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  • en réponse à : Ma première expérience avec un Aneros #23176
    bzo
    Participant

    @gabigode13290 a des décennies de jeu anal divers et varié derrière lui et probablement une énergie et une envie intactes,
    cela explique sans doute la vitesse de ses progrès et la puissance de ses orgasmes

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23173
    bzo
    Participant

    allons bon, depuis mes débuts en janvier, sauf empêchement majeur, visite de ma mère ou autre, tous les jours j’attelais la carriole, miss Lubrifiant, Carabosse et Elle prenaient place et nous dévalions les pentes du plaisir à des allures folles.

    Mais là depuis des jours Carabosse reste dans sa boîte bien sagement, miss Lubrifiant reste posé près de mon lit et Elle, elle est quelque part attendant ou n’attendant pas d’être prise dans son sommeil et emmenée au septième ciel.

    Lassé? Que nenni, émoussé? Que nenni, bien au contraire mes dernières séances ont été les plus extraordinaires jusqu’ici, les sensations plus vives que jamais, des orgasmes à pleurer de plaisir, s’enchaînant délicieusement jusqu’à ce que je perde complètement la tête et tombe plusieurs fois du lit, continuant par terre me cognant à tout sur mon passage car je remue, je déménage, je convulsionne, je tremble, bref j’ai la bougeotte quand je jouis, un vrai kangourou, jouisseur au long cours s’éloignant de longues minutes de toutes côtes.

    Alors quoi? Rien, je me suis arrêté depuis deux jours juste pour le plaisir de reprendre, demain, après-demain, je ne sais pas encore
    mais ce que je sais déjà, c’est que les voisins auront intérêt à mettre des boules Quiès cette nuit-là
    et les sismographes de Bruxelles centre vont enregistrer des pics inquiétants

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23168
    bzo
    Participant

    je ne sais pas si beaucoup de gens lisent ce que j’écris, dans ce thread comme on dit en anglais, ce espèce de petit blog dans le blog de notre hôte que je consacre à ma prostatomanie
    mais comme il y a régulièrement des débutants qui débarquent sur ce forum (moi-même il y a quelques mois) et qui posent des questions pour qu’on les aide dans leurs premiers pas ou comment surmonter des obstacles qui les empêchent de progresser, je vais dans ce message essayer de décrire ce qui me parait le plus important à comprendre concernant le massage prostatique, une fois qu’on a compris cela, qu’on en a pris toute la mesure et qu’on le met en pratique,
    le reste n’est plus qu’une affaire de “rewiring” et rapidement vous connaîtrez des orgasmes qui vous feront grimper au plafond (ou vous feront plutôt tomber du lit comme c’est mon cas ces derniers temps…).

    Alors de quoi je parle exactement? C’est une phrase, un concept qui revient régulièrement concernant le sujet qui nous intéresse
    mais l’accent n’est peut-être pas mis assez sur son importance, à quel point il est essentiel même, à quel point en fait le massage prostatique n’est question que de cela, cette phrase c’est “se faire l’amour à soi-même“,
    les plaisirs prostatiques, c’est une affaire de se faire l’amour à soi-même, rien d’autre, rien de moins, rien de plus.

    Pour les débutants, cela peut paraître abstrait, peut-être s’imaginent-ils que c’est juste une phrase comme cela qui ne veut pas dire grand chose au fond et pourtant il dit tout sur le massage prostatique, je vais essayer de développer.

    Pour faire l’amour il faut deux sexes généralement, on peut aussi s’arranger avec moins de deux sexes, tout le monde sait cela. Pour le massage prostatique on va se débrouiller sans aucun.
    A ma gauche on a un masseur prostatique, il va faire office de pénis, à ma droite on a une prostate, taquinée comme il faut, elle va transformer tout l’alentour en un sexe féminin en chaleur aux cent millions de terminaisons nerveuses prêts à irradier le plaisir dans tout votre corps, votre cerveau et vos sens.

