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bzoParticipant
la grande astuce avec notre sexe,
c’est de le faire participer à nos ébats sans le laisser devenir turgescent,
ainsi les ondes montant par son truchement, continuent de rester neutres, malléables,
on peut les ressentir comme on veut,
comme on a envieavec du temps, avec de la patience,
de la concentration sur soi-même à l’écoute de notre corps,
à l’écoute de ce qui se passe en nous, de ce qui s’éveille en nous,
on peut les reprogrammer selon notre désiron peut les percevoir sur des laps de temps longs, beaucoup plus longs,
aussi longs qu’on a envie en fait, aucune éjaculation ne viendra stopper le processus,
nos parties génitales seront comme les pies d’un vache qu’on trait et encore trait,
pour faire monter des ondes délicieuses de nos profondeurs pour des jeux différents,
des jeux élaborés différemmentalors que si notre pénis se dresse et devient dur, gonflé à bloc et vibrant d’afflux de sang,
les ondes perçues, seront automatiquement mâles,
aucune action de notre part ne pourra changer cela,
donc si on veut en solitaire ou à plusieurs faire participer à des jeux sexuels autrement,
notre appareil génital,
si on veut goûter aux ondes sexuelles provenant de notre pénis et de nos couilles autrement,
il faut s’arranger que l’arbrisseau ne devienne jamais solide et pointant vers le plafond
un peu épaissi, cela passe,
dressé en arc, se ployant vers le bas, comme accablé par le poids du gland,
cela passe encore avec de l’expérience
mais il devrait déjà y avoir des signaux d’alarme dans notre tête
car dès s’il devient un peu trop raide, vous n’aurez plus que des ondes mâles,
des ondes mâles de chez mâle,
vous êtes sur le point de vous engager sur une portion d’autoroute qui mène vers l’éjaculation
dans une voiture de course sur-puissante,
ce qui n’est réellement intéressant, ce qui est le mieux goûté, le mieux dégusté,
que si votre engin est enfoncé dans un orifice de chair adéquat ou gobé par une bouche,
enfin mille autre manipulations possibles bien sûr, par un ou une autre, ou même par soi-même
qui peuvent rendre la situation extrêmement agréable
mais cela sort du cadre d’une pratique en solitaire telle que je la conçois,
telle qui m’intéressequelle est les caractéristiques des jeux qui m’intéressent?
que la prostate reste le moteur principal, la source principale de vibrations
tout en faisant participer mon sexe, mes couilles, aux ébats,
que mon pôle masculin et mon pôle féminin soient pleinement éveillés, pleinement engagés,
que la sensation de se faire l’amour, soit là à tout instant,
la sensation d’un corps à corps amoureux, ardent, vibrant, tendreles ondes mâles de chez mâle sont trop envahissantes, trop exclusives,
et ne durent qu’un laps de temps relativement court car ils incitent à l’éjaculation,
l’appellent de tous leurs voeux comme une meute aboyante pour qu’elle se produise,
bien qu’il y a les fameuses techniques de masturbation interrompue de Mantak Chia
mais on est dans d’autres contrées là,
la participation de la prostate y est toujours minoritaire,
je veux que la colonne vertébrale de mon plaisir, de mes sensations, soit prostatique,
c’est ainsi que j’aime que mon avion décolle,
c’est ainsi qu’il est doux et soyeux et s’envole au loin comme une plume légère au vent,
que les extases sont douces et interminables,
que la chair éclot comme une fleur gorgée de sang chaud et de vibrations,
une fleur d’amour sur un tapis volant de lascivitébzoParticipantéveiller les énergies sexuelles avec tout son corps, plus seulement avec son sexe,
parvenir à les ressentir partout, plus juste dans la zone du bassinnotre sexe d’homme peut percevoir du plaisir autrement, peut vivre du plaisir autrement,
les ondes montant en nous, n’ont pas de sexe,
c’est juste de l’interprétation de notre part,
l’habitude d’interpréter d’une certain façon les stimuliles études scientifiques nous disent que l’homme n’utilise qu’une capacité infime de son cerveau
mais il en va de même pour sa sexualité,
la plupart d’entre nous
ne goûtent qu’à une petite proportion de ce qu’ils pourraient éprouver, ressentir,
vivre dans leur corpsle spectre de nos sensations, le spectre de notre plaisir, n’a pas de limites
mais on reste confiné la plupart du temps qu’à une petite proportion de celui-ci,
c’est une affaire de conditionnementla zone de l’homme, c’est cette zone, violente et brève,
qu’il s’agit d’essayer de répéter le plus possible,
l’homme est un compétiteur né, n’est-ce pas, enfin c’est ce qu’on nous ditle sexe doit être dur, le sexe doit être dressé
mais moi je ne veux plus de ce dressage à la con,
comme à un singe à qui on a appris à faire quelques tours,
le sexe doit être dressé et il doit cracher,
je veux qu’il retrouve sa liberté, qu’il devienne sans loi, sans tabou
qu’il puisse éprouver du plaisir sans être dressé,
qu’il puisse éprouver un plaisir soyeux, tout en ondulations, tout en vagues lascives, qui dure des heures
qu’il partage avec tout le corps , qu’il participe avec tout le corps à l’émoi,
que celui-ci vienne de partout, naisse de partout,
soit éprouvé partout,
de l’abandon, je veux de l’abandonje l’aime dressé aussi, bien dur, dressé mais sans dressage,
capable de cracher à la fin mais capable aussi en attendant
d’éprouver toutes sortes de plaisir, au masculin comme au féminin,
oui, mon sexe peut éprouver du plaisir de femme,
des ondes peuvent monter et nous pouvons le convertir en ce que nous voulons
et puis nous pouvons éprouver la communion des deux,
la fusion du pôle masculin et du pôle féminin en nous,
deux corps collés l’un à l’autre
mais dans chacun de ces corps ,
il y a encore la possibilité de vivre la communion du masculin et du féminin,
jeu éblouissant, les chairs peuvent fusionner,
les pôles masculins et féminins peuvent fusionner d’un corps à l’autre,
