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bzoParticipant
j’ai dix doigts
mais quand ils courent sur ma peau,
j’ai parfois l’impression qu’ils sont cent,
les chenapans
mon bassin me veut du bien
mais il faut que je le laisse faire, totalement,
il me susurre
expertise de mes cuisses ,
transformer mon sexe et mes couilles,
en un torrent de soie,
à coups de frottements, d’effleurements,
de pressions plus ou moins légères
bzoParticipantau fond, le mode yin, le plaisir au féminin,
c’est apprendre à aimer son corps
quand celui-ci sent cela,
il réagit
et comme il réagit,
vous n’imaginez même pas
je veux dire,
vraiment aimer son corps,
pas juste comme cela, une notion abstraite,
l’aimer dans sa tête,
se dire comme je t’aime, comme je t’aime ,
mon corps chéri
non, l’aimer dans l’instant,
l’aimer concrètement , avec ses mains
avec toute sa fougue, toute son ardeur, toute sa délicatesse,
tout son raffinement, toute sa sauvagerie,
se donner entièrement, être entièrement, dans chaque caresse
l’aimer avec ses gestes, l’aimer avec ses mouvements,
effectuer ceux-ci comme si on voulait le caresser à chaque instant, avec,
l’aimer avec ses contractions,
effectuer chacune de celles-ci,
comme si on voulait aussi le caresser de l’intérieur avec
aimer son corps,
avec toutes nos actions,
une façon de se pencher sur son corps
comme si c’était le corps de notre amante ou de notre amant
ou les deux
à qui on voudrait procurer le plus de plaisir possible
bzoParticipantsalut
d’abord, je n’ai pas cherché absolument à utiliser un masseur prostatique,
c’est tout le contraire,
après des années de pratique du massage prostatique avec masseur,
très prolifiques et très réussies,
je suis passé à l’anerolesset pendant des années je ne m’en suis plus jamais servi
et je le regrette bien de ne pas avoir gardé les deux,
car je n’obtiens pas du tout le même type de résultat,
avec ou sans
j’ai pu le constater sans ambiguïté , ces derniers joursle fait est qu’aneroless,
mon massage prostatique ne m’a jamais vraiment permis
d’atteindre les mêmes hauteurs qu’avec un masseur,
je me dois, pour être totalement honnête, de l’avouerla raison n’est pas du tout,
un manque de qualité, de richesse, inhérent à la pratique aneroless
par rapport à celle avec masseur,
non, définitivement non,
c’est tout le contraire,
la pratique aneroless est plus riche, plus variée
et offre bien plus de libertémais c’est plus que probablement lié
à ma pratique en mode yin qui est aussi aneroless
et qui finalement, laisse que peu de place, voire pas du tout
pour une autre pratique aneroless à côté d’elleil m’est beaucoup trop mais alors beaucoup trop facile
de basculer en mode yin instantanément
quand je suis en mode prostatique, sans masseur entre les jambes,
c’est juste trop irrésisitible de le faire, au bout d’un certain temps,
tellement le plaisir y est plus simple, plus naturel, sans effort,
ressenti dans tout le corps, variant sans cesse, etc, etcje mélange des moments 100% prostatiques dans la pratique en mode yin,
ils sont tout à fait délicieux , riches et puissants
mais ce n’est pas du massage prostatiquela définition du massage prostatique,
pour moi, est, on ne peut plus simple,
c’est du massage ou du chipotage comme vous voulez,
quand vous voulez, tout seul ou avec qui vous voulez
qui conduit à des orgasmes prostatiques.