    Donc vous êtes l’heureux propriétaire de tout cela, vous êtes en même temps madame et monsieur, seulement monsieur est un petit bout de plastique et madame résiste aux avances obstinément.
    Ce pénis en plastique ou en silicone, servez-vous en comme si votre propre pénis, tantôt de la fougue, tantôt de la lenteur, de la douceur, changez de position, ne restez pas sur le dos comme une planche à repasser, que diable! Faites preuve de toute l’imagination , de toute l’ardeur et de toute la tendresse dont vous êtes capable, sortez le grand jeu, toute la science de l’amour que vous avez acquise, c’est le moment, votre plaisir ne dépend que de cela.

    Il faut entrer dans le jeu de l’amour prostatique avec tout son cœur, ses tripes, son âme, la prostate va aussi rapidement entrer dans le jeu si vous jouez votre part, elle va répondre à tous vos sollicitations, au centuple bientôt, vous, votre sexe en plastique et votre sexe féminin temporaire que vous allez travailler avec toute le raffinement, tout l’animalité dont vous êtes capable.

    C’est juste cela, se lâcher, c’est entrer dans ce jeu, ne plus se poser de questions, juste se faire l’amour comme si on était deux, deux corps entremêlés, ahanant, gémissant, se caressant frénétiquement, amoureusement, cherchant à ne plus faire qu’un, deux qui voudraient ne plus être qu’un, nous on est double , masculin, féminin et vous avez l’occasion unique, merveilleuse, de le vivre en pratique, de le ressentir au plus profond de votre chair.

    Le reste comme je l’ai écrit plus haut, n’est qu’une question de “rewiring” et puis tout de même un peu de technique,
    découvrir ses positions favorites, ses masseurs favoris, pratiquer yeux ouverts ou yeux fermés, comment lubrifier, quand, coussin sous les fesses ou pas (je déteste), etc
    Mais l’essentiel, il tient dans ces quelques mots: se faire l’amour,
    une fois que vous avez compris cela et que vous le mettez en pratique de toutes vos forces et de toute votre âme, vous avez compris 90% de ce qu’il faut savoir.

    allez bonsoir

    en réponse à : En route vers le trésor #23131
    bzo
    Participant

    de toutes les façons cette approche très analytique, méticuleuse et attentive à tous les détails,
    je ne peux que l’encourager, elle a été la mienne et elle l’est toujours d’ailleurs

    il y a toute une technique, très personnelle, unique pour chacun, même si les grands principes restent les mêmes pour tous
    et il faut donc la développer, tout en apprenant à lâcher les chevaux

    trouver ses positions de prédilection, découvrir ses nombreuses variantes qui permettent de ne pas s’enfermer dans une routine qui tuera peu à peu les sensations,
    trouver le masseur qui nous convient le mieux, très important cela, il faut savoir qu’un masseur loué par l’un, pourra n’avoir aucun effet avec un autre

    la bonne technique de lubrification, moi par exemple je déteste lubrifier d’avance, je préfère retirer 3,4 fois le masseur et le ré-lubrifier à chaque fois

    mais encore une fois , parallèlement à cette technique, il faut apprendre à écouter son instinct, apprendre à se lâcher, à se laisser aller, à laisser monter les forces en nous pour nous entraîner dans l’explosion du plaisir

    il faut savoir qu’il n’y a pas de limite
    au plaisir prostatique, donc patience, persévérance et récompense à la clef

    en réponse à : En route vers le trésor #23128
    bzo
    Participant

    @Severus cette recherche de la position idéale est louable mais être constamment en mouvement,
    est l’attitude à prendre selon moi, la position idéale est celle qui répond le plus à l’excitation du moment,
    celle-ci changeant constamment, notre position doit aussi sans cesse s’adapter.

    Bon, il faut dire, j’ai une approche assez atypique des plaisirs de la prostate, la plupart des gens apparemment restent couchés sans trop bouger, de temps à autre ils changent de position,
    moi je l’assimile à une lutte amoureuse, le plaisir prostatique me démultiplie, au plus je suis excité, au plus je suis débridé, membres entremêlés, ahanant et gémissant, bougeant à l’unisson.

