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  • en réponse à : Journal d'un prostatomane #23267
    bzo
    Participant

    merci

    je prends mon mal en patience,
    j’attends un autre complément alimentaire des Etats-Unis
    qui , je l’espère, sera tout aussi efficace pour mon genou, voir plus
    mais sans les effets négatifs sur ma libido

    et en attendant, je suis en mode sourdine,
    j’y pense comme à un paradis perdu à mes séances d’il y a pas si longtemps
    où il me fallait moins d’une minute en général pour avoir mon premier orgasme
    et puis après des séquences de plus en plus intenses, débridées et en roue libre

    mais ce foutu genou est dans un sale état, je dois en passer par là, je crois,
    si je veux retrouver un peu d’autonomie et enrayer l’inflammation constante du genou

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23257
    bzo
    Participant

    j’ai mis mes séances en sourdine pour l’instant,
    je prends actuellement un complément alimentaire pour mon genou,
    mon pauvre genou si mal en point,
    au point d’être obligé depuis des années d’arrêter tout sport et le yoga aussi

    après de multiples essais et des centaines d’euros dépensés, j’ai enfin trouvé un produit qui soulage sérieusement la douleur
    et me permet même de reprendre un peu de sport et de yoga,
    gros inconvénient que j’ai découvert ces derniers jours, il a un effet sur la libido,
    mauvais effet, il l’anesthésie passablement.

    Je continue malgré tout de faire une courte séance d’une demie heure par jour,
    histoire de ne pas perdre la main en quelque sorte
    et aussi tout de même j’éprouve un peu de plaisir, hier soir j’ai même réussi à avoir un orgasme, un assez délicieux même

    cela va encore durer quelque temps, je sais maintenant dans quelle direction chercher un complément alimentaire efficace pour mes douleurs
    et j’ai bon espoir dans les semaines à venir d’en trouver un autre qui soit efficace pour le genou et n’agissant pas négativement sur ma libido

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23248
    bzo
    Participant

    courte séance avant d’écrire un peu ici et d’aller me coucher,
    courte mais très enrichissante car aussi désormais entièrement sous pilote automatique

    c’est une étonnante et très excitante sensation,
    comme si quelqu’un d’autre avait pris possession totalement de mon corps,
    en fait plutôt c’est mon corps qui a pris possession totalement de mon corps et du reste …
    Je est un autre, a écrit un jour Rimbaud…

    Dans les jours à venir, j’anal Lyserai tout cela plus en détail
    car je sens que je viens de franchir une étape essentielle dans mon parcours,
    ma courte séance d’aujourd’hui, la facilité avec laquelle j’ai atteint certaines intensités,
    la diversité des sensations qui a encore considérablement augmentée,
    un degré de relâchement total ayant côtoyé des tensions extrêmes en total symbiose sans se gêner,
    tout cela le confirme et laisse augurer d’un weekend chaud, chaud car j’aurai plus de temps devant moi
    pour m’envoyer au septième ciel et encore au-delà

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23247
    bzo
    Participant

    belle étape de franchie hier,
    pour la première fois toute ma séance a été comme sous pilote automatique,
    j’entends par là que tous mes mouvements, tous mes changements de position,
    les milles petits faits et gestes, changer l’angle d’attaque du masseur sur la prostate, soulever une jambe, une fesse, accentuer la pression, la diminuer, etc,
    toute cette activité a été entièrement pilotée par le plaisir, comme si je n’étais plus du tout aux commandes,
    mon corps improvisait au gré de mes sensations, fort de toute la technique que j’ai acquise au cours des mois
    et mon esprit semblait tout entièrement absorbé uniquement à n’être plus qu’un réceptacle, une éponge.
    Quelques rares pensées me traversaient de temps à autre l’esprit mais je les poussais vers la sortie vite fait, bien fait,”désolé, soirée privée , passez votre chemin!”

    Cela a été possible car je ne m’impose plus aucune contrainte de posture, couchée, assise ou sur les coudes,
    si tout de même une que j’ai gardée, je me force à rouvrir les yeux quand je prends conscience que ceux-ci sont fermés car sous l’effet de l’intensité du plaisir, ils se referment régulièrement.

    J’aime jouir les yeux fermés mais le reste du temps mon expérience récente me conduit pour l’instant à les garder ouverts, le plaisir est plus vif, plus contrasté alors que quand l’orgasme vient, il est plus délicieux de le goûter en son fort intérieur, sentir les rouleaux du plaisir déferler partout en soi

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23225
    bzo
    Participant

    délicieuse séance aujourd’hui,
    j’ai retrouvé toutes mes sensations,
    dès la première pression sur la prostate un plaisir intense et un premier orgasme pas très longtemps après.

    une première partie de 45 minutes environ dont le dernier quart d’heure s’est déroulé dans ce que je qualifierai d’état de transe orgasmique cela se traduisait par une sorte d’intensité tremblante traversée d’ondes de chaleur dans la zone du bassin, tantôt en expansion, tantôt qui se rétractait

    J’ai senti le besoin d’uriner, j’ai enlevé Carabosse doucement,
    toujours cette impression quand elle est restée longtemps en place qu’elle a fusionné aux chairs environnantes et qu’il fallait l’enlever avec toutes les précautions possibles pour ne pas arracher la chair avec.

