20 réponses de 121 à 140 (sur un total de 165)
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  • #20609
    Andraneros
    Participant

    Votre dernière intervention @nydor01 pose deux questions. L’une concerne la pression exercée par l’Aneros Helix qui vous paraît inconfortable ; l’autre concerne la lubrification.

    Pour répondre à la première vous pouvez vous orienter vers des masseurs plus fins comme ceux de la gamme Peridise ou le Tempo ou bien encore l’Eupho en version classique ou en version Syn. Les premiers ne sont pas des masseurs prostatiques. Mais ils produisent, en ce qui me concerne comme chez d’autres utilisateurs dont les témoignages abondent sur le forum du site du fabricant, des effets orgasmiques aussi puissants. Le second est plus fin que l’Helix et la version Syn possède un bras périnéal plus souple que la version classique, si je ne me trompe pas.

    Pour répondre à la seconde vous devez faire une lubrification mixte soignée en utilisant des lubrifiants dont les qualités sont complémentaires. Sur des modèles qui ne sont pas en silicone vous pouvez conserver l’huile de silicone sur le masseur et utiliser le beurre de karité ou l’huile de noix de coco en suppositoire ou en injection dans le rectum. Sur les modèles de masseurs fabriqués avec au moins une partie en silicone vous utilisez sur le masseur un des lubrifiants testés et approuvés par NXPL. Les lubrifiants à base d’eau ont l’inconvénient général de durer moins longtemps parce que la composante eau soit s’évapore, soit est absorbée par la muqueuse. Je précise que je mets mon suppositoire de beurre de karité 15 à 30 minutes avant le début de ma session pour lui laisser le temps de fondre et de bien couvrir les parois du rectum.

    Si vos sessions avec un masseur vous procurent moins de jouissance que celles sans masseur, je partage votre conclusion. Bon cheminement @nydor01.

    #20608
    nydor01
    Participant

    Bonsoir,
    J’ai vécu une deuxième expérience Aneros. Mon impression est mitigée.
    L’aspect positif, c’est que je parviens rapidement à des sensations, jusqu’à obtenir un orgasme prostatique.
    Le souci, c’est que ces sensations s’accompagnent d’autres sensations moins agréables, proche de l’inconfort.
    La dureté et la rigidité de l’appareil sont persistantes, trop présentes.
    Je crois que j’ai des difficultés à accepter sereinement la présence de l’Aneros en moi. Je ne suis pas entièrement relax. Une des causes ressort peut-être de la lubrification. Cette fois-ci, j’ai utilisé uniquement un lubrifiant à base de silicone, et j’ai trouvé que l’Aneros ne glissait pas de façon optimale. Je ne sais pas quel lubrifiant adopter, qui soit à la fois efficace et bio (sain).
    Autre chose, après mon orgasme, j’ai trouvé que l’Aneros exerçait une trop forte pression sur ma prostate gonflée, d’autant plus que mes spasmes étaient quasi continus. En fait, c’est comme si mes muqueuses s’étaient refermées sur l’Aneros, sans relâchement.
    Il est possible que le fait que j’obtienne des orgasmes sans Aneros joue un rôle non négligeable. Une session Aneros-less me semble moins contraignante, plus subtile.
    Je suis donc dans l’expectative.

    #20547
    nydor01
    Participant

    Première séance d’Aneros Hélix hier.
    Autant le dire sans ambages, ça marche ! Et au-delà de ce que j’espérais pour une première fois !
    Depuis que j’expérimente la réalité de l’orgasme prostatique, le potentiel de volupté immense offert par la prostate, je suis sidéré du peu d’information qui circule à ce propos. Méconnaissance ? Tabou ? Peur ? Rejet d’un plaisir pour lui-même ? Peut-être… mais c’est bien dommage…

    Avant même de commencer ma séance, j’étais persuadé que le plaisir serait au bout. Cette certitude me venait de mes dernières expériences (voir l’historique du post). Pourtant, ce ne fut pas si simple au départ. Car j’avais aussi une crainte, que j’ai évoquée ultérieurement, celle de ressentir des douleurs lors des contractions du fait de la présence de l’Aneros. J’étais donc confiant, mais stressé.

    Après cette première séance, je suis convaincu qu’une lubrification importante est gage de confort et de réussite. Pour ma part, j’ai procédé manuellement, avec un lubrifiant à base d’eau, et j’ai utilisé un lubrifiant à base de silicone pour l’Aneros. Le mieux comme je l’ai lu, serait d’utiliser une seringue ou une pipette.

    L’Aneros a passé le muscle anal très facilement, mais il y avait bien longtemps que je n’avais pas inséré d’objet dans mon rectum ; cela, ajouté au stress évoqué plus haut, a fait que je me suis crispé. L’objet était froid, dur, la sensation à la limite de l’inconfort. J’ai attendu, respiré (mais j’avais du mal à poser ma respiration), ça ne s’arrangeait pas. J’étais sur le point de renoncer quand un léger changement de position et une meilleure respiration ont atténué la sensation du début.

    J’ai fait quelques contractions pour évaluer les mouvements de l’Anéros, et je dois dire que j’ai été initialement gêné par la butée du bras qui pousse sur le périnée. Je ne suis pas convaincu de son utilité autre que le maintien d’une certaine stabilité (même s’il faut parfois le redresser, car il arrive que l’Aneros tourne pendant les contractions). J’estime qu’il peut être un facteur de déconcentration et de confusion au niveau des sensations de la phase initiale. J’avais vidé ma vessie peu de temps auparavant, mais, effet du stress et/ou de l’Aneros, j’ai eu assez vite envie d’uriner, ce qui m’a conduit à interrompre la séance. J’en ai profité pour remettre du lubrifiant.

    J’ai trouvé que l’Aneros glissait aisément, les contractions s’effectuant en douceur, sans effort notable au niveau des muscles (une différence avec mes expériences Aneros-less qui sollicitent bien plus l’effort et la tension musculaire). Vraiment, ça fonctionne presque tout seul !

    En fait, il m’a fallu une seule contraction maintenue pour enclencher le mécanisme des réactions involontaires. Au bout de quelques secondes, mon anus s’est mis à trembler, l’Aneros poussant sur la prostate qui s’éveillait. Je crois que le tremblement provenait de la partie haute du sphincter anal, en tous les cas, je n’ai rien ressenti de précis sur la partie basse.

    À partir de là, les contractions involontaires se sont succédé, dans une grande diversité d’intensité et de fréquence, et le plaisir a été constant. L’Aneros bougeait sans moi, d’avant en arrière. Les spasmes les plus forts survenaient quand je ramenai les cuisses contre ma poitrine, les mains bloquant les genoux. Dans cette position, la pression exercée sur les muqueuses était telle que je ressentais un véritable embrasement de la zone rectale, c’est aussi dans cette position que je percevais le plus clairement ma prostate. J’avais alors des contractions puissantes, caractérisées par une poussée conjointe vers l’avant, comme si mon corps voulait expulser quelque chose ! Une chose était également impressionnante (absente de mes expériences Aneros-less), c’était les gémissements profonds et systématiques que m’arrachaient ces spasmes.
    J’ai eu pendant une phase de contractions (je pense avoir eu trois ou quatre grandes phases orgasmiques) une très forte érection, avec la sensation que des gouttes d’eau coulaient de mon pénis… ce qui n’était qu’une impression. Toutefois, je n’ai jamais ressenti l’envie d’éjaculer.
    Je ne pense pas avoir eu de super O, je situerais mes orgasmes entre le mini O et le super O ; je dis cela, car je crois qu’il est vraiment possible d’aller plus loin, de perdre la notion de la réalité et d’entrer dans un état différent de conscience.

