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  • #44676
    bzo
    Participant

    J’ai cependant le sentiment de ne pas arriver à dépasser ce stade et cela finit avec la masturbation.

    classique, c’est une étape qui peut plus ou moins durer, voire s’éterniser,

    selon le sujet

     

    J’ai bon espoir d’aller plus loin avec les produits aneros.

    il y a de bonnes chances, ce sont les meilleurs

     

    je me demande quand même si l’on dit qu’hélix est conseillé au débutant du fait de sa petite taille ou si c’est parce que sa forme permettra plus facilement d’atteindre les super O que le progasm par exemple

    Adam, dans son traité, recommande l’Helix pour débuter, il aurait certaines caractéristiques, adaptées aux débutants,

    c’est plus ou moins confirmé par les échos ici et là

     

    cependant il n’y a pas de règle sans exceptions, parfois même, assez nombreuses,

    moi, personnellement, le Helix ne m’a jamais rien fait,

    le premier masseur avec  lequel, j’ai vécu des émois prostatiques,

    fut le Progasm

    mais mon préféré de leur gamme a été le Vice et puis le Vice 2 qui est encore un peu mieux dessiné

    et accessoirement, pour ceux qui aiment cela,

    les possibilités de son moteur, variété des vibrations, etc,

    sont encore enrichies,

    il est totalement étanche, télécommande

    mais bon, je ne l’ai jamais utilisé, moteur allumé, je n’aime pas cela

     

    mais , de toutes façons, cela fait des plombes que je n’utilise plus de masseur,

    je pratique qu’aneroless

     

    mes conseils , dans la pratique façon Traité, seront très limités,

    dès que tu aborderas plus des questions techniques,

    parce que je n’ai jamais pratiqué dans cette manière,

    j’ai dès le départ, divergé, pour développer ma propre technique

    qui est plus bourrin, plus bourrage

    mais qui a bien marché,

    avec laquelle j’ai obtenu tous les  résultats possibles

    #44671

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    ressentons,

    ressentons, sans compromission, sans retenue,

    voulez-vous,

    allons jusqu’au bout, osons nous allumer, sans concessions,

    n’ayons pas peur du feu qui déborde toutes les frontières,

    qui fait fi de tous les tabous

     

    le désir libère royalement,

    le désir efface les barrières, de toutes sortes,

    cela peut paraitre déstabilisant,

    de se rendre compte,  être entraîné, ainsi, en territoire inconnu

    mais après un certain temps, on en redemande,

    quoi de plus ineffablement délicieux,

    que ce déséquilibre prodigieux, vibrant qui nous emplit

    où je deviens un autre, plus complet, plus riche,

    plus capable de jouir sans fin

     

    gourgandine en chaleur,

    bien humide entre les jambes

    n’aspirant  qu’à se sentir pénétrée,

    encore et encore,

    c’est moi, dans ma tête

    et mon corps,

    pour l’instant

     

    je veux sentir cette bite bien dure,

    aller et venir dans ma bouche,

    je veux en lécher les veines saillantes, la peau plus sombre,

    et enfin, sentir sur ma joue , sur ma langue,

    le sperme qui va s’en éjecter,

    c’est moi dans ma tête

    et mon corps,

    pour l’instant

     

    juste pour le plaisir de ressentir,

    dans ma tête et dans mon corps

     

    #44667

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    je suis en train de m’entraîner

    à avoir du plaisir discrètement

     

    jusqu’ici et depuis toujours,

    je m’étais habitué à tout laisser sortir, sans rien retenir

    mais avec la montée en puissance de ma pratique,

    ainsi, j’avais peu à peu arrêté, hors de chez moi,

    de m’offrir des petits moments ardents,

    des petits moments de têtes à tête, improvisés avec mon corps

    car je redoutais trop de commencer à gémir fort, sans m’en rendre compte,

    je sentais aussi que l’extase voluptueuse, affectait les traits de mon visage

     

    là, je suis en  train de m’entraîner, à tout bout de champ,

    chez moi, un peu partout, n’importe quand,

    à faire tout cela, plus discrètement,

    pour que mon plaisir devienne passe-partout,

    sur le bus, au travail, dans la salle d’attente de mon dentiste,

    partout, je veux que mon corps, mon vrai corps, mon complice chéri, m’accompagne,

    qu’ensemble, nous puissions faire ces choses délicieuses,

    un peu partout, à la moindre petite envie

     

    en toute discrétion, moins fort , sans doute, avec moins d’épanchement,

    avec moins d’expression, de libération des énergies, probablement

    mais malgré tout, que ce soit des moments d’intimité, de qualité,

    vraiment agréables,

    je vais essayer d’arriver à cela

     

    on va voir ce que cela donne,

    je veux que mon corps m’accompagne,

    pas juste le véhicule de chair dans lequel je suis installé et qui me transporte anonymement,

    l’autre, la chair vibrante, la chair pleine de vie, la chair plein de mystère et de volupté,

    je veux la sentir, je veux pouvoir m’unir à elle, à tout moment

     

    les gens sur le bus, sont plongés sur leur smartphone, pour passer le temps,

    moi, je veux être plongé sur mon corps,

    communiant intimement avec lui, en toute discrétion,

    cela fera passer le temps, d’une façon bien plus intéressante

    #44645

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    juste, avoir envie d’avoir du plaisir

    et en avoir,

    déclic envahissant, déclic délicieux, dans ma chair,

    au moindre soupçon de désir,

    mon corps prêt à brûler sur commande,

    mon corps prêt à entrer en mode auto-combustion,

    sur commande

     

    potentiellement, en puissance,

    il y a une femme caressé par son amant,

    en chacun de nous,

    il y en a une, en tout cas, en moi

    et quand j’ai envie,

    elle a envie

     

    elle est comme, entre des mains,

    comme, au bout d’un sexe durci,

    prête à se pâmer,

    prête à vibrer pour moi,

    son vagin est dans ma chair,

    palpite pour moi, s’entrouvre pour moi

     

    voisin de mon pénis,

    elle le goûte, pour ainsi-dire,

    constamment, des lèvres,

    vases communicants,

    vibrations

     

    elle se caresse, elle se palpe nonchalamment,

    elle tourne son attention vers ma chair,

    je sens un sexe, tout de suite, quelque part,

    durcir pour elle,

    elle se met à danser des hanches,

    pour fêter l’érection,

    elle s’ouvre, elle germe, elle fleurit,

    elle n’est plus qu’un bouquet de sensations,

    répandu dans ma chair

     

    le désir, la fête dans le sang,

    mon corps, une salle de bal,

    à peupler, à faire vibrer,

    j’accueille, je recueille,

    je me lie au monde, je fonds,

    je coule heureux, au fond d’un océan

    de splendeur et de volupté

     

     

