mouvement, donc,
ralentissement et économie, des gestes, de l’action physique,
en parallèle les deux types d’action,
parfois une totale immobilité,
mais la plupart du temps, une combinaison des deux
il y a un bouchon, constamment, à cette baignoire,
pour que les énergies puissent danser entre ses parois
et non pas, s’écoulent directement par en bas,
ce sont les muscles du périnée
qui permettent la mise en tension, généralisée
une fois que les énergies circulent bien comme il faut, en nous,
pour que le manège continue de tourner,
qu’ il faut en faire le moins possible,
laisser tout ce qui avait été mis en mouvement,
se débrouiller le plus possible, tout seul
on devient , alors, en quelque sorte, comme un berger
avec son troupeau broutant et ses quelques chiens autour
les énergies, circulant bien comme il faut,
plus besoin de faire grand chose,
le paquebot continue sur sa lancée, son inertie lui permet d’avancer,
alors même que ses moteurs ont été arrêtés
même, il accélère de plus en plus, en fait,
car l’océan, s’invite de plus en plus, à la fête,
entourant la coque, de ses vagues, de ses courants, pour le faire avancer,
festoiement de pures énergies dansant follement,
se consumant dans la chair
la main avec la louche, s’est arrêtée de tourner
mais la soupe continue d’être comme touillée,
de dégager de plus en plus de fumet
et le réseau, de s’affoler, de plus en plus,
bien qu’on se soit immobilisé,
toute la masse de chair, de sang, de muscles, de nerfs, d’os,
quelques instants, avant, en action,
devient comme une sorte de piste de décollage,
intensément empruntée
11 mars 2023 à 12 h 09 min #45700bzoParticipantrectification d’un paragraphe
une fois que les énergies circulent bien comme il faut, en nous,
pour que le manège continue de tourner,
il faut essayer d’en faire le moins possible
tout en laissant aussi son corps danser, ses mains danser, ses hanches danser,
de l’action qui se mue en tension et de la tension qui se mue en action
13 avril 2023 à 14 h 14 min #44969RomPat33ParticipantSalut @bzo,
J’ai créer un nouveau sujet, voici le lien : https://www.nouveauxplaisirs.fr/forums/topic/lhomme-orgasmique#post-44968
je ne sais pas comment copier toute la discutions entre nous qui se trouve ici dans le nouveau sujet…
26 août 2023 à 11 h 29 min #46297bzoParticipantune femme,
décorée d’un corps d’homme,
voilà ce que je suis, pour l’instantje me regarde dans le miroir,
je me caresse, j’ondule lentement, du bassin,
je vois mon pénis, grossir, enfler,
remuer comme un ver , de plus en plus gros,
sous l’effet des mouvements lascifs,
de mes hanches, de mes cuissesc’est tellement merveilleux ce que je vois,
je vois mon désir, ayant pris l’amplitude et le rythme
des vagues de l’océan,
je sens tout cela bouger dans ma chair,
je vois tout cela bouger dans ma chair
et je gémis, je gémis,
douce, douce, plainte, notes de mielmes doigts, mes chenapans chéris, courez, courez,
la volupté s’éveille de partout,
m’emplit tellement irrésistiblement,
ils s’emparent d’un sein, puis de l’autre,
les pressent, les triturent, agacent les pointes ,
les soulèvent, les paumes les enveloppent maintenant,
oh, comme ma peau brûle sous mes doigtsmes cuisses pressent mon sexe, mes couilles,
ils semblent comme un petit volcan doux,
lâchant vague de lave sur vague de lave, dans ma chair,
cela se répand partout et je gémis, je gémis
et mes hanches dansent, dansentcontraction, oh, impériale contraction,
tu deviens mon maître, un instant
je me soumets entièrement à toi,
tu m’emplis, tu remontes en moi,
tout grésille, tout frémit, tout fond, sur ton passageje m’ouvre, je ne suis plus qu’une ouverture, sur le passage des vagues,
frottantes bestioles, oh , vous ne ratez aucune cellule de mon être,
votre soie passe et repasse en moi,
me rendant fou de bonheur
et je gémis, je gémis,
comme tout cela est musical,
