Toutes mes réponses sur les forums

20 sujets de 5,061 à 5,080 (sur un total de 5,137)
  • Auteur
    Articles
  • en réponse à : Journal d'un prostatomane #23409
    bzo
    Participant

    cela fait plaisir de lire que quelqu’un là-bas dans le vaste monde du réel
    vit des expériences similaires,
    bienvenu sur le forum

    le concept de “yeux ouverts, yeux fermés”, deux types de sensations, n’est qu’un élément parmi d’autres
    qui contribuent au plaisir prostatique
    mais c’est une corde de plus à notre arc clairement,
    je suis actuellement dans l’expérimentation de la meilleure façon de l’intégrer dans ma pratique,
    de la rendre sans effort

    mais les possibilités sont très intéressantes et vastes:
    fusionner les deux types de sensations en un flux de sensations,
    ce qui est ressenti, je l’ai vécu, quand c’est réussi,
    comme d’entièrement nouvelles sensations, avec une intensité toute nouvelle aussi,
    étonnant, assez extraordinaire en fait,
    ou alors tantôt de favoriser l’une en injectant à intervalles plus ou moins réguliers de l’autre,
    selon notre envie du moment,
    on peut avoir une bonne séquence yeux fermés où on n’a plus du tout envie
    de les ouvrir assez longuement et vice et versa, etc

    pas évident, je trouve, car il s’agit de faire passer les commandes
    d’ouvrir ou de fermer les yeux de l’esprit vers le corps,
    du niveau conscient vers plus bas, trouver des automatismes en quelque sorte,
    j’espère que je m’exprime d’une façon suffisamment claire,
    de façon à ce que notre concentration ne soit pas perturbée
    et que nous puissions rester entièrement concentrer sur le plaisir,
    que notre cerveau ne reste qu’un réceptacle pour les sensations
    sans aucune pensée parasite

    trouver des automatismes donc, une intégration, j’y travaille,
    peut=être simplement le temps suffira, s’habituer à cette action d’ouvrir et de refermer les yeux
    en fonction de ce qu’on éprouve ou de ce qu’on a envie d’éprouver

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23340
    bzo
    Participant

    courte séance d’un vingtaine de minutes encore hier dans la nuit mais elle a été extraordinaire à bien des égards

    l’alternance régulière, plus ou moins rapide des moments yeux fermés, yeux ouverts
    a complètement fusionné les deux types de sensations que je décris longuement dans le message précédent
    pour former quelque chose de nouveau, de très excitant, aux potentialités inouïes

    le galop intense aux sensations très vives yeux ouverts, la palette plus variée , plus nuancée et plus raffinée
    des sensations yeux fermés, le crescendo , la montée en puissance du plaisir aussi,
    tout était là dans un même flux de sensations, certes encore un peu chaotique et mal maîtrisé,
    le moteur a eu quelques ratés

    à mon grand étonnement et éblouissement,
    je me suis senti comme Christophe Colomb mettant les pieds sur un nouveau continent
    car ce ne sont pas juste deux types de sensations qui s’ajoutent les uns aux autres,
    leur fusion a quelque chose d’exponentiel, un débridage de la moto soudainement,
    une mise à ma disposition d’une puissance et de sensations insoupçonnées

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23338
    bzo
    Participant

    je suis tombé du lit, ce qui chez moi, est toujours un très bon signe.

    A force de gigoter et de me tordre dans tous les sens, propulsé par mon hélice de masseur
    la tête et une partie du corps ont finit par dépasser de plus en plus du lit,
    au fur et à mesure que je glissais inexorablement,
    la pensée qu’il faudrait que je réagisse, ré-émergeait régulièrement
    mais était aussitôt emporté à nouveau par la furie des flots,
    en ces moments-là, le plaisir était un capitaine fou à la barre
    et il aurait pu y avoir tous les rochers du monde à quelques encablures de la proue, il n’en avait cure…

    séance de plus ou moins 45mn. Les 30 premières se sont déroulées les yeux fermés,
    j’ai redécouvert les plaisirs subtils de pratiquer ainsi,
    certes les sensations sont moins vives mais aussi beaucoup plus subtiles et variées
    et surtout il y a un vrai crescendo, une montée en puissance du plaisir, se concluant par le point d’orgue de l’orgasme.

