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20 sujets de 21 à 40 (sur un total de 133)
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  • en réponse à : Ma partenaire est réfractaire. #30896
    Ch313
    Participant

    Bonjour Épicture,
    Plutôt que de donner une référence, un numéro dans une bibliothèque je préfère répondre d’une façon plus détaillée pour répondre à ta curiosité.
    Aussi je vais développer et poster ma réponse sur mon autre fil (Ma séance type) qui correspond plus comme thème.
    À plus

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #30894
    Ch313
    Participant

    Wahou !
    Déjà huit heures sont passées, dans mon fauteuil, je regarde la télé et mon ‘anus-pussy’ (coucou Bzo) m’interpelle encore. Il m’envoie des vagues ‘électriques’ de sensations qui remontent par le plexus.
    Jusqu’à ma gorge qui se dilate, mes joues s’enflamment, je me sens rougir jusqu’au yeux.
    Des spasmes me secouent, ma compagne qui est à côté est partie rejoindre Morphée.
    Les contractions vont et viennent, mes doigts caressent ma vulve et mes seins, j’ai quatre mains.
    Ma langue roule ma salive alors que les va et vient de mon pussy s’amplifient.
    Mes tempes sont brûlantes, j’ai du mal à dissimuler mes spasmes.
    Mon ventre, mon bassin ondulent lentement, langoureusement, mes paupières me ‘piquent’ comme si j’allais pleurer. Je ‘régule’ avec de profondes inspirations longues et discrètes.
    Mais je sens que je mouille, mon vaginus masturbe allègrement le sexe qui me pénètre.
    Je pleure de félicité. Je masturbe mes seins doucement (discrètement), ma gorge roule mes gémissements inaudibles, les contractions de mon pussy vont et viennent de plus en plus intensément, je me ‘déverse’ dans ma culotte. Avec autant de larmes qui brouillent me yeux.
    Ma respiration est courte.
    Je sens les vagues pulser dans mon urètre à chaque contraction, de plus en plus tremper ma culotte. J’ai les joues brûlantes.
    Je vais au toilettes ‘éponger’ mes débordements, spasmes et contractions diverses m’animent au plus profond de moi. Je me ré-installe dans mon fauteuil. Des vagues de chaleur brûlent ma tête.
    Mais la sensation retombe. Elle (ma compagne) s’est réveillée.
    Voilà une heure de télé ‘brûlante’ dans un autre monde.
    C’est ma vie en direct-live que je vous livre en instantané

    Merci Bzo pour tes propos chaleureux

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #30892
    Ch313
    Participant

    Dans l’expérimentation, l’apprentissage, la recherche de ‘LA’ sensation, cela fait plusieurs fois qu’au milieu de la nuit je m’introduis l’Helix en espérant qu’il se passe ‘quelque chose’.
    Je m’endors tranquillement, rapidement sans aucune sensation qui m’inviterai à une ‘séance’.
    C’est une pratique que plusieurs ont rapporté voire conseillé dans ce forum.
    Laisser le corps seul dans le sommeil appréhender le masseur, réagir, inter-agir avec lui sans aucune intervention de la conscience me parait un objectif intéressant.
    Mais au réveil (au bout d’un cycle de sommeil environ deux heures et demi) RIEN…
    Je sens qu’il est là mais cela ne déclenche pas de réaction chez moi.
    Parfois j’abandonne, parfois j’essaye de provoquer un début de réaction.

    Ce matin je me lève donc, je m’installe dans mon fauteuil avec plusieurs serviettes…
    Dès que je me détends, les spasmes commencent à m’agiter. Une chaleur se diffuse dans mon bassin, je suis déjà ‘partie’.
    J’ai la vulve en feu, inondée, les va et vient de mon bassin deviennent puissants…
    Les contractions s’amplifient, je me cambre les cuisses largement ouvertes.
    Mais dans la jouissance d’une contraction suprême le masseur s’expulse,
    Ma main promptement le remet, je jouis, je me répands chaudement sur mon ventre.
    Les contractions deviennent violentes, le masseur s’éjecte à nouveau.
    Je l’enfonce le plus profondément que je peux, je m’inonde à nouveau.
    Totalement cambrée cela coule sur mon ventre, j’étale cette huile de plaisir jusque sur mes seins, les massant, les pincent avec délices.
    À nouveau le masseur ressort, je le remets aussitôt, ma main toute huileuse le maintient.
    Mes doigts pressent mon anus pour le maintenir en moi.
    Mon majeur presse mon périnée, glisse jusqu’à l’anus, lentement en petit ronds écarte le masseur, s’introduit en moi.
    Pendant plusieurs minutes il farfouille en moi, je squirte encore et encore…
    Je sens mon sphincter aller et venir massant, suçant mon doigt….
    je baise mon doigt ! Je fais l’amour à mon doigt Délires total !
    Je suis hors conscience, je tremble, je me branle de partout ?
    ….
    Mais le jour se lève, il me faut revenir, j’éponge tout ça avec un plaisir satisfait.
    Plus d’une heure un quart d’effervescence, de plaisirs et d’orgasme qui diffuse encore maintenant une douce chaleur dans mon corps.
    De l’écrire maintenant provoque encore des vagues de contractions qui ‘mouvent’ le masseur que j’ai gardé en moi et m’agite dans des spasmes incontrôlés.

