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20 sujets de 41 à 60 (sur un total de 5,136)
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  • en réponse à : Journal du prostatomane #49340
    bzo
    Participant

    au fond, tout cela tient avant tout,
    enfin, dans ma façon de pratiquer,
    à apprendre à ressentir, à percevoir,
    ce qui se passe dans son corps

    tellement de choses y arrivent constamment
    sans que nous n’y fassions vraiment attention,
    tellement, tellement

    apprendre à ressentir, à percevoir
    ce qui se passe dans son corps,
    c’est apprendre à l’écouter
    et à apprendre à l’écouter,
    c’est à apprendre à se connecter à celui-ci

    quand je me mets en action,
    je me connecte juste à mon corps,
    et puis je libère le désir comme un animal sorti de sa cage,
    je me laisse envahir par celui-ci,
    je deviens son pantin, sans restriction aucune,
    je me laisse entraîner par son flot,
    dans tous les gestes, tous les mouvements,
    toutes les actions diverses et variées, possible

    devenir capable de percevoir
    la moindre activité dans son être physique,
    depuis l’intérieur,
    c’est être au bord, déjà, d’une constante et changeante volupté,
    d’une douce extase d’être dans de la chair chaude, vivante,
    avec son réseau dense de nerfs prêts à entrer en action à tout moment,
    de vibrer au fil des instants d’être en vie

    comme un doux ronronnement de chat en nous,
    d’être là dans l’espace et le temps,
    à nous consumer comme une chandelle vacillante

    tous nos gestes, tous nos mouvements,
    touts nos positionnements dans l’espace,
    leur évolution sans que nous y fassions attention,
    tous les effleurements, le moindre contact,
    le moindre petit déplacement de la moindre partie de notre corps,
    la moindre petite contraction de muscle, n’importe où, dans notre être,
    même le vent, les rayons du soleil, les odeurs, tout autour

    l’espace en trois dimensions dans lequel nous sommes plongé,
    occupé comme une scène de théatre par les êtres et les objets
    qui semblent débiter dans l’invisible, entre eux,
    comme les dialogues d’un scénario mystérieux,
    non-écrit, non-traduit, non-compréhensible
    mais exprimé malgré tout, quelque part

    tout cela est sexuel fondamentalement
    ou du moins, soyons plus précis,
    a la capacité de nous émouvoir,
    de nous troubler, de nous faire frémir, de fond en comble,
    si on y fait attention comme il faut
    si on y accorde toute l’attention que cela mérite,
    si on se met dans les bonnes dispositions,
    avec la bonne attitude mentale et physique

    se laisser déstabiliser radicalement, désenclavé, déraciné,
    ne plus avoir aucun appui, aucune frontière,
    ne plus rien retenir, se laisser totalement entraîner
    ne plus faire attention à aucune limite,
    être prêt à s’offrir tout entièrement,
    être prêt à se prendre tout entièrement

    nous ne sommes que circulation d’énergie,
    c’est cela être en vie
    et qui dit circulation d’énergie,
    dit potentiel de maelstrom de sensations, d’émotions, d’extases,
    à vivre à tout moment

    une caresse, cela peut grandir, grandir,
    devenir quelque chose de géant
    et moi, je peux,
    ne plus être qu’une toute petite chose,
    entraînée par elle, au hasard,
    faisant irruption dans la cour des miracles

    une hanche d’homme,
    c’est fait pour abriter tout autant de volupté
    que la hanche d’une femme
    et son sein, tout autant de chaleur
    et leur sexe est double, à l’un comme à l’autre,
    à la fois fendu, profond, accueillant, élastique et souple
    et aussi, capable de se redresser, gorgé de sang

    en réponse à : Journal du prostatomane #49339
    bzo
    Participant

    je sculpte mon plaisir,

    c’est totalement spontané

    mais en même temps,

    dirigé à l’extrême par le ressenti

     

    je sculpte un vagin, je sculpte des seins, je sculpte des hanches,

    je sculpte une peau avide de frottements, de pressions, d’effleurements,

    je sculpte une bite dressée, enfouie,

    je sculpte son va et vient,

    je sculpte ses ralentissements, ses accélérations, ses changements de direction,

    destinés à enflammer toujours plus,

    je sculpte des fesses qui s’écartent, qui se resserrent, comme une bouche qui gémit

