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26 juillet 2018 à 20 h 23 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29355bzoParticipant
j’avais encore continué après tard dans la nuit,
je ne pouvais m’empêcher, je m’endormais quelques instants
et je me réveillais et déjà je portais la main à ma peau,
j’engageais des contractions et je râlais et je gémissais à ne plus en finir,
quel chaud lapin je fais,
surtout hier avec cette chaleur, un très chaud lapin même, un lapin tout en sueur
mais heureux, tellement heureux,
j’ai l’impression comme un héros de l’Antiquité d’avoir volé aux dieux un de leurs privilèges
et de bénéficier d’un incroyable pouvoir désormaisce qui se passe depuis deux jours,
c’est que désormais en aneroless au lit,
tout le potentiel que j’avais pressenti au début,
je parviens à le mettre en oeuvre, je parviens à le vivre dans ma chairje suis excité, tellement excité et euphorique,
tous les jours de plus en plus excité et euphorique en ce qui concerne ma pratique,
j’écrivais il y a quelque temps que le débit moyen du plaisir en aneroless était moindre,
que la quantité était moindre mais que c’était compensé par une qualité supérieure
mais là désormais la qualité est là, s’est encore améliorée
mais la quantité aussi a augmenté, le volume à chaque instant est quasi identique
à ce que je peux obtenir avec le masseur
tellement j’ai fais des progrèsmaintenant que mes mains peuvent tout toucher, s’attarder là où le désir les attire,
devant, derrière, plus aucune zone interdite,
je sais bien qu’une des règles de base du massage prostatique
est de ne pas toucher son sexe, d’avoir un petit no man’s land autour
et de ne pas y pénétrer,
et c’est une règle tout à fait valide
mais personnellement elle ne me concerne plus,
la façon atypique dont j’ai développé ma pratique,
m’a permis peu à peu de faire fi de cette règlec’est vraiment étonnant à quel point mon corps s’est accommodé , a accepté,
que je malaxe, que je triture, que je je tire, que j’enveloppe, que je frotte mes parties génitales
et presque jamais le moindre signe de durcissement,
je crois que mon corps a compris où était son intérêt,
qu’en reconvertissant ainsi mes sensations péniennes,
mon sexe retrouvait de l’emploi, n’était plus au chômage
et toutes ces extraordinaires sensations associées à ma prostate,
emplissant ma chair d’un bonheur inouï, il y trouve largement son compte
et donc il joue le jeu, mon sexe reste bien mou, bien au repos
malgré toutes les manipulations qui devraient normalement engendrer une érection canonj’avais un peu peur à un moment donné
que je ne sache même plus bander, que mon sexe oublie comment fonctionner normalement
mais j’ai été rassuré depuis plus d’une fois
quand sur le net je tombe sur une image suggestive, j’ai directement une réaction saine
de sang qui afflue dans mon membre et il se dresse fièrementdonc c’est une seconde façon de se comporter que je lui ai inculqué
et mon corps aime cela, moi j’aime cela, tout le monde dans la maison aime cela,
mon sexe contribue à nouveau à me procurer plein de bonheur et c’est très bienaujourd’hui au boulot, durant l’heure de midi,
une bonne demie heure où j’ai alterné les exercices tantriques,
en tailleur donc sur le tapis m’exerçant
plus ou moins selon les descriptions d’Adam,
plutôt de moins en moins en fait pour l’instant, je vais détailler tout celaet j’ai donc alterné avec des moments de plaisir,
des micro-séances, main par devant, main par derrière,
contractions, caresses, etcconcernant la partie tantra,
j’ai décidé de changer un peu le protocole de mes tentatives,
deux actions bien précises sont sensés se passer
quand on est assis en tailleur et qu’on s’y essaie,
la respiration ample, profonde qu’on doit apprendre à développer, à visualiser
et puis la contraction du périnéedeux actions seulement
mais c’est encore trop pour l’instant
j’ai décidé de les déconstruire
et d’en faire deux exercices différents pour l’instant
et cela a donné des résultats très intéressants ce midi,
je crois que je vais évoluer plus vite ainsideux exercices qui reprennent chacun de son côté, chacune de ces actions,
donc un premier exercice , rien qu’avec la contraction du périnée,
je dois avouer que c’est celui qui m’excite surtout pour l’instant
car j’ai obtenu avec rapidement des résultats très intéressantsdonc assis en tailleur, je ne me préoccupe plus de la respiration,
je reste immobile et je me concentre uniquement sur la contraction du périnée,
je fais pas juste une contraction mécanique, machinale,
non je la fais à ma manière, à ma façon de pratiquer en aneroless,
c’est-à-dire j’essaie d’en faire comme un mouvement de pénétration, comme un va et vient langoureux,
comme si je maniais un sexe bien dur, gorgé de sang, dans mon anus-pussy
mais encore une fois, il n’y a que la contraction,
le reste de mon bassin est au repos, enfin à peu près, doit bouger vaguement tout de mêmetrès vite ainsi, l’excitation est montée,
je commençais à gémir et je sentais bien que si j’avais eu du temps,
le plaisir aurait envahi la place,
je sens que de ce que je viens de décrire,
je peux ajouter une nouvelle manière de pratiquer à toutes celles que j’ai déjà,
une manière déjà plus proche de ce qu’Adam décrit dans son article,
une manière intermédiaire entre l’aneroless où les mains agissent,
où tout le corps entre en action
et puis la manière décrite par Adam dans son article
où la contraction agit en conjonction avec la respirationet puis l’autre manière de m’exercer,
ce sera toujours en tailleur, immobile
mais n’effectuant plus de contractions, restant bien immobile
et entièrement concentré sur la respiration,
bien faire un cycle complet, apprendre à visualiser son flux, les énergies éveillées,
etcavec l’idée bien sûr,
qu’à un moment donné, je sera prêt à fusionner les deux exercices
et alors je serai prêt pour mes premières extases tantriquesen attendant, je vous embrasse
bzoParticipantLe plaisir est arrivé assez rapidement, suivi d’un concert en rut majeur. Gémissements, cris, râles, une bonne partie de la gamme y est passée.
Mon dieu que c’est bon de se laisser aller comme ça.ah tu vois que je n’ai pas exagéré quand j’insistais à quel point c’était bon
de pouvoir se laisser aller vocalement,
tu l’as expérimenté toi-mêmeet ce n’est qu’un début, tu as pu reprendre sans problème ta séance malgré l’interruption,
les vocalises n’y sont pas pour rien, tu peux me croire,
tu vas évoluer encore plus rapidement désormaisquand notre plaisir devient intense, tu l’as sans doute constaté aussi,
on est essentiellement un animal en rut,
et si tu as bien regardé quand tu étais jeune les documentaires sur nos amis les bêtes,
tu auras pu constater que quand ils copulent,
ils accompagnent cela de nombreux cris et autres manifestations sonoresils laissent parler leurs entrailles car ils savent d’instinct qu’ainsi
le plaisir sort plus facilement, se libère plus facilement
avec tout ce que cela a comme conséquences positivesce n’est pas tout, laisser ses entrailles s’exprimer librement
a bien d’autres conséquences,
on se lâche plus facilement, on se libère plus facilement dans l’ensemble
quand on parvient à lâcher en toute liberté les sonsce n’est pas tout, c’est un mécanisme à double détente,
au moment où nos entrailles émettent les sonorités , on en bénéficie tel que décrit juste au-dessus
mais après avec un moment de décalage
quand ces sonorités bien grasses de plaisir, bien dégoulinantes de plaisir,
parviennent à nos oreilles,
nous les dégustons une seconde fois
et l’excitation qui en est générée, se répercute sur toute notre corpsquand on laisse complètement nos entrailles s’exprimer librement,
rugir, expulser ces sons imbibés de toute l’ivresse qui agite notre chair,
il y a une extraordinaire impudeur dans ces sonorités,
laisser parler la chair, laisser hurler la chair,
ce sont très vite des vocalises très impudiques, la raison s’affole un peu à les entendre
on est donc gêné au début, tu l’as toi-même souligné:Ça fait tout de même un peu bizarre de s’entendre gémir comme ça
mais effectivement ce n’est qu’une question d’habitude
ce n’est pas tout
car ces sonorités vont vite devenir un baromètre de ton plaisir,
avant même que tu ais pu prendre conscience de ce que tu ressens,
la fréquence des son émis, leur volume, les variations dans le timbre,
leur étrangeté, des tonalités souvent un peu folles, inquiétantes même,
forcément puisque le contrôle de ta voix a échappé à ta raison
et que pour l’instant , ce sont tes tripes qui parlenttout cela, ton oreille va peu à peu apprendre à le décrypter
et à te signaler avec infiniment plus de précision
que quand tu essaies de te rendre compte avec ton intellect
de ce qui est en train de se passer dans tes entrailles,
là, ton oreille va t’indiquer avec une fiabilité sans faille la qualité et l’intensité de ton plaisir
et ton corps va immédiatement réagir en fonction de ce qui passe par ton oreille
pour diriger la séancetu es en train de décoller, cher ami,
de plus en plus loin, de plus en plus haut,
je suis tellement content pour toi26 juillet 2018 à 0 h 51 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29347bzoParticipantc’est vraiment infectes ces températures élevées,
il faut faire attention de ne pas trop s’agiter car sinon on se met à suer à grosses gouttesbon mais l’appel du plaisir est trop fort,
il faut que j’ai ma dose quotidienne, mes reins en ont besoin,
ils n’ont pas encore eu leur repas,
ce sera service minimum aujourd’hui,
juste un peu d’aneroless vite fait
et dire que demain et après demain, cela va monter au-dessus de 35°j’écarte les jambes, je glisse mon avant-bras entre mes parties et ma cuisse,
en bout de course, je mets ma main à plat,
j’appuie ainsi sur le périnée, touche la base des couilles, un peu la cuisse
et j’ai un doigt enfoncé dans mon anus-pussy
et puis je serre les cuisses tout en faisant remonter
une lente et puissante contractiontudieu de tudieu, voilà qui est ressentir, je pars d’un long râle,
j’ai du soleil liquide qui se répand dans tout mon corps,
mes entrailles sont déjà en feu et je viens à peine de commencerj’aime cette instantanéité de la réponse,
