La porte est ouverte, j’entre chez toi. Comme convenu, tu m’attends, nue sur le lit. Tes cheveux son étalés sur le lit devant toi.
A quatre pattes, tu glousses d’excitation. Il me faut quelques minutes pour me déshabiller derrière toi. Mes cuisses une fois nues viennent se plaquer sur tes fesses. Et mes mains remontent le long de ton dos te faisant frémir. Mes doigts se glissent dans tes cheveux et les agrippent.
Avec délectation, je redescend alors sur tes fesses. «Fais moi jouir» me dit tout ton corps et ses demandes sont des ordres pour moi. En humectant mes doigts de ma propre mouille je me glisse dans ton corps dans un gémissement commun.
Mes seins se posent sur ton dos et je me regroupe sur toi. Mes doigts fourragent en toi, je sais ce que tu aimes, je te connais par coeur. Et déjà en quelques gestes, le plaisir irradie en toi. Et déjà en quelques instants nos corps fusionnent dans le plaisir donné et reçu.
Tu cambres ton dos, et je sais que tu cherches à me voir. Je t’invite alors à te tourner pour t’allonger face à moi. Enfin nos yeux se retrouvent, tu me souris. Ton regard est si beau quand tu aimes. Et tu m’aimes.
«Branle moi encore» me dit tout ton corps ainsi offert. Avec passion et acharnement je m’exécute et agite nos corps. Irrémédiablement le plaisir t’emporte et tu jouis à en crier, encore, encore et encore. Sur ton corps épuisé de bonheur je viens déposer le mien. Et j’attends mon tour…
Comme toujours, quel plaisir de découvrir un nouvel article de ta part ! Tu attends ton tour, nous attendons la suite… l’imagination, libertine par essence, comblera l’intervalle
Je pense qu’elle a énormément de chance, cette dame. Espérons pour elle que les expériences se renouvelleront encore et encore. Tiens, est-ce qu’il s’agit d’une histoire inventée, ou le reflet d’une réelle expérience ? Assurément, il y a un fond de vécu. Imaginons un instant que le l’autrice de ces lignes ait disséminé quelques clins d’œils, quelques allusions au sein du texte, qui feraient que seuls quelques initié·e·s puissent y trouver un second sens… Magique ! Eulalie, merci d’être qui tu es.