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  • en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #33581
    Ch313
    Participant

    Bonjour
    Ce matin, je me réveille de façon inhabituelle
    Je suis déjà en transe, des spasmes m´ agitent, je suis en érection.
    Suis-je au sortir d’un rêve sexuel ou sont-ce les spasmes qui me réveillent ?
    Mais le désir est bien présent, j’ai envie de m’offrir du plaisir.
    Je ne veux pas réveiller ma compagne. Il faut que j’apaise ce spasmes.
    Alors je me mets à me palper à pleine mains ce que je ne fais jamais.
    Les seins, les cuisses, les parties génitales comme pour étouffer les débordements d’énergie mais cela ne fait que les disperser dans tout le corps.
    Je pense à la pratique que Bzo nous raconte (salut à toi, je suis toujours régulièrement tes récits), je ne croyais pas que je le ferai un jour, je n’en ressentais pas le besoin et n’en éprouvais pas de plaisirs . Mais je pense aujourd’hui partager tes sensations.
    La chaleur montant dans mon corps et les spasmes revenant, je décide de me lever.
    Je déjeune, mais cela ne me détourne pas de mes désirs alors je m’installe dans mon fauteuil. Je malaxe mes seins, je sens mes joues rougir : Pierrette est bien chaude.
    J’ai envie de me sentir pénétrée, alors sans réfléchir j’introduis le Progams.
    Les tremblements me surprennent, les contractions vont et viennent au point que au point que le Progams ressorte plusieurs fois, il faut que je le retienne avec mes doigts pour ne pas le perdre. Mais c’est peine perdue, il s’éjecte violemment. Je suis en pleine extase orgasmique pendant plusieurs minutes, incapable de contrôler quoi que soit.
    Mais je veux encore me sentir pénétrée c’est tellement bon. Alors je prends un gode plus conséquent que le Progams, je suis tellement mouillée que je l’introduit sans difficulté même sans lubrifiant. L’orgasme étouffe à nouveau ma conscience, je suis complètement disjonctée, disconnctée, en proie aux vagues orgasmiques successives.
    Lasse de devoir tenir le gode pour qu’il ne s’échappe pas, je reprends le Progams et je l’introduit en plus du gode sans difficulté tellement je suis mouillée.
    Je me cale encore plus dans mon fauteuil, je n’ai plus besoin de tenir mes accessoires.
    Je m’abandonne avec délices à cette double pénétration. Pierrot est bien là.
    Je prends son (physiquement mon) sexe dans mes mains. Je l’accompagne dans ses mouvements. Je tempère sa fougue, ses mouvements deviennent plus lents. Il sort, il rentre langoureusement de plus en plus profondément. Mon bassin ondule à sa rencontre.
    De temps en temps en je glisse son sexe sur mon ventre jusqu’entre mes seins puis je caresse mes lèvres avec pour me l’introduire à nouveau, il se masturbe entre mes mains et mon vagin, c’est lui qui accompagne mes poussées jusqu’au plus profond de moi pour orgasmer à nouveau. Je le, me, tripote en tous endroits, nous nous serrons jusqu’à ne plus savoir ce que nous serrons. Je suis lui, je suis elle et pourtant je suis un, moi unique.
    Jusqu’à ce que je retombe dans la langueur océanique d’une tendre béatitude.
    Après quelque minutes je range mes accessoires juste à temps car ma compagne s’est réveillée et vient déjeuner, une heure plus tôt que d’habitude. Quelle chance de ne pas m’être fait surprendre, elle ne sait rien de mon parcours.
    La matinée est passée et j’ai encore des sensations qui vont de mes cuisses jusqu’à ma bouche, mes lèvres comme si un canal les reliait avec un désir lancinant qui me fait monter des larmes.
    Salut à tous

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #33456
    Ch313
    Participant

    Bonjour

    Andraneros, tu synthétise bien mon problème :
    Il y a les deux états fonctionnels :
    • que quand tu vis ton fantasme, . . . et
    • et que quand tu vis ta jouissance . . .

    Assurément, dans la jouissance, le cerveau est totalement hors jeu. Le corps est seul maître à bord. Le conscient n’est plus atteint par les sensations ; c’est pour ça qu’à ce stade je n’arrive plus à décrire ce qui se passe, ce que sont mes sensations.

    Quand je suis dans le fantasme, c’est effectivement le cerveau qui ‘mène le jeu’
    Et c’est dans cet état que je n’arrive pas à ‘trouver’ ma prostate. Je n’arrive pas à imaginer, créer, des sensations avec cet organe ; la stimulation mentale ne marche pas plus que la stimulation physique. Comme s’il avait une sorte de blocage dont je n’arrive pas à déterminer la cause.

    Bzo résume bien la situation quand il dit :
    il y a une espèce de contact avec son corps qui lui manque, . . .

    J’ai une forme d’insensibilité corporelle. J’en ai déjà parlé plusieurs fois.
    C’est une chose que je ne maitrise pas mais je ne pense pas que ce soit un gros problème puisque je peux avoir les sensations vaginales sans vagin physique donc sans sensation réelle. Le blocage doit venir d’ailleurs.

    Quand je lis les derniers post de Naomi je suis jaloux.
    « Et progressivement, alors que je n’y prêtais pas trop attention, j’ai senti la prostate s’animer d’elle-même, . . . » Nous dit-elle
    (https://www.nouveauxplaisirs.fr/forums/topic/journal-dun-prostatomane-v-aneroless-age-dor/page/10/#post-33405).
    Je t’envie.
    Je voudrais tant que cela m’arrive, c’est ma quête actuelle.

    Je fais l’état des lieux sur mes potentiels féminin et masculin.
    Je suis très bien dans ma nature féminine. Pierrette est particulièrement comblée.
    Hétérosexuelle avec Pierrot, elle profite de tout ce qu’une femme peut désirer.
    Lesbienne à souhait, elle apprécie les douceurs féminines de ses amantes.
    Elle aime a partager tout son corps pour des sensations des plus exaltantes avec de multiples amants et amantes.
    Pierre en est addict et profite d’une vie intérieure fabuleuse.

    Pierrot aime les plaisirs péniens. Les longues caresses intenses et langoureuses qui apportent leur lot d’orgasmes continus tout comme les chaleurs buccales et les langues consciencieusement affairées de ses amants ou amantes. Il se sent bien ‘bi’.

    Pierrot est un amant heureux avec Pierrette. La duplicité dans laquelle se fond la complicité provoque un déferlement de sensations explosives. Chacun se sent ‘être l’autre’ simultanément comme si les nerfs de l’un aboutissait au cerveau de l’autre.
    Cette intime connexion explose dans des milliers d’étoiles éblouissantes.
    Pierrot est à l’unisson avec Pierrette pour partager ces bonheurs avec des partenaires occasionnels(elles). Peut-être le désir inconscient de de vouloir convaincre le monde de cette possible extase absolue.