créer la sensation de ne plus être qu’un corps,
créer la sensation de vivre ce que vit l’autre corpsles énergies peuvent passer d’une chair à l’autre,
il faut être capable d’accueillir les énergies de l’autre,
de les vivre, de renvoyer la balle,
c’est ainsi que nous nous élevons,
c’est ainsi que nous nous surprenons à nous dépassernous pouvons tout, c’est bien simple,
tout est là dans en nos corps pour éprouver tout qu’il y a moyen d’imaginer
et même l’imaginable,
surtout l’imaginablebzoParticipantpar moments, les yeux fermés, lors de mes dernières micro-séances,
j’avais l’impression qu’il n’y avait plus rien en moi pour me retenir,
je n’avais qu’à me laisser aller
et je dévalais en moi toujours plus profondément, toujours plus loinvraiment plus rien semblait me retenir,
la glissade voluptueuse semblait pouvoir continuer sans fin,
je la sentais physiquement avec tellement d’acuité,
sensation psychédélique comme si j’avais pris une drogue,
sensation de plonger en moi-même dans un gouffre de volupté sans fond
absolument sans rien pour me retenirje me laissais aller sans retenue, sans résister,
à ce duvet moelleux, frissonnant et chaud
qui me happait,
je semblais me dissoudre dedans, il ne restait plus rien de moi,
dans la grâce voluptueuse de l’instant, j’étais complètement dissous,
m’enfonçant toujours plus loin dans la chaleur vibrante d’un ciel qui s’était ouvert en moibzoParticipantcalme ces derniers jours,
quelques moments de micro-séances,
c’est comme un fleuve ardent, puissant qui coule pas loin de chez moi
dans lequel je vais me baigner de temps à autre selon mon envieil coule pas loin de ma maison
ses eaux, tantôt tumultueuses, tantôt calmes, majestueuses, sont là à portée,
à portée de ma nudité, à portée de ma peau, à portée de mes caresseslà j’ai envie, o comme j’ai envie tout à coup,
je brûle de désir, je suis tenaillé soudainement par un désir impérieux qui enflamme mes entrailles,
j’ouvre la porte, vais vers le fleuve hâtivement, vite ses eaux, vite être enveloppé par ses eaux,
je me caresse, je me mets en mode liane lascive,
je fais monter des contractions, je presse langoureusement mes cuisses contre mes couilles,
ses eaux sont là, ses eaux sont déjà là, je le sens,
être empli par ses eaux, être traversé par ses eaux,
sentir la chaleur fluide, frissonnante, lumineuse, partout dans ma chaircomme on est bien dans tes eaux,
c’est comme un nid, un nid chaud, douillet,
ma chair semble fondre, cela semble grésiller légèrement quelque part, une fusion semble s’opérer,
quelque chose, quelque part, semble se fluidifier, semble se liquéfier,
une nourriture unique, essentielle, semble circuler en moi,
une volupté tellement nourrissante, tellement ineffablement nourrissantesauvé une fois de plus de l’asphyxie, sauvé une fois de plus du désert,
ma chair rit, ma chair rit à présent à gorge déployée,
merveilleux rire indécent de ma chair, délirante, exaltée, enivrée,
les lois d’airain qui semblaient inscrites au fond d’elle, bouleversées une fois de plus de fond en comble,
toujours plus en fait, cela semble se débrider toujours plusbzoParticipantle sexe devrait être un jeu,
un jeu suprême dans notre chair, une façon de se réinventer, une façon de s’explorer sans finle sexe doit être d’abord une page blanche, il faut faire table rase,
il faut faire table rase de tout ce qu’on nous a appris,
de tout ce qu’on nous a inculqué,
le sexe est à réinventer en chacun de nous,
c’est nous qui devons écrire la pageles ondes sexuelles sont neutres, nous leur donnons la forme que nous voulons,
nous pouvons les ressentir comme nous avons envie de les ressentir,
notre chair est prête à collaborer à toutes nos lubies,
elle est prêt à nous suivre dans toutes nos démesuresoser être libre dans sa chair,
oser le féminin en soi, oser aussi vivre le féminin en soi,
faire renaître le masculin à l’aune de tout ce féminin qui se révèle en nous,atteindre la balance parfaite c’est marcher sur une crête,
c’est vivre tout le spectre sexuel
dans toute sa richesse et toute sa diversité,
sans tabous et sans limitesbzoParticipanthum,
je suis de toutes les façons encore loin du stade où ces questions deviennent d’actualité
enfin oui et non, cela peut aller très vite
mais j’en suis au stade où il faudrait que je fasse preuve d’un peu d’intrépidité, que je fasse un pas décisif
sinon pas grand chose se passera jamais,
elle travaille en bas à la réception, plein de gens passent tout le temps,
moi je suis en haut devant mon ordinateur la plupart du temps,
si je veux que quelque chose arrive,
il faut que je force le destin, que je fasse un pas en avant décisif,
ce n’est pas elle qui va venir me chercher au deuxième étagemais j’ai tellement plus l’habitude tout cela, je suis vraiment perdu comment entreprendre cette action
sinon pour ce qui est de l’aspect sexuel,
du risque de se heurter à de l’incompréhension si je me dévoile un peu trop,
je n’ai plus trop envie de me prendre la tête,
je me rends compte que ce n’est pas gagné,
qu’il va falloir que je fasse des concessions, en tout cas au début,
on verral’important dans cette histoire, c’est finalement que j’ai à nouveau une relation
après tant d’années où je me suis mis à l’écart, il y a eu un déclic là,
l’envie est de nouveau là,
après si cela ne se passe pas aussi bien que je l’espérai,
libre à moi de reprendre ma liberté,
on est entre adultes majeurs et consentants,
je la respecterai, je ne la duperais pas,
mais je ne serais pas non plus l’esclave d’une relation qui ne m’intéresse pasil faudra aussi que sexuellement j’y trouve mon compte,
c’est-à-dire qu’elle soit prêt à accepter ma pratique et mes tentatives de l’incorporer à nos ébatsbzoParticipantOui, je suis un peu agacé par ce dénigrement systématique de la masturbation et du pénis.