harmonie sauvage dans ma chair, dérèglement suprêmeje suis tout en rondeurs, en courbes, dansantes
et l’océan est à tous les étages
et le chant est partout,
le vent des notes, est partout26 août 2023 à 11 h 54 min #46298bzoParticipantj’aurai du bricoler toute la matinée,
c’est ce que j’avais prévu,
cela n’aura été que caresses, ondulations et gémissements,
sexe qui coule comme une fontaine heureuse, contractions
“que”, n’est pas vraiment le terme qui convient
car j’étais enfoncé tout entièrement, dans le nid ardent de l’instant,
de là, j’opérais ou plutôt, j’étais opéré,
le temps passait à côté de moi,
l’intensité du moment, c’est un étage en-dessous, un étage, au-dessus,
des liens se créent, des liens se tissent, momentanément,
le monde nous voit plus pareil,
une certaine complicité s’éveille, avec tout, avec rien
ce n’est pas fini, là encore maintenant, le feu est partout en moi,
je remue un peu le bassin, cela me fait tellement gémir,
j’ai l’impression de ne plus être,
qu’un sexe féminin et un sexe masculin, en action,
je les sens partout dans ma chair,
comme je suis pénétré, comme je pénètre,
comme tout cela se mélange divinement,
comme tout mon être est emporté,
comme je deviens un fétu de paille,
roulé par des vagues de volupté, en un instant
cela faisait des mois que je n’avais plus jouer avec les mots
mais là, c’était trop irrésistible,
le plaisir les pond en moi, ils sortent de mes doigts,
j’essaie de les garder, aussi dégoulinant , aussi imbibés, de volupté, de jouissance
que tout ce qu’ils rencontrent, au passage, dans ma chair,
dégustez-les, léchez-les, si vous osez,
mes petites sucettes de plaisir,
bandez, mouillez, gémissez, fantasmez,
je le veux
26 août 2023 à 13 h 19 min #46299PetitsPlaisirs76ParticipantBZO a dit
cela faisait des mois que je n’avais plus jouer avec les mots…….dégustez-les, léchez-les, si vous osez,……..bandez, mouillez, gémissez, fantasmez,
ça valait le coup d’attendre, ils sont vraiment dégoulinants de plaisirs tes mots, ils vont directement vers mon anus et j ‘ ai moi aussi des spasmes.
Merci
26 août 2023 à 22 h 47 min #46301bzoParticipanthé hé, salut,
je ne sais pas combien de temps , je vais rester
mais pour l’instant, j’ai à nouveau envie d’écrire
27 août 2023 à 1 h 12 min #46302bzoParticipantje n’arrête pas de jouir,
couché sur mon lit, tantôt en chien de fusil,
tantôt, tout droit, les jambes étendues, presque sans bouger
mes bras m’enserrant, m’enveloppant,
remuant à peine, juste m’enlaçant,
les cuisses, tout contre mes bijoux de famille, les pressant,
mais elles aussi, ne bougeant quasiment pas,
juste quand je change de position
ainsi, je fais monter lentement, tout lentement, des contractions,
la seule chose qui semble active en moi,
le mélange d’ondes génitales et prostatiques, immédiatement qui se forme
devient comme une irrésistible présence, vibrante et voyageuse,
montant en moi , comme un gentil obus obèse,
faisant fondre tout sur son passage,
provoquant des avalanches, des cascades,
des jaillissements, des tournoiements,
de soie, dans ma chair,
provoquant derrière mes yeux,
des averses drues, chaudes et scintillantes,
virevoltant comme prises dans des bourrasques de vent
dans la foulée, presque instantanément,
ma bouche, s’emplit d’un gémissement tellement dense et lourd,
qu’on dirait presque quelque chose de matériel, un instant,
mes entrailles s’adressent à mes oreilles,
leur susurrant, un message de stupre, d’ineffable volupté et de lascivité débridée
sperme sonore montant par jets réguliers, du plus intime de ma barbaque en feu,
se réintroduisant, un peu, dans mon cerveau, par les conduits auditifs,
rajoutant encore une couche, au mille-feuilles de plaisir qui consume ma chair
celle-ci, à nouveau,
est tellement imbibée, engorgée, d’énergie sexuelle accumulée,
résultat de semaines et de semaines, sans éjaculer,
que la moindre caresse, me fait frissonner de fond en comble,