    Pourtant dans cette sexualité fabuleuse il manque un volet en ce qui concerne la sodomie.
    Pierre n’atteint pas le plaisir à recevoir des stimulations anales.
    Dans toutes mes vies virtuelles cela n’est pas encore arrivé à Pierrot.
    J’imagine, peut-être à tort, qu’il y a un rapport entre mon psychisme et mon physique. Je suis toujours en quête de sensations de ma prostate et dans mes ‘délires’ je n’ai pas non plus ‘d’expérience’.
    Ce manque me perturbe voire m’agace. Peut-être que j’y attache trop d’importance.
    Pourtant les fantasmes ne manquent pas. J’aimerais me faire doigter, sodomiser ; j’imagine une rencontre en club ou un auto-stoppeur entreprenant et même un pegging.
    Dans la vie réelle je souhaiterais que ma compagne ait envie de me doigter. Mais je rêve. . .
    Salut à tous

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #33268
    Ch313
    Participant

    Merci cher Andraneros pour votre attention à mon cheminement.

    Je voudrais présenter ma quête autrement en décrivant mes personnages que j’évoque, invoque parfois.
    Pierrette, mon féminin, ‘fonctionne’ très bien. Quelles que soient les stimulations, réelles ou virtuelles, les plaisirs jusqu’aux orgasmes me comblent. J’aime que Pierrot me pénètre. J’aime le sucer. J’aime quand me sodomisant, il masturbe l’intérieur de mon vagin et se masturbe à travers moi, je sens son plaisir simultanément en moi. Car je suis à la fois Pierrette et Pierrot.
    Me référant au livre de Mantak Chia que je viens de lire (très rapidement) je dirais que l’énergie qui circule en nous circule entre nous de l’un à l’autre. C’est un nouveau domaine à explorer pour moi.

    Par contre Pierrot a un problème. Il ‘répond’ à merveille aux stimulations péniennes, réelles ou virtuelles, mais reste indifférent aux stimulations anales.
    Je ‘m’imagine’ être en club. Mon partenaire du moment me pénètre. Je le sens frotter mon périnée avec son sexe pour m’exciter, puis s’appuyer sur mon anus, tourner pour le distendre, enfin me pénétrer doucement.
    Mais je ne sens pas de progression dans mon intérieur ni ses va et vient. Cela peut durer, le plaisir ne se manifeste pas. Je peux même culpabiliser de lui renvoyer ma frigidité. Mais si un adepte de plan à trois se joint à nous, caresse alors mon sexe, les désirs péniens se développent quasiment instantanément. Il me suce, déclenche immanquablement des orgasmes. Oui, je m’aperçois que je suis devenu ‘homme multi-orgasmique’.
    Ceci pour confirmer ton propos du 12 mars dans le sujet « Le traité d’Aneros, LA voie ou UNE voie ? ».
    Ma frustration c’est de me sentir incomplet, une partie de moi me manque.

    Je reviens sur ‘homme multi-orgasmique’ suite à ma lecture du livre de Mantak Chia. Lecture assez rapide : je n’ai pas testé les exercices. Mais j’ai essayé d’intégrer ce que j’en comprends dans ma dernière séance.

    Hier matin, je ne me suis pas levé comme d’habitude, je suis resté auprès d’elle.
    Elle se réveille. C’est elle qui vient à moi. Après quelques caresses, rapidement elle prend mon sexe dans sa main et commence à me masturber. Je me laisse aller et presque immédiatement les spasmes commencent à m’envahir.
    Je pense à la lecture que j’ai faite et j’essaye de matérialiser, visualiser mon énergie dans mon bassin.
    Je n’arrive pas vraiment à la sentir ni à à la faire ‘monter’ dans ma colonne vertébrale comme indiqué dans le livre. Pourtant une douce chaleur se répand à l’arrière de mon cerveau.
    J’abandonne un peu cette réflexion, je m’abandonne un peu plus à ses stimulations.
    Je reste cependant attentif à ce que pourrait être cette énergie mais je sens venir l’orgasme.
    J’ai le bassin qui se secoue de toute part, alternant avec de long spasmes qui me soulèvent.
    Je respire profondément, je me détends, je reviens à la conscience de ses caresses. Je n’ai pas eu de phase éjaculatoire. Mon bassin continue continue à onduler lascivement. Elle continue à me masturber.
    Une vague de chaleur se développe dans mon ventre, j’essaye d’imaginer l’énergie passer par le canal avant sans grand succès. Mais une vague de soubresauts me reprend de plus en plus rapide. J’ai les mollets qui tremblent, tétanisent, j’orgasme à nouveau. Je garde un niveau de contrôle : elle ne veut pas que je crie.
    Cela dure quelques minutes avant une nouvelle accalmie. Par de grands mouvements du bassin je glisse sans relâche mon sexe entre ses mains.j’en profite pour stimuler mes tétons.
    Une nouvelle vague de contractions me déborde. J’orgasme à nouveau toujours sans phase d’éjaculation.
    Cela recommence encore plusieurs fois, je m’abandonne de plus en plus, je ne suis plus capable de conter ni de compter.
    Elle arrête ses manipulations, « Il est l’heure de se lever » dit elle. Ce qu’elle fait, me laissant seul, un peu désemparé.
    Je me dis je vais me finir en solo en pensant à une éjaculation libératoire.
    Je me masturbe alors. Longuement, l’orgasme vient doucement, persiste longuement. Les contractions se font plus profondes. Mais je reviens à une phase de profonde détente sans passer par l’éjaculation.
    Je continue de me masturber, une nouvelle phase orgasmique me prend. Toujours sans éjaculation sans pourtant que je veuille la contrôler.
    Une troisième fois je m’abandonne à l’orgasme longuement.
    J’abandonne l’idée de l’éjaculation comme finalité, je me détends, je me lève enfin pour aller déjeuner.
    Je ne me sens pas insatisfait mais plutôt en plénitude. Étonnant !

    Multi-orgasmique à ce point en tant qu’homme cela ne m’était encore jamais arrivé.
    Je n’ai pourtant pas maîtrisé grand-chose, ni me limiter, cela me laisse un peu perplexe.

    Salut à tous.

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #33233
    Ch313
    Participant

    Salut Bzo, toujours prompt à apporter ton éclairage à la situation.
    Merci beaucoup.
    Pour synthétiser encore plus, je pourrais dire que je ne communique pas du tout avec ma prostate.
    Que ce soit directement ou indirectement en A-less, rien ne se passe.
    Par contre il suffit que je porte mon attention à mon pubis, pratiquement instantanément je sens mes attributs féminins et je décolle au quart de tour.
    Ma prostate intervient-elle dans ce processus ? Si oui comment ?
    Pas physiquement, pas sensoriellement c’est sûr. Peut-être est-ce par un flux d’énergie que je suis incapable de maîtriser, de comprendre, de reconnaître. En cela je n’ai aucune preuve, c’est le pourquoi de ma quête.
    C’est parce que je ne le maîtrise pas que mes démarrages sont aussi fulgurants ?
    Quel est le lien entre mes transes aussi féminines et ma prostate, organe pourtant masculin ?, je n’arrive pas à me l’expliquer. Quelle est ‘l’action’ qui l’animerait, il n’y a aucune action physique, et interne, je ne sens rien.
    Rien ne me dit qu’elle intervient. Je cherche ce qui me permettrai de la reconnaître avec le désir peut-être utopique qu’elle soit ‘mienne’.
    À plus

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #33230
    Ch313
    Participant