    je sculpte des reins qui se cambrent, qui dansent, qui s’offrent,

    je sculpte des mains avides d’agripper, de frotter, de presser, de titiller, de toucher,

    je sculpte des caresses, oh comme je les sculpte,

    avec quel soin, quelle animalité, quelle passion, quelle sophistication,

    quelle rudesse, aussi, de temps à autre

     

    le corps réuni à l’esprit,

    c’est le désir libéré,

    le désir qui court,

    le désir qui enflamme

    en réponse à : Journal du prostatomane #49338
    bzo
    Participant

    dimensions mystérieusement amples et élastiques,

    dans l’invisible, du plaisir,

    les vagues de volupté semblent créer en moi,

    une sensation de pente infinie,

    comme des fourmis, elles la nourrissent de partout,

    viennent fusionner dedans, de partout

     

    une pente comme un lent décollage vers le haut

    quelque part, quelque chose en moi, cherche,  fouille, se remue,

    cherche à se tailler un chemin vers les hauteurs,

    le miracle d’un pont de fortune, un moment

     

    le miracle d’une route immense de soie mouvante, ondulante

    et de toutes sortes de choses dans la chair et dans l’esprit

    qui se réunissent un moment, s’entremêlant, fusionnant

     

    libération du désir,

    libération des énergies,

    temps de vibrer magnifiquement,

    temps de vibrer uniquement,

    temps de la somptueuse incandescence

     

    désir XXL en action, si en même temps,

    homme et femme, s’entremêlant sous chaque peau

    temps de vibrer magnifiquement,

    temps de vibrer uniquement,

    temps de la somptueuse incandescence

     

    hommes entre eux, femmes entre elles,

    homme et femmes entremêlés,

    homme tout seul, femme toute seule,

    temps de vibrer magnifiquement,

    temps de vibrer uniquement,

    temps de la somptueuse incandescence

    en réponse à : Journal du prostatomane #49337
    bzo
    Participant

    dimensions mystérieusement amples et élastiques,

    dans l’invisible, du plaisir,

    les vagues de volupté semblent créer en moi,

    une sensation de pente infinie,

    comme des fourmis, elles la nourrissent de partout,

    viennent fusionner dedans, de partout

     

    une pente comme un lent décollage vers le haut

    quelque part, quelque chose en moi, cherche,  fouille, se remue,

    cherche à se tailler un chemin vers les hauteurs,

    le miracle d’un pont de fortune, un moment

     

    le miracle d’une route immense de soie mouvante, ondulante

    et de toutes sortes de choses dans la chair et dans l’esprit

    qui se réunissent un moment, s’entremêlant, fusionnant

     

    libération du désir,

    libération des énergies,

    temps de vibrer magnifiquement,

    temps de vibrer uniquement,

    temps de la somptueuse incandescence

     

    désir XXL en action, si en même temps,

    homme et femme, s’entremêlant sous chaque peau

    tout seul ou à plusieurs,

    temps de vibrer magnifiquement,

    temps de vibrer uniquement,

    temps de la somptueuse incandescence

     

    hommes entre eux, femmes entre elles,

    homme et femmes entremêlés,

    temps de vibrer magnifiquement,

    temps de vibrer uniquement,

    temps de la somptueuse incandescence

    en réponse à : Journal du prostatomane #49336
    bzo
    Participant

    j’aime sentir la femme s’éveiller en moi,

    tout devient tellement capiteux,

    il faut tellement peu pour déclencher le mécanisme,

    juste un peu décaler les hanches, tendre les fesses,

    serrer vaguement les cuisses

    et c’est comme si un autre continent prenait la place,

    basculement généralisé dans la soie

     

    mes mains se posent la peau,

    deux baguettes magiques

    qui éveillent le troupeau joyeux des étoiles de chaleur

    qui se déplacent en bande

     

