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6 février 2020 à 7 h 36 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36350bzoParticipant
je me lève, je me prépare à ma journée de boulot,
j’allume mon ordi,
je m’assieds,
tout d’un coup, une petite envie,
“oh oui, tu as cela dans ta chair, tu as cette possibilité dans ta chair,
n’importe où, n’importe quand”
je serre les cuisses, les presse contre mes bijoux de famille,
je les bouge un peu pour les frotter, pour les malaxer, les triturer,
je pose ma main sur ma poitrine
et je fais remonter une contraction,
lentement…lentement…lentement…
oh oui, oui, oui, venez à moi, petit frissons doux, soyeux, chaudsne voilà-t-il pas déjà que tout est envahi de nectar ineffable,
oh oui, c’est ta chair à présent qui semble envahi de ce miel chaud, de ces vagues de soie,
comme c’est devenu facile, comme c’est devenu instantané, comme c’est omniprésentcomme j’aime cette complicité avec mon corps,
comme je suis capable de m’unir à lui,
comme je suis capable de le laisser s’exprimer,
de laisser le désir parler en lui6 février 2020 à 7 h 27 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36349bzoParticipanthum, un peu trop obscur peut-être le texte au-dessus
6 février 2020 à 1 h 05 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36348bzoParticipantmon corps est un paradis sans âge,
il faut une échelle,
il y a de la terre en moi,
odeur d’humus dans ma chairune fleur est butinée,
le vent s’engouffre dans la forêt
des branches se mettent à danser à perte de vue,
un papillon passe,
le ciel lui dit bonjour,
le soleil a un cartable d’écolier,
mon heure est venue,
un lent baiser,
les portes sont grandes ouvertesbzoParticipantmon avatar me va bien, en effet
mais en fait c’est une photo de Jacqueline Picasso
et l’homme derrière qui porte le parasol, c’est Picasso lui-même,
ils sont sur une plage, ils s’aiment, ils sont comme des enfants,
Picasso a tellement aimé les femmes5 février 2020 à 21 h 10 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36344bzoParticipanton ne fait jamais l’amour qu’avec soi-même,
l’autre est un miroir, un support,
pour nos fantasmes, pour notre désirceci explique déjà pas mal des choses
qu’il y a moyen d’atteindre tout seul,
on ne fait jamais que se passer du support de l’autre,
tourner le miroir vers soi, puis en soi toujours plus profondément
et progressivement tenter d’éveiller de plus en plus les forces qui dorment en nousce lac aux eaux noires plein de lueurs mystérieuses, sans fond,
qui donne l’impression d’être peuplé,
dont les eaux semblent refléter toutes sortes d’horizons lointains
que de perspectives pour notre chair,
que de perspectives pour l’audacieux prêt à affronter les tabous
et les frontières de sa masculinitéle féminin est en nous comme dans un rêve, comme un autre endormi,
l’éveiller, le laisser prendre les commandes de ce corps,
c’est vivre à travers elle quelques instants ce corps,
c’est vivre les sensations et la jouissance, au féminin, le miroir tourné en soi profondément
c’est vivre un acte sexuel comme étant un autre en nousle processus ne devient vraiment complet que quand on éveille aussi le masculin entre ses jambes,
qu’il est bien en elle, qu’il cherche à monter bien profondément en en elle,
notre corps devient alors le théâtre grandiose d’ébats fantômes, d’ébats dans l’invisiblel’amour parfait est un amour androgyne,
même à deux,
quand nos corps s’entremêlent au point
qu’on ne sait plus où s’arrête le masculin et où commence le féminin,
que les deux sont inextricablement emmêléstout seul aussi,
quand dans notre corps, on ne sait plus où s’arrête le masculin et où commence le féminin,
que les deux sont inextricablement emmêlés,
que le désir a libre coursbzoParticipantle corps a pas besoin de le faire de temps à autre, j’en suis persuadé
ici évidemment, il faut lire le contraire:
le corps a besoin de le faire de temps à autre, j’en suis persuadé
bzoParticipantEn effet, très rapidement je n’ai plus du tout eu envie de me masturber. Probablement que c’est un cheminement que beaucoup d’autres ont aussi suivi avant moi mais il s’est imposé d’une telle force à mes yeux que cela m’a surpris. J’ai ressenti assez nettement ce vide d’énergie que d’autres décrivent après une masturbation et j’ai décidé que je n’en voulais plus sous cette forme.