    Cela fait quelques temps que je ne suis pas intervenu car peu de changement mon évolution.
    Mais je suis régulièrement le forum presque quotidiennement. Tout comme je continue ma pratique quasi quotidienne.
    Malgré tous mes désirs, toutes mes sollicitations, ma prostate ne veut toujours pas se manifester à mon conscient. Et pourtant j’insiste, peut-être à tort (?). Jusqu’à lors, à la lecture des différents récits sur le forum, je pense comprendre que pour tous, ou presque, c’est leur prostate qui leur ‘parle’ par le langage intime de leurs sensations. Moi je n’ai pas la chance de communiquer avec elle comme si elle était absente. J’ai l’impression de louper quelque chose. Et pourtant les plaisirs ne manquent pas. Si je crois ce que me dit @Bzo, elle fonctionne bien mais aussi je peux penser que tout cela n’arrive que par la seule ‘pensée’ et que peut-être je fais fausse route en voulant (à tout prix ?) ressentir ces sensations.
    Je suis pourtant à l’écoute mais rien ne ‘vient’.
    J’introduis le masseur sans aucune difficulté, je suis très décontracté.
    Je sens bien le passage au niveau de mon anus mais pas plus loin.
    J’effectue des contractions volontaires pour faire bouger le masseur dans mon rectum.
    Je constate visuellement ou en posant mes doigts dessus que le masseur effectue bien des va et vient.
    Je suis sûr qu’avec ces mouvements le masseur frotte bien à l’intérieur et qu’il appuie bien sur ma prostate et que matériellement, physiologiquement il la masse bien. Je sens bien l’appui sur mon périnée
    Mais je n’ai aucun retour en sensation interne.
    Je varie les contractions, lentes, douces et profondes ou bien rapides et puissantes alternant avec des phases de décontraction. Je peux changer de position, varier la cambrure de mon bassin, ouvrir davantage mes cuisses pour faciliter le mouvement, rien n’y fait. Pourtant parfois des contractions involontaires ponctuent les instants de relaxation.
    Cela peut durer largement plus d’une heure. Ou bien si j’introduis le masseur en me couchant, je peux m’endormir en quelques minutes. Au réveil je ne le sens pas immédiatement. Mais je peux reprendre ma quête.
    Je peux rompre cet état très simplement en fixant mon attention sur mon pubis.
    En quelques secondes je ressens des fourmillements comme s’ils étaient déjà présents mais que je ne les sentais pas. Une boule de chaleur se développe et des spasmes m’envahissent très rapidement.
    Je suis déjà en jouissance. Je mouille déjà alors que jusqu’à présent je n’avais eu aucune émission.
    J’ai hâte de me faire pénétrer, je me mets à tripoter mes seins.
    Ce changement est puissant, violent, je m’abandonne à mon féminin.
    Le premier orgasme est déjà là. Je tremble de toute part sans pouvoir contrôler.
    Cela dure déjà plus d’une minute. Je suis assise dans mon fauteuil et je continue à écrire sur ma tablette entre les spasmes.
    Les va et vient du masseur se font de plus en plus amples. C’est comme si ça n’en finissait pas.
    Plus de trois minutes maintenant une détente m’envahit mais les spasmes ne disparaissent pas.
    Je les calme par de longues inspirations expiration profondes.
    Mais il suffit que j’effleure mes tétons pour que les spasmes et le contractions réapparaissent.
    Je suis encore plus ouverte. Je me cambre pour que Pierrot me pénètre à nouveau.
    Il accompagne mes contractions involontaires par les frottements de son sexe sur ma vulve qui mouille de plus en plus. (J’ai mis une serviette…)
    Mon bassin roule à son rythme. Je serre ses fesses à pleine mains, je l’accompagne doucement en moi.
    Mon bassin va et vient au rythme du masseur. Il me masse les seins , titille mes tétons.
    Les tremblements reprennent de plus belle. Ma respiration est haletante.
    Encore plusieurs minutes d’orgasmes successifs.
    Maintenant ce sont de balancements de plus en plus amples de mon bassin qui rythment les contractions.
    Il va et vient de plus en plus profondément en moi déclenchant spasmes et tremblements de plus en plus violents en vagues successives, interminables. Plusieurs ascensions s’enchaînent inéluctablement.
    Mais il est temps que je m’arrête, ma compagne va se réveiller. Je ne sais pas comment cette limite me rappelle à l’ordre. Mais ça marche je suis bien, calme.
    Voilà mon réveil vraiment en direct live que je poste immédiatement.

    en réponse à : Le traité d’Aneros, LA voie ou UNE voie ? #33228
    Ch313
    Participant

    À l’occasion de quelques nouvelles sensations, je reviens sur ma pensée sur ‘Le Traité’.
    Tout d’abord, je confirme que l’ordre des ‘jalons’ de la carte aux trésors n’est nullement impératif.
    Pour preuve, il n’y a que quelques temps que je peux cocher le point :
    9 – Légère impression d’avoir besoin d’uriner
    alors qu’il y a longtemps que j’obtiens des des orgasmes et plaisirs divers cités bien plus loin dans les étapes mentionnées.
    Depuis mon ‘interrogation’ sur la masturbation que je relatais le 24 janvier, par deux fois j’ai eux une nouvelle expérience vraiment très riches en sensations.
    Tout d’abord, à la suite de cette première pratique, je me suis dit qu’il fallait expérimenter cela.
    Au cours d’une de mes séances matinales où j’étais très chaude et très mouillée j’ai pris mon sexe en main et je me suis mis à le solliciter. J’emploie ce terme car je ne sais pas vraiment comment je le faisais.
    La surprise fut d’obtenir un orgasme, puis un autre, et encore avec cette stimulation.
    Je ne sais pas combien cela a duré, jusqu’à ce que je ressente les spasmes éjaculatoires et que je revienne à une phase de détente.
    Tout récemment c’est ma compagne qui m’a masturbé, il y a déjà longtemps qu’elle ne m’avait pas touché.
    Je l’ai sollicité après une séance solitaire particulièrement intense où j’ai squirté abondamment et j’ai eu envie de la rejoindre à son réveil. Comme elle ne voulait pas que je la caresse, elle s’est mise à me caresser, et assez rapidement à me masturber.
    Elle m’a ‘donné’ plusieurs orgasmes successifs, au moins trois, mais s’est arrêtée. C’est récurent pour elle, il ne faut pas que cela dure longtemps. Cela a duré à peu près une demi heure.
    Me voilà maintenant confronté à un nouveau domaine sexuel. Suis-je devenu homme multi-orgasmique ?
    C’est une nouvelle étape dans le bon usage de la prostate. Et c’est particulièrement déroutant. Surtout en ayant pas de moyen de partager avec ma compagne, je ne sais pas comment elle a ‘vécu’ cet instant.
    je vais lire le livre de Mantak Chia que j’ai vu cité plusieurs fois sur ce sujet.
    À plus

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #32736
    Ch313
    Participant

    Merci Bzo pour tes propos qui me touchent. Ton éclairage sur mon expérience m’est très profitable, cela me soutient face à mes difficultés avec ma compagne avec qui tout semble bloqué. Le contact d’une autre peau, d’une autre main me manque. Le partage sensuel semble totalement impossible. Le partage ici de nos expériences me réconforte et m’évite la déprime.