cela fait belle lurette que je n’ai plus besoin de préliminaires avant de commencer à ressentir intensément,
non, je touche quelque chose qu’il ait agréable de toucher,
combiné à une contraction bien sûr toujours car la prostate doit vibrer
pour que la magie puisse avoir lieu,
et directement j’ai la réponse et je pars en vrille, je pars dans les limbesje reste ainsi avec un doigt enfoncé dans mon anus-pussy
tandis que ma main frotte contre la base de ma verge et mes couilles,
appuie bien sur le périnée,
c’est délicieux tout cela, cela frotte fort, je chevauche la vague, le plaisir m’emportej’y vais maintenant un peu avec la main par derrière,
ma raie est bien lubrifiée avec de la crème pour vagin,
j’y installe mes petites souris d’amour, le bout de mes doigts
et je fais de lents mouvements de va et vient avec mon bassin
couplés avec des contractions,
le tout très tranquillement, pas seulement à cause de la chaleur
mais juste pour le plaisir d’y aller très tranquillement,
sentir se lever en moi tous ces frissons, toutes ces vagues de chaleur,
ce miel qui se répand, cette danse intérieure, si lascive, si sensuelle,
déguster tout cela très tranquillement
comme on porte à sa bouche un verre avec un grand cru millésimé dedans
qu’on a envie de déguster, de savourer,
en extraire tous les parfums, toutes les saveurspercevoir l’intensité de la vie,
dans son noyau il y a cette intensité
que je ressens pour l’instant dans mes veines,
je me sens faire partie de la nature pour l’instantla nature sauvage, indomptée, si éloignée de nous désormais,
un autre monde dont plusieurs siècles de civilisation nous ont séparé,
définitivement arraché,
on erre entre nos immeubles, orphelins
mais là pour quelques instants je recrée le lien,
je refais partie de la nature, je suis parmi les animaux innocents,
soumis aux forces mystérieuses, vivant dans l’harmonie sauvage,
glorifiant la vieallez bonsoir,
je vous embrasse25 juillet 2018 à 17 h 49 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29345bzoParticipantquelle chaleur sur Bruxelles,
pas un temps pour s’agiter sur un lit avec un masseurplutôt le bon moment en restant bien immobile de faire mes exercices tantriques
le climat a décidé pour moi,
quel sera le programme de ma soiréebzoParticipantmoi j’accueille toujours très positivement les différentes manifestations possibles du corps
genre spasmes, soubresauts, tremblementspour moi, ce sont toujours des signes que le plaisir est parvenu à un certain stade d’intensité,
j’en ai moins ces derniers temps
mais avant c’était très régulier,
mes super O physiques étaient accompagnés de tremblements et de soubresauts de tout le corps
et si on ne s’effraie pas, si on se laisse bien aller,
c’est délicieux à vivre, violent certes mais la vie est violente, l’amour peut être violentde mon expérience, ils changent la coloration du plaisir qu’on éprouve, le pimente,
une image que j’avais utlisée à l’époque quand j’avais mes tremblements dans tout le corps,
c’était celui d’un tam tam sauvage et endiablé de toutes mes cellulesj’ai déjà eu tous les symptômes possibles et imaginables,
à certains moment je suis sûr que j’avais l’aspect d’un épileptique en pleine crise,
je convulsionnais, me tordais dans toutes les directionsnon, à partir du moment où j’ai compris que c’était une façon qu’avait le corps d’exprimer le plaisir,
cela ne m’a jamais dérangé, tout du contraire,
cela m’excitait car je savais que des choses allaient arriverbzoParticipantil est probable que j’ai été envahi dans ces moments là, mais brièvement. Il me semble maintenant avec le recul que cet envahissement a bien eu lieu, un court instant, mais qu’il a bien eu lieu. Alors chaque fois j’aurais l’impression de pouvoir aller toujours plus loin?
ton instinct te dit que tu n’as pas encore éprouvé de super O
et il a sans doute raison.Tu ne pourras pas le rater, c’est tellement autre chose, c’est tellement comme une déferlante,
c’est -à-dire une vague qui semble chevaucher les autres vagues
défiant les lois de la physique,
tellement totalement différente, plus rapide, plus haute,
semblant obéir à des lois mécaniques d’un autre mondepensant que tu avais abouti. Je m’aperçois que tu continues ton cheminement, certainement comme chacun de nous, comme oilofozil, nydor et bzo. Je le ferai alors systématiquement dorénavant!
Il semblerait qu’il n’y ait pas d’aboutissement à cette pratique.quand on est débutant, on apprend peu, on apprend lentement, c’est bien le problème
mais une fois qu’un est bien en route, qu’on a des résultats plutôt consistants,
là l’apprentissage devient facile, on commence à apprendre vraiment tous les jours
et de plus en pluset le plaisir se renouvelle de plus en plus facilement
et il atteint des intensités phénoménales de plus en plus facilementmais il n’y a pas de fin, derrière le sommet, il y a encore un autre sommet
et derrière, encore un autre
et c’est bien ainsimême pas sûr en fait que le sommet derrière l’autre sommet, soit forcément un sommet plus élevé,
pas sûr du tout en fait,
juste un sommet différent, une montagne différente avec des pentes différentes,
des difficultés et des joies différentes,
un paysage différent à contempler du sommetsans doute chaque jour propose un autre sommet, une fois qu’on est bien en route,
le renouvellement, l’inédit, devient la règlej’ai vraiment envie d’ajouter le plaisir tantrique tel que décrit par Adam dans son article
à ma boîte à jouets,
il y a là des explorations extraordinaires,
moi actuellement j’évolue surtout dans le spectre très physique, très animal, du plaisir prostatique
mais il y a tout un aspect plus mental
où les orgasmes sont plus des extasesdepuis que le féminin a pris le contrôle chez moi,
avec masseur ou en aneroless j’ai perdu tout cette partie du spectre du plaisir prostatique,
que j’avais connu à une certaine époque avec le masseurj’avais décrit des longs super O de plusieurs minutes que j’avais eus
où le temps semblait s’être arrêté,
où le monde extérieur et le monde intérieur,semblaient avoir fusionnés,
comme plongé dans un aquarium où tout semblait flotter ensemble,
corps, esprit, monde extérieur, toutlà avec mes essais à la suite de l’article d’Adam,
je veux retrouver tout cela
et élargir le spectre de mon plaisir prostatique,
le rendre plus complet, plus riche encore25 juillet 2018 à 9 h 08 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29333bzoParticipantJ’ai également essayé ce que décrit Adam, la respiration en visualisant l’énergie, ou le flux respiratoire entrant et sortant et tentant de visualiser une boucle entre mon périnée et mon coeur (les chakras). J’ai eu quelques sensations très intéressantes.
avant-hier j’ai eu aussi des résultats positifs qui m’ont fait écrire des choses bien optimistes
mais hier cela a été moins fructueux, seulement un essai
mais rien cette foispar contre beaucoup de recherches sur internet, je cherche un bon bouquin acheter
mais il y en a tellement,
j’ai téléchargé pas mal de PDF mais rien de vraiment intéressantétonnant, j’ai ainsi trouvé un bouquin plus ancien qui décrivait comme un type de plaisir tantrique,
le massage prostatique avec aneros, les doigts ou fait par un autreune première recherche au boulot il y a quelques jours
m’avait ramené un bouquin qui m’avait intéressé au plus haut point,
sur l’extase tantrique , qui proposait aux hommes de développer le féminin en eux,
parlant même de développer une sorte d’androgynie mentale,
toujours en regard au tantrismeje n’avais pas noté le titre du livre, croyant pouvoir le retrouver facilement à la maison
mais ce n’est pas le cas, je voulais l’acheter hier soir,
j’ai cherché pendant des heures sur google,
je n’arrive plus à le retrouver,
je n’ai pas la bonne combinaison de mots clefs,
c’est incroyable, à croire que j’ai rêvéOui, il semblerait que malgré tes résultats précédents déjà très bon, tu aies franchi un nouveau cap. C’est génial, je suis vraiment content pour toi.
c’est avec cette main jouant avec mon sexe durant mes séances,
la façon de tout ce que cela éveille comme sensations,
à quel point cela me procure un plaisir intense
combiné au masseur ou aux contractions,
c’est tout à fait irréelil n’y a jamais les gestes de la masturbation,
j’enfonce un doigt dans la bourse ou j’effleure simplement
mais cela va aussi beaucoup plus loin,
je frotte, je caresse lentement et à aucun moment mon sexe se raidit,
il joue parfaitement le jeu,
le mécanisme que j’ai décrit un peu au-dessus, se met en place
et c’est d’une puissance phénoménalemais c’est surtout la nature de ce plaisir qui le rend si délicieux à vivre,
comme je l’ai écrit,
ce féminin qui prend les commandes chez moi, son sexe entre mes jambes,
c’est dans son sexe que je ressens arriver, darder,
toutes ces ondes sexuelles émises par mes parties génitalesen combinaison avec le masseur ou les contractions
qui maintiennent la prostate en vibration
c’est phénoménal à vivre,
je deviens délirant de plaisir, je pète complètement les plombs
tellement mon pussy est fou de bonheurbzoParticipantje me joins à vous pour exprimer mon ravissement au quotidien, mon émerveillement au quotidien,
ce plaisir qui renaît tous les jours de ses cendres,
flambant neuf,
comme si c’était la première fois,
tellement intense, tellement bouleversant,
comme si on avait toutes les forces vives du noyau de la terre dans les veineson a sans doute des manières très différentes de pratiquer,
mais moi, une des choses que j’aime le plus,
c’est cette extraordinaire sensation de se faire l’amour,
tellement réaliste, tellement haletante, tellement prenante,
on y est, on est plongé corps et âme dans un acte amoureuxmoment de fusion et d’effusion,
je sens en action dans ma chair le masculin et le féminin,
et c’est vraiment bouleversant à ressentir,
tellement épanouissant25 juillet 2018 à 1 h 41 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29327bzoParticipantnouvelle séance totalement incroyable ce soir
avec la main par devant,
effleurant, touchant, malaxant, pétrissant dans tous les sens
mes parties génitales,
mon sexe qui reste totalement impassible en apparence
mais juste en apparencecrénom de nom, comment décrire l’indescriptible?
