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  • #48900

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    je  suis vraiment très très malade actuellement

    et mes seuls moments de détente et de joie,

    sont quand je pratique quelques secondes

    mais j’ai tellement de fièvre,

    que je n’ai pas la force tout simplement

     

     

    cependant, chaque fois que je m’y mets,

    tout est là, toujours aussi resplendissant,

    c’est étonnant,

    c’est comme si c’était indépendant de moi

     

    indépendant de moi

    et en même temps, totalement lié à moi,

    je sens la danse dans ma chair,

    prête à se mettre en route,

    prête à me faire tournoyer et encore tournoyer

     

    c’est mystérieux, cette sensation,

    de percevoir toute cette sublime machinerie du plaisir,

    comme une chose totalement indépendante, en moi

    mais c’est peut-être le contraire, au fond,

    c’est en fait, moi, avec toute cette fièvre,

    tout cet envahissement de microbes, de virus ou de bactéries, que sais-je,

    qui ne suis plus tout à fait moi-même

     

    mon corps et le plaisir sont là, à leur habituelle place

    et la maladie m’a rejeté plus loin,

    un peu plus loin, en territoire d’affaiblissement,

    en territoire aux contours flous, diminué, rétréci,

    en territoire de survie

    #46705

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    le véritable miracle, le véritable mystère,

    c’est cette capacité de rewiring que nous avons en nous

     

    il faut bien essayer d’en prendre toute la mesure,

    prendre conscience à quel point,

    elle est comme un tapis magique, à lente détente,

    d’un cosmopolitisme charnel, sensitif, absolu

    qui nous permet de reprogrammer notre sexualité,

    à peu près comme on veut,

    de la mouler, de la façonner,

    à notre image la plus intime, la plus enfouie

     

    de faire venir s’exprimer en surface,

    en toute liberté,

    le désir ,

    dans toute sa richesse, dans toute sa splendeur,

    sans se soucier d’aucune barrière, d’aucun tabou,

    d’aucune limitation de genre ou autre

     

    l’imagination, le fantasme, le ressenti, sont rois et reines,

    la chair est leur terrain de jeu, leur complice,

    j’ai choisi, pour jouir, mon petit doigt ou ma chevelure, un jour

     

    je veux que mon sexe fleurissent dans les deux genres,

    je veux me sentir femme, de la tête aux pieds, par moments,

    je veux sentir, aussi, mon sexe raide, dressé,

    je veux, en même temps, me sentir pousser des lèvres, en bas,

    je veux sentir les deux sexes

     

    le miracle du rewiring,

    c’est de pouvoir jouir de n’importe quelle partie de son corps,

    c’est de pouvoir se caresser n’importe où

    et en jouir, en râler comme un possédé,

    ne plus être qu’un torrent de miel,

    se déversant dans notre âme et la moindre cellule, de son corps

     

    je me touche le sein,

    oh est-ce bien encore mon sein,

    celui d’un homme de 64 ans?

    ou est-ce un sein construit dans ma chair,

    remodelé, au galbe parfait

    puisqu’il m’envoie au septième ciel,

    quand je veux, comme je veux, autant de temps que je veux

     

    #46296

    En réponse à: conseils débutant

    Arousal
    Participant

    Bonjour !

    Je dirais que les tremblements sont encourageants 🙂 Tu es sur la bonne voie, je dirais keep on the good work (+- continue c’est bien pour les non anglophones)

    Tu as probablement progressé depuis mai, en continuant les séances, oui, en s’armant de patience, en accentuant la détente.

    C’est souvent la session faite comme ça, au cas où, sans en attendre grand chose, qui débouche sur un orgasme “whaou” 🙂

    #46289
    always2
    Participant

    Bonjour, j’ai 35 ans et je suis en couple hétérosexuel depuis une quinzaine d’années.

    Je tenais premièrement à vous remercier pour le site qui est une mine d’informations pour l’épanouissement sexuel de chacuns quelque soit leurs orientations.

    Depuis le début de ma sexualité je sens que mon penis n’est pas la seule source de plaisir, je me souviens très jeune me caresser l’anus pendant la masturbation.

    J’ai toujours guidé mes partenaires avec lesquelles j’étais en confiance vers l’exploration de cette zone avec toujours plus ou moins de gêne vis à vis de leur réaction avec les questions de masculinité que cela pouvait entraîner.

     

    Je suis avec ma compagne depuis donc une quinzaine d’années et notre relation est très fusionnel, sexuellement très forte et très physique suivant les périodes.

    Elle sait que j’aime être stimulé vers l’anus et m’insére régulièrement son doigt lors de fellation notamment, mais toujours avec caresses et stimulation du penis.

     

    Un jour après un long massage de sa part, elle a commencé à me sucer en me caressant l’anus puis  commençais à me doigter. Avec l’état de détente dans lequel j’étais après le massage j’ai senti une sensation étrange m’envahir que je n’avais que très peu ressenti avant. Je n’avais plus envie qu’elle me caressé le sexe mais uniquement qu’elle continu à me stimuler par derrière. Très difficile pour elle de ne pas prendre mon sexe dans sa main ou dans sa bouche lorsqu’elle me voyait perdre mon erection. J’ai fini par un orgasme d’une intensité rare dans sa bouche et j’ai senti qu’il s’était passé quelque chose que je n’avais jamais ressenti avant, car la stimulation de ma prostate était alors toujours accompagné d’une fellation ou de pénétration de ma partenaire.

     

    Cette montée de plaisir inconnue m’a poussé à me renseigner plus sur le sujet, ce qui m’a amené sur votre site, découvrir le traité d’aneros, puis ne procurer un aneros helix. J’ai lu je ne sais combien de fois le traité avant ma première session pendant laquelle j’ai respecté tout les conseils à la lettre : lubrification, relaxation, respiration, contraction, pas de stimulation de la verge etc.. je pense avoir vécu le moment de plaisir le plus intense de ma vie jusqu’à maintenant, je ne sais plus exactement mais entre 3 et 5 vagues de plaisir intense accompagné de hurlement de plaisir.

    C’était il y a une dizaine de jours, j’ai refait une session depuis qui était tout aussi intense, sans ejaculation final tellement j’étais fatigué et comme dans un autre monde.

     

    Depuis je me sens comme obsédé par cet objet, je continue à chercher des informations partout à ce sujet, je pense qu’à quand je pourrais faire ma prochaine session etc.. étant donc en couplé avec des enfants, c’est pas facile de s’octroyer des moments de détente propices à une session.

     

    J’ai 2 questions qui m’amène sur ce forum :

    – est ce normal d’être autant obsédé mentalement par cette pratique après y avoir goûté au point de ne plus être professionnellement actif ou presque ? Est ce juste au début ou cela persiste t il ?

    – je vais biensur en parler à ma partenaire, de cet orgasme multiple, sans erection et sans ejaculation, mais comment le partager avec elle dans notre vie sexuelle sans y délaisser son plaisir à elle ? Elle qui associe pour l’instant mon plaisir et le sien à une erection, une ejaculation. Je sais qu’au vue des sensations et du plaisir que cela me procure, les rapports avec aneros ne dureraient pas bien longtemps, et que je veux prendre le temps avec elle d’explorer et de continuer à progresser dans ma quête de ce plaisir la.

     

    En vous remerciant de m’avoir lu

     

     

     

     

     

    #45836
    Jeremy
    Participant

    Bonjour,

    Je suis en recherche de l’orgasme prostatique depuis quelques mois. Je n’ai pas compté exactement mais je dois cumulé 30 séances environ. Le protocole que je suis est toujours le même jusqu’à présent : lubrification du rectum avec deux suppositoires de beurre de karité, quelques millilitres d’huile d’amande douce, puis insertion de l’Aneros Helix Syn V enduit de beurre de karité. Petite précision, je n’active jamais les vibrations. Je commence alors une respiration abdominale de type 4 7 8. Au départ j’augmentais mon excitation sexuelle en regardant de la pornographie, mais je me rends que ce n’est pas forcément utile. Ensuite, à chaque séance, le même schéma se répète. Au bout de 20/30 minutes environ à respirer profondément, je commence à avoir des tremblements involontaires de mes abdominaux, sans forcément réaliser de contractions des sphincters mais simplement en maintenant une petite tension de ceux – ci. Mais ces contractions persistent sans évoluer en “orgasme”. Je me demande si ces contractions involontaires correspondent bien à celles décrites dans le traité d’Aneros. Et je ne sais plus quoi faire pour progresser, s’armer de patience, accentuer la détente ?… bref voilà où j’en suis. Ainsi je sollicite l’avis des experts de ce forum en la matière.