    C’est ‘à chaud’, presqu’en direct, je me dépêche de le poster.
    À plus, bonne journée….

    en réponse à : Ma partenaire est réfractaire. #30849
    Ch313
    Participant

    Merci Bzo, merci Épicture, pour votre attention à mon égard.
    J’ai beaucoup de difficulté pour ‘écrire’, je n’ai pas le lyrisme de Bzo, je n’ai pas la ‘faculté’ de transcrire ce que je ressens ou ce que je pense aussi ‘bien’ que vient de le faire Épicture.
    Je me reconnais tellement dans ce qu’il vient d’écrire, je jurerai que c’est mon double.
    Moi je reste très basique, trop près de ‘la chose’ que je veux dire, mon approche est trop technique. Je ne sais pas développer mon propos. Je trouve les mots trop faible pour traduire mon mon ressenti ou ma pensée. À posteriori, il me faut souvent plusieurs heures pour décrire un moment qui n’a duré que quelques dizaines de minutes qui était très intense. Je n’ai pas cette facilité, c’est pour ça que j’écris si peu et que je préfère mon direct-live même s’il est succinct.
    Pour l’instant je pratique d’une façon très contenue car les contractions ne manquent pas de me rappeler mon hernie, il faut que je fasse attention. Le gastroentérologue que je viens de consulter m’en prévient, surtout avec mon ‘déficit’ de sensibilité. Mon médecin traitant m’à fait la même recommandation. La prochaine étape est une coloscopie.

    Mon dilemme profond, je le résume en un mot : partage.
    Dans mon ‘intérieur’ je pratique le partage entre mon féminin est mon masculin, et mon désir fou est de le partager avec ‘autrui’ et me sentir ‘moi’ totalement réalisé.
    Aimer ‘moi’, aimer l’autre, vaste confusion de la pensée et des sens…

    Encore merci, à plus.

    en réponse à : Ma partenaire est réfractaire. #30842
    Ch313
    Participant

    Je suis toujours en plein désert, j’avais cru entrevoir une lueur mais ce ne fut qu’une étincelle. Elle n’a finalement pas allumé de flamme.
    Je reprends parfois quelques entraînements, de petites séances, petits plaisirs pour ne pas sombrer dans le désespoir. Je n’ai guère de motivation à écrire.
    Je vois que le forum est toujours très actif, alors voilà mon dernier épisode.

    Cet après midi ma compagne est chez le dentiste
    Je suis dans ma voiture sur le parking. Avant le départ j’ai introduit les boules vibrantes. Je mets les écouteurs avec une musique binaurale. Le smartphone est prêt à recevoir mes notes.
    Je me détends, les vibrations sont au minimum. Je laisse faire et déjà de légers spasmes me parcourent. Je détends encore mon bassin pour les atténuer.
    Les vibrations se propagent dans mes cuisses par instant.
    Des contractions en vagues douces caressent les boules mon pubis est bouillant, mon vagin joue avec mon gland, le masturbe délicatement.
    Je l’aspire à chaque contraction la vague reflue sous mon plexus, les contractions s’amplifient , mes lèvres vibrent de concert. Elle sont déjà trempées, je mouille vraiment heureusement le mouchoir n’est pas loin.
    Les spasmes reviennent, mon bassin est envahi de tremblements. Ma respiration s’affole.
    Je me détends au niveau des reins, les contractions vont et viennent à un rythme plus soutenu. Les vibrations montent dans ma poitrine et dans mes omoplates.
    Je calme ma respiration, ma gorge palpite au rythme des contractions qui deviennent lentes et langoureuses. Je gémis doucement je jouis longuement, plusieurs fois, je mouille, je squirte le mouchoir est trempé.
    Et je repars dans de folles vagues de plaisirs. Baises-moi…
    Mes mains tremblent je ne peux plus écrire.
    Encore un long moment de jouissance