    Je ne suis pas souvent présent ici, pas parce que je doute de la qualité de mes écrits, mais plus parce que je ne suis pas très à l’aise avec l’écriture. Il me faut du temps.
    Aussi je n’avais pas l’impression de progresser et d’avoir rien de nouveau à raconter.
    Mais après la quasi abstinence de ces dernières semaines de vacances, en reprenant mes pratiques je me suis rendu compte des changements.

    Je reviens sur la ‘présence’ de ma sphère génitale qui grandit toujours.
    Elle grandit en volume, s’étale dans les fesses en me renvoyant des ondes de chaleur.
    Elle s’étale dans le temps, les sensations perdurent, elles me ‘titillent’ de plus en plus souvent.
    Dès que je n’ai plus d’attention soutenue, que je n’ai pas d’activité prenante, je ressens ces fourmillements. Une simple instant de détente devant la télé et je me laisse surprendre : ma compagne m’interroge ! Moi aussi j’invoque un hoquet soudain pour la rassurer.
    Je me demande si mon périnée se développe avec ma pratique quotidienne et qu’il prend plus de place. C’est un muscle que je sollicite très souvent, de plus en plus, même si c’est tout en douceur que je le contracte en long ou en large. C’est un plaisir délicat, délicieux.
    Mais je ne sens pas que cela stimule ma prostate. C’est vrai, je suis toujours à la recherche de sensations à partir de ma prostate. Et pourtant les états orgasmiques ne manquent pas, comment me transmet-elle ces puissantes décharges ?
    Pourquoi si j’arrive à sentir si précisément ce muscle, je n’arrive pas à sentir ma prostate ?

    J’évoque aussi la corrélation des sensations buccales et pubiennes. C’est devenu presque systématique, à chaque sensation d’un côté apparaît des sensations de l’autre. Comme si mes lèvres hautes et basses étaient connectées et se répondent à chaque appel.
    Jusqu’à l’extase de ‘m’auto-cunilinguer’ dans un flot débordant. Heureusement que la serviette n’est pas loin.
    Mais où est ma prostate ? Quel est son rôle dans cette féminité qui m’envahit ?
    Comment cet organe masculin peut-il produire tant de féminin ?
    Surtout « à l’insu de mon plein gré » !

    Quand j’utilise un masseur, bien qu’il ‘navigue’ au gré des contractions, je ne le sens pas aller et venir dans mon rectum ni masser ma prostate. Et pourtant je suis obligé de le tenir pour qu’il ne soit pas éjecté. Ce qui arrive presque chaque fois. Systématiquement quand je squirte je le sens ressortir sous la pression des contractions.

    Nouvelle aussi cette masturbation qui n’a plus rien de solitaire. Et qui dure dans une jouissance indescriptible. Habituellement je ne me sollicite pas manuellement mais là je me suis laissé emporter par Pierrette. C’est pas moi qui me caresse, c’est physiquement mes mains mais ce sont celles d’une autre qui agissent. C’est une autre ‘volonté’ qui agit. C’est grisant, envoûtant, ce dédoublement. Qui fait l’amour à qui ? Chacun s’abandonne à l’autre.
    Cela dure longtemps alors que dans une masturbation ‘habituelle’ j’obtiens le plaisir éjaculatoire très rapidement ce qui est généralement le but, le plus souvent pour interrompre une session ou alors parfois pour faire ‘retomber la pression’.
    Cette expérience est curieuse, totalement à l’opposé des prescriptions du Traité. Ou alors faut-il la ‘réserver’ à un niveau d’initiation inhabituel ? Suis-je en train d’ouvrir une porte dérobée ?

    À plus, de plaisirs, évidemment !

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #32723
    Ch313
    Participant

    Bonjour à tous les amis prostaunautes,
    Avec mes meilleurs vœux d’infinis plaisirs à tous.
    Cela fait quelques temps que je n’ai rien transcrit sur les forums, mais je les consulte toujours presque quotidiennement.
    Après une interruption pendant les fêtes où nous étions en famille, j’ai repris ma pratique quotidienne.
    Pendant cette mise en jachère, je n’ai pas résisté à quelques petites micro-séances très discrètes le matin au réveil avant de me lever.
    Je n’ai rien raconté car j’avais l’impression que je n’avais pas de progression sensible qui mérite une intervention.

    Je suis toujours perplexe, en recherche. Car je suis toujours insensible au niveau prostate.
    Et pourtant ’ÇA’ marche très fort’
    Si je sollicite mécaniquement ma prostate, je ne ressens rien.
    Lors d’une pénétration, avec un (ou plusieurs) doigt ou un gode ou un masseur, je sens au niveau de mon anus cette pénétration mais pas plus loin.
    Si je prends une boule, qu’elle soit insérée à un centimètre ou à dix c’est pareil. J’ai vaguement l’impression d’avoir quelque chose en moi mais sans plus.
    Pour essayer de réveiller une sensibilité, j’ai tenté de dormir avec un masseur ou un plug. Je reteste régulièrement. Mais je n’obtiens rien. Je m’endors comme si de rien n’était. Au réveil c’est comme si je n’avais rien. J’ai tout autant de sensations sans rien.

    Pourtant des choses changent, chaque voyage est différent mais je n’ai pas la facilité littéraire de notre ami Bzo pour l’exprimer à chaque fois. Merci à toi.
    Les sensations changent.
    Ma sphère génitale est devenue beaucoup plus ‘présente’, beaucoup plus accessible, je sens beaucoup plus de choses.
    J’ai l’impression que mon périnée est devenu plus important. Est-ce qu’il se développe, je ne saurais le dire. Mais je sens aussi qu’il n’est pas tout seul, qu’il y a d’autres muscles tou proches de chaque côté qui relient au cuisses d’un côté et au bas des reins de l’autre.
    Mon pubis ‘prends’ de la consistance, c’est vraiment ma chatte que je sens battre. Et à ce moment, une sensation envahit mes seins.
    Mais aussi des sensations buccales se développent, ça c’est vraiment nouveau.
    Mes lèvres prennent de la consistance, je sens des fourmillements comme si elle étaient à l’unisson avec ma vulve. Je sens ma langue remplir mon palais, prendre possession de ma bouche comme un sexe jusqu’au fond de ma gorge parfois et en même temps cette langue pénètre mon vagin. Et la tension monte jusqu’à ce que je squirte parfois même abondamment. C’est une jouissance délirante, orgasmique même. Je ‘déjante’ complètement.
    J’étale avec mes mains ce liquide huileux sur mon ventre, sur mes seins avec délice.
    Je trouve mon sexe en érection. Je le prends à pleine main.
    Quel plaisir de le caresser tout humide, glissant dans mes doigts.
    Alors que Pierrot continue de me faire jouir, moi Pierrette, je le masturbe frénétiquement.
    Et cela dure un moment, je tremble de tout mon corps, jusqu’à l’apothéose.
    Quelle délicieuse sensation de me répandre dans ses doigts (et pourtant je n’ai pas d’éjaculation) et cela dure encore
    C’est la confusion la plus totale des sens, la fusion de mes ‘êtres’ intimes.

    Désolé, Pierre n’a pas les mots pour décrire l’extase de Pierrot et de Pierrette.