    En vous remerciant par avance.

    #45808
    Gfeel
    Participant

    Bonjour ! Je suis les activités de ce forum de loin depuis pas mal d’années et je fais mon petit bonhomme de cheminement… Je viens donc ici partager ma petite expérience (car le besoin s’en fait ressentir depuis hier hihi).
    Je pratique de manière très irrégulières depuis 2016. Je vis avec mon copain et nous avons également une coloc, qui jusqu’à il y a quelques mois, était en permanence à la maison, d’où l’impossibilité de “m’entrainer” régulièrement. Depuis décembre, la maison est totalement libre le matin… Mon compagnon part au travail, et moi, avant l’embauche, des fois… ben je m’amuse :innocent:
    Cela m’a permis de beaucoup progressé ! J’ai assez facilement des contractions involontaires, des vagues de plaisirs, je pense avoir déjà eu des mini-o (et des orgasmes sec? vous faites bien la différence ?). Certaines sessions sont complètement inutiles, et d’autres assez sympas. En général je pratique avec un toy, mais il m’arrive de faire sans (avec beaucoup moins d’effets, mais appréciable tout de même).
    En terme de progression je suis définitivement sur le “Plateau”. En gros, à un certains point, j’ai l’impression que quelque chose d’intense est là juste devant moi, mais qu’une barrière m’empêche de l’atteindre. J’essaye évidemment de me relaxer et de ne pas poursuivre l’orgasme, mais… essayer de ne pas penser à un éléphant ! En général, je suis tellement frustré que je finis par me masturber classiquement…

    Pour comprendre les développements récents, je vais remonter un peu en arrière… Il y a pas mal de temps lors d’un voyage, j’ai découvert, par hasard, que le cannabis avait un effet énorme sur la prostate. Malheureusement, la situation ne me permettait pas de m’abandonner à la sensation… Depuis, de retour en France, j’ai tenté le CBD qui n’avait pas eu franchement d’effet…
    La semaine dernière,le HHC, il s’agit d’un dérivé issu du CBD, qui est légal pour le moment (bénéficie d’un flou juridique jusqu’à nouvel ordre…), et qui est annoncé comme ayant des effets assez proche du THC. J’en ai acheté sous forme de sur internet. Franchement, je ne veux pas faire de publicité, mais je trouve le prix dérisoire par rapport à la quantité fourni et à l’effet procuré. Dès réception, j’ai pris une première taff par curiosité : génial. Je n’avais pas la sensation désagréable d’être complètement à côté de la plaque, mais j’étais très relaxé, détendu, “bien” et surtout… l’effet sur la prostate était…. woooh ! Je sentais comme un soleil et il suffisait que je me concentre dessus pour que cela se mette en mouvement… J’ai profité un peu en “a-less” comme ça pendant une petite heure, mais sans avoir la possibilité de m’isoler pour en profiter pleinement.
    Hier matin, j’ai profité de la tranquillité de la maison pour combiner HHC et jouet. En résumé : énorme session, je n’ai jamais eu autant de plaisirs. Mon corps s’est tortillé dans tous les sens, les vagues de plaisirs se succédaient, avec pleins de sensations différentes… A certains moments, je ressentais quelque chose vraiment au niveau du spincter, à d’autres au niveau de la prostate, à d’autres encore, toute la zone entre mon aine et et mes fesses m’avait l’air d’être une sorte de boule de feu dure et vibrante… Je sais que j’ai fait des grimaces, j’ai gémis, et j’ai même poussé un petit cri !
    Bref, c’était vraiment très bon, et pourtant cela a fini comme d’habitude. La sensation de cogner contre un mur sans arriver à l’exploser. J’ai donc fini une fois de plus, par une masturbation classique, dans une explosion tout à fait honorable ^^’.
    Cela m’embête un peu de devoir passer par des substances pour avancer, mais je me dis que c’est peut être juste un moyen de débloquer. Je continuerai à faire des séances “sobres” pour m’assurer de ne pas me bloquer là dessus, même si la tentation est grande tant le plaisir est fort et surtout, facile d’accès !

    J’aurais tout de même une petite question concernant les contractions. Au bout d’un moment, certains muscles se crispe complètement (notamment mes fesses, mes jambes, mes abdos), tout en ayant les contractions spasmodique du type “self-fuck”. J’ai essayé deux approches : laisser mon corps faire ce qu’il veut naturellement, ce qui crée une sorte de montée en plaisir constante qui va jusqu’au plateau ou qui redescend. Ou alors, consciemment rechercher la détente des muscles, ce qui, fait un peu perdre le plaisir montant, mais j’ai comme l’impression que “ça fait de la place pour la suite”.
    Ressentez vous cette même tension de vos muscles ? Comment la gérez vous ?

     

    lariastoha
    Participant

    Bonjour O adeptes des nouveaux plaisirs,

    cela fait je pense plus de 7 années que je vous lis avec plaisir et délectation, et jusqu’ici cela m’a suffit pour m’informer, me former et surtout découvrir à mon rythme de nouvelles pratiques.

    Je me permets juste, comme une récompense après autant d’années de lecture silencieuse, de vous livrer mon humble récit, afin de me présenter (bien que je l’ai fait sur le post adéquat) et de recueillir vos sensations, émotions, partagés, conseils et suggestions que vous voudrez (ou non) partager avec moi.

    Tout d’abord, quelques mots d’introduction en ma personne, je suis un homme de 40 ans, hétéro de surcroît mais ayant un penchant depuis toujours, presque une obsession pour les femmes. J’aime donc me sentir femme, et il fallait évidemment que je découvre les joies des plaisirs prostatiques au travers de mon premier achat d’un aneros Helix il y a exactement 7 ans, suivi de peu d’un eupho syn. Comme vous l’aurez compris, mon penchant féminin est très important, depuis aussi longtemps que je me souviens, j’ai une fascination pour les femmes et j’aime leur vêtements que je porte régulièrement, cela a commencé très jeune et comme une honte, je l’ai toujours vécu caché. Aujourd’hui papa et séparé, le chemin parcouru est incroyable. Je n’assume toujours pas mon penchant en public et c’est pourquoi cela fait du bien de le partager avec vous.  J’aime mon corps d’homme également, et j’essaye d’en prendre le plus grand soin au quotidien : sport, nutritherapie, méditation, relaxation, sophrologie et … beaucoup de lectures et de curiosités.  MAIS…

    il y a tjs un mais n’est ce pas ? Je me dois aussi de vous parler de quelques détails personnels de ma santé qui ont toute leur importance. C’est étrange de se déshabiller en public de cette façon et à la fois l’anonymat et le fait d’avoir l’impression de vous connaître depuis toujours aide grandement. Et puis j’apprécie cette communauté ou le jugement n’a pas sa place. C’est peut être aussi un des points qui m’a décidé à vous parler aujourd’hui.