    ô ma chair, ce désir,

    cette flamme tellement douce qui brûle dans chacune de mes cellules,

    quel nectar de tous les instants,

    le monde n’est plus qu’ondulations chaudes et lascives,

    je jouis sans discontinuité de toute cette volupté,

    si fine, si ciselée, si précise, si dansante,

    si présente partout en moi,

    de cette éruption d’orfèvrerie liquide, travaillée dans l’or

     

    je m’abandonne, en cours de route, quelques instants,

    un être de plénitude, un être complet, un être épanoui,

    me remplace,

    remplace toutes mes blessures, toutes mes incertitudes

     

    somptueux, majestueux, phénix en moi,

    laisse-moi me réchauffer, un instant, à tes flammes,

    tes cendres s’éparpillent en voletant jusque dans les cieux,

    la lumière creuse de longs tunnels éphémères, dansant dans la nuit

     

    je me caresse lentement le sein,

    comme tout s’enflamme immédiatement,

    comme il est doux, comme il est malléable, élastique, soyeux,

    j’entoure l’autre aussi, avec la paume en coupelle,

    je les serre un peu, les presse avec douceur, avec égard,

    comme tout mon corps a envie de leur répondre,

    de les rejoindre,

    quel joie voluptueuse  partout en moi,

    quelle complicité dans tout mon être,

    quelle communion organique et spirituelle

    en réponse à : Présentation des membres #49335
    bzo
    Participant

    salut le Coquin, inscris-toi plutôt sur le Discord lié au site,

    ici, cela ne bouge plus trop

    en réponse à : Journal du prostatomane #49316
    bzo
    Participant

    mon corps est juste parfait,

    mes mains me le disent, mes mains me l’affirment,

    le chant est leur baromètre

    en réponse à : Aneros matière naturelle #49315
    bzo
    Participant

    erreur, mauvais fil, sorry

    en réponse à : Aneros matière naturelle #49314
    bzo
    Participant

    mon corps est juste parfait,

    mes mains me le disent, mes mains me l’affirment,

    le chant est leur baromètre

    en réponse à : Journal du prostatomane #49308
    bzo
    Participant

    mon sexe est devenu quelque chose,

    de tellement totalement, sublimement, extravagant et indécent,

    de l’extérieur, il n’a pas beaucoup changé,

    un peu rétréci avec l’âge,

    devenu plus sombre, plus rabougri

     

    mais de l’intérieur,

    si vous pouviez le voir, de l’intérieur,

    ce petit pilier de la masculinité, symbole de virilité,

    il semble se ramifier, fleurir, frémir, vibrer,

    envahir tout l’espace existant,

    offrir comme des pétales couleur rouge chair, charnues, au vent

    et à tout ce qu’il transporte de remuant, de voletant qui possède un dard

     

    imaginez ce sexe en érection

    qui soit en même temps, un vagin entrouvert

    dont les lèvres se développent à partir du gland,

    l’enveloppant, l’entourant, le décorant,

    poussant dessus comme une plante exotique

    aux excroissances vibrantes, colorées, chatoyantes

    qui l’élargissent, l’agrandissent, de tous les côtés

     

    coiffe immense, fantaisiste, luxuriante,

    lui donnant des parois élastiques, de la profondeur,

    de la capacité à contenir, à accueillir, à réceptionner,

    un vrai home pour bourdons de passage

    désireux d’un peu de nectar

     

    mon sexe est une fontaine chantante enfouie dans la chair,

    je caresse avec délectation, sans me lasser, tout ce corps,

    devenu si monstrueusement, mais dans le bon sens, réactif,

    extension vibrante, globalisante, de mon sexe,

    mon corps, hampe raidie, mon corps lèvres humides,

    mon corps gland, mon corps clitoris

     

    il y a , tantôt, une préciosité infinie, dans mes gestes,

    tantôt, une telle animalité débridée,

    mon cul semble respirer,

    semble avoir un pouls bien à lui

     

    comme je les chéris ces moments

    où comme une puissance indépendante, autonome, énorme,

    semble s’aimer à travers moi,

    resplendir et me faire resplendir

     

    j’aime à la folie, la vie, dans ces moment-là

    car je sens son torrent brûlant, soyeux, épais,

    comme un sperme resourçant, dans l’invisible,

    s’injecter dans mes veines, comme un diamant liquide

     