semble comme un acte magique
bouleversant toutes les règles connues et reconnues, de l’humanité, depuis la nuit des temps
j’adore tellement cet état, tout devient tellement facile,
tellement dans l’excès et le dépassement, encore et encore, des limites,
c’est presque comme si je trichais
je ne pense jamais à d’autres corps quand je suis ainsi,
suis totalement automne, en circuit fermé,
avec le désir comme verdoyant,
ayant poussé ses branches et ses feuilles, partout
me sens, en action, tellement femme,
tellement femme avec un homme en elle,
me sens comme un cercle roulant, tournant, sans efforts,
s’auto- nourrissant,
tout entièrement de la nitroglycérine, prête à exploser
ne pense pourtant jamais à des vagins,
à ces lèvres délicieuses, au fond des petites culottes,
légèrement humides et s’entrouvertes
ni aux bites, à toutes ces hampes prêtes à se raidir, à s’engorger de sang,
aux glands, à ces friandises violacées, rougeâtres,
à gober et encore à gober jusqu’à ce qu’ils crachent leur jus dense et laiteux
qui dorment derrière les braguettes, avec leur léger parfum de pisse
tout cela, pourtant, est dans mes paumes, au bout de mes doigts,
installé dans mon anus, enroulé autour de mon sexe, emplissant ma bouche,
au contact de mes lèvres, de ma langue, de ma salive, de mes narines,
sous ma peau, y grouillant, y nichant
pas besoin de porno, pas besoin de photos,
vos sexes sont en émoi, partout en moi quand mon désir devient XXL,
c’est comme si je les avais engloutis, les avais subtilisés, au fil du temps,
empilés dans mes réserves, sans que personne ne s’en rende compte,
vos lèvres les plus intimes, mesdames,
vos braquemarts, prêts à se dresser, messieurs,
sont prêts à vibrer pour moi, à se mettre en action, pour moi,
à l’ instant-même où je les somme, que je les invoque,
que j’exige leur présence,
mon brasier est global, globalisant, interplanétaire,
envahissant instantanément tout sur son passage,
attisé sans limites par mon désir,
comme un vent impérieux qui ne connaitrait aucune barrière
parce que tout et tout le monde,
appartient au royaume infini du désir
que rien ne peut lui échapper,
je peux m’introduire partout,
je peux tout reconstituer, je peux tout ressentir,
je peux jouir de tout et de tout le monde
27 août 2023 à 8 h 56 min #46303PetitsPlaisirs76ParticipantBZO dit,
sperme sonore montant par jets réguliers, du plus intime de ma barbaque en feu,
se réintroduisant, un peu, dans mon cerveau
Très joli,
inspiration venant sans doute du fait, qu’à force d’abstinence ton corps est plein de sperme.
Bravo.
27 août 2023 à 10 h 54 min #46304bzoParticipantc’est dimanche matin,
les cloches sonnent dans le lointain,
alleluia, il est temps de jouir et encore de jouir,
la messe est en train d’être dite, dans ma chair,
les enfants de choeur papillonnent autour de l’autel,
nus comme des vers
je suis couché sur mon lit,
cette fois-ci, je n’utilise plus du tout les mains,
pour l’instant,
les bras restent au repos, de par et d’autre, du corps,
j’alterne des moments en 100% prostatique,
avec des contractions, uniquement, à partir des muscles du périnée
et puis des moments en mode yin, de plaisir au féminin
où mes cuisses viennent enserrer les génitaux
et puis je me laisse aller, m’ouvre toujours plus, cède absolument de partout,
mon bassin se met à onduler lascivement,
tout devient courbes dansantes dans ma chair,
des roseaux, rythmiquement, se ployant sous l’effet du vent
j’ouvre mon corps, j’ouvre mon esprit,
je ne suis plus que béance
ceder encore et encore, me rendre sans condition
mon corps se cabre peu à peu ,
sous l’effet de la volupté qui court de plus en plus partout,
la vague semble me mouler à son image,
je deviens son gant
enfilé de part en part, enfilé de partout, enfilé de fond en comble,
tout devient tellement fluide, tellement cristallin, tellement à ciel ouvert