    #44611

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    tout mon être comme la peau d’un tambour,

    prêt à résonner, prêt à vibrer,

    dès que je me mets en action

     

    juste cette sensation déjà,

    de tension féconde, de tension fertile,

    où le moindre contact, le moindre mouvement, la moindre contraction,

    semble comme un frottement sur ce tambour

    qui se met à vibrer

    qui génère des ondes dans ma chair,

    est déjà incroyable,

    on se sent en état de totale réceptivité,

    on se sent prêt à féconder, prêt à être fécondé,

    on se sent sexe, prêt à palpiter, de tout son être

     

    mes doigts comme des crayons sur la peau,

    dessinent  des nuances tellement richement colorées de sensations,

    je me sens colorié, je me sens chanté, je me sens dansé,

    je me sens forêt verdoyante, emplie de chants d’oiseaux,

    je me sens vent, je me sens lumière,

    je me sens astre filant

     

    l’autre jour, sous la douche

    mais pas encore ouverte,

    je me suis mis à me caresser, lentement, très lentement,

    mes jambes se frottaient l’une contre l’autre,

    les peaux et les poils des mollets, s’entremêlant,

    les cuisses et les génitaux, s’entremêlant

     

    la main droite vagabondait sur mon torse, ma poitrine,

    j’avais le corps un peu de travers,

    l’autre main posée, tenant la barre de douche, pour ne pas risquer de glisser,

    tout à coup, mes légers mouvements ont provoqué

    de la tête de douche, au-dessus de ma tête,

    un goutte à goutte qui tombait, ainsi de haut, sur mon bras

     

    le contact de cette goutte d’eau qui a voyagé un bon mètre,

    avant de s’écraser sur la peau de mon avant-bras,

    a commencé à générer des vibrations en moi,

    le tambour y réagissait aussi,

    à cet petit évènement inattendu qui m’arrivait,

    surpris, une fraction de seconde,

    je percevais néanmoins, immédiatement,

    le potentiel de nouvelles nuances de sensations

     

    c’était splendide,

    la litanie de gouttes tombant l’une après l’autre, imprimait son rythme,

    je me laissais faire, je me laissais entraîner,

    j’avais comme un batteur en moi

    qui tapait rythmiquement, quelque part, sur une grosse caisse

     

    le restant des ondes s’en trouvaient comme modifiées,

    sensation de fusion, le monde extérieur intervenait soudainement,

    d’une façon tellement  personnelle, dans mes ébats intimes,

    l’eau semblait dialoguer avec ma chair,

    effervescence voluptueuse tellement spéciale, tellement délicate

    #44610

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    version, terminée d’être corrigée:

     

    tout mon être devient comme la peau d’un tambour,

    prêt à résonner, prêt à vibrer,

    dès que je me mets en action

     

    juste cette sensation déjà,

    de tension féconde, de tension fertile,

    où le moindre contact, le moindre mouvement, la moindre contraction,

    semble comme un frottement, sur ce tambour

    qui se met à vibrer

    qui génère des ondes dans ma chair,

    est déjà incroyable,

    on se sent en état de totale réceptivité, on se sent fécond,

    on se sent sexe, prêt à palpiter, de tout son être

     

    mes doigts dessinent comme des crayons sur la peau,

    des nuances tellement richement colorées de sensations,

    je me sens colorié par la puissance créative du soleil, du ciel, de la mer et du vent

    je me sens chanté, je me sens dansé,

    je me sens forêt verdoyante, emplie de chants d’oiseaux,

    je me sens lumière, je me sens astre filant

     

    l’autre jour, sous la douche

    mais pas encore allumée,

    je me suis mis à me caresser, lentement, très lentement,

    mes jambes se frottaient l’une contre l’autre,

    les peaux et les poils des mollets, entremêlés,

    les cuisses et les génitaux, entremêlés

     

    la main droite vagabondait sur mon torse, ma poitrine,

    j’avais le corps un peu de travers,

    l’autre main posée, tenant la barre de douche, pour ne pas risquer de glisser,

    tout à coup, mes légers mouvements ont provoqué

    de la tête de douche, au-dessus de ma tête,

    un goutte à goutte qui tombait, ainsi de haut, sur mon bras

     

    le contact de cette goutte d’eau qui a voyagé un bon mètre,

    avant de s’écraser sur la peau de mon avant-bras,

    a commencé à générer des vibrations en moi,

    le tambour y était sensible aussi,

    à cet petit évènement inattendu qui m’arrivait,

    en plein action intime

     

    surpris, une fraction de seconde,

    je percevais néanmoins, immédiatement, le potentiel

    un nouveau foyer générant des ondes en moi,

    avec tout le reste; déjà bien chaud,

    maintenant, ce goutte à goutte sur mon bras

    qui apportait ses nuances tellement originales

     

    c’était splendide, la litanie de gouttes, imprimait son rythme,

    je me laissais faire,

    j’avais comme un batteur en moi

    qui tapait rythmiquement, quelque part sur une grosse caisse

     

    le restant des ondes s’en trouvaient comme modifiées,

    sensation de fusion, le monde extérieur intervenait soudainement,

    d’une façon tellement  personnelle, dans mes ébats intimes,

    l’eau semblait dialoguer avec ma chair,

    effervescence voluptueuse tellement spéciale

    #44608

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    tout mon être devient comme la peau d’un tambour,

    prêt à résonner, prêt à vibrer,

    dès que je me mets en action

     

    juste cette sensation déjà,

    de tension féconde, de tension fertile,

    où le moindre contact, le moindre mouvement, la moindre contraction,

    semble comme un frottement, sur ce tambour

    qui se met à vibrer

    qui génère des ondes dans ma chair,

    est déjà incroyable,

    on se sent en état de totale réceptivité, on se sent fécond,

    on se sent sexe, prêt à palpiter, de tout son être

     

    mes doigts dessinent comme des crayons sur la peau,

    des nuances tellement richement colorées de sensations,

    je me sens colorié par la puissance créative du soleil, du ciel, de la mer et du vent

    je me sens chanté, je me sens dansé,

    je me sens forêt verdoyante, emplie de chants d’oiseaux,

    je me sens lumière, je me sens astre filant

     

    l’autre jour, sous la douche

    mais pas encore allumée,

    je me suis mis à me caresser, lentement, très lentement,

    mes jambes se frottaient l’une contre l’autre,

    les peaux et les poils des mollets, entremêlés,

    les cuisses et les génitaux, entremêlés

     

    la main droite vagabondait sur mon torse, ma poitrine,

    j’avais le corps un peu de travers,

    l’autre main posée, tenant la barre de douche, pour ne pas risquer de glisser,

    tout à coup, mes légers mouvements ont provoqué

    de la tête de douche, au-dessus de ma tête,

    un goutte à goutte qui tombait, ainsi de haut, sur mon bras

     

    le contact de cette goutte d’eau qui a voyagé un bon mètre,

    avant de s’écraser sur la peau de mon avant-bras,

    a commencé à générer des vibrations en moi,

    le tambour y était sensible aussi,

    à cet petit évènement inattendu qui m’arrivait,

    en plein action intime

     

    surpris, une fraction de seconde,

    je percevais néanmoins, immédiatement, le potentiel

    un nouveau foyer générant des ondes en moi,

    avec tout le reste; déjà bien chaud,

    maintenant, ce goutte à goutte sur mon bras

    qui apportait ses nuances tellement originales

     

    c’était splendide, la litanie de gouttes, imprimait son rythme,

    je me laissais faire,

    j’avais comme un batteur en moi

    qui tapait rythmiquement, quelque part sur une grosse caisse,

    le restant des ondes s’en trouvait modifier,

    sensation de fusion, le monde extérieur intervenait soudainement,

    d’une façon tellement originale, tellement personnelle,

    l’eau semblait dialoguer avec ma chair,

    quelle effervescence voluptueuse

    #44588

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    mon corps,

    des pieds à la tête,

    mon sexe,

    comme en érection perpétuelle

     

    me caresser,

    sentir la raideur vibrante,

    ma chair,

    instantanément,

    envahie du désir

     

    les canaux de Venise,

    illuminés pour la fête,

    les gondoles qui flottent,

    au fil de l’onde,

    les palais mystérieux,

    tapis dans l’ombre

     

    la miraculeuse circulation,

    des énergies

    qui semblent monter,

    de nulle part,

    jaillir de toutes parts,

    tels des feux d’artifice,

    illuminant, un instant,

    les veines

     

     

     

    #44585
    RomPat33
    Participant

    Bon je vais essayer de décrire ce que je fais et peut être quelqu’un pourra me donner des conseils :