ce plaisir qui me fait tordre dans tous les sens,
qui me fait hurler sans discontinuer à la façon d’un couple de matou en train de copulerj’avais affirmé jusqu’ici que les sensations péniennes venaient s’injecter dans le flux prostatique
mais j’étais à côté de la plaque,
je m’en suis bien rendu compte aujourd’huitout comme je m’étais rendu compte déjà il y a un certain temps
qu’avec la main par derrière, jouant donc avec mon fondement, avec ma raie,
ce n’était pas l’injection de sensations anales dans le flux prostatique,
pas plus qu’avec un masseur en tout cas
mais que les contractions et les doigts
formaient une sorte d’alliage détonnant, aux effets démoniaques, dans mon pussyde la même façon,
quand un doigt vient effleurer une couille ou la tirer,
quand j’enveloppe tout mon sexe de ma paume, etc,
si c’est si jouissif, si puissant que j’en deviens fou de plaisir ,
c’est parce qu’avec ce féminin qui vient prendre totalement possession de moi, de mon corps
ce féminin avec son fourreau entre mes jambes, si doux, si malléable, si ductile,
aux terminaisons nerveuses prêts à s’enflammer ,
quand je tire une couille ou que j’effleure mon pénis,
toutes les ondes sexuelles éveillées, viennent darder ce sexe , viennent s’engouffrer dedans
et en conjonction avec le masseur ou les contractions,
me rendent fou mais à un point que j’ai de plus en plus difficile à décrire,
je ne suis plus qu’un jouet pantelant entre les mains de forces sexuelles éveillées
qui prennent complètement les commandes de mon corps
et font de moi ce de la barbaque délirante de plaisir24 juillet 2018 à 18 h 39 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29325bzoParticipanthier , j’ai vraiment eu un déclic,
comme si désormais j’étais à même constamment d’être au maximum,
d’invoquer toutes les forces vives au fond de moi
au maximum de leurs capacités en aneroless aussije me souviens, j’ai perçu une sorte d’élan intérieur
indépendant de l’agitation ou du calme de mes actions en surface,
caresses, mouvements du corps, contractions, main par derrière ou main par devant,
je l’ai perçu tellement nettement cette dynamique, cet élan, ce rythme au fond de moi,
j’emploie ces mots mais c’est plutôt d’une sorte de capacité à se connecter à ses abysses,
dont je devrais parler, une fois cette ouverture bien établie, bien maintenue
tout semblait se décupler au niveau des sensation et des effetscela semble un acquis, pas juste une inspiration passagère
car j’ai pu le reproduire aujourd’hui sans problème au boulotà midi, dans ma salle de gym, une demie heure passionnante, fructueuse
j’ai alterné des moments où j’expérimentai cette première phase décrite par Adam
dans son fameux article sur son expérience d’extase tantrique,
à savoir la phase préliminaire en solo
avec la visualisation de la respiration et les contractions du périnée,
j’alternais cela donc avec des micro-séances sur mon tapis de gymla façon dont j’ai procédé, diffère légèrement de ce qu’Adam a décrit.
D’abord j’ai commencé avec les jambes simplement allongées
par peur de mettre de la tension dans mon genou si mal au point
mais je sentais bien que cela n’allait pas,
aussi je me suis mis en tailleur comme indiqué dans l’article,
là cela allait tout de suite beaucoup mieuxmon approche pour l’instant
est celle d’une séance en aneroless où je reste immobile
au lieu de me caresser et de bouger mon corps,
je reste immobile donc presque totalement,
il n’y a que les contractions du périnée,
là mon approche diffère,
j’effectue une contraction plus ample,
plus dans la ligne de ce que j’effectue durant mes séances en aneroless
déjà jusqu’icic’est-à-dire quelque de sensuel, comme des va et vient de pénétration
et au lieu de tout le reste, les caresses, les mouvements du corps, etc,
j’essaie d’allumer mon intérieur, mes entrailles, avec la respiration uniquement,
avec le cycle de la respiration, expiration, inspiration,
synchronisé avec les contractionsautre différence, j’effectue une contraction cordonnée avec l’inspiration
mais une autre aussi avec l’expirationcela donnait des résultats vraiment intéressants,
je parvenais assez rapidement à obtenir des sensations en moi,
pas du réel plaisir
mais vraiment de bonnes sensations,
pour chaque que quelques minutes de pratique d’affilée, c’était tout à fait réussi,
surtout je commençais à bien sentir la coordination de la respiration avec la contraction,
je les sentais bien travailler ensemble,
c’était de plus en plus délicieux
et je suis sûr que si je peux prolonger sur plusieurs dizaines de minutes,
cela risque d’être assez spectaculairej’ai aussi mis au point pour exercer ma respiration ,
pour travailler l’efficacité de ma respiration pour incendier mon intérieur
des protocoles intermédiaires,
au lieu d’être assis en tailleur comme décrit plus haut,
avec un masseur en moi,
j’imagine que la respiration aura une efficacité plus rapidement ainsij’ai testé sur place d’ailleurs, je n’avais pas de masseur avec moi
mais j’ai essayé aussi, assis en tailleur,
je me suis mis la main sur la fesse et j’ai enfoncé le bout des doigts dans mon fondement,
aussi mis l’autre main sur mon sein,
donc ainsi, avec une main sur une zone hautement érogène
et l’autre main sur une autre zone hautement érogène,
j’ai recommencé la respiration, ne bougeant plus,
une main reposant sur un sein et l’autre sur ma fesse avec quelques doigts traînant dans la raie
et j’ai tout de suite senti la différence,
cela pourrait être plus facile dans un premier temps, ainsimais je suis très enthousiaste,
je sens que je vais obtenir des résultats très rapidement,
la respiration peut tout enflammer à l’intérieur,
en conjonction avec les contractions
et là on part comme une fusée vers l’inconnu24 juillet 2018 à 7 h 56 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29313bzoParticipantmais j’ai du arrêter car j’étais trop fatigué,
dommage quelque chose s’était éveillé, c’était mis en route,
c’était très sensuel, une sorte d’immense mouvement intérieur
qui commençait à s’amorcer
mais la fatigue est apparue, a commencé à me plomber,
j’ai arrêté malgré mon envie de m’envoler, de décoller,
que je sentais encore quelques instants avant, à ma portéerien à voir,
ce matin j’ai essayé avec une micro-séance de retrouver cette dynamique sublime de ma séance
qui m’a fait décoller hier soir
et elle s’est tout de suite mis en route, à la première caresse, au premier mouvement de mon bassin,
c’est un élan intérieur, je me laisse embarquer par un élan intérieur
où tout mon être se met en mouvement, commence à se baisermon sexe s’est immédiatement mis à couler comme un robinet un peu ouvert,
laissant passer un filet,
c’était impressionnant,
je croyais que @ch313 exagérait un peu quand il écrivait qu’il mouillait ses draps comme cela
mais je commence à avoir la même chose24 juillet 2018 à 7 h 42 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29312bzoParticipantIl semblerait que tu aies franchi une étape dans ton cheminement anerosless
absolument, hier j’avais réussi à libérer toutes les forces vives en moi
pour la première fois systématiquementj’ai senti une dynamique à l’oeuvre,
j’ai pour la première fois senti avec une telle force l’union du masculin et du féminin en moi,
leur lutte amoureuse si délicieusec’est assez extraordinaire parce pendant une bonne partie de la séance
je me suis effleuré, voire carrément, caressé les parties génitales
mais mon sexe reste complètement au repos
et tout ce qui s’éveillait comme sensations , était prostatiqueenfin , je ne sais pas si c’était prostastique,
la seule chose qui compte désormais pour moi, c’est recréer cette sensation à ce point de se faire l’amour
c’était un plaisir incroyablement puissant, ressenti dans tout le corps,
jamais je n’avais autant senti le masculin et le féminin en action,
communiant sublimementcette sensation de se baiser, était incroyable,
pour la première fois depuis que je, pratique, avec masseur et sans confondu,
que je ressentais cela avec une telle puissance,
cette lutte amoureuse entre le masculin et le féminin,
je les sentais enlacés dans tout mon être, c’était sublime à vivredans la foulée j’ai fait quelques tentatives tantriques,
ma fois, j’ai obtenu quelques résultats,
je ne sais pas si c’est la même chose, un début de ce qu’Adam relate dans son article
mais quelque chosez s’est passé, j’ai commencé à sentir des frémissements dans mon bassin , des vaguescomment je vois la chose, c’est que cette expérience tantrique,
c’est de l’aneroless
avec une contraction sur le périnée à chaque expiration
et puis le cycle de respiration complet qui échauffe l’intérieur,
qui met les énergies en mouvement,
une caresse subtile de toute la voie que suit l’air de haut en bas et de bas en haut, à l’intérieurj’ai essayé comme cela, avec une variante,
c’est que j’appliqiais une contraction à l’inspiration
mais aussi à l’expiration,
l’ensemble étant pratiqué comme une caresse de mon intérieur,
avec la contraction et puis le cycle complet de respiration synchronisédonc j’essaie pour l’instant comme si je pratiquais une séance en aneroless tout à fait mimaliste,
avec rien d’autre ne bougeant en moi que la respiration et cette contraction
au lieu d’avoir tous les mouvements du corps,
les mains caressant, etc24 juillet 2018 à 1 h 13 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29310bzoParticipantil était un peu tard pour sortir le masseur de sa boîte,
aussi je me suis mis au lit pour une séance en anerolessmais quelle séance, mes amis,
très certainement la meilleure à ce jour sans masseur,
j’ai enchaîné les orgasmes, il y a un moment où tout s’est emballé,
mon bassin se cabrait, ruait, comme un cheval sauvage que je n’arrivais plus à retenir,
une fougue irrépressible entraînait mes hanches dans un rodéo à l’horizontale,
j’enfonçais un peu mes doigts dans ma raie
et cela repartait de plus belle,
je me caresse le pénis lentement tout en faisant remonter une contraction,
j’avais la danse de saint-guymoi j’aime par-dessus tout, les termes,”se faire l’amour”,
cela caractérise tellement comment se déroulent mes séances,
je me fais l’amour, passionnément, tendrement, fougueusement
le masculin et le féminin en moi, s’entremêlent, s’unissent,
mon sexe externe n’existe plus maintenant,
il n’y a plus que des ondes mâles et des ondes femelles emmêlées à l’intérieur,
je me caressais longuement les parties génitales,
elles semblaient directement connectées à ma prostate,
tout semblait passer par elle,
quoi que je faisaisje suis en feu, je hurle,
le plaisir dégouline dans ma voix, elle en est trempée,
cela dégouline de tous les côtés, des grosses gouttes grasses de plaisir,
ma bouche entrouverte déverse des tombereaux de gémissements trempés
dans mes entrailles en feu,
comme c’est bon, de s’entendre hurler ainsi de plaisir,
tant pis pour les voisins, tant qu’on me fait pas de remarquesnon, il n’y a pas de limites,
là maintenant avec ma main touchant légèrement une couille,
l’autre main posé sur un sein, le pressant légèrement
et une contraction appuyant bien fort au fond de moi,
ce que je ressens, ce que je ressens, je ne suis pas loin de défaillir,
un de ces jours je vais m’évanouir tellement ce plaisir devient de plus en plus intensemes amis,
je vous embrasse,
mon coeur est léger car j’ai connu un bonheur tellement intense,
ma chair est aux anges et mon âme aussi23 juillet 2018 à 22 h 54 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29309bzoParticipantMoi aussi bzo. Je me suis déjà renseigné sur le Tantra, certains m’en ont parlé, mais je crois que c’est la première fois que je lis un témoignage pareil. Ça fait bien envie.