    À ce propos, me concernant, je ne pense pas que la limite actuelle soit physique mais mentale. Je pense qu’il y a en moi un petit frein à un lâcher-prise total ; une peur instinctive (cette peur dont parlent parfois les femmes face à l’orgasme) devant la possibilité d’une perte de contrôle absolue : si je pars, où est-ce que je pars ? Et pire encore, est-ce que je vais revenir ? Je crois qu’il y a quelque chose de l’ordre de la peur de mourir.

    J’ai noté des différences avec mes expériences Aneros-less. Celles-ci étaient à la fois plus exigeantes sur le plan de la concentration et de l’effort musculaire, et paradoxalement plus cérébrales, tandis que j’ai trouvé cette séance facile sur le plan de l’accès au plaisir, mais plus « sexuelle ». Par contre, après une séance Aneros-less, j’ai plusieurs fois eu la sensation d’avoir une pression dans le rectum pendant une bonne demi-heure (due sans doute à l’engorgement de la prostate), alors que cette sensation a été très ténue avec l’Aneros.

    Pour résumer, session très positive, voluptueuse, qui annonce de vastes possibilités orgasmiques. Je vais plus loin, je crois que cet orgasme peut conduire à des extases de dimension spirituelle ; je me demande même si ce n’est pas le stade ultime.

    Cette nuit, je me suis réveillé avec des chatouillements au niveau du sphincter, des palpitations, des picotements épars dans toute la zone et la perception très fine de l’ampoule rectale ; j’avais la sensation qu’elle se dilatait au moment où mon anus se contractait. J’avais aussi une contraction du périnée, enfin, je m’en suis rendu compte quand il s’est soudain relâché.
    J’ai eu trois spasmes longs et profonds au niveau du bas ventre, pendant lesquels, j’ai été pris d’une vive érection, mon sexe était si tendu que j’étais quasi au maximum des possibilités de mon périnée pour le faire durcir encore.
    Cette érection a eu pour conséquence de transférer la tension de la zone anale/rectale vers mon pénis. Mon excitation est retombée et je me suis rendormi, mais le moment a été délicieux !
    Et à l’instant où j’écris, je ressens par intermittence des petites pulsations dans mon sphincter.

    #20501

    En réponse à: Suite de mon parcours

    hector
    Participant

    Aujourd’hui, une première pour moi, un jouet est rentré totalement là ou il ne fallait pas…
    J’ai alors repensé à cet article d’Adam, que je n’avais pas lu, parce que “ça ne peut pas m’arriver…”

    Je vous remet ici la petite histoire que j’ai laisser en commentaire 😉

    J’ai toujours été assez incrédule sur le sujet, jusqu’à aujourd’hui ou mon rosebud L est entré en entier… J’étais tranquillement sur le dos après environs 2 h de port dont 50min assis dans les transports en commun…
    Bref, bien excité, quelques contractions/spams de plaisir et une lubrification trop importante (j’ai utilisé un lubrifiant silicone car il n’accélère pas mon transit et dure plus longtemps que celui à base d’eau en stock. Cependant il est plus dur à retirer de la partie restant à l’extérieur…) et hop, j’ai senti la partie externe rentrer… La panique arrive et :
    1) je me force à rester calme
    2) je vais aux toilettes. (D’habitude je retire mes plugs aux toilettes, assis sur le rebord de la lunette, il me suffit alors de pousser légèrement et ça sort tranquillement. Cette position permets de récupérer le plug sans problème et de le tirer un peut si nécessaire.)
    3) j’insère un doigt, c’est bien lubrifié. Je pousse légèrement et sens que le plug est juste là.
    4) doucement, j’essaie de l’orienter avec un ou deux doigts tout en poussant sans forcer pour le faire sortir. Comme la partie normalement extérieure se présente de biais, elle sort assez facilement et le reste suis, comme d’habitude, le tout sans douleurs 🙂 .
    5) vérification de l’absence de saignements lorsque je m’essuie et sur le plug. Tout semble OK 🙂

    Voila, pas dit que ce soit la meilleur méthode, pour cette (première) fois, cela a marché et c’est tant mieux. Je pense que l’important est de garder son calme et tant pis si l’on doit faire faire l’extraction par un pro, c’est mieux que de forcer et s’abimer (ce qui est risqué et empêchera l’utilisation de cette zone érogène un certain temps sans oublier d’autres désagréments possibles.)

    #20173

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Salut !

    J’ai passé plus d’une semaine à ne rien faire car j’étais fatigué, malade, les muscles endoloris.
    Bref, pas de sessions, j’avais besoin de me reposer.

    Et puis, en cette fin de semaine, j’ai refait quelques expériences.
    Une session Aneros tout d’abord. C’était agréable, je me suis détendu, mais je ne crois pas avoir vraiment atteint l’orgasme.

    Plus tard dans la semaine, j’ai voulu tester autre chose.
    Tout d’abord, j’ai utilisé un petit bonus pour me détendre et augmenter mes sensations.
    Puis, je me suis muni de mon dildo réaliste couvert d’un condom et je me suis préparé avec du lubrifiant silicone (au passage, je trouve que ce genre de lubrifiant est vraiment un plus. Surtout ceux qui ont une texture épaisse. Les sensations sont vraiment meilleures.)
    Le dildo possède une ventouse, donc je l’ai placé contre une paroi verticale et je l’ai introduit en moi. J’ai tenté des vas et viens.
    J’arrive à y trouver du plaisir, mais cet objet a tendance à m’irriter (le fait qu’il soit nervuré sans doute). Et puis, lorsque quelque chose monte, cela me crispe.
    Alors j’ai essayé autrement, j’ai placé la ventouse au sol, j’ai enfoncé le toy au plus loin en moi, j’ai relevé les jambes que j’ai posé sur le mur en face et puis, j’ai attendu en me relaxant, en pensant à des choses érotiques et en touchant mes tétons.
    Et là, surprise, j’ai vraiment eu du plaisir. Des petites vagues de nuages.

    Aujourd’hui, je me suis dit “Si j’arrive à quelque chose avec un toy qui, d’habitude ne m’aide pas pour l’orgasme prostatique, pourquoi ne pas réessayé l’Aneros Vice également ?” Même position, sans petit bonus, pas vraiment de préparation à part avec le lubrifiant pour ne pas me blesser. Je ne pensais pas ressentir grand chose. Et pourtant, il y a eu du plaisir aussi. Je me suis mis sur la vitesse que je pourrais appeler “coups de reins”, puisque ce sont des pulsions fortes, courtes et rapprochées. A un certain moment, ces pulsations me faisaient vraiment du bien à chaque “bzzz” j’avais des petits nuages.

    Bref.
    Tout ça pour dire que je suis dérouté 😀 ! Encore !
    Je faisais le boulot avec l’Aneros Helix sans obtenir de vrai plaisir identifié durant mes séances. Et là, en utilisant des toys que j’avais presque mis de côté, j’ai ressenti de super sensations. C’est à n’y rien comprendre.

    Bon, par contre, j’ai vraiment certains muscles qui me font mal par la suite, que je sens contractés constamment, ce qui n’est pas agréable. Je vais essayer d’espacer mes séances pour que cela repose. Je leur en demande peut-être trop.
    Paradoxalement, je crois que ce sont les muscles qui ont tendance à se crisper par réflexe lorsque le plaisir arrive. J’essaye consciemment de les détendre durant ma session, mais pour l’instant ça ne suffit pas. Je me dis que si j’arrivais complètement à détendre ces muscles du ventre, je ne devrais pas avoir mal après.