je ne semble plus rien être d’autre,
que cette lente vague qui m’ a pénétré partout,
qui court partout
j’écarte les cuisses, je me remets en mode prostatique
je recommence mes contractions, rien qu’à partir du périnée,
le contraste est tellement immense, tellement radical,
de passer de ce melting pot d’ondes venant d’un peu partout ailleurs,
car tout le corps participe tellement, en mode yin,
à rien que des ondes prostatiques
qui semblent se mettre à monter en éventail,
quelque part, rien que depuis mon bassin,
en cercles concentriques de plus en plus denses,
de plus en plus rayonnant
c’est comme si je pompais depuis mes profondeurs,
quelque part, je sens une source, dans le lointain, en moi
qui s’est mise en action,
délicieux, irrésistible, ces contrastes,
j’en ai, à chaque fois, le souffle coupé , un long moment,
pour mieux goûter à ce changement tellement radical
d’univers de sensations,
je m’amuse, restant une minute ou deux, en mode yin,
puis retournant plus longuement en mode prostatique
car j’ai besoin un peu plus de temps
pour remettre en place, l’éventail dansant des ondes prostatiques,
redéployer l’aile vibrante, l’aile chatoyante
28 août 2023 à 23 h 16 min #46305bzoParticipanton imaginerait qu’après de longues, longues, années, de pratique quotidienne,
ma technique s’est sacrément perfectionnée,
certes, elle s’est très sérieusement affinée, optimisée, enrichie, étoffée,
mais cela n’est que 25%, à tout casser,
de ce que j’ai appris au fil de mes séances
non, l’essentiel de mon apprentissage, l’essentiel de ce qui m’a fait progresser,
c’est d’avoir appris à écouter toujours plus mon corps,
c’est là, le principal secret d’une pratique
qui délivre des résultats toujours plus intenses, toujours plus riches, toujours plus variés
écouter son corps,
c’est parvenir à s’unir à lui, toujours plus
car toute pratique, selon moi, en solitaire ou à plusieurs,
c’est cela, avant tout ,
s’unir à son corps ou au corps d’autre(s),
avec son esprit, avec l’esprit d’autre(s)
c’est de cette fusion momentanée
que naissent toute sensation, toute volupté, toute jouissance,
qui nous satisfont vraiment, qui nous ressourcent,
qui nous apportent de la plénitude, de la richesse intérieure,
qui permettent de reculer nos limites
écouter son corps, de plus en plus,
c’est acquérir de plus en plus de spontanéité,
c’est laisser prendre son instinct, de plus en plus, les commandes,
c’est réagir de plus en plus par rapport à ce qu’on ressent,
on dialogue avec son corps, on l’écoute, il nous répond,
on entame, ainsi, la conversation du plaisir,
aux thèmes infinis, aux nuances sans limites
30 août 2023 à 9 h 51 min #46308bzoParticipantune chose qu’il faut essayer de comprendre, d’essayer d’imaginer,
une fois que vous êtes parvenu à bien éveiller le féminin en vous,
à le laisser prendre les commandes de votre corps
quand vous vous mettez en action de pareille manière,
si vous vous mettez à bander, à un moment donné,
à bander, même, bien ferme, une jolie turgescence vers le plafond
et que vos cuisses se mettent jouer avec votre engin, ainsi,
le frottant, l’effleurant, le pressant
ou même simplement
parce que vous n’y faites pas spécialement attention,
occupé que vous êtes ailleurs, autrement
et qu’il se met juste à dodeliner maladroitement au fil de vos mouvements,
cognant vos cuisses de-ci, de-là
les ondes générées, ainsi,
alimentent vos hanches,
accentuant toujours plus leur élargissement, leurs courbes, leurs arrondis,
rendant leur rythmique de déplacement, de plus en plus dansante, lascive
alimentent vos lèvres d’en bas,
les emplissant de chaleur, de soie, de plus en plus,
ces lèvres que vous adorez sentir s’entrouvrir, se refermer,
en écartant vos cuisses, en écartant, en resserrant vos fesses,
la fente entre ces lèvres que vous adorez sentir,
espace de jeu sans pareil, espace de grande migration,