euh, tu es sérieusement de mauvaise foi, là
je n’ai jamais dénigré les méthodes proposées par Mantak Chia
mais apparemment tu veux absolument les assimiler à une masturbation de base,
en quelques secondes, se secouer l’arbrisseau devant des images porno sur internet, par exemple,
cette façon de s’offrir du plaisir, n’a pas beaucoup d’autre intérêt que de se vider les couilles
et c’est vrai , je n’ai pas beaucoup de considération pour
car c’est le degré zéro au niveau du plaisir qu’on peut tirer de son sexeet apparemment l’utilisation loin d’être mineure que je décris en long et en large
de ma façon d’intégrer le pénis dans ma pratique,
constamment impliqué du début de ma séance jusqu’à la fin
malgré cela, tu écris que je dénigre le pénis.bon c’est ma dernière intervention par rapport à tes commentaires ici ou ailleurs
basta
bzoParticipantmon sang chaud, ma chair vivante, ma chair palpitante, sous mes doigts,
la vibration de la vie en moi,
mon corps est un vaisseau, mon corps est un tapis magique,
mon corps est un chantje recrée le mouvement, je recrée le geste,
je laisse ceux du désir naître en moi, débarrassés de toutes les chaînes, débarrassés de tous les tabous
mâles et femelles en même temps,
libres, libérés, portant toute la chaleur voluptueuse vibrant en moi, ondulant en moi,
je chante, je danse la liberté en moi, la chaleur en moi, la vie en moi,
flamme sensuelle, flamme libre, incandescence dans l’instant7 juin 2019 à 7 h 14 min en réponse à : Cinq ans d'érotisation avec l'aneros, mais sans plaisir fort #33932bzoParticipantj’espère que ce sera une initiative heureuse pour toi,
ta ténacité à toute épreuve, mérite douce, mérite voluptueuse récompenseil s’agit de se débrider, tout notre corps peut réagir comme un sexe,
le contact en n’importe quel endroit, peut provoquer des sensations comme si on avait touché un sexe,
pas celui qui pendouille entre nos jambes
mais un autre, plus mystérieux, fendu, charnu, plissé, déplissé, qui dort dans notre bassin,
qui ne demande qu’à s’éveiller, à vibrer, à faire vibrer tout notre êtrenos énergies mâles, femelles, conjuguées, combinées,
nous pouvons lever en nous la plus belle, la plus voluptueuse des fêtes
où tout notre corps prend part,
où tout notre corps sert de rampe de lancement vers les cimes en nousbon courage , @antoine,
laisse-toi aller, lâche-toi, sens en toi toutes ces merveilleuses forces
qui ne demandent à illuminer ta chair de mille feux d’artificebzoParticipantje suis très curieux à l’avance, si mon rapprochement avec cette femme, se confirme,
de comparer mon évolution intime avec elle
avec ce que vous deux, vous m’avez relaté de vos parcours respectifs avec votre dulcinée,
merci encore d’avoir pris le temps de me livrer tant de détails précisje remarque au passage, que vous faites partie des rares cas
où votre pratique prostatique en solitaire, a été bien acceptée finalement,
a pu s’intégrer dans vos relations sexuelles avec votre partenaire,
bref que cela a été finalement très positifsi on compare à la plupart des témoignages, d’échos d’autres hommes en couple,
cela a plutôt été plutôt reçu négativement par la partenaire,
avec de l’appréhension, avec de la méfiance, voire rejeté
ou alors simplement cela reste caché, une activité clandestineune chose que je sais déjà,
c’est que mon plaisir sera proche du plaisir prostatique,
essentiellement du plaisir prostatique
ou ne sera pas,
j’ai été trop loin, bien trop loin, dans la voie qui est la mienne actuellement
que pour retourner vers un plaisir classique d’homme,
peut-être les premières fois,
juste me réhabituer au contact d’une peau, au contact d’un autre corps,
aux gestes d’une autre sur mon corps
mais une fois que je recommencerais à trouver mes marques,
que je ne serais plus décontenancé à tout bout de champs,
je chercherais sans relâche à retrouver les sensations développées durant ma pratiquej’ai l’intime conviction que j’arriverai à faire l’amour
tout en vivant un nouvel aspect de ma pratique basée sur la prostate
et l’éveil du féminin en moi,
plus intériorisée, pour ne pas décontenancer ma partenaire
mis je sens au plus profond de moi que je peux connecter le féminin éveillé en moi
et la femme qui sera collée contre moi, qui va déployer son plaisir tout contre moi,
j’ai l’intuition de merveilleuses communions en perspective
entre ce que je porte en moi et ce qu’elle estmon corps d’homme et mon pôle masculin, nous serviront à tous les deux comme détonateur
et j’espère que nous détonnerons ensembleses mains, mes mains, nos corps liés ensemble, mêlant nos énergies intimes,
chair contre chair, son souffle chaud sur moi,
nos vagues sensuelles s’entremêlant, nos vagues sensuelles passant d’un corps à l’autre,
j’espère qu’on arrivera rapidement
à ne plus savoir ce qui se passe dans mon corps
et ce qui se passe dans son corps,
tout cela semblera se passer dans un seul et même corpsla difficulté est qu’on ne travaille pas dans les mêmes locaux,
elle en bas, moi au deuxième,
cependant je progresse,
aujourd’hui information précieuse qu’elle m’a fournie,
elle vit seule, elle est célibatairenon vraiment, je dois m’enhardir et aller au-devant de ma chance,
pas évident, je suis sensé être là pour travailler, elle aussi,
surtout qu’elle est constamment au contact des visiteurs, elle travaille à la réception
et moi je suis un analyste-programmeur travaillant sur ordinateur dans une équipe
qui pour l’instant subit beaucoup de pression et de stress,
pas question de s’absenter pour aller conter fleurette plus de quelques minutes ici et làbzoParticipant@epicture il ne faut tout de suite monter sur tes grands chevaux comme cela,
je voulais juste souligner, cela n’avait peut-être pas grand intérêt
et visiblement, cela a été mal interprété,
qu’en général, le mot masturbation
était synonyme de cette pratique tellement pauvre et tellement limitée,
avec quelques coups de poignet, face à des images porno sur internet par exemple,
de faire cracher le bâtonnet dresséle pénis, que tu sembles bannir, peux constituer une voie de plaisir très puissante.