    Puis je me suis laissé envelopper par la caresse chaude et toujours cette extraordinaire sensation d’éjaculer, non pas quelques jets mais des torrents, des délicieuses caresses sur mon ventre, mon bas ventre, cela a duré 5 bonnes minutes. Il a fait très chaud aujourd’hui sur Bruxelles, j’avais beaucoup bu…

    J’ai été prendre rapidement une petite douche, changé l’alèse imperméable sur mon lit puis j’ai repris ma séance où je l’avais interrompue, une bonne demie heure encore dont la plus grande partie encore dans ce délicieux état de transe orgasmique.

    A un moment donné je me suis coincé la tête entre le lit et la table de nuit, ça faisait assez mal mais je n’arrivais pas à arrêter ou au moins à bouger pour me décoincer la tête car la jouissance était trop forte et elle était aux commandes de mon corps, détail piquant après coup je me suis rendu compte que la douleur que je ressentais au niveau du crâne
    alimentait mon plaisir, l’exacerbait. Petit moment improvisé de sado-masochisme .

    Allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23223
    bzo
    Participant

    Le premier jour, Dieu créa la lumière.
    Le second jour, Dieu créa le ciel
    Le troisième jour, Dieu créa la végétation
    Le quatrième jour, Dieu créa le Soleil, la Lune et les étoiles
    Le cinquième jour, Dieu créa les animaux
    Le sixième jour, Dieu créa l’homme à son image, et la Femme d’une côte de l’homme.
    Le septième jour, il se reposa, satisfait de son travail.
    Le huitième jour, Dieu se rendit compte qu’il avait été un peu injuste avec les hommes,
    alors il donna le plaisir prostatique.

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23211
    bzo
    Participant

    l’angoisse de la page blanche de l’écrivain…
    la peur du trou de mémoire de l’acteur de théâtre…
    la crainte du prostatomane, prostatolatre, prostatophage et prostatophile de perdre ses sensations …

    j’en sors, cela n’a duré heureusement que deux jours, j’ai résolu mon blocage assez simplement finalement,
    ma recette a été de faire comme si de rien n’était, comme si tout fonctionnait comme d’habitude,
    je me suis même surpris à gémir, à ahaner, à râler aux moments où je savais que d’habitude je ferais tout cela,
    je simulais en quelque sorte, je me stimulais plutôt en quelque sorte et cela a marché,
    j’ai vaincu l’appréhension et le doute qui m’inhibait et ma pratique en est sortie enrichie, de nouvelles perspectives s’offrent désormais à moi

    être à l’écoute de son plaisir,
    c’est dans la pratique de notre discipline, mes chers condisciples prostatomanes, prostatolatres, prostatophages et prostatophiles, la clef de notre succès.
    Etre à l’écoute de son plaisir, c’est en saisir les innombrables et constantes variations d’intensité et savoir s’y adapter.
    L’intensité du plaisir diminue? On ralentit le rythme, on se fait plus attentionné pour saisir les moindres nuances, en faire naître d’autres comme d’éphémères bulles qui remontent à la surface et déjà ont disparues à peine écloses.

    L’intensité du plaisir revient? Nous accompagnons, nous précédons même si on a été suffisamment alerte, le mouvement s’accélère, les hanches ondulent de plus en plus lascivement, des changements rapides de position et d’angles de pression sur la prostate, plus fort le masseur, plus vite le masseur! Petit mouvement latéral maintenant comme une feinte de Messi ballon au pied, sans cesse varier est une autre clef de notre succès, mes chers condisciples prostatomanes, prostatolatres, prostatophages et prostatophiles.

    L’orgasme arrive? Dites-toi bien que le train express passe en gare sans s’arrêter, à toi de ne pas le rater, c’est le moment de lâcher tous les chevaux et de sauter à bord de ce monstre vrombissant au fond de tes entrailles, filant à toute allure, tanguant et tremblant frénétiquement comme s’il allait exploser à tout moment.

    Etre à l’écoute de son plaisir, c’est dialoguer avec sa prostate.
    Un dialogue intime, amoureux. Le plaisir naît et c’est mystérieux, cela tiendra toujours du miracle,
    mes chers condisciples prostatomanes, prostatolatres, prostatophages et prostatophiles.

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23203
    bzo
    Participant

    bien en selle à nouveau désormais
    et il y a du nouveau…
    Comme je le pressentais hier, cette mini-crise que j’ai du surmonter me fait repartir sur des bases nouvelles, élargies.

    les vagues du plaisir, expression banale… Mais qui dit houle, dit creux de vague, dit sommet de vague, c’est très important à comprendre cela car ce sont les creux de vague qu’il faut apprendre à bien négocier pour faire durer le plaisir, le faire monter en intensité durablement sans lassitude jour après jour.