    Ces derniers temps j’ai peut-être abusé des séances yeux ouverts,
    si j’osais une comparaison équestre pour les différencier,
    yeux ouverts, c’est une chevauchée sauvage, un galop effréné sans selle où l’on fait corps avec sa monture
    cependant les sensations sont assez monocordes, puissantes mais peu différenciées.
    Dès la première pression sur la prostate je suis près de l’orgasme et ne m’en éloigne finalement peu,
    c’est constamment orgasmique en quelque sorte, j’en ai peut-être trop abusé, cela explique peut-être aussi en partie mes deux crises-pannes de ces dernières semaines.

    Yeux fermés, c’est une ballade plus raffinée, tantôt au petit trot,
    tantôt on accélère, jusqu’à être au galop finalement,
    la selle est en place, les sensations sont moins agressives, moins envahissantes, il y a une complicité tranquille mais néanmoins réelle avec la monture. Mille nuances, une palette aux couleurs variées, il faut être plus patient pour les ressentir.
    Et surtout il y a cette montée en puissance du plaisir, je me rends compte que cela m’avait réellement manqué.

    Le dernier quart d’heure a été le plus intéressant. Pris d’une soudaine inspiration, j’ai recommencé à alterner les moments yeux ouverts et les moments yeux fermés,
    et là j’ai compris que c’était la bonne voie, qu’il y avait moyen ainsi d’unir les deux types de sensations.
    Partir dans un galop yeux ouverts et à des moments stratégiques les refermer pour leur injecter de la nuance, de la variété, freiner un peu pour repartir de plus belle.
    Ou bien rester les yeux fermés, mettre en place le délicieux crescendo aux mille nuances puis ouvrir les yeux régulièrement pour instiller des moment de fureur, de sauvagerie, instiller la puissance du galop et booster la montée en puissance comme on appuierait soudainement à fond la pédale de gaz d’un bolide.

    Le territoire s’agrandit exponentiellement, ce n’est pas un simple ajout , ce sont des potentialités énormes de plaisir à explorer, j’en suis excité à l’avance, l’été va être chaud, très chaud.

    Allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23337
    bzo
    Participant

    une fois n’est pas coutume, je vais écrire un message avant ma séance quotidienne, au lieu de l’écrire après

    le doute, l’incertitude peuvent être destructeurs dans notre pratique.
    je l’ai vécu dans ma chair ces dernières semaines,
    deux fois en un assez court laps de temps, j’ai connu une sorte d’éclipse totale de sensations.

    La première a été déclenchée sans doute par 5,6 jours d’arrêt de massage prostatique,
    je m’y étais astreint par curiosité pour vérifier si quand je reprendrai,
    mes sensations et mon plaisir seraient décuplés, cela a été tout le contraire,
    j’ai perdu mes repères en un temps record, je me suis affolé, je me suis bloqué
    et tout s’est envolé en fumée malgré mes centaines d’orgasmes au fil des mois depuis le début de l’année
    et donc une pratique quotidienne avec un succès certain, une technique bien au point
    et malgré tout cela, je me suis retrouvé gros Jean comme devant.

    La seconde fois, par un concours de circonstances,
    ayant commencé à prendre un complément alimentaire qui fait beaucoup de bien à mon genou mal au point
    mais qui a une assez mauvaise réputation sur certains forums concernant ses effets négatifs sur la libido,
    je m’en suis cru victime mais ce n’était qu’une répétition du même processus décrit plus haut en fait.

    La nature même du plaisir prostatique est éminemment volatile, fragile
    malgré la force extraordinaire des orgasmes qu’on peut éprouver, leur durée aussi, parfois de plusieurs minutes, leur enchaînement extraordinaire certaines fois, l’un après l’autre pendant de longues périodes, ce plaisir très similaire à tous les points de vue au plaisir féminin, sans doute du fait qu’il est tellement enfoui en nous, tellement difficile à éveiller, tellement étranger finalement à ce que nous sommes, un autre nous,
    il est voué à rester un colosse au pied d’argile qu’un souffle néfaste, vicieux peut renverser.

    J’ai réussi à activer en moi un mécanisme d’auto-destruction diaboliquement efficace.
    Il suffit que je pense “est-ce que j’éprouve vraiment du plaisir?”, cette pensée est accompagnée pour l’instant en moi
    par une capacité inhibitrice d’une redoutable efficacité, j’ai été désemparé et sans réponse durant un certain nombre de jours avant de comprendre ce qui m’arrivait exactement et de refaire surface, de me débloquer et aujourd’hui , je crois, avoir trouvé définitivement la parade.

    Rien de bien extraordinaire, je l’ai déjà évoqué plus haut, je ne prétends pas avoir mis au point une panacée universelle qui fonctionnera pour tous ceux qui souffrent de perte de sensations, d’incapacité à jouir
    malgré des mois, voire des années de pratique.