    – je m’allonge une heure par jour sur mon lit. je fais de longue respiration ou J’inspire avec le nez et j’expire avec la bouche. Je détends le corps le plus possible surtout dans la partie pelvienne. L’activité mentale se calme je suis là allongé  avec le corps. Je ressents (surtout après quelques jours d’abstinence) ce feu dans la prostate ou dans la zone Autour de la prostate.
    si j’essai de contracter je le fais tout doucement (1 ou 2 sur 10 : 10 étant la force maxi de contraction).
    je contracte essentiellement la partie périnée, je fais très peu de contraction anal.

    mon corps se mets à trembler comme des soubresaut du bassin qui monte et descend tout seul. Ça se fait et moi je regarde et j’essaie de ne pas intervenir dans le processus.mais durant ces phases je ne ressent pas du tout le plaisir électrique prostatique !!??
    Par contre si je me masturbe en faisant vibrer mon sex (en le tenant à la base et en massant la prostate avec) et en me concentrant sur la prostate plutôt que sur le penis, je ressent des vague orgasmique mais très rapidement l’envie d’ejaculer m’emporte, je stop et je ressent l’énergie sexuelle circuler dans mon corps, c’est très agréable mais cela ne continue pas tout seul comme je peux le lire pour vous.

    – je pratique la rétention séminale car j’ai remarqué  que l’énergie dans la zone Pc et prostate était bcp plus forte après une semaine d’abstinence. J’essaie d’ejaculer seulement une fois tous les 15 jours.

    J’ai essayé les respirations de @nydor01 (inspire je relâche, expire je pousse le diaphragme vers le bas (donc je contract les abdos du bas pour pousser) et je contract doucement le périnée comme pour attirer mon sexe a l’intérieure de mon corps. Je sens des petits vibrations dans la prostate mais rien d’orgasmique. Après 10-15 min je stop car la situation ne progresse pas vers un plus comme le décrit nydor01.

    bon voila, j’ai vraiment envie comme vous de découvrir cette fabuleuse faculté orgasmique dema prostate et en finir avec les ejaculations…

    #44544

    En réponse à: Besoin de conseils

    Rodward
    Participant

    Bonjour !

     

    Depuis que j’ai changé mes habitudes de session (arrêter la position allongée sur le dos et uniquement sur le côté et .. le dos sur le lit et le reste en dehors) mes sessions sont plus intenses et plaisantes.

     

    J’atteins globalement minimum des sensations plaisantes, un peu comme la sensation de démangeaison satisfaite. Et parfois avec de la chance, j’obtiens quelques petits moments rare de pic de plaisir assez haut.  Deux fois depuis mon dernier message, je terminais mes sessions avec le derrière frémissant, pétillant et vibrant, même jusqu’à une / deux heures après avec des petits vagues de plaisir. C’est d’ailleurs assez teasant, parce que dans ces moments, aussi bien dans le pic de plaisir intense, que dans ces vibrations post-session, on en veut plus ! xP

     

    Je pense que si réinsérer le masseur dans les heures qui suivent la session ne seraient pas fructueux car il faut laisser le temps au corps aussi de regénérer, mais c’est comme si on était tease par notre prostate durant ce temps !

     

    J’atlerne entre l’hélix et l’eupho, l’eupho étant bien plus doux, demandant plus de concentration, mais étant plus léger. L’hélix étant plus “bourrin” mais procurant le plus de sensations “nettes” de plaisir.

     

    Bref, de beau progrès, pas mal de teasing de la part de mon corps, mais j’ai l’impression d’avoir avancé depuis que j’ai coupé le bras de mon Helix et changé les positions.

     

    Belle journée à tous !

    #44543

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    mon corps et moi,

    épisode 15, saison 4,

    la chaleur de la chair,

    encore et toujours,

    la chaleur de la chair crue,

    odeur de sang, odeur de nerfs

    la chaleur de la chair,

    vibrante, emplie d’énergie,

    emplie de vie, emplie de foutre,

    emplie des extases à venir

    et des extases du passé

     

    assis à mon bureau, les pieds sur la table,

    je frotte lentement un mollet contre l’autre,

    je sens ainsi, aussi,  mon sexe qui est pressé contre une cuisse,

    l’autre vient le serrer, aussi, un peu, par moments, régulièrement,

    je sens le nuage de volupté, ainsi qui se forme dans la zone,

    qui gonfle , qui se répand

     

    ma main monte, sur ma poitrine,

    les doigts frottent, au passage, la peau, méticuleusement, progressivement,

    je sens mon anus,

    je contracte autour,

    cela provoque une sensation de pénétration,

    je m’ouvre,

    je me laisse envahir, je m’ouvre,

    mon sexe se raidit encore,

    dommage que ce soit mon sexe à moi,

    j’ai tellement envie de le prendre dans ma bouche, pour l’instant,

    de le lécher, de sentir le gland entre mes lèvres,

    il se raidit, encore plus,

    je sens ma gorge, maintenant,

    emplie de mon sperme chaud

    #44529

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    il y a des moments chez soi

    où il faut attendre,

    par exemple, vous devez remplir une grosse carafe d’eau

    mais votre robinet d’eau filtrée, a un débit très faible,

    alors, vous avez 2, 3 minutes devant vous,

    vous semblez programmé, pour 2, 3, longues minutes de désœuvrement

    à observer bêtement le filet d’eau s’écouler,

    disparaitre dans votre carafe

     

    que nenni,

    mon corps et moi, nous raffolons de ces moments,

    nous engageons directement la conversation, là où l’on l’avait laissée,

    nous en avons une , toujours en cours,

    la moindre occasion, même pour quelques secondes,

    est bonne pour cela

     

    ma peau est tellement chaude, vibrante,

    aime tellement quand mes doigts se posent sur elle,

    n’importe où,

    mes petits lutins, allez, je vous lâche,

    allez jouer, allez vous amuser,

    allez foutre votre adorable bordel tout en cheptel d’ondes

    qui se réveillent de tous les côtés

     

    oh ma chair, comme tu t’enflammes directement,

    comme j’aime te sentir ainsi, comme de miel chaud s’écoulant,

    comme fondant encore et encore, sur place

     

    ta densité semble en même temps,

    d’une légèreté confondante, comme si tu devenais immatérielle,

    pesant une plume

    mais en même temps, tu sembles compacte, lourde, très lourde,

    pesant une tonne de délice, en flammes,

    comme de la lave qui se fraie, lentement, très lentement, son chemin

     

    oh ma chair, comme nous avons fait du chemin, ensemble,

    j’ai appris à te reconnaitre, à me rapprocher de toi,

    à me serrer contre toi, à me fondre à toi

    et comme tu m’as récompensé,

    le ciel semble s’être installé avec nous,

    ton ciel, mon ciel, notre ciel,

    à portée de main

     

    notre réunion,

    comme ces mots chantent,

    comme ces mots enchantent,

    me réunir et encore me réunir, avec toi,

    je sens l’origine du feu,

    je le sens dans son berceau, entre nous,

    je le sens tellement capable , tellement infini,

    quand je me rapproche de toi, quand  je me colle à toi,

    quand nous sommes unis de plus en plus,

    ensemble, ne formant plus qu’un,

    filant comme un divin bolide,

    fendant l’azur de la volupté et de la jouissance

     

    notre réunion est une galaxie intime,

    sans frontières

    et nous la sillonnons,

    dans tous les sens,

    ivre d’espace libre, sans limites

     