se masturber, n’est pas très intéressant, en tout cas pas la façon basique ,
en se secouant la tige, la plupart du temps devant du porno sur internetcependant j’ai découvert, il y a à peine quelques jours,
qu’éjaculer n’était pas du tout contre-productif
si on s’y prenait de la bonne manière,
d’abord bien sûr, simplement en faisant l’amour avec sa femme ou son homme,
à deux, à trois, à trente, etcmais aussi dans le cadre d’une pratique en solitaire comme la mienne,
cela peut se révéler très bénéfique,
je ne cherche pas à éjaculer, pas un instant, me masturber encore moins,
mais comme désormais je laisse mes cuisses jouer avec mes parties génitales sans retenue,
une éjaculation peut arriver, à force de frottements, d’effleurements, de malaxagescomme je l’écris dans mon fil, je laisse mon corps gérer cela quand il a en besoin désormais,
je le laisse faire, je ne cherche plus du tout à contrôler,
je sors en fait d’une période où je n’ai pas éjaculé pendant plus d’un an,
pas loin de deux, en fait je crois, je ne me souviens plus bien,
ma pratique m’apporte tellement de bonnes sensations, rassasie tellement mon corps
que je n’en sentais pas le besoin et avec un minimum de précautions et de contrôle,
j’y parvenais sans problèmes
mais c’était une erreur, je m’en rends compte maintenant,
ce n’est pas parce qu’on n’éprouve plus le besoin d’éjaculer, le besoin de lâcher son coup,
que c’est forcément sain, équilibré
le corps a pas besoin de le faire de temps à autre, j’en suis persuadéje crois que faire l’amour, n’aura aucune incidence sur la pratique prostatique,
aucune perte d’énergie, tout du contraire,
j’ai la conviction intime que quand on fait l’amour avec quelqu’un,
il y a des échanges d’énergie subtile entre les personnes impliquées,
peau contre peau, les sexes entremêlés, chair frottant contre la chair de l’autre,
il y a des échanges d’énergie subtile
et ainsi on renouvelle ses stocks dans les profondeurs, on y injecte l’énergie de l’autre, on se ressource,
et donc on est merveilleusement d’attaque après,
pour une pratique prostatique en solitaire
ou assisté plus ou moins activement par sa compagne ou compagnon5 février 2020 à 11 h 52 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36335bzoParticipantje sens mon pénis apaisé, calme, avec ces éjaculations régulières désormais (3 en quatre jours),
je laisse mon corps gérer cela tout seul,
quand il en ressent le besoin, le petit tuyau crache son nuage laiteux
et ainsi cette chair de mes parties génitales, tellement sensible,
qui a un accès privilégié aux énergies des profondeurs,
me délivre des quantités de volupté insoupçonnées jusqu’icimes cuisses vont et viennent sans aucune retenue,
frottent, pressent , malaxent, mes couilles, mon sexe,
celui-ci durcit à peine malgré l’intensité des attouchements,
les lascifs mouvements sur l’entrejambe constamment,
des vagues tellement pleines, tellement fortes , m’envahissent tout le corps,
c’est divin, c’est indescriptibleen conjugaison avec les contractions qui m’apportent les ondes de la prostate
et puis les doigts derrière régulièrement dans mon anus-pussy , qui farfouillent,
mon bassin est devenu comme une centrale atomique fonctionnant à plein régimevivre de pareils moments dans sa chair, quelle bénédiction,
mes mains vont et viennent, parcourent ma peau enflammée,
je crie, je gémis, je râle,
toute une nuée d’oiseaux sonores qui s’envolent autour de moi,
je n’arrête pas de jouir emporté par un tsunami de volupté et de félicité dans la chairje laisse le féminin en moi se libérer sans retenue durant la séance,
comme Aladin frottant sa lampe magique,
elle sort de mes profondeurs, s’empare de mon corps, le met en mouvement,
je vibre et je m’émeus à travers ellela perfection des instants,
ce sont ces forces en nous, libérées sans restrictions,
dansant comme une flamme dorée, vive, incandescente
unissant notre corps et notre âmebzoParticipanten voilà un homme précis et méthodique, saperlipopette
tout cela va résolument dans la bonne direction,
tu fais clairement partie de ceux qui n’ont pas eu trop de difficulté à se mettre en selle
et maintenant avancent résolumentun seul petit conseil,
fais aussi de petites tentatives aneroless,
commence à tâter les possibilités sans masseur,
c’est bien , je trouve, une fois, qu’on a déjà atteint un certain stade,
de mener en parallèle ces deux explorations dans sa chairles échanges entre les deux façons de pratiquer,
les progrès dans l’une, sont acquis instantanément dans l’autre aussi