    Je réalise en fait, que ma recette nécessite d’avoir eu avant une longue période de succès dans la pratique prostatique comme je l’ai eue, d’avoir aussi une technique bien huilée sur laquelle s’appuyer.
    Hier, avant-hier, durant mes séances, j’ai régulièrement encore eu de ces “passages à vide”, j’ai appris désormais à les identifier et sait désormais comment réagir, à savoir en fait, ne pas réagir, faire comme si de rien n’était, continuer à appliquer ma technique bien rodée, ne pas m’affoler et essayer toutes sortes de choses inhabituelles qui n’auront d’autre effet que de m’éloigner encore plus du plaisir prostatique qui prend un malin plaisir à jouer à cache-cache avec moi.

    La nature élusive du plaisir prostatique, son mystère qui ne sera jamais vraiment percé,
    pourquoi la prostate peut-elle tout cela? Nous forcera constamment à remettre en question l’acquis.
    Cela fait partie du jeu, de l’aventure , cette part miraculeuse, caverne d’Ali Baba emplie de plaisirs
    qui en principe étaient étrangers à notre nature masculine s’offre à nous, à nos sens émerveillés,
    on croit le chemin acquis, on s’y habitue, on le prend les yeux fermés, sifflotant, les mains dans les poches durant des mois puis un jour, apparemment sans raison,
    on est comme perdu dans le labyrinthe cherchant désespérément son chemin

    en réponse à : Glycérine et lubrifiants, un danger pour la santé ? #23335
    bzo
    Participant

    Quelqu’un peut-il nous dire si le contact régulier de la glycérine avec le rectum peut poser problème ?

    Et comment que la glycérine pose problème!
    A éviter comme la peste, il entraîne des problèmes digestifs à très courte échéance, en d’autres mots
    tu vas avoir des problèmes de “liquidités” durant la séance , enfin cela a été mon cas.

    Personnellement j’utilise l’Aqua Comfort de Swede qui me donne entière satisfaction

    Il y a le Session d’Aneros qui est sensé ne pas en contenir
    mais j’ai le même genre de problème avec, je suppose donc qu’il y a un produit similaire à la glycérine dedans

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23331
    bzo
    Participant

    ah mes amis, je sors de ma séance,
    tout est oublié, tout est pardonné, ma prostate et moi, on est réconcilié

    dans ces moments d’intense excitation prostatique,
    tout le fondement n’est plus qu’un fourreau de chair palpitant, enivré de plaisir,
    aux millions de terminaisons nerveuses réveillées et sur-sollicitées,
    cette vulve que la prostate fait naître dans la chair
    qui fait que je me tords sur mon lit comme une femme en chaleur laissant libre cours à son corps,
    que Carabosse, ma petite fée du logis avec sa brosse à reluire en silicone noir,
    astiquait, fouillait, titillait dans ses moindres recoins ce soir,
    tout à la fois cajoleuse, douce et si délicieusement brutale

    divine pénétration, vague après vague, le mystère de la résurrection de la chair,
    le miracle de la prostate crucifiée sur le masseur faisant monter au septième ciel,
    l’orgasme écartant les eaux de la Mer Morte pour laisser passer les peuples élus dans la chair

    les positions assis ou semi-assises, sont difficiles à tenir longtemps
    car elles nécessitent d’être plus ou moins penché en arrière
    pour déplacer une grande partie du poids du corps sur les bras,
    de façon à libérer un peu d’espace en-dessous des fesses
    qui permette de continuer à mouvoir le masseur, que celui-ci ne se bloque contre le lit
    mais ces positions sont extrêmement gratifiantes,
    les angles de pression sur la prostate qu’on obtient, sont tout simplement divins,
    on se sent comme écartelé par un dard qui fouille nos entrailles suprêmement

    et si en plus vous levez les deux jambes,
    en appui donc juste sur l’arrière des fesses et sur les bras dans le lit,
    cela devient encore plus difficile mais là cela devient carrément de la jouissance non-stop,
    c’est bien simple quand je me mets dans ces positions quand je suis déjà suffisamment échauffé,
    c’est quasiment un orgasme assuré autant de temps
    que je suis capable de resté dans ces positions hautement instables et éreintantes,
    d’autant plus que la plupart du temps le corps est pris de soubresauts et de contractions involontaires rapidement,
    ce qui augmente bien sûr la jouissance mais rend l’exercice encore plus difficile

    je fais de la gymnastique tous les jours spécialement pour renforcer mes bras,
    j’espère dans quelques mois cueillir les fruits de ce travail de longue haleine,
    à savoir pouvoir rester de longues minutes dans ces positions
    qui sont les plus extraordinaires que je connaisse