    #44528

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    il y a tellement moyen de faire chanter son corps,

    splendide sensation, tellement épanouissante

     

    vous vous caressez, vous bougez lentement vos hanches,

    des contractions montent,

    les cuisses pressent un peu les bijoux de famille

    et cela se met à chanter de partout,

    inouïe sensation,

    comme si votre corps était visité par une pieuvre de soie

    aux innombrables tentacules flottantes,  glissantes, dérivantes

     

    oh, n’être plus qu’un flux, un flot, de notes voluptueuses,

    une langueur ineffable , irrésistiblement, jusqu’au fond de l’âme,

    vous flottez, tant de limpidité cristalline,

    pure émotion de se sentir,

    tellement intégralement incandescent, vibrant

     

    il y a comme un diapason au milieu de la terre

    et j’y suis accordé pour l’instant,

    ma chair est en fleur, ma chair est en flamme,

    la vie, ce sublime torrent

    dont on fait partie, un instant,

    soudainement, se découvre  dans ma chair,

    dans toute sa splendeur festive et jouissive

    #44508

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    je viens à peine de me réveiller,

    j’ai encore le cerveau embrumé, les yeux lourds

    mais mon désir, déjà,  a de l’avance sur moi

    semble, lui, déjà, sorti des startings blocks, depuis quelque temps

    (peut-être qu’il est toujours comme cela, c’est dans sa nature,

    de ne jamais s’arrêter, d’être toujours comme en pleine effort déjà)

     

    je pose ma main quelque part, je presse dessus,

    comme c’est bon de sentir cette chair chaude sous la peau,

    imbibée de sang, de nerfs,

    tout cela semble former un matériau spongieux, tellement réactif, tellement vibrant,

    de la terre riche, fertile,

    prête à libérer dans l’instant, la végétation des sensations

     

    je sens le réseau des énergies circuler en moi,

    c’est comme une Venise dans l’obscurité de mes veines,

    avec ses innombrables canaux, ses palais,

    ses fêtes fastueuses,  costumées, son et lumière

     

    la vie vibre en moi, se consume en moi,

    flamboyance sans bornes,

    autel chéri du plaisir,

    être sans limites, un instant

    #44507

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    avoir le yin et le yang, en action,

    s’entremêlant en nous,

    c’est sentir constamment, une part de sa chair,

    s’offrant sexuellement, à une autre,

    même si l’on sent surtout la première part, le yin,

    que c’est par lui qu’on vit surtout l’action,

    cependant l’on sent aussi que l’autre part, le yang, est là,

    s’activant, avec dévotion, ardeur et patience,

    entièrement au service du yin

     

    envahi du celui-ci, lui-même, envahi du yang,

    comme j’aime écarter mes cuisses,

    sentant entre elles, des coulées de chaleur,

    des lèvres murmurant déjà une éruption,

    prête à se répandre dans toute ma chair

     

    je les referme, je les rouvre,

    je joue avec les muscles de mon périnée, de mon anus,

    je bouge mon bassin,

    je sens le feu prendre de plus en plus,

    un feu de soie, avec des flammes dansantes,

    mes entrailles réagissent comme de la paille sèche, à leur contact

     

    oh, le rythme, tant de lascivité, dans le moindre mouvement,

    l’impression que toutes mes cellules font l’amour, les unes avec les autres,

    ça baise du fond de la cale, jusqu’à en haut du mât, chez moi,

    personne n’est laissé à la traîne, tout le monde participe

     

    je rassemble toutes les énergies ,

    arrivant de partout

    les cheveux m’en envoient, les doigts de pieds m’en envoient,

    les ongles m’en envoient,

    des délégations d’ondes, de tous les côtés, arrivent

     

    et ainsi, ma main semble envoyer des vibrations,

    de tous les côtés,

    cela se répand en vagues denses et douces, aux infinies nuances,

    lenteur, lenteur, lenteur,

    pour révéler tous les coloris de la soie,

    pour prolonger la douceur ineffable de son toucher

     

    onduler, aussi, lentement,

    serpent de lascivité, dans tous les membres, dans tout le tronc,

    dans le bassin, surtout,

    oh oui, cent mille serpents se tordent lascivement dans mon bassin

    et quand je contracte un muscle, là en bas,

    ils se mettent à remuer, de plus en plus, dans tous les sens,

    explosant peu à peu leur groupe,

    allant répandre la bonne parole de la volupté, de la jouissance et de l’extase

    #44430

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    je suis assis à mon bureau, nu, bien sûr,

    les pieds sur la table,

    je passe et repasse, lentement, une jambe contre l’autre,

    les peaux et les poils qui  se frottent, qui s’entremêlent,

    qui semblent , de plus en plus,  de satin, à chaque passage,

    cela me donne des frissons partout

     

    je passe, aussi, avec ma main , sur un sein,

    je presse la pointe, je l’agace, la titille,

    mon sexe se durcit un peu,

    un peu, beaucoup, même un instant,

    il se dresse, prend de l’épaisseur

    mais déjà il se met à s’incliner, de plus en en plus,

    néanmoins, ce fut délicieux, ce brusque afflux de sang,

    il a provoqué comme des vibrations, dans tout mon membre

     

    je continue mon manège avec les gambettes,

    de temps à autre, je m’arrête

    et je serre assez fortement les muscles des fesses,

    tout en faisant monter une contraction,

    cela provoque directement comme un coup de boutoir,

    d’ondes de la prostate

    qui semble fendre le flot de mes entrailles, vers le haut

     

    comme j’aime cette sensation de pénétration

    qui soudainement, semble parer de mille couleurs,

    le yin, en moi,

    il semble se déployer de plus belle, partout en moi,

    je me sens pousser des ailes,

    des envies d’onduler, de me caresser,

    de me laisser aller toujours plus,

    de me donner au plaisir, sans rien retenir,

    oui, c’est bien mon état d’esprit,

    j’ai envie de m’offrir corps et âme, au plaisir,

    qu’il fasse de moi, sa chose

     

    je me cambre, rejette la tête en arrière,

    les reins se mettent à chalouper,

    je gémis de plus en plus fort,

    tandis que mes deux mains, maintenant,

    caressent un peu partout, plus rapidement,

    ma peau est, de plus en plus, en feu, sous mes doigts

     

    cela n’aura duré que 2, 3 minutes,

    pas besoin de faire durer plus,

    je peux recommencer autant que je veux,

    j’aime ces petites doses ultra-concentrées, à l’impromptu,

    un peu n’importe où, chez moi

    #44414

    En réponse à: Rien ne se passe…!

    Betamax
    Participant

    Bonjour KIM, je viens de découvrir tes messages et je me permets de te donner à mon tour ce qui pour ma part m’a permis de prendre un réel plaisir.

    1 – Essayer différents sextoys. Les aneros sont pour ma part pas les meilleurs que j’ai connu car trop subtils pour démarrer.

    2 – Contrairement à ce que tu dis, les vibrations m’ont bien aidées ! Au début j’effleurais le masseur avec l’outil vibrant pour doser, puis j’ai tenté un masseur vibrant. Alors oui à force ça gâte la zone.

    3 – Simplement se donner du plaisir. Pendant une longue période je jouais vraiment le jeu en suivant les conseils de détente, contraction, etc. mais tout ça ça manquait de lubricité, en conséquence je n’étais pas excité donc impossible de ressentir quoi que ce soit. Fait des va-et-vient manuels, frottes-toi contre un coussin, donnes-toi du plaisir devant et tant pis si cela contredit tout les principes évoqués ici et ailleurs. Le principal est de chercher à prendre du plaisir par derrière en même temps que par devant, d’en prendre conscience puis petit à petit ne faire que ça.

