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  • en réponse à : Que choisir pour débuter : Aneros Helix Trident ou Helix Syn V ? #47807
    augnat
    Participant

    Ce n’est pas très fréquenté mais il y a un quadrilogue assez fructueux je trouve 🙂

    Après effectivement je ne suis pas sûr que l’un de nous quatre soit réellement qualifié pour donner un conseil spécifique et objectif à ce sujet…

    en réponse à : Orgasme du gland aneroless #47776
    augnat
    Participant

    Tu as été assez clair, il me semble. En tout cas à défaut d’avoir le même ressenti, je crois avoir réussi à comprendre par analogie.

    J’ai l’impression que chez toi, les ondes péniennes jouent un peu le même rôle que les ondes anales chez moi, que je vais utiliser le plus souvent pour “forcer” le plaisir. Pas tout à fait de la même façon mais un peu.

    Ça m’est arrivé hier, je sentais monter une vague de plaisir qui avait plutôt des allures de tsunami, et (l’impatience sans doute) j’ai contracté le bassin au mauvais moment, ce qui fait que c’est retombé comme un soufflet, d’une manière très frustrante car c’était l’heure de partir. Les sensations étaient encore là mais il fallait que je les rassemble à nouveau, patiemment, que je laisse monter et ces choses sont toujours un peu incertaines, on le sait bien, et je n’avais plus le temps. Alors je suis allé chercher ma carte joker, et les contractions anales que j’ai provoquées sont allé puiser les ondes momentanément éteintes pour pallier – imparfaitement – l’orgasme avorté. Je sens que ça aurait pu être extraordinaire mais c’était juste vraiment très bien. Si j’avais eu le temps de faire une session plus longue, je ne serais pas sans doute pas allé le chercher mais j’aurais plutôt patiemment rebâti le château de cartes.

    Il faut que je sois vraiment bien dans ma session et que j’aie réussi à me lâcher mentalement pour m’autoriser naturellement la stimulation anale.

    Mais effectivement, c’est un apprentissage, la session peut tomber à l’eau si je force la stimulation pénienne. De plus en plus le dialogue devient fluide, à mesure que la pratique devient partie intégrante de mon être.

    Par ailleurs la stimulation du gland a remplacé la masturbation classique quand j’ai envie et/ou pas le temps. Pas de sperme, pas de problème.

    J’ai un peu développé l’idée dans ce post, j’ai l’impression que mon rapport très ambivalent à ma masculinité peut expliquer que cette façon de faire fonctionne si bien pour moi. Avant de découvrir ma prostate, je me masturbais fréquemment mais avec difficulté à chaque fois, comme s’il y avait un conflit interne, une partie de moi voulait et une autre ne voulait pas, et la partie consciente finissait souvent par prendre le dessus au forceps, au bout d’un temps long, et d’une manière insatisfaisante, en me laissant une vague impression de dégoût. À mon avis, notre point commun à tous, c’est qu’on se situe plutôt du côté de la jouissance autre, pas toute-phallique, d’un point de vue lacanien, ce qui est très loin d’être universel chez les hommes apparemment, plus fréquent chez les femmes – qui ont aussi une prostate minuscule, je l’ai découvert récemment. Je crois beaucoup à ça, c’est très marqué chez modeyin, toi ou moi, je pense que c’est cette acceptation de notre part féminine qui nous a permis d’aller aussi loin dans cette pratique, et que tout le monde n’en est pas capable, loin de là. Je crois aussi que c’est pour ça que la stimulation prostatique est souvent regardée comme une bizarrerie, et ne parlons pas du mode yin.

    en réponse à : A l’ écoute de mon corps #47771
    augnat
    Participant

    Depuis une vingtaine de minutes, j’ai entrepris de lire ce fil, au début de ton cheminement @modeyin, et les conseils de @bzo, le corps qui participe, le masculin et le féminin qui dialoguent et qui se fondent, je serais incapable de les reformuler mais quelque chose se passe, ça vient me parler un peu plus profondément à chaque fois.

    Et la magie opère. Mon bassin qui se meut sensuellement, mes jambes qui fourmillent, chaque mouvement de mes mains apporte sa vague de plaisir qui se déplace, vers où, pourquoi ? Je ne sais pas, mais qu’est-ce que c’est bon…

    J’ai joui deux fois par les jambes, déjà. Mon corps en veut plus, toujours, encore.