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23316
    bzo
    Participant

    mon genou va très bien , merci, je refais un peu de sport et de yoga
    et cerise sur le gâteau, j’ai une courte mais délicieuse séance aujourd’hui

    château de cartes, vous avez dit château de cartes?
    je ne sais pas pour vous mais je nage en pleine confusion certains jours sur certains sujets,
    ainsi sur la foi de quelques témoignages sur un forum attribuant des propriétés malencontreuses sur la libido
    à un complément alimentaire que je prends pour mon genou,
    j’avais mis sur son compte une nouvelle éclipse totale de sensations et de plaisir prostatique,
    je l’avais accepté comme une fatalité nécessaire.

    Mais là aujourd’hui, tout cela a été splendidement démentit, le voile funeste s’est déchiré
    et je l’ai balancé à la poubelle rageusement,
    tout parcheminé par cette traversée du désert, j’ai eu l’infiniment heureuse surprise ce soir
    de sentir le nectar à nouveau couler dans mon gosier

    j’ai cru que j’allais défaillir quand j’ai commencé à sentir du plaisir à nouveau,
    il m’a fallu à nouveau briser la glace, même système que la dernière fois,
    m’en tenir aux techniques éprouvées acquises au cours des mois, ne pas me disperser,
    ne pas m’affoler de l’absence de plaisir
    et continuer ma séance comme si tout fonctionnait à 100% avec des sensations bien présentes.

    Bon dieu que c’était bon le premier orgasme!
    Je tremblais comme une feuille et j’étais au bord des larmes
    tellement j’étais heureux d’avoir joui à nouveau.
    J’avais oublié à quel point cela pouvait être divin, délicieux.
    Après les sensations sont devenues de plus en plus constantes et de plus en plus fortes.

    Je suppose que ce genre d’orages devait fatalement venir un jour ou l’autre dans mon parcours
    qui grosso modo jusqu’ici s’était passé assez idéalement.

    Allons bon de retour sur les rails, fonçons!

    allez bonsoir

    en réponse à : Avis sur le Nuo de Je Joue et le Loki Wave de Lelo ? #23308
    bzo
    Participant

    pour moi entre le Loki et l’Aneros, il n’y a pas photo,
    seul le second entre en ligne de compte

    pourquoi? parce qu’il permet d’être utilisé sans les mains,
    cette notion, à mes yeux, est essentielle pour le plaisir prostatique,
    on ne peut atteindre cette sensation de se faire l’amour
    que si on utilise que les muscles du périnée, anus, etc pour bouger le masseur

    sans cela la magie n’opère pas, en tout cas pas chez moi,
    donc tout ce qui est masseur vibrant ou pas qui nécessite la main,
    à oublier, je dirai

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23267
    bzo
    Participant

    merci

    je prends mon mal en patience,
    j’attends un autre complément alimentaire des Etats-Unis
    qui , je l’espère, sera tout aussi efficace pour mon genou, voir plus
    mais sans les effets négatifs sur ma libido

    et en attendant, je suis en mode sourdine,
    j’y pense comme à un paradis perdu à mes séances d’il y a pas si longtemps
    où il me fallait moins d’une minute en général pour avoir mon premier orgasme
    et puis après des séquences de plus en plus intenses, débridées et en roue libre

    mais ce foutu genou est dans un sale état, je dois en passer par là, je crois,
    si je veux retrouver un peu d’autonomie et enrayer l’inflammation constante du genou

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23257
    bzo
    Participant

    j’ai mis mes séances en sourdine pour l’instant,
    je prends actuellement un complément alimentaire pour mon genou,
    mon pauvre genou si mal en point,
    au point d’être obligé depuis des années d’arrêter tout sport et le yoga aussi

    après de multiples essais et des centaines d’euros dépensés, j’ai enfin trouvé un produit qui soulage sérieusement la douleur
    et me permet même de reprendre un peu de sport et de yoga,
    gros inconvénient que j’ai découvert ces derniers jours, il a un effet sur la libido,
    mauvais effet, il l’anesthésie passablement.