    en réponse à : Journal du prostatomane #49209
    bzo
    Participant

    l’immense pouvoir de l’imagination,

    est due, pour moi, pour une raison bien simple,

    c’est que pas seulement notre esprit a accès à elle,

    a le pouvoir d’influer sur elle, de jouer avec elle,

    mais notre corps , aussi,

     

    notre corps , aussi,

    peut jouer avec notre imagination,

    les deux donc, peuvent jouer, tantôt en solo, avec elle,

    tantôt peuvent  l’influer, en même temps

    et c’est là que cela devient vraiment intéressant

    quand les deux comme dans un théatre de marionnettes,

    tirent les ficelles en même temps

     

    un des meilleurs exemples de cette double influence, en simultané,

    ce sont les fantasmes,

    vous vous mettez à imaginer quelque chose de bien cochon,

    quelque chose de cochon de chez cochon,

    quelque chose de bien tordu, de bien vicieux, de bien débridé

     

    eh bien, votre corps va se mettre à réagir,

    ayant accès directement à votre imagination, aussi,

    elle va commencer à y mettre son grain de sel,

    même tout un paquet taille XXL de sel

     

    les images d’actions érotiques

    que vous vous construisez dans votre imagination,

    vont commencer à influer sur votre corps

    ou plutôt, votre corps va se mettre à influer sur elles,

    elles vont vous sembler de plus en plus vivantes, réelles,

    vous semblerez les vivre de plus en plus, dans votre chair,

    votre corps s’est mêlé au jeu,

    va provoquer toutes sortes de réactions bien réelles en vous,

    cela vous semblera de plus en plus vécu,

    non plus seulement imaginé

     

    maintenant, imaginez

    que vous n’imaginez plus rien du tout avec votre esprit,

    juste que vous tentez de libérer les énergies yin en vous,

    vous vous caressez, vous vous laissez aller,

    vous faites fi des frontières du genre de votre corps,

    vous vous laissez entraîner dans vos caresses, vos mouvements, vos postures,

    ils deviennent plus en plus alanguis,

    une houle capiteuse, de plus en plus, fait danser votre bassin,

    vous vous lâchez, vous vous laissez entraîner

     

    miracle, vous ressentez des choses étranges,

    une volupté nouvelle semble naître,

    des sensation d’une richesse, d’une variété, jusqu’ici, inconnues

     

    bientôt vous allez sentir des hanches larges, vous pousser,

    des hanches larges et dansantes

    qui semblent emplies d’une soie chaude, ondulante,

    incroyablement douce et caressante,

    vous vous sentez des seins lourds, ronds,

    incroyablement réactifs au moindre toucher,

    qui frissonnent comme des oiseaux dans vos paumes

     

    et puis en bas, vous voyez votre sexe,

    peut-être même complètement durci, dressé,

    sous l’action de vos cuisses qui les pressent, les frottent,

    pourtant vous sentez tout autre chose,

    vous sentez une fente en vous,

    vous la sentir vivre, vous la sentez vibrer,

    vous la sentez déverser une chaleur liquide qui monte dans vos entrailles

    vous la sentez délicieusement au travail,

    vous sentez des va et vient en elle,  des frottements, des pressions de toutes sortes,

    des vagues sont générées, incroyablement soyeuses,

    qui montent de plus en plus en vous, qui se répandent, se dispersent,

    qui vous montent au cerveau, qui l’emplissent

    qui clapotent, qui louvoient  dedans

     

    que se passe-t-il, comment tout cela est-il possible?