Point.En faisant le poirier sur une main et écoutant du Bach
ou en vous grattant les aisselles avec une petite cuillère
si cela fonctionne chez vous,
et que vous obtenez des orgasmes prostatiques ainsi,
alors c’est du massage prostatiquenon, le fait d’utiliser un masseur,
justement compartimente plus efficacement,
me permet, pour l’instant, de garder chaque type de pratique, dans son pré,
et me permet, ainsi, d’avoir à nouveau une pratique 100% prostatique
qui conduit aux résultats escomptéspour plusieurs raisons, cela fonctionne, en tout cas, pour l’instant,
d’abord avec un masseur planté dans le cul,
les mouvements sont plus limités, je bouge nettement moins,
or le mode yin, c’est le mouvement,
le bassin danse, les hanches ondulent,
le corps se meut, se meutil y a nettement moins de liberté, à tous les points de vue
dans une pratique avec masseur,
or mon mode yin, s’accommode mal d’une quelconque restriction, au stade où j’en suis
les contractions, sont comme une danse des muscles du périné,
sont comme des ailes d’oiseau qui battent librement,
mais avec le masseur,
c’est plutot être comme avec des chaînes aux pieds, de ce point de vue,
les mouvements sont plus limités, on ne doit pas trop bouger
sinon le masseur devient inactif, perd de son efficacitéles contractions avec masseur,
sont beaucoup moins riches, moins libres, moins variés, aussi,
cependant cette relative pauvreté de la pratique avec masseur par rapport à l’aneroless,
est compensée en grande partie par une surpuissance obtenue grâce à l’objet physique, masseur,
une fois qu’on sait bien le manipulersurpuissance qui utilisée à bon escient,
délivre une qualité de plaisir totalement différente,
matérialisée par de nombreux types d’orgasmesces limitations et la répétition, jour après jour,
sont les raisons même
pour lesquelles j’ai abandonné, il y a quelques années le masseur complètement,
j’en avais fait le tour,
j’avais obtenu des super O qui duraient plusieurs minutes,
des séances où j’enchaînais des dizaines et des dizaines d’orgasmes à la queue leu leu,
vécu aussi des orgasmes de style “mer calme”
durant certaines, j’ai même eu de splendides hallucinations
qui ont été des moments vraiment très très spéciauxquand pendant un temps indéterminé,
on devient de tout son être, une aile d’oiseau en mouvement,
qu’on sent partout en soi, dans chacune de ses cellules,
cet effort formidablement synchronisé et gigantesque pour battre l’air
ou que j’entrevois en moi, un long pont suspendu qui se perd la lumière,
ce sont des choses qu’on n’oublie pas,
qui restent imprégnées en soi, pour toujours
et que je veux absolument revivremais comme je l’ai écrit, il y a pas longtemps,
il n’y a aucun plaisir, aussi intense qu’il soit,
dont on ne peut se lasser
si on ne progresse plus,
je voulais vivre autre chose, j’avais besoin d’autre chose,
j’avais besoin de changer d’aire de plaisirlà, en alternant les deux types de pratique
qui sont splendidement complémentaires, je le répète
car ce qui est moins présent dans l’une,
sont les atouts principaux de l’autre
et vice et versaavec l’une,
j’ai l’infinie variété, l’infini carrousel, des nuances d’une volupté
comme un nectar ineffable dans la chair ,
une sensation de jouissance en continu, en fait,
j’ai aussi cette sensation de complicité, de communion, avec mon corps,
sensation d’un épanouissement superbe, à chaque instantavec l’autre j’ai la puissance pure, violente, sans restriction,
de la prostate titillée par un masseur
j’ai les orgasmes divers et variés que cela peut provoquer,
j’ai les détraquements totaux du corps pendant de longues minutes
qui peuvent me catapulter dans des zones de moi-même totalement inconnues et mystérieuses,
avec des résultats parfois carrément mystiqueset puis je compte aussi développer dès que je suis à la retraite,
encore une pratique anale,
rien qu’avec les doigts ou avec des joujou, je verraibzoParticipantc’est une remarque, prostate trop loin, qu’on lit régulièrement, de la part de pas mal de débutants
et cela se révèle , la plupart du temps, une impression erronée.