    #20077

    En réponse à: Mon parcours Helix

    Andraneros
    Participant

    Bienvenue sur notre forum @greg.
    Je suis heureux que la lecture de notre forum vous ait apporté une aide utile et que votre confiance vous conduise aujourd’hui à nous interroger directement. Votre cheminement vient de vous apporter, selon ce que vous nous dites, un magnifique cadeau. Je vous en félicite. Soyez-en heureux. Il est tout à fait normal qu’après une (ou plusieurs) vague(s) de plaisir aussi intense vous ayez mal dormi.
    Question 1
    Avez-vous le sentiment d’être parvenu au bout de tout ce que votre masseur Helix peut vous apporter ? Avez-vous le sentiment que votre cheminement vers le Super O’ soit bloqué après vos premiers progrès ? Vous ne nous donnez pas beaucoup d’informations sur votre expérience anale en général, ni sur votre expérience Helix en particulier. Nous ne savons rien des conditions dans lesquelles vous engagez vos sessions. J’ai l’impression que votre expérience est solitaire ; vous ne nous dites rien de votre compagne ou compagnon. Vous comprendrez qu’il est difficile dans ces conditions de vous apporter une réponse personnalisée.
    Question 2
    Les lubrifiants à base de silicone sont tout à fait compatibles avec les Aneros à l’exclusion des modèles Vice (avec module vibrant) et Device qui sont eux mêmes en silicone et des modèles « Syn » (Helix Syn et Eupho Syn) qui sont partiellement recouverts d’une peau de silicone.
    Question 3
    Pour répondre à cette question vous pouvez consulter la page qui regroupe tous les tests de lubrifiants présentés sur NXPL. Vous pouvez aussi nous dire lequel vous utilisez en ce moment. Nos amis qui le connaissent n’hésiteront certainement pas à vous dire ce qu’ils en pensent en fonction de leur expérience.
    Je vous propose de lire mon expérience avec le beurre de karité ici. Vous avez aussi le sujet Meilleur lubrifiant pour sextoys.

    Bon cheminement @greg.

    #19779

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Votre progression ressemble à la mienne avec ses hauts, qui me faisaient penser que j’y étais, et ses bas qui me donnaient l’impression d’avoir tout raté.

    C’est un peu ça effectivement. Quand je suis en plein dans une session intense, j’ai l’impression d’avoir touché le but. Quand je suis hors de cette séance, j’ai l’impression que pas du tout.

    Bref, après mon message d’hier, j’ai fait une session Aneros dans la foulée. Cela a duré environ 2h.
    Comme les sessions précédentes, j’ai mis une musique relaxante et j’ai même rajouté quelques étirements avant de m’allonger.
    J’ai choisi un lubrifiant silicone cette fois, car j’avais l’intention de n’utiliser que l’Helix.
    Je précise que je ressentais déjà une certaine excitation avant la session. Dans ce genre de cas, je ressens une sorte de pulsation dans mon corps.

    Comme c’était hier, et comme je le disais précédemment, j’ai du mal à véritablement me souvenir de ce que j’ai ressenti une fois l’Aneros inséré et l’état de relaxation requis installé.
    Je me souviens surtout qu’à un certain point j’ai ressenti une sensation presque irritante au niveau de l’anus et du périnée. Mais, ce n’était pas vraiment de l’irritation et presque du plaisir. Cela ressemblait à ce que j’ai ressenti dans le hamac l’autre jour. A force de s’amplifier, je crois que cela m’a donné du plaisir localement. Difficile de me souvenir. Par contre, j’ai retiré l’Aneros quelques minutes par la suite, pour soulager un peu ce titillement. Quand je l’ai remis, peu de temps après, je n’ai ressenti aucune irritation, ce n’en était donc pas une.

    Je dois dire qu’après 1h30 de ma séance, je n’avais pas grimpé au rideau. Je note d’ailleurs que j’ai des muscles, les muscles ilio-psoas il me semble, qui se contractent souvent pendant mes séances et je dois faire un effort conscient pour les décontracter. J’ai quelques muscles dorsaux qui font pareil. Généralement, c’est en les décontractant que je me rends compte qu’ils sont tendus et qu’ils gâchent mes sensations de plaisir.

    Suite à ces 1h30, je me suis décidé à utiliser une petite aide pour me relaxer et augmenter mes sensations. Je n’entrerai pas dans le détail. Disons que j’ai retrouvé l’état dans lequel j’étais le 9 avril durant la nuit, en plus léger.
    Et là, mes muscles étaient vraiment décontractés, enfin au début, et j’ai tout de suite ressentis des sensations puissantes. Lorsque j’ai rajouté la stimulation des tétons, j’ai décollé. Les sensations sont devenus intenses, presque insoutenables. A un certain moment, j’ai eu l’impression d’être suspendu en l’air par la zone de mon corps entourant ma prostate et mon pénis. A un autre moment, je tremblais de partout. Je ne pouvais plus retenir les spasmes tellement ça me titillait.

    Au bout d’environ 30 minutes, j’ai décidé d’arrêter la session car j’y avais passé assez de temps et j’avais d’autres choses à faire. Je suis allé dans la salle de bain, prendre une douche. Mais, je me suis rendu compte que mon anus et mon périnée étaient très sensibles. Par là, je ne veux pas dire “irrités” mais bien “sensibles aux caresses”. J’ai repris un peu lubrifiant et j’ai entrepris un massage de ces zones, ce que je fais rarement. Cela a était vraiment agréable. De temps en temps, un doigt se frayait un passage dans le rectum et c’était assez délicieux. A cet instant, j’avais l’impression d’avoir un vagin pour anus et un clitoris à la place du périnée. C’était presque tout comme.

    Maintenant, que tout cela est retombé. J’ai toujours des doutes.
    J’arrive de plus en plus à préciser ces doutes grâce à mes séances.
    En fait, ce qui me trouble, en plus de ma mémoire qui efface mes sensations, c’est aussi qu’il n’y ait pas de “libération”. Je suis tellement habitué à avoir une libération éjaculatoire puis une retombée brusque du plaisir, que je ne peux pas rapprocher des sensations “sans fin” à un orgasme. D’ailleurs, durant ma session, j’ai cru tout le long que j’allais éjaculer car j’avais des sensations dans le pénis et je suppose que ce que je ressentais se rapprochait fortement de ce que je ressens pendant un orgasme éjaculatoire. C’était presque frustrant de ne pas pouvoir me libérer par une éjaculation.

    De plus, j’ai du mal à démêler ce qui est vrai plaisir des autres sensations de l’expérience, comme ces titillements, les contractions, etc. Durant la première partie de ma séance, j’ai ressenti une sensation que je croyais perdue et qui me semble se rapprocher vraiment du plaisir. C’est comme si des nuages se développaient à partir de mon coccyx, m’envahissaient et à ce moment je ressens vraiment un bien-être et ce qui me semble être du vrai plaisir.

    Désolé j’écris un roman, mais c’est difficile à expliquer.
    Je voudrais vous faire comprendre comment ces sensations de “nuages, bien-être, plaisir” s’opposent à celles de “titillements intenses, yeux révulsés, spasmes”.
    Dans le premier cas, je me sens bien, je flotte, je suis calme et serein.
    Dans le deuxième cas, je suppose que ça se rapproche d’un orgasme, mais c’est presque insupportable, je perds presque conscience et mes muscles ont tendance à se crisper car les sensations ne font que grandir.