exactement.
du coup à l’heure du midi dans ma salle de gym à moi
(puisque quasiment personne d’autre y est sur mon lieu de travail et que j’y fais ce que je veux)
j’ai essayé ces phases de respiration profonde en visualisant la circulation de l’énergie,
respirer par le chakra du sexe et expirer par le chakra du coeur,
j’alternais cela avec de délicieuses micro-séances
pendant une demie heureje vais me chercher des bouquins, j’ai besoin de plus de documentations.
j’ai mon pussy entre les jambes
et dans celui-ci, j’ai la sensation de sentir mon propre sexe aller et venir dedans,Ça aussi ça fait très envie. Je n’en suis pas encore là, et ne sais pas si je le découvrirais un jour, mais ce doit être une sensation terrible.
oui, comme je l’écrivais, mon plaisir prostatique s’est transformé,
à partir du moment où le féminin a pris totalement possession de mes séances
et que j’ai commencé à sentir vraiment fort entre mes jambes ce pussy,
je n’ai plus depuis ce type de plaisir prostatique tel que tu le ressens actuellement,
la phase dans laquelle tu es entré depuis quelque temps
avec ces innombrables orgasmes et puis très bientôt les super O
mais j’ai un plaisir que je n’hésiterai pas à qualifier de plaisir féminin,
quelque chose de très similaire en tout cas,
que j’explore avec émerveillement et déliceen effet il m’émerveille jour après jour à chaque fois instant que je le ressens,
à quel point il prend possession de moi,
à quel point il est d’une grâce et d’une harmonie sauvages sans limite,
c’est incroyable à ressentir,
je sens quelque chose d’infini en moi, je sens ces vagues monter en moi,
il n’y a rien d’autre qui m’intéresse que de baigner dans ces eaux,
de me laisser aller dans ces eaux, de me laisser emporter par les courants au gré de ces eauxcela monte si facilement, je sens ce rythme au fond de moi
qui s’empare de mon bassin, qui s’empare de moi, qui joue avec moi,
c’est une relation à développer qui n’a pas de limites,
le masculin et le féminin en moi s’unissent par moments
de façon si extraordinaire,ce plaisir qui est tellement intense,
que j’ai l’impression constamment jouir, en fait quelque part, je me rends compte,
il devient de plus en plus extatique, ce plaisir,
je veux dire que cela brûle tellement ma chair et semble me transporter ailleursje ne suis donc pas étonné outre-mesure que l’article d’Adam me parle tellement,
c’était sans doute le bon moment que je tombe la-dessusbzoParticipantcher @jieffe
cela fait vraiment plaisir de lire à quel point tu évolues bien,
tu semblais faire du sur-place pendant tout un temps
mais là tu es définitivement bien lancé
et dorénavant tout est possible pour toiclairement, tu es aux portes du super O,
cela peut arriver à tout moment,
attache bien ta ceinture, cela va déménagerje n’ai pas grand chose d’autre à écrire,
tu es assez grand pour tracer ta route tout seul22 juillet 2018 à 12 h 43 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29297bzoParticipantme suis remis au lit, j’ai pas pu y résister,
ma matinée aura été résolument sexuelle encore une fois,
pas foutu grand chose d’autre en fait, à part prendre mon petit déjeunerentre ma séance inaugurale au réveil
puis un tas de micro-séances assis
et enfin cette séance au lit, avec masseur et toute la bandeun bonne demie heure avec Carabosse, ma petite fée diaboliquement lascive,
comme j’aime sa hampe souple mais même temps rigide,
rigide mais en même temps soyeuse, grâce au siliconeet puis que dire de sa grosse tête genre alien,
“docteur,j’ai un alien casqué qui vient se frotter contre ma prostate, est-ce grave?
ils ont l’air de s’aimer, ils se pressent l’un contre l’autre, passionnément, tendrement,
qu’est-ce qui va se passer s’ils se reproduisent?
cela risque d’engendrer un cylon moitié silicone, moitié chair”le voilà en place, le bougre, il s’enfonce sans hésiter directement, il connait le chemin,
il le connait par coeur, il l’a déjà parcouru des milliers de fois,
il est aimé dans tout le voisinage, c’est leur champion,
celui qui va se faire se pâmer toutes les cellules à la rondej’y allais aussi avec la main par devant,
je dois dire qu’en conjonction avec le masseur,
le mariage du flux prostatique et du flux pénien est encore plus réussi
qu’en aneroless,
le flux prostatique y étant plus massif, en beaucoup plus grande quantité,
cela s’allie mieux au flux des sensations péniennes qui lui aussi quantitativement,
est massif, volumineux,
cela me fait un torrent bouillonnant entre les jambes, dans les entrailles
quand je suis ainsi en actionje travaille encore sur les modalités de ce mariage,
ce matin par exemple, je suis resté deux fois sur une plus longue période, une dizaine de minutes,
sans approcher la main de la zone génitale
puis brusquement comme un aigle surveillant sa proie,
je me suis abattu sur elle, j’ai enveloppé de la paume mes couilles, serré un peu
puis une contraction longuement tenue,
je vous dis pas l’orgasme que j’ai eu ainsi, c’était puissant,
je me suis évaporé dans un nuage de jouissancedonc à déterminer encore la meilleure manière d’exploiter cette main
qui vient se frotter à mon appareil reproducteur et à ses deux boulespuis 5 minutes en aneroless
et enfin 5 minutes avec le Wand chinois,
là plutôt une bonne nouvelle, j’ai eu mes premières sensations avec.