    L’instinct est un grand moteur, un acteur indispensable même s’il faut le canaliser par moments, il faut apprendre à le laisser parler

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23127
    bzo
    Participant

    quelle séance encore la nuit passée,
    je suis tombé plusieurs fois de mon lit,
    tellement j’étais excité, hors de moi, tellement je me contorsionnais, le corps divaguant de plaisir,
    me jetant à gauche, me jetant à droite, continuant par terre,
    me cognant au mur, à l’armoire, aux chaises, n’ayant cure, insensible à la douleur
    c’était épique, je suis couvert de bleus ce matin

    bref encore une séance de référence

    yeux ouverts toujours depuis quelques jours mais en fait je me rends compte que dans la réalité il y a une alternance de fait car souvent l’intensité du plaisir me faisait fermer les yeux de longues secondes
    mais dès je m’en rendais compte, je les ré-ouvrais

    et bien sûr désormais constamment sur les coudes ou plus ou moins assis comme positions,
    bien que là aussi de temps à autre le plaisir était tellement intense que je me recouchais
    mais là aussi après quelques secondes je me remettais sur les coudes
    car ces positions me procurent définitivement des angles d’approche plus intéressants de ma petite chatte, euh, de ma prostate

    canicule sur Bruxelles,
    vais aller admirer les corps légèrement vêtus des femmes dans les rues et aux terrasses

    allez bonne journée

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23126
    bzo
    Participant

    ah je suis rassasié, vais aller dormir le corps léger et l’âme paisible, de beaux rêves m’attendent.

    ma prostate, mon petit ange du plaisir ronronne doucement dans son écrin
    en boule comme un chat qui a fait un bon repas

    demain, de nouvelles aventures nous attendent, elle, Carabosse, miss lubrifiant et moi,
    quel attelage, fouette cocher!

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23125
    bzo
    Participant

    allons bon, l’urine a coulé à flots, mes douces, mes chaudes éjaculations jaunes,
    rien de meilleur après un délicieux chapelets d’orgasmes prostatiques

    le temps de prendre une douche, de changer l’alèse sur mon lit,
    de taper ces quelques mots
    et je pars enfourcher à nouveau Carabosse

    je suis dans une forme olympique, je vais en profiter au maximum

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23123
    bzo
    Participant

    ah mes amis, la fête a encore eu lieu ce soir, enfin elle est toujours en cours
    mais il y avait des mots aussi qui me trottait dans la tête,
    alors pour m’en débarrasser, mon masseur attendant sagement dans mon fondement,
    enfin pas si sagement, c’est l’appel de la jungle à tout instant au fond de moi,
    il faut que je me presse de terminer de taper ces quelques mots au clavier
    et que j’y retourne

    masseur, masseur! Désormais tu auras un nom, tu seras ma fée Carabosse
    et je vais te chevaucher toute la nuit,
    la nuit sera blanche, la nuit sera écarlate, la nuit sera de toutes les couleurs,
    tant de moments délicieusement violents et violemment délicieux

    oups, argh, Carabosse…
    il est temps que je rende l’antenne

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23118
    bzo
    Participant

    une séance d’une bonne heure aujourd’hui.
    Si j’étais un sportif, j’écrirai que je viens encore de battre mon record personnel dans ma discipline.
    Record en intensité des orgasmes et leur fréquence,
    en fait après plus ou moins une demie heure, je n’avais plus qu’à ré-appuyer le masseur sur ma prostate
    et je repartais pour un autre tour de manège.
    Toutes mes séances depuis quelques jours se font les yeux ouverts, plus d’alternance actuellement,
    c’est depuis que je suis constamment dans ces positions sur les coudes ou plus ou moins assis.

    Le plaisir par moments était tellement intense, que j’avais l’impression de frôler de la douleur,
    étonnant comme sensation

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23049
    bzo
    Participant

    quelle séance ce soir , mes amis, une petite heure
    mais tout ce que j’ai vécu jusqu’ici, c’est de la roupie de sansonnet à côté.

    Le plaisir prostatique n’a vraiment pas de limite, comment est-ce possible, quelle aubaine en or.

    Dans la continuité de ce que j’ai expérimenté hier, j’ai passé toute la séance sur les coudes
    (voir plus haut pour une description plus précise de la posture),
    cette position peut se tenir en fait sans fatigue durant de très longues périodes,
    ce sont les postures assises qui sont nettement plus fatigantes, aussi je me redressai moins souvent
    et dès que je sentais mes bras faiblir, je me remettais sur les coudes.