Cependant tu peux essayer les plus grands de la gamme,
le Progasm ou le Vice 2, je conseille plutôt le second
car il te permettra, éventuellement, aussi, de tester avec des vibrations,
étant motorisé. Et de plus, c’est un des meilleurs masseurs qui soit , avec une silicone douce et soyeuse
Cependant travaille avec, surtout sans le moteur allumé
Le hélix, il semble, est celui qui réussit à la plupart des gens pour débuter, cependant même s’il est recommandé par Adam,
ce n’est pas une panacée, moi , je n’ai jamais réussit à obtenir avec le moindre microgramme de sensation et bien d’autres, non plus
il ne faut pas se focaliser sur les contractions involontaires, ni si le masseur touche bien la prostate ou pas,
ni même si on est assez détendu ou pas, ni si les contractions sont trop fortes ou trop faibles
juste se laisser aller, laisse parler ton désir, se connecter à ton corp,
le reste vient tout seul
cependant si tu veux les conseils de plus de gens, alors inscris-toi sur le Discord lié au site, il est, de nos jours, bcp plus fréquenté, entre autres, par Adam lui-même
bzoParticipanthé hé mes amis (la poussière, le vent et le temps qui passe)
hier soir ou plutôt, hier dans la nuit,
ca a été mémorable,
j’ai déterré mon masseur
et j’ai pris mon pied monstrueusement,
comme les deux textes précédant celui-ci, le décrivent en détails
j’en ai des frissons, rien que d’y penser,
suis assez occupé aujourd’hui en journée
mais dès que je reviendrais,
je me beurre l’anus et le masseur
et hop et hop et hop,
en avant, avanti, pour les ondes prostatiques
je ne peux m’empêcher de délirer , de m’enthousiasmer,
j’en ai rêvé de ce moment
où les deux types de pratique, prostatique et en mode yin,
cohabiteront en moi,
que les deux seront à ma disposition, à volonté
voilà, c’est là, c’est à moi,
mon cul en est tout émoustillé rien que d’y penser,
cela me démange au fond de l’anus,
il y a un masseur fantôme pour l’instant
qui va et qui vient
j’ai l’impression de sentir encore celui de hier,
ma fée Carabosse en silicone noir
qui récure diaboliquement mon petit canal comme aucun autre,
la sorcière adorée (allusion télévisuelle aux plus vieux d’entre vous) bien lubrifiée
qui m’emporte sur son balai magique,
faisant miroiter de mille feux ma prostate
comme une de ces boules à facettes qu’il y a dans les boîtes de nuit
tandis que ma chair danse follement tout autour
bzoParticipantah, j’ai encore fait une autre petite séance, avec le masseur,
tout aussi délicieuse, tout aussi irrésistible
j’ai pu constater maintenant,
qu’avec les années en aneroless,
les muscles du périné, chez moi,
se sont considérablement fortifiés
ils étaient déjà bien puissants, je me rappelle, à l’époque
mais là, je manipule ce énorme masseur comme si c’était un fétu de paille,
je fais vraiment ce que je veux avec,
le maintiens contracté à fond, si j’ai envie, autant de temps que je veux
je ne peux m’empêcher de comparer les sensations
du mode yin et ceux, ainsi, avec masseur, en 100% prostatique,
il y a un monde de différence, bien sûr
autant en mode yin,
le plaisir immédiatement est généré de tous les côtés,
tout le corps participe,
et puis on a cette sensation constamment de se faire l’amour,
d’une complicité splendide avec son corps,
un flux, des vagues, de volupté,
une infinie variété de nuances
qui s’intensifient de plus en plus,
jusqu’à ce que plus ou moins rapidement ,
on ait la sensation de jouir en continu
en 100% prostatique, avec masseur, par contre,
il n’y a rien de tout cela,
c’est la puissance pure, sans rivale, de la prostate
dont les ondes me font chaque fois comme un petit coup de canon délicieux ,
au fond du bassin, à chaque contact du masseur
puis un faisceau dense d’ondes s’élancent, montent en se dispersant,
provoquant un plaisir intense, orgasmique, sur son passage,
jusqu’au cerveau
bref, c’est différent et c’est bien ainsi,
ce sera splendidement complémentaire,
les orgasmes prostatiques me manquaient,
ces moments soudainement où on ne contrôle plus rien
et que le corps n’en fait plus qu’à sa tête
et que la tête appartient entièrement au corps
et à ses folies et à ses dérèglements
bzoParticipantbon, ben, je l’ai quand même fait, finalement,
la tentation du masseur en silicone, est revenue
et je m’y suis mis
quelle horrible snob je suis,
quel piètre sectaire de l’aneroless,