Rien de transcendant mais tout de même, des premiers résultats positifs,
j’ai enfoncé le Wand côté grosse boule,
je l’ai laissé se mettre en place tout seul, sans vouloir le presser
puis j’ai serré les genoux et j’ai commencé à jouer avec mes muscles
et à m caresser comme je fais d’habitude,
le Wand a commencé à bouger en moi, des mouvements intéressants
bien qu’encore nettement moins efficaces, moins excitants qu’avec mon cher g-rider
mais comme je l’ai écrit plus haut, ce sont enfin des premiers résultats22 juillet 2018 à 10 h 14 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29296bzoParticipantce matin, je m’étire dans mon lit,
après inspection, tout est bien là,
jambes, tronc, bras, tête, sexe, mains, peau…mains, peau? tiens, tiens, j’ai comme une idée…
ma paume se pose sur mon sein, que c’était délicieux,
comme cela encore la tête dans les vaps,
cette peau qui se met à frissonner au passage lent de mes doigts,
je les laisse glisser doucement, un peu au hasard,
comme ma peau est réceptive, comme elle s’embraseaprès quelques minutes ainsi, je descends l’autre main vers mon sexe,
entoure les couilles de ma paume
et tire le tout vers le haut, jusqu’à ce que mes bourses couvrent mon appareil
et je mets en route une première contraction,
lentement, lentement,
tout ce petit monde sous tension, queue, couilles, etc, sous la peau distendu des bourses
se met en mouvement grâce à la contractiondes frissons de chaleur directement emplissent tout mon corps,
je gémis doucement,
comme c’est bon, comme c’est puissant,
les sensations péniennes, cela donne de la virilité à mon flux prostatique,
je suis empli de frissons en continu, tout mon corps n’est plus qu’un nuage de frissonnementje continuais ainsi un bon quart d’heure,
un réveil le dimanche comme je les aimecela fonctionne à merveille désormais, la main par devant,
je peux rester ainsi une demie heure, indéfiniment en fait
avec la main sur mes parties génitales ou pas loin
sans qu’à aucun moment il n’y ait même l’ombre d’un durcissement de mon sexe,
c’est pour moi la preuve que cela fonctionne totalementceci dit même s’il se durcit un peu, ce n’est pas un problème,
il est assez facile de sentir quand les sensations péniennes prennent le dessus
et étouffent le flux prostatique,
on sent notre notre queue devenir résolument dure,
pas juste un vague épaississementtrès important, tout cela fonctionne à merveille,
des tas de délicieuses et puissantes sensations injectés dans mon plaisir prostatique
mais il faut respecter cette règle de base,
la main, la paume, les doigts restent inertes, inactifs,
ce sont les contractions par en-dessous qui se chargent de bouger tout le paquet,
d’y provoquer des frottements, des lents mouvements comme un serpent qui se met en routela main peut régulièrement changer de position
pour varier les sensations péniennes
mais alors la contraction s’arrête, attend
puis reprend dès que les doigts se sont immobilisés,
action qui doit être effectuée le plus vite possible,
pas besoin de se compliquer la vie, pas chercher midi à quatorze heure,
on bouge vite les doigts un instant et on les immobilise
et les contractions reprennent déjàj’ai quelques positions préférées de la main bien sûr,
j’en ai décrite une au-dessus avec la paume
qui enveloppe les couilles à partir de la base par-devant
puis tire le tout vers le haut, la peau des bourses semblant recouvrir l’ensemble,
il y a des frottements délicieux ainsiaussi avec les doigts en L, deux doigts descendant le long du pli
entre les cuisses et le bas-ventre, effleurant au passage une couille
et puis les autres doigts restant sur le pubis venant toucher plus ou moins fort
la base de la verge,
ainsi je me mets en mouvement, là aussi des tas de sensations enivrantes
dès que les contractions mettent en route le flux prostatique
et en même temps font bouger tout le bas -ventre avec ce dispositif des doigtsune autre position que j’ai découvert récemment que j’aime beaucoup,
la paume vient envelopper juste mon gland,
à chaque contraction, c’est comme si j’avais un petit animal vivant dans ma paume,
il semble bouger, il semble respirer
et des tas de sensations se répandent dans tout mon corps21 juillet 2018 à 23 h 05 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29295bzoParticipantje sors d’une séance d’une heure et demie environ,
comme je l’ai écris récemment,
les ressources de plaisir de cette vieille carcasse m’étonneront toujours,
pas besoin de viagra,
mon masseur en silicone, la panne, il ne connait pas,
mes doigts non plus, mes contractions non plus,
des problèmes d’érection, moi jamais,
je me baise et me rebaise avec la vigueur d’un jeune de 20 ans
et cela tous les joursles meilleurs moments ont été avec le masseur
en conjonction avec la main par devant,
tantôt juste effleurant une couille ou un doigt juste posé dessus nonchalamment,
tantôt la main aggrippant toute ma grappe et la tirant vers le haut,
jusqu’à bien distendre mes bourses,
là j’effectue mes lents va et vient, comme c’est délicieux,
cela me fait gémir tellement fortje parviens avec le masseur à rester une demie heure ainsi,
jouant avec mes couilles , mon sexe,
éveillant des sensations tellement intenses
mais à aucun moment malgré toutes ces manipulations,
il ne s’épaissit, il ne se durcit,
il joue le jeu avec moi,
toutes ces sensations péniennes sont incorporées au flux des sensations prostatiques,
les renforçant, leur donnant d’autres tonalités, d’autres colorations,
c’est absolument irrésisible
car il y a aussi constamment à partir d’un niveau d’excitation
la sensation tellement forte , tellement puissante
de se faire l’amour avec son propre sexej’ai mon pussy entre les jambes
et dans celui-ci, j’ai la sensation de sentir mon propre sexe aller et venir dedans,
c’est tellement réaliste comme sensation,
je suppose qu’il faut l’avoir vécu pour vraiment y croire
ou du moins se rendre compte à quel point c’est puissant, excitant à vivre,
je suppose que ce sont les sensations péniennes éveillées qui font cela,
elles viennent de mon sexe après toutcomme c’est bon tout cela, on ne s’en lasse pas,
je vais aussi me mettre lentement à ces extases tantriques dont parlent le dernier article d’Adam,
ça m’a vraiment marqué cet article,
je veux cela aussi, je vais m’y mettre,
j’y suis arrivé avec masseur, j’y suis arrivé sans,
alors il n’y a pas de raison que je n’y arrive pas aussi de cette manière21 juillet 2018 à 13 h 53 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29292bzoParticipanton est samedi,
cela fait maintenant plusieurs heures que la part raisonnable en moi,
me sussure qu’il faudrait que je m’habille et que j’aille faire des courses
mais une autre part en moi,
déraisonnable, inflammable, excitable, imaginative,créative, paresseuse, lascive
prend toujours le dessuslà, elle m’a mené à toute vitesse jusqu’au lit
car des chatouillements caractéristiques au creux des reins
avaient fait leur apparitionj’y allais seulement avec les mains et les contractions, en aneroless
avec comme unique préparation, d’avoir mis de la crème à vagin dans mon pussy,
enfin mon futur pussy car à ce moment dans la salle de bain,
avec le tube de crème dans une main, c’était encore juste mon anus
mais dans quelques instants quand le féminin envahira toute la place, animera toute la place,
j’aurais là un pussy inflammable, ductile, malléable,
si doux et si violent à la foisje l’effleurai juste avec le bout d’un de mes doigts,
des frissons violents s’emparent de tout mon corps,
du 220 volts sexuels dans mes veines,
je laisse traîner le doigt lentement dans la raie
tandis que mon bassin se met en route, commence à bouger lascivement
comme si je voulais hypnotiser quelqu’un avec sa ronde langoureusele doigt va et vient, est déplacé nonchalamment
tandis que je suis pris de secousses de plaisir,
j’approche deux autres doigts, ils forment maintenant une patrouille à eux trois,
ils vont avancer, aller vers un poste avancée dans la tranchée,
cela va secouer, cela va canarder, ils savent cela, ils acceptent les risques,
courageusement, lentement ils s’enfoncent, ils pénètrentma chair est en fusion sur leur passage, en stratégie sexuelo-militaire,
on appelle cela, la formation du pal, avancer en formation du pal,
le pal donc, je le sentais bien, comme je le sentais bien,
comme il s’enfonçait en moi, quelle plongée, les amis, quelle plongée!ma chair était en fusion,
je n’étais plus que cris, gémissement et chair en fusion,
après avoir œuvré à l’arrière,
j’allais de l’autre côté, en terrasse,
je décidais de ne jamais toucher explicitement mes parties génitales,
juste effleurer occasionnellementles jambes écartées sur le lit
je posais la main à l’intérieur de ma cuisse, remontant lentement le long du pli,
effleurant vaguement une couille au passage,
j’effectuais des va et vient amples et puissants
gardant les doigts pressant à un endroit que j’ai découvert il y a quelques jours
dans le prolongement du pli de la cuisse le long du pubis,
juste en haut de celui-ci
il y a cet endroit que j’ai découvert,
chaque fois je presse avec insistance dessus
tandis que j’effectue des va et vient avec les contractions,
la tension sexuelle augmente spectaculairement, devient incroyable
je halète, je suis pris irrésistiblementmon bassin est en feu
j’écarte les cuisses autant que possible
tandis que je continue presser avec les doigts cet endroit si sensible
et me laboure désormais à fond,
à chaque coup de rein c’est comme si un océan de douceur envahissait tout mon corps,
une vague tellement puissante semble remonter entre mes cuisses,
je deviens fou de plaisir,
quelle bonheur21 juillet 2018 à 12 h 00 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29291bzoParticipantj’ai été énormément intéressé par le nouvel article d’Adam
consacré à l’extase tantrique qu’il a vécu lors d’un salon dont j’ai oublié le nom,
pas le salon de l’agriculture en tout cas, enfin je ne crois pas…voici le lien: https://www.nouveauxplaisirs.fr/tantra-decouverte-orgasme-extatique/29243
cela a beaucoup éveillé ma curiosité et des échos, à un niveau beaucoup plus modeste,
de moments spéciaux que j’ai vécus, particulièrement durant mes explorations aneroless
mais avec mes mains loin de mon bas-ventre, loin de la zone du bassin,
de sensations que j’ai eues quelques instants ici et là,
pratiquement en ne bougeant pas mêmeje vais explorer ces pistes désormais dans mon coin
car j’y sens un énorme potentiel,
cela me fait penser un peu aussi ce que vit notre ami @ch313
durant ces séances si spéciales, sans aucune intervention extérieure d’autrui ou de sa part,