    Merci à vous deux.

    en réponse à : Orgasme du gland aneroless #47765
    augnat
    Participant

    De plus en plus et contrairement à beaucoup de monde, j’intègre mon pénis comme composante à part entière de mes séances longues, qui joue un rôle au même titre que ma prostate, mon périnée, mon fessier dans une moindre mesure. Le périnée donne quelque chose de plus doux, de plus diffus, la prostate et le séant ont des capacités orgasmiques rapides assez folles. Quant au pénis, c’est un peu entre les deux. Si je le stimule un peu comme un clitoris, avec des mouvements rapides et un peu brusques, je vais arriver à l’orgasme du gland assez rapidement, ou alors parfois ça peut générer un orgasme qui vient d’un peu plus haut, probablement prostatique, mais il m’arrive aussi, et de plus en plus, de le caresser sur un mode plus yin, comme dirait mon ami bzo. Je vais le parcourir du doigt par une simple caresse, je vais le tenir à la base entre deux doigts, je vais caresser doucement le frein avec le doigt (très agréable, comme c’est bien innervé), décalotter et recalotter doucement, tourner le doigt enduit de salive autour du gland. Parfois je m’imagine en femme, et un doigt dans la bouche pendant que je caresse ce sexe que j’ai appris à aimer maintenant, le plaisir monte tout de suite, dans la bouche, dans le bas-ventre, à d’autres endroits du corps parfois.

    Des sensations familières sont en train de monter pendant que j’écris cette description, c’est très agréable.

    Quand je fais des séances longues (hélas souvent je n’arrive pas à me dégager plus d’une quarantaine de minutes) je sais à quel moment l’orgasme dit énergétique va venir. Les sensations qui viennent comme un fourmillement, et même si elles ne sont en apparence pas plus fortes que celles d’avant, du moins au début, mon corps le sent, je bouge beaucoup plus, impulsé par ce qui vient, mon esprit bascule aussi, je ne suis plus que plaisir, dans tout mon être, corps, esprit, j’attends et je bouge et ça monte et je n’ai rien d’autre à faire que laisser monter, me laisser porter en suivant ces mouvements qui deviennent incontrôlables, et mon dieu que c’est bon, ce matin je ne savais même plus dans quel sens j’étais placé sur mon lit, c’est comme si j’étais sur une rampe de lancement et quand je juge que le moment est venu, je lance la petite contraction et le feu d’artifice commence. (Cette sensation de chaleur qui s’est mise à monter du haut des cuisses vers le bas du ventre après le dernier orgasme ce midi, oh la la.)

    en réponse à : Fournisseur Aneros en France #47743
    augnat
    Participant

    Il me semble qu’ils en vendent sur Espace Plaisir

    en réponse à : A l’ écoute de mon corps #47737
    augnat
    Participant

    J’en suis presque à vous envier.

    Il y a eu un creux d’une dizaine de jours dans ma pratique sexuelle de couple pour diverses raisons, et ça a suffi à mettre mon corps est en feu. Ce qui est très frustrant, car en ce moment je n’ai pas l’occasion de me libérer ne serait-ce qu’une heure de solitude absolue. J’en viens à me provoquer des mouvements d’ondes au travail, alors que les gens sont autour de moi.

    On a remis ça hier soir, moment incroyable, évidemment je ne lâche pas les rênes aussi facilement à deux mais elle a compris que parcourir ses mains sur mon corps me faisait beaucoup d’effet. J’ai encore l’impression d’être une femme quand je me laisse aller à ce type de plaisir en sa présence et je m’abstiens de lui demander ce qu’elle en pense… J’ai laissé les décharges continuer à parcourir mon corps quand ça a été fini, et de fait, ça continue de venir me chercher alors que je pensais que l’éjaculation me calmerait.