je m’en veux vraiment beaucoup
de m’être privé tant d’années de mon bon vieux masseur
mon gigantesque bon vieux Nexus G-Rider en silicone
qui semble avoir été confectionné pour moi,
tellement il semble adapté au millimètre près à ma morphologie intérieure
je l’ai ressorti de sa boîte,
je l’ai bien enduit de beurre de karité,
en ai mis aussi bien profond avec deux doigts
et hop, l’engin est rentré sans problème,
malgré sa taille imposante
oh comme c’était bon,
madre mia,
j’ai retrouvé tout de suite les vieux reflexes,
me suis à me caresser,
il semblait rentrer comme dans du beurre, dans ma prostate
qui rayonnait splendidement,
j’étais rapidement empli d’ondes prostatiques des pieds à la tête
et je gémissais à plein volume,
quel pied, mes amis, quel pied
et comme c’est différent du mode yin,
ces deux là vont devenir parfaitement complémentaires,
sans masseur, ce sera du mode yin
et avec le masseur, du 100% prostatique,
j’ai enfin trouvé ma formule magique
étonnantes similitudes avec mon mode yin,
j’ai pu constater,
ma prostate semblait un sexe féminin
dans lequel le masseur semblait venir s’enfoncer
mais extérieur à moi, pas comme dans le mode yin
où il est part intégral de moi, où je vibre totalement au féminin
je sentais que mon plaisir restait, ici, au masculin,
la prostate me donnait accès à toute la puissance féminine en moi
mais sans me faire passer au-delà des limites de mon genre
une porte, un sas vers le féminin,
vers la puissance des ondes féminines en nous,
tout en restant une pratique en mode yang
j’ai hâte de remettre cela,
quel pied immense, j’ai pris,
rien qu’avec la prostate rayonnant dans mon bassin,
ma queue se durcissait un peu par moments
mais c’est normal, il y a quelques mouvements qui le font bouger,
quelques frottements parfois,
il suffit de ne pas y faire attention
me relevant un peu, m’appuyant sur les coudes
et enfonçant le masseur à fond,
le maintenant ainsi,
j’ai jouis longuement, comme j’ai jouis
alterner les deux types de plaisir,
je sens que je vais bien m’amuser,
heureusement mon masseur préféré,
j’en ai une bonne douzaine dans mes boîtes, en réserve,
suis tranquille de ce côté-là,
j’ai de quoi m’exploser prostatiquement jusqu’à la fin des temps,
enfin, du moins, jusqu’à la fin de mon temps à moi
toujours aussi diabolique, ce G-Rider,
sa tête a de ces mouvements de bascule,
tout contre la paroi derrière laquelle se trouve ma prostate,
ça me rend toujours aussi fou de plaisir,
il pivote, il frotte, il est juste irrésisitible
il est énorme mais en même temps tellement maniable,
tellement riche en sensations délivrées
bzoParticipantnon, tout de même pas,
devenu trop paresseux,
sortir le masseur, l’enduire de beurre de karité,
enfin toutes ces manipulations m’ennuient
et après, ressortir l’engin, aller le laver
je me sens pas prêt, suis pas assez motivé,
je continue plutôt aneroless
bzoParticipantje crois que ce soir,
je vais ressortir de sa boîte à chaussures,
un de mes masseurs prostatiques,
une soudaine envie,
cela fait bien bien longtemps
mais là,
j’ai cette envie irrésisitible d’en sentir un dans mon cul,
de l’y sentir bouger,
de le sentir venir titiller ma prostate
on va voir,
peut-être j’aurai déjà oublié dans quelques minutes,
cette soudaine lubie
bzoParticipantc’est le matin, je me réveille, sous les draps
aux premières perceptions de mouvement, de respiration,
je me rends compte que je ne suis qu’une machine à jouir,
prête à entrer en action, pour l’instant
mon corps est enveloppé de toutes parts
du cotton chaud et doux des toiles,
je me mets à onduler comme un serpent,
oh, cela frotte, comme cela frotte sur ma peau
mes fesses tout particulièrement,
que je contracte, que je décontracte comme si je respirais avec,
que je laisse emporter de plus en plus par une houle soyeuse
mes hanches bougent, bougent, bougent toutes seules
elles contiennent une telle musique,
chacune de leurs notes, est tellement, tellement, capiteuse,
ma chair en pleure des grosses larmes de bonheur par le sexe,
toute la zone en est complètement humide
et puis par mes gémissements, aussi
qui sont aussi des larmes de bonheur,
des grosses larmes de bonheur sonores qui sortent par ma bouche,
roulant directement depuis mes entrailles
je suis en pleine action maintenant,
mes bras, telles des tentacules,
entourent mon torse, entourent mes seins,