tout avec le mental,
où il parvient à se mettre dans des états délicieux
avec des orgasmes telluriques à la pelleavec cette nouvelle approche qui est la mienne, protéiforme, ouverte,
depuis quelques jours maintenant
qui se traduit désormais par des séances mixtes où je mélange les moments avec masseur et moments sans,
où j’essaie d’intégrer le Wand chinois en acier
et où je reste à l’écoute de nouveautés,
à la recherche de nouvelles manières d’explorer le plaisir prostatique ou assimilable,
j’ai donc décidé d’activer des explorations où les mains restent éloignées des parties intimes,
juste le contact de la peau, un lent voyage des doigts explorant la surface du pays de mon corps
et aussi des phases où elles resteront même totalement inactives
où je vais tenter de chevaucher ces énergies tantriques, de percevoir ces chakrason pourrait intituler cela des explorations plus soft, plus mentales
mais avec le but d’atteindre des résultats non moins spectaculaires, tout aussi intenses, voire plus
qu’avec mes explorations plus hard actuelles, plus sexuellement explicites,
avec le masseur ou les mains caressant, pressant, frottant,
tout ce qu’il y a moyen de caresser, de presser, de frotter dans la région du bassin,
s’insinuant partout où il y a moyen de s’insinuer,
plongeant dans ma crevasse avec délice ou jouant sur ses bordsaprès tout, avec mes dix ans de yoga, je dois avoir des prédispositions,
mes pratiques des bandhas, plus particulièrement du mula bandha,
c’est très lié aux chakras21 juillet 2018 à 0 h 57 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29285bzoParticipanttrès de deux heures en tout,
en comptant dedans, un quart de tentatives avec le Wand en acier,
toujours rien avec celui-là,
c’est un peu frustrant au regard des divers témoignages qui m’ont incité à le commanderet puis un quart final où sentant ma vessie bien remplie,
j’ai joué à l’homme-fontaine,
sentir ce liquide chaud couler sur mon ventre, mes cuisses, quel délice
et puis sentir le liquide monter dans ma verge
a aussi quelque chose de très jouissif,
moins aujourd’hui car avec le quart d’heure avec le Wand,
l’excitation était sérieusement retombée
mais immédiatement après une séance réussie,
quand le liquide doré monte, c’est une véritable explosion
comme si j’éjaculais pendant de longues secondesla séance elle-même a été une longue alternance de séquence avec masseur et séquence sans,
un très bel orgasme, enfin c’est le seul dont je me souvienne
mais quel importance finalement, j’ai gémis du début jusqu’à la fin
parce que mon corps était empli d’un plaisir innefableon se sent obligé toujours de signaler les orgasmes parce que sinon,
même à ses propres yeux, on pourrait douter qu’on a eu vraiment un plaisir intense
mais moi, je sais ce que j’ai ressenti dès le premier effleurement,
quand mon doigt est entré légèrement dans ma raie lubrifiée,
ces frissons qui ont parcouru tout mon corpsL’ineffable vit en moi, cela je l’ai gagné sur le vide, sur le désert,
personne peut me l’enlever,
je possède un secret rare, un trésor inépuisableje me suis rendu compte que c’est au fur et à mesure
que le féminin s’emparait de plus en plus de moi durant les séances
et que je sentais de plus en plus entre mes jambes ce pussy, ce vaginus
que mon plaisir a radicalement changé de naturec’est de plus en plus comme si je ne le sentais plus dans mon corps à moi,
dans ma chair, oui
mais à ce point habité par ce féminin éveillé,
que c’est comme si je le ressentais dans un autre corps,
dans son corps,
c’est indescriptible, il faut l’avoir vécuces frissons qui vous parcourent comme des vagues,
houle harmonieuse, sauvage mais harmonieuse de mes hanches
et puis cette sensation de plénitude, d’épanouissement,
d’être en accord avec ce corps,
d’être tout entier, d’être tout entièrementla lascivité de mon bassin, rien qu’elle, m’enivre déjà
et puis quand j’ai un doigt ou deux qui viennent dedans un peu frotter, presser,
c’est comme si on déversait dans ma chair,
la chaleur la plus onctueuse qui soit
qui parcoure lentement mes cellules avec une puissante douceur,
du baume de soleilon se laisse aller, n’opposer aucune résistance, juste ouvert, offert,
dans ma chair, mon maître promène sa baguette magique
et allume des étoilesbzoParticipantt je pense qu’elle est si contractée pour ne pas laisser échapper les sons.
je crois pour ma part, qu’il ne faut pas aller chercher plus loin la raison du problème,
tu as bien du mérite d’arriver à progresser ainsi,
à devoir sans cesse faire attention, à devoir sans cesse te retenir de crier, de gémirje n’ose imaginer ce que serait ma pratique, si je devais tout le temps être sur le qui vive
pour ne pas qu’on m’entende,
je hurle et je gémis tellement fort ,
je laisse parler mes entrailles sans retenue,
c’est libératoire, cela fortifie le processus, le renforce,
le plaisir est ressenti
et en même temps, il lui pousse des ailes sonores
qui l’emportent par notre gorge, par notre bouche,
il s’arrête encore un instant à nos oreilles
puis s’envole définitivementje ne peux te souhaiter qu’une chose,
c’est de pouvoir exercer le plus rapidement sans devoir te retenir de plus aucune manièrenotre pratique est une question de technique, d’expérience, de patience, de rewiring,
de tout ce qu’on veut
mais avant tout une question d’apprendre à se libérer de plus en plus,
d’apprendre à libérer l’instinct en nous,
les pulsions en nous, des forces mystérieuses en nous,
faire fi de tous les tabous, de toutes les barrières
et s’offrir sans aucune retenue au plaisirc’est avant tout cela, apprendre à se lâcher et laisser tout monter,
la prostate devient de plus en plus réactive
et nous , on éprouve de plus en plus facilement,
les sensations nous envahissent, s’emparent de nous,
deviennent notre unique réalité durant le temps de la séanceregarde dans la nature comme les animaux quand ils font l’amour,
l’expriment aussi vocalement,
c’est un concert hommage à la vie, à l’intensité de la vie
qui brûle en eux20 juillet 2018 à 0 h 28 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29260bzoParticipantme suis remis au lit
car j’en veux plus,
car j’en veux toujours plus, je suis insatiable,
ma chair est insatiable,
je suis un tonneau des Danaïdes,,
vous me versez 30 millions d’hectolitres de plaisir en moi,
l’instant d’après il y a déjà la place à nouveau
pour 30 autres millions d’hectolitresbon, juste un bon quart d’heure, il faut que j’aille dormir,
cela fait des nuits et des nuits que je ne dors plus que quelques heures, 5, 6 au maximum
à cause de mon vice chéri
(et de quelques séries accessoirement…)trop, c’est parfois trop de temps à autre,
enfin plutôt il y a trop et puis il y a trop,
là c’était vraiment trop, ce trop-là,
un trop, trop tropje m’étais enserré l’appareil dans ma main puis j’ai enveloppé le tout bien serré entre mes cuisses,
en position du fœtus, tantôt je couinais, tantôt je rugissais, de plaisir,
en position du foetus, j’étais secoué de tremblements de plus en plus incontrôlables,
j’avais eu cette sensation une fois en descendant un escalator
qui avait un drôle de problème, tout le monde était secoué frénétiquement dessus,
je parie que quelques dames ont mouillé leur petite culotte
avec toutes ces secousses qui se répandaient à tout le corpsbref en position du foetus, j’eu la mauvaise bonne idée, d’y mettre en plus les doigts de l’autre main dans mon fondement,
je me suis dit, cela va être vraiment trop!
eh bien c’était effectivement trop,
mais pas dans le bon sens du terme,
les sensations se bousculaient, étaient devenues désordonnées, non reconnaissables,
le message de mes entrailles était brouillécontinué encore un peu, allant et venant d’une main rêveuse dans ma raie lubrifiée,
le bout des doigts frottant l’entrée, s’enfonçant un peu, ressortant,
replongeant, réémergeant,
je ne m’en lasse pas de ce jeu,
mes petites souris d’amour, comme je les appelle en ces moments, le bout de mes doigtsdormez tranquilles, braves gens,
la prostate veille sur vous, la prostate est avec vous,
je vous embrasse19 juillet 2018 à 23 h 44 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29257bzoParticipantce que je parviens à tirer de cette vieille carcasse, mes amis,
cela me surprendra toujours,
les ressources cachées, les aptitudes au plaisir, de cette barbaque,
pas loin de la date limite de consommationce soir, n’avais pas envie de sortir le masseur,
alors je me suis mis au lit pour une séance en aneroless,
une bonne heure,
pas trop mal pour un gars qui il y a encore une dizaine de jours,
se plaignait de ne pas pouvoir faire plus de 5 minutes en A-lessavec mes trois modes de pratiquer
que j’apprends de mieux en mieux à enchaîner, que je perfectionne à chaque séance
le masseur ne me manque pas vraiment,
comme je l’ai déjà écrit plusieurs fois,
le débit est moins conséquent, moins massif qu’avec le coquin en silicone
mais la qualité des sensations est supérieure aussi,
ceci compense cela
et puis il y a une plus grande variété aussi
avec ces trois modes de pratiquer que j’aicelle que j’utilise le plus abondamment, c’est la main par derrière,
si vous me pouviez me voir m’apprêter à débuter ainsi,
vous vous diriez “tiens un gars qui est en train de se mettre la main au cul”
mais en fait ce qui se passe,
c’est un petit veinard qui est en train de rapprocher ses doigts
de son pussy, de son vaginus, pour reprendre l’expression de notre chère @envolecomme j’aime le caresser, y enfoncer mes doigts,
plisser et déplisser cette chair tendre, souple, malléable,
il y a de la soie là-dedans, de la dentelle,
je sens ses froissements dans mes veines, dans ma têteet puis quand j’enfonce mes doigts plus profondément,
cette sensation de pénétration, comment faire passer ici la réalité de cette sensation
quand deux ou trois doigts, fieffés explorateurs, coquins d’explorateurs
font de la spéléologie là-dedans, plonge la tête la première à la verticale dans ma chair,
s’ouvre un passage dans cette viande tendre, qui se donne, frissonne au passage,
des tempêtes éclatant dans mon bassin
qui vont répandre leur miel dans tout mon corpscomme je n’arrête pas de jouir,
cela n’arrête pas, tout ce corps est empli d’une ivresse
qui me fait chavirer complètement dans une félicité indescriptible
pratiquement à chaque instantet mes doigts continuent de bouger, aller à la rencontre des contractions,
ensemble , unis, serrés les uns contre les autres,
ils forment un pieu d’amour qui va et qui vient en moi,
déchaîne la passion,
que d’amour, que d’amour!