    Comment décrire, cette intensité d’un nouveau palier qui me donnait à chaque instant l’envie de hurler ou de pleurer?
    Est-ce spécifique à mon G-Rider et sa tête oblongue qui a d’un côté presque une sorte de bec arrondi
    qui dans ces positions sur les coudes ou plus ou moins assis, permet de rendre folle à ce point ma prostate?
    Il faudra que j’essaie un de ces jours avec un autre masseur, un Progasm par exemple.

    Je n’ai pas encore toute ma tête, je suis encore étourdi, ébahi, sonné, enivré rien qu’à la pensée de ce que j’ai vécu.

    Plus haut j’écrivais que j’en étais arrivé à des orgasmes de plusieurs minutes avec des tremblements et des contractions involontaires et que je savais pas pour l’instant, ce qui m’attendais au stade d’après.
    Maintenant je sais, j’ai eu des instants de complète folie, où je ne savais plus qui j’étais, où j’étais, ce que je faisais, je me rendais compte vaguement dans le lointain que je gigotais beaucoup mais sinon la jouissance m’avait avalé tout cru, il y avait des rayons de lumière partout et je barbotais là-dedans complètement désintégré

    autre chose, après votre séance, osez l’urine.
    je m’explique, après une longue séance fructueuse,
    votre bas ventre, votre sexe sont dans un état d’hyper-sensibilité extrême,
    alors fermez les yeux, laissez vous aller et puis laissez monter l’urine, prenez votre temps,
    cela en vaut la peine, au premier jet, vous allez gémir comme si vous éjaculiez,
    gardez les yeux fermés, sentez le liquide chaud s’écouler sur votre ventre, votre bas-ventre, vos cuisses, vos poils se mouillent, un second jet, vous gémissez à nouveau, le liquide doré s’écoule maintenant sans discontinuité et vous râlez aussi sans discontinuité, sentez la caresse chaude, enveloppante, elle semble interminablement titiller votre peau sur son passage, cerise sur le gâteau de la séance

    petit truc, buvez quelques verres avant de commencer, ce sera prêt en fin de séance
    pour vous offrir une petit bonus d’un plaisir différent,
    il ne vous reste plus qu’à oser

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23039
    bzo
    Participant

    ce matin en me levant je me suis dit, “tiens, si je commençais ma journée par quelques orgasmes”,
    rien de tel pour vous mettre de bonne humeur, aussi tôt formulé, aussi tôt en action
    mais ma prostate semblait avoir d’autres idées sur la question, j’arrêtai un peu dépité après un quart d’heure,
    Ce n’est pas la première fois, en fait je n’ai jamais eu de séance réussie au réveil,
    j’ai déjà essayé trois, quatre fois mais chaque fois pareil.

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23038
    bzo
    Participant

    mes séances d’aujourd’hui, deux courtes , une d’une demie heure puis une d’un quart d’heure,
    se sont toutes déroulées soit couché partiellement, sur les coudes le haut du corps relevé, soit plus ou moins assis avec les bras en arrière pour porter le poids du corps en partie.
    C’est stupéfiant à quel point dans ces positions les angles de pression sur la prostate m’arrachent des sensations plus fortes, c’est bien simple , en moins d’une minute j’avais mon premier orgasme, trente secondes après les premières contractions involontaires et celles-ci m’ont accompagnés constamment jusqu’à la fin,
    par moments avec une puissance, j’avais l’impression d’être dans la gueule d’une mitraillette,
    tout crépitait, tout tressautait, tout tremblait autour de moi, en moi. Je n’avais pas encore eu d’orgasme aussi fort

    le revers , c’est je ne pouvais pas rester bien longtemps, 1 minute , 1 minute et demie tout au plus
    dès que l’orgasme arrivait car dans ces positions avec les contractions involontaires,
    c’est une véritable danse de saint-guy que j’effectuais dans mon lit,
    comme une marionnette possédée, désarticulée, je bougeais dans tous les sens au gré de mes contractions
    et mes bras fatiguaient rapidement, je devais me recoucher, m’arrêter une minute ou deux avant de reprendre

    bon, j’ai pris une résolution, je vais faire de la musculation des bras,
    la perspective de pouvoir rester de longues minutes à orgasmer ainsi,
    je suis prêt à tous les sacrifices

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23016
    bzo
    Participant

    plus haut j’ai écrit qu’il fallait rester relâché…
    cela revient souvent sous la plume de ceux qui écrivent sur les ébats avec leur prostate
    mais qu’est-ce que cela veut dire exactement?