    Je continue malgré tout de faire une courte séance d’une demie heure par jour,
    histoire de ne pas perdre la main en quelque sorte
    et aussi tout de même j’éprouve un peu de plaisir, hier soir j’ai même réussi à avoir un orgasme, un assez délicieux même

    cela va encore durer quelque temps, je sais maintenant dans quelle direction chercher un complément alimentaire efficace pour mes douleurs
    et j’ai bon espoir dans les semaines à venir d’en trouver un autre qui soit efficace pour le genou et n’agissant pas négativement sur ma libido

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23248
    bzo
    Participant

    courte séance avant d’écrire un peu ici et d’aller me coucher,
    courte mais très enrichissante car aussi désormais entièrement sous pilote automatique

    c’est une étonnante et très excitante sensation,
    comme si quelqu’un d’autre avait pris possession totalement de mon corps,
    en fait plutôt c’est mon corps qui a pris possession totalement de mon corps et du reste …
    Je est un autre, a écrit un jour Rimbaud…

    Dans les jours à venir, j’anal Lyserai tout cela plus en détail
    car je sens que je viens de franchir une étape essentielle dans mon parcours,
    ma courte séance d’aujourd’hui, la facilité avec laquelle j’ai atteint certaines intensités,
    la diversité des sensations qui a encore considérablement augmentée,
    un degré de relâchement total ayant côtoyé des tensions extrêmes en total symbiose sans se gêner,
    tout cela le confirme et laisse augurer d’un weekend chaud, chaud car j’aurai plus de temps devant moi
    pour m’envoyer au septième ciel et encore au-delà

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23247
    bzo
    Participant

    belle étape de franchie hier,
    pour la première fois toute ma séance a été comme sous pilote automatique,
    j’entends par là que tous mes mouvements, tous mes changements de position,
    les milles petits faits et gestes, changer l’angle d’attaque du masseur sur la prostate, soulever une jambe, une fesse, accentuer la pression, la diminuer, etc,
    toute cette activité a été entièrement pilotée par le plaisir, comme si je n’étais plus du tout aux commandes,
    mon corps improvisait au gré de mes sensations, fort de toute la technique que j’ai acquise au cours des mois
    et mon esprit semblait tout entièrement absorbé uniquement à n’être plus qu’un réceptacle, une éponge.
    Quelques rares pensées me traversaient de temps à autre l’esprit mais je les poussais vers la sortie vite fait, bien fait,”désolé, soirée privée , passez votre chemin!”

    Cela a été possible car je ne m’impose plus aucune contrainte de posture, couchée, assise ou sur les coudes,
    si tout de même une que j’ai gardée, je me force à rouvrir les yeux quand je prends conscience que ceux-ci sont fermés car sous l’effet de l’intensité du plaisir, ils se referment régulièrement.

    J’aime jouir les yeux fermés mais le reste du temps mon expérience récente me conduit pour l’instant à les garder ouverts, le plaisir est plus vif, plus contrasté alors que quand l’orgasme vient, il est plus délicieux de le goûter en son fort intérieur, sentir les rouleaux du plaisir déferler partout en soi

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23225
    bzo
    Participant

    délicieuse séance aujourd’hui,
    j’ai retrouvé toutes mes sensations,
    dès la première pression sur la prostate un plaisir intense et un premier orgasme pas très longtemps après.

    une première partie de 45 minutes environ dont le dernier quart d’heure s’est déroulé dans ce que je qualifierai d’état de transe orgasmique cela se traduisait par une sorte d’intensité tremblante traversée d’ondes de chaleur dans la zone du bassin, tantôt en expansion, tantôt qui se rétractait

    J’ai senti le besoin d’uriner, j’ai enlevé Carabosse doucement,
    toujours cette impression quand elle est restée longtemps en place qu’elle a fusionné aux chairs environnantes et qu’il fallait l’enlever avec toutes les précautions possibles pour ne pas arracher la chair avec.

    Puis je me suis laissé envelopper par la caresse chaude et toujours cette extraordinaire sensation d’éjaculer, non pas quelques jets mais des torrents, des délicieuses caresses sur mon ventre, mon bas ventre, cela a duré 5 bonnes minutes. Il a fait très chaud aujourd’hui sur Bruxelles, j’avais beaucoup bu…

    J’ai été prendre rapidement une petite douche, changé l’alèse imperméable sur mon lit puis j’ai repris ma séance où je l’avais interrompue, une bonne demie heure encore dont la plus grande partie encore dans ce délicieux état de transe orgasmique.

    A un moment donné je me suis coincé la tête entre le lit et la table de nuit, ça faisait assez mal mais je n’arrivais pas à arrêter ou au moins à bouger pour me décoincer la tête car la jouissance était trop forte et elle était aux commandes de mon corps, détail piquant après coup je me suis rendu compte que la douleur que je ressentais au niveau du crâne
    alimentait mon plaisir, l’exacerbait. Petit moment improvisé de sado-masochisme .

    Allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23223
    bzo
    Participant

    Le premier jour, Dieu créa la lumière.
    Le second jour, Dieu créa le ciel
    Le troisième jour, Dieu créa la végétation
    Le quatrième jour, Dieu créa le Soleil, la Lune et les étoiles
    Le cinquième jour, Dieu créa les animaux
    Le sixième jour, Dieu créa l’homme à son image, et la Femme d’une côte de l’homme.
    Le septième jour, il se reposa, satisfait de son travail.
    Le huitième jour, Dieu se rendit compte qu’il avait été un peu injuste avec les hommes,
    alors il donna le plaisir prostatique.

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23211
    bzo
    Participant

    l’angoisse de la page blanche de l’écrivain…
    la peur du trou de mémoire de l’acteur de théâtre…
    la crainte du prostatomane, prostatolatre, prostatophage et prostatophile de perdre ses sensations …

    j’en sors, cela n’a duré heureusement que deux jours, j’ai résolu mon blocage assez simplement finalement,
    ma recette a été de faire comme si de rien n’était, comme si tout fonctionnait comme d’habitude,
    je me suis même surpris à gémir, à ahaner, à râler aux moments où je savais que d’habitude je ferais tout cela,
    je simulais en quelque sorte, je me stimulais plutôt en quelque sorte et cela a marché,
    j’ai vaincu l’appréhension et le doute qui m’inhibait et ma pratique en est sortie enrichie, de nouvelles perspectives s’offrent désormais à moi

    être à l’écoute de son plaisir,
    c’est dans la pratique de notre discipline, mes chers condisciples prostatomanes, prostatolatres, prostatophages et prostatophiles, la clef de notre succès.
    Etre à l’écoute de son plaisir, c’est en saisir les innombrables et constantes variations d’intensité et savoir s’y adapter.
    L’intensité du plaisir diminue? On ralentit le rythme, on se fait plus attentionné pour saisir les moindres nuances, en faire naître d’autres comme d’éphémères bulles qui remontent à la surface et déjà ont disparues à peine écloses.

    L’intensité du plaisir revient? Nous accompagnons, nous précédons même si on a été suffisamment alerte, le mouvement s’accélère, les hanches ondulent de plus en plus lascivement, des changements rapides de position et d’angles de pression sur la prostate, plus fort le masseur, plus vite le masseur! Petit mouvement latéral maintenant comme une feinte de Messi ballon au pied, sans cesse varier est une autre clef de notre succès, mes chers condisciples prostatomanes, prostatolatres, prostatophages et prostatophiles.

    L’orgasme arrive? Dites-toi bien que le train express passe en gare sans s’arrêter, à toi de ne pas le rater, c’est le moment de lâcher tous les chevaux et de sauter à bord de ce monstre vrombissant au fond de tes entrailles, filant à toute allure, tanguant et tremblant frénétiquement comme s’il allait exploser à tout moment.

    Etre à l’écoute de son plaisir, c’est dialoguer avec sa prostate.
    Un dialogue intime, amoureux. Le plaisir naît et c’est mystérieux, cela tiendra toujours du miracle,
    mes chers condisciples prostatomanes, prostatolatres, prostatophages et prostatophiles.

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23203
    bzo
    Participant

    bien en selle à nouveau désormais
    et il y a du nouveau…
    Comme je le pressentais hier, cette mini-crise que j’ai du surmonter me fait repartir sur des bases nouvelles, élargies.

    les vagues du plaisir, expression banale… Mais qui dit houle, dit creux de vague, dit sommet de vague, c’est très important à comprendre cela car ce sont les creux de vague qu’il faut apprendre à bien négocier pour faire durer le plaisir, le faire monter en intensité durablement sans lassitude jour après jour.

    Ma séance d’aujourd’hui à surtout consister à explorer ces nouvelles sensations, ces nouveaux rythmes que j’ai découverts en moi grâce à la prise de conscience de ce phénomène de houle des sensations du plaisir prostatique.
    La plus spectaculaire nouveauté, c’est la faculté toute neuve que j’ai acquise de déguster,
    dégustation lente et systématique du plaisir généré. A certains moments de lentes, de très lentes pressions de Carabosse, ma petite fée en silicone contre ma prostate chérie, j’avais l’impression d’être comme avec un vieux vin dans la bouche, de le garder longuement dans la gorge, de m’en gargariser pour en découvrir toutes les arômes, toutes les senteurs, toutes les nuances avant de l’avaler, je ralentissais encore le mouvement, j’étais quasi à l’arrêt pour prendre le temps de tout bien ressentir, ne plus perdre aucune goutte du plaisir et non plus me précipiter vers de nouvelles sensations quand je sentais un creux de vague.