la chair, ce n’est que de la souffrance et de l’amour, en définitive,
avant de retourner à la poussièrej’ai amélioré le mode “main par devant” aujourd’hui,
désormais, je place la main en coquille sur le sexe et les couilles
puis couche supplémentaire, couche décisive, couche sublime
je viens serrer mes cuisses, je les referme bien fort dessuscela fait comme un feuilleté,
un mille-feuilles de micro-pressions et de micro-mouvements
dès qu’il y a une contraction qui donne vie, qui ébranle cet ensemble,
cela frémit de tous les côtés là-dedans,
ma queue et mes boules enveloppées dans ma main,
coopèrent à fond malgré tous les frottements,
c’est la tectonique des plaques entre mes cuisses par moments,
pourtant aucun durcissement de mon appareil
malgré les sensations extraordinaires qui se dégagent de cet ensemble,
c’est un brûlot, une boule de feu, un geyser de flammes vers le ciel
que j’ai entre les jambesà chaque contraction, je hurle,
un mouvements désordonné, aléatoire, fait bouger ce paquet dans tous les sens,
des tas de couches de chair qui se frottent, serrés les uns contre les autres,
qui envoient de la pression différente et des frémissements dans toutes les directions
et je n’ai plus qu’à hurler,
tellement j’ai les entrailles en feumais le meilleur était encore à venir,
en aneroless pur, donc la main droite gravitant constamment dans la zone du bassin
mais jamais touchant les parties génitales ou la raie du cul,
parfois effleurant mais juste un instant
car essayant d’être au plus près de ces zones pour tirer un maximum des sensationsla source de très haute altitude, je la sens immédiatement, je commence à pomper,
ma main gauche caresse inlassablement le haut de mon corps,
surtout bien sûr mes seins
et puis la main droite qui vient se poser sur la fesse, tire un peu dessus
pour distendre légèrement l’anus,
ainsi je me mets en mouvement,
ainsi immédiatement je sens en moi une verge divine qui m’embroche de ses va et vient savants,
mon pussy est en feu, est en train de fondre,
j’écarte de plus en plus les jambes pour encore mieux le sentir m’emplir,
encore s’enfoncer plus profondément,
la contraction associée à cette main simplement posée sur ma fesse,
produit des effets incroyables de réalisme,
je sens chaque centimètre de la progression de cette queue bien dure dans mon pussy,
chaque changement de direction de cette queue bien dure dans mon pussy,
chaque frottement de cette queue bien dure dans mon pussy
et il sait y faire le bougre, il va me rendre fou,
mes cris sont à nouveau de plus en plus incontrôlablesje change la main de place, elle vient devant,
j’ai trouvé un endroit au croisement de l’aine et de la cuisse,
où quand je viens placer deux, trois doigts et que j’appuie un peu dessus en tirant aussi,
chaque contraction à nouveau me rend complètement fou de plaisir,
de nouveau la sensation d’être baisé divinement par une queue royalement expertebzoParticipantCet « éveil du féminin » est chez moi bien plus restreint que ce que nous décrivent certains de nos amis, comme @bzo par exemple.
concernant cet éveil du féminin,
emporté par mon enthousiasme, je mets sans doute trop l’accent sur certains aspects de ma pratique
qui me sont spécifiques et que je privilégie
et il en découle que mes réponses ne sont sans doute pas toujours aussi utiles, aussi pertinentes
que je le voudrais,
même sans doute ils peuvent entraîner de la confusion,
de l’inquiétude face à certains excès que je décris
je m’en excuseeh bien, cher @jieffe, tu as été prolifique,
aussi bien dans les résultats de ta dernière séance
que dans ton dernier message pour nous la décrire,
hé, hé,
tu comprends maintenant pourquoi j’accouche toujours de dizaines de lignes
et encore je me retiens,
on a envie de tout coucher sur le papier, toute cette incroyable intensité,
toute cette richesse, tout ce plaisir qui enivre tellement notre chair,
toute cette aventure qu’on a vécue il y a quelques instants
qui nous a emporté aux confins de nous-mêmed’abord bravo, bravo,
c’est tellement fantastique de lire tout le chemin que tu as désormais parcouru
et le stade que tu as atteint,
tu as grandi, ô combien!
tu es en effet tout prêt du stade des super O,
dans cette zone peuplée par des orgasmes comme des pur-sang sauvages
qui il y a quelque temps, te paraissaient indomptables,
impossibles à monter, à galoper quelques instants sur leur dostu as passé à la vitesse supérieure,
tu parviens à passer d’orgasme en orgasme à un rythme tel
qu’ils paraissent réunis en une seule et longue jouissancetu es tout prêt désormais, le grand saut peut arriver désormais à tout moment,
ce sera grandiose, tu vas voir,
on n’est plus le même homme quand on a vécu cela une foisfaudra juste ne pas être décontenancé par la hauteur de la vague qui va arriver,
se laisser emporter, se laisser soulever,
ne pas chercher à s’alléger à la hâte de ses bagages éventuels genre, inquiétude, étonnement,
c’est la meilleure façon de se cabrer mentalement et d’être désarçonnéelle, la vague, s’en chargera à ta place, de te débarrasser du superflus
sans même que tu t’en rends comptebravo, encore une fois, très cher
19 juillet 2018 à 0 h 45 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29241bzoParticipantc’est vraiment un plaisir d’un autre monde,
je ne vois pas d’autre terme pour l’exprimer,
cela vient d’ailleurs,
c’est vécu dans ma chair mais cela vient d’ailleursen fait non, il me suffit de regarder n’importe quel porno amateur,
pas avec des professionnels qui simulent
mais avec des gens de tous les jours qui font l’amour,
il me suffit alors de regarder le visage de la femme,
de lire le plaisir, de lire les fluctuation du plaisir sur son visage
et je m’y reconnais tout de suite,
de payer attention à ses gestes, à ses mouvements,
et je m’y reconnais tout de suite,
à la musique de ses hanches, à l’allégresse et à la passion de ses reins
et je m’y reconnais tout de suite,
aux ondulations lascives de son tronc, à sa façon de chevaucher, à sa façon de s’ouvrir
et je m’y reconnais tout de suiteune séance d’une petite heure avant d’aller dormir,
mix masseur, aneroless,
je commence à vraiment bien prendre l’habitude de mélanger ainsi les façons,
avec masseur, sans, main par derrière, main par devant,
en aneroless pur,
à chaque façon, des sensations différentesc’est magique,
je veux dire pour nous, hommes,
tant de plaisir, d’une telle intensité et tellement varié sur de telles durées
ressenti dans tout le corps,
avec le sexe normal, on a aussi de bons moments,
quand quelqu’un engloutit notre pénis dur, dressé, joue avec sa langue dessus,
ce sont aussi de sacrés moments, par exemple,
ou la vue d’un sexe entrouvert d’une femme qui s’offre,
qui bouge lentement, lascivement le bassin pour qu’on vienne la prendremais une heure comme cela, non stop, avec les vannes ouvertes en grand
qui vous déversent un plaisir d’une intensité que vous avez l’impression de jouir constamment,
que de la tête aux pieds, on est envahi comme cela
par des vagues de chaleur et des frissons venus d’ailleurs,
qu’on a le bassin qui tremble, tellement le plaisir embrase nos entrailles,
qu’on a plus sa tête, qu’un camion s’approcherait en klaxonnant pour qu’on s’écarte de son chemin,
qu’on se laisserait ratatiner sans sourciller
tellement on est pris, tellement on est en roue libre,
incapable du moindre raisonnement, de la moindre pensée cohérente
tellement le plaisir nous fait délirer et perdre toute raisonbzoParticipantEn fait, en m’appuyant sur ton témoignage et quelques autres que j’ai pu lire précédemment, les anérosiens qui ont fait cette découverte l’ont faîte tout à fait par hasard, sans la rechercher au départ,
oui et non
chez moi, cela s’est passé de la manière suivante,
à partir d’un moment j’ai senti le plaisir pouvait m’entraîner dans une direction,
je me suis laissé faire car c’est par là qu’il semblait le plus envoûtant,
le plus intense et le plus dépaysantdépaysant, étranger à nous-même, en tout cas à notre moi habituel auquel on est habitué,
à partir d’un moment on se surprend à se dire,
“tiens, c’est moi qui ait crié comme cela, qui a gémi comme cela”,
“tiens, c’est moi qui sent comme cela, qui a envie de se lâcher comme cela, de s’ouvrir comme cela”
“tiens, c’est moi qui ait bougé comme cela”
“tiens, c’est moi qui a bouger mon cul comme cela, qui a envie d’ouvrir les jambes comme cela”,
“tiens, c’est moi qui sent entre mes cuisses un sexe ouvert, vibrant,
un sexe qui a envie de sentir un pénis s’enfoncer en lui”
et c’est comme cela qu’on se rend compte du caractère féminin du chemin
dans lequel le plaisir a commencé à nous entraîner
et qu’on s’est laissé faire
puis peu à peu qu’on a favorisé de plus en plus
parce que cela nous plaisait, cela nous faisait envie,
cela faisait aussi peur mais en même temps cela excitait,
on ressent que c’est une véritable aventure, une progression dans l’inconnuau début du phénomène, on a des doutes, on se demande si on a rêvé,
dans le feu de l’action, des choses inhabituelles se passent,
étrangères à notre nature, en tout cas à notre nature jusque làmais peu à peu le doute n’est plus possible
quant à leur caractère18 juillet 2018 à 13 h 21 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29236bzoParticipantles mains descendent de temps à autre caresser une fesse, l’intérieur d’une cuisse,
effleurant en remontant au passage une couille
mais la vérité, c’est que dans ses moments avec hampe de silicone dans le fondement,
toute la zone du bassin, appartient au masseur,
Carabosse, ma petite fée du logis qui récure comme personne avec son balai magiquede lents va et vient, avec légers changements de direction constamment
pour varier les angles et les frottements sur les parois,
entrecoupés de longues pressions insistantes plus ou ou moins fortes sur la prostatej’ai commencé la séance de ce matin en aneroless pour varier,
d’habitude c’est avec masseur,
après avoir lubrifié mon fondement, j’approche les doigts de la main droite,
tandis que l’autre main déjà caresse mes seins,