    Voila, depuis tjs je souffre des intestins. Les médecins classiques m’ont diagnostiqué un syndrome de l’intestin irritable (IBS en anglais) et du, évidement au stress et psychologique (aaaah quand ils ne savent pas, tout est psy… respect aux fybromyalgiques). Bref, avec cela depuis mon plus jeune âge (enfin ado) je souffre d’hémorroïdes, et même de déchirure anale. Ce qui… a retardé grandement ma découverte du plaisir anal et prostatique comme vous vous en doutez. Toujours est il, et grâce à un père médecin lui très ouvert aux médecines alternatives et fonctionnelles, j’ai réussi à, non pas guérir complètement, mais limiter drastiquement mes crises et vivre enfin une vie bcp plus épanouie (et professionnellement également, même si ce n’est pas tjs évident). Mais ma volonté et curiosité de découvrir de nouvelles sensations a toujours été plus forte, et donc … l’hélix et le eupho il y a 7 ans…

    je me rappelle, mes premières séances, la peur de m’insérer quelque chose et de ressentir de la douleur. Je me rappelle, la difficulté de bien tout lubrifier, quel lubrifiant et comment, tout cela dans le secret car ma femme (de cette époque) n’en savait rien… pas plus que je lui piquais de tps en tps quelques vetements… je pense avoir essayé enormement de choses, du lubrifiant au silicone, a l’eau, en injection par seringue, a la lubrification toutes les 10 min., des seances de 30min a plus de 3h, ma volonté de ressentir qq chose etait tres grande, trop peut etre.

    Je me souviens de ces premieres contractions involontaires, de cette sensation de plaisir tres tres leger, mais il y avait tjs qq chose… soit une legere douleur, soit une peur de la douleur, soit une peur que le lubrifiant m’enflamme mes entrailles, soit encore une autre peur. bcp d’angoisses, oui je suis comme ca. et a la fois, je veux progresser, depasser ces contraintes qui me retiennent! chaque session, je devais m’habiller en femme, ou du moins avec un vetements et une texture qui me plaisit pour m’exciter legerement. Pareil pour le porno mais ma relation au porno est totalement differente. j’aime regarder ces femmes se faire penetrer car je m’imagine a leur place. idem quand deux femmes se font l’amour…

    aujourd’hui, je fais des seances sans porno dans le noir presque complet et un calme absolu. je m’habille tjs femme car c’est pour moi un declencheur et m’aide a me sentir plus proche et plus ouverte a ma feminité, a recevoir sans attendre.

    Malgré tout cela, le chemin fut long et dur et encore aujourd’hui j’ai parfois du mal a ressentir.

    j’ai decouvert l’huile de coco il y a peu que je fais fondre et injecte avec la seringue, ce qui lubrifie tres bien. plus du lubrifiant a base d’eau sur l’aneros. j’ai acheté du beurre de karite mais je n’ai pas reussi a le faire fondre (peut etre pas assez longtemps au micro onde) et donc peut etre avez vous quelques conseils a ce sujet ? il semble bcp plus gras.

    concernant les aneros, je commence souvent avec le eupho, et puis monte dans les tailles : helix et progasm. j’ai essayé la methode de BZO (merci a toi) qui consiste a se faire l’amour et penetre litteralement avec le progasm, et je dois dire que j’ai aussi des agreables sznsations comme le do nothing du debut avec l’eupho.

    j’ai deja ressznti plusieurs fois des agreables ondes et des tremblements dans tout le corps mais vraiment ce n’est pas du tout a chaque seance et je remarque que je dois bien etre excite. sinon c’est juste agreable, sans plus. (je sais j’en attend trop mais quand on y a gouté, on veut tjs plus).

    recemment j’ai atteint un niveau que je n’avais jamais atteint (donc ma progression continue, ca me motive) et j’etais vraiment avec le souffle court, battement rapide du coeur, trembmement du corps et le masseur qui allait de lui meme avec une vague de plaisir comme si j’avais un vagin! et evidemment cela s’est arrete, peut etre ai je trop analyse, en tout cas j’etais sur que cela pouvais monter encore bien plus haut. pourtant je n’ai plus jamais reussi a avoir cette sensation, et meme si je sais qu’il ne faut rien attendre, il y a bien une part de frustration.

    evidemment, j’ai aussi travailler en aless, et je ressens parfois qq sensations agreables mais jamais rien de comparable a ce que j’ai vecu.

    la detente a fait bcp avancé mais aujourd’hui je stagne. meme parfois sans me masturber ou sans sexe pendant 1 semaine, l’excitation n’est plus la. surtout quand je pense a toute la preparation.

    par contre je sais que la lubrification est importante, et que j’ai remarque comme mes seances sont generalement longue (je suis lent tres lent a me calmer), je suis sur que je peux ameliorer cela. auriez vous qq conseils ? j’utilise l’aneros session pour le moment.

    concernant les jouets, le progasm me procure bcp de sensations mais j’ai l’impression que c parfois trop fort, et de plus la taille avec ce que j’ai comme passé ne me permet pas un confort comme avec l’eupho. devrais je tester le eupho trident ? et ne plus prendre en syn ? une autre recommendation ?

    pourtant j’apprecie avoir le progasm surtout quand il vient d’etre lubrifie et qu’il glisse bien mais je trouve qu’il glisse pas assez et “freine” assez vite (ma lubrification qui n’est sans doute pas optimale). j’apprecie la methode de BZO qui consiste a “forcer” cette penetration et a se faire penetrer et sentir glisser avec des contractionq fortes. ce sont pour moi des sensations differentes que le do nothing mais tout aussi agreables… mais generalement je le fais en fin de seance, quand j’ai deja un peu dilater l’entree.

    j’ai remarque aussi que l’helix en debut etait souvent un fiasco, alors que le eupho me procurait bien des sensations, qui, a un moment disparaissait. et le fait alors de changer pour l’helix me redonnait quelques vagues mais de courtes durees. je suspecte tjs ma lubrification mais pas que, je pense etre pret a decouvrir d’autres anatomies pour cette partie de mon corps mais lesquels choisir ?

     

    bref, je suis sur un plateau mais tres content d’etre arrivé jusqu’ici. je sais que mon voyage ne s’arrete pas ici et vous remercie tellement pour l’aide passée, presente et future!

    je developperai bien sur tous les points que vous voudrez, il y a tellement a dire.

    merci deja pour vos retours.

    laria

     

    #45668
    Alokar
    Participant

    Sans surprise, c’est en laissant tomber qu’on progresse, apparemment.

    Après quoi, plus d’1an et demi d’essais en moyenne 3X/semaine, j’ai peut-être enfin eu mon premier dry-O hier

    Au final, vu que pour réussir, le laisser-aller et la détente sont nécessaires, je suis resté à cogiter mais dans le bon sens.

    -Toute la terminologie, les “delicieux” et autres termes pour les sensations me dégoutant plus qu’autre chose, je fais abstraction de ces termes dans ma perception de l’expérience. Je reste froid dans l’expression de la chose.
    -Vu que je suis très stressé et toujours sur le qui-vive en veille, j’ai attendu d’être assez fatigué et donc moins de résistance à devoir vaincre.
    -Un chrono sur 90/120 minutes ainsi l’essai est “limité” mais cela m’évite de courir apres la réussite dès 20 mins. La, y a le temps, faut meubler, on y va tranquille.
    -A cause des murs en carton et des voisins, j’attends qu’ils partent et/ou j’envoie des bruits parasites
    -Inutile de continuer a tester les différents modèles.
    J’aime pas quand c’est trop envahissant —>Dans la boite, le progasm jr
    Les petits modeles me stressent, trop peur qu’ils entrent en mode suppo (surtout le tempo) —>dans le sac tempo et peridise
    Des dizaines d’essais sans trop de succes alors on arrete d’insister tant que le palier n’est pas passé : Le helix, helix syn et helix a moteur (ouais, quand je bute sur un truc, je bourrine un peu)

    Puis on ajuste
    Pour exercer les muscles, mais zone pas encore assez sensibilisée pour atteindre le but : l’eupho 1-2X/semaine max
    Pour quand c’est un lendemain d’essai et qu’il faut reposer la zone mais que ca chatouille encore : peridise fin (l’épais et le tempo sont parmi mes pires modeles)
    1X/semaine, de préférence le we, pour un essai complet : Le MGX . Moins intrusif, et le premier avec lequel il m’a semblé sentir quelque chose.