    Ma séance d’aujourd’hui à surtout consister à explorer ces nouvelles sensations, ces nouveaux rythmes que j’ai découverts en moi grâce à la prise de conscience de ce phénomène de houle des sensations du plaisir prostatique.
    La plus spectaculaire nouveauté, c’est la faculté toute neuve que j’ai acquise de déguster,
    dégustation lente et systématique du plaisir généré. A certains moments de lentes, de très lentes pressions de Carabosse, ma petite fée en silicone contre ma prostate chérie, j’avais l’impression d’être comme avec un vieux vin dans la bouche, de le garder longuement dans la gorge, de m’en gargariser pour en découvrir toutes les arômes, toutes les senteurs, toutes les nuances avant de l’avaler, je ralentissais encore le mouvement, j’étais quasi à l’arrêt pour prendre le temps de tout bien ressentir, ne plus perdre aucune goutte du plaisir et non plus me précipiter vers de nouvelles sensations quand je sentais un creux de vague.

    C’était délicieux, des rythmes lents et calmes avec des sensations nouvelles, très nuancées qui alternaient avec des moments de frénésie plus classiques chez moi avec enchaînements d’orgasmes plus ou moins longs où j’étais en roue libre.

    Les creux de vague en fait après un certain temps, ce ne sont même plus vraiment des creux de vague, juste une autre façon plus tranquille de goûter le plaisir, une alternance saine qui respecte le rythme naturel de la houle, laissant ainsi le temps à son imagination, à son instinct et à ses sens de s’emballer à nouveau

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23201
    bzo
    Participant

    allons bon, cela s’est nettement mieux passé aujourd’hui, je suis rassuré.

    Une analyse à posteriori, (une analelyse à postérieur rit…)
    me permet de retracer assez précisément l’historique de ce qui s’est passé pour que j’en arrive là hier à terminer ma séance comme au fond d’un puits asséché loin du bain de jouvence orgiaque auquel je m’étais habitué avec ma prostate chérie
    et n’ayant pas éprouvé le moindre misérable petit orgasme durant toute la séance.

    Pour quelqu’un comme moi qui était habitué à pratiquer tous les jours depuis des mois,
    une semaine d’arrêt a eu comme effet que j’ai perdu quelque peu mes repères, mes sensations
    ce qui a eu pour résultat immédiat car j’étais habitué désormais depuis belle lurette à des résultats rapides et puissants dès le premier effleurement de la prostate, que je me suis affolé, le doute s’est installé à la vitesse grand V, enfin pour parachever le travail de sape, j’ai remis en question le bagage technique que j’ai acquis et affiné au cours des mois, du coup j’ai balbutié ma séance en perdant rapidement toute confiance en ce que je faisais, bref un gros blocage.

    Malgré ces centaines d’orgasmes prostatiques éprouvés au fil des jours, certains durant de longues minutes, malgré ces tombereaux de gémissements et de râles de plaisir, tout ce qu’on bâtit lentement peu à peu qui peut paraître acquis et solide, n’est en fait qu’un château de cartes, une construction mentale reliée à nos sens, mécanique délicate et fortement volatile qu’un grain de sable peut suffire à enrayer.

    Mais j’en suis sorti plus fort aujourd’hui.
    Je savais que cela allait être dur au début mais je m’étais préparé mentalement à résister à l’envie de faire n’importe quoi et à m’affoler à nouveau.
    Sensations ou pas, plaisir ou pas, orgasme ou pas, j’étais décidé à faire comme si de rien n’était et à continuer à appliquer ma technique habituelle au stade j’en étais arrivé, c’est-à-dire positions sur les coudes ou plus ou moins assis avec leurs innombrables variantes, toujours en mouvement, yeux ouverts, yeux fermés, etc.
    Le premier quart d’heure a été très pénible, je devais résister au découragement qui m’entraînait dans son courant comme un fétu de paille, mes sensations étaient complètement plombées, parasitées, noyées dans le doute et l’appréhension
    mais j’ai continué comme si de rien n’était, relativement tranquillement malgré l’absence de résultats, m’en tenant strictement à mes techniques qui ont fait leurs preuves.
    Et cela a marché, peu à peu les sensations sont revenues et puis le premier orgasme puis un deuxième, quelques contractions involontaires aussi.

    Bon je ne suis pas encore à 100% mais je sens déjà qu’il y a plus de chevaux sous le capot qu’avant cette épreuve, j’ai gagné en concentration, je ne me laisse plus me déconcentrer par les fluctuations des sensations et du plaisir
    qui sont toujours inévitables. J’ai gagné en calme, je suis plus capable désormais de maintenir le cap avec ma barque même dans une simple bourrasque passagère, c’est de bon augure pour la suite.

    Tout ce qui ne me tue pas, me rend plus fort comme a écrit Nietzsche.

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23199
    bzo
    Participant

    j’y ai mis pourtant tout mon cœur aujourd’hui
    mais le plaisir me fuit pour l’instant comme un pestiféré

    En une semaine d’arrêt, tous mes repères se sont effacés
    et les sensations me parviennent comme dans le lointain

    Elle, ma meilleure part, ma belle endormie, ma petite dynamo si prompte à jouir,
    semble refuser désormais de participer à mes ébats,
    je me sens comme un singe qui a appris quelques tours,
    s’agitant désaccordé sans aucune guidance désormais

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23197
    bzo
    Participant

    ça y est, j’ai repris! Une semaine donc je suis resté sans massage prostatique.