    D’ailleurs je cernerais deux phénomènes. Premièrement, cela prends du temps car je pense qu’il faut tout simplement développer sa musculature en cet endroit. Deuxièmement, c’est vrai, il faut t’enlever l’habitude de te masturber. Ton cerveau ne trouve juste pas cela normal que le plaisir monte sans cela, pire, qu’une jouissance est possible. Je pense d’ailleurs que c’est le fameux plafond de verre dont beaucoup parlent. Une des méthodes que j’ai utilisé pour le surmonter est de prendre du plaisir par devant uniquement en massant mon frein, voire en utilisant un vibromasseur en cette zone. Ça m’a permis de passer une première étape qui est d’habituer mon cerveau à jouir sans va-et-vient.

     

    Voilà pour mes premiers conseils, n’hésite pas si tu as des questions ou si tu as besoin de précisions, je serais très heureux de partager avec toi.

    #44413

    En réponse à: Rien ne se passe…!

    KIM
    Participant

    Bonjour Caktil,

    Merci pour tes précisions. Mais comme tu le dis dans ce poste en question…

    Donc, un bon conseil pour ceux qui n’ont jamais utilisé de la weed : ne commencez pas !

    …je ne vais pas commencer. Je ne fume presque jamais et je suis conscient que cela serait rattaché à la pratique du plaisir, donc si je n’en fumais plus, le plaisir ne viendrait pas. Tout comme on nous conseille de ne pas commencer notre cheminement avec des masseurs vibrants, sinon ça sera beaucoup plus compliqué avec les masseurs classiques moins fulgurants.

    En tout cas ton idée m’en donne une : sniffer une huile essentielle (Maniguette fine) qui est très efficace avant de dormir pour faire redescendre les angoisses. Quand j’en respire je deviens très vite zen et je dors comme un bébé. Je vais essayer ça et voir si cela améliore mes sensations.

    A bientôt

    KIM

    #44411
    Logos
    Participant

    Les progrès restent limités après un nouveau mois.

    Le bon point est que les modèles qui semblent etre les plus efficaces se confirment :
    Njoy wand pour les sessions tranquilles, sans but et exercer le controle musculaire, mais max 1x/semaine parce qu’il fatigue pas mal la zone.
    Eupho syn pour l’essai en semaine. Pas invasif mais mobile, utilisable casi tous les jours sans soucis ni fatigue
    Helix trident classique pour les “essais serieux”

    Tous les autres, c’est con mais ils se retrouvent de moins en moins utilisés. Le plus gros regret reste pour l’helix syn vibreur. Les vibrations inhibent completement les essais de contractions musculaires. Faut ptet que j’essaie en mode “rien faire” pour voir, mais bon.

    Au fil du temps, je vois quand même un peu d’amélioration dans le controle musculaire, même si j’ai l’impression qu’il manque encore un muscle quelque part. Pas trop d’améliorations sur le feeling par contre….
    Du coup, pour eviter de tomber dans le piege de l’attente, je pars sur deux approches
    -Quand j’ai le temps, je teste le comatage avec un en place, les exercices de contraction/décontraction sans but, etc.
    -Quand j’ai envie, je retente une session sans mains pendant 30 mins. Si rien de spécial, je ne me mets pas de pression parce que j’arrive assez “facilement” a déclencher un O ejaculatoire juste en faisant trembler et tourner gauche/droite par la barre de devant.

    Je sais bien qu’en principe, il ne faut “toucher à rien” mais au moins ainsi, je gère la frustration de ne pas y être arrivé. Le plus ennuyant est surtout qu’un ejac par stimulation prostatique aidée demande quand même d’être plus “dans le trip” mais n’est apparement pas suffisant pour en descendre. Du coup, c’est douche froide et intérêt a trouver un truc pour me changer les idées sinon ca repartirait pour un autre essai dans l’heure…Pas trop prévu de devoir gérer un trop plein de libido comme si j’avais 15 ans, je dois faire attention histoire que cela ne mette pas un coup de pression sur l’idée d’atteindre le super O soupape

    Pas simple, tout ca, halala ^^

    #44361
    curieuxjj24
    Participant

    Bonjour @caktil !

    Trop content de te voir et que tu m’aie répondu ! Mille mercis.

    Ok, pas de miracle donc. J’ai pensé pendant un moment que le tempo se portait comme un plug à vaquer à ses occupations et que c’était son poids et les mouvements qui déclenchaient les vibrations puis les vagues de bonheur. Dommage mais j’ai compris et tu le confirmes : il faut faire une séance comme avec les masseurs prostatiques.

    Hier je l’ai porté en prenant ma douche puis je me suis installé dans le canapé en regardant du porno et je sens des sensations agréables qui participent à mon “rewiring”. En tout cas j’espère.

    Merci pour la précision sur la profondeur. J’ai l’impression que j’ai de meilleures sensations sur les 5 premiers centimètres alors qu’il y a peu, j’avais l’impression qu’il fallait aller chercher profond et j’ai même acheté un progasm pour ça. C’est assez déroutant quand on est toujours à la recherche du déclenchement. J’ai tout de même l’impression qu’il titille aussi la prostate parce que j’ai beaucoup de précum qui sort.

    En tout cas, je continue, je reste persuadé que le plaisir ultime est au bout, je suis sur le chemin. Merci à toi de m’accompagner, tu es un ami.

    #44283
    curieuxjj24
    Participant

    Bonjour à tous,

    Je souhaite ouvrir un fil au sujet de l’anéros Tempo ou des ses cousins les peridises vu que la technique semble vraisemblablement très proche.

    Suite au test d’Adam et toujours en attente de mon premier orgasme prostatique, j’ai acheté un anéros TEMPO. Je pense en effet que d’arriver à éprouver un certain plaisir anal peut me débloquer pour l’orgasme prostatique et pour cela, le Tempo semble le bon sex-toys. Je m’imagine déjà les contractions péristaltiques qui se déclenchent en vagues voluptueuses pour mon plus grand plaisir, oui mais voilà, encore faut-il y arriver. Et mon problème est que je ne suis pas sûr de ma façon de faire.

    J’ai posé la question au travers d’un autre fil que j’alimente au sujet du plaisir prostatique mais elle est passée inaperçue et je pense qu’elle a plus sa place dans cette rubrique.

    Aussi, j’en appelle à votre savoir-faire en la matière pour me donner les bons conseils sur la façon de procéder avec ce joujou : comment procédez-vous ? quelle préparation ? quelle façon de le porter ? enfoncez vous le sex-toys jusqu’à la deuxième bague ou bien restez vous avec simplement la tête enfoncée ? êtes vous allongé les yeux fermés en pratiquant la décontraction et la respiration comme pour un masseur prostatique ou bien vaquez vous à vos occupation en le portant jusqu’à ce que les contractions se déclenchent sans rien faire ?

    J’ai tâtonné en le portant en faisant mon jardinage pour voir si ne penser à rien pouvez marcher mais ce ne fût pas le cas. J’ai essayé sous ma douche en me concentrant davantage sur les sensations et ça m’a paru plus efficace mais sans toucher au but. Je me suis dit alors que la meilleure façon d’y arriver pour éviter de perdre du temps était de demander à ceux qui ont réussi à ressentir les bonnes vibrations. Il faut dire qu’il y a un mode d’emploi très succinct dans l’emballage et à part les conseils d’Adam, je n’ai rien trouvé nul part, même sur internet.

    Bref, comme vous pouvez le voir, j’ai donc des tonnes de questions et je suis impatient de boire vos paroles tellement j’ai l’impression d’être proche du but mais pas forcément sur la bonne voie.

    J’ai vu que @catkil l’utilise avec succès, j’espère qu’il verra se message et qu’il pourra me glisser quelques conseils comme il l’a déjà fait pour le massage prostatique mais bien sûr, ce message n’est pas exclusivement pour lui et je vous invite à répondre nombreux à ma demande !