    -Pour l’état d’esprit : J’essaie pas de me détendre, juste de ne pas trop penser ni vocaliser ou imaginer une scene avec un max de sens possibles.
    -Si je me déconcentre ou fais trop attention au coté mécanique du truc, je visualise un point au niveau de la prostate et me concentre dessus.

    Quelques observations et redites amusantes mais confirmées par l’expérience du coup :

    ->Ne pas viser une réussite type ejac classique. Ici, on a pas le controle sur l’ouverture de la porte, et on a pas la clé. On se contente d’indiquer le bon chemin et on laisser aller, le cerveau sait quoi faire sans qu’on le lui dise. Au contraire, ca bloque de vouloir volontairement déclencher, même quand on sent qu’on est juste sur le seuil. Le seuil n’est pas la porte, et on est pas le portier. Ce n’est pas nous qui décidons si on peut entrer. On se contente de se présenter dans de bonnes conditions et voila.
    ->Si difficile de ne pas penser : Visualiser la scene en mode vr mentale avec une partenaire (dans mon cas). Se rappeller que la sensation n’est pas juste liée à l’éjac mais est une fusion du donner et recevoir. On peut être plus visuel, ou auditif, ou tactile, ou un mélange de tout, il n’y a pas de regles
    ->Si on observe, il y a 2 “paliers” : 1 : L’eveil de la prostate : On sent physiquement quand l’aneros est à sa place, quand les muscles font bien le boulot. Ca met parfois du temps à se sensibiliser (surtout au début j’imagine). Avoir eu cette zone non stimulée quelques jours et ne pas avoir éjac aident pas mal.
    2 : L’eveil de l’automatisation : Perso, juste les muscles internes sans bouger, pas moyen. Idem de rester sur le dos. Par contre, bouger les pieds, le bassin, ca aide. Donc on entame, on laisse faire sans trop réfléchir,et a un moment, le chauffeur viendra prendre le relais. On laisse les commandes et on voit où ca va. Au final, c’est pas la “méthode” qui compte, mais trouver comment s’installer relax.

    Perso, mes deux points-clés a éviter
    -Pas chercher à atteindre l’objectif du super-O, surtout n’en ayant pas encore eu, c’est une quete vide. On fait aller, on tient les 90/120 minutes et puis voila. Rien de plus.
    -Ne pas utiliser les mains. Plus essentiel que je ne l’aurais cru. Surtout on laisse faire l’aneros. Si on ne sent pas assez, c’est que c’est pas encore assez sensible. Utiliser les mains pour forcer le mouvement=prise de controle=blocage pour un O prostatique, et souvent plutot redirection vers une ejac. “boostée”

    Et quelques constatations qui me font dire que je suis sur la bonne voie

    -Une fois en phase 2, le stimulus moteur peut ne même plus etre a caractere sexuel en fait, ou plus limité. Quand la porte s’ouvre, on se retrouve tourné vers l’intérieur et la stimulation se suffit assez bien à elle-même
    -Pas vraiment de période réfractaire, hormis pour souffler un peu. Apres le premier essai, j’ai pu en relancer un second 5 mins plus tard. J’aurais bien continué s’il n’était pas si tard.
    -Pour la crainte du “mais et si c’est pas assez, je termine à la main?” , on dirait bien qu’il faut pas s’en faire, si on est sur la bonne voie, ca sera bien assez. En fait, je n’ai même pas réussi à faire une pratique manuelle avant apres cet essai et ai gardé cette zone sensible jusqu’au lendemain.
    -Vu la durée, c’est tres ennuyant de devoir se lever pour nettoyer l’aneros et remettre du lubrifiant. En général, je le fais 3-4 fois sur 2h d’essais. Ici, j’ai remis une dose quand j’ai senti que je pourrais arriver à quelque chose. Ca casse le mood, mais si on est lancé, ca revient en quelques minutes.

    Du coup, me voila équipé de l’eupho syn, du peridise fin, du mgx syn et plastique (c’est avec ce dernier que j’ai réussi, d’ailleurs, à ma grande surprise. Les bras plus épais sont moins genants que les autres modeles, et je pense que le lubrifiant tient mieux avec. ) Le reste basta. Et on va attendre ce we pour un nouvel essai.

    Le psychologique jouant beaucoup, c’est aussi pour garder une trace que je pond ces pavés. Ainsi on a eu le premier essai, puis le premier ejac prostatique avec le njoy wand (qui du coup commence a partir a la retraite car j’allais un peu fort avec, pas l’idéal pour les tissus), puis un premier ejac avec mains pour faire bouger l’insert. Puis ici sans les mains complet.

    Si il faisait meilleur (ma chambre est tres froide) et sans voisins, je suis sûr que j’y serais arrivé. En tout cas j’ai une nouvelle piste de réussite a creuser.

    Et en dernier tips, c’est qu’a chaque fois qu’on essaie sans les mains, sans stimulation du pénis en même temps, ce n’est pas que par principe, mais pour “forcer” le cerveau à se dire “bon,il fou quoi la? On va voir? Tiens, c’est quoi ces terminaisons nerveuses mal branchées, la?” alors qu’avec les mains, il va juste se dire “bon, encore un kink, c’est rien, on envoie la sauce comme d’hab”

    A voir pour la suite.

    #45485
    augnat
    Participant

    Merci à toi @bzo. J’ai posté sur ce fil parce que justement (et c’est vrai que je ne l’ai pas explicité dans mon deuxième message), j’ai laissé tomber l’Aneros dès ma deuxième session. Pendant les quinze premiers jours, j’ai retenté le coup deux ou trois fois par impatience en cours de session, en me disant que les résultats que je n’obtenais pas seraient peut-être plus satisfaisants avec une béquille (comme le mot est bien choisi !), mais je crois que ces fois-là, la cause était mon impatience et avec le jouet, c’était encore pire, car chez moi il y a un temps non négligeable d’adaptation, n’étant pas habitué à ce type d’insertion, mes muscles se contractent involontairement et extrêmement fortement et je dois commencer par un gros travail pour calmer ces contractions, ce qui n’aide pas si c’est l’impatience qui est en cause. Je me sens beaucoup plus à l’aise à pratiquer sans rien, et j’ai fini par le rapporter dans un des magasins de cette chaîne qui propose de reprendre les sextoys pour les recycler en échange d’un petit bon de réduction, le service client de l’enseigne où je l’avais acheté n’ayant rien voulu savoir. Ça me gênait d’avoir ce truc dans mon placard, même si je lui suis très reconnaissant, à ce truc. Il ne m’a réellement servi qu’une fois, mais d’une manière absolument essentielle.

    Ce qui a changé depuis mon premier orgasme avant-hier, c’est que l’intensité du plaisir monte vite, presque trop vite, même sans avoir mis en place cette phase de détente perçue par beaucoup comme étant absolument essentielle (je vois bien à quel point tout ça est très personnel), et je dois m’adapter mentalement à l’idée de ce plaisir qui vient pour arriver à le laisser pleinement s’exprimer. Je ne suis d’ailleurs pas certain d’y être encore vraiment parvenu, même si un de mes orgasmes de ce matin était assez incroyable, en deux temps, repartant de plus belle avec un massage de la zone des fesses près du rectum au moment où la descente du plaisir s’amorçait. Hier soir, j’étais allongé sur le ventre à côté de ma compagne, pas encore prêt pour le sommeil, détendu mais alerte, et tout d’un coup une énorme vague m’a surpris et presque désarçonné, sans que j’aie eu l’impression de rien faire pour la provoquer. Il y a des moments où j’ai l’impression que ma prostate m’appelle. Elle a été en sommeil pendant plusieurs dizaines d’années, et maintenant elle réclame son dû. Je découvre tout cela, et c’est très déroutant.

    #45078
    sensual
    Participant

    Hello,

    de mon expérience, et de ce que j’ai cru comprendre de l’orgasme féminin, ce qui nous pose problème au début avec la jouissance prostatique, c’est qu’elle a un côté beaucoup plus filandreux, expérimental, labyrinthique, compliqué, que la jouissance masculine que tout le monde sait atteindre de façon instinctive en massant son pénis en érection.