    Où es-tu, ô solitude ?

    en réponse à : Journal du prostatomane #47735
    augnat
    Participant

    je ne suis pas sur que je serai capable de faire cela, sans à un moment donné être capable de résister d’aller jusqu’à l’éjaculation,

    Eh oui, bien sûr, un homme, une pratique. Chez moi ça s’intègre parfaitement, alors que l’anal, bof.

    et puis, bien sûr, le fait que je me passe complètement de pornographie, sous toutes ses formes

    Alors ça a été une des conséquences de mon entrée dans cette pratique. J’ai complètement arrêté d’en regarder, et ça ne me manque pas.

     

    Bon je te laisse continuer ton fil 🙂

    en réponse à : Journal du prostatomane #47727
    augnat
    Participant

    Oui mais alors ça j’avais compris que tu t’interdisais les orgasmes éjaculatoires.

    Mais on peut faire de la stimulation pénienne qui peut donner lieu à des orgasmes un peu entre les ondes et le prostatique, sans éjaculation ni période réfractaire. Je le pratique régulièrement, et c’est plutôt à ça que je pensais quand j’ai posé ma question, je me demandais si tu t’interdisais ça aussi.

    Parfois, quand ça ne démarre pas très vite et que je suis un peu impatient, je me lance dans un début de masturbation mainstream, dont les premières décharges mettent en branle le plaisir prostatique et que je peux abandonner aussitôt.

    Et sinon, caresser mes bourses me procure beaucoup de plaisir yin, en ce moment.

    en réponse à : Journal du prostatomane #47724
    augnat
    Participant

    Une question, comme ça.

    Pourquoi t’interdis-tu de toucher ton sexe ?

    (Et accessoirement, où situes-tu la limite de ton sexe ? Et, les bourses en font-elles partie ?)

    en réponse à : Journal du prostatomane #47674
    augnat
    Participant

    Merci pour ce beau texte.

    Il vient me parler très profondément.

    en réponse à : A l’ écoute de mon corps #47671
    augnat
    Participant

    @modeyin

    Je veux dire que chez tous les intervenants de ce forum (si je compte bien, on est quatre réguliers et quelques occasionnels en ce moment), on retrouve cette cristallisation du féminin qui revient dans ce qu’on écrit.

    Pour moi, la découverte de ma prostate m’a carrément réconcilié avec ma sexualité. Je m’étais toujours senti mal à l’aise dans ce corps et ce qu’il renvoyait, d’une manière en grande partie liée au sexe, ce machin au milieu des jambes dont je ne savais pas quoi faire, source (fantasmée) de rejet ou de dégoût se propageant à toute ma personne, qu’il soit érigé ou flasque, mais en même temps élément central dans l’intimité, ce qui créait chez moi une ambivalence que je gérais mal. J’avais fini par m’accommoder du sexe à deux (toutes les dames qui l’ont approché de près se sont déclarées satisfaites), mais la masturbation était toujours accompagnée d’un sentiment de honte une fois passé le point de non-retour, et encore plus si elle était accompagnée d’un support visuel. Tout ça ce sont des névroses complètement personnelles. J’ai toujours placé le féminin bien au-dessus du masculin, avec une tendance à sublimer le féminin et à rabaisser le masculin.

    Eh bien, tout ça s’est, lentement mais sûrement, largement évaporé depuis cette découverte, maintenant qu’une part féminine s’est immiscée dans cette dynamique et que j’arrive à faire dialoguer les deux de manière fluide. Quand je me livre à ça, je ne me pose plus la question de l’autre, qui était toujours présent à mon esprit, même quand j’étais seul. Je vais au gré de mes envies dans ce temps qui n’est que pour moi. Je me sens enfin légitime dans mon désir. Et c’est une vraie libération.

    Ta session d’il y a deux jours avait l’air assez incroyable, est-ce que tu as réussi à en avoir d’autres aussi intenses depuis ?

    en réponse à : A l’ écoute de mon corps #47667
    augnat
    Participant

    Trois envois, mon message refuse d’apparaître… je retente.

    en réponse à : Orgasme du gland aneroless #47599
    augnat
    Participant

    Je cherche aussi dans les nouveaux plaisirs des choses pour contenter Madame davantage qu’elle n’est contente, mais je n’ai pour le moment rien trouvé de satisfaisant. Comme elle ne supporte pas l’insertion d’un ou plusieurs doigts dans son intimité, masser la fameuse zone striée vers l’entrée de celle-ci n’est pas possible, pour ne donner que cet exemple.