    J’ai cru que j’allais défaillir de plaisir quand Carabosse, ma petite fée en silicone noir effleura de son museau fureteur et sans gêne pour la première fois de la soirée ma prostate chérie.
    Une semaine! Je me suis vite rendu compte que c’était suffisant pour se refaire une virginité de ce côté
    mais contrairement à ce que j’avais cru et la raison pour laquelle j’ai mené cette expérience,
    cela n’a pas décuplé mes sensations, tout du contraire en fait.

    A part ce premier contact qui laissait augurer de bonnes choses, je me suis vite rendu compte que j’avais perdu du terrain quelque part, les orgasmes certes arrivaient mais ils n’avaient pas cette immédiateté explosive
    et leur puissance habituelle, les pressions sur la prostate provoquaient des râles et des gémissements mais là aussi il manquait une acuité des sensations.
    J’en ai pris conscience, le rewiring n’est pas quelque chose d’acquis définitivement, c’est comme un continent sombre et inexploré dont vous êtes parti à la découverte, vous y installez des baraquements de fortune, une certaine vie s’organise, tandis qu’aux avant-postes on continue de pousser toujours plus avant, toujours plus loin, cela semble du terrain conquis définitivement mais si vous vous arrêtez, alors tout cela peut partir rapidement en fumée.

    Bref toute ma séance a essentiellement consisté à me “rewirer”,
    cela m’a donné le loisir d’un peu observer ce processus puisque je n’étais pas à 100% absorbé.
    Se reconnecter à ses sensations physiques avant tout mais pas seulement, éveiller aussi l’Endormie au fond de nous,
    Elle qui a toutes les clefs de la jouissance prostatique, se laissait désirer, semblait bouder d’avoir été délaissée pendant toute une semaine, or ces orgasmes sans fin où les larmes vous montent aux yeux et où l’on n’a plus toute sa tête, c’est elle et uniquement elle qui en est capable. Mais elle n’était pas encore totalement au rendez-vous, je vais devoir patienter quelques séances avant de retrouver toutes mes sensations, je sens cela.

    J’ai écourté la séance pour ne pas être trop frustré de ne plus pouvoir passer à la vitesse supérieure pour l’instant

    allez bonsoir

    bzo
    Participant

    @Garrett

    il existe et il n’existe pas…
    Je ne conteste pas qu’il existe des orgasmes d’une puissance qui semble venir d’ailleurs,
    J’en ai vécu quelques uns maintenant, donc je parle d’expérience vécue.

    Non, ce qui pose problème avec ce concept de super ‘O’, c’est l’image qui en ai véhiculé
    parmi les adeptes des plaisirs de la prostate, ils attendent qu’à un moment donné, tout d’un coup une baguette magique les effleure et hop le Superman des orgasmes, c’est-à-dire le fameux super O les prennent sous sa cape et hop les voilà partis vers le septième ciel ultime à la vitesse d’une fusée humaine.

    Or ce n’est pas cela mais pas cela du tout, un état de plaisir extrême décrit ici et là, ne peut être atteint que si on pratique sans aucune arrière-pensée de la sorte.
    Comme je l’ai écrit dans mon message initial, c’est le petit orgasme de quelques secondes qu’on a connu à nos début qui peut à peu s’enrichit jusqu’à atteindre des niveaux de plaisir où on perd complètement la tête,
    on arrive un jour, pas l’autre, cela dépend d’un certain nombre de critères.

    Personnellement je crois que si peu de gens finalement atteignent ces niveaux de plaisir,
    c’est que les techniques préconisées pour le massage prostatique sont trop statiques, trop répétitives,
    il faudrait plus de mouvements, plus de variétés dans les postures, plus de frénésie, de passion
    comme je l’ai écrit dans un autre message, le massage prostatique c’est se faire l’amour,
    faire l’amour, ce n’est pas quelqu’un comme une planche sur le dos pendant que quelqu’un d’autre
    dessus le laboure, c’est juste de la procréation ça, l’amour c’est de la fantaisie, de l’imagination, de l’instinct libéré, de l’animalité, de la douceur et de la violence

    en réponse à : Ma première expérience avec un Aneros #23176
    bzo
    Participant

    @gabigode13290 a des décennies de jeu anal divers et varié derrière lui et probablement une énergie et une envie intactes,
    cela explique sans doute la vitesse de ses progrès et la puissance de ses orgasmes

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23173
    bzo
    Participant

    allons bon, depuis mes débuts en janvier, sauf empêchement majeur, visite de ma mère ou autre, tous les jours j’attelais la carriole, miss Lubrifiant, Carabosse et Elle prenaient place et nous dévalions les pentes du plaisir à des allures folles.

    Mais là depuis des jours Carabosse reste dans sa boîte bien sagement, miss Lubrifiant reste posé près de mon lit et Elle, elle est quelque part attendant ou n’attendant pas d’être prise dans son sommeil et emmenée au septième ciel.