    votre corps a envahi votre imagination,

    les énergies montent, sont libérées en vous,

    votre pénis génére des torrents d’ondes,

    tout votre corps génère des ondes

    qui se sont mises au service du féminin

    que vous avez éveillé en vous

     

    votre imagination, aussi, pour l’instant,

    est au service de ce qui est en train de se passer,

    vous n’imaginez pas avec votre esprit,

    votre corps imagine pour vous,

    dessine des seins, dessine des hanches, dessine un vagin, pour vous,

    dessine dans tout votre être,

    en collaboration avec tout le reste,

    une volupté et des orgasmes

     

    tout votre être travaille d’une seule pièce, vers le même but,

    vous permettant de vivre, de ressentir, le mode yin,

    dans toute sa splendeur

    en réponse à : Journal du prostatomane #49207
    bzo
    Participant

    ce qui désire en moi,

    désire du masculin, désire du féminin,

    désire les deux , entremêlés

     

    les forces qui s’éveillent dans mes entrailles,

    se cherchent et se trouvent toujours plus

     

    magique transgression,

    mes hanches sont larges, mon rythme est une houle,

    l’horizon semble infini, en face de mon galop

    je vais vers lui sans bouger, c’est lui qui se rapproche,

    bientôt sa ligne qui sépare le ciel de la terre,

    va me traverser,

    va s’éloigner derrière

     

     

     

     

    en réponse à : Journal du prostatomane #49147
    bzo
    Participant

    mes cuisses connaissent mes couilles, ma bite, par coeur,

    elles se collent les unes contre les autres,

    pour un oui, pour un non,

    comme des danseurs de tango qui se mettent à bouger,

    ne formant plus qu’un, sous leur ballet chorégraphié par le désir,

    quel festival d’effleurements, de pressions, de frottements, de toutes sortes

     

    délicieuse moiteur d’en bas,

    poils se collant les uns aux autres, en nombre,

    se décollant,

    peau contre peau,

    douceur de la soie chaude, frottée,

    douceur des rayons de la volupté dardant dans la chair,

    douceur des génitaux, massés, triturés, roulés

    qui semblent maintenant comme une petite pile atomique,

    émettant des flots de nectar soyeux,

    vers mes entrailles, ma poitrine

     

    mon cul, ô mon très cher cul,

    comme tu louvoies langoureusement,

    la sensation de pénétration te donne des ailes,

    mes fesses se tendent, se détendent,

    ma fente s’élargit, se rétrécit,

    je me cabre, je me cambre, je me penche, je me redresse,

    je me dandine

     

    la volupté me fait jouir,

    elle est , juste, d’une telle qualité et d’une telle intensité,

    que je ne peux m’empêcher de constater

    que j’ai une impression irrésistible de jouir en continu

    en réponse à : Journal du prostatomane #49146
    bzo
    Participant

    quelques corrections, encore

     

    la finesse, la précision, la douceur soyeuse,

    la longueur, l’étalement,  l’élasticité,

    de chaque vague, en mode yin,

    évolue, progresse, jour après jour,

    se bonifie comme un vieux vin

    émergeant de mes caves

     

    ma chair est comme un terrain de jeu,

    il y a quelque chose de tellement libérateur,

    de tellement épanouissant,

    de tellement ressourçant, de tellement ineffable,

    quand elles roulent dans ma chair,

    un monde de nectar, s’abbat sur moi,

    l’instant devient le duvet frissonnant d’un oiseau

     

    du sens semble, aussi, être là, quelque part,

    du sens d’être ici,

    du sens d’être ici, dans un corps et un esprit,

    ne plus être qu’un réceptacle pour une fête voluptueuse,

    s’unir de tout son être,

    semble de plus en plus, comme un moment de grand sens,

    enveloppé dans une ivresse qui inonde les cellules

     

    le monde vert, le monde brun, le monde bleu,

    de la terre,

    semble constamment vibrer,

    constamment baigner dans une sorte de liesse silencieuse

    mais qu’on ne percevrait que de loin, de très loin,

    une grande fête, une toute grande fête,

    semble se passer par là, en face de nous,

    si cruellement proche

     

    quelque chose en nous, est pourtant capable d’accéder,

    se mettre au niveau, se synchroniser avec la terre,

    vivre au rythme des battements silencieux de son noyau,

    l’animal et l’ange, sont en nous,

    association possible

     

    le plus humble objet dans le paysage,

    le silence comme un sirop,

    nous engloutissant encore et encore,

    l’éponge sans fond, filtrage du torrent,

    consommation à la lumière, de poussières d’or

    en réponse à : Journal du prostatomane #49145
    bzo
    Participant

    la finesse, la précision, la douceur soyeuse,

    la longueur, l’étalement,  l’élasticité,

    de chaque vague, en mode yin,

    évolue, progresse, jour après jour,

    se bonifie comme un vieux vin

    émergeant de mes caves

     