    Bonne journée à tous

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #31953
    Ch313
    Participant

    Petit retour sur ma séance.
    Le premier point est le contexte, absolument seul(e), sur le lit.
    Je bénéficie d’une totale liberté d’expression corporelle, mouvements, voix, une fenêtre temporelle sûre ce qui n’est pas le cas habituellement. Une absence de contraintes, un environnement où tout est possible.
    Ensuite, bien que j’ai l’habitude d’être très rapidement ‘en condition ‘, cette fois j’ai été surprise, totalement dépassée par la rapidité avec laquelle je me suis retrouvée en pleine action.
    Dans les premières minutes avant que je ne perde le pouvoir de mon conscient, constatant les expressions de mon corps démesurées, totalement incontrôlables j’ai songé qu’il faudrait que je me filme pour pouvoir me voir, me rassurer sur la réalité de ce qui se passe ; j’ai pensé au désir similaire de Bzo. Mais rien n’étant à portée pour cela et ne voulant pas interrompre mon voyage, j’ai laissé tomber et même l’idée de prendre ma tablette pour retranscrire.
    Je reviens sur une constatation que j’avais déjà évoqué concernant le pouvoir de la vocalisation, et la connivence de cette colonne d’air avec les sensations qui se développent. Le corps entre en vibrations conjointes, chaque pulsation amplifie la précédente comme l’effet Lazer. Du sexe à la tête ce ‘tuyau’ résonne amplifiant toutes les sensations et peut-être aussi toutes les réactions musculaires. C’est peut-être une libre circulation des énergies, une sorte de tantrisme sans le savoir, je n’ai aucune connaissance dans ce domaine.
    Je me suis entendue hurlant ou gémissant, Pierrot à l’écoute de Pierrette. J’ai entendu ma voix féminine, nature, comme jamais je ne suis entendue.
    Aparté : il n’y a pas très longtemps qu’une personne s’est retrouvée embarrassée, me prenant pour une femme au téléphone…
    j’ai joui plusieurs fois sous les doigts de Pierrette quand je me masturbais, avec des orgasmes puissants, totalement abandonné au plaisir. En général je pratique cette façon pour finir une séance, mais cette fois cela ne s’arrêtait plus.
    Je ne sais pas exactement comment je me suis arrêté. Mais il était temps.
    Il m’a fallu plusieurs minutes pour me remettre, la sensation d’être complètement épuisée qui m’ a inquiété dans un premier temps s’est finalement estompée rapidement. J’ai retrouvé mon énergie presque comme si rien ne s’était passé.
    Merci Bzo de partager avec ton ‘regard et tes mots’ mes sensations, cela me fais extrêmement plaisir.
    À plus

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #31951
    Ch313
    Participant

    Une séance inhabituelle.
    Ma compagne s’absentent ce matin pour une heure, c’était prévu.
    Alors je profite de ce temps de solitude, j’installe quelques serviettes sur le lit et je m’étends après m’être déshabillée. Je pensais risquer un squirte intense !
    À peine quelques secondes et dès la première inspiration qu’un spasme me fait sursauter.
    Je n’ai pas le temps de me raccrocher à mes pensées que c’est mon corps qui prend le pouvoir, les commandes. Une déferlante de chaleur me parcoure de la tête aux jambes comme une foudre qui me transperce, je me cambre en hurlant, jambes écartées tétanisées, totalement ouverte à la pénétration de mon Pierrot, je crie, je pleure sans qu’aucune cellules de mon corps ou de mon cerveau ne soit capable de résister à cette explosion.
    Mon vagin redouble de chaleur, mes lèvres sucent mon amant, je dégouline mes cuisses sont brûlantes. Mon bassin va et vient frénétiquement, saute sur le lit d’une violence qu’il n’a encore jamais connu. J’halète, je crie, j’éructe en puissance. Je ne me connais plus.
    Mes cuisses battent l’air, mes genoux se cognent comme pour faire des bravos.
    Ma respiration est totalement désordonnée, je m’étouffe, je m’étrangle dans mes cris.
    Elle reste bloquée des longues secondes, je suffoque de très longues secondes totalement tétanisée. Le monde tournoie. J’ai pris mon sexe dans ma main, c’est Pierrot que je suis entrain de caresser, longuement pour l’attirer entre mes seins. Je sens sa chaleur et sa montée en jouissance. Je le sens jouir et j’en jouis tout de concert. Alors j’insiste plus frénétiquement et la jouissance recommence encore et encore.
    Les spasmes s’enchaînent mon bassin va et vient de plus en plus fort, je n’arrête pas de gémir, mes cuisses et mes jambes tremblent dans des mouvements désordonnés.
    Je le dirige entre mes lèvres, sentir son gland glisser , s’enfoncer en moi, je le sens continuer à jouir, à me réchauffer encore davantage. Je deviens brûlante, mon vagin le serre très fort, je sens ses tremblements ses sursauts qui me transpercent. Je me cambre en criant. Ma respiration se bloque jusqu’à l’évanouissement,
    C’est la confusion totale.
    C’est la fusion ultime, intime, dans une implosion cosmique.
    Je retombe complètement désarticulée, désarçonnée, flottant dans l’éther, comme inerte.
    Quelques minutes pour que mes esprits reviennent. Je suis totalement épuisée.
    Il me faut encore quelques minutes pour que puisse bouger, il est temps de ranger mes affaires. Et je découvre que je n’ai rien mouillé.

    Ce soir en m’endormant, je sens encore ma chatte chaude comme si ma vulve gardait la mémoire de mon sexe en elle. Je sens mon visage détendu, souriant, celui d’une femme comblée.

    Voilà, Pierre vous a conté le dernier voyage de ses amants.

    en réponse à : Ma partenaire est réfractaire. #31950
    Ch313
    Participant

    Il y a longtemps que je n’ai rien écrit.
    Alors voilà quelques nouvelles.
    Sur le plan santé, cela ne va pas trop mal. La coloscopie n’a rien révélé de grave, j’ai cependant un colon beaucoup trop long qui provoque des problèmes de transit. Quant à mon hernie, tant qu’elle ne s’étend pas, je ‘m’arrange avec’, il suffit que je fasse attention après des contractions involontaires ou pas.
    Quand à ma compagne, elle est encore plus distante que jamais.
    J’ai repris une pratique quotidienne, tous les matins je m’offre un voyage chaleureux et je suis avidement les fils de chacun sur le forum. Cela m’aide à ne pas déprimer.
    Merci au contributeurs.
    À plus, bises à tous

    en réponse à : Des conseils svp #31451
    Ch313
    Participant

    Si comme tu le dis tu sens ta prostate avec le doigt, il est certain que le masseur est suffisamment long pour l’atteindre. Je me le suis confirmé avec l’expérience de la sonde urinaire.
    Tu as la chance d’avoir en ta femme une partenaire participant à ta recherche, j’espère qu’elle te fera progresser dans cette recherche.
    Pour ma part c’est ‘route barrée’ elle consent tout juste à me masturber.
    Je n’ai pas eu encore l’occasion de me faire masser la prostate par une personne extérieure à mon environnement sexuel, je pense que cela peut être différent d’avec une personne proche sexuellement. Cela pourrait évoquer une piste de blocage.
    Cette démarche devrait te permettre de mieux cerner tes difficultés.
    Peut-être comme moi as-tu une insensibilité ‘maladive’ ou plus largement ‘anormale’.
    Je m’en suis expliqué dans différents post sur ce forum. Mais même dans ce cas, je suis arrivé à générer des plaisirs intenses. Doc comme me dit Bzo : « ta prostate fonctionne bien »’

    Je précise que dans ma recherche, je suis arrivé à sentir que mon anus était sensible. Il fait bien la différence entre différents objets à la pénétration. Je l’ai testé avec des doigtiers de structure différentes.
    Mais j’ai constaté par la même occasion que mon rectum était par contre insensible à ces sollicitations. Quand j’insère un objet, je ne sens que quelque chose est en moi. Seule la sensation de chaud ou de froid existe quand je chauffe le gode sous l’eau chaude ou que je le sors du frigidaire. Si je fais un lavement, il faut que l’eau soit très chaude pour que je la sente.

