Toutes mes réponses sur les forums

10 sujets de 21 à 30 (sur un total de 30)
  • Auteur
    Articles
  • en réponse à : Pratique anale, prostatique et peur de l’homosexualité #43992
    divine_oblivion
    Participant

    Je suis d’accord avec bzo.

    pourquoi avoir peur de tes désirs? Si tu aimes ta femme, et si vous êtes en relation libre si j’ai bien compris, c’est idéal pour découvrir ta sexualité dans toutes ses couleurs.  Si bien sûr ta femme accepte que tu voit ailleurs.  Il faut juste être sûr de donner suffisamment d’amour à elle, et d’aider à la maison pour pas créer de déséquilibre dans le couple, dans les taches ménagères, temps dédié aux enfants, etc.  Quand papa ne fait pas sa partie du boulot dans une famille car il est en train de de faire tailler une pipe au sauna, ça peut créer des problèmes relationnelles. Il y a plein de ressources pour apprendre comment gérer un couple libre, à commencer par « la salope éthique » .

    en tout cas tu as l’air d’être attiré par les hommes.  Aucun mec hetero que je connaît ira dans un sauna gay.  Et ta préférence sexuelle, tu ne pourras pas la changer.  Plus tu évites cette étape, plus ça va te tourmenter, et plus vite tu t’accepte, plus vite tu sera heureux.  Donc accepte toi pour qui tu es, et découvre toi même. Si tu trouves que tu n’aimes pas les femmes finalement, ou si tu tombes amoureux de quelqu’un d’autre, tu ne perdras pas ton enfant, pourvu que tu as été un bon père.  Il y a la garde partager, ou même les familles alternatives, avec trois parents, ou avec un couple qui élève des enfants sous le même toit sans être en couple.

    sinon qu’en sait ta femme de tout cela? Tu lui en parles? Elle sait ce que tu ressens, tes peurs, tes désirs, etc?

    en réponse à : Production de mouille #43309
    divine_oblivion
    Participant

    Je ne mouille que rarement et tres peu en quantité. Pourtant j’ai énormément de plaisir sexuel dans ma vie, prostatique et autre. Donc je me fait pas de soucis la dessus, car comme les autres disent, c’est probablement génétique. D’ailleurs je ne savait pas réellement ce que c’etait la mouille masculine avant d’échanger avec des gens sur internet sur le sujet du prostate. Je appris à sortir plus de mouille en relâchant certain muscles du bassin pendant le massage prostatique ou pendant la masturbation, mais ça reste des petites quantités. J’ai également une petite ejaculation comparée à d’autres mecs, je crois. Ça fait moins à nettoyer!

    Apres, squirter c’est autre chose encore, et j’ai pu le faire plusieurs fois. Mais c’est très particulier, et je ne crois pas que c’est forcément lié à la production du pré-ejaculé. Pour moi ça relève du masochisme tellement c’est intense…

    en réponse à : Orgasmes prostatiques… sans prostate??? #42221
    divine_oblivion
    Participant

    @andraneros

    Cette aptitude à vivre, sans aucune stimulation matérielle, des « orgasmes » sans éjaculation ne dépend pas d’un masseur mais correspond à un potentiel disponible dans notre organisme. Je découvre ce potentiel peu à peu et mon expérience me fait penser qu’en effet on devrait pouvoir atteindre les mêmes états sans prostate. La limite de mon hypothèse est que disposant encore de ma prostate, je ne peux rien certifier en ce qui me concerne.

    Exacte. Mais sans prostate l’apprentissage reste plus vague. Je sais que ce n’est pas facile pour tout le monde d’apprendre a jouir avec son prostate, mais le fait qu’on a un prostate, qu’il y a un jouet, un methode, des ressources gratuites sur internet, tout cela rends ces orgasmes plus accessible que a travers d’autres methodes orgasmique. Le KSMO c’est hors prix pour quelqu’un qui veut simplement essayer. Le tantrisme, c’est pas pour tout le monde vu que c’est lié avec du mysticisme (peut-etre pas le bon mot), des chakras, etc. Le mindgasm… j’avoue l’avoir pas essayé car je n’en ai pas besoin. Mais de toute façon, etant rewired, je ne peux pas tester d’autres methodes!

    Mais, après avoir constaté ma transformation, ma femme s’est engagée à son tour dans une démarche de même nature, développer sa capacité à jouir à volonté pour partager mes « transes orgasmiques », et est parvenue elle aussi à vivre des orgasmes sans stimulation « externes », façon A-less. Son expérience est très personnelle dans la mesure où elle n’a pas suivi une « méthode » particulière. Mais elle illustre que ce que tu dis est tout à fait possible.

    Joie! J’aimerais entendre d’autre témoignages de personnes sans prostate qui apprennent a jouir autrement. Ma femme a toujours (depuis son enfance) pu jouir juste en serrant ses muscles du bassin. Ensemble on augmente ses jouissances (de resserrement, clito, vagin, etc) avec des caresses ou autre stimulation sur son corps. Avec le temps, l’association d’extreme plaisir avec les caresses a fait qu’elle jouit aussi des caresses toutes seules. Mais elle n’explore que rarement sans moi, car elle n’en sens pas le besoin.