    Quand on regarde des vidéos où des femmes ont du plaisir, ou qu’on observe ses partenaires féminines, on s’aperçoit que pour elles la jouissance n’est jamais sûre, c’est une affaire à la fois de bon moment, de bonnes circonstances, de détente intérieure, d’envie d’avoir du plaisir, mais aussi de connaissance de son corps, de découverte des capacités de ces petits replis de chair un peu mystérieux, même pour celles à qui ils appartiennent. Pas étonnant qu’il y ait même de coachs et des cours pour apprendre aux femmes à jouir, alors que pour les hommes il n’y a besoin de personne pour arriver à faire jouir son pénis.

    A mon avis c’est assez proche de la jouissance prostatique, qui dans mon expérience a nécessité un long parcours, beaucoup d’expérimentations diverses, est passée par de nombreuses phases avant que je n’arrive aujourd’hui à un plaisir épanouissant, même si je pense que je n’ai pas fini d’en découvrir d’autres.

    D’ailleurs ce qui m’aide souvent c’est de regarder des vidéos de filles qui se masturbent ou qui prennent du plaisir à deux, des vidéos pas trop fake : si le plaisir est sincère, on voit les chemins complexes qu’il prend, et les sons et les visages des filles montrent bien qu’il n’est pas simple, pas évident, pas instantané, qu’il se mérite…!!!

     

    Tout le meilleur en tout cas sur ce beau chemin parsemé de petits trésors 🙂

    #44654
    Caktil
    Participant

    Je m’aperçois que mon bilan ci-dessus est illisible…

    Je poste à nouveau en espérant ne pas avoir le même bug…

     

     

    Bonjour à vous tous !

    J’ai envie de vous faire un petit bilan de ma 3e année de pratique du massage prostatique. Pour info, je pratique deux fois par semaine avec un masseur et une fois par semaine sans masseur.

    Cette troisième année commence en fanfare au mois d’août 2021 par une suite de séances toutes couronnées de succès, avec de nombreux Dry-O’s de la meilleure qualité et aussi quelques Super-O’s d’une intensité rare. Toutes mes sessions sont réussies et s’il m’arrive d’être un peu déçu, c’est simplement parce que les orgasmes n’ont pas dépassé les meilleurs des séances précédentes.

    Vers fin septembre 2021, j’établis mon record personnel de la plus longue suite d’orgasmes sans interruption. Je n’ose pas parler d’un seul orgasme, même si le temps écoulé entre deux orgasmes est nul ou quasi nul. J’ai juste le temps de me dire que je viens d’avoir un orgasme exceptionnel et le suivant démarre. Cette suite quasi ininterrompue a duré… 46 minutes ! Incroyable ! 46 minutes de plaisir ininterrompu et allant crescendo ! Pour ceux qui se poserait la question, j’utilisais l’Eupho Trident pendant cette séance. Mais il n’est pas le seul responsable. Ma prostate est également à féliciter puisque j’ai eu un dernier magnifique orgasme de 10 minutes en fin de séance, juste après avoir retiré le masseur…

    Justement, à ce sujet, il est à noter que je ne constate plus de différence dans la qualité des Dry-O’s entre une session avec un Aneros ou une séance Aless. A plusieurs reprises, j’ai pu expérimenter les meilleurs orgasmes de ma vie sans utiliser de masseur. Je ne pense pas qu’un jour j’abandonnerai l’usage des stimulateurs de prostate car j’adore les sentir bouger en moi et appuyer là où ça fait du bien. J’aime bien alterner le type de séances.

    Je vis une période un peu morne entre janvier et mi-février 2022 car je n’ai plus accès à mon booster de séance, entendez par-là le THC. J’ai essayé avec de la weed CBD, légale dans mon pays, mais sans vraiment de succès. Donc, sans THC, les sensations sont très faibles, J’ai quelques petites vagues de plaisir mais je n’ai plus de Dry-O’s, et bien sûr plus de Super-O’s non plus. Heureusement, je finis par retrouver de la bonne weed. Et me voilà de retour au paradis des orgasmes. Artificiel, le paradis ? Oui, probablement, mais Dieu que c’est bon ! Bref, l’enchaînement des séances extraordinaires reprend.

    Début avril 2022, je me décide à acheter le dernier modèle Aneros qui n’est pas encore en ma possession : le Maximus Trident. Je n’ai aucun modèle qui soit « syn », je préfère les modèles en plastique blanc. Je me suis décidé à acheter le Maximus car sa forme et sa taille me plaisent bien. Il me semble combiner les deux formes de masseur qui me donnent les meilleurs orgasmes, je veux parler du Progasm Junior et de l’Eupho. Comme j’ai bien fait d’acheter ce Maximus ! Ce modèle semble être fait pour moi. Il bouge terriblement bien et m’amène à de nouveaux sommets de plaisir. C’est mon modèle préféré depuis lors. À noter qu’il me semble avoir progressé d’un palier dès la première utilisation du Maximus, et cette progression se répercute aussi sur les séances faites avec tous mes autres jouets. Le point principal de ce nouveau palier porte sur des mouvements plus amples des masseurs. Pour reprendre une analogie qui date de mes débuts, je tiens bien mieux le crayon et j’écris beaucoup mieux.

    Depuis le mois de juin 2022, depuis ma 360e séance environ, j’ai arrêté d’écrire systématiquement un compte-rendu de l’expérience. Je vais continuer à noter si quelque chose d’exceptionnel se passe, mais sinon, je vais me contenter de savourer ce plaisir incroyable sans vouloir tout analyser et tout me rappeler. Du coup, depuis ces dernières semaines, je ne sais plus exactement combien de séances j’ai fait. Une estimation assez juste me donne le nombre de 390 séances depuis août 2019.

    Un des progrès significatifs de cette troisième année de pratique est l’amplitude des orgasmes. Pratiquement à chacune de mes séances, j’ai au moins un des Dry-O’s où j’arrive à faire grandir le plaisir et à l’étendre à pratiquement tout mon corps. Ce sont des moments de détente totale pendant lesquels il me semble flotter dans un océan de plaisir. Je pense que c’est ce que les gens appellent un « calm sea orgasm ».

    J’aimerais vous parler encore d’un dernier progrès extraordinaire de cette 3e année, il concerne les orgasmes traditionnels, ou les Super-T. Environ une fois par semaine, je m’autorise une éjaculation en fin de session. Je suis devenu assez bon dans l’art de synchroniser un orgasme traditionnel avec un orgasme prostatique, ce qui est vraiment délicieux. En plus, j’arrive maintenant à déclencher l’éjaculation sans toucher mon pénis. À force de concentration, d’imagination et d’anticipation du plaisir qui mène à l’éjaculation, combiné à des caresses sur les tétons, j’arrive à rester assez longtemps dans ce moment qui se situe juste avant le point de non-retour… Et il me suffit de pousser un peu plus, d’augmenter les caresses sur les tétons pour arriver à un orgasme traditionnel extraordinaire.

    Malgré ces résultats très satisfaisants, j’ai encore souvent l’impression d’être un débutant, un petit Padawan qui a encore tout à apprendre. Il m’arrive encore de me faire la réflexion que ce que j’ai qualifié de Super-O il y a un mois en arrière n’était finalement qu’un simple Dry-O si je le compare au plaisir ressenti dans ma dernière session. Les progrès sont apparemment sans fin et je trouve que c’est une des caractéristiques les plus incroyables de cette pratique.

    Je vous souhaite à tous un bon cheminement et des progrès extraordinaires ! Take care.

     

    PS: J’ai eu exactement le même bug en repliant. Un des nombreux mystère de l’informatique… J’ai corrigé “à la main” en espérant que ça marche…

     

    PS2: ça marche !