plage de débarquement, plage à marées envahissantes
vous vous pâmez maintenant, vous ondulez, de tout votre être,
vous êtes empli d’une volupté ineffable, des pieds à la tête,
grâce, aussi, à votre engin durci, raidi
et vous le remerciez de collaborer pareillement,
de vous faire connaître de telles septièmes ciels,
inconnus normalement au bataillon des bandeurs
votre pénis, aussi, est content,
vous le voyez bien,
il sourit en continu d’un liquide qui s’écoule,
goutte à goutte qui humidifie votre bas ventre, le haut de vos cuisses
mettez-vous le doigt au cul, ainsi
et la sensation de pénétration va bien au-delà d’une sensation anale,
la chair dans laquelle votre doigt s’insinue, remue, farfouille, fouine,
30 août 2023 à 10 h 25 min #46309bzoParticipantje suis déchaîné ce matin,
je fais tout en plaisir,
je prépare mon petit déjeuner en plaisir, je vais aux toilettes en plaisir,
je marche d’un endroit à l’autre, en plaisir,
cela n’arrête pas,
mon couple intérieur est déchaîné, ils n’arrêtent pas de se chercher, de se trouver
mes mains se remettent constamment sur la peau,
elle est brûlante et accueillante, comme il se le doit,
mon anus est en feu, mes cuisses sont en feu,
mon pénis est en feu, mon vagin , dans l’invisible, est en feu, mes seins sont en feu,
comme je brûle des pieds à la tête,
torrentielle incandescence en continu
même en écrivant ces mots, je raidis un peu les fesses,
cela provoque une marée de vibration soyeuses, dans mon bassin,
je resserre les cuisses autour de ma verge, de mes couilles,
cela provoque comme une éruption de nectar chaud , partout,
oh comme je jouis, oh comme je suis empli de volupté
je balance un peu les hanches tout en tapant au clavier
et mes yeux se referment, la tête se rejette lentement vers l’arrière
sous l’effet du dauphin de douceur soyeuse qui s’est mis à nager en moi,
il m’emplit, je plonge avec lui, maintenant,
il m’entraîne, je ne résiste pas, je me laisse entraîner de tout mon être,
glisser avec lui dans la chaleur ondoyante qui caresse de partout
31 août 2023 à 12 h 37 min #46310PetitsPlaisirs76Participantbzo a écrit,
mon anus est en feu, mes cuisses sont en feu, ………
même en écrivant ces mots, je raidis un peu les fesses,
cela provoque une marée de vibration soyeuses, dans mon bassin,
A force de te lire, je progresse dans la découverte de mon corps, je sollicite plus mes fesses ou plutôt mon périnée et mes tétons,
je caresse mes longues cuisses et mon petit cul,
ça déclenche des spasmes au niveau du bas ventre que je ne connaissais pas avant,
je tapote le gland de mon sexe mou, les vibrations titillent prostate et anus.Délicieux.
31 août 2023 à 18 h 28 min #46311bzoParticipantoui, c’est étonnant, à quel point toutes les parties du corps peuvent participer,
peuvent générer des ondes,
des ondes bien spécifiques,
tellement de coloris, de nuances, palette infinie,
il faut tout solliciter,
apprendre à tout solliciter,
tout peut s’éveiller, sexuellement, en nous,
se mettre à vibrer
il faut être créatif, imaginatif,
désirer de tout son être,
désirer éveiller la chair et ce qu’il y a en elle,
écouter ce que l’on ressent,
se laisser entraîner toujours plus par ce que l’on ressent,
être prêt à désirer au féminin, comme au masculin,
ne plus faire la différence
bien se lâcher toujours plus,
oser, oser
tout le corps est vraiment un instrument,
un sexe, aussi bien masculin que féminin, des pieds à la tête
et les notes peuvent monter de toutes parts,
c’est une question de patience
et de porter l’attention qu’il faut,
l’attention et les égards qu’il faut,
l’attention et les égards que chaque partie de notre corps, méritent
on pose les questions comme il faut, à notre corps
et il répondra toujours,
il n’attend que cela, de pouvoir dialoguer
mais il faut apprendre à le solliciter
2 septembre 2023 à 9 h 41 min #46313bzoParticipantà chaque fois que vous vous mettez à réfléchir, en cours d’action,