    C’est complètement différent donc. Et je ne sais pas quoi en penser.
    J’adore le premier cas mais cela arrive de plus en plus rarement, je dirais. C’était ce que je pouvais ressentir lorsque ma prostate me réveillait dans la nuit. Ce qui n’arrive plus.
    Le deuxième cas est très intense, c’est bon, mais ça ne s’arrête jamais et j’en arrive à être frustré. D’ailleurs c’est comme ça que je finis par me crisper de partout et à éjaculer sans me toucher. Généralement, dans ce cas, je sors de la séance un peu énervé, fatigué, et déprimé.

    Je dois préciser que je crois être déjà passé du deuxième cas au premier dans une séance. Le titillement montait, montait, montait, et puis d’un coup paf le nuage et ce plaisir particulier. J’aimerais vraiment que cela se passe comme ça à l’avenir, mais pour l’instant ce n’est pas le cas. Pour l’instant, j’ai de temps en temps un petit nuage, et le reste du temps cette sensation qui monte, qui monte… sans s’arrêter.

    Voilà, je vais m’arrêter là avant de saouler tout le monde, si ce n’est déjà fait.
    Je suis encore une fois troublé. Je pourrais en parler des heures, je crois. Car j’ai besoin de l’extérioriser.

    #19646

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    C’est vrai que je suis sûrement moins tendu qu’avant car j’ai déjà gouté à de vrais sensations de plaisir prostatiques et je sais qu’il est possible de les reproduire. Par contre, j’aimerais tout de même avoir un peu plus de temps et d’occasions pour faire des sessions car à chaque fois je remarque une avancée dans mes sensations sans Aneros, le jour d’après notamment.

    Vous avez écrit dans l’un de vos témoignages plus ancien que vous nettoyiez très soigneusement le pourtour de l’anus pour ne pas marquer vos draps.

    Je ne me rappelle pas avoir écrit cela et cela m’étonne car je mets toujours une serviette sous mes fesses pour préserver les draps. En tout cas, je ne m’en suis pas préoccupé cette fois-ci, et j’ai tout de même été irrité. En fait, je ne crois pas que ce soit un manque de lubrifiant car j’ai cette irritation même quand j’en mets beaucoup, que ce soit du lubrifiant eau ou silicone. Par contre, pas d’irritation avec les jouets en métal. Après, il faut dire que j’ai développé une sensibilité à certaines matières à cause de l’utilisation, dans le passé, de jouets qui n’étaient pas de super qualité (constitués de matières sans doute allergisantes). Avec les Aneros, l’irritation est limitée et elle finit par passer, mais elle est tout de même présente au début et c’est dommage.

    #19643

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Me revoilà. J’ai enfin eu l’occasion de faire une petite séance avec mon masseur prostatique Helix et le Vice.
    Ce n’était pas prévu, j’ai eu un créneau et c’était parti. De plus, contrairement à d’habitude, où je dois m’isoler dans la salle de bain pour me préparer, injecter du lubrifiant silicone etc. Cette fois j’ai juste utilisé un lubrifiant eau (le Vice étant en silicone) que j’ai appliqué sur l’objet et l’anus. J’ai été doucement à l’insertion et ça s’est bien passé. Donc, moins de préparation, moins de stress.

    Pour m’isoler un peu du bruit ambiant, j’ai essayé de mettre de la musique d’ambiance (ambiant night pluto pour ceux que ça intéressent).
    Bonne idée car cela m’a permis de me concentrer sur la musique et me place en spectateur de mon corps (du moins au début). Sans cette extériorisation de ma conscience, j’ai souvent du mal à atteindre de bonnes sensations. Du coup, grâce à la musique, je me suis détendu rapidement et je me suis mis à flotter. Après quelques dizaines de minutes, je pense avoir eu 3 tous petits orgasmes. C’était très léger et diffus. Mais, c’était agréable. Mon cœur battait fort.

    J’aurais pu continuer sans doute, mais j’avais environ 1h devant moi et je voulais réessayer le Vice. Je l’ai donc dégainé. Enfin, en réalité, quand j’ai bougé j’ai senti mon corps lourd, je m’étais vraiment enfoncé dans une relaxation assez profonde. Je suis donc un peu sorti de cet état pour insérer le Vice. J’ai attendu un fois en place, puis j’ai lancé les vibrations. J’ai beaucoup plus apprécié que la première fois. Je pouvais sentir les vibrations à la fois dans le coccyx, la prostate, le périnée, etc. Cependant, les vibrations sont tellement prenantes que, pour l’instant, j’ai du mal à les distinguer des autres sensations.

    J’ai tout de même passé un bon moment. Par contre, à la fin, j’ai commencé à faire des contractions un peu plus fortes pour que l’objet fasse des va-et-vient. J’ai ressenti un plaisir différent, plus brutal. J’ai commencé à me tortiller et à me crisper. A la fin je l’ai même un peu bougé à la main. Bref, cela a abouti à une éjaculation sans les mains. Pas forcément le but de la séance mais pas déplaisant non plus.

    Voilà, donc une session riche en sensations très différentes.

    Un bémol : J’ai remarqué que lorsque j’utilise les jouets Aneros, ou même un dildo avec préservatif, j’ai une légère irritation au niveau de l’entrée de l’anus. Ça chauffe. En principe, j’attends un peu et ça finit par passer. Je ne crois pas avoir cette sensation avec un jouet en métal.

    #19513
    Lerris
    Participant

    Je voulais justement ajouter cette précision :

    Quelles que soient les réponses que vous apporteront nos amis ne les prenez jamais comme référence. Ils ont fait leur cheminement, vous ferez le vôtre.

    Même si nous partageons nos expériences avec toi et que nous essayons de te guider, ce qui a marché pour nous n’est pas forcément ce qui te conviendra. C’est un cheminement individuel et tu dois trouver ta propre voie pour parvenir à l’orgasme prostatique. Bref, même si nous te donnons des pistes, ne te focalise pas trop dessus non plus.

    Concernant la baignoire, si le lubrifiant à l’eau n’est pas conseillé, attention tout de même à ne pas appliquer un lubrifiant silicone sur un sextoy en silicone. Je voulais juste t’avertir au cas où.

    #19469
    thy
    Participant

    travaillant de nuit a mon retour ce matin j étais seul pour cette nouvelle session j ai donc lubrifié mon plug je l ai introduit très facilement après qu’il ce sois mise en place naturellement je me suis allongé sur le dos avec mes mains sous mes fesses pour qu’il ne sois pas gêné pour bouger seul j ai commencer ma session avec la respiration pendant trois bon car d heure avec de grande inspiration et expiration de façon a le faire bouger sans contraction ensuite j ai commencer mes contractions volontaire pendant 30 secondes alterné de contraction avec inspiration et expiration puis j ai de nouveau eu plusieurs fois de fortes érections qui montais et redescendais a un moment j ai commencer a sentir le plug qui bougeais seul en stoppant mes contractions volontaire et quand il se calmais je recommençais mes contraction volontaires mais toujours pas d orgasme même pas de tremblements dans le bas ventre ni dans les cuisses jusqu’au jambes il me tarde tout de même de commencer a ressentir des sensations agréable de cette orgasme tant convoité et juste pour info vous serez t’il possible de me donner une marque de lubrifiant qui ne sèche pas trop vite et qui sois bien gras pour mon plug prostatique en silicone

    #17824

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Andraneros
    Participant

    Votre tolérance au lubrifiant au silicone est une bonne nouvelle @Lerris.