clairement tu m’as jamais vraiment lu avec attention ou du moins plus depuis des longs mois
car cela fait belle lurette que mes cuisses et mes parties génitales ont leur petit manège à eux en bas
et que je bénéficie des ondes si incomparablement voluptueuses, émises par cette action
et ne pourrait absolument pas m’en passerce sont les contacts avec la main qui me posent plus de problème
mais plus trop,
j’en ai fais une pratique séparée où en conjugaison avec les contractions,
ils m’offrent quelque chose de différent,
quelque chose de moins fin, de moins varié et qui mène moins loin en définitive
mais avec une explosivité, un plaisir au premier degré, beaucoup plus présents
et des orgasmes nettement plus rapides et répétables à volontécependant ce type de contact des doigts avec les parties,
peut sans doute aussi être exploité de manière différente ,
plus prolongée, avec plus de richesse dévoilée,
avec des explorations dans des territoires plus lointains
mais cela sort du cadre de mon intérêt
car la prostate n’est plus assez présente dans ce genre de manipulationsbzoParticipantComme pour les cessions prostatiques, prends garde de ne pas avoir trop d’attentes,
je vais y faire attention, c’est en effet un piège,
de vouloir courir plusieurs lièvres à la fois,
on rate complètement le trainpar contre je commence à comprendre pourquoi j’ai initié ce fil,
en fait l’idée que je me fais du sexe avec une femme désormais,
c’est être à son écoute, être à l’écoute totalement de son plaisir
mais en même temps en parallèle vivre son plaisir en moi, vivre le même plaisir en moi,
j’en ai les moyens, je le saismon intuition me dit que boire son plaisir, en même temps que de lui le procurer
en investissant toute mon attention et mes capacités sur elle,
boire toutes les nuances de ce que j’éveille en elle,
il ne me restera plus grand chose à faire
pour déclencher quelque chose d’à peu près identique en moi,
quelque contractions, le contact de sa peau,
sentir sa chair vivante bouger, s’émouvoir et ses caresses,
sans doute suffirontje suis spécialiste du détournement, de la reprogrammation en moi,
ses caresses remplaceront les miennes,
ses mouvements de bassin, de hanches, remplaceront les miens,
ses seins contre ma poitrine, seront comme mes seins,
son sexe humide, je le sentirai comme si c’était le mienbzoParticipantcar le mot « masturbation » est frappé du sceau de la pathologie compulsive
elle est surtout frappé du sceau d’être le degré zéro du plaisir masculin,
opération de vidange soulageante avec quelques secondes d’orgasmebzoParticipantC’est une super nouvelle, un cadeau que t’envoie l’univers, de nouveaux défis et pistes d’explorations en perspectives…
je crois en effet que tu as raison ici dans cette réponse initiale,
après une longue balade dans le centre de Bruxelles, cela m’a éclairci les idées, je crois,
j’avais une attitude trop négative par rapport à cet événement qui m’arrive,
les catastrophes sentimentales du passé, il faut essayer de tirer un trait dessusje vais essayer de prendre cela du bon côté
et voir cela comme l’occasion de redécouvrir le sexe avec une autre personne,
une relation amoureuse à nouveau,
tout cela est redevenu une page blanche chez moi, à ré-écrire
les fantômes du passé, ils sont désormais tellement loin dans ma mémoire,
me souviens même plus exactement pourquoi je me suis isolé ainsi,
ne cherchant plus de relations amoureuses,
la seule véritable raison qui tienne,
c’était sans doute la dépression qui m’a affecté pendant plusieurs annéesj’ai hâte de redécouvrir le corps d’une femme,
de lui procurer plein de plaisir,
je me sens tellement prêt à cela, capable d’être à son écoute comme il faut
grâce à tout ce que je vis dans ma pratique,
vivant mon plaisir désormais autant au féminin en moi,
je me sens complice, tellement prêt à me sentir complice de ce qu’elle va vivre lors de nos ébats
mais en même temps,
j’espère que je pourrais vivre son plaisir aussi en moi,
c’est là que cela risque de devenir un peu délicat avec une personne pas assez libre sexuellement
car je peux vivre ce qu’elle vit aussi,
j’ai envie de le vivre en même temps qu’elle,
je sens que c’est possible,
je m’en sens capable,
son sexe sera le mien, ses seins feront écho à bien des choses en moi,
ses hanches parleront à mes hanches et auront bien des choses à se raconter,
mon sexe la pénétrant, me pénétrera aussi en même tempsbzoParticipantEn réalité dans ce post, au fond il n’est pas question de plaisir prostatique
mais avant tout de relation, d’attirance et de crainte de l’inconnu.hum.. cela a pris cette tournure
mais mon impulsion initiale, concernait tout de même mes craintes
par rapport à la cohabitation entre la sexualité en solitaire que j’ai développée,
l’emprise, les prérogatives, sans restrictions pour l’instant, que celle-ci a sur mon corps,
avec des effets très spectaculaires, disons
mais qui pourraient décontenancer, voire effrayer ou choquer quelqu’un qui n’est pas habitué,
qui a une vision convenue de la sexualité masculine
et puis une sexualité plus classique avec partenaire,
si une fusion pouvait se faire entre elles, sans trop d’heurts
ou bien s’il fallait s’attendre à des problèmesceci étant dit, oui, m’être retiré du marché de la drague, du sexe entre partenaires,
de toute cette immense machinerie de la séduction, du badinage, des préliminaires sociaux à l’acte d’amour
pendant de nombreuses années,
me laisse actuellement totalement pris au dépourvu et sans idée quoi faire,
avec de plus en plus l’impression que je dois tout reprendre à zérome suis retrouvé à côté d’elle à bredouiller des banalités sur les soupes BIO,
histoire d’essayer de nourrir la conversation,
c’est assez vexant et perplexant à presque 60 ans
de se sentir agir et réagir comme un adolescent faisant ses premières tentatives,
surtout avec le passé qui est le mien,
amour à plusieurs, relations débridées, bisexuelles, etc
et puis une totale liberté dans ma tête et dans mon corpsbzoParticipantcomme la plupart des mercredis, je suis en congé,couper ainsi la semaine de travail en deux,
est un luxe merveilleux que je peux me permettreet comme depuis un certain temps,
je m’adonnerai sans doute toute la matinée à mon passe-temps favori,
ma pratique chérie, ce tête à tête intime avec moi-même,
ce tête à tête avec ma chair, mon instinct débridé, mes pulsions débridées, mon désir débridé,
éveillant le grand désir en moi,
celui qui s’abreuve aux sources d’énergie les plus profondes en moipourquoi se priver?