enveloppent et frottent, amoureusement
mes tétons durs comme de la pierre,
semblent des manettes à titiller et encore à titiller
qui mettent en action deux mitraillettes lourdes,
tirant en rafales denses des ondes
aveuglément dans toutes les directions
oh, il y a de la bite et du vagin là-dessous,
comme je les sens tous les deux en action en moi,
je ne connais pas de sensation plus divine
que de se sentir en même temps pénétrant et pénétré, jusqu’au fond de l’âme
ma chair,
fendue comme les flots par la proue d’un bateau,
se donne, comme elle se donne
et puis, en même temps,
je suis l’éperon dur comme du roc qui se fraie un chemin
parmi la houle d’une chair qui s’offre complètement
puissance de la raideur frotteuse et frottée de toutes parts,
enveloppée amoureusement par des cellules surexcitées,
on dirait un champs de blé où passent des rafales de vent,
la volupté est reine par ici,
elle balaie tout, fait plier tout, fait se redresser tout,
frotte partout, enveloppe tout,
passe de l’un à l’autre, repasse de l’un à l’autre,
zigzague de l’un à l’autre, entraînant une danse de l’un à l’autre
dans un enchaînement parfait,
des passages de relai dans la chair, de la volupté, de toutes parts
bzoParticipantpile ou face,
face visible
et face cachée de la lune
la douceur soyeuse sans limites de mon sexe,
ce rayonnement sans limites, de douceur, de soie chaude
dont il est capable en mode yin,
vague après vague
quand il est frotté, pressé, massé,
par mes cuisses,
rythmé par la houle langoureuse dans mes hanches
son autre aspect, si radicalement différent, étant,
quand se gorgeant de sang,
il commence à se lever et à durcir,
devenant cette petite tour de chair,
comme vibrante au moindre contact, au moindre effleurement,
prête à cracher sa petite giclée de jus laiteux
molle ou raide,
si capable, si capable,
de tempêtes radicalement différentes
dans ma chair
une sorte de caméléon, en fait,
prêt à toutes les couleurs
de l’arc en ciel du désir,
si on le sollicité comme il faut
bzoParticipantquel délice,
de s’abandonner à ces torrents de soie
qui naissent dans mon bassin,
dans ma poitrine
couché sur mon tapis de yoga,
entre deux exercices pour la ceinture abdominale et les fessiers,
je me caresse, comme je me caresse
mes mains, mes avant-bras,
sont à l’oeuvre comme des pieuvres câlines,
s’en donnent à coeur joie
tandis qu’en bas,
mes cuisses frottent, pressent, ardemment, mon pénis, mes couilles
et puis les muscles du périné, ne sont pas en reste,
comme le batteur d’un groupe de rock
donnent le rythme,
font trembler toute la scène avec leurs roulements
comme ces tempêtes qui passent dans ma chair,
sont irrésistibles,
leurs roulements soyeux, incessants,
remontent vague après vague,
oh comme je jouis de tant de volupté
bzoParticipantchaque jour,
le premier mouvement de hanche,
le premier contact des doigts sur la peau,
sont un moment spécial,
très très spécial, même
tout était effacé, tout était oublié, plus rien n’existait,
la page était blanche, sans trace apparente d’écriture,
la technique, aussi, était un savoir instinctif,
l’instant d’avant, encore complètement aux oubliettes
mais comme un sphinx, tout à coup,
quelque chose d’énorme, quelque chose d’inouï,
en moi, a réapparu
tout un monde de sensations voluptueuses,
de possibilité de jouissance,
toute une galaxie d’exploration, d’intimité ardente,
avec moi-même,
sont renés
la possibilité, à tout moment, tout seul,
de vivre des moments sexuels très particuliers,
d’une puissance et d’une richesse, illimitées,
a réapparu
la réalité de cette perspective,
la réalité de ces possibilités, sans limites,
d’intensité voluptueuse, orgasmique,
réattérissent dans mon cerveau,
réattérissent partout dans ma chair
alors oui,
ce premier instant de plaisir, à chaque fois,
est très très spécial,
à chaque fois, je ressens sous la forme d’un éclair lumineux,
comme si quelque chose d’incroyablement inespéré,
atterrissait en moi
comme si l’on venait de m’apprendre,
muettement, dans l’invisible,
que j’ai gagné le gros lot à une loterie, quelque part
et que le prix se déversait directement,
partout, dans ma chair et dans mon esprit,
à être consommé, à volonté,
tout le long de la journée, tout le long de la nuit,
par mes cellules
bzoParticipantpourquoi j’écris encore par ici,
alors qu’il ne semble pas y avoir un chat pour me lire, pour dialoguer?