    J’aperçois ma compagne qui revient. Moi je ‘reviens’ au monde réel.
    Voilà une heure et demi de plaisirs intenses. En direct-live!
    Mes séances sont plutôt du genre apprentissage mais de plus en plus fréquentes, bientôt quotidiennes. Les sensations sont toujours présentes même si je me réfrène un peu (beaucoup)
    À suivre

    en réponse à : Sexualité transgenre #30429
    Ch313
    Participant

    Pour ce que j’en ai retenu, les liens, relations (essentielles) sont “seulement” ICI et MAINTENANT
    Se concentrer sur soi sans aller au-delà et sans associer un passé ni projeter un futur.
    Vivre le présent
    Et en nous c’est tellement bon
    Bises

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #30426
    Ch313
    Participant

    Cher Bzo,
    Ce matin au réveil, je n’avais pas d’attente, pas de fantasme en tête.
    Quand je me dis : je mettrai bien l’Helix, je n’ai pas de dessins à venir.
    Comment cette seule pensée a-t-elle pu déclencher une telle réaction, si soudaine, si puissante. Alors que je n’ai pas encore pensé à comment je vais m’organiser.
    Une libido (ou une chose) inconnue, cachée, incroyable m’a pris de vitesse profitant d’un laisser-faire complice et d’un lâcher-prise exceptionnel.

    Un autre point à souligner, c’est l’arrêt du processus. Comment se déclenche-t-il ? Je réitère ma notion de superviseur, je se sais pas comment nommer cette faculté qui est totalement inconsciente et que j’associe à un fonctionnement hypnotique.
    Aujourd’hui comme dans une situation précédente le critère déclencheur est l’appréciation de l’environnement de l’action. Dans un cas comme dans l’autre, j’aurais pus réveiller ma compagne, ce que ‘quelque part’ je me suis interdit.
    Aujourd’hui j’ai du trembler énormément à côté d’elle, mais peut-être que le physique réel n’était pas si violent’ je ne le sais pas. Mais elle m’a fait une réflexion sur mes levers nocturnes. Peut-être à t elle eu quelques retours de mon état.
    Précédemment je ne sais pas comment je suis arrivé à ‘l’étape’ où je me masse, caresse la jambe et que mes doigts arrivent autour de mon anus. Mais c’est à ce stade qu’il y a eu un Stop, et pourquoi j’ai pensé à toi, à ta pratique.
    Le fonctionnement est très mystérieux. Je ne le maîtrise pas mais je l’utilise et il faut que je lui fasse confiance. Je le rapproche de ce qu’on dit en pratique hypnotique : on ne peut pas obliger le ‘patient’ à faire ce qu’il ne veut pas.
    J’ai encore beaucoup à apprendre. Mais pour le moment je suis plus en quête de recréer une relation sexuelle avec ma compagne.

    À plus

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #30414
    Ch313
    Participant

    Panique

    Je me réveille, il est quatre heures. C’est bonne heure me dis-je.
    Que vais-je faire ? Je n’ai pas besoin d’aller au toilette. Je me tâte, je ne suis pas en érection. Mais une envie me ‘titille’. Je me dis si j’allais chercher mon masseur (il n’est pas à portée de main).
    Mais quelle porte ai-je ouverte soudainement ? Je n’ai pas le temps de mettre mon désir à exécution que de violents spasmes me font sursauter.
    Catastrophe, je vais réveiller ma compagne. Il faut que je me calme mais je n’arrive pas à reprendre le contrôle.
    Je sens comme une bille dans mon bas ventre. Je pense immédiatement : serait-ce ma prostate ? Alors pourquoi faudrait-il que j’arrête ce processus ? Mais les tremblements continuent. Je me retourne à plat ventre sur le matelas, mon sexe est en érection, je me cramponne au matelas.
    Je perds pieds …
    Je ne sais pas comment j’arrive à reprendre le contrôle. Je me remets sur le dos pour me détendre avec ma pratique habituelle.
    Il faut que je retranscrive cela. Je me lève, je prends ma tablette, il est cinq heures.
    J’ai l’impression que cela n’a duré que quelques minutes, c’était fulgurant. Je ne me souviens pas de tout ce qui s’est passé dans cette heure.
    Je me censure ? Est-ce que je refuse ma prostate ? Qu’est-ce qui en moi ferme cette porte ?
    je suis désemparé par cet épisode. Je n’arrive pas à identifier cette faille et si cela se reproduira.
    Il faut que je déconnecte, je vais déjeuner.