    Il me paraît normal de ne pas retrouver, le matin au réveil, l’état de demi-conscience qui semble favoriser vos sessions nocturnes. Je pense que c’est plus l’approfondissement de votre relaxation en état de veille qu’il faudrait plutôt recherher au réveil pour retrouver cette « sensation profonde ». Vous nous dites vous-même :

    c’est quand j’essaye de maîtriser les contractions et les spasmes en me détendant encore plus… je découvre souvent que ces contractions musculaires cachent une autre sensation. Une sensation profonde, agréable, qui vient sans doute de la prostate.

    La marche à suivre est la même en état d’éveil et en demi-sommeil. C’est simplement plus difficile et plus long pour ceux qui ne maîtrisent pas encore la méthode pour se détendre et se relâcher complètement jusqu’au « lâcher-prise ». Vous avez raison c’est bien la voie à suivre.

    Votre cheminement n’est pas linéaire mais vous constatez vous-même que vous progressez même sans Aneros. Soyez confiant votre cheminement vous fera découvrir bien plus de jouissance que ce que vous connaissez déjà. N’hésitez pas à faire des expériences même si vous pensez a priori qu’elles ne donneront rien, à condition d’engager les sessions dédiées à ces expériences avec autant de relaxation, autant d’envie et autant d’ouverture que vos sessions les plus gratifiantes. Pour l’organisation vous pouvez vous lubrifier et lubrifier votre masseur avant de débuter votre séance, le poser sur un mouchoir ou dans un petit bac à côté de vous, commencer votre session et l’insérer quand vous le désirez.

    La réduction de la fréquence de vos séances de masturbation joue certainement un rôle sur l’apparition d’orgasmes avec éjaculation pendant vos sessions. Vous avez sans doute pu lire les témoignages d’autres membres du forum à ce sujet dont celui-ci. Je pense que vous devriez reprendre une activité masturbatoire entre vos sessions de massage prostatique, voire un peu avant, et en mesurer les effets. J’ai l’impression que vous aurez d’excellentes surprises.

    Bon cheminement @Lerris.

    #17815

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Joyeux Noël également !

    J’ai tenté une session avec l’Aneros ce matin avec le lubrifiant silicone. Apparemment, je le tolère assez bien (le lubrifiant).

    Je suis partagé sur cette expérience. En effet, je n’ai pas réussi à retrouver l’état de semi-conscience que j’arrive à trouver la nuit, au réveil, ou quand je suis sur le point de m’endormir. Les sensations sont donc plutôt restées au niveau du bas ventre et du périnée, même si j’ai eu quelques vagues de plaisir plus générales. Disons que je me trouvais un peu entre les deux chemins que j’ai décrit plus haut.

    A un certain point, ça n’évoluait plus, alors j’ai décidé de caresser mes tétons. Ça a été comme une décharge électrique et cela a déclenché pas mal de spasmes. Cela m’a dirigé vers le chemin “périnéal” dont je parlais, ce qui semble arriver dès que je touche à mes tétons car cela amplifie le plaisir mais semble provoquer de la tension, des contractions, etc. Du coup, le plaisir profond, prostatique, s’efface quelque peu, et le plaisir du périnée prend le dessus, et finit par envahir ma verge, ce qui provoque l’éjaculation. C’est ce qui est encore arrivé après plusieurs vagues de plaisir tremblantes.

    Je ne sais pas vraiment quoi en penser. Difficile de me diriger sur l’autre chemin sans être en relaxation totale, du coup j’ai tendance à prendre le premier chemin, le seul qui me semble accessible à ce moment-là, un chemin plus facile, qui apporte un orgasme, mais pas celui recherché.

    Notez qu’après cette éjaculation, je n’ai pas retiré l’Aneros, ce que j’aurais fait habituellement car cela a tendance à me gêner une fois que j’ai “conclu”. Non là, je me suis détendu, j’ai apprécié les sensations de détente, et j’ai ressenti quelques vagues de plaisirs supplémentaires. Je pense que, j’aurais peut-être pu me servir de la relaxation de l’orgasme avec éjaculation pour toucher l’orgasme prostatique. Cependant, je commençais à fatiguer, alors j’ai stoppé là.

    Pour conclure, il semble que j’ai du mal à trouver le bon état en journée et avec l’Aneros. Mon corps est sans doute déjà sous tension et, quand je mets l’Aneros et que je me prépare, c’est déjà comme si j’en attendais quelque chose, ce qui brouille le chemin. J’ai plus de facilité quand je suis détendu parce que je vais dormir ou que je viens de me réveiller. Je n’attends rien, cela vient tout seul.

    J’aimerais faire comme vous le décrivez, Andraneros, mais si je stoppe ma relaxation sans Aneros, en journée, pour le mettre en place, je pense que je vais perdre toute ma relaxation… De plus, avec le lubrifiant, je suis obligé de prendre des précautions pour ne pas tacher le lit etc. Bref, ça me demande de mettre le lubrifiant dans la salle de bain, d’essuyer tout surplus, etc. Je ne pense pas que ça aide.

    Je me dis que la solution, c’est sans doute encore une fois une session nocturne qui se manifestera d’elle même si je mets l’Aneros en place avant de dormir et que je me laisse faire. Car, dès que je brusque les choses, que je me prépare, que j’ai des spasmes, des fortes contractions, etc. Tout cela réduit mes efforts à néant.

    Dernier point, je me demande si le fait que mon pénis soit plus sensible ne me dirige pas plus rapidement vers le chemin de l’éjaculation. Je m’explique. Habituellement (avant l’achat de l’Aneros), je me masturbais régulièrement avec éjaculation. Depuis mon achat, je ne me touche presque jamais la verge, je suis déjà bien occupé avec ma prostate. C’est un gros changement. Du coup, mon pénis est plus sensible et peut-être que c’est une partie de l’explication.

    #17805

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Salut, me revoilà.

    Durant ces deux semaines, je n’ai fait aucune session avec l’Aneros.
    Par contre, dès le premier jour, j’ai eu des expériences prostatiques “à vide”, parce que je n’attendais rien sans doute et que cela est donc venu à moi.

    Je vais essayer de faire court.
    Généralement, cela se passe la nuit ou au petit matin.
    Je me détends, je respire profondément par le ventre, et petit à petit je commence à ressentir du plaisir dans le bas ventre. Ensuite, il y a deux chemins.

    Soit je me laisse aller aux contractions involontaires et aux spasmes, et je finis par éjaculer (c’est arrivé deux fois). Le plaisir est concentré surtout au niveau du périnée. A la base, éjaculer n’est pas mon but, mais ça finit par se produire avec les contractions.

    L’autre alternative, c’est quand j’essaye de maîtriser les contractions et les spasmes en me détendant encore plus (généralement parce que j’essaye d’être discret et donc de ne pas faire des bons de partout). A ce moment là, je découvre souvent que ces contractions musculaires cachent une autre sensation. Une sensation profonde, agréable, qui vient sans doute de la prostate. Étrangement, pour que cette sensation enfle, je dois concentrer mon attention sur autre chose, un son extérieur, un chatouillement au niveau de mon visage, etc. Et c’est là que les vagues de plaisirs commencent à monter jusqu’à ma tête. C’est vraiment très agréable.

    Je pense que c’est cette voie que je dois suivre et j’arrive de plus en plus rapidement à atteindre cet état. Certaines fois, je sais que ça ne sera pas possible (trop de fatigue ou un transit perturbé par exemple) et j’abandonne, ce qui me fait penser que j’identifie beaucoup mieux le processus.