    #44516
    Caktil
    Participant

    <p style=”font-weight: 400;”>Bonjour à vous tous !</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>J’ai envie de vous faire un petit bilan de ma 3<sup>e</sup> année de pratique du massage prostatique. Pour info, je pratique deux fois par semaine avec un masseur et une fois par semaine sans masseur.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Cette troisième année commence en fanfare au mois d’août 2021 par une suite de séances toutes couronnées de succès, avec de nombreux Dry-O’s de la meilleure qualité et aussi quelques Super-O’s d’une intensité rare. Toutes mes sessions sont réussies et s’il m’arrive d’être un peu déçu, c’est simplement parce que les orgasmes n’ont pas dépassé les meilleurs des séances précédentes.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Vers fin septembre 2021, j’établis mon record personnel de la plus longue suite d’orgasmes sans interruption. Je n’ose pas parler d’un seul orgasme, même si le temps écoulé entre deux orgasmes est nul ou quasi nul. J’ai juste le temps de me dire que je viens d’avoir un orgasme exceptionnel et le suivant démarre. Cette suite quasi ininterrompue a duré… 46 minutes ! Incroyable ! 46 minutes de plaisir ininterrompu et allant crescendo ! Pour ceux qui se poserait la question, j’utilisais l’Eupho Trident pendant cette séance. Mais il n’est pas le seul responsable. Ma prostate est également à féliciter puisque j’ai eu un dernier magnifique orgasme de 10 minutes en fin de séance, juste après avoir retiré le masseur…</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Justement, à ce sujet, il est à noter que je ne constate plus de différence dans la qualité des Dry-O’s entre une session avec un Aneros ou une séance Aless. A plusieurs reprises, j’ai pu expérimenter les meilleurs orgasmes de ma vie sans utiliser de masseur. Je ne pense pas qu’un jour j’abandonnerai l’usage des stimulateurs de prostate car j’adore les sentir bouger en moi et appuyer là où ça fait du bien. J’aime bien alterner le type de séances.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Je vis une période un peu morne entre janvier et mi-février 2022 car je n’ai plus accès à mon booster de séance, entendez par-là le THC. J’ai essayé avec de la weed CBD, légale dans mon pays, mais sans vraiment de succès. Donc, sans THC, les sensations sont très faibles, J’ai quelques petites vagues de plaisir mais je n’ai plus de Dry-O’s, et bien sûr plus de Super-O’s non plus. Heureusement, je finis par retrouver de la bonne weed. Et me voilà de retour au paradis des orgasmes. Artificiel, le paradis ? Oui, probablement, mais Dieu que c’est bon ! Bref, l’enchaînement des séances extraordinaires reprend.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Début avril 2022, je me décide à acheter le dernier modèle Aneros qui n’est pas encore en ma possession : le Maximus Trident. Je n’ai aucun modèle qui soit « syn », je préfère les modèles en plastique blanc. Je me suis décidé à acheter le Maximus car sa forme et sa taille me plaisent bien. Il me semble combiner les deux formes de masseur qui me donnent les meilleurs orgasmes, je veux parler du Progasm Junior et de l’Eupho. Comme j’ai bien fait d’acheter ce Maximus ! Ce modèle semble être fait pour moi. Il bouge terriblement bien et m’amène à de nouveaux sommets de plaisir. C’est mon modèle préféré depuis lors. À noter qu’il me semble avoir progressé d’un palier dès la première utilisation du Maximus, et cette progression se répercute aussi sur les séances faites avec tous mes autres jouets. Le point principal de ce nouveau palier porte sur des mouvements plus amples des masseurs. Pour reprendre une analogie qui date de mes débuts, je tiens bien mieux le crayon et j’écris beaucoup mieux.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Depuis le mois de juin 2022, depuis ma 360<sup>e</sup> séance environ, j’ai arrêté d’écrire systématiquement un compte-rendu de l’expérience. Je vais continuer à noter si quelque chose d’exceptionnel se passe, mais sinon, je vais me contenter de savourer ce plaisir incroyable sans vouloir tout analyser et tout me rappeler. Du coup, depuis ces dernières semaines, je ne sais plus exactement combien de séances j’ai fait. Une estimation assez juste me donne le nombre de 390 séances depuis août 2019.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Un des progrès significatifs de cette troisième année de pratique est l’amplitude des orgasmes. Pratiquement à chacune de mes séances, j’ai au moins un des Dry-O’s où j’arrive à faire grandir le plaisir et à l’étendre à pratiquement tout mon corps. Ce sont des moments de détente totale pendant lesquels il me semble flotter dans un océan de plaisir. Je pense que c’est ce que les gens appellent un « calm sea orgasm ».</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>J’aimerais vous parler encore d’un dernier progrès extraordinaire de cette 3<sup>e</sup> année, il concerne les orgasmes traditionnels, ou les Super-T. Environ une fois par semaine, je m’autorise une éjaculation en fin de session. Je suis devenu assez bon dans l’art de synchroniser un orgasme traditionnel avec un orgasme prostatique, ce qui est vraiment délicieux. En plus, j’arrive maintenant à déclencher l’éjaculation sans toucher mon pénis. À force de concentration, d’imagination et d’anticipation du plaisir qui mène à l’éjaculation, combiné à des caresses sur les tétons, j’arrive à rester assez longtemps dans ce moment qui se situe juste avant le point de non-retour… Et il me suffit de pousser un peu plus, d’augmenter les caresses sur les tétons pour arriver à un orgasme traditionnel extraordinaire.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Malgré ces résultats très satisfaisants, j’ai encore souvent l’impression d’être un débutant, un petit Padawan qui a encore tout à apprendre. Il m’arrive encore de me faire la réflexion que ce que j’ai qualifié de Super-O il y a un mois en arrière n’était finalement qu’un simple Dry-O si je le compare au plaisir ressenti dans ma dernière session. Les progrès sont apparemment sans fin et je trouve que c’est une des caractéristiques les plus incroyables de cette pratique.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Je vous souhaite à tous un bon cheminement et des progrès extraordinaires ! Take care.</p>

    #44514

    En réponse à: Reconnaitre un mini-O

    bzo
    Participant

    Par contre, je dois avouer qu’au niveau des émotions, j’ai vécu quelque chose de fort. J’ai trouvé le moment très érotique, inattendu. J’ai senti une forme d’excitation intérieur vraiment agréable.

    oui, tu as goûté à quelque chose que je recherche tout particulièrement,

    que je développe et que je perfectionne,

    les séances au lit, ne m’intéressent quasi plus,

    pour l’instant, en tout cas,

    ce que je recherche, c’est à intégrer des moments intimes avec mon corps, au fil du quotidien,

    décorer les gestes, les mouvements,

    rendre l’instant incandescent mais dans un passage soudainement,

    de l’action la plus banale, pendre mon linge, me faire du thé, cuisiner,

    à la communion avec mon corps,

    à faire naître comme cela, des beaucoup de sensations très intenses, riches et variés

     

    ce sont des moments à part et en même temps,

    ils semblent naître de mes faits et gestes du quotidien,

    subtile entrelacement que je perfectionne

     

    ainsi, le plaisir est tout à fait différent que si je me mets au lit,

    pour une séance,

    dans l’absolu, c’est moins intense, bien sûr

    mais c’est néanmoins, incroyablement satisfaisant,

    avec des nuances de sensations, incroyablement variées

     

    c’est, avant tout, la complicité avec  son corps qu’on vit

    et l’instant devient intense car on parvient à être en équilibre

    comme au bord d’un abîme qui s’est ouvert,

    le quotidien s’est fendu et laisse apparaître du magique,

    les moments spéciaux, les moments d’incandescence,

    n’appartiennent plus qu’au domaine du lit

    mais se disséminent partout

     

    c’est en fait, tout notre quotidien qui change ainsi,

    en laissant le désir accroître son territoire,

    en lui laissant libre cours,

    on prend conscience de sa capacité à s’immiscer partout,

    tout cela , une fois bien rodé

     

    le plaisir nous accompagne constamment,

    le désir a son mot à dire tout le long de la journée,

    comme notre estomac,

    vivre des moments intimes ardents,

    devient aussi naturel que de respirer,

    tout le long de la journée et de la journée,

    à la moindre petite occasion

     