    À plus…

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #30392
    Ch313
    Participant

    Des à-côtés. . .
    Je poste ce message ici, car général pour mon cas mais surtout en pensant à Pierre 772.
    Je fais partie de ceux qui ne ‘sentent rien’ (ne sentais rien) ne trouvent pas leur organe appelé prostate etc. . .

    Un petit retour dans le passé : en bref, las de la masturbation, j’ai voulu expérimenter le plaisir anal avec beaucoup plus de déboires que de plaisir.
    Avant de trouver l’Aneros, j’ai essayé plusieurs plugs sans succès.
    Même avec l’Helix je ne trouvais pas de plaisir.

    J’ai essayé le ‘chapelet’ anal, c’est à peine si je sentais les boules passer. Je savais pas jusqu’où je pouvais le pousser (il fait trente centimètres). Juste en le retirant je pouvais sentir le boules en tirant lentement une à une. Je l’ai laissé très longtemps au fond d’un tiroir. Je l’ai ressorti il y a quelques temps pour tester l’évolution de mes sensations. Comme je l’ai constaté par d’autres moyens, mon anus est devenu plus ‘présent’, plus sensible. Je sens mieux passer les boules une à une. Mais je ne sens pas plus loin en moi. Pour prendre plus de plaisir je souhaiterais que ce soit un (une) partenaire qui manipule l’objet. Ses mouvements improvisés pourraient me surprendre, l’auto stimulation ne m’apporte pas beaucoup de plaisir.

    Un plug qui me plait beaucoup c’est le Bootie (de Fun Factory). J’ai commencé avec le Small mais attendu le peu de sensations j’ai très rapidement acquis le ‘L’.
    Il me plait beaucoup, sa grosseur me ‘remplit’ bien, il m’est confortable. Je sens bien qu’il est en moi, je peux le porter plusieurs heures d’affilée, peut importe l’activité que je fais. Je l’ai un peu modifié en affinant la tige entre la poignée et la ‘masse’ qui presse la prostate, autrement quand le plaisir me surprend avec les contractions je le perdais.
    Je sens la masse en moi, mais sans plus. La sensation la plus présente est davantage au niveau de l’anus (mes sensations se sont amplifiées, améliorées à ce niveau) et des fesses qui se trouvent massées par la large poignée.
    J’ai eu d’autres plugs, plus en plastique bas de gamme qui ont fini à la poubelle.

    Les joujoux que j’ai trouvés plus intéressants sont les boules. Celles que j’utilise sont les Balls de Fun Factory, modèle Uno ou Duo. Je les porte assez souvent, surtout en balade. Avec elles j’ai beaucoup progressé dans la sensation de mon cul.
    Au début je ne sentais pas grand’chose. Mais j’ai pris conscience des ‘blocages’ crispations diverses, contractions permanentes (pour me retenir d’uriner – j’urinais très peu souvent – par exemple) qui ‘masquaient’ les vibrations des boules.
    Aujourd’hui j’utilise aussi des boules vibrantes.
    Le but est de relier les différentes contractions que je sais produire au sensations ressenties des vibrations. C’est plutôt un exercice d’entraînement. Parfois j’arrive à sentir les vibrations se propager au creux de l’aine jusqu’à la racine de mes cuisses même et surtout au plus bas niveau se stimulation. Je les porte jusqu’à une matinée entière avec plaisirs.

    À plus

    en réponse à : Après opération adénome prostate #30391
    Ch313
    Participant

    Bonjour Pierre,
    Ne pas avoir de sensations agréables avec un masseur (ou un autre objet) est une chose que je connais bien.
    Mais s’il fait plutôt mal, ce n’est pas une bonne chose. Il ne faut surtout pas forcer. Personnellement je suis arrivé à me faire saigner.
    Il faut en rechercher la raison d’abord physique. La taille est-elle adaptée à ton anatomie ? Est-ce que la lubrification est suffisante ? Y a-t-il une autre cause possible ?

    Ensuite est-ce que la décontraction des muscles permet une pénétration facile ?
    Pour moi, même si la pénétration se révèle très aisée je me suis rendu compte que j’étais très contracté dans le bas ventre ce qui était contre-productif. Des essais avec des boules m’ont beaucoup apporté sur ce point.