quand une telle source de sensations voluptueuses
ne demande qu’à se déclencher pour vous, qu’à couler en vous
et à inonder votre chair de ses multiples bienfaits et frissons soyeuxje me caresse, peau soyeuse, feutrée, bruissante étoffe sous mes doigts,
je me sens liane entre mes doigts,
je danse avec mon bassin, quelle houle voluptueuse se lève en moi,
d’abord entre mes reins
puis partout, je m’accroche à mes bras, à mes lèvres,
je m’accroche où je peux tellement tout tangue en moi, tellement tout bascule de tous les côtés en moi,
se défile en arabesques soyeuses, ondulantes, vibrantes
plus rien n’est inerte en moi, plus rien n’est figé en moi,
cela se gondole amoureusement de tous les côtés, cela se tord érotiquement de tous les côtés,
je me lâche, comme je me lâche,
s’abandonner ainsi dans sa chair, quel révolution délicieuse pour un homme,
je ne m’en lasserai jamaisle plaisir est là, chaud, frémissement de part en part en moi,
ma chair devient de plus en plus chaude,
l’ivresse me gagne le cerveau, le délire des sens,
comme j’aime me sentir ainsi, enivré, titubant intérieurement,
baisé, baisant,
haletant, pénétré, pénétrantvive la vie, vive la sensualité
bzoParticipanthier soir une séance tardive d’une bonne heure,
me suis mis en mode pilotage automatique,
me suis mis en mouvement puis je me suis déconnecté de mon corps,
l’ai laissé faire,
un élan se crée ainsi, une progression, un crescendo,
il faut avoir la patience car c’est très progressif, cela augmente en puissance très progressivement
mais c’est ainsi que j’obtiens les sensations les plus fines, les plus précises,
c’est de l’orfèvrerie, de la dentellec’est ainsi que j’obtiens cette sensation de cristal vibrant en moi,
il n’y aucun équivalent, ainsi avec le corps en mode automatique
et aucun contact de mes doigts avec mes parties génitales,
c’est vraiment ma pratique reine,
l’incroyable finesse des sensations, leur limpidité lumineuse,
c’est vraiment ainsi que j’ai la sensation de boire à la source la plus pure,
à la source de la plus haute altitude possiblecela devient un éblouissement de chaque instant quand je décolle,
un éblouissement d’une richesse, d’une diversité sans limites,
une extase douce, tout en vibrations chaudes, sensuelles, sans discontinuitésensation d’épanouissement, la chair en fleur, la chair éclose,
se déplacer sur des crêtes en soi, un bouquetin en altitude,
dansant sa voie, sautant légèrement sur les parois,
jamais loin des cimes, jamais loin des nuages5 juin 2019 à 9 h 06 min en réponse à : Cinq ans d'érotisation avec l'aneros, mais sans plaisir fort #33909bzoParticipantBon, je vais sans doute tenter un autre masseur que l’hélix. Lequel me conseillerais-tu ? Progasm Jr
si tu as les moyens, prends en 2 ou 3, comme je l’ai écrit,
cela réduit considérablement les chances d’échec du à un masseur inadéquat
et puis cela permet de varier aussi éventuellementmoi avant que je découvre le Nexus G-Rider
qui est ma petite fée du logis avec son balai magique,
le seul masseur que j’utilise depuis longtemps
quand j’effectue une séance avec masseur (c’est devenu assez rare pour l’instant, pour être honnête),
j’alternais les Aneros Vice et Progasm essentiellement
après en avoir testé une douzaine dans un laps de temps très court,
après donc je n’ai plus utilisé que le G-Rider exclusivement, tout le reste me semblait fade à côté,
j’en ai acheté une douzaine, histoire d’avoir des réserves jusqu’à la fin de ma vie
mais c’est un gros joujou, je ne l’utilise jamais en mode vibrant, il ne vaut rien ainsimais bon depuis je pratique surtout en aneroless
mais personnellement je recommande fortement un masseur avec deux butées
type Device ou Vice pour sa version vibrante,
ils sont plus gros que le Progasm Junior
mais tu t’y habitueras en quelques jours avec un peu de patience, en y allant progressivementces deux butées plus larges permettent un type de manipulation du masseur avec ses muscles d’en bas
qu’aucun autre de la gamme Aneros ne permet,
je peux reproduire avec les mouvements de va et vient d’un sexe,
je peux créer cette sensation de me faire l’amour avec un réalisme bluffant,
avec la plus grande précision et la plus grande diversité possibles
grâce à ce type de butées plus larges et bien symétriques qui offrent un appui plus grand,
permettent des mouvements bien à la verticale, bien maîtrisés, bien précis,
on peut effectuer des petits mouvements légers, très diversifiés
pour obtenir toutes sortes d’effets sophistiqués avec
ou se lâcher complètement et faire du labourage en force,
avec toute le spectre possible et imaginable entre les deuxje l’utilise différemment donc, ce n’est pas du pur massage prostatique façon Traité d’Aneros
mais j’éveille le féminin en moi, j’éveille le pôle masculin et le pôle féminin en moi,
ayant favorisé dans un premier temps, surtout le féminin
puisque c’est celui qui est le plus enfoui en nous,
celui qui a aussi tout le potentiel amoureux, toute la richesse sexuelle,
le pôle masculin est essentiellement un détonateur pour moi, pas beaucoup plus
et je tente de donner vie à leurs ébatsc’est autre chose, c’est se faire l’amour en ayant éveillé le féminin en nous
mais d’après la description de ce que tu avais envie de vivre dans ton texte initial,
je crois pouvoir dire que tu aimerais beaucoup vivre cela
et comme un parcours classique style Traité d’Aneros n’a pas l’air de t’avoir trop réussi,
temps peut-être d’essayer autre choseje fais appel à la prostate, elle reste la force majeure de mon plaisir
mais ce n’est plus tout à fait du massage prostatique tel que décrit dans le Traité,
j’ai essayé comme cela les premiers jours
mais j’ai vite senti que ce n’étais pas pour moi et j’ai essayé autrement suivant mon intuition
j’ai essayé d’éveiller le féminin , j’ai privilégié cet aspect prioritairement
et de vivre au travers ce féminin des ébats amoureux en moi,
c’est donc autre chose que je te propose, à toi de voirpersonnellement je fuis comme la peste les masseurs avec une seule butée,
voilà ce que je te recommande
si tu es habitué à des joujoux plus gros:
le Progasm et le Device ou le Vice
sinon le Progasm Junior et le Device ou le Vice ( qui est un Device mais vibrant)tous les hommes devraient avoir droit au plaisir prostatique,
c’est une liberté et une source de plaisir extraordinaires qu’ils ont en eux,
pour certains c’est plus difficile que pour d’autres,
c’est très bien que tu ne te décourages pas
mais à ta place j’essaierai autrement,
dis-toi bien qu’il y a mille manières différentes d’y arriver,
en fait il y a autant de manières différentes qu’il y a d’hommes sur terre,
d’hommes sur terre et d’alien mâles dans l’univers s’ils ont une prostate,
alors tu dois trouver ta voie, même celle-ci peut différer fortement du traité ou de ce que je te raconte,
ose t’éloigner des chemins battus et apprends à t’écouter,
apprends à écouter ce corps et ce qu’il voudrait que tu fasses
pour éveiller les sources d’énergie au fond de toi5 juin 2019 à 0 h 13 min en réponse à : Cinq ans d'érotisation avec l'aneros, mais sans plaisir fort #33907bzoParticipantPeut-être mon anatomie requiert-elle un autre masseur que l’hélix
ce n’est pas le prix d’un Jaguar ou d’une Rolls,
il vaut mieux avoir toujours au moins 3, 4 masseurs bien différents,
de façon à éliminer le facteur d’échec du à un masseur non adaptécela peut arriver bien plus souvent qu’on imagine,
moi , par exemple, le Helix ne m’a jamais rien fait,
si j’avais persisté avec, je serai pas bien loin dans ma progressionDernière séance » décevante » : rien. Ou presque. Un peu d’excitation, mais c’est tout.