    En fait, cela peut engendrer de la confusion,
    car enfin le plaisir, c’est des tensions qui se font et se défont
    et puis l’orgasme, c’est un pur-sang qui se cabre, c’est la tectonique des plaques,
    des continents brusquement qui se mettent en route, qui s’entrechoquent comme des auto-tamponneuses
    et nous, au milieu de tout cela il faudrait qu’on reste détendu?
    la vérité c’est qu’on est souvent cambré à la limite de la rupture,
    pressé comme un citron dans un presse-jus sur lequel on appuie de toutes ses forces.

    Je dirai plutôt qu’il faut se laisser aller à ce qui se passe,
    il y a une tempête sous le capot, il faut faire comme si de rien n’était
    et se laisser entraîner par ce grand tourbillon sans arrière-pensée
    accueillir les tensions du plaisir, de la jouissance sans se raidir car ce grand capharnaüm qui s’éveille,
    c’est aussi un château de cartes prêt à s’écrouler
    (mais prêt aussi à repartir au quart de tour, une fois qu’on a l’expérience)
    au début on ne pourra pas s’empêcher car la surprise est trop grande à tout bout de champ,
    quand on ressent ses premières contractions involontaires par exemple, tout est sujet à surprise au début
    mais c’est de bonne guerre, ce sont des étapes nécessaires

    allez bonsoir

    en réponse à : Ma première expérience avec un Aneros #23014
    bzo
    Participant

    Je ne suis pas médecin
    mais je serai vraiment étonné, je suis même prêt à mettre ma main au feu,
    qu’il n’y a aucun dommage neurologique ou autre à craindre

    non, le plaisir, la jouissance avec le massage de la prostate n’ont pas de limites, cela peut effrayer,
    j’ai aussi connu de ces séances où les orgasmes de plusieurs minutes s’enchaînaient les uns après les autres
    à partir d’un certain moment, je n’avais plus à qu’à appuyer légèrement le masseur sur la prostate
    et immédiatement je repartais dans un autre orgasme, c’est le genre d’expérience qui vous marque
    mais contrairement à toi, je n’y vois aucun problème, aucun danger que du contraire,
    je n’y vois qu’une incitation à persévérer et à multiplier les séances autant que possible

    il n’y a pas de limite… Même pas de limite d’âge ,
    alors que pour durcir l’engin durablement, le viagra sera nécessaire depuis longtemps,
    la prostate elle, défiant le temps, continuera sans signe de fatigue à fournir des orgasmes à la queue leu leu,
    pour qui la presse avec diligence et expertise

    en réponse à : Émission de liquide #23013
    bzo
    Participant

    moi je vais m’y mettre dès ce week-end, toujours curieux là où il y a des orgasmes à dénicher

    si on voit cela d’un côté pratique et pragmatique, c’est aussi bien intéressant, plus besoin de masseur, de lubrifiant, de piles pour le vibrateur, c’est donc plus hygiénique, plus économique,
    plus discret aussi, je suis toujours un peu inquiet qu’un jour ma femme de ménage tombe sur ma boîte à masseurs, cela risque de la traumatiser, la pauvre

    plus sérieusement, je suis excité d’expérimenter cela
    maintenant que mon expérience avec des masseurs a atteint un certain stade
    où je me sens sûr de ce que je fait et des résultats que je peux obtenir, je me sens prêt à essayer sans

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23005
    bzo
    Participant

    petit séance aujourd’hui, fatigué, deux beaux orgasmes tout de même,
    j’ai bien senti l’arc du plaisir se tendre lentement en moi,
    j’ai senti à quel point il est important de rester relâché pour accomplir au mieux cette action,
    d’alterner des moments plus frénétiques où on laisse parler son instinct
    et des moments plus contrôlés de suave lenteur

    mais la flèche elle, part toute seule, les doigts qui la tiennent, ne nous appartiennent pas.
    en attendant le moment où tout va devenir vibrations et tremblements, fendant l’air,
    j’accomplis les gestes du rituel enfoui dans la chair des hommes

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23003
    bzo
    Participant