    Hier soir, pendant une soirée arrosée (quelques bières), je me suis retrouvé avec une envie d’uriner extrêmement forte et impossible à assouvir sur le moment du fait de l’interaction sociale dans laquelle je me trouvais, ce qui fait que je me suis finalement retrouvé aux toilettes avec presque l’impression d’un non-retour. Or, depuis quelque temps, sur les préconisations d’un andrologue entendu dans un podcast, je ne force plus le soulagement de ma vessie quand je vais aux toilettes, mais je me contente de me relâcher pour laisser sortir, c’est plus tranquille pour le corps. L’envie était très forte, je l’ai dit, et j’ai tout de suite ressenti une vague de plaisir en même temps que l’écoulement du liquide dans mes tuyaux internes, et ça a duré très longtemps, une minute peut-être, deux, je n’en sais rien, à me laisser aller, le temps de tout vider, je me concentrais sur le plaisir en fermant les yeux, qui montait, montait, et a fini par se transformer en orgasme aux trois quarts peut-être, ressemblant beaucoup à un orgasme de la prostate, qui s’est prolongé jusqu’à ce que j’aie terminé.

    J’ai entendu parler d’une stimulation de l’urètre sur ce site (ça a l’air d’être pour les têtes brûlées ce truc, jamais je ne m’essayerais à l’insertion de quoi que ce soit par là), j’ai peut-être vécu un truc qui ressemble à ça.

    en réponse à : A l’ écoute de mon corps #47597
    augnat
    Participant

    Ça nous travaille

    en réponse à : Journal du prostatomane #47592
    augnat
    Participant

    Est-ce que tu as renoncé aux stimulations excluant la zone du bas-ventre ?

    Ces jours-ci, je m’essaye aux sessions axées essentiellement sur la volupté. Mes caresses sont plus douces et je laisse monter progressivement les sensations, la zone du bassin restant en sourdine quoique pas complètement absente : je peux tout de même laisser mes mains divaguer sur les fesses, le périnée ou le sexe en jouant avec la limite. Si j’en parle, c’est qu’aujourd’hui j’ai réussi réprimer une forme d’impatience en maintenant cette zone centrale au même niveau d’intensité que les autres parties du corps que je sollicitais donc davantage par des caresses et des mots d’amour murmurés. Et l’orgasme surpassant tous les autres a fini par arriver, intense, dans les bras, dans les jambes, dans le visage et le cou, dans la bouche, traversant le cerveau avec une volupté incroyable. Partout, sauf dans le bassin qui lui était au repos, mon corps et mon esprit étaient en transe.

    Il est difficile de s’interdire de stimuler la partie la plus sensible de son corps, mais j’ai envie de pousser l’expérience un peu plus loin.

    en réponse à : Orgasme du gland aneroless #47517
    augnat
    Participant

    PetitsPlaisirs76 a écrit

    Je l’ignore totalement et il me le rend bien, en disparaissant presque, il y a peu, dans l’état de jouissance où je me trouvais, j’avais l’impression d’avoir une vulve gonflée et béante.

    C’est drôle ce parallèle, la première fois que j’ai fait ce massage-là, j’ai littéralement eu l’impression d’avoir un clitoris. Parfois, j’imagine que je suis une femme, au moment de la pénétration par un homme, et ça me provoque presque instantanément une vague de plaisir qui vient irradier le bas de mon ventre d’un mouvement ascendant.

    Fun fact, j’ai trouvé une origine psychique aux tiraillements de l’anus, pouvant déboucher presque instantanément sur un orgasme anal presque désagréable si je les amplifie un peu, dont j’ai parlé dans quelques posts : ils se produisent littéralement quand je me fais chier. Depuis que j’ai découvert ça, ils se produisent nettement moins souvent. Ce dont je me réjouis, parce que je n’aimais pas trop ça. Par contre, les appels de prostate ou de périnée… on n’a pas tous les mêmes préférences 🙂

    Mais sinon je rejoins bzo, c’est assez incroyable ce que tu arrives à faire maintenant, alors que tes messages ne donnaient pas cette impression d’évolution spectaculaire que pourtant tu as dû vivre. Tu ne laisses toujours pas tes trouvailles déborder sur ta vie sexuelle de couple ?