dialoguer, sur nos pratiques avec d’autres quand cela arrive,
cela me fait très plaisir, cela peut aussi me faire progresser
mais bah,
je me suis rendu compte que j’écrivais, en fait, avant tout pour moi-même,
juste pour le plaisir d’écrire,
mon talent d’écrivain est très modeste
mais j’ai un plaisir réel à jouer avec les mots, à les assembler,
comme quand j’étais enfant, à Amsterdam et que toute la journée,
je jouais par terre avec des légos
et puis mes textes sont des sortes d’instantanés sur ma pratique,
des photos sans trop de recadrage, de retouches,
parfois très justes, très vraies, qui révèlent beaucoup
parfois très trompeuses, ratée, reniables déjà le lendemain
bzoParticipantune volupté baignant constamment
dans une sensation de se faire l’amour,
et de complicité, de communion,
avec son corps
le plaisir en mode yin, semble ainsi,
comme un moment d’épanouissement
et de ressourcement,
en même temps qu’un nectar,
coulant dans la chair
bzoParticipantle plaisir vient, le plaisir arrive,
offert, je me suis offert à lui,par une ouverture dans ma chair,
il s’est rué à l’intérieur, il a tout envahi,
il s’est installé partouttout semble infiniment grand,
tout semble infiniment petit, pour l’instant,
tout semble céleste, tout semble animal,
tout semble incroyablement sauvage, chaotique, désordonné,
tout semble incroyablement harmonieux, calme, empli de paixla main, posée sur la poitrine,
semble attirer une meute d’énergie
qui est venu camper sous la peau,
dessous mes doigts, dessous ma paumevoluptueux rendez-vous, tête à tête délicieux,
debout au milieu de la pièce, je ne bouge pas,
juste, en bas, je contracte un peu les muscles du périné
et je laisse mes doigts un peu dériver à gauche, à droitecela vibre doucement,
cela vibre solairement, dans ma poitrine
je ferme les yeux,
goûter à cet essaim soyeux et chaud sous ma peauéternité, te voilà à moi, un instant,
je me suis ditbzoParticipantla séance que je viens de terminer,
à non seulement été tout à fait délicieuse
mais en plus, riche d’enseignements
évoluer, évoluer,
progresser, progresser,
faire du surplace,
c’est reculer lentement
mais sûrement
mais pas non plus,
en faire une obsession, une fixation,
tranquillement,
avec une curiosité sans bornes
et puis une audace, une envie,
de se découvrir,
sans être effrayé par aucun tabou
donc, il y a quelques minutes,
j’ai découvert une façon tout à fait intéressante
de mêler mon mode yin
et un massage prostatique, aneroless, bien sûr
cela se fusionne très bien,
superbement, même,
je me caresse,
je continue de bouger, de vibrer, au féminin
mais en bas, dans mon bassin,
ne me préoccupant pas si mes cuisses enveloppent, frottent, mes génitaux,
je me concentre exclusivement sur les contractions,
je les fais monter l’une après l’autre,
au rythme et avec la force,
dictés par mes tripes
je suis parvenu en deux, temps, trois mouvements,
à un splendide orgasme prostatique qui s’est bien étiré
mais différent, bien différent,
j’ai eu l’impression irrésisitible,
d’un orgasme en mode yin mais basée uniquement sur la prostate
mon sexe était mou, il participait aussi avec quelques ondes
mais la puissance de feu arrivait essentiellement de ma prostate,
enfin, le reste du corps participait aussi,
tout mon cul , mes cuisses, ma poitrine,
tout générait des ondes,
quelle salve de toutes parts
mais enfin, encore une fois,
l’essentielle des ondes étaient fournies par la prostate
qui éructait, canonnait à pleine puissance
et toute ma chair en était enflammée,
j’en hurlais, j’en miaulais, j’en roucoulais
bzoParticipantla plupart des hommes, durant un acte sexuel,
tout seul, à deux ou à plusieurs,
ne sont pas à l’écoute d’eux-mêmes,
ils ne commencent à ressentir du plaisir
que quand celui-ci vient massivement à eux
être à l’écoute de soi-même,
c’est avoir constamment, un radar
qui balaie automatiquement vers l’intérieur