un lent mouvement en 8 alongé, les doigts passant d’abord lentement de biais sur le sein gauche
puis avec un mouvement, traînant, frottant , vont vers l’autre
tandis que l’avant-bras et le coude , continue de frotter le sein gauche
en même temps que le droit est emprisonné avec gourmandise par les doigtsle bout des doigts de l’autre main commence à agacer la raie,
entrent un peu, frotte tandis que le lent va et vient des contractions,
tout mon bassin engagé dans ce langoureux mouvement de pénétration,
provoque immédiatement une explosion de sensations délicieuses dans tout mon bassin,
qui se répandent rapidement dans tout le corps
et allument des mèches dans mon cerveaupan, pan, pan, de la pyrotechnie, des explosions d’étoiles de toutes les couleurs
au firmament dans l’obscurité derrière mes paupières,
c’est bien parti, je ne suis occupé que depuis une minute ou deux
et déjà mon corps se tord de plaisir,
c’est délicieux comme sensation de se rendre compte que son corps bouge comme cela par delà notre volonté,
comme si des puissantes vagues de plaisir arrivant en nous,
le projetaient à gauche, à droite sans qu’on n’y puisse rienje me cabre soudainement, les hanches décollent du matelas,
la tension est extrême, le plaisir commande,
tu es mon maître, fais de moi ce que tu veux,
je suis ton esclave, je suis prêt à manger la poussière si tu me le demandes,
je suis prêt à mordre jusqu’à me casser les dents la table de nuit
si tel est ton caprice,
emplis-moi, inondes-moi
et fais-moi se tordre comme cela comme un serpent dont la queue serait captive sous un talon
et qui tenterait de s’échapper en se démenant
sauf que moi je ne cherche pas à m’échapper,
au contraire fais-moi ton prisonnier jusqu’à la fin des temps,
je veux me tordre comme cela jusqu’à la fin des tempsje continuais ainsi de longues minutes
avant de passer à la main par devant, emprisonnant les couilles dans ma main
et tirant tout mon appareil fortement vers le haut
tandis que des contractions fortes me remontent dans le fondement,
genre coups de boutoir, lentement mais puissammentcela m’a pris à la gorge tout d’un coup,
un hurlement de plaisir tellement massif, tellement énorme,
qu’il est resté coincé dans ma gorge,
je restais ainsi de longues secondes, n’ayant pas la force de l’expulser,
tellement j’étais cloué à mon lit,
avec comme une chape de béton de 36000 tonnes de plaisir s’étant abattu sur moiaprès, pour faire bonne mesure,
je continuais en aneroless pur,
les couleurs du plaisir ressenti, changeaient encore radicalement ainsi,
des vagues de frissons lumineuses s’élançaient de tous les côtés
tandis que j’appuyais bien fort dans mon fondement
comme si j’avais un sexe dressé, bien gorgé de sang, bien enfoncé en moi,
en tête à tête avec ma prostate,
deux têtes de noeud engagés en conversation intime à travers la paroi enflammée de désirje lubrifiais et puis enfonçais le masseur,
à demi couché, ce premier moment de contact est incroyable,
j’ose même plus bouger tellement c’est bon,
juste ma main gauche qui descend le long de ma jambe,
lentement, je sens mes poils sur leur passage qui se redressentje bouge le masseur,
à chaque contact avec ma prostate, je deviens fou,
cela fait comme une lente explosion au fond de mes entrailles,
je change de position beaucoup moins,
de temps à autre je m’assieds ou je me redresse sur les coudes un peu
mais beaucoup moins qu’avant,
la vérité c’est que le plaisir est tellement massif, tellement intense,
que je ressens nettement le besoin de changer de position,
je reste donc essentiellement sur le dos, redressant une jambe, l’autre, soulevant le bassin,
me mettant un peu sur le côté,
enfin égrenant les mille et une variante possible sur le dosquel pied, mes amis, quel pied,
je vous embrasse bien fortbzoParticipantJe n’ose imaginer que la suite se déroule selon le même schéma….
cela parait trop beau pour être vrai
mais c’est vrai, tu le sais que c’est vraipas de limites, il n’y pas de limites, cela ne dépend que de toi
où en es-tu par rapport à l’éveil du féminin?
as-tu progressé de ce côté,
sens-tu en toi de plus en plus monter un instinct féminin?
sens-tu les yeux fermés un corps qui a envie de danser, d’onduler,
un corps qui a envie de s’ouvrir, de s’abandonner, d’être envahi par des vagues de lascivité,
de laisser ta volonté et tes défenses au vestiaire
et de ne plus être que le jouet du plaisir,
molesté et choyé tout à la fois,
plein d’ardeur, plein de passion, pulsions et instinct se déchaînant librement?18 juillet 2018 à 10 h 15 min en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #29234bzoParticipantqu’est-ce qui a changé?
qu’est-ce qui a fait que maintenant en aneroless, cela marche si bien?je vais tenter de faire un petit point technique
car maintenant que cela fonctionne que le plaisir est là en aneroless pur aussi,
cela veut bien dire que c’est devenu efficace et que j’effectue les gestes et les mouvements qu’il faut
comme il faut, quand il faut et où il fautrien de bien nouveau dans les descriptions qui vont suivre,
à part un point essentiel qui fait toute la différence
que tout ce que j’ai essayé jusqu’ici, a trouvé son efficacité,
mes deux mains savent désormais ce qu’elles ont à faire,
où elles ont à évoluer, chacune a une zone qui lui est dévolue
et elle ne s’en éloigne jamaistout le corps est à caresser bien sûr
et quand je pratique avec masseur où je n’applique pas les mêmes règles,
je vais régulièrement caresser les jambes, les pieds, d’autres zones moins sollicitées aussi
mais en aneroless désormais, chacune de mes mains a son territoire,
pour faire simple, la main gauche a le haut du corps
et la main droite la zone du bassinla main gauche donc s’occupe essentiellement des seins
mais descend aussi caresser le ventre, les flancs, remonter vers le cou
mais essentiellement les seins bien sûr
car pour le haut du corps, c’est la principale zone érogène,
ce sera avec la paume, des caresses avec le bras aussi,
puis de temps à autre, pincer, griffer, tordrela main droite, elle a trois modes possibles
mais toutes les trois dans la zone du bassin,
en mode “main par devant”, il y a contact direct avec les parties génitales,
main en coquille sur le sexe et les couilles
ou tirer une couille vers le côté
mais le principe est qu’une fois la main ou les doigts en place,
il y a immobilisation, passivité, c’est la contraction par en-dessous
qui se charge de donner vie à tout cela, à provoquer des frottements, des mouvements,
quand la main change de position, la contraction attend, synchronisation simple mais efficace,
ainsi je peux rester de longues minutes avec les sensations péniennes
parfaitement injectées dans le flux des sensations prostatiques,
mon sexe reste mou, flasque, pas l’ombre d’un durcissement
malgré de longues minutes où mon pénis bouge, frotte sous ma main
et provoque plein de sensations délicieuses dans tout mon corps“la main par derrière”, là c’est plus mystérieux,
j’avais parlé de sensations anales injectées dans le flux prostatique,
c’est vrai dans une certaine mesur
mais moins que je croyais,
le fait est que toute la zone du bassin est devenue extrêmement sensible chez moi
grâce à ma prostate tellement réceptive, tellement éveillée, tellement prête à vibrer,
quand la contraction se passe et que ma main est posée sur la fesse,
je sens ma prostate, c’est presque comme si je caressais directement ma prostatemes doigts vont rester à l’entrée, jouer dans la raie lubrifiée,
cet anus n’est pas un anus, n’est plus un anus dans ces moments-là,
j’ai l’impression d’avoir les doigts qui plissent et déplissent les lèvres d’un sexe,
entre dedans, vont et viennent,
je reprends ici le concept de vaginus d’ @Envole, notre chère Naomi,
cet anus n’est plus un anus mais un sexe féminin vibrant, prêt à s’enflammer sous mes doigtsla main par derrière donc, c’est jouer à l’entrée de mon sexe, y enfoncer mes doigts,
frotter l’intérieur, aller et venir
mais rester essentiellement en surface, c’est là que c’est le plus sensible chez moi,
les doigts juste à l’entrée, entrant d’un centimètre ou deux, ressortant,
courant comme des petites souris d’amour, curieuses, affolées d’excitation et affolantes d’excitation,
là aussi il y a cette synchronisation qui est important, importantissime,
les doigts restent passifs quand les contractions vont et viennent
et puis se remettent en mouvement alors la contraction attend son tour et redémarrele troisième mode, c’est le mode aneroless pur,
là la main évite tout contact direct avec les parties génitales, le fondement et la raie du cul,
elle continue de patrouiller dans la zone,
fesses, aine, pubis, haut des cuisses, bas du dos,
il y a plein de coins et de recoins à explorertoute cette zone du bassin quand la contraction tend tous les muscles ,
devient incroyablement réceptive,
j’ai l’impression d’attoucher directement ma prostate
où que je pose ma main, mes doigts,
comme c’est délicieux, irrésistible de poser simplement sa main le sur le globe d’une fesse
et d’attendre, commencer à sentir la contraction envahir cette fesse,
sentir cette vibration sous la paume, sentir ma prostate là-dessous
comme une petite pile atomique, infatigable génératrice d’ondes sexuelles,
de frissons, de vagues de chaleur qui vont se répandre dans tout le corpsc’est une règle essentielle chez moi que j’ai mis au jour,
de garder toujours en aneroless chacune des mains dans sa zone,
ainsi on maintient une efficacité maximale
et même en aneroless pur,
je parviens à amorcer la pompe à sensations en un temps record
et parviens à maintenir un flot constant de sensations
en gardant la main droite sur le territoire du bassin,
alternant les trois modes possibles,
jamais les mélangeant mais les enchaînant,
selon mon bon plaisir, mon envieavec masseur, rien de tout cela,
les choses sont beaucoup plus simples,
les mains sont libres d’aller où elles veulent, caresser tout le corps,
c’est avant tout l’efficacité du maniement du masseur
en conjonction avec les caresses et les autres mouvements du corps,
qui compte -
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