    Quand j’arrive à atteindre l’état désiré, je m’aperçois vraiment que je suis détendu car, avant, les bruits extérieurs, les petites démangeaisons sur ma peau, les mouvements de ma compagne dans le lit, tout cela pouvait vraiment me stresser, me perturber. Alors que maintenant, je les accepte et je m’en sers même de support pour déclencher le plaisir.

    Bref, je pense avoir un peu progresser même si je ne pense pas avoir atteint un vrai orgasme prostatique sec. C’est beaucoup plus difficile à atteindre que celui où j’éjacule car il faut vraiment que je sois détendu et que j’évite les spasmes.

    Peut-être que l’Aneros m’aidera à aller un peu plus loin. Je devrais reprendre les sessions sous peu. J’ai acheté un lubrifiant silicone, mais je ne suis pas sûr qu’il me convienne. On verra.

    #17533

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Bonjour et merci pour votre réponse !

    Vous ne nous dites pas quel modèle vous utilisez. Quand on parcourt les forums spécialisés sur le massage prostatique on constate que les résultats peuvent varier pour un utilisateur selon le type de masseur utilisé. Mais de façon générale en matière de massage prostatique plus gros ne signifie pas toujours plus efficace. Il faut trouver la bonne combinaison entre votre physiologie, votre état d’esprit, votre capacité à vous détendre, votre expérience et le masseur. Des utilisateurs expérimentés obtiennent d’excellents résultats avec des masseurs différents, certains revendiquent même ressentir plus de jouissance avec les modèles les plus petits.

    Il est vrai que je ne l’ai pas précisé. Il s’agit de l’Aneros Helix. J’ai préféré commencer par du “classique”.
    Comme pour l’instant j’ai bien déclenché quelque chose, je pense poursuivre l’expérimentation avec ce modèle. Même si, ce matin, je n’en ai même pas besoin pour produire le phénomène orgasmique, peut-être un peu moins fort qu’avec l’Aneros certes, mais tout de même présent.

    Vous avez pris conscience de l’importance de la lubrification, celle du masseur bien sûr, mais aussi celle du rectum. Ne négligez jamais cette préparation sous peine de blesser votre muqueuse rectale.

    Je pense acheter un lubrifiant silicone pour essayer. J’ai procédé à une injection de lubrifiant à base d’eau à la dernière session et c’était tout de même mieux déjà. C’est peut-être ce qui m’a permis d’aller plus loin d’ailleurs.
    Le problème avec le lubrifiant silicone, c’est que j’ai peur de ne pas le supporter. Au fil des années, je suis devenu “sensible” voire allergique à certains produits et certains revêtements de sextoys. Cela se traduit par une forte irritation qui met fin immédiatement à la session.

    Vous êtes la source volontaire de ces tremblements ! L’important pour votre expérience ne porte pas sur ce point ; l’important est de savoir si vous avez senti que ces tremblements échappaient à votre contrôle, aussi peu de temps soit-il. Si c’est le cas il s’agit bien, à mon avis, d’une forme de spasme involontaire typique d’un orgasme.

    Même si j’ai ce doute, cette difficulté à réaliser, je pense finalement que ces contractions sont involontaires… Car, sur le moment j’essayais d’être un peu discret (je ne suis pas tout seul à la maison), et pourtant j’ai fait des bonds et je retenais mes cris. Donc il y a bien quelque chose qui échappe à mon contrôle ! De même, je me souviens qu’une contraction rectale a failli me faire expulser l’Aneros et que je l’ai finalement retenu avec ma main. C’est donc forcément involontaire. Enfin, à chaque orgasme, mon pénis se gonfle comme pour une érection, même si elle n’est pas forcément complète. Ça me semble être un signe fort.

    Selon ce que vous nous dites vous n’en êtes qu’à votre 4ème ou 5ème session. Malgré vos expériences de plaisir anal précédentes vous découvrez à peine ce qu’est le massage prostatique avec un Aneros. Il me paraît donc normal que vous soyiez dérouté et que vos premières expériences ne produisent pas les signaux de plaisir que vous attendez. Comme pour de nombreux autres débutants il vous faudra du temps pour que votre corps et votre cerveau apprennent à reconnaître de nouveaux signaux de plaisir.

    C’est ce que je me dis à présent. Je ne suis qu’au tout début, je devrais peu à peu apprivoiser ses nouvelles sensations. Lorsque j’en aurai l’occasion, je pourrai également me lâcher un peu plus. Pour l’instant, je suis obligé de me retenir pour éviter d’être trop bruyant par exemple. C’est sans doute un frein.

    J’ajoute que les effets secondaires que vous ressentez aujourd’hui sont fréquents et tout à fait normaux chez les utilisateurs qui connaissent l’orgasme de la prostate.

    Je n’ai pas compris si par “effets secondaires” vous parliez du fait que j’arrive à reproduire le phénomène orgasmique sans l’Aneros. Vous ne m’avez pas beaucoup parlé de ce point là et j’avoue que je ne serais pas contre connaître votre avis là-dessus.

    Pour répondre aux questions de votre dernier paragraphe, vous devriez tout simplement vous détendre, apprendre à ne rien attendre de chaque session, vous focaliser sur les sensations les plus minimes générées par votre masseur et faire preuve de patience. Plus vous parviendrez à respecter ces attitudes, plus rapides seront vos progrès vers une jouissance beaucoup plus intense que celle que vous connaissez déjà.

    J’ai déjà l’impression de beaucoup progresser rien qu’aujourd’hui. Je vaque à mes occupations et, ce faisant, j’exerce des contractions anales et rectales. J’arrive à isoler certaines sensations.

    #17355
    nikos
    Participant

    15ème session

    Après une heure de relaxation et d’exercices de contractions, je commence à penser que je ne trouverai aucune nouvelle sensation aujourd’hui. La fatigue musculaire arrivant je décide d’appliquer un conseil de @Andraneros. Je fais une pause de 5-10 min. Je retire mon aneros. Je vais marcher, boire une gorgée d’eau.

    Je remets une bonne couche de silicone sur l’hélix et le remets en place. La pause a été profitable. Je retrouve rapidement les sensations là où je les avais laissées. Plutôt que de me concentrer sur une technique à appliquer, je me focalise sur le ressenti. J’accentue toutefois très légèrement le niveau de contraction des PC, et ce sont les PC qui commencent à avoir des spasmes. Ma verge est prise de soubresauts, comme des mini-contractions d’éjaculation mais sans le plaisir orgasmique. Je visualise intérieurement une légère montée de liquide séminal au niveau de ma prostate. J’ai l’impression qu’on me chatouille de l’intérieur et que mes PC se tortillent pour en réchapper. Je me détends, respire profondément et m’abandonne à cette chatouille.

    Je sens que l’aneros commence à faire un doux et lent va et vient que je ne contrôle pas. De la relaxation encore. Chasser toutes les petites tensions musculaires résiduelles dans les jambes, le tronc, les épaules, le cou, les bras. Je vocalise doucement comme pour encourager mon aneros à me donner du plaisir. J’ai été récompensé en fin de session par une bulle de plaisir qui a éclos du bas ventre pour remonter vers la tête. Clairement identifiable comme une sensation de plaisir. Faible mais indiscutable. Extraordinaire et inattendu.