    Lassé? Que nenni, émoussé? Que nenni, bien au contraire mes dernières séances ont été les plus extraordinaires jusqu’ici, les sensations plus vives que jamais, des orgasmes à pleurer de plaisir, s’enchaînant délicieusement jusqu’à ce que je perde complètement la tête et tombe plusieurs fois du lit, continuant par terre me cognant à tout sur mon passage car je remue, je déménage, je convulsionne, je tremble, bref j’ai la bougeotte quand je jouis, un vrai kangourou, jouisseur au long cours s’éloignant de longues minutes de toutes côtes.

    Alors quoi? Rien, je me suis arrêté depuis deux jours juste pour le plaisir de reprendre, demain, après-demain, je ne sais pas encore
    mais ce que je sais déjà, c’est que les voisins auront intérêt à mettre des boules Quiès cette nuit-là
    et les sismographes de Bruxelles centre vont enregistrer des pics inquiétants

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23168
    bzo
    Participant

    je ne sais pas si beaucoup de gens lisent ce que j’écris, dans ce thread comme on dit en anglais, ce espèce de petit blog dans le blog de notre hôte que je consacre à ma prostatomanie
    mais comme il y a régulièrement des débutants qui débarquent sur ce forum (moi-même il y a quelques mois) et qui posent des questions pour qu’on les aide dans leurs premiers pas ou comment surmonter des obstacles qui les empêchent de progresser, je vais dans ce message essayer de décrire ce qui me parait le plus important à comprendre concernant le massage prostatique, une fois qu’on a compris cela, qu’on en a pris toute la mesure et qu’on le met en pratique,
    le reste n’est plus qu’une affaire de “rewiring” et rapidement vous connaîtrez des orgasmes qui vous feront grimper au plafond (ou vous feront plutôt tomber du lit comme c’est mon cas ces derniers temps…).

    Alors de quoi je parle exactement? C’est une phrase, un concept qui revient régulièrement concernant le sujet qui nous intéresse
    mais l’accent n’est peut-être pas mis assez sur son importance, à quel point il est essentiel même, à quel point en fait le massage prostatique n’est question que de cela, cette phrase c’est “se faire l’amour à soi-même“,
    les plaisirs prostatiques, c’est une affaire de se faire l’amour à soi-même, rien d’autre, rien de moins, rien de plus.

    Pour les débutants, cela peut paraître abstrait, peut-être s’imaginent-ils que c’est juste une phrase comme cela qui ne veut pas dire grand chose au fond et pourtant il dit tout sur le massage prostatique, je vais essayer de développer.

    Pour faire l’amour il faut deux sexes généralement, on peut aussi s’arranger avec moins de deux sexes, tout le monde sait cela. Pour le massage prostatique on va se débrouiller sans aucun.
    A ma gauche on a un masseur prostatique, il va faire office de pénis, à ma droite on a une prostate, taquinée comme il faut, elle va transformer tout l’alentour en un sexe féminin en chaleur aux cent millions de terminaisons nerveuses prêts à irradier le plaisir dans tout votre corps, votre cerveau et vos sens.

    Donc vous êtes l’heureux propriétaire de tout cela, vous êtes en même temps madame et monsieur, seulement monsieur est un petit bout de plastique et madame résiste aux avances obstinément.
    Ce pénis en plastique ou en silicone, servez-vous en comme si votre propre pénis, tantôt de la fougue, tantôt de la lenteur, de la douceur, changez de position, ne restez pas sur le dos comme une planche à repasser, que diable! Faites preuve de toute l’imagination , de toute l’ardeur et de toute la tendresse dont vous êtes capable, sortez le grand jeu, toute la science de l’amour que vous avez acquise, c’est le moment, votre plaisir ne dépend que de cela.

    Il faut entrer dans le jeu de l’amour prostatique avec tout son cœur, ses tripes, son âme, la prostate va aussi rapidement entrer dans le jeu si vous jouez votre part, elle va répondre à tous vos sollicitations, au centuple bientôt, vous, votre sexe en plastique et votre sexe féminin temporaire que vous allez travailler avec toute le raffinement, tout l’animalité dont vous êtes capable.

    C’est juste cela, se lâcher, c’est entrer dans ce jeu, ne plus se poser de questions, juste se faire l’amour comme si on était deux, deux corps entremêlés, ahanant, gémissant, se caressant frénétiquement, amoureusement, cherchant à ne plus faire qu’un, deux qui voudraient ne plus être qu’un, nous on est double , masculin, féminin et vous avez l’occasion unique, merveilleuse, de le vivre en pratique, de le ressentir au plus profond de votre chair.