    ma chair est comme un terrain de jeu,

    il y a quelque chose de tellement libérateur,

    de tellement épanouissant,

    de tellement ressourçant, de tellement ineffable,

    quand elles roulent dans ma chair,

    un monde de nectar, s’abbat sur moi,

    l’instant devient le duvet frissonnant d’un oiseau

     

    du sens semble être là, quelque part,

    du sens d’être ici,

    du sens d’être ici, dans un corps et un esprit,

    n’être plus qu’un réceptacle pour une fête voluptueuse,

    s’unir de tout son être, semble de plus en plus,

    un moment de grand sens,

    enveloppé dans une ivresse qui inonde les cellules,

     

    le monde vert, le monde brun, le monde bleu,

    de la terre,

    semble constamment vibrer,

    constamment baigner dans une sorte de liesse silencieuse

    mais qu’on ne percevrait que de loin, de très loin,

    une grande fête, une toute grande fête,

    semble se passer là, en face de nous,

    si cruellement proche

     

    quelque chose en nous,

    devrait pourtant être capable d’accéder,

    se mettre au niveau, se synchroniser avec le monde,

    vivre au rythme des battements silencieux de son coeur,

    l’animal et l’ange, sont en nous,

    le plus humble objet dans le paysage,

    une éponge sans fond

     

    en réponse à : Aneros matière naturelle #49141
    bzo
    Participant

    il y a plastique et plastique,

    celui avec lequel les masseurs de la marque Aneros sont produits, est d’une qualité sans reproche, à ma connaissance

     

    des plugs ou des godes , en verre, cela existe

    mais je n’ai pas encore entendu parler d’un masseur prostatique en verre,

    j’ai comme un doute que le matériau soit adapté

     

    mais si tu veux avoir les réponses d’un expert en la matière,

    inscris-toi sur le Discord lié au site,

    là, Adam te répondra en personne

    (mais je crois, suis même à peu près sûr, que ses réponses seront identiques)

     

     

    en réponse à : Présentation des membres #49118
    bzo
    Participant

    hello

    je te conseille , plutôt de t’inscrire sur le discord lié au forum,

    c’est là surtout que cela se passe désormais,

    ici, il y a juste un fantôme radoteur qui reste

    en réponse à : Journal du prostatomane #49073
    bzo
    Participant

    vivre mon corps au féminin,

    c’est comme un moment de voluptueuse sorcellerie

     

    la tuyauterie, initialement,

    n’était pas prévue pour cela

    et pourtant, elle y arrive,

    comme elle y arrive

     

    domaine de l’exploration du désir,

    un continent sans limites,

    la possibilité de réécrire les règles,

    de reprogrammer comme on veut,

    tout le matériau est là, en nous

     

    c’est si bon de se laisser aller,

    il ne s’agit plus d’être dur, d’être pénétrant, d’être puissant,

    juste de s’ouvrir, de se laisser emporter

    en réponse à : Journal du prostatomane #49015
    bzo
    Participant

    libérer toujours plus

    ce qui danse en moi

    en réponse à : Journal du prostatomane #49014
    bzo
    Participant

    le désir est cette maison

    où le corps et l’esprit

    peuvent se réunir, un moment,

    jouer ensemble

     

    tout le spectre est disponible par ici,

    du plus animal au plus éthéré,

    du plus brut de décoffrage au plus sophistiqué

     

    j’entends tout le long de la journée,

    mon corps qui me suggère,

    “viens, allons à la maison, un instant”,

    la plupart du temps,

    quand je suis seul,

    j’obtempère tout de suite,

    quelque soit la tache en cours

     

    se retrouver par ici, à deux,

    c’est faire vibrer tout l’être,

    c’est vivre une communion ardente,

    c’est déguster le carrousel infini des sensations,

    c’est vivre de douces et variées explosions

    qui effacent les limites, effacent les règles,

    qui unissent à tout, à rien

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