vous interrompez le flux de ce qui monte de votre corps
votre intellect, durant la séance, devrait pouvoir se faire tout petit, dans un coin,
devrait essayer de se faire oublier, le plus possible,
devrait essayer de laisser faire, autant que possible,
la fusion corps, esprit,
n’a pas besoin de votre réflexion, de votre ego, de vos instructions
qui ne font qu’obstruer, ralentir, la communion sensuelle, la jouissance que vous recherchez
établir le contact, se mettre à l’écoute,
sous-entend, s’effacer, se faire humble, laisser les commandes,
momentanément,
quand l’esprit et le corps communiquent sans entraves,
un boulevard d’informations, montant , descendant, se crée,
vous baignez dedans, vous nagez dedans,
vous êtes dans le flux, tout devient possible,
le désir peut se déployer dans toute sa splendeur
2 septembre 2023 à 20 h 23 min #46314bzoParticipantun peu d’action anale, ce soir,
au lit, je me retourne, me mets de travers,
une petite noix de beurre de karité, dans l’anus
et vogue la galère,
mes doigts sont déjà à l’oeuvre, allant et venant lentement,
changeant tout doucement de direction, frottant les parois,
tantôt descendant plus profondément, remontant,
tournicotant un peu, fouinant, fouinant
ô mes petits fouineurs chéris, comme je vous adore,
comme mes entrailles vous adorent,
vous m’arrachez de ces grognements, de ces gémissements,
lentement, tout doucement, ô mes petits pals articulés, chéris,
enfoncez-vous, frottez, frottez, explorez, tout à votre aise, nous avons tout le temps
quelle plainte, de plus en plus douce, dans ma voix
oh, j’ai du ciel, plein le cul, maintenant,
avec mes doigts qui touillent dedans
3 septembre 2023 à 11 h 43 min #46315bzoParticipantplaisir 100% prostatique, ce matin
couché sur le dos,
d’abord les bras passifs, sur les côtés,
juste des contractions, pour me chauffer,
sentir le petit soleil s’installer dans mon bassin,
commencer à rayonner
puis, avec titillement constant des tétons,
là, les choses sérieuses, peuvent commencer,
spasmes, tressautements, tremblements, soubresauts,
préfigurant envolée sur envolée
j’ai parfois l’impression que le massage prostatique,
est comme une locomotive avec ses wagons,
il s’agit de faire le accélérer de plus en plus
mais en faisant attention que s’il se met à vaciller,
de plus en plus sur les rails,
à ralentir un peu ce qu’il faut pour qu’il ne déraille pas
et puis on recommence à accélérer
dérailler, dans ce cas de figure, veut dire,
juste avoir des manifestations physiques, extrêmes,
du genre, spasmes, contractions musculaires, à vide, sans réel plaisir, ou si peu,
le corps disjoncte prématurément,
quand la tension sexuelle, n’est pas encore suffisamment puissante, explosive,
que l’orgasme n’est pas encore là
on freine un peu, on relâche la pédale d’accélération,
le convoi prostatique se calme, retrouve de la stabilité sur les rails
et c’est reparti
et puis il arrive un moment où tout cela n’a plus vraiment d’importance,
des ailes ont poussés, irrésistiblement, au convoi,
il a décollé,
il peut trembler, désormais, faire des tours complets sur lui-même,
il n’y a plus de rails, tous les fondements, toutes les assises ont sautés,
tout ce qui le rattachait à la pesanteur, toutes les règles, ont disparues
on ne roule plus, on survole,
on se détache de plus en plus dans les airs
3 septembre 2023 à 22 h 26 min #46316PetitsPlaisirs76Participantbzo a écrit
le corps disjoncte prématurément,
quand la tension sexuelle, n’est pas encore suffisamment puissante, explosive,
que l’orgasme n’est pas encore là
on freine un peu, on relâche la pédale d’accélération,
le convoi prostatique se calme, retrouve de la stabilité sur les rails
et c’est reparti
Je vais explorer ce conseil, j’ai, en effet, des spasmes et contractions musculaires , un peu de plaisir mais tout en modération, ce qui pour l’instant m’est très agréable.