    Le reste comme je l’ai écrit plus haut, n’est qu’une question de “rewiring” et puis tout de même un peu de technique,
    découvrir ses positions favorites, ses masseurs favoris, pratiquer yeux ouverts ou yeux fermés, comment lubrifier, quand, coussin sous les fesses ou pas (je déteste), etc
    Mais l’essentiel, il tient dans ces quelques mots: se faire l’amour,
    une fois que vous avez compris cela et que vous le mettez en pratique de toutes vos forces et de toute votre âme, vous avez compris 90% de ce qu’il faut savoir.

    allez bonsoir

    en réponse à : En route vers le trésor #23131
    bzo
    Participant

    de toutes les façons cette approche très analytique, méticuleuse et attentive à tous les détails,
    je ne peux que l’encourager, elle a été la mienne et elle l’est toujours d’ailleurs

    il y a toute une technique, très personnelle, unique pour chacun, même si les grands principes restent les mêmes pour tous
    et il faut donc la développer, tout en apprenant à lâcher les chevaux

    trouver ses positions de prédilection, découvrir ses nombreuses variantes qui permettent de ne pas s’enfermer dans une routine qui tuera peu à peu les sensations,
    trouver le masseur qui nous convient le mieux, très important cela, il faut savoir qu’un masseur loué par l’un, pourra n’avoir aucun effet avec un autre

    la bonne technique de lubrification, moi par exemple je déteste lubrifier d’avance, je préfère retirer 3,4 fois le masseur et le ré-lubrifier à chaque fois

    mais encore une fois , parallèlement à cette technique, il faut apprendre à écouter son instinct, apprendre à se lâcher, à se laisser aller, à laisser monter les forces en nous pour nous entraîner dans l’explosion du plaisir

    il faut savoir qu’il n’y a pas de limite
    au plaisir prostatique, donc patience, persévérance et récompense à la clef

    en réponse à : En route vers le trésor #23128
    bzo
    Participant

    @Severus cette recherche de la position idéale est louable mais être constamment en mouvement,
    est l’attitude à prendre selon moi, la position idéale est celle qui répond le plus à l’excitation du moment,
    celle-ci changeant constamment, notre position doit aussi sans cesse s’adapter.

    Bon, il faut dire, j’ai une approche assez atypique des plaisirs de la prostate, la plupart des gens apparemment restent couchés sans trop bouger, de temps à autre ils changent de position,
    moi je l’assimile à une lutte amoureuse, le plaisir prostatique me démultiplie, au plus je suis excité, au plus je suis débridé, membres entremêlés, ahanant et gémissant, bougeant à l’unisson.

    L’instinct est un grand moteur, un acteur indispensable même s’il faut le canaliser par moments, il faut apprendre à le laisser parler

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23127
    bzo
    Participant

    quelle séance encore la nuit passée,
    je suis tombé plusieurs fois de mon lit,
    tellement j’étais excité, hors de moi, tellement je me contorsionnais, le corps divaguant de plaisir,
    me jetant à gauche, me jetant à droite, continuant par terre,
    me cognant au mur, à l’armoire, aux chaises, n’ayant cure, insensible à la douleur
    c’était épique, je suis couvert de bleus ce matin

    bref encore une séance de référence

    yeux ouverts toujours depuis quelques jours mais en fait je me rends compte que dans la réalité il y a une alternance de fait car souvent l’intensité du plaisir me faisait fermer les yeux de longues secondes
    mais dès je m’en rendais compte, je les ré-ouvrais

    et bien sûr désormais constamment sur les coudes ou plus ou moins assis comme positions,
    bien que là aussi de temps à autre le plaisir était tellement intense que je me recouchais
    mais là aussi après quelques secondes je me remettais sur les coudes
    car ces positions me procurent définitivement des angles d’approche plus intéressants de ma petite chatte, euh, de ma prostate

    canicule sur Bruxelles,
    vais aller admirer les corps légèrement vêtus des femmes dans les rues et aux terrasses

    allez bonne journée

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23126
    bzo
    Participant

    ah je suis rassasié, vais aller dormir le corps léger et l’âme paisible, de beaux rêves m’attendent.

    ma prostate, mon petit ange du plaisir ronronne doucement dans son écrin
    en boule comme un chat qui a fait un bon repas

    demain, de nouvelles aventures nous attendent, elle, Carabosse, miss lubrifiant et moi,
    quel attelage, fouette cocher!

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23125
    bzo
    Participant

    allons bon, l’urine a coulé à flots, mes douces, mes chaudes éjaculations jaunes,
    rien de meilleur après un délicieux chapelets d’orgasmes prostatiques

    le temps de prendre une douche, de changer l’alèse sur mon lit,
    de taper ces quelques mots
    et je pars enfourcher à nouveau Carabosse

    je suis dans une forme olympique, je vais en profiter au maximum

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23123
    bzo
    Participant

    ah mes amis, la fête a encore eu lieu ce soir, enfin elle est toujours en cours
    mais il y avait des mots aussi qui me trottait dans la tête,
    alors pour m’en débarrasser, mon masseur attendant sagement dans mon fondement,
    enfin pas si sagement, c’est l’appel de la jungle à tout instant au fond de moi,
    il faut que je me presse de terminer de taper ces quelques mots au clavier
    et que j’y retourne

    masseur, masseur! Désormais tu auras un nom, tu seras ma fée Carabosse
    et je vais te chevaucher toute la nuit,
    la nuit sera blanche, la nuit sera écarlate, la nuit sera de toutes les couleurs,
    tant de moments délicieusement violents et violemment délicieux

    oups, argh, Carabosse…
    il est temps que je rende l’antenne

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23118
    bzo
    Participant

    une séance d’une bonne heure aujourd’hui.
    Si j’étais un sportif, j’écrirai que je viens encore de battre mon record personnel dans ma discipline.
    Record en intensité des orgasmes et leur fréquence,
    en fait après plus ou moins une demie heure, je n’avais plus qu’à ré-appuyer le masseur sur ma prostate
    et je repartais pour un autre tour de manège.
    Toutes mes séances depuis quelques jours se font les yeux ouverts, plus d’alternance actuellement,
    c’est depuis que je suis constamment dans ces positions sur les coudes ou plus ou moins assis.