    @Andraneros merci d’avoir rectifié, je confirme 11cm de circonférence et un tout petit peu plus de 4cm de diamètre (41 mm)
    mais sa tête est plutôt de forme oblongue qu’arrondie

    c’est un redoutable bélier mais capable d’une douceur infinie

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23000
    bzo
    Participant

    @aneveil
    Alors le G-Rider est sans conteste mon masseur le plus imposant et le plus difficile à insérer de par ses mensurations, la longueur réellement insérable est de 10,5 cm, la circonférence maximum est de 11cm.
    Si tu peux insérer sans problème le Progasm, tu n’auras pas de difficulté avec mais si déjà celui-là est problématique,
    alors avec le G-Rider tu auras encore plus dur.

    Je l’utilise sans vibrateur, si tu aimes le Progasm, alors tu va adorer le G-Rider.
    Plus facile à bouger, plus précis, malgré sa masse et ses deux butées assez larges et pas totalement rigides.
    Sa tête en forme de tête d’alien (les amateurs de science-fiction saisiront tout de suite…)
    est diabolique d’efficacité

    Son silicone est de moindre qualité que celui du Aneros Vice cependant
    mais alors son vibrateur est une absolue catastrophe, sans doute le plus mauvais vibrateur de tous les temps,
    dans les modèles d’un certain niveau de prix en tout cas.
    Non étanche, il faut donc faire très attention à l’eau. Déclenchement aléatoire, le petit bout de plastique qui lui sert de poussoir, va se détacher très rapidement, déjà avec il faut appuyer plusieurs fois pour le mettre en route ou pour changer de mode de vibration mais sans, cela tient de l’exploit, il faut insérer son ongle au bon endroit, bref pas très pratique quand on est en plein action.

    Mais de toutes les façons, quand bien même tu parviendrais à le préserver de l’humidité, quand bien même le poussoir qui se détache, ne te dérangerait pas trop, il tombera en panne malgré tout, assez rapidement.
    Donc si tu voudrais l’acheter pour son vibrateur, passe ton chemin, c’est une catastrophe absolue, indigne pour un masseur de ce prix.

    Par contre si tu peux insérer sans problème le Progasm et que tu es prêt à l’utiliser sans le vibrateur (j’y place une pile juste pour la rigidité de la hampe), alors c’est un must absolu, je ne peux pas m’en passer, j’en ai déjà deux
    et je guette sur Amazon Allemagne quand il y aura une démarque sérieuse dessus pour m’en acheter tout un stock
    car je ne connais actuellement rien sur le marché qui approche de près ou de loin ce que ce masseur me procure comme sensations.

    Si tu veux absolument un vibrateur, pourquoi ne pas prendre tout simplement l’Aneros Vice, c’est le meilleur dans sa catégorie, incontestablement

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #22998
    bzo
    Participant

    j’aime écrire, j’aime lire, j’aime le sexe, j’aime les jeux avec ma prostate.
    La nuit j’adore dormir et rêver mais j’aime encore plus pratiquer les activités précédemment énumérées.
    Donc me voici, rédigeant mes petits billets à propos de mes activités au lit,
    ses hauts et ses bas, ses mille et un gémissements et les mille et une façons de les obtenir.

    On a eu la canicule aujourd’hui à Bruxelles
    et la chaleur est toujours étouffante vers minuit dans mon studio du centre de la ville,
    je n’ai pas anticipé la situation, sorti les deux ventilateurs du placard,
    dès lors, m’étant mis au lit avec gourmandise pour ma séance quotidienne, je me suis retrouvé vite en nage,
    étant donné que je bouge beaucoup, que je dépense beaucoup d’énergie, sans cesse en mouvement,
    j’ai préféré arrêter après un bon quart d’heure et quelques petits orgasmes tout de même(2,3 de moins d’une minute chaque), je n’arrivais vraiment pas à faire décoller la fusée, l’impression que la chaleur m’alourdissait, anéantissait tous mes efforts.
    En principe orage cette nuit et demain des températures nettement plus propices à mes jeux nocturnes.

    Un de ces jours il faudra que j’écrive l’éloge du Nexus G-Rider qui est devenu l’unique masseur auquel je donne accès à mon fondement pour aller taquiner ma prostate.

    Allez bonsoir

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