    Il n’y a pas de « jouet miraculeux » ni de « méthode miraculeuse » pour accéder à l’orgasme prostatique et à ses équivalents énergétiques. Il y a au mieux des facilitateurs. Il faut avoir un bon état d’esprit et accepter de renoncer à un réflexe instinctif au profit de la découverte de nouvelles sources de plaisir. Cela demande tout naturellement un certain effort mais il en vaut la peine.

    Oui oui et oui. Je suis totalement d’accord.

    en réponse à : Orgasmes prostatiques… sans prostate??? #42220
    divine_oblivion
    Participant

    @caktil

    Je trouve qu’il y a une note d’espoir pour les personnes n’ayant plus de prostate dans ce que tu écris. C’est une situation qui ne me concerne pas, mais j’y ai pensé quelque fois depuis que j’ai découvert les orgasmes prostatiques. Je me suis dit que ce serait vraiment dommage de devoir subir une prostatectomie maintenant que j’en tire autant de plaisir.

    Je crois que si on a pu apprendre a jouir de nos prostates, on pourra facilement apprendre a jouir autrement! Ceci dit, je crains une prostatectomie un jour. Mais bon, si ça arrive, j’aurait jouit pleinement de mon prostate avant!

    Je trouve qu’il y a aussi une analogie avec les personnes ayant été victime d’un AVC. Mon épouse en a eu 3 il y a 15 ans et a dû réapprendre à parler. Moi-même, j’en ai été victime il y a 7 ans. Ce n’était pas très grave, juste une certaine gêne dans l’élocution. Au bout de quelques mois, j’ai retrouvé 99% de mes capacités. Pour réapprendre à parler, ou a bouger certains muscles, le cerveau doit trouver un autre moyen ou un autre chemin pour contourner la zone mal en point, ou peut-être consacrer d’autres neurones à une tâche qui était dévolue à une certaine zone du cerveau touchée par l’AVC.

    Une bonne analogie! Mais je suis désolé pour vous deux, ça a pas du etre facile :/

    Les promenades dans la nature me font parfois cet effet là.

    Oui, la nature m’incite des émotions et des sensations profondes!

    en réponse à : Présentation des membres #42195
    divine_oblivion
    Participant

    @andraneros Oui, ça me change d’air de lire des textes en français sur le sujet, et les fois que j’ai lu des textes ici, j’ai l’impression que ça part dans d’autres directions. Et puis, je dois tout à Adam (et Victoire des couilles sur la table), quand même!

    Tu as progressé rapidement et, en apparence, plutôt facilement. Puis-je te demander ce que tu veux dire par

    rejet de l’orgasme éjaculatoire comme seul moyen d’avoir du plaisir depuis quelques années

    Je veux dire que je ne voyais plus l’éjaculation comme but en soi. Certes j’aimais bien éjaculer, mais il y avait tant d’autres choses qui m’excitait jusqu’un état de presque-jouissance. J’adorait donner beaucoup du plaisir aussi, et j’avait compris que l’éjaculation couper bien l’envie de continuer. Donc avec des partenaires, on faisait durer le plaisir, surtout avec des femmes multi-orgasmique. Donc quand on passe 1-4 heures au lit a s’éclater avec quelqu’un, a prendre et donner beaucoup de plaisir, qu’on éjacule ou pas a la fin n’a pas trop d’importance. C’était la ou j’en était au moment de découvrir aneros, et d’ailleurs ça a renforcé cette idée, car maintenant je jouit enormement sans ejaculer quand je suis avec ma partenaire, et la non-ejaculation me rends plus excité pour ma session aneros le lendemain! Donc ca s’inscrit dans “une recherche de sensations à la fois plus profondes et plus universelles”, car je ne suis pas de tradition taoiste.

    La technique alexandre, telle dautres techniques de prise de conscience du corps (felden kreis, yoga, etc) nous apprends à écouter ses muscles pour les détendre pleinement et les engager exactement comme il faut pour pas les utiliser inutilement. Donc j’avais l’habitude de fixer mon attention sur les sensations qui provoque la tensions ou non-tension de mes muscles. Je suis sur que ça m’a aidé pour ensuite écouter mon prostate et les muscles du bassin. Pour faire de la technique Alexandre, le mieux c’est de voir quelqu’un pour des cours particulier. J’ai lu 2 livres en anglais sur le sujet, et j’avais un prof. Malheureusement c’est cher (j’avais de la chance, une prof retraité qui me faisait payer 10 dollars le cours, mais les pros aux states a l’epoque etait a 75 dollars).

    Merci, oui le cheminement et sans fin. C’est ça la beauté de tout cela! Je serais ravi de partager avec d’autres usager par la suite.

    en réponse à : Présentation des membres #42194
    divine_oblivion
    Participant

    Hey @caktil , ravi de te retrouvé ici! Je me demandais si il y avait des francophones (zentai, par exemple?) qui seraient ici….

    en réponse à : Progression prostatique en couple #42193
    divine_oblivion
    Participant

    Oki. Je dirais de rester ouvert, car comme j’ai dit, dans mon experience les sessions avec ou sans jouet et avec ou sans partenaire sont toutes incomparables, et la multiplicité d’experiences aide a tout pousser plus loin. Mais si ca marche pour toi pour l’instant, super!

    en réponse à : Présentation des membres #42182
    divine_oblivion
    Participant

    Bonjour a tout le monde.