    Merci pour vos conseils et d’avoir pris le temps de me lire,

    Prenez soin de vous.

    #44273

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    qu’il fait bon de se caresser,

    je suis assis à mon bureau,

    nu comme d’habitude

    et je me caresse

     

    ma peau est tellement accueillante, pour les doigts,

    mon sexe se durcit pour un oui, pour un non,

    comme j’aime cela,

    le sentir bien dur, quelques instants,

    pointant vers le haut

     

    sa raideur semble emplie de vibrations

    qui se répandent dans mon bassin,

    je le presse avec mes cuisses, un peu,

    mon sexe durci,

    il semble tellement empli de désir,

    toute ma chair, en fait,

    je me rends compte

     

    là, assis, avec ma main qui caresse tout doucement,

    je bouge un peu, en plus, les hanches,

    je commence à gémir,

    une animale musique

    mais en même temps, tellement sophistiquée,

    commence à m’envahir,

    oh comme toutes ces notes, dans mon sang,

    sont douces, chaudes, frissonnantes,

    roulent légèrement de tous les côtés

     

    les secondes deviennent ineffables,

    pour un oui, pour un non, ces derniers temps

    je me laisse emporter,

    comme sur un tapis volant

     

    ma cargaison chérie,

    arrimée dans tout mon être,

    tu exploses à répétition, en moi,

    avec tellement de douceur,

    tellement empli de vie, d’ardeur,

    en ces moments-là,

    je suis

     

    indicibles instants,

    amour, amour,

    vibrant amour,

    vibrante chair

     

    #44271

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    le fait que je n’ai plus éjaculé depuis maintenant bien longtemps,

    exacerbe tellement tout en moi,

    pas seulement sexuellement,

    je ressens avec beaucoup plus d’acuité, d’une manière générale,

    je suis plus ému, aussi,

    mes rêves sont plus puissants

     

    les énergies, en nous, j’ai l’impression

    interfèrent vraiment avec tout,

    positivement ou négativement,

    c’est à double tranchant, bien sur

     

    mais c’est vraiment miraculeux, par moments,

    à quel point mon corps peut devenir réactif,

    capable de se transformer en un bouquet de sensations, instantanément,

    juste, avec un petit geste, un vague mouvement,

    une légère contraction de muscle

     

    et puis, avec, moi, à l’intérieur, bien sûr,

    qui me donne tout entièrement,

    me désenclave, me lâche, me laisser entraîner,

    sans retenue,

    fétu de paille, je deviens, roulé, balloté, chahuté

     

    les sensations deviennent, tellement fines, précises,

    ciselées comme de brefs joyaux, dans ma chair,

    j’en pleurerais de bonheur,

    d’être capable de vivre de tels moments de grâce et de sensualité

     

    mais tout d’abord,

    c’est vraiment simple à rester ainsi, pour moi, avec cette forme d’abstinence

    malgré que je pratique très peu, ces derniers temps

    et que donc, relativement peu de plaisir sexuel, passent dans les tuyaux,

    pour me garder assagi, rassasié, assouvi

     

    mais le fait que j’évite, vraiment systématiquement,

    toute forme de pornographie,

    tout ce qui peut artificiellement allumer mon désir

    le rendre comme des braises rougeoyantes qui ne s’éteignent plus,  quelque part,

    jusqu’au point, qu’à un moment donné,

    même des heures, voire des jours , après

    qu’on ait regardé un peu de sexes en action, sur la toile ou ailleurs,

    on n’y tienne plus

    et on se sente obligé de faire cracher le bâtonnet raidi

     

    je suis vraiment en circuit fermé,

    ma tension sexuelle m’appartient,

    est nourrie uniquement par moi,

    ma chair est sursaturée d’énergie, vibrante constamment,

    prête à exploser en feux d’artifice,  à tout moment

    m’inonder de flots de notes sensuelles, à la moindre demande

    c’est vécu de façon très positive, ainsi,

    aucune frustration

     

    j’oublie le corps des autres, ce dont ils sont capables,

    ce qu’ils peuvent faire quand ils sont en contact les uns avec les autres, entremêlés

    néanmoins, je vis leur attraction, au quotidien, dans la réalité, malgré tout,

    c’est aucunement gênant, j’adore cela, c’est agréable, sain, rafraîchissant,

    quand je suis dehors, par exemple

    ou qu’il y a des gens chez moi

     

    et donc, si l’occasion se présente, en rue,

    d’admirer discrètement le cul en mouvement d’une passante, ses  formes,

    des seins qui bougent librement sous un chemisier, un teeshirt,

    je ne me gêne pas pour baigner mon regard là-dedans

     

    c’est l’été,

    les jupes sont courtes, les leggings sont plus collants que jamais,

    les bosses de jeans de certains mecs, aussi, parfois,

    sont tellement suggestives,

    laissant deviner des braquemarts

    qu’il fait bon imaginer,  recroquevillés sous la toile du pantalon,

    prêts à se dresser , prêts à entrer fougueusement en action,

    qu’il fait bon imaginer, l’éclair d’un instant,

    devenir raide dans ma bouche, enveloppés par mes lèvres,

    gonfler, gonfler,

    sentir la hampe de chair chaude se tendre , devenir dure,

    se gorger de sang,  sous le râpeux de mes coups de langue

     

    je suis assez obsédé par les relations génito-buccales,

    plus que par la pénétration, elle-même,

    mes textes de fantasmes, en témoignent

     

    mais revenons-en à nos moutons,

    de telles masses d’énergie, circulent en moi,

    je parviens à en libérer, instantanément, de telles quantités,

    avec le plus petit geste, le plus petit mouvement,

    la moindre contraction musculaire

     

    j’évoque souvent,  ces derniers temps, le terme d’équilibre

    car oui, si on veut profiter au maximum, de toutes ces ondes

    qui peuvent être générées et mises en mouvement,

    de tous ces geysers, dans notre chair,

    il faut savoir équilibrer un peu, tout cela

    sinon c’est du gaspillage,

    on vit quelques frissons mais le feu ne prend pas

     

    le brasier a besoin de notre attention, avant tout

    celle-ci est comme le vent qui couve,

    qui attise les flammes,

    qui permet au feu d’amplifier, de s’étendre

     

    hors du lit,

    les ondes du bassin ont un débit moindre que dedans,

    très important de se rendre compte de cela,

    donc pour maintenir la balance,

    les mains ne doivent pas pouvoir voyager sur la peau comme elles veulent

     

    ce que j’appelle, mon mode dégustation,

    c’est-à-dire, uniquement des contacts sur la peau,

    rien qu’ avec les bouts de doigts,

    des effleurements, de légères pressions,  des frôlements,

    permettent de maintenir cet équilibre, entre les ondes du bassin

    et puis celles du reste du corps

    et ainsi, de générer un plaisir riche, varié, intense,

    en toute occasion, en tout lieu, à toute heure,

    quelque soit mon occupation

     

    au lit, c’est différent,

    là, les ondes du bassin, retrouvent leur débit normal,

    toutes les vannes sont ouvertes au grand

    et donc les mains peuvent y aller, aussi, sans restriction,

    peuvent improviser leur ballet, sans se freiner, sans se restreindre

     

    hors du lit, comme dedans,

    il est tellement bon d’avoir des moments

    où les mains restent totalement au repos, les bras  complètement passifs,

    on laisse, alors,  le bassin avoir tout seul, le devant de la scène, pour un temps,