    Est-ce que la méthode de mise en condition physique ou mentale te permet
    Tu parles aussi de supports d’excitation.
    Certes des pensées, fantasmes peuvent aider, mais pour moi les vidéos pornographiques ne m’ont été d’aucun secours. Aucun progrès avec ça.
    Je pense qu’un support extérieur captive beaucoup trop l’attention et monopolise les pensées et la concentration que l’on ne peut pas accorder à la recherche des ses sensations.
    Pour avoir essayé d’approcher ma compagne en ayant inséré un masseur avant, je ne suis pas arrivé à me concentrer sur mon cul et appréhender ce qui se passait même si j’ai pu avoir un rapport avec elle.
    Ce ne fut pas une bonne idée dans ma recherche prostatique. Tout se passe en interne c’est là qu’il faut se concentrer.

    Certes ce n’est pas un bon plan d’investir dans un nouveau joujoux si il n’y a pas de piste à explorer pour améliorer l’usage que tu peux en faire.

    Je te souhaite bon courage et persévérance pour ton cheminement.

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #30381
    Ch313
    Participant

    Je voulais rajouter (mais je ne trouve pas l’option modifier)
    Je n’ai jamais senti mon cul aussi large, aussi ‘ouvert’, aussi prêt à accueillir mes doigts. Mais je juge que l’environdement n’est pas propice, c’est pour cela que je décide d’arrêter.
    Merci à Jiefe, Bzo, et Naomi

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #30380
    Ch313
    Participant

    Délire nocturne
    Alors qu’il n’est pas encore trois heures (j’ai regardé l’heure), je me réveille en transes. Je suis plein de tremblements, de spasmes, en pleine érection.
    Je prends ma verge à pleine main en pensant y mettre fin par une masturbation libératoire. Mais rien n’y fait, au contraire, bouche grande ouverte je crie sans bruit. Je suis dans la dissociation ? Je tremble de plus en plus, pour ne pas réveiller ma compagne, il faut que je m’arrête. Plus j’essaye de contrôler ma respiration, plus c’est elle qui me dirige. Mon corps a pris possession de moi. Je ne sais plus qui je suis.
    Mes mains ont abandonné ma verge, elle n’est même pas humide.

    … trou de ‘mémoire’… ou occultation ?

    J’invoque Naomi, tu es dans mon désir ?
    Je suis fou, je fusionne. Mes mains sur ton corps c’est mon corps dans tes mains.
    Quel vertige ! Pourquoi elle est dans moi ? Mes seins contre ses seins irradient d’une chaleur fusionnelle.
    Plus j’essaye de me rattacher à la (une) réalité, plus je suis dans un éther insondable.
    Cette ‘réalité virtuelle’ dépasse mes capacités de transcription. Cela dépasse ma mémoire.
    . . .
    Je caresse mon pieds, je remonte langoureusement le long de ma jambe, puis ma cuisse. Mes doigts m’enveloppe la fesse, chatouillent mon anus avec l’envie folle de me pénétrer.
    Qu’est-ce qui m’arrive, je me prends pour Bzo maintenant ? À trop le lire deviendrais-je lui ? Qu’est-ce qui se passe ? Comme si je me dédoublais …
    Pas possible, il faut que je sorte de ce sortilège.
    Cela fait déjà une heure et demi que ça dure, je prends un grand coup de courage. Je me lève et je prends ma tablette pour vous conter mon voyage. Mais je tremble encore.
    Bises à vous …
    Je ne sais pas vraiment où poster ce CR, excuse-moi Andraneros si je le poste deux fois.

    en réponse à : Ma partenaire est réfractaire. #30379
    Ch313
    Participant

    Délire nocturne
    Alors qu’il n’est pas encore trois heures (j’ai regardé l’heure), je me réveille en transes. Je suis plein de tremblements, de spasmes, en pleine érection.
    Je prends ma verge à pleine main en pensant y mettre fin par une masturbation libératoire. Mais rien n’y fait, au contraire, bouche grande ouverte je crie sans bruit. Je suis dans la dissociation ? Je tremble de plus en plus, pour ne pas réveiller ma compagne, il faut que je m’arrête. Plus j’essaye de contrôler ma respiration, plus c’est elle qui me dirige. Mon corps a pris possession de moi. Je ne sais plus qui je suis.
    Mes mains ont abandonné ma verge, elle n’est même pas humide.

    … trou de ‘mémoire’… ou occultation ?