    Ca fait 3 ans que je passe lire de temps en temps, sans rien écrire, car je suis actif sur le forum anglais. Donc je me présente…

    J’ai 35 ans et je suis un homme cis het. J’ai découvert les produits aneros il y a 3 ans grace à l’episode des couilles sur la table dans laquelle Victoire interviewe Adam (merci infiniment a vous deux). J’étais pas nouveau dans le monde d’exploration anal, mais a part rendre l’orgasme ejaculatoire plus excitant, je ne connaissais pas grande chose. Donc en entendant l’interview j’ai lu la traité, acheté un helix, et après une dizaine de sessions sur un mois j’ai commencé à vraiment prendre mon pied. Ensuite les choses se sont enchainé ainsi dans le temps (sachant que je ne parle pas de super O, car pour moi les orgasmes sont sur un spectre, et en découpant ce spectre on crée des limites):

    1 mois: orgasmes secs
    2 mois: orgasmes secs réguliers à chaque utilisation
    3 mois: des orgasmes secs qui s’enchaînent pendant des dizaines de minutes des fois. Découverte de la douleur comme déclencheur orgasmique, et acceptance de mon masochisme (léger, comparé à certains).
    5 mois: anerosless, ainsi qu’orgasmes d’autres parties du corps, têtons, mains, partout. Premier orgasme par pensée. Orgasme sur commande.
    9 mois: orgasmes “énergétiques”, capacité de créer les sensations dans ma tête et les sentir sur mon corps.

    De mémoire c’était ça mon cheminement, avec plein d’autres détails que j’oublie. Ma progression relativement rapide est due sûrement à de nombreux facteurs, dont mon imagination active, ma peau hypersensible, ma sexualité très épanouie et basée sur le toucher, un rejet de l’orgasme éjaculatoire comme seul moyen d’avoir du plaisir depuis quelques années, et le fait d’avoir fait du Alexander Technique avant. Et puis j’ai beaucoup lu et écrit sur le forum anglophone du site officiel d’aneros, où j’ai le même nom d’utilisateur qu’ici. La lecture m’a vraiment aidé a progresser!

    Depuis deux ans je suis en couple avec une femme qui partage et encourage l’aventure avec moi. J’ai des sessions seul, des sessions où elle passe dans la pièce pour me caresser par moment, et des moments partagés quand j’ai un jouet en moi ou quand je fais du anerosless lors d’autres actes. Elle même a appris a utiliser sa peau comme génératrice orgasmique, et à jouir en se resserrant les muscles du bassin, donc on a beaucoup de complicité. Souvent on passe des longs moments a se provoquer des états de plaisir orgasmiques, sans pénétration, sans même toucher les parties génitales l’un de l’autre, juste en se caressant avec créativité en se disant des jolies choses…

    Voilà, c’est tout pour l’introduction “courte”. Au plaisir de vous lire!

    en réponse à : Orgasmes prostatiques… sans prostate??? #42181
    divine_oblivion
    Participant

    Bonjour, @andraneros Merci pour la reponse! Tu me fais penser que j’ai oublié de me présenter! Je le ferais aussitôt…

    en réponse à : Progression prostatique en couple #42178
    divine_oblivion
    Participant

    Super, ce que tu racontes sur ton progrès, et c’est top que tu aies trouvé une partenaire si complice. Felicitations! Deux choses:

    Primo: pourquoi sans masseur? Anerosless, c’est le pied, mais les jouets, c’est le pied aussi. Juste, ce sont deux pieds complètement differents! Tout est bon dans le cochon (comme disait pas le vegane), donc pourquoi pas y gouter si tu as l’air de super bien reussir ton rewiring? Ce n’est pas une critique, mais la curiosité ainsi que l’envie de te pousser vers d’autres portes de plaisir 🙂

    Primo bis, autrement dit, “segundo”: Tu dis qu’au début tu t’es excercé en solo “assez”. Est-ce que tu continue de pratiquer tout seul? Car même un maitre du prostate peut beaucoup apprendre a chaque seance en solo. C’est comme un instrument, certaines choses se pratique en groupe, d’autres tout seul. Personellement (et je suis dans une situation de couple semblable a la tienne: sexualité partagé avec copine qui est atypique, recherche en dehors de la sexualité “normale” avec elle), je trouve les sessions solo regulières très importantes. Il y a des hauteurs a atteindre quand on est seul qu’on ne peut pas atteindre en couple, pas forcement plus ou moins haut, mais differentes. Puis ce qu’on fait seul aide avec ce qu’on fait en couple, et vice versa. Si en effet tu continue a pratiquer seul, as tu pu remarquer les differences entre les pratiques solo et en couple?

10 sujets de 21 à 30 (sur un total de 30)