chaque cas est individuel
et il est difficile de donner comme cela des conseilsj’ai relu ton message initial du fil,
ton approche est tellement proche de la motivation qui a été la mienne,
de l’envie qui m’habitait durant chaque séance
cette envie de vivre ton plaisir au féminin, je la comprends à 100%,
jusqu’à il y a pas longtemps, c’était aussi ma perspective totalement,
aujourd’hui, je l’ai dépassé, je suis plus loin,
je vis une sorte d’androgynie durant mes séances
mais je sens tellement ton envie, je la comprends, elle est totalement légitime ,
elle peut te mener tellement loin, sur une voie splendide, royale,
et tu as raison de persister car elle est d’une richesse inégalablecependant tu n’obtiens pas les résultats que tu mériterais,
tu dois remettre en question ton approche, ta technique, déjà essaie d’autres masseursessaie d’appliquer moins systématiquement les conseils lus
et essaie plutôt de t’écouter, d’écouter ce que te dit ton corps,
improvise, n’aies pas peur de t’écouter, n’aie pas peur du ridicule, tente,
moi je deviendrais fou si j’avais pratiquer depuis aussi longtemps que toi
sans des résultats qui vont avec,
tu peux y arriver mais change ton approche, il faut te diversifiersi cela fait si longtemps que tu pratiques et que tu n’es pas encore plus loin,
il y a quelque chose qui ne va pas, quelque chose qui bloque,
ce n’est pas cette approche féminine, cela je peux t’assurer, c’est 100% OK
mais dans ta technique de chaque instant, c’est là que tu dois effectuer des changementsje me répète , écoute-toi plutôt que d’essayer d’appliquer les conseils,
écoute ton désir, laisse -le t’entraîner, laisse plutôt ton corps parler,
même si tu fais n’importe quoi, n’importe comment, maladroitementje soupçonne que tu calcules trop, que tu cherches à diriger la séance
et que tu te mets en mode attente et observation,
mais il faut être en mode passion, en mode amant et amante se ruant passionnément l’un sur l’autre,
laisse ton corps exprimer cette féminité que tu as au fond de toibzoParticipantallons bon, tout cela nous éloigne du plaisir prostatique…
bzoParticipantnon, elle m’attire, en tout cas physiquement , je ne la connais pas pour le reste,
elle est plutôt jolie, beau corps svelte, bien plus que moi qui ai pris 20kg
à cause de mon genou qui m’empêche de faire tout sport,
elle attire ma curiosité d’être attiré par moiplan cul, certainement pas,
je suis trop maladroit, trop peu dégourdi pour l’instant ,
trop limité dans l’interaction par mes années de célibat,
je suis complètement largué question drague et sexe pour envisager ce genre de rencontred’ailleurs aujourd’hui j’ai un peu engagé la conversation,
j’ai complètement oublié comment faire, parler de tout, de rien, essayer de plaire,
je lui ai parlé de soupes BIO, bon faut un début à tout…Finalement, oser ou ne pas oser sortir de sa zone de confort et si c’était la question ?
les années de relative solitude, m’ont rendu fort timide,
je me rends compte, maintenant j’essaie de faire quelques pas intéressé vers quelqu’un du sexe opposé,
c’est assez étonnant pour moi de vivre cela
car j’ai été un gai luron qui n’avait pas froid aux yeux, qui était un chaud lapin,
qui partouzait dans sa jeunesse, n’avais peur de pas grand chose,
il faut que je me remette dans le bain, que je me réhabitue à converser de tout, de rien,
à essayer de plaire sans avoir l’airbon je vais me lancer progressivement,
elle me sourit tellement gentiment, avec beaucoup de tendresse dans le visage,
il faut que je fasse un effort sur moi-mêmebzoParticipantle chemin pour me liquéfier,
le chemin pour me liquéfier dans un frissonnement d’ailes d’oiseaumes gestes, mes mouvements, sont devenus des clefs,
sont devenus des clefs qui tournent, qui tournent,
sont devenus des clefs qui font tourner des gonds au fond de moi3 juin 2019 à 22 h 56 min en réponse à : Cinq ans d'érotisation avec l'aneros, mais sans plaisir fort #33898bzoParticipantPlus aucune distraction, plus d’écran, plus d’images, rien.
cela c’est bien, je ne peux qu’applaudir
Je mets même des boules quiès pour n’écouter que mon corps. C’est plus intime, je me sens plus » seul avec mon aneros
là par contre, je suis plus sceptique quant aux effets positifs,
s’entendre gémir, s’entendre haleter, c’est tellement important,
le vocal est important dans la pratique, pas indispensable mais importantPlus d’images mentales non plus. Enfin, rarement, pour m’érotiser un peu, vieux réflexe du sexe traditionnel, je pense. Je m’axe vraiment sur mon corps, sur les sensations de l’aneros qui me » prend » par derrière.
très très bien, on a tout ce qu’il faut en nous pour mener une séance de zéro à son terme,
nul besoin d’aide extérieure de quelque nature qu’elle soit,
au plus c’est du “home grown”, du 100% poussé dans notre potager, au meilleur sera la tambouillec’est clairement un bon état d’esprit,
une séance de massage, il ne faut cependant pas exagérer, on recherche du plaisir sexuel avant tout,
il n’y a pas à en avoir honte ou se le dissimuler,
il faut juste savoir laisser aux vestiaires toutes ses attentes
et vivre l’instant présent, toute la richesse de l’instant présent
en conversation intime avec soi-même, avec ses abysses,
avec tout ce qu’ils contiennentMais… au bout des quelques minutes peut-être, ça s’est transformé en une sorte de plaisir, comme si je » fondais ou me dispersais » dans une sorte de sensation inconnue mais très très très ** alléchante **, une sorte de montée vers quelque chose que l’on ne connait pas , mais si alléchant… oui. J’avais tant envie d’y aller.