    C’était délicieux, des rythmes lents et calmes avec des sensations nouvelles, très nuancées qui alternaient avec des moments de frénésie plus classiques chez moi avec enchaînements d’orgasmes plus ou moins longs où j’étais en roue libre.

    Les creux de vague en fait après un certain temps, ce ne sont même plus vraiment des creux de vague, juste une autre façon plus tranquille de goûter le plaisir, une alternance saine qui respecte le rythme naturel de la houle, laissant ainsi le temps à son imagination, à son instinct et à ses sens de s’emballer à nouveau

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23201
    bzo
    Participant

    allons bon, cela s’est nettement mieux passé aujourd’hui, je suis rassuré.

    Une analyse à posteriori, (une analelyse à postérieur rit…)
    me permet de retracer assez précisément l’historique de ce qui s’est passé pour que j’en arrive là hier à terminer ma séance comme au fond d’un puits asséché loin du bain de jouvence orgiaque auquel je m’étais habitué avec ma prostate chérie
    et n’ayant pas éprouvé le moindre misérable petit orgasme durant toute la séance.

    Pour quelqu’un comme moi qui était habitué à pratiquer tous les jours depuis des mois,
    une semaine d’arrêt a eu comme effet que j’ai perdu quelque peu mes repères, mes sensations
    ce qui a eu pour résultat immédiat car j’étais habitué désormais depuis belle lurette à des résultats rapides et puissants dès le premier effleurement de la prostate, que je me suis affolé, le doute s’est installé à la vitesse grand V, enfin pour parachever le travail de sape, j’ai remis en question le bagage technique que j’ai acquis et affiné au cours des mois, du coup j’ai balbutié ma séance en perdant rapidement toute confiance en ce que je faisais, bref un gros blocage.

    Malgré ces centaines d’orgasmes prostatiques éprouvés au fil des jours, certains durant de longues minutes, malgré ces tombereaux de gémissements et de râles de plaisir, tout ce qu’on bâtit lentement peu à peu qui peut paraître acquis et solide, n’est en fait qu’un château de cartes, une construction mentale reliée à nos sens, mécanique délicate et fortement volatile qu’un grain de sable peut suffire à enrayer.

    Mais j’en suis sorti plus fort aujourd’hui.
    Je savais que cela allait être dur au début mais je m’étais préparé mentalement à résister à l’envie de faire n’importe quoi et à m’affoler à nouveau.
    Sensations ou pas, plaisir ou pas, orgasme ou pas, j’étais décidé à faire comme si de rien n’était et à continuer à appliquer ma technique habituelle au stade j’en étais arrivé, c’est-à-dire positions sur les coudes ou plus ou moins assis avec leurs innombrables variantes, toujours en mouvement, yeux ouverts, yeux fermés, etc.
    Le premier quart d’heure a été très pénible, je devais résister au découragement qui m’entraînait dans son courant comme un fétu de paille, mes sensations étaient complètement plombées, parasitées, noyées dans le doute et l’appréhension
    mais j’ai continué comme si de rien n’était, relativement tranquillement malgré l’absence de résultats, m’en tenant strictement à mes techniques qui ont fait leurs preuves.
    Et cela a marché, peu à peu les sensations sont revenues et puis le premier orgasme puis un deuxième, quelques contractions involontaires aussi.

    Bon je ne suis pas encore à 100% mais je sens déjà qu’il y a plus de chevaux sous le capot qu’avant cette épreuve, j’ai gagné en concentration, je ne me laisse plus me déconcentrer par les fluctuations des sensations et du plaisir
    qui sont toujours inévitables. J’ai gagné en calme, je suis plus capable désormais de maintenir le cap avec ma barque même dans une simple bourrasque passagère, c’est de bon augure pour la suite.

    Tout ce qui ne me tue pas, me rend plus fort comme a écrit Nietzsche.