    Puis la fatigue musculaire me rattrapant j’ai mis fin à cette “longue” session d’1h30/2h. J’ai donc fini sur une belle avancée alors qu’il ne s’était rien passé de neuf pendant la majeure partie de la session. En me couchant, je ressentais des échos de ce plaisir furtif venant du bas ventre. Oh joie !

    Stagnation / recul

    Les quelques sessions qui avaient précédé et suivi cette 15ème n’ont rien donné de particulier, étant trop fatigué, voire dérangé lors d’une session, ou ayant essayé de nouveaux lubrifiants qui ne m’ont pas convenu.

    Reprise des progrès

    Depuis 3 sessions j’ai commencé à utiliser le support hypnaerosession et testé une position dos qui me convient.

    La position: les fesses relevées de quelques centimètres, les genoux légèrement fléchis et les jambes retombant sur les côtés. Le tout parfaitement calé à l’aide d’un coussin d’allaitement: la pointe du coussin sous les fesses et les jambes du coussin, en V, sous mes cuisses. On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a sous la main 🙂 Ce calage me permet de supprimer toute tension musculaire inutile.

    Le support hypnaerosession quant à lui aide à canaliser le flux de mes pensées, me guidant jusqu’à un état de relaxation totale très agréable en lui même. La phase de relaxation dure 30-40 min, ce qui est plus long que ce que je faisais d’habitude. C’est très utile pour moi qui suis toujours tendu. Ensuite la voix me guide dans les contractions et m’aide à lâcher prise car je n’ai plus besoin de réfléchir au déroulement de la séance. Rumela est aux commandes, je me laisse faire. Rumel, Mayfield et le reste de l’équipe Aneros ont fait du bon boulot avec ce programme.

    Dormir avec mon aneros

    J’ai également essayé d’aller me coucher avec l’aneros, deux fois. Je me suis réveillé le matin avec une légère impression de flottement mais sans sensation de plaisir particulière dans le bas ventre. Je ne sais pas si les anéronautes ayant progressé en portant leur aneros la nuit ont ressenti les progrès dès les premières nuits ou bien si ils ont du persévérer longtemps avant d’avancer ainsi ?

    20ème session

    Une première séance d’après midi, qui fut assez dense. Musculation : j’ai l’impression d’être un peu plus à l’aise avec les contractions volontaires. Petit à petit je gagne en contrôle, en finesse et en endurance. Je gagne en décontraction et j’essaye de détendre mes abdos lorsque je contracte les PC, ce qui n’était pas automatique pour moi au début.

    J’ai ressenti les contractions involontaires rapidement dès le début des volontaires. Et cela a duré assez longtemps. 30 minutes peut-être ? J’ai essayé de me concentrer sur la relaxation et l’ecoute des moindres signes de plaisir lorsque la tête de l’aneros venait caresser en va et vient ma noix. C’était curieux. Les sensations m’ont semblé intenses, mais toujours pas reconnues par mon cerveau comme du plaisir. Plein de choses se passent en bas qui me sont inconnues et que je n’arrive pas à décrire avec des mots. C’est encore brouillon. Assez déstabilisant.

    Des éléments d’un plaisir morcelé

    comme l’a si bien écrit @Papy6748

    Un buzz se crée autour de la noix, je sens les muscles qui enserrent voluptueusement l’aneros, mes yeux se révulsent et je laisse aller; j’ai l’impression d’avoir comme un étourdissement léger. Mais pas de P-wave. Les connexions se créent, mon cheminement se poursuit, doucement mais sûrement.

    Après une heure, les sensations se tarissent. Ma vessie s’est un peu remplie suite au déjeuner. C’est plié, et de toute façon je risque d’être dérangé en fin d’après-midi. Fin de session donc. Je range mes affaires et me rends compte que j’ai encore la tête qui tourne pas mal, comme pris de vertige. Des papillons dans le ventre. Et qu’une hâte: de remettre ça dès que j’aurai le temps devant moi.

    #15864

    En réponse à: Stronic Drei

    Hyménée
    Participant

    D’accord Hector, je comprends mieux:

    Je vais essayer d’être plus explicite :
    Pour moi, il est important de ne pas tenir/bloquer la partie externe du toy car l’effet est plus intense à se moment là. Cela se ressent aussi très bien si l’on prend les deux extrémités du jouet dans les mains ou une seule. La différence est nette, les pulsations sont plus faible lorsque l’on tient les deux extrémités du jouet.

    C’est vrai 🙂

    Cela me donne l’impression à l’utilisation que ce n’est pas la partie en silicone du jouet qui bouge mais le mécanisme à l’intérieur. J’ai l’impression que celui ci se rétracte dans le manche et puis repart de toute ses forces dans notre intimité.

    Ca, par contre, j’ai pas capté. Je tacherai la prochaine fois d’être plus attentif. C’est sûr, vous êtes dans le juste, et j’ai toujours pas compris comment utiliser pleinement cet engin. Ca va venir. Merci de me guider là où il faut, Hector. 🙂

    Par soucis de facilité d’entretien je ne compte pas l’utiliser sans préservatifs comme la majorité de mes jouets (sauf les anéros plastique/métal et le rosebud en gros).

    Alors, ça vous m’étonnez : le jouet est totalement submersible, alors il suffit de le passer à l’eau savonneuse et le tour est joué. C’est ce que je fais.

    Pour la lubrification j’étais en fait sur un mix lubrifiant à eau et lubrifiant silicone.

    Cela justifie le préservatif, c’est sûr. En ce qui me concerne, j’utilise toujours un mix gel à eau Toko Bio / crème émoliente. Ca marche très bien.

    Ah si ! Cet engin m’a amené à ajouter un nouvel élément au mix lubrifiant. A la réflexion, c’est quand même un peu bizarre, mais bon, vous me direz si ça l’est vraiment. Je dois trouver cela bizarre, car c’est venu sans que je ne le veuille vraiment, alors que j’étais en mode pilotage automatique, le corps et l’esprit totalement pris par les supers O’.

    En mode analyse comme je puis l’être en vous écrivant ce soir, je trouve cela assez sale, pas franchement moi, mais bon … c’est moi. 🙂

    D’ailleurs, à la relecture de mes messages sur nxpl, je peux dire quand cette idée saugrenue a germé :

    Lors de ma dernière séance, l’envie me tenait tellement le corps et l’esprit, que je me suis surpris à engloutir l’aneros jusqu’à la gorge. Je ne sais pas ce qui m’a poussé à faire cela.

    http://www.nouveauxplaisirs.fr/forums/topic/lenvie-de-se-sentir-pleine-lenvie-detre-remplie#post-15017

    Maintenant, j’ajoute de la salive au mix lubrifiant, et c’est franchement bien mieux. Je vous recommande la pratique. Par contre, je ne porte pas les jouets à la bouche, mais je crache à distance : j’arrive pas à avoir ce degré d’inconscience face à la menace bactérienne. 😉

    Je n’ai en tout cas pas sentie les bosses du jouet, peut être avec une utilisation manuelle cela changerait il, mais je n’en sens pas le besoin avec ce jouet pour le moment. Je pense cependant l’essayer dans le cadre d’une utilisation 100% manuelle à un moment ou un autre, je mettrais les commentaires à la suite si il y a lieu.

    Merci 🙂

    Je me souviens de pourquoi j’ai vite éliminé le zwei, 4.4cm de diamètre, c’est trop pour moi (ou alors il me faudrait une excellente détente et une très bonne préparation ce que je ne prend pas souvent la peine de faire.)