    J’invoque Naomi, tu es dans mon désir ?
    Je suis fou, je fusionne. Mes mains sur ton corps c’est mon corps dans tes mains.
    Quel vertige ! Pourquoi elle est dans moi ? Mes seins contre ses seins irradient d’une chaleur fusionnelle.
    Plus j’essaye de me rattacher à la (une) réalité, plus je suis dans un éther insondable.
    Cette ‘réalité virtuelle’ dépasse mes capacités de transcription. Cela dépasse ma mémoire.
    . . .
    Je caresse mon pieds, je remonte langoureusement le long de ma jambe, puis ma cuisse. Mes doigts m’enveloppe la fesse, chatouillent mon anus avec l’envie folle de me pénétrer.
    Qu’est-ce qui m’arrive, je me prends pour Bzo maintenant ? À trop le lire deviendrais-je lui ? Qu’est-ce qui se passe ? Comme si je me dédoublais …
    Pas possible, il faut que je sorte de ce sortilège.
    Cela fait déjà une heure et demi que ça dure, je prends un grand coup de courage. Je me lève et je prends ma tablette pour vous conter mon voyage. Mais je tremble encore.
    Bises à vous …
    Je ne sais pas vraiment où poster ce CR, excuse-moi Andraneros si je le poste deux fois.

    en réponse à : Ma partenaire est réfractaire. #30367
    Ch313
    Participant

    Nuit magique …
    nous nous couchons proche l’un de l’autre, habituellement nous sommes loin de l’autre le lit est grand. Je la caresse légèrement. Elle me semble détendue, me laisse faire.
    Elle se met sur le dos et pose ma main sur son ventre. Doucement je descends à son pubis caressant sa touffe. Avec précaution je m’aventure à ses lèvres, je les caresse, mais elle ne semble pas vouloir que mes doigts s’insinuent davantage. Elle remonte un peu ma main. Je découvre son clitoris : c’est la première fois que je le sens bander si volumineux.
    Je le caresse longuement en tous sens. Elle ne manifeste pas beaucoup, mais à son souffle, je sens qu’elle a plusieurs vagues de plaisir. Quelques légères contractions de son corps trahissent aussi son plaisir. Mais je sais pas si elle arrive à un orgasme.
    Au bout de plusieurs sommets de plaisir, rapidement elle vient sur moi me surprenant. Je suis décontenancé. Elle me demande « la pompe », le lubrifiant. Mais elle en met trop, je débande. La pénétration se fait avec labeur, mais cela va vite revenir. Une belle chevauchée, douce et profonde. Super !
    Il y a quelques alertes au désagrément (ou douleurs) mais plusieurs vagues de plaisirs passent avant qu’elle se retire. Il est temps de ne pas insister. Nous nous endormons.

    Le matin je me lève et je déjeune comme tous les jour bien avant elle.
    Pour achever ma nuit, je vais chercher l’Helix que j’introduis rapidement. Très vite je suis dans mon univers
    Déjà quarante minutes de plaisirs, il me prend l’envie soudainement de la rejoindre, c’est bientôt le moment de son réveil. Je m’étends à côté d’elle, presque contre elle, je caresse sa cuisse mais elle me dit « ne bouge pas ». Alors je me fais plus doux moins pressant.
    « Qu’est-ce que tu veux ? » me demande-t-elle. Je lui demande si elle veut bien me caresser. Directement elle prend mon sexe dans sa main. Je suis surpris car habituellement elle passe par une longue phase d’approche, le ventre puis longtemps le pubis avant de toucher ma verge.
    Ma réaction est instantanée presque explosive. Je repars dans ma séance.
    Je la sens me masturber avec douceur et entrain. Je me laisse faire, je me laisse me faire dans un grand plaisir. Je suis en état d’orgasme, je tremble de partout, je tressaute. De longues vagues d’orgasme s’enchaînent, plusieurs fois. Je les laisse déferler en moi sans résistance et pourtant sans éjaculation même si j’en ai la sensation. Étonnant !
    Cela dure presque une vingtaine de minutes, elle souhaite se lever, retire sa main. Alors je me prends en main, elle m’accompagne encore pendant plusieurs minutes en me massant les testicules. Les vagues orgasmiques continuent de me submerger. Puis elle se retire doucement et se lève, je continue seul, jusqu’à ce que je m’apaise.
    Je suis stupéfait de ces vagues de plaisir. Est-ce plusieurs orgasmes ou le même orgasme avec plusieurs modulations. J’ai eu plusieurs fois la sensation d’éjaculer, je ne pensais pas que cela soit possible.