    cependant, moi, je me limite vraiment à mon appartement,

    j’ai écris au-dessus que je m’offrais dans les toilettes, sur mon lieu de travail,

    de temps à autre, des moments de détente, en tête à tête ardent avec mon corps

    mais ce n’est même plus vrai

    je préfère garder cela pour chez moi,

    partout chez moi, à n’importe quelle heure, n’importe,

    avec quoi que je sois occupé,

    dehors, je ne suis pas capable d’autant me laisser aller,

    aussi totalement et sans retenue

     

    c’est tout ou rien, désormais,

    en tout cas, pour l’instant,

    ça va peut-être changer,

    avec le télétravail, le confinement,

    j’ai tellement pu développer cela de jour aussi, chez moi,

    j’ai besoin de tout mon bac à sable

    #44512

    En réponse à: Reconnaitre un mini-O

    bzo
    Participant

    bravo, belle expérience

     

    j’admire ta capacité à contenir en toi les effets de l’orgasme,

    moi, je n’essaie plus, en-dehors de chez moi

    sauf, de temps à autre, quelques moments de détente, aux toilettes, au travail

     

    mais sinon, assis à mon poste, hors de question,

    j’aurai trop peur de déclencher un orgasme

    car alors je ne me contrôlerai plus

    et commencerai à gémir et remuer, malgré moi

    #44414

    En réponse à: Rien ne se passe…!

    Betamax
    Participant

    Bonjour KIM, je viens de découvrir tes messages et je me permets de te donner à mon tour ce qui pour ma part m’a permis de prendre un réel plaisir.

    1 – Essayer différents sextoys. Les aneros sont pour ma part pas les meilleurs que j’ai connu car trop subtils pour démarrer.

    2 – Contrairement à ce que tu dis, les vibrations m’ont bien aidées ! Au début j’effleurais le masseur avec l’outil vibrant pour doser, puis j’ai tenté un masseur vibrant. Alors oui à force ça gâte la zone.

    3 – Simplement se donner du plaisir. Pendant une longue période je jouais vraiment le jeu en suivant les conseils de détente, contraction, etc. mais tout ça ça manquait de lubricité, en conséquence je n’étais pas excité donc impossible de ressentir quoi que ce soit. Fait des va-et-vient manuels, frottes-toi contre un coussin, donnes-toi du plaisir devant et tant pis si cela contredit tout les principes évoqués ici et ailleurs. Le principal est de chercher à prendre du plaisir par derrière en même temps que par devant, d’en prendre conscience puis petit à petit ne faire que ça.

    D’ailleurs je cernerais deux phénomènes. Premièrement, cela prends du temps car je pense qu’il faut tout simplement développer sa musculature en cet endroit. Deuxièmement, c’est vrai, il faut t’enlever l’habitude de te masturber. Ton cerveau ne trouve juste pas cela normal que le plaisir monte sans cela, pire, qu’une jouissance est possible. Je pense d’ailleurs que c’est le fameux plafond de verre dont beaucoup parlent. Une des méthodes que j’ai utilisé pour le surmonter est de prendre du plaisir par devant uniquement en massant mon frein, voire en utilisant un vibromasseur en cette zone. Ça m’a permis de passer une première étape qui est d’habituer mon cerveau à jouir sans va-et-vient.

     

    Voilà pour mes premiers conseils, n’hésite pas si tu as des questions ou si tu as besoin de précisions, je serais très heureux de partager avec toi.

    #44323
    Caktil
    Participant

    Bonjour @curieuxjj24,

    Je viens de voir ton message. En effet, je ne viens plus aussi fréquemment sur ce site qu’il y a quelques mois.

    Je n’utilise pas souvent le Tempo ou ses cousins les Peridises, comme tu dit si justement.

    Et à chaque fois (ou presque) je me dit qu’il faudrait que je les utilise plus souvent tellement ils sont efficaces !

    Par une étrange coïncidence (!?), j’ai fait une séance mémorable avec mon Tempo lundi passé, soit le 25 juillet dernier.

    Je ne fais pas vraiment quelque chose de différent par rapport à mes séances avec masseurs prostatiques.

    Relaxation, détente musculaire, respiration contrôlée et caresses sur les tétons. Et une fois que l’orgasme commence, détente, détente, détente ! De cette façon, j’arrive à me plonger dedans et à laisser le plaisir envahir mon corps.

    Pour ce qui est de la profondeur de l’insertion, je laisse la 2e petite « boule » à l’extérieur de mon anus. C’est, sauf erreur, la position idéale et recommandée par Aneros.

    J’ai donc eu une séance extraordinaire lundi passé, avec beaucoup d’orgasmes que je ne saurais définir. Était ce des orgasmes annaux ? Prostatiques ? Je pense que c’était des Dry-O’s, prostatiques, donc. Plus ou moins intenses. J’ai eu la chance de pouvoir classer deux ou trois de ces orgasmes  dans la catégorie « meilleurs de ma vie ». Bref, comme je le disais plus haut : une séance mémorable.

    Pour ce qui est des mouvements péristaltiques, il me semble que j’ai vécu ce phénomène seulement au cours de ma toute première séance avec le Tempo. Et c’était très bon !

    Je te souhaite plein succès dans ton cheminement, take care !

    #44256
    bzo
    Participant

    sans chercher quoi que ce soit qu’essayer de sentir les mouvements, sans autre but.

    A coté, je vais quand même devoir y aller pas à pas, tester différentes contractions, differents états de fatigue/détente relative. Il faut juste que je trouve l’indice et l’avancée se fera. C’est arrivé ainsi pour le contrôle de base des muscles internes. Au début, c’est mort, puis un jour paf, je capte et voila, je peux m’exercer sans rien. J’imagine qu’à un moment, ca fera pareil pour l’etat d’esprit et que la partie analytique en aura marre de refaire le même niveau et arrêtera de chercher pour juste se promener. Je le connais, à un moment il finira par se lasser de se poser sans arret les mêmes questions sans trouver de réponse.

    cela semble tout à fait pertinent, on ne peut , en effet progresser

    qu’en se fiant à soi-même, à ses tripes, à son jugement, en définitive

     

    sauf exceptions, ceux qui essaient d’appliquer à la lettre des consignes,

    en sont pour leurs frais et tournent en rond,

    non, la seule manière, c’est de s’écouter et encore de s’écouter

     

    cela s’apprend aussi, bien sûr,

    s’écouter,

    ce n’est pas réfléchir ce que l’on va faire

    mais déduire de son ressenti,

    des informations qui montent de la chair,

    en temps réel,

    la suite des opérations,

    dans l’instant de l’action

     

    Ces deux prochaines semaines, déja, je vais tester au niveau lubrifiant. J’utilise principalement du à l’eau, mais vu la longueur des sessions, peut-être que l’absence de sensation pourrait venir qu’il seche. En général quand j’utilise l’hélix en plastique, je mélanger celui à l’eau avec un autre au silicone. Je testera uniquement silicone pour voir, et j’ai lu que l’huile de coco faisait assez bien le taf aussi et ne sechait pas aussi vite. On verra, on verra.

    pas mal de textes consacrés au sujet, ici

    mais aussi de tests par Adam et son “équipe”,

    l’huile de coco  et le beurre de karité, ont bonne réputation,

    avec les masseurs en plastique

    #44255
    Alokar
    Participant

    Pas de soucis, Bzo, je ne prends pas mal tes remarques et commentaires. Elles entrent dans le processus d’analyse de tout ca et il est évident qu’un telle pratique est différente pour tous.

    Je suis conscient que cette pratique est pas mal aux antipodes de ma manière d’être. C’est un peu l’intérêt de la tenter, à vrai dire. Pour l’instant, je sais qu’un autre obstacle est que je cherche trop l’approche -type des O ejaculatoires mais je comprends bien qu’en principe c’est plutot dans l’autre sens. Du coup, je garde les sessions de we pour etre “hors chrono” et me dire que je vais juste prendre le temps, sans chercher quoi que ce soit qu’essayer de sentir les mouvements, sans autre but.