4 septembre 2023 à 8 h 14 min #46317bzoParticipantl’étape suivante, c’est qu’il soit sans modération, absolument sans aucune modération,
débridé de chez débridé
4 septembre 2023 à 23 h 51 min #46318bzoParticipantj’adore tellement cet état
quand ma chair est sursaturée d’énergie sexuelle
parce que je n’ai plus éjaculé depuis des semaines
la moindre caresse, la moindre contraction,
le moindre mouvement langoureux de la hanche,
le moindre frottement d’une de mes cuisses, sur mon pénis, mes couilles,
me mettent dans un état d’ébriété sexuelle, avancé
mon sexe coule quasi en permanence,
une sorte d’excitation permanente que j’entretiens,
comme un feu que je ne laisse pas éteindre, qui me tient au chaud,
dont j’aime sentir les flammes danser en moi
c’est juste délicieux de se sentir de la nitroglycérine,
à tout moment capable d’exploser,
de rester ainsi, pendant des heures,
avec la fusée fumante, les réacteurs en train de s’allumer,
la coque qui vibre de tous les côtés
mais retardant sans fin le décollage,
comme un arrêt sur image,
dégustant toutes ces énergies virevoltantes, bouillonnant en moi
et si je entrevois un sein, par hasard, dans une série,
j’y prends un plaisir fou, lentement, longuement,
une sorte d’éblouissement prolongé
c’est comme si ce sein dévoilé, un instant,
s’introduisait en moi,
fondant en gouttes de miel chauds et duveteux,
me traversant ineffablement de tous les côtés,
s’insinuant dans toutes mes cellules
s’engouffrant dans mon cerveau,
y remuant langoureusement, encore et encore
éblouissement, étonnement, délicieuse, voluptueuse, sidération,
grâce à l’absence totale de pornographie, dans ma vie,
redécouvrir le corps de l’autre, à chaque fois,
comme si c’était la première fois,
apprécier le dévoilement, à sa juste mesure ,
son caractère exceptionnel, non frelaté,
émettant, irradiant, toute sa possible puissance, sur mes sens, sur mes nerfs
5 septembre 2023 à 8 h 32 min #46319bzoParticipantsplendide séance, hier, dans la nuit,
je parviens, désormais, à enchaîner, à alterner, des moments d’une extraordinaire intensité,
en mode 100% prostatique, en mode 100% anal, en mode 100% mode yin, mon plaisir au féminin,
les changements complets d’univers de sensations, de type de volupté et de jouissance,
d’une minute à l’autre,
étaient tellement décoiffants à vivre, tellement grisants
malgré la puissance et la richesse des orgasmes prostatiques et anaux
je continue de préférer toujours mon mode yin, mon plaisir au féminin
même s’il n’y a pas vraiment d’orgasmes avec cette façon de pratiquer,
enfin chez moi,
plutôt une sorte de sensation de volupté qui devient tellement intense, tellement riche, tellement variée,
qu’on a l’impression de jouir en continu
mais cette façon est tellement spéciale, tellement unique,
tellement chaque fibre de mon être, participe,
tellement chaque seconde passée, ainsi, est gratifiante, épanouissante,
apporte une sensation de plénitude, de complicité et de communion, avec son corps,
tellement celui-ci semble chanter
un peu mal au cul, néanmoins, de hier soir,
j’ai adoré y aller, vers la fin dans les moments anaux,
avec trois doigts formant comme un engin bien bombé,
enfoncé vraiment loin, aussi loin que possible, sans aucun ménagement
(mais avec pas mal de beurre de karité, tout de même),
empli de telle manière, le moindre mouvement de va et vient, le moindre frottement,
m’arrachait des hurlements,
je devenais fou de plaisir, je n’en pouvais plus,
moments contorsionnistes, aussi
car toujours, rien qu’avec les doigts et les seules ressources de mon corps,
sans aucun accessoire,
de la production 100% maison
6 septembre 2023 à 9 h 52 min #46320bzoParticipantmatinée de stupre, ce mercredi,
pas envie de bricoler, sinon juste dans ma chair,
mes outils sont déjà bien chauffés,
n’attendent que moi pour se mettre au travail
splendidement dormi,
je dors toujours merveilleux bien
quand ma chair est surchargée d’énergie sexuelle,
avec des rêves tellement puissants, tellement riches
au réveil,
j’ai toujours l’impression de sortir d’une super production hollywoodienne
dans laquelle j’ai été le personnage principal
à qui sont arrivés des tas d’aventures fabuleuses, en 3D, que dis-je en 20D,
au scénario complètement psychédélique
au réveil, la première chose que je fais,
je me caresse tandis que je m’étire lentement, lascivement, dans mon lit,
pour prendre la température,
pour me réapproprier, de la meilleure manière qui soit,
cette chair
j’aime aussi m’enfoncer un doigt ou deux , bien profond, dans l’anus,