    Voilà un ‘axe’ de recherche qui serrait à approfondir et t’aiderait à mieux cerner tes difficultés.

    en réponse à : Des conseils svp #31446
    Ch313
    Participant

    Aros
    Tu nous dit :

    J’ai fait exprès d’enfoncer un peu plus le masseur avec la main, au moment de l’insertion, et j’ai senti que la tête du masseur touchait la prostate (du coup, une sensation pas très agréable car j’appuyais volontairement).

    J’ai fait une fois une expérience similaire qui s’est révélée désastreuse.
    J’avais exactement la même impression que toi, je pensais le masseur trop court.
    J’ai essayé de solliciter ma prostate avec un gode (dur, en bois d’olivier).
    Je l’ai enfoncé jusqu’à ce que je ressente quelque chose, ce n’était pas vraiment agréable. Mais pour une première fois je pensais m’en contenter alors j’ai insisté. En fait j’ai fait mal à ma prostate car lorsque j’ai éjaculé, il y avait du sang dans mon sperme.

    Je te suggère de faire une reconnaissance manuelle, ce que j’ai fait plus tard.
    Avec mon doigt j’ai cherché ma prostate, je l’ai trouvé, cette petite bosse dans mon rectum. Mais de la masser avec mon doigt ne m’a rien apporté. De même quand l’urologue la ‘contrôle’ je ne sens pas son doigt cela ne ne fait rien. Je suis donc insensible de côté-là. Je connais ma prostate physiologiquement, mécaniquement, mais sensitivement, sensuellement parlant elle est aux abonnés absents.
    C’est en acceptant cette absence que j’ai pu franchir cette barrière de non sensation.
    Connaître son corps le plus intimement possible me semble une nécessité et peut-être un préalable.

    en réponse à : Des conseils svp #31439
    Ch313
    Participant

    Merci Épicture pour l’analyse de la façon dont j’ai appréhendé mon problème. Elle me paraît très juste et la notion de ‘faire valoir’ est très constructive. Je ne l’avais pas pensée si bien.
    Le premier ‘autre’ c’est nous-mêmes est aussi une vérité très importante et en acceptant d’être un(e) autre c’est un ‘moi-même’ (inconnu de ma conscience) que j’accepte, qui se trouve ‘libéré’ et qui va permettre l’expression de mon corps.

    Pour revenir à la pratique, il faut rappeler quelle est l’utilité de ‘La carte aux trésors’.
    Il ne faut surtout pas la considérer comme un ‘road-book’ car il n’est pas nécessaire d’atteindre une étape pour réaliser une beaucoup plus lointaine.
    Tu cites ‘la sensation d’envie d’uriner à l’introduction du masseur’, et bien saches que je ne la ressens que depuis quelques semaines. Et il avait fallu que je constate avec un sondage urinaire que le masseur appuyait bien là où il faut pour que j’en sois convaincu.
    Alors que que des points cités bien plus loin dans la liste me sont familiers.

    Épicture te propose un certain nombre de points de réflexion que je trouve tout à fait pertinents. Je ferai juste une observation sur ma pratique : je choisis d’entreprendre une ‘session’ par envie de plaisir et je dirais sans désir particulier. C’est compliqué de l’exprimer. J’ai simplement l’envie d’être bien avec moi et il n’y a pas de désirs sexuellement explicite. Je laisse faire, et c’est vraiment dans le ‘lâcher prise’ que ‘ça’ arrive. Je suis alors dans un état ‘second’. Et c’est à chaque fois nouveau.
    Ressentir des fourmillements, moi c’est plus au niveau du périnée et de mon pubis que je les ressens.
    Et surtout, je n’ai plus ‘l’objectif’ de ressentir ma prostate, même si régulièrement je part à sa recherche mais sans nécessité de résultat.

    Le reste viendra en son temps dit Épicture, je confirme totalement son propos.

    Bon courage

    en réponse à : Des conseils svp #31435
    Ch313
    Participant

    Bonjour Aros

    Je partage le même problème : ‘Pas de sensation de toucher la prostate’.
    Quand je sollicite ma prostate, que ce soit avec les doigts, un masseur, un gode, rien ne se passe. J’essaye régulièrement mais aujourd’hui c’est toujours pareil.
    Malgré ce ‘handicap’ je prends plaisir quotidiennement avec mon corps avec souvent des orgasmes sans avoir besoin de stimulation physique.
    Cela m’a pris beaucoup de temps avant d’obtenir un résultat. J’ai acheté mon Hélix début novembre 2016 et j’ai vraiment trouvé le plaisir seulement fin août 2017.
    Ce fut une révélation, un basculement, une révolution même.

    Il faut donc persévérer, ne pas se décourager.

    Comme on peut le constater sur les forums, chacun a sa méthode, chacun a son expérience et il est difficile de trouver sa propre voie.

    Pour moi, le déclic a été de contourner l’absence de (sensations de) ma prostate, de m’autoriser à avoir du plaisir sans elle.
    Simplement en me disant que si je n’ai pas de prostate, c’est que je suis femme et que je peut jouir comme une femme. Je me suis ‘imaginé’ en femme.
    À partir de là j’ai pris plaisir à me découvrir, à découvrir des sensations jusque-là impossible à imaginer.
    Dans mon mental, j’ai accepté d’être quelqu’un ‘d’autre’.

    Voilà résumé au plus simple mon cheminement.
    Je sais, je ne te donne pas là de bons conseils mais plutôt te dire que c’est possible, ça marche, garde l’espoir.

    en réponse à : Ma partenaire est réfractaire. #31332
    Ch313
    Participant

    Serait-ce une bonne nouvelle ?

    Ce matin je me réveille de très bonheur à cause de problèmes de transit. Devant la probabilité d’avoir besoin plusieurs fois d’aller aux toilettes, je ne me recouche pas. Je déjeune un peu et je m’installe dans mon fauteuil. Après deux vidanges je me laisse aller à une séance pas très profonde car je reste vigilant craignant des expulsions involontaires.
    Pierrette s’est quand même offert quelques plaisirs….
    Les besoins de toilettes s’étant estompés, je retourne me coucher près de ma compagne.