et qui perçoit le moindre changement,
le moindre micro-signal, agréable
et des détails ,
il y en a qui se lèvent en continu de tous les côtés,
il y a une mer qui danse en nous
et dont on peut, si on ne fait pas attention comme il faut,
ne percevoir que les plus hautes crêtes
bzoParticipanthum, non, malheureusement,
ce qu’il y a , il semble,
c’est que le matin, au réveil,
je sois dans un état particulier d’absolue réceptivité
mais, hélas, cela ne dure pas, ainsi, après,
tout le long de la journée
le plaisir reste, bien sûr, immense, majestueux, splendide,
solide de chez solide, consistant de chez consistant,
mais il n’y a plus, tout à fait,
ce que je qualifierai de “cet état de réceptivité totale, absolue”,
que j’ai au réveil
bon, c’est comme cela,
je ne me plains pas,
la nuit relâche sa douce, sa magique, étreinte sur moi
et pendant un temps, je bénéficie encore de sa absolue liberté,
de son pouvoir sans limites, sur mon être,
dans ma chair, dans mes sens,
dans ma pratique
après, cela reste divin
mais il n’y a plus cette dimension particulière,
qu’il y a durant les moments immédiatement après le réveil,
enfin, c’est aussi sans limites, c’est aussi magique, après
mais il n’y a plus la puissance de la nuit, dans mes veines, dans ma chair
qui s’exprime
aux premières secondes après mon réveil,
quand ma main se pose sur la peau,
les énergies du rêve sont encore là,
elles sont encore là qui se gambadent librement partout,
elles étaient en train de se retirer,
comme une divine marée haute dans l’invisible,
dont les eaux étaient en train de repartir, de retourner
mais que soudainement le contact de ma paume, de mes doigts, sur la peau,
mais que le mouvement langoureux, dans mes hanches,
que les contractions, que les frottements des cuisses sur les génitaux,
a attiré l’attention irrésistiblement,
a incité, un moment, encore, à se mêler à l’action
et ne voilà-t-il pas que les flammes d’un subtil booster,
dansaient partout dans mes veines,
la volupté semble enchantée, ainsi, au réveil,
des doigts de fée, parallèlement aux miens,
viennent jouer sur ma peau,
viennent taquiner ma prostate, mon anus, mes hanches
dans 5 mois, je serai à la retraite,
je pourrais pratiquer autant de temps que je veux,
au réveil,
rester au lit toute la journée, même, si cela me chante,
à jouir, à jouir, à jouir
et toute la nuit, aussi, dans la foulée
si ma chair en redemande
- Cette réponse a été modifiée le il y a 1 semaine et 5 jours par bzo.
bzoParticipantj’ai eu une nuit absolument magique. À chaque fois que me réveillais, je laissais aller mes mains sur mon corps et j’étais pris d’une vague de plaisir salvatrice. Une sensation de plénitude qui se diffusait doucement dans tout le corps et qui durait plusieurs minutes avant de s’éteindre lentement.
me rappelle irrésistiblement ma pratique en mode yin, ces phrases
Mais après il y a une différence entre provoquer sa prostate et être appelé par sa prostate.
c’est sûr, moi je la provoque, je la fais réagir, je ne l’attends pas,
encore que, suis pas si sûr, au fond.
Je la provoque mais ne m’a-t-elle pas incitée à le faire?
En tout cas, je vais la chercher ou elle me fait aller la chercher, va savoir
le corps et l’esprit, leur interaction quand en selle sur le désir,
cela devient mystérieux, je trouve,
suis jamais vraiment sûr, à partir d’un moment, qu’est-ce qui vient d’où,
où est l’origine d’une telle chose ou d’une autre
cependant, cela ne me dérange pas outre mesure,
c’est signe pour moi de leur fusion, de leur complicité, de plus en plus grandes
dans les moments de plaisir
un tout, une seule entité, une seule unité
où tout collabore, tout interagit, tout se questionne, tout se répond
ne formant plus qu’un,
le corps et l’esprit, dans les moments de volupté,
c’est ainsi que cela devient démesurément splendide
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