    enfin plutôt, en dialogue avec tout le reste du corps

    mais sans les bras, donc,

    c’est-à-dire tous les mouvements qu’on peut faire avec,

    les ondulations, les positionnements, aussi,

    les changements de position,

    le bassin, alors est en dialogue, avec tout cela

     

    tellement spéciaux, ces moments,

    on sent tellement le yin à l’oeuvre en soi , ainsi,

    plus que dans n’importe quelle autre manière de faire,

    je trouve

    et c’est divin à vivre

     

    si je suis uniquement en mode prostatique,

    ne sollicitant que ses ondes, donc,

    au lit, mon bassin s’immobilise,

    je suis couché toujours, sur le dos,

    les cuisses s’écartent fort pour qu’il n’y ait aucun contact avec les génitaux,

    les genoux repliés vers l’extérieur,

    les deux plantes de pieds se collent l’un contre l’autre

    et ainsi, dans le bassin,

    il n’y a plus que les contractions des muscles du périnée et autour de l’anus

    qui bougent en moi

     

    et puis les doigts qui voyagent inlassablement sur la peau,

    rien que les bouts de doigt, donc,

    même méthode que hors du lit

    pour maintenir un équilibre avec les ondes de la prostate,

    c’est juste parfait

     

    #44253
    brother
    Participant

    cette semaine j’ai réalisé des séances tout les jours ; j’utilisas le Helix syn vibrant. En configuration non vibrante durant 30 minutes puis en mode vibration très légère dans un deuxième temps.  j’atteignais des pics de plaisir mais je ne savais pas si cela était des orgasme ou pas ; hier j’ai fait une séance sans utiliser les vibrations en mode relâché; fesse écarté et là les pics furent d’une intensité jamais atteinte à couiner comme dans un mauvais porno !!!!!

    Orgasme ???? je ne sais toujours pas mais de nouvelles sensations  sont apparus et ont parcouru tout mon corps …..

    A PLUS POUR DE NOUVELLES AVENTURES

     

    #44252
    brother
    Participant

    personnellement

    en écartant très légèrement les fesses avec les mains cela amplifie le phénomène de vibration de la prostate  car les fesses  bloquent  l’helix ; et le visionnage de vidéo Olé fait tout exploser

     

    #44245
    Logos
    Participant

    J’ai déja essayé, mais si je ne fais rien, je m’ennuie ou je m’endors. Le coté “sensualité presque spirituelle” fait pire parce qu’elle me met plutot en rogne.
    Au final, tout ce qui concerne l’état d’esprit, etc, cela va avoir au final plus tendance à me bloquer parce que je vais y penser et m’énerver la dessus ^^

    Ici, je vais tâcher de suivre le conseil de ne toucher à rien, et ne rien chercher d’autre que de trouver la bonne sequence/force à appliquer pour lancer les spasmes.  Pour l’instant, j’arrive aux contractions internes, je peux sentir les mouvements de l’eupho et du helix, mais elles amenent à des contractions plus fortes qui finissent par inhiber. J’ai enchainé des contractions totales et fortes suivies d’un relachement progressif, mais ca ne mene à rien, même si je les enchaine pendant 1h. Je vais tenter des contractions moyennes tenues dans le temps, pour voir.

    Au final, je sais que je pourrai probablement me détendre un peu plus mentalement, mais certainement pas aux stades que vous décrivez. Au pire, si cela fait que je ne pourrai pas aller plus loin, je n’aurai qu’a recâbler comme simple amplificateur d’orgasme éjaculatoire rapide.

    Au final, les différents points clés de ma pratique sont les suivants

    -O. éjaculatoire sans contact penien (d’ailleurs, sans même erection tant que l’aneros est en place, sauf dans les dernieres secondes) avec le helix et l’eupho, mais en m’aidant d’une main pour amplifier le mouvement. En général, j’essaie sans pendant une bonne heure, et si ca n’avance pas, j’utilise une main pour amplifier le mouvement de balancier. En général, j’arrive à un moment ou je tire sur l’aneros pendant que je contracte aussi fort que possible, on dirait que ca démarre quelque chose, j’alterne des haut-bas-gauche-droite, souvent en pressant un peu les bourses. Au final, ca fait un peu masturbation clitoridienne version mec ^^

    -Mitigé avec le wand Njoy : Un peu de mal à voir jusqu’où il doit aller, une fois la zone repérée, ca monte bien avec des mouvements circulaires (ca a un petit coté borne d’arcade, ca distrait le neurone analyste). Je sens une montée de tension, mais pas trop au dela des sensations réellement ressenties, à partir d’un certain stade (juste assez pour augmenter les battements cardiaque et faire un peu transpirer mais sans plus)

    -Echec avec les vibration de l’helix. A moins de les garder pour le dernier moments, apres genre une minute, je dois augmenter en V2 puis 3 et cela coupe tout
    -Echec avec le progasm jr : surtout l’impression que cela écrase. Je le trouve trop envahissant, ce qui me bloque

    -Mental : Je m’exerce le we quand j’ai le temps, ou en semaine  (ce qui n’aide pas au sommeil vu la longueur des sessions). En général avec l’eupho en semaine (parce que je m’exerce environ 2 jours sur 3 et l’eupho étant moins gros, j’ai l’impression de moins soliciter les boyaux. Avec des sons binauraux,la détente etc je peux arriver a un genre d’état semi hypnotique ou je me concentre sur la prostate.  La difficulté encore une fois est que sans stimulation visuelle, cela m’ennuie tres vite. Et avec, j’ai plus de mal à rester concentré sur les sensations internes, grr.

    Je sens que je bloque pas loin de l’enchainement de spasmes, mais c’est a cause des questions techniques non résolues qui prennent systematiquement le pas. Avec quelle force contracter, est-ce que les spasmes doivent etre rapides ou pas, avec un retour a l’état de détente, ou depuis un état de contraction interne de plus en plus conséquent, etc.

    En fait, je pensais pouvoir trouver une animation anatomique,genre schema actif, mais a part une tres courte video, il y a étonnement peu et je n’ai pas la patience de juste écouter des gens discuter de ca en mode facecam sans autre support d’info ^^
    Enfin, j’imagine que si le cheminement était simple, cela se saurait. Le bon point est que si j’y arrive quand même un jour, j’aurai l’analyse technique en bonus avec

    #44241

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    cela faisait une demi-heure que j’étais réveillé,

    une demi-heure que je n’arrêtais pas de jouir,

    j’utilise ce mot de “jouir”

    car c’est celui qui convient le mieux

    pour décrire cette sensation d’ineffable  dans ma chair

     

    une sensation, en même temps, extrêmement localisée

    et qui, instantanément, semble se répandre, à tout mon être,

    de fond en comble, jusqu’au fin fond de mon âme,

    de l’ineffable, du soyeux, qui nage de tous les côtés,

    une sorte de caresse intérieure, chaude, douce, légère

    mais en même temps, tellement dense,

    densément douce, doucement dense,

    semblant tellement pénétrer partout et nulle part

     

    chacun de mes gestes, de mes mouvements,

    la moindre contraction, le moindre effleurement,

    le moindre changement de position,

    provoque un lent tournoiement de milliers de micro-tentacules soyeuses,

    un mouvement dans un mouvement qui déclenche un autre mouvement,

    un double, un triple, un quadruple, mouvement,

    une myriade de mouvements

     

    le yin, tellement envahissant et tellement envahi du yang,

    lui bouge en elle,

    ils bougent ensemble, en moi,

    sans se préoccuper le moins du monde, de moi,

    ils forment une cellule indivisible, frémissante,

    pour l’instant, indépendante,

    en mouvement en moi

    qui déclenche une réaction en chaîne, de la part de ma chair

    qui lui-même provoque une réaction en chaîne, de leur part,

    ma chair interagit avec eux,

    tellement de flux de vibrations, en mouvement,

    ressentis

     

    suis-je en train de jouir?