    Je jouis rien qu’à le raconter, je mouille complètement mon short !
    Serait ce le renouveau ?
    Bonne journée

    en réponse à : Ma partenaire est réfractaire. #30337
    Ch313
    Participant

    Rester sur cet échec me taraude alors je me force à la provoquer.
    Je l’entraîne dans la chambre l’invitant à faire une sieste.
    Je lui demande de me parler de sa sexualité. Je luis dis que je suis perdu parce qu’elle ne manifeste pas son ressenti, qu’il me semble qu’elle ne prends plus de plaisir.
    Elle reconnaît que ces deux dernières années ont été mauvaises. Que c’est douloureux sans savoir pourquoi.
    J’essaie de la ‘re-situer’ sexuellement. Elle n’aime pas le cunnilingus. Elle n’aime pas non plus la fellation, surtout pas sans capote. La moindre goutte est de trop, même pour me masturber. Elle ne se masturbe jamais.
    Je comprends que si elle le fait c’est pour mon plaisir. Si je ne le demande pas, il ne se passe rien. Si j’insiste, je passe pour un obsédé.
    Quant à la douleur ou la gêne je lui demande si une autre position pourrait améliorer la situation. Mais elle n’a rien à me proposer. Alors je lui demande si elle veut bien essayer de se mettre sur moi de cette façon elle peut contrôler la pénétration et je l’écrase pas en étant sur elle.
    Elle me surprend, elle veut passer aux travaux pratiques. Elle me demande si j’ai du gel (du lubrifiant). Je vais le chercher dans l’armoire car jusqu’alors elle le refusait quand je lui proposais, je suis surpris. Elle se lubrifie puis s’installe sur moi bien que je ne suis même pas encore prêt (la surprise). Je m’abandonne à son désir. Elle arrive à me prendre complètement (une première depuis dix huit mois). J’ai l’impression de découvrir son vagin, je n’ai jamais eu cette sensation.
    Je prends alors beaucoup de plaisirs, je me laisse aller. Toutes fois je contrôle mes soubresauts comme dans mes séances, je suis presque dans le même état c’est surprenant. C’est la première fois que je me ressens comme dans mes ‘voyages’ en étant en train de faire l’amour avec quelqu’un. Cela me ‘remplit’ . . .
    Je sens son vagin ‘présent’ comme jamais je ne l’ai senti.
    Mais elle me dit : « j’arrête » dommage mais je ne me sens pas frustré. Elle se dégage, alors je lui demande si elle veut bien me caresser. Non elle ne veut pas, je me masturbe alors, je prends sa main et la glisse entre mes cuisses contre mon périnée. J’aurais aimé qu’elle caresse mon anus avec en arrière pensées un massage prostatique. Mais elle ne reste pas, elle me masse alors les testicules pendant que je continue à me masturber avec beaucoup de plaisir. Jusqu’à revenir à une phase de repos.
    Je lui demande si elle a eu du plaisir. Sa réponse n’est pas claire, laisse à penser que oui.
    Mais je crois qu’elle était encore loin de la jouissance. Je ne l’ai pas senti ‘s’abandonner’.

    Comment préserver cette étincelle ? Faire grandir cette flamme.
    À plus…

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #30318
    Ch313
    Participant

    Séance particulière ce matin.
    Suite à mes déboires avec ma compagne et m’étant levé tôt, je m’installe pour une petite séance. Comme il y a longtemps que je n’ai pas pratiqué, je choisis d’utiliser le Progasm.
    Je n’ai pas de difficulté d’insertion, je mets très peu de lubrifiant. Je pourrais même m’en passer. J’ai une lubrification naturelle abondante je mouille comme une femme, quand je retire le masseur il y a une sorte de glaire translucide qui sort avec. Je l’insère donc sans relaxation préalable (en général avant même de m’installer).
    Je m’installe dans ma relaxation. (Voir le début de mon sujet).
    Je suis déjà en transe
    Je complète la description de mon état.
    Je suis détendue, mes bras reposent sur les accoudoirs. Mes mains sont totalement détendues,
    Mon sexe coule sur mon ventre.
    Je devrais éponger mais il m’est impossible de prendre l’essuie tout, je regarde sans réagir.
    En fait je me contemple, c’est mon corps qui contrôle, mon conscient semble être extérieur et suit avec délice et ravissement comme spectateur. Si je veux intervenir, je dois détruire cet état, je dois briser ‘le charme’ sous lequel je suis…. Je laisse faire… je tremble de toutes parts…
    Je squirte abondamment, ça dégouline… je jouis dans l’impuissance de mon conscient.
    Je me pénètre ma verge est dure je jouis avec elle, je jouis en elle, je l’aspire en moi. J’éjacule.
    Je réalise que j’ai ‘perdu’ le masseur (je croyais l’aspirer) je ne m’en suis pas aperçue. Mais je continue à jouir, à tressauter de toutes parts. Cela dure déjà depuis plus d’une heure. Il faut ‘revenir’ . . .
    À plus