    A coté, je vais quand même devoir y aller pas à pas, tester différentes contractions, differents états de fatigue/détente relative. Il faut juste que je trouve l’indice et l’avancée se fera. C’est arrivé ainsi pour le contrôle de base des muscles internes. Au début, c’est mort, puis un jour paf, je capte et voila, je peux m’exercer sans rien. J’imagine qu’à un moment, ca fera pareil pour l’etat d’esprit et que la partie analytique en aura marre de refaire le même niveau et arrêtera de chercher pour juste se promener. Je le connais, à un moment il finira par se lasser de se poser sans arret les mêmes questions sans trouver de réponse.

    Ces deux prochaines semaines, déja, je vais tester au niveau lubrifiant. J’utilise principalement du à l’eau, mais vu la longueur des sessions, peut-être que l’absence de sensation pourrait venir qu’il seche. En général quand j’utilise l’hélix en plastique, je mélanger celui à l’eau avec un autre au silicone. Je testera uniquement silicone pour voir, et j’ai lu que l’huile de coco faisait assez bien le taf aussi et ne sechait pas aussi vite. On verra, on verra.

    Je pense que je vais mettre le sujet en pause ici. Au final, je tourne un peu en rond, et il est inutile de répéter les mêmes choses sans avancée :p On va déja voir les progres dans les deux prochaines semaines


    @Brother
    : Effet moyen avec moi. Je tente aussi jambes repliées, tendues, mêmes contre le mur, etc etc, mais ca ne change pas grand chose. Même essayé en le lestant pour accentuer la pression, mais bof bof ^^

    #44245
    Alokar
    Participant

    J’ai déja essayé, mais si je ne fais rien, je m’ennuie ou je m’endors. Le coté “sensualité presque spirituelle” fait pire parce qu’elle me met plutot en rogne.
    Au final, tout ce qui concerne l’état d’esprit, etc, cela va avoir au final plus tendance à me bloquer parce que je vais y penser et m’énerver la dessus ^^

    Ici, je vais tâcher de suivre le conseil de ne toucher à rien, et ne rien chercher d’autre que de trouver la bonne sequence/force à appliquer pour lancer les spasmes.  Pour l’instant, j’arrive aux contractions internes, je peux sentir les mouvements de l’eupho et du helix, mais elles amenent à des contractions plus fortes qui finissent par inhiber. J’ai enchainé des contractions totales et fortes suivies d’un relachement progressif, mais ca ne mene à rien, même si je les enchaine pendant 1h. Je vais tenter des contractions moyennes tenues dans le temps, pour voir.

    Au final, je sais que je pourrai probablement me détendre un peu plus mentalement, mais certainement pas aux stades que vous décrivez. Au pire, si cela fait que je ne pourrai pas aller plus loin, je n’aurai qu’a recâbler comme simple amplificateur d’orgasme éjaculatoire rapide.

    Au final, les différents points clés de ma pratique sont les suivants

    -O. éjaculatoire sans contact penien (d’ailleurs, sans même erection tant que l’aneros est en place, sauf dans les dernieres secondes) avec le helix et l’eupho, mais en m’aidant d’une main pour amplifier le mouvement. En général, j’essaie sans pendant une bonne heure, et si ca n’avance pas, j’utilise une main pour amplifier le mouvement de balancier. En général, j’arrive à un moment ou je tire sur l’aneros pendant que je contracte aussi fort que possible, on dirait que ca démarre quelque chose, j’alterne des haut-bas-gauche-droite, souvent en pressant un peu les bourses. Au final, ca fait un peu masturbation clitoridienne version mec ^^

    -Mitigé avec le wand Njoy : Un peu de mal à voir jusqu’où il doit aller, une fois la zone repérée, ca monte bien avec des mouvements circulaires (ca a un petit coté borne d’arcade, ca distrait le neurone analyste). Je sens une montée de tension, mais pas trop au dela des sensations réellement ressenties, à partir d’un certain stade (juste assez pour augmenter les battements cardiaque et faire un peu transpirer mais sans plus)

    -Echec avec les vibration de l’helix. A moins de les garder pour le dernier moments, apres genre une minute, je dois augmenter en V2 puis 3 et cela coupe tout
    -Echec avec le progasm jr : surtout l’impression que cela écrase. Je le trouve trop envahissant, ce qui me bloque

    -Mental : Je m’exerce le we quand j’ai le temps, ou en semaine  (ce qui n’aide pas au sommeil vu la longueur des sessions). En général avec l’eupho en semaine (parce que je m’exerce environ 2 jours sur 3 et l’eupho étant moins gros, j’ai l’impression de moins soliciter les boyaux. Avec des sons binauraux,la détente etc je peux arriver a un genre d’état semi hypnotique ou je me concentre sur la prostate.  La difficulté encore une fois est que sans stimulation visuelle, cela m’ennuie tres vite. Et avec, j’ai plus de mal à rester concentré sur les sensations internes, grr.

    Je sens que je bloque pas loin de l’enchainement de spasmes, mais c’est a cause des questions techniques non résolues qui prennent systematiquement le pas. Avec quelle force contracter, est-ce que les spasmes doivent etre rapides ou pas, avec un retour a l’état de détente, ou depuis un état de contraction interne de plus en plus conséquent, etc.

    En fait, je pensais pouvoir trouver une animation anatomique,genre schema actif, mais a part une tres courte video, il y a étonnement peu et je n’ai pas la patience de juste écouter des gens discuter de ca en mode facecam sans autre support d’info ^^
    Enfin, j’imagine que si le cheminement était simple, cela se saurait. Le bon point est que si j’y arrive quand même un jour, j’aurai l’analyse technique en bonus avec

    #44229
    Alokar
    Participant

    Bonsoir,

    As tu essayes de ne rien faire pendant tes séances

    En général, mes essais sont assez long, de l’ordre de 2h. La premiere demi-heure, je tente justement de ne rien faire, de lire un truc pour me détendre avant de préparer la relaxation etc. mais cela ne fait pas grand chose (je dois approcher des 30 essais). L’eupho est aussi celui qui se démarque le plus. Moins intrusif, si je veux essayer tous les jours, cela ne cause pas de soucis.  A coté, je commence seulement doucement a sentir la prostate avec l’helix. Par contre, progasm jr et l’helix vibrant (actif), tres bof, ca anesthésie plus qu’autre chose.

     

    c’est tellement à l’opposé de ma façon de pratiquer

    En effet :p Du coup, je pense qu’on risque de tourner en rond, car j’écoute aussi mon instinct, mais il n’est qu’une voix parmi d’autres. Le lacher prise ne sera juste pas possible, car je ne perds pratiquement jamais le contrôle, dans aucune circonstance et ce n’est pas faute d’avoir essayé. Au mieux, je me désinhibe, mais je ne lache pas les rennes. C’est pour ca que le seul moyen de laisser plus de place à la voix de l’instinct est d’abord de satisfaire les attentes du technicien pour qu’il retourne dans son poste d’observation avec son calepin et coche en silence pendant que les autres avancent dans le boulot.

    De toute facon, la pratique prostatique est à l’opposé complet de ma facon d’être. Je ne me mets pas la pression, j’essaie de continuer en mode “technique de maitrise du corps” mais tout ce qui est confort, sensations (surtout agréables), détente et laisser aller, ce n’est pas trop ma mentalité ^^

    On verra jusqu’où j’irai. Vu la somme investie dans les différents modèles, je ne compte de toute facon pas laisser tomber comme ca et cela change un peu de la routine de la simple pratique éjaculatoire. Si je vois que cela continue de bloquer, je pense que je testerai avec cbd, ou avec l’hypnose (même si encore une fois, l’autosuggestion marche pas mal, mais l’hypnose passive bloque, donc les playlists type hypno-aneros ne fonctionnent pas, ou alors m’endormir avec et mettre le reveil pour 1h30 plus tard, à voir.
    Le principal ennui est que les interrogations “techniques” restent en suspens.

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