    des mots, des mots, rien que des mots, des coquilles vides

    mais le pouvoir suggestif, est là, j’espère

    pour quelques instants, pour vous,

    en vous

     

    quoiqu’il en soit, me voilà dans l’obscurité, sur mon matelas,

    me tordant doucement sur place,

    me caressant, gémissant, râlant

     

    le matériau que je caresse,

    est tellement différent de ma chair, soudainement,

    je me suis mis à caresser le matelas,

    mais, en même temps, c’est comme si je continuais à me caresser, moi,

    moi mais d’un matériau différent,

    toujours moi, cependant,

    moi, incandescent,

    le matelas, semble une prolongation incandescente,

    fait d’un autre matériau,

    de moi-même,

     

    désormais, j’étreins avec passion, le coussin,

    je le presse, je le tords,

    vous m’avez bien lu,

    c’est plus fort que moi,

    j’ai commencé à étreindre avec passion, le coussin

    mais en même temps, c’est toujours moi,

    un moi prolongé dans un autre matériau,

    oh comme c’est ineffablement jouissif, ce moi qui semble se répandre,

    me voilà de coton dense, trituré, malaxé, palpé,

    ma viande, mon sang, mes nerfs,

    sont de coton, trituré, malaxé, palpé, pour l’instant

     

     

     

    #44240

    En réponse à: Retour après 1 an de pause

    bzo
    Participant

    Les vibrations ont gagné en intensité, et j’ai ressenti une explosion de plaisir énorme (comme lors de l’éjaculation mais bien plus percutante). Les vibrations internes étaient puissantes et procuraient du plaisir sans que mon corps ne bouge.

    bravo, tu y es arrivé,

    c’est la première fois qui est la plus dure

    les suivantes, immédiatement après, encore un peu compliquées,

    car tu es impatient, malgré toi, de revivre cela

     

    après, une fois que tu auras vécu quelques orgasmes prostatiques,

    tu commenceras à avoir la main,

    cela roulera de plus en plus, tout seul

     

    Il m’est apparu une série “d’orgasmes” plus virulents : le corps entier ayant des spasmes et des cris de plaisir incontrôlés.

    Cependant, ces orgasmes n’étaient accompagnés d’aucun plaisir ressenti, simplement mécaniques.

    Voila ma question : d’après vous pourquoi n’ai-je pas ressenti de plaisir lors de ces plus gros orgasmes ? 

     

    ne t’inquiète pas, tu n’es pas le premier à rapporter ce genre de phénomène,

    c’est assez courant, ton corps n’est pas encore habitué à tant de puissance, dans les tuyauteries,

    il est décontenancé mais cela passera

     

    mais tout cela est splendidement encourageant,

    tu es sur le seuil d’un plaisir prostatique,

    en train de se faire son nid, dans ta chair

     

    tu as réussis à provoquer l’étincelle décisive,

    c’est bien cela qui compte,

    le reste n’est plus qu’une question de temps,

    de bien s’habituer à ce qui se passe,

    que ton corps puisse prendre ses marques

    et puis surtout, toi, par rapport à ton corps ,

    tellement en roue libre, tellement rugissant

     

     

    #44239
    Ncls0
    Participant

    Bonjour à tous,

    Pris d’un élan, j’ai décidé de me lancer à nouveau dans cette expérience après une année de pause.

    Il faut savoir que lors de mes premiers pas, j’avais eu beaucoup de difficultés notamment dû à une difficulté à me détendre, une crispation aux moments où le plaisir arrivait, beaucoup d’impatience … bref la galère.

     

    Je prends le temps de partager mon expérience car j’ai eu la chance d’atteindre par hasard (ou pas) un orgasme.

    L’avantage, c’est que c’est comme le vélo, on n’oublie pas tout en un an.

     

    Je commence par une douche chaude, je me positionne sur le côté et commence mes exercices de respiration.

    Naturellement je commence, à effectuer des contractions : je dirais même des micro-contractions (avant j’avais tendance à vouloir les accentuer volontairement pour “forcer” les choses). Je me suis rendu compte que les mouvements sont très faibles mais très subtils.

    J’ai alors décidé de me concentrer uniquement sur ma respiration et arriver à visualiser ce minuscule point (c’est comme ça que je l’ai ressenti) à l’origine des vaguelettes de plaisir.

    Plus je me détendais, plus je ressentais les vaguelettes, plus ce minuscule point m’apparaissait clairement, et plus je ressentais son intensité.

    J’ai réussi à obtenir un orgasme sans le vouloir (je dits cela car il semblerait que plus on cherche à l’obtenir et moins on l’a), la seule méthode qui m’est apparu a été de laisser faire les choses.

    Les vibrations ont gagné en intensité, et j’ai ressenti une explosion de plaisir énorme (comme lors de l’éjaculation mais bien plus percutante). Les vibrations internes étaient puissantes et procuraient du plaisir sans que mon corps ne bouge.

     

    Les sensations se sont calmées d’elles même et j’ai repris “le travail”.

    Il m’est apparu une série “d’orgasmes” plus virulents : le corps entier ayant des spasmes et des cris de plaisir incontrôlés.

    Cependant, ces orgasmes n’étaient accompagnés d’aucun plaisir ressenti, simplement mécaniques.

    Voila ma question : d’après vous pourquoi n’ai-je pas ressenti de plaisir lors de ces plus gros orgasmes ? 

    Est-ce par ce que mon cerveau n’a pas encore associé ces événements à du plaisir ? Ou parce que j’ai sans le vouloir contracté mon corps, d’où les spasmes, ce qui a empêché le plaisir de monter ?

     

    PS : J’ai essayé la stimulation des zones érogènes avec les mains mais cela ne fonctionne pas sur moi car cela ajoute du plaisir au niveau du pénis et cela brouille les pistes. Mon cerveau n’a pas fait la transition encore.

     

    Voila pour mon témoignage, pause demain, et j’espère repartir pour de nouvelles aventures.

     

    #44232

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    oh, je n’ai qu’à être nu dans mon appartement,

    le plaisir me rejoint immédiatement,

    m’accompagne joyeusement,

    il est comme un grand oiseau dans ma chair,

    je sens ses plumes frémissantes, je sens son duvet chaud,

    je sens ses ailes s’ouvrir, dans la moindre de mes cellules,

    je sens son vol, de tout mon être

     

    quelle fête de tous les instants,

    il n’y a qu’à laisser parler mon désir,  laisser courir mon imagination,

    mon corps, lui, se tient prêt à me répondre,

    à soutenir le challenge,

    où que je sois, dans n’importe quelle position que je sois,  quoique je fasse,

    parfaite complicité, totale complicité,

    il y a toujours un petit quelque chose, en plus, à faire,

    pour que n’importe quel geste, n’importe quel mouvement,

    n’importe quelle positionnement dans l’espace,

    n’importe quelle activité du quotidien,

    se transforment en un réservoir de sensations ineffables,

    nageant dans tous les sens,

    comme des myriades de poissons, dans une nasse

     

    courez mes doigts,

    montrez de la curiosité pour chaque centimètre carré de peau,

    allez visiter les recoins les plus lointains,

    le plaisir s’est implanté partout, a envahi tous les territoires,

    est prêt à jaillir de partout

     

    cette peau est  vibrante, résonnante,

    comme celle d’un tambour,

    au moindre contact, au moindre effleurement,

    même il suffit de souffler dessus,

    pour que cela mette en mouvement,

    de grands courants vibratoires,

    sous elle

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