    Quand elle se réveille, c’est elle qui se rapproche de moi.
    Elle me caresse le torse. Je pense qu’elle m’invite alors je tente de me rapprocher. J’essaye de la caresser à mon tour. Mais elle ne veut pas, repousse ma main.
    Désolation . . .
    Elle descend sa main sur mon ventre, je me laisse aller, ‘j’en prends mon parti’.
    Je vais ‘laisser faire’, advienne que pourra. Des spasmes commencent alors à me secouer.
    Pour ‘m’accompagner’ je pose mes mains sur mes seins, je tripote mes tétons.
    Je laisse mon pubis s’envahir de chaleur. Je laisse Pierrette prendre possession de moi.
    Tout juste si je m’aperçois qu’elle a pris mon sexe dans sa main.
    Elle me caresse, me masturbe et contrairement à l’habitude elle ne me demande pas de mettre ‘un machin’. Je tente à nouveau un rapprochement mais cela se solde par un échec, je fait fausse route. Je me recentre sur mon pubis, Pierrette reprend mon corps.
    Je commence à être pris de tremblements, je me désolidarise de ce que fait ma compagne, l’intérieur de mon pubis se remplit de contractions diverses. Je commence à jouir, je commence à gémir, les tremblements s’amplifient.
    Je ne sais si mon plaisir la touche ou lui ‘fait quelque chose’ mais elle pose son autre main sur mes testicules et me les masse doucement. Je jouis encore.
    Ses doigts s’insinuent entre mes cuisses, et caressent mon périnée.
    Je lui suis toute ouverte, les jambes tétanisées, ses doigts pétrissent mes lèvres, je ne sens plus qu’elle tient mon sexe. Je suis totalement dans mon vagin qui pulse violemment à distiller ses doigts. Des larmes m’inondent, mon corps sursaute de toute part.
    Je toute rivée à sa main. Ma vulve et sa main ne font qu’un. Ma respiration est haletante, entrecoupée de râles et de cris. Je me cambre, je retombe, elle m’accompagne toujours.
    Je me ‘colle’ me connecte à sa main comme une sangsue, mon vagin l’aspire, je distille ses doigts en moi.
    La pression, la chaleur, le flux s’empare de mes cuisses. Je jouis encore plus fort.
    À peine je m’écroule elle me ranime, me projetant encore plus haut.
    Les orgasmes s’enchaînent sans répits. Je suis balancé de vagues en vagues dans une tempête de contractions électriques.
    J’en suis au dixième ciel qu’elle s’étonne : « tu ne t’arrêtes jamais ? »
    Elle me demande un mouchoir, j’ai peu mouillé.
    Je mets encore quelques temps à calmer les spasmes.

    Cette conjonction entre cette action sexuelle externe, la masturbation que ma compagne m’a prodiguée et celle que j’ai vécue en intérieur est extraordinaire.
    La stimulation externe totalement masculine entraînant une jouissance totalement féminine, je n’avais encore jamais vécu ça et que cela ait une telle puissance est sidérant.
    Plus d’une heure durant Pierrette s’est éclatée en lesbienne soumise. Mon entre-jambes s’en souvient encore en cette fin d’après-midi, mon périnée est bouillant, j’en mouille ma culotte rien que d’y repenser et de l’écrire.

    Sublime moment !
    Que je ne peux qu’attribuer qu’au potentiel de l’orgasme prostatique, le désir de m’y abandonner et ma façon de pratiquer. Enfin un bonheur à vous faire partager.

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #31314
    Ch313
    Participant

    Nous regardons la télé, plutôt je regarde la télé car ma compagne somnole à côté de moi.
    Je suis bien détendu. Une inspiration profonde et un spasme lui répond. C’est mon périnée qui se contracte doucement qui m’invite à un laisser allez plus profond. C’est mon diaphragme qui lui répond par plusieurs spasmes. Mais la ‘tension’ monte jusqu’à mes seins, la vague reflue dans ma gorge, ce sont mes joues qui s’enflamment, ma langue qui s’étale, remplit ma bouche.
    Mes yeux sont à la limite de pleurer. Je salive beaucoup alors que mon antre pulse doucement, l’un stimulant ou répondant à l’autre. Cette ‘connexion’ se ‘réalise’ de plus en plus souvent, il y a quelques temps cela n’existait pas ou je ne le ressentais pas. Je pense que c’est plutôt ça car quand j’évoque les désirs et plaisirs buccaux dans des des CR précédents je pense maintenant que c’était déjà présent.
    Maintenant c’est très fréquent. J’avais aussi évoqué ce canal en parlant de vocalisation je pense que cela va ensemble. Cette ‘libération’ doit sûrement permettre un flux, une circulation d’énergie intense.

    Pour répondre à Bzo, je m’interroge sur le concept fantasme. Pour moi c’est tellement réel que je pense que ce ne sont pas des fantasmes. D’ailleurs aucun de mes fantasmes ne s’est jamais réalisé dans mes ‘voyages’. Au contraire tout semble ‘s’appuyer’ sur du vécu. Je retrouve avec un plaisir indescriptible mon amante, c’est bien elle, réelle, ce n’est pas une ‘construction’ mentale.
    Comme je l’avais déjà exprimé, c’est les associations de mes composants connus et inconnus (inconscients) de façon totalement incontrôlée qui ‘crée’ l’événement que je vis. Comme c’est moi tout ‘entier’ ce n’est pas fantasmatique. Comme c’est MOI, j’ai tous les droits. Impressionnant cette sensation d’appartenir à cet ‘autre’ qui est moi. C’est impossible à décrire, impossible à ‘organiser’, à comprendre dans mon esprit très cartésien.

    Je reviens sur mon récit précédent.
    Cela fait quelques temps que j’ai repris une pratique presque quotidienne après une longue période de ‘repli’. Je ne reviens pas sur les causes.
    Au bout de quelques ‘trips’ le niveau de ‘laisser aller’ et de ‘lâcher prise’ est redevenu suffisant pour que je puisse m’abandonner librement, retrouver les plaisirs intenses, le bonheur.
    Je me suis dit qu’il fallait retranscrire ce retour.
    Mais voilà, j’ai toujours autant de mal à décrire une séance. J’écris trois phrases et je suis en panne de mémoire. La séance ne semble pas s’être imprimée dans ma mémoire.
    Alors j’essaye de transcrire pendant que je le vis. C’est compliqué.
    Je ‘décolle’ très rapidement et si à ce moment je sens qu’il faut prendre ma tablette la gestion devient délicate.
    Il faut que je reprenne le contrôle conscient de mes mains. Mais elle sont lourdes, très lourdes. La décision est difficile. Si je prends ce contrôle, je risque de me déconnecter, de perdre le charme qui agit et j’ai peur que cela me stoppe dans mon envie. En général je cède à cette inquiétude et je poursuis. Mais comme dans mon dernier récit j’ose.
    Avec angoisse je prends la tablette, je suis dans une posture délicate. Je dois gérer Pierre qui va faire le scribe sans gêner l’acteur Pierrot ou l’actrice Pierrette. Je suis matériellement seul mais déjà plusieurs à la fois.
    Si je me relis, j’ai l’impression de ne pas retranscrire beaucoup de choses. Tout juste quelque phases de mon parcours. Je ne dis rien de la richesse des sensations de chaque seconde.
    Comment cela se passe ? Cela revient à la notion de fractionation ou fractionnement mentionnée dans l’article d’Adam. Les phases sont entrecoupées d’instants où j’écris. J’essaye de décrire les sensations, ce qui se passe dans mon corps. Puis je retourne au voyage.
    Difficile quand tout à coup je me rends compte que mes doigts sont trempés de rester en voyage et d’autre part chercher la serviette. Mais apparemment j’arrive à ‘ménager la chèvre et le choux’ .
    Mais ce récit est très brut il ne transcrit pas toutes les finesses délicieuses qui me parcourent.
    Je me relis : Mon vagin s’auto-masturbe ! Je dirais maintenant : une méduse flotte en moi, c’est à cela que ça me fait penser. Mais sur le coup je suis incapable de le traduire poétiquement ou même techniquement comme un ballon qui gonfle et se dégonfle comme une respiration.
    J’étais bien trempée, putain que c’est bon, et je ne sais pas le dire !
    Les sensations prennent le pouvoir, possession de nouveaux ‘endroits’ de mon corps. La ‘sphère’ génitale a pris du ‘volume’, sûr qu’il y a bien plus.
    Je sens que les contractions peuvent venir d’autres muscles, d’un espace plus large, je situerai à la base des reins à une main de la colonne vertébrale, et ça ‘chauffe bien’ là. Je pense à Naomi, j’essaye d’être aussi précis.
    Mais si mon anus m’envoie plus de plaisir, ce n’est toujours pas le cas de mon rectum et je ne parle même pas de ma prostate toujours absente de mon univers. Je ne m’en préoccupe pas plus. Ce petit point pour dire où j’en suis et peut-être rassurer eux qui ne la ressentent pas non plus. Le plaisir si intime si fabuleux est quand même au rendez-vous.