    en réponse à : Orgasme du gland aneroless #47461
    augnat
    Participant

    Ce matin, session longue avant plusieurs jours sans réel isolement possible. Je me suis octroyé une quarantaine de minutes avant mon départ pour le travail, infiniment satisfaisantes. Mon corps a intégré ce rythme on dirait : entre une demi-heure et trois quarts d’heure pour arriver à un lâcher prise total et ressentir quelque chose de dingue. (Sauf avant-hier, mais j’avais un mal de crâne persistant.) Je ne sais pas comment fait notre ami bzo pour décortiquer précisément ce qui s’est passé pour lui à chaque fois comme ça, moi je sors toujours avec deux ou trois souvenirs clé qui viennent ancrer mes sensations et la trace que ma mémoire en garde. Je crois que ce sont mes jambes qui ont commencé la danse, doucement, ça a mis un petit moment avant de converger vers mon bassin pour un premier orgasme que je ne cherchais pas spécialement à atteindre rapidement. Je me souviens de la zone du périnée assez active. Je me souviens des déploiements dans mon visage et plus particulièrement dans la bouche alors que l’ensemble de mon corps était déjà largement échauffé. Je me souviens de la sensation de chaud qui s’est mise à monter depuis le bas de mes jambes jusqu’aux genoux juste après le feu d’artifice final.

    Ce soir, une procrastination active mêlée aux souvenirs de ce matin m’a amené à la lecture d’articles sur ce site, l’ensemble m’amenant à un appel de prostate inhabituellement fort auquel j’ai fini par répondre. Je venais à peine de m’allonger que j’ai eu un orgasme prostatique très fort, très long, l’état second atteint très vite cette fois, et puis un deuxième, d’intensité et de longueur similaire. Et puis ça a été fini. Rien d’autre, mes autres membres ne souhaitaient visiblement pas s’inviter dans la partie. Ma prostate était-elle donc frustrée d’avoir été si peu sollicitée ce matin ?

    en réponse à : Journal du prostatomane #47439
    augnat
    Participant

    Je suis d’accord avec toi sur la sémantique, je trouve que c’est plus adéquat de parler de jouissance que d’orgasme. Et je crois que moi aussi je préfère ces ondes qu’on peut arriver à faire parcourir tout le corps, qui sont moins fortes physiquement mais tellement plus intenses psychiquement.

    Je serais curieux de savoir ce que peuvent donner des séances entières sans solliciter le bassin…

    en réponse à : Journal du prostatomane #47437
    augnat
    Participant

    Tu veux dire que tu n’avais jamais expérimenté les caresses sur le corps en évitant la zone du bassin, ou alors que tu n’avais jamais essayé de faire une session exclusivement de cette façon ?

    Mais alors, je ne suis pas sûr de bien te suivre, qu’est-ce que tu appelles le mode yin exactement alors ?

    en réponse à : A l’ écoute de mon corps #46914
    augnat
    Participant

    Le poids des mots.

    Quand on arrive à se trouver le moment à soi nécessaire pour mettre en place cette connexion avec soi-même, on peut véritablement à accéder à une autre dimension, un état second. Les mots entraînent l’état qui provoque les mots et les sensations qui s’élèvent à un niveau supérieur. Une partie de soi reste ancrée à la réalité pour faire en sorte de ne pas tomber du lit, mais pour le reste, on se sent tout entier à l’instant et ce qu’on vit en soi, pour soi.

    Ces moments sont magiques, magnifiques. Ça m’est arrivé cinq ou six fois peut-être depuis cet été. Je me souviens une fois d’avoir murmuré que je n’avais jamais rien vécu d’aussi intense, et quelques secondes après je me suis retrouvé à vivre un de ces orgasmes les plus incroyables, dans les jambes, les bras, les hanches, la nuque, le visage, qui a duré un temps que je ne saurais pas évaluer tellement je me sentais hors du temps.

    Mais hélas, le travail, le stress, la présence d’autres êtres humains avec soi, on ne peut pas toujours les vivre à la fréquence qu’on voudrait, sauf à faire des choix de vie contraignants !

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