c’est la bonne voie, sois ouvert, curieux, laisse ton corps faire, il sait mieux que toi,
il saura toujours mieux que toi,
ne te laisse enfermer dans aucune idée préconçuele seul et véritable secret, c’est de laisser faire ton corps,
lui laisser prendre les chemins de l’amour le plus débridé,
une partie de ton travail sur toi-même consiste à faire sauter toutes les entraves
qui freinent, qui enchaînent ce corps,
toutes sortes d’idées en nous, des couches et des couches,
des idées en strates profondes sur ce qu’on doit faire et sur ce qu’on ne doit pas faire
pour se procurer du plaisiralors qu’il faut juste , ne plus avoir aucune idée là-dessus,
juste laisser faire le corps, le laisser s’emporter et nous avec lui
partout où il veut nous menerPuis mon cœur s’est mis à battre ! C’était bon, presque l’appréhension, mais excitante à souhait, comme la première fois que l’on m’a administré une fellation. J’allais clairement quelque part ! 30 secondes ont passé, puis PPPSSSHHHHhhh.. Tout s’est estompé. Ai-je trop analysé ? Sans doute, c’est dans ma nature
des résultats tangibles dans ta chair, qui te motivent, qui te servent de repères, c’est bien,
le chemin est long
mais il a des récompenses à toutes les étapesTout s’est estompé. Ai-je trop analysé ? Sans doute, c’est dans ma nature
c’est dans notre nature à chacun, on n’est pas humain pour rien,
on est des malins, on pense, on analyse, on cogite, on suppose, c’est à double tranchant
ici, il s’agit de laisser aussi tout cela au vestiaire
et d’apprendre à laisser son corps s’exprimer,
laisser le moi reptilien, avec notre instinct, nos pulsions,
notre chair gorgée de sang et de mystère,
mener les débatsbzoParticipantC’est une super nouvelle, un cadeau que t’envoie l’univers, de nouveaux défis et pistes d’explorations en perspectives…
hum, je suis plutôt sceptique, l’envie quelque part est là, je mentirais à prétendre le contraire,
un corps nu, le voir bouger, le toucher et tout le reste
mais cela fait tellement longtemps, je me suis tellement habitué à la solitude,
tellement longtemps que je n’ai plus fait l’amourla complexité d’une relation, les concessions,
se farcir les connaissances de l’autre éventuellement,
tout cela me saoule à l’avancec’est peut-être assez abrupt et choquant à écrire
mais je me rends compte que ce qui correspondrait encore le plus à mes attentes et à mes besoins,
c’est une prostituée,
quelqu’un dont je louerai les services pour quelques heures de temps à autre
mais va donc en trouver une qui soit un minimum à l’écoute, attentive
et qui mette un peu de coeur à l’ouvrageen tout cas merci pour tes descriptions détaillées, elles me donnent une assez bonne idée
je crois qu’il me faudrait quelqu’un de plus “borderline” qu’une gentille employée,
quoiqu’il est sans doute très limitatif de se fier aux apparences
mais je ne vois pas dans une relation normale,
ces normes que j’ai éclaté dans mon coin, dont je me suis tellement éloigné
mais tu me répondras qu’il faut bien commencer quelque part,
peut-être,
peut-être suis-je trop habitué à être hors des clous,
avec ce que j’ai développé dans ma pratique,
avec quelqu’un d’autre, il faudrait que je reprenne à zéro,
au moins pour quelque temps
et cela m’ennuie aussi
car dans ma tête, c’est sophistiqué, c’est animal, c’est débridé et sans aucun taboude toutes façons , je n’ai plus trop confiance dans mes capacités sexuelles
donc Cialis serait mon ami pour être sûr que le bâtonnet reste bien raidefinalement cela m’ennuie plus qu’autre chose, cette histoire,
je m’étais fait à l’idée de ne plus avoir de relations avec autrui,
là je suis obligé de remettre tout cela sur le tapis,
au fond, je suis une caricature de célibataire endurci
avec tous les clichés habituels qui accompagnent ce genre de profilbzoParticipantce corps semble vraiment un palais enchanté par moments,
un palais enchanté aux couloirs parcourus par un sortilège qui parle à ma chairdéfaillir de bonheur,
cette volupté donne l’impression à tout instant de défaillir de bonheur,
revient sans cesse à l’assaut, doucement, irrésistiblement, partout,
doux assaut de caresses chaudes partout qui m’enveloppent, qui m’envahissent,
flot de caresses chaudes qui m’enveloppent, qui m’envahissent,
flot de caresses chaudes qui semblent se passer au niveau moléculaire, cellule par cellule, expertement,
tellement elles semblent agir en profondeur, agir en surface, agir partout,
agir en profondeur, agir en surface, agir partout,
se passer partout, se passer sur toute l’épaisseur de mon être, en même tempsje place deux , trois doigts sur mes lèvres entrouvertes, souvent désormais,
par où sortent les gémissements,
par où sortent les gémissements, les sentir sortir, les sentir envelopper mes doigts,
les sentir effleurer mes doigts de leur souffle doux, de leur souffle chaud, au passagequelle densité,
la densité de ce qui m’enivre, la densité de ce qui m’arrive,
une foule de gémissements autour de mes doigts, sortant de mes lèvres entrouvertes,
c’est le métro aux heures de pointe, ma parole,
station jouir, jouir, jouir et encore jouir,
jouir doucement, jouir majestueusement des heures durant sans discontinuité,
station instant de grâcedes heures ainsi non stop hier soir, en mode total abandon,
en mode total abandon, emporté sur une grève lointaine,
ma chair prise dans les filets d’une volupté, qui ne la lâchait plus,
elle tournait , tournait et encore tournait là-dedans
mais partout c’était le même plaisir ineffable qui l’attendait,
qui la retournait, l’investissait immédiatement, sans relâche,
des vagues de chaleur soyeuse, des vagues de frissons soyeux, de nectar ineffable, de baume miraculeux
dont le contact instantanément me faisait délirer, me faisait perdre tout contrôle sur moi-mêmeinstants magiques,
instants magiques de vivre,
le chamane est dans la demeure, le chamane est dans la place,
le chamane a lancé ses incantations,
tout est sens dessus, sens dessous,
le ciel m’a envahi, des nuages passent partout,
des nuages doux passent partout lentement, gracieusement, nonchalammentvivre dans les hauteurs, dériver dans les hauteurs,
compagne et compagnon des nuages, des beaux nuages,
des beaux nuages qui s’en vont nulle part,
juste qui passent, qui passent,
vivre l’instant magiquementbzoParticipantchair enchantée, le chant est dans ma chair, chair enchantée
vagues douces de la volupté, je vous sens passer au-travers de moi,
le bonheur de vivre des moments pareils,
le bonheur de vivre des moments pareils de communiontant d’indicible en nous,
tant de secrets doux qui se révèlent un moment ou un autre,
que la puissance de l’amour s’épanche et s’épanche encorebzoParticipantc’est quoi cette androgynie que je perçois désormais
par rapport à il y a encore quelque temps où j’évoquais mon plaisir au féminin?