    Le plaisir par moments était tellement intense, que j’avais l’impression de frôler de la douleur,
    étonnant comme sensation

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23049
    bzo
    Participant

    quelle séance ce soir , mes amis, une petite heure
    mais tout ce que j’ai vécu jusqu’ici, c’est de la roupie de sansonnet à côté.

    Le plaisir prostatique n’a vraiment pas de limite, comment est-ce possible, quelle aubaine en or.

    Dans la continuité de ce que j’ai expérimenté hier, j’ai passé toute la séance sur les coudes
    (voir plus haut pour une description plus précise de la posture),
    cette position peut se tenir en fait sans fatigue durant de très longues périodes,
    ce sont les postures assises qui sont nettement plus fatigantes, aussi je me redressai moins souvent
    et dès que je sentais mes bras faiblir, je me remettais sur les coudes.

    Comment décrire, cette intensité d’un nouveau palier qui me donnait à chaque instant l’envie de hurler ou de pleurer?
    Est-ce spécifique à mon G-Rider et sa tête oblongue qui a d’un côté presque une sorte de bec arrondi
    qui dans ces positions sur les coudes ou plus ou moins assis, permet de rendre folle à ce point ma prostate?
    Il faudra que j’essaie un de ces jours avec un autre masseur, un Progasm par exemple.

    Je n’ai pas encore toute ma tête, je suis encore étourdi, ébahi, sonné, enivré rien qu’à la pensée de ce que j’ai vécu.

    Plus haut j’écrivais que j’en étais arrivé à des orgasmes de plusieurs minutes avec des tremblements et des contractions involontaires et que je savais pas pour l’instant, ce qui m’attendais au stade d’après.
    Maintenant je sais, j’ai eu des instants de complète folie, où je ne savais plus qui j’étais, où j’étais, ce que je faisais, je me rendais compte vaguement dans le lointain que je gigotais beaucoup mais sinon la jouissance m’avait avalé tout cru, il y avait des rayons de lumière partout et je barbotais là-dedans complètement désintégré

    autre chose, après votre séance, osez l’urine.
    je m’explique, après une longue séance fructueuse,
    votre bas ventre, votre sexe sont dans un état d’hyper-sensibilité extrême,
    alors fermez les yeux, laissez vous aller et puis laissez monter l’urine, prenez votre temps,
    cela en vaut la peine, au premier jet, vous allez gémir comme si vous éjaculiez,
    gardez les yeux fermés, sentez le liquide chaud s’écouler sur votre ventre, votre bas-ventre, vos cuisses, vos poils se mouillent, un second jet, vous gémissez à nouveau, le liquide doré s’écoule maintenant sans discontinuité et vous râlez aussi sans discontinuité, sentez la caresse chaude, enveloppante, elle semble interminablement titiller votre peau sur son passage, cerise sur le gâteau de la séance

    petit truc, buvez quelques verres avant de commencer, ce sera prêt en fin de séance
    pour vous offrir une petit bonus d’un plaisir différent,
    il ne vous reste plus qu’à oser

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23039
    bzo
    Participant

    ce matin en me levant je me suis dit, “tiens, si je commençais ma journée par quelques orgasmes”,
    rien de tel pour vous mettre de bonne humeur, aussi tôt formulé, aussi tôt en action
    mais ma prostate semblait avoir d’autres idées sur la question, j’arrêtai un peu dépité après un quart d’heure,
    Ce n’est pas la première fois, en fait je n’ai jamais eu de séance réussie au réveil,
    j’ai déjà essayé trois, quatre fois mais chaque fois pareil.

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23038
    bzo
    Participant

    mes séances d’aujourd’hui, deux courtes , une d’une demie heure puis une d’un quart d’heure,
    se sont toutes déroulées soit couché partiellement, sur les coudes le haut du corps relevé, soit plus ou moins assis avec les bras en arrière pour porter le poids du corps en partie.
    C’est stupéfiant à quel point dans ces positions les angles de pression sur la prostate m’arrachent des sensations plus fortes, c’est bien simple , en moins d’une minute j’avais mon premier orgasme, trente secondes après les premières contractions involontaires et celles-ci m’ont accompagnés constamment jusqu’à la fin,
    par moments avec une puissance, j’avais l’impression d’être dans la gueule d’une mitraillette,
    tout crépitait, tout tressautait, tout tremblait autour de moi, en moi. Je n’avais pas encore eu d’orgasme aussi fort

    le revers , c’est je ne pouvais pas rester bien longtemps, 1 minute , 1 minute et demie tout au plus
    dès que l’orgasme arrivait car dans ces positions avec les contractions involontaires,
    c’est une véritable danse de saint-guy que j’effectuais dans mon lit,
    comme une marionnette possédée, désarticulée, je bougeais dans tous les sens au gré de mes contractions
    et mes bras fatiguaient rapidement, je devais me recoucher, m’arrêter une minute ou deux avant de reprendre

    bon, j’ai pris une résolution, je vais faire de la musculation des bras,
    la perspective de pouvoir rester de longues minutes à orgasmer ainsi,
    je suis prêt à tous les sacrifices

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23016
    bzo
    Participant

    plus haut j’ai écrit qu’il fallait rester relâché…
    cela revient souvent sous la plume de ceux qui écrivent sur les ébats avec leur prostate
    mais qu’est-ce que cela veut dire exactement?