gigoter un peu sur le pal,
sentir le volcan,
faire vibrer de toutes ses basses, mon fondement
ça y est, mon destrier est prêt,
prêt à galoper, avec moi dessus,
douceur ondoyante de la volupté, soie dans le vent,
chant dans la chair,
ineffable sensation de pénétration,
les entrailles qui fondent et encore fondent, dans un grésillement velouteux,
va et vient en paradis
les rêves, décidément, carburent , aussi, à nos énergies les plus intimes
6 septembre 2023 à 11 h 57 min #46321bzoParticipantau fond,
ce que j’appelle le plaisir en mode yin,
c’est juste une façon d’approcher son corps,
une façon d’approcher le plaisir, sans rien retenir
une façon de chercher sa complicité,
une façon de l’impliquer,
une façon de lui laisser les commandes,
tout en collaborant intimement avec lui
et puis, on se fait offrande,
de la tête aux pieds et jusqu’au fond de l’âme,
on se fait offrande
offrande jusqu’au fond de l’âme,
on s’offre tout entièrement, sans rien retenir,
on lui laisse faire ce qu’il veut,
on ne retient plus rien, on ne réfléchit plus,
juste, on s’offre,
juste , on cède, encore et encore,
on se laisse assimiler
et ne plus exister que par ce que l’on ressent
céder, s’ouvrir, plier,
embrasser la courbure sans fin du désir,
embrasser l’ondulement sans fin du désir,
de tout son être,
embrasser sa puissance, pour la faire notre,
l’envelopper, l’avaler,
se laisser envelopper, avaler
6 septembre 2023 à 23 h 19 min #46323bzoParticipanton ne s’en lasse pas,
j’ai beau avoir connu ce type de sensations, ce type de volupté, ce type de jouissance,
100 fois, 1000 mille fois, 10000 fois,
c’est comme si c’était pour la première fois, à chaque fois,
cela parait neuf, à chaque séance
mon plaisir prostatique a bien évolué ce soir,
je me suis beaucoup caressé en même temps,
beaucoup bougé aussi,
j’ai laissé aller les contractions, vraiment sans rien essayer controller,
parfois elles étaient très fortes, grosse, grosse pression,
parfois tout en délicatesse, appuyant à peine,
tantôt des pressions maintenues, longuement,
tantôt de très courtes, comme en rafales
j’ai senti ainsi que je m’aventurais dans de nouveaux territoires,
vraiment très prometteurs,
j’ai senti ma prostate, réactive comme jamais
et la coordination, la chorégraphie, improvisée,
entre les contractions, les mains et tout le reste,
était juste parfaite
je sentais tout mon corps tellement engagé,
tellement à l’oeuvre, comme un ensemble ,
c’était superbe,
moments pleins, telement épanouissants
aussi, je me suis senti rebasculer, vers du plaisir au féminin
mais sans aucune onde génitale,
rien que la prostate , à l’oeuvre dans le bassin,
cela ouvre des perspectives d’orgasmes splendides,
je l’ai tout de suite senti
7 septembre 2023 à 13 h 54 min #463277 septembre 2023 à 14 h 02 min #46328PetitsPlaisirs76Participantbzo dit
j’aime aussi m’enfoncer un doigt ou deux , bien profond, dans l’anus,
gigoter un peu sur le pal,
sentir le volcan,
faire vibrer de toutes ses basses, mon fondement
Indubitablement notre “rondelle” est une petite nerveuse, si je ne suis pas un grand adepte de l’autodoigtage
je m’insère volontiers un aneros peredise qui va discrètement exciter cette zone.Il a la taille d’un doigt et je le dirige doucement où je veux, je peux monter assez haut avec.
7 septembre 2023 à 18 h 23 min #46330bzoParticipantsi je ne suis pas un grand adepte de l’autodoigtage
je m’insère volontiers un aneros peredise qui va discrètement exciter cette zone.Il a la taille d’un doigt et je le dirige doucement où je veux, je peux monter assez haut avec.
de mon expérience, avec mon parcours,
je ne prétend aucunement détenir la recette absolue,
je suis devenu adepte farouche du sans accessoire,
rien qu’avec ce que le corps nous fournit
le peridise est un objet en plastique, un objet mort,
mon doigt est de chair, est irrigué, est chaud,
il peut bouger dans tous les sens
et il est en contact direct, avec le reste du corps
je me suis engagé dans une voie,
peut-être qu’un jour, je la changerai, voire l’abandonnerai
mais actuellement,
mes sensations sont les plus fortes, ainsi,
rien qu’avec ce que le corps me fournit comme accessoires,
c’est ainsi que j’arrive à avoir cette sensation de complicité absolue,
de me sentir totalement relié à lui, sans aucun intermédiaire
ce n’est pas tant une question de puissance des sensations
mais une question de qualité, de richesse,
enfin, c’est ainsi que je le vis
7 septembre 2023 à 20 h 00 min #46331 -
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