    À plus

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #31301
    Ch313
    Participant

    Il est cinq heures. Je déjeune.
    L’envie est là, je prends diverses serviettes. Je m’introduis un peu de lubrifiant.
    Puis j’introduis le Progasm que j’ai bien enduit et je m’installe dans mon fauteuil.
    Position relax, je me détends, mes mains sont lourdes….
    Je suis déjà en ‘voyage’. Il faudrait que j’écrive mais pour cela il faudrait que je reprenne mes mains. Je suis à l’extérieur de mes mains, je suis en transe et les spasmes m’agitent rythmant ma respiration.
    Je pense aux récents articles d’Adam sur l’hypnose et je m’y reconnais dans les symptômes. J’avais déjà évoqué mes sensations dans mes récits.
    Je tente d’éclaircir la situation, c’est comme si j’appartenais à un autre, un autre qui est pourtant moi-même.
    Il y a moi Pierre, et pourtant à cet instant je me sens totalement féminine, je suis Pierrette et je m’abandonne totalement aux caresses de mon Pierrot. Ses doigts emmêlent ma touffe, là démêle, une chaleur m’envahit le dos, remonte jusque dans ma nuque.
    Mon bassin roule et roule langoureusement à la rencontre de ses doigts
    Je gémis, je jouis déjà, j’ai les cuisses qui tremblent et déjà trempées.
    Ma respiration est haletante, mes mains tremblent. Mes cuisses tremblent au creux des mes aines. Je me cambre, « Oh oui Pierrot …. » ses doigts glissent entre mes lèvres jusqu’entre mes cuisses qui s’ouvrent totalement lui offrant mon périnée qui se contracte longuement. Je mouille abondamment
    Sa main, ma main, glisse à mon anus. Le masseur est presque totalement sorti. Je presse mes doigts pour le réintroduire.
    « Baises moi, je te veux en moi . . . » Mon rectum va et vient, se contracte, te masturbe’
    Je squirte, me répands abondamment sur mon ventre. Mes doigts trempés glissent dans ma vulve, vont et viennent dans mon vagin. Je ‘m’asperge’ entre les seins jusqu’au cou.
    Et cette chaleur qui me pénètre jusqu’au fond de la gorge.
    J’explose, je gicle encore, le masseur n’est plus là mais ‘tout’ est dans mon ‘antre’ je n’arrête pas de couler au rythme des spasmes. Mon vagin s’auto-masturbe. Les tremblements s’enchaînent avec les spasmes. Je ne touche plus terre, je me répands dans l’éther en mille étoiles scintillantes.
    Mais il est huit heures, ma compagne va se lever alors avec de tendres câlins sur mes seins je me calme. Il faut éponger tout ça, tout ranger et ‘revenir’ à l’instant terrien.
    Voilà en direct-live mon réveil ce matin
    Bonne journée.

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #30899
    Ch313
    Participant

    Épicture, j’ai retrouvé le morceau en question:


    Bonne écoute

    en réponse à : Ma séance type, détail de mon expérience #30897
    Ch313
    Participant

    Bonjour Épicture,
    Plutôt que de donner une référence, un numéro dans une bibliothèque je préfère répondre d’une façon plus détaillée pour répondre à ta curiosité.

    C’est, je pense, le résultat d’une recherche personnelle. L’objet trouvé peut convenir à une personne et en laisser indifférent dix autres.
    Pour moi cela correspond à un épisode de mon cheminement. J’avais déjà trouvé l’Aneros mais je ne ressentais toujours pas de ‘plaisir prostatique’.
    C’est sur un des forums de NXPL que j’ai trouvé cette mention de l’aide que pouvait apporter les sons binauraux.
    Mes recherches se sont orientées dans plusieurs directions.
    J’ai trouvé des morceaux ‘pour’ ma prostate, l’améliorer ?, la soigner, augmenter la production de sperme. Je cherchais à la ressentir.
    Une autre piste a été le domaine du ‘Hands Free’ , obtenir des orgasmes, des éjaculations sans stimulation matérielle. Aussi subliminaux concernant les pénétrations (anales entre autre), les plaisirs oraux etc…. Et même les plaisirs féminins.
    Aussi j’ai trouvé des morceaux traitant du troisième œil, du Voyage Astral, de la détoxication de la glande pinéale.
    J’ai trouvé des morceaux plus zen , de bien être, développer son potentiel amoureux.
    Des morceaux tantriques,
    Je les ai trouvés sur YouTube et j’en ai téléchargé une trentaine. La plupart ont une durée de trente à quarante cinq minutes, les très courts ne m’ont pas convaincu.
    Je me suis fait des ‘sessions’ personnalisées en combinant plusieurs morceaux pour une durée de une heure quarante environ qui me convient bien.

    De temps à autre je mets les écouteurs, cela m’isole et m’aide dans ma concentration.
    Pour cette dernière utilisation j’avais choisi Astral Sex Binaural Beats, Isochronics Tones d’une durée d’une heure. Le morceau a été plus court que ma ‘session’ mais je ne suis pas aperçue quand il s’est terminé.

    Je n’ai pas retrouvé le morceau exact, il y en a plusieurs centaines quand on fait une recherche sur YouTube. Mais avec les mots-clés choisis on peut trouver son bonheur.
    Il faut trouver ‘LE’ morceau qui convient à son oreille, à sa réceptivité mentale, à son attente. Un morceau qui fait effet un jour ne fait pas effet toujours, il n’y a pas de résultat reproductible. J’ai aussi cherché du côté de l’hypnose mais je n’ai pas persévéré.

    J’espère avoir résolu ce qui t’intrigue, bonne recherche.
    À plus

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