    En fait, cela peut engendrer de la confusion,
    car enfin le plaisir, c’est des tensions qui se font et se défont
    et puis l’orgasme, c’est un pur-sang qui se cabre, c’est la tectonique des plaques,
    des continents brusquement qui se mettent en route, qui s’entrechoquent comme des auto-tamponneuses
    et nous, au milieu de tout cela il faudrait qu’on reste détendu?
    la vérité c’est qu’on est souvent cambré à la limite de la rupture,
    pressé comme un citron dans un presse-jus sur lequel on appuie de toutes ses forces.

    Je dirai plutôt qu’il faut se laisser aller à ce qui se passe,
    il y a une tempête sous le capot, il faut faire comme si de rien n’était
    et se laisser entraîner par ce grand tourbillon sans arrière-pensée
    accueillir les tensions du plaisir, de la jouissance sans se raidir car ce grand capharnaüm qui s’éveille,
    c’est aussi un château de cartes prêt à s’écrouler
    (mais prêt aussi à repartir au quart de tour, une fois qu’on a l’expérience)
    au début on ne pourra pas s’empêcher car la surprise est trop grande à tout bout de champ,
    quand on ressent ses premières contractions involontaires par exemple, tout est sujet à surprise au début
    mais c’est de bonne guerre, ce sont des étapes nécessaires

    allez bonsoir

    en réponse à : Ma première expérience avec un Aneros #23014
    bzo
    Participant

    Je ne suis pas médecin
    mais je serai vraiment étonné, je suis même prêt à mettre ma main au feu,
    qu’il n’y a aucun dommage neurologique ou autre à craindre

    non, le plaisir, la jouissance avec le massage de la prostate n’ont pas de limites, cela peut effrayer,
    j’ai aussi connu de ces séances où les orgasmes de plusieurs minutes s’enchaînaient les uns après les autres
    à partir d’un certain moment, je n’avais plus à qu’à appuyer légèrement le masseur sur la prostate
    et immédiatement je repartais dans un autre orgasme, c’est le genre d’expérience qui vous marque
    mais contrairement à toi, je n’y vois aucun problème, aucun danger que du contraire,
    je n’y vois qu’une incitation à persévérer et à multiplier les séances autant que possible

    il n’y a pas de limite… Même pas de limite d’âge ,
    alors que pour durcir l’engin durablement, le viagra sera nécessaire depuis longtemps,
    la prostate elle, défiant le temps, continuera sans signe de fatigue à fournir des orgasmes à la queue leu leu,
    pour qui la presse avec diligence et expertise

    en réponse à : Émission de liquide #23013
    bzo
    Participant

    moi je vais m’y mettre dès ce week-end, toujours curieux là où il y a des orgasmes à dénicher

    si on voit cela d’un côté pratique et pragmatique, c’est aussi bien intéressant, plus besoin de masseur, de lubrifiant, de piles pour le vibrateur, c’est donc plus hygiénique, plus économique,
    plus discret aussi, je suis toujours un peu inquiet qu’un jour ma femme de ménage tombe sur ma boîte à masseurs, cela risque de la traumatiser, la pauvre

    plus sérieusement, je suis excité d’expérimenter cela
    maintenant que mon expérience avec des masseurs a atteint un certain stade
    où je me sens sûr de ce que je fait et des résultats que je peux obtenir, je me sens prêt à essayer sans

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23005
    bzo
    Participant

    petit séance aujourd’hui, fatigué, deux beaux orgasmes tout de même,
    j’ai bien senti l’arc du plaisir se tendre lentement en moi,
    j’ai senti à quel point il est important de rester relâché pour accomplir au mieux cette action,
    d’alterner des moments plus frénétiques où on laisse parler son instinct
    et des moments plus contrôlés de suave lenteur

    mais la flèche elle, part toute seule, les doigts qui la tiennent, ne nous appartiennent pas.
    en attendant le moment où tout va devenir vibrations et tremblements, fendant l’air,
    j’accomplis les gestes du rituel enfoui dans la chair des hommes

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23003
    bzo
    Participant

    @Andraneros merci d’avoir rectifié, je confirme 11cm de circonférence et un tout petit peu plus de 4cm de diamètre (41 mm)
    mais sa tête est plutôt de forme oblongue qu’arrondie

    c’est un redoutable bélier mais capable d’une douceur infinie

30 sujets de 5,101 à 5,130 (sur un total de 5,169)