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23199
    bzo
    Participant

    j’y ai mis pourtant tout mon cœur aujourd’hui
    mais le plaisir me fuit pour l’instant comme un pestiféré

    En une semaine d’arrêt, tous mes repères se sont effacés
    et les sensations me parviennent comme dans le lointain

    Elle, ma meilleure part, ma belle endormie, ma petite dynamo si prompte à jouir,
    semble refuser désormais de participer à mes ébats,
    je me sens comme un singe qui a appris quelques tours,
    s’agitant désaccordé sans aucune guidance désormais

    allez bonsoir

    en réponse à : Journal d'un prostatomane #23197
    bzo
    Participant

    ça y est, j’ai repris! Une semaine donc je suis resté sans massage prostatique.

    J’ai cru que j’allais défaillir de plaisir quand Carabosse, ma petite fée en silicone noir effleura de son museau fureteur et sans gêne pour la première fois de la soirée ma prostate chérie.
    Une semaine! Je me suis vite rendu compte que c’était suffisant pour se refaire une virginité de ce côté
    mais contrairement à ce que j’avais cru et la raison pour laquelle j’ai mené cette expérience,
    cela n’a pas décuplé mes sensations, tout du contraire en fait.

    A part ce premier contact qui laissait augurer de bonnes choses, je me suis vite rendu compte que j’avais perdu du terrain quelque part, les orgasmes certes arrivaient mais ils n’avaient pas cette immédiateté explosive
    et leur puissance habituelle, les pressions sur la prostate provoquaient des râles et des gémissements mais là aussi il manquait une acuité des sensations.
    J’en ai pris conscience, le rewiring n’est pas quelque chose d’acquis définitivement, c’est comme un continent sombre et inexploré dont vous êtes parti à la découverte, vous y installez des baraquements de fortune, une certaine vie s’organise, tandis qu’aux avant-postes on continue de pousser toujours plus avant, toujours plus loin, cela semble du terrain conquis définitivement mais si vous vous arrêtez, alors tout cela peut partir rapidement en fumée.

    Bref toute ma séance a essentiellement consisté à me “rewirer”,
    cela m’a donné le loisir d’un peu observer ce processus puisque je n’étais pas à 100% absorbé.
    Se reconnecter à ses sensations physiques avant tout mais pas seulement, éveiller aussi l’Endormie au fond de nous,
    Elle qui a toutes les clefs de la jouissance prostatique, se laissait désirer, semblait bouder d’avoir été délaissée pendant toute une semaine, or ces orgasmes sans fin où les larmes vous montent aux yeux et où l’on n’a plus toute sa tête, c’est elle et uniquement elle qui en est capable. Mais elle n’était pas encore totalement au rendez-vous, je vais devoir patienter quelques séances avant de retrouver toutes mes sensations, je sens cela.

    J’ai écourté la séance pour ne pas être trop frustré de ne plus pouvoir passer à la vitesse supérieure pour l’instant

    allez bonsoir

    bzo
    Participant

    @Garrett

    il existe et il n’existe pas…
    Je ne conteste pas qu’il existe des orgasmes d’une puissance qui semble venir d’ailleurs,
    J’en ai vécu quelques uns maintenant, donc je parle d’expérience vécue.

    Non, ce qui pose problème avec ce concept de super ‘O’, c’est l’image qui en ai véhiculé
    parmi les adeptes des plaisirs de la prostate, ils attendent qu’à un moment donné, tout d’un coup une baguette magique les effleure et hop le Superman des orgasmes, c’est-à-dire le fameux super O les prennent sous sa cape et hop les voilà partis vers le septième ciel ultime à la vitesse d’une fusée humaine.

    Or ce n’est pas cela mais pas cela du tout, un état de plaisir extrême décrit ici et là, ne peut être atteint que si on pratique sans aucune arrière-pensée de la sorte.
    Comme je l’ai écrit dans mon message initial, c’est le petit orgasme de quelques secondes qu’on a connu à nos début qui peut à peu s’enrichit jusqu’à atteindre des niveaux de plaisir où on perd complètement la tête,
    on arrive un jour, pas l’autre, cela dépend d’un certain nombre de critères.

    Personnellement je crois que si peu de gens finalement atteignent ces niveaux de plaisir,
    c’est que les techniques préconisées pour le massage prostatique sont trop statiques, trop répétitives,
    il faudrait plus de mouvements, plus de variétés dans les postures, plus de frénésie, de passion
    comme je l’ai écrit dans un autre message, le massage prostatique c’est se faire l’amour,
    faire l’amour, ce n’est pas quelqu’un comme une planche sur le dos pendant que quelqu’un d’autre
    dessus le laboure, c’est juste de la procréation ça, l’amour c’est de la fantaisie, de l’imagination, de l’instinct libéré, de l’animalité, de la douceur et de la violence

20 sujets de 5,061 à 5,080 (sur un total de 5,137)