    Et pourtant, la préparatifs changent tout à l’explosion finale : mes meilleures séances sont celles qui commencent avant même toute action : le désir m’a déjà retourné les entrailles, le ventre est plein de papillons, quelques mini o’ m’ont écarté les doigts de pieds en éventail, et mon mental n’est plus qu’aux ordres d’un seul mantra : “j’ai envie de me faire baiser.” Alors là, je vous dis pas … non seulement la séance tout du long est un rare délice, mais sa résolution va se trouver à ses origines : au delà de toute action.

    Ca ne se produit pas à chaque fois, car c’est très dépendant du contexte dans lequel je me trouve.

    L’alpha et l’omega réconciliés. La béatitude. Et l’orgasme final dure, dure, dure après l’éjac’ au point où je me demande toujours si je ne vais pas trouver les ressources pour dépasser la période réfractaire. Et puis non. Toujours pas.

    Pour revenir au Drei, vous m’intriguez Hector. Je vous suis très reconnaissant de nous partager ici vos découvertes. Merci 🙂

    #15863

    En réponse à: Stronic Drei

    hector
    Participant

    Bonjour @Hyménée

    C’est votre retour d’expérience avec le zwei qui m’a fait passer le pas et acheter le drei qui m’attirait depuis longtemps 😉

    Pour ce qui est des sensations, j’ai l’impression que c’est la partie externe du toy qui s’éloigne et revient en force nous pénétrer, la partie interne restant quand à elle plutôt immobile

    Alors ça, je crois pas, ou j’ai pas saisi ce que vous avez voulu dire.

    Je vais essayer d’être plus explicite :
    Pour moi, il est important de ne pas tenir/bloquer la partie externe du toy car l’effet est plus intense à se moment là. Cela se ressent aussi très bien si l’on prend les deux extrémités du jouet dans les mains ou une seule. La différence est nette, les pulsations sont plus faible lorsque l’on tient les deux extrémités du jouet.
    Cela me donne l’impression à l’utilisation que ce n’est pas la partie en silicone du jouet qui bouge mais le mécanisme à l’intérieur. J’ai l’impression que celui ci se rétracte dans le manche et puis repart de toute ses forces dans notre intimité. C’est alors que le poids du jouet est prend son sens car c’est alors qu’il permet de générer cette énergie qui va venir nous secouer.

    Sinon, Hector, avez-vous essayé avec un lubrifiant à eau et sans préservatif ?

    Je l’ai reçu hier et testé une seule fois pour le moment. Par soucis de facilité d’entretien je ne compte pas l’utiliser sans préservatifs comme la majorité de mes jouets (sauf les anéros plastique/métal et le rosebud en gros). Pour la lubrification j’étais en fait sur un mix lubrifiant à eau et lubrifiant silicone.
    Je n’ai en tout cas pas sentie les bosses du jouet, peut être avec une utilisation manuelle cela changerait il, mais je n’en sens pas le besoin avec ce jouet pour le moment. Je pense cependant l’essayer dans le cadre d’une utilisation 100% manuelle à un moment ou un autre, je mettrais les commentaires à la suite si il y a lieu.

    — édit —
    Je me souvient de pourquoi j’ai vite éliminé le zwei, 4.4cm de diamètre, c’est trop pour moi (ou alors il me faudrait une excellente détente et une très bonne préparation ce que je ne prend pas souvent la peine de faire.)

    #15859

    En réponse à: Stronic Drei

    hector
    Participant

    Bon, j’ai craqué et je l’ai commandé non sans avant être tomber sur un site anglophone qui disait qu’il commençait à un peut moins de 4cm de diamètre pour finir à un peut plus.
    Et ça soit être le cas, le début est souple, et plus fin que le milieu lui même plus fin que la fin de la partie insérable.
    Le début du toy est dans un silicone agréable au touché (à l’utilisation je l’ai couvert d’un préservatif afin de ne pas avoir de problème avec un lubrifiant au silicone donc je ne sais pas si il reste autant agréable) puis le silicone recouvre le mécanisme qui lui est rigide et dont le diamètre est régulier.
    La fin de la partie insérable d’élargie de manière à éviter toute insertion totale.
    Je n’ai pas de problème avec la réception d’un share en générale pourvu que je sois suffisamment excité/préparé. Je n’ai pas eu de problème avec ce stronic drei, mais j’étais bien excité à la réception.

    Je l’ai donc essayé et grand bien m’en a fait, j’ai joué avec les différentes intensités qu’il propose pendant au moins une grosse demi heure. Le toy reste globalement en place sauf quand les vagues de plaisir et surtout les contractions de plaisir arrivent.

    Pour ce qui est des sensations, j’ai l’impression que c’est la partie externe du toy qui s’éloigne et revient en force nous pénétrer, la partie interne restant quand à elle plutôt immobile. Cependant l’énergie de ce mouvement se ressent dans les chaires et c’est assez impressionnant. J’ai vraiment aimer cette sensation. Les différents rythmes sont sympa et permette de jouer avec notre désir 😉

    La stimulation au niveau des sphincters est très agréable, après quelques contractions de plaisir, le toy ressort un peut, la prostate se trouve alors mieux stimulée,ce n’est plus seulement l’intensité du mouvement la secoue et le mouvement “rotatif” qui fini tout doucement est alors exquis. Cependant, la longueur du toy ne le rend pas idéal pour la stimulation de la prostate (à voir si ça change avec l’expérience), et je me demande si je n’aurais pas du prendre un zwei.

    Il n’en reste pas moins que ce stronic dry est assez épatant et très agréable. A mon avis, il ne faut pas bloquer la partie externe car c’est son mouvement qui fait tout l’effet de ce jouet.
    Les meilleurs positions sont sur le ventre et sur le coté à mon avis, jambes serrées. Sur le dos, je trouve que le toy à plus tendance à sortir.

    #15412
    Caracole
    Participant

    Bonsoir,

    Pour ma troisième session j’ai utilisé un lubrifiant à base de silicone et je n’ai pas ressenti la sensation d’inconfort que j’avais ressentie la dernière fois.

    Quatrième session ce soir : je décide de ne pas utiliser de stimulations visuelles à mon excitation comme des BD ou des vidéos pornographiques et de me concentrer sur ma relaxation et en faisant appel le moment venu à des fantasmes érotiques. Après la mise en place de l’Aneros, cela me permet de me concentrer principalement sur mes sensations internes et ma détente corporelle. Je frise la somnolence parfois et j’arrive à me détendre suffisamment pour relâcher la contraction de fond de mon sphincter anal provoquée par la présence de l’Aneros que j’avais identifiée lors de mes précédentes sessions.

    J’ai le sentiment de parvenir à mieux effectuer les contractions et les poussées rectales en lien avec la respiration abdominales. J’alterne la position en chien de fusil avec celle sur le dos. Après 45 minutes je ressens une chaleur et des fourmillements le long du côté droit de mon corps. Elle s’étend de mes pieds à mon visage et me fige dans une position. Un engourdissement général de la partie droite de mon corps m’envahit et me fige dans une position que je maintiens tout en me concentrant sur ma respiration. A ce moment-là, je sens ma jambe et mon bras très lourds, difficilement mobilisables. Mes deux mains se figent dans la forme de la pince et je ressens une sorte d’étourdissement global surprenant mais agréable. Une envie d’uriner naissante m’oblige à envisager la fin de la séance. Je retire l’Aneros. Je me sens très relaxé et étourdi. Je me lève doucement pour aller uriner aux toilettes et j’ai un sorte de son, acouphène aigu dans les oreilles qui se dissipe ensuite rapidement.

    Je suis très content de ma séance et de ces nouvelles sensations fascinantes!

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