    en réponse à : Ma partenaire est réfractaire. #30231
    Ch313
    Participant

    Bonsoir Naomi, bonsoir Jieffe,
    J’aime bien le cunnilingus. Mais je n’ai que peu de pratique.
    À part une fois ou deux, il ne me semble pas que j’ai pu lu apporter beaucoup de plaisir avec cette pratique. Il y a très, très longtemps que ce n’est pas arrivé. Elle semble ne pas l’accepter en ce moment. Je pensais que cette stimulation externe pourrait ‘remplacer’ la pénétration impossible mais cela semble tout aussi impossible. Si j’embrasse son ventre ou sa cuisse, elle me repousse, toutes mes tentatives se sont révélées infructueuses.
    Autrefois ce n’a jamais été une entrée en matière mais plus un palliatif à un non coït.
    Moi aussi le corps de l’autre me manque et pour l’instant je n’ai qu’elle.
    J’ai tellement envie, besoin de partager ma sexualité. Dans mes ‘voyages’ je ne suis jamais seul. Quel plaisir de prodiguer à l’autre sa propre jouissance. L’échange physique me manque.
    À bientôt

    en réponse à : Ma partenaire est réfractaire. #30208
    Ch313
    Participant

    Surprise

    Hier matin je tente ma chance, après avoir déjeuné je m’étends à côté d’elle.
    c’est elle qui prend l’initiative. Elle a pris ma main, m’a attiré à elle.
    Je la caresse, surtout son sein reconstruit, elle ne me laisse pas la caresser ailleurs.
    Elle me serre, me faisant comprendre qu’elle souhaite que je vienne sur elle.
    Je l’a laisse me guider mais sans grand succès. La pénétration est difficile même impossible au point que mon érection disparait.
    Le temps que je redevienne plus dur, je sens qu’elle mouille davantage. Elle guide à nouveau mon sexe dans sa vulve, doucement demande -t-elle, si doucement que je ne sais plus où je suis, encore dans ses mains ou en elle ?
    D’habitude elle est très, trop passive mais aujourd’hui elle fait des mouvements de bassin pour m’accompagner. Mais le plaisir ne semble pas arriver : « t’as fini ? » me demande-t-elle déjà.
    Je minimise ma déception en me concentrant sur l’espoir d’un retour à la pratique sexuelle.

    Le soir, elle se colle à moi. Je me dis qu’elle veut recommencer. Je tente de la caresser sans succès. Mais après quelques câlins, elle me dit « mets un ‘machin’ ». Je mets un préservatif mais ce n’est pas pour autant qu’elle me caresse franchement.
    Je suis un peu décontenancé. Mais finalement elle me prend dans sa bouche, je me détends, je me laisse aller à ses sucions. J’invite sa main à caresser mon périnée mais elle ne le fait pas. Je me caresse alors tout seul les seins.
    Tantôt dans sa bouche, tantôt dans ses mains, je me laisse aller à jouir longuement.
    Très longuement j’en profite, il y a une éternité que cela n’était pas arrivé.
    Trop longuement à son goût peut-être car elle arrête ses caresses.
    « Qu’est-ce que tu fais ? » me demande-t-elle. Je pense que c’est fini pour elle.
    « Je me masturbe » que je lui réponds. Je me masturbe encore de longues minutes jusqu’à ce que la pression de mon attente redescende.
    Je suis déchiré entre l’espoir de recommencer demain et la peur de devoir attendre je ne sais combien de mois avant de se retrouver.

    À plus …

    en réponse à : Sexualité transgenre #30045
    Ch313
    Participant

    Bonjour,
    Oui. C’est bien celui-là.
    Je l’ai acheté sur Amazon, à trente euros.
    J’avais acheté un œuf du type Dorcel, qui n’a jamais bien fonctionné. Problème d’antenne apparemment car une fois installé, la commande n’agissait plus au-delà de 10 centimètres.
    Si je devais chercher un autre, je m’orienterai vers un objet connecté. Certains pouvant ‘suivre’ la musique que l’on écoute ou pouvant être ‘programmés’.
    Sinon, le Miu Miu semblait sympa. 3,6 cm pour la plus grosse boule, ce n’est pas très gros je souhaiterais trouver plus gros.
    À plus.

    en réponse à : Sexualité transgenre #30042
    Ch313
    Participant

    Re-bonjour,
    J’ testé ce joujoux. Je ne le trouve pas terrible…
    Trop peu de fonctions. Je pensais qu’avec deux moteurs j’ aurais plus de sensations, je suis déçu. De plus la fonction dite ‘boules intelligentes’ n’a aucune utilité.
    Peut-être suis-je tombé sur une pâle copie.
    À éviter. . .

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