comment est arrivée cette évolution?voilà comment je me l’explique:
l’accès à mes énergies profondes ces derniers temps s’est énormément amplifié,
cela a eu pour conséquence immédiate
que le pôle féminin et le pôle masculin en moi, brûlent désormais à incandescence maximaleen même temps, j’ai perçu la nécessité de ne plus privilégier aucun des deux,
j’étais sans doute arrivé à un stade
où je n’en avais plus besoin,
plus besoin de privilégier le féminin en moi pour assurer son développement,
je pouvais laisser les deux pôles s’ébattre librement, sans aucune contrainte,
sans intervenir du tout,
laisser le galop tout seulil s’est créé ainsi un équilibre entre les deux où ils semblent fusionner plus que jamais,
cette sensation d’androgynie a commencé à m’envahir,
c’est quelque chose d’unique, on se sent en même temps homme et en même temps femme
et en même temps aucun des deux, on se sent autre chose,
une sorte d’identité sexuelle très spéciale qui peut verser d’un côté ou de l’autre
mais aussi tracer un sillon entre les deux, en parfait équilibre quelque part sur une crête,
un alliage nouveau, momentané, issu des deux, parfaitement fusionné, en totale communionbzoParticipantj’ai relaté tout le long des mois, de ma progression ces derniers temps,
à quel point j’avais eu des relations conflictuelles,
pour ce qui est des contacts entre mes génitaux et de mes doigtsles cuisses, pas de problème, interlocuteurs constants, essentiels à ma pratique,
tango sensuel, tango érotique
mais les doigts, c’est une autre histoirebanni plusieurs fois ce type de contact totalement,
où j’en suis au jour d’aujourd’hui avec ?je les utilise mais avec beaucoup de précautions,
il faut s’en servir à bon escient, injecter de leur puissance phénoménale à petites doses
si on veut garder la prostate comme moteur principalsans eux, ce type de contact,
il y a cette pureté cristalline qu j’ai déjà relaté maintes fois,
une finesse, une précision des sensations sans égale,
ce sera toujours ma pratique reine,
sans donc aucun contact des doigts avec mes couilles, mon sexecependant une petite injection à point nommé de toute l’explosivité,
de la verticalité
que ce type de contact apporte,
peut être le bienvenu,
peut en fait apporter beaucoup,
combiné à des farfouillages dans et autour de mon anus-pussyla progressivité lente sans aucun contact des doigts est délicieuse
mais met aussi la patience à l’épreuve par moments,
aussi un petit coup de turbo de temps à autre, ne fait pas de mal
mais à petite dose
sinon on est rapidement débordé
et la séance devient autre chose,
la prostate doit rester, pour moi, le moteur principal,
enfin c’est ainsi que cela m’intéresse
car c’est ainsi que le potentiel est le plus puissantbzoParticipantpas beaucoup dormi, moi,
“bingé” une série, entrecoupé d’innombrables micro-séances.
plus ou moins jusqu’à 5 heures du matin.j’ai reporté que j’ai commencé à explorer un nouveau territoire sur ma personne,
à savoir le cou, la tête.le cou et le bas de la tête, jusqu’à hauteur de la bouche et le bas des joues,
est bien intégré,
très bien mêmeje vais en fait même très souvent désormais du côté de la bouche,
m’attarde autour, sur les lèvres, un peu entre,
zone hautement érotisée même en auto-sexualité, jé découvreplus haut, les cheveux et un peu en-dessous, peu pour l’instant,
je n’insiste pas, pour l’instant je suis très très satisfait de cette progression,
comme je l’ai écrit précédemment,
il y a une sorte d’effet stéréo, avec les contacts avec mon anus-pussy,
je le touche, le chipote de la main droite
et la gauche s’attarde autour de ma bouche,
il y a un entremêlement subtiles des sensations, elles se mélangent, se répondentla proximité du cerveau est troublante dans ces caresses sur le visage,
il y a un effet tambour, résonance amplifiée, sur-amplifiée mêmele cou aussi, comme je l’ai relaté, il me fait toujours l’effet d’une chair turgescente,
la sensation d’une hampe dressée, pointant vers le ciel, portant un gros gland,
l’impression de me caresser un sexe dur, monter vers le gland,
un petit peu d’escalade pour monter dessus à partir du cou, c’est escarpé,
là des lèvres humides, entrouvertes, une caverne chaude,
un gland avec des lèvres humides et une caverne chaude, troublant,
troubles, définitivement des eaux troubles, là,
j’adorehum ce corps a encore des tas de surprises pour moi, je le sens,
il m’apporte des sensations qui n’ont à priori aucun rapport avec la zone caressée,
mon cou comme une hampe de sexe,
ma bouche comme des lèvres de vaginbzoParticipantdes mains amoureuses m’enveloppent,
des mains amoureuses me caressent,
des mains amoureuses s’attardent sur mon visage, sur ma bouche,
des mains amoureuses, décidées à me faire languir, décidées à me faire jouir,
des mains amoureuses décidées à lever une tempête de volupté en moimon corps, ses mains,
ces mains qui l’aiment tant,
ces mains qui font la pluie et le beau temps,
ces mains qui vous pétrissent du soleil sur la peauque l’amour m’emporte,
que l’amour me dépose quelque part,
que l’amour me porte,
que l’amour m’apporte quelque partje te redécouvre chaque jour, amour,
dans mes flancs, je renais -
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