on avance beaucoup plus rapidement ainsi en fait
on varie, on se diversifie, on décuple ses possibilités de pratiquer,
le spectre de sensations s’enrichit plus vite,
c’est du tout bénéfice5 février 2020 à 9 h 38 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36328bzoParticipantl’église catholique évoque des miracles dans ses écrits
mais ils n’ont aucune idée des petits miracles, des moments de grâce,
qu’il y a moyen de vivre dans sa chairces petits miracles, ces moments de grâce
qui témoignent de la possibilité de percevoir en chacun de nous
la vibrante splendeur de vivre,
l’onctueuse, la soyeuse, splendeur de vivre les instants ici-bas,
ils n’auront jamais aucune idée de tout cela,
cela leur passe à des années-lumière au-dessus de la tête,
eux qui déploient tant d’efforts à nier le corps,
à dénigrer la chair et toutes les énergies secrètes enfouies en elle
mais qui finissent par prendre leur revanche quelque part sur eux,
empoisonnant leur idées, empoisonnant leur vision du mondefruits desséchés, flétris, piétinés, par terre,
morte la splendeur du verger,
en berne le drapeau arc en ciel de la vie5 février 2020 à 9 h 16 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36327bzoParticipantj’ai pas pu vérifier plus en avant hier soir si tout était bien revenu après l’éjaculation
car je me suis endormi, évanoui de fatigue
je me couche trop tard trop souvent, 2, 3 heures du matin en semaine, presque tous les jours
et réveil pour aller au boulot à 7
mais ce matin, quelques moments d’action dans le lit sous les draps,
n’ont laissé de place à aucun doute,
tout est bien en place, à 100% disponible,
des énergies cristallines, vibrantes, soyeuse,
comme un essaim d’abeilles prêtes à se répandre dans ma chair au moindre contactquelle splendeur, quelle magie possible en nous,
la sexualité, à nous adultes,
c’est une de nos clefs pour vivre de l’inouï, du sublime,
dépasser nos limites, notre petitesse, découvrir de l’inconnu en soi,
vivre dans sa chair l’intensité, la splendeur, des énergies originelles de la vie
en dépôt en chacun de nous,
enfouies dans nos profondeurs comme un trésor caché, enterré, avant la naissance5 février 2020 à 1 h 33 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36326bzoParticipantcette façon tellement totale dans mon bassin désormais,
pleine puissance de la prostate,
pleine puissance des génitaux,
pleine puissance de l’anal (doigts fouinant, explorant dans la fente)
m’a aussi curieusement donné envie de retrouver aussi une pratique uniquement prostatique
pour contrebalanceren aneroless, je ne m’en sens pas capable actuellement,
mes cuisses ont trouvé envie de se refermer sur mes couilles, mon sexe,
de les triturer, de les malaxer,
d’en extraire tout un tas de bonnes ondes de volupté soyeusepar contre avec me masseur, j’ai déjà un peu testé, cela fonctionne nettement mieux,
d’abord sans les cuisses, cela fait comme un vide lugubre dans mon bassin
mais après une courte période d’acclimatation,
le masseur fait monter lentement, plus lentement, la tension sexuelle
mais c’est du full prostate,
cela devient de mieux en mieux,
je dois m’y réhabituer, cela fait pas mal de temps
que je mêle la prostate avec tout le reste en aneroless
pour une pratique globalisante, totalemais j’ai envie pour l’instant de goûter à nouveau à du full prostate aussi
5 février 2020 à 0 h 48 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36325bzoParticipantune demie heure est passée depuis l’éjaculation
et je commence déjà à retrouver mes sensationsc’est encore atténué mais encore une autre demie heure
et tout devrait être à nouveau en place5 février 2020 à 0 h 18 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36324bzoParticipantmoi qui croyait déjà être loin, bien loin, dans mon cheminement
mais je n’en étais qu’aux hors d’oeuvre, en fait,
les plats de résistance,
commencent seulement maintenantdivine séance encore au lit,
ai éjaculé vers la fin, j’avais l’impression de manquer d’air,
tellement le plaisir semblait prendre toute la place,
la jouissance était tellement intense,
elle semblait tellement me pomper toutes mes forces, toutes mes énergies, tous mes muscles,
tout mon être, en fait,
que je n’en avais plus pour respirer,je haletais, je suffoquais,
je n’en avais cure, j’aurai pu rester en apnée comme cela pendant des minutes encore
comme un yogi de la jouissance4 février 2020 à 20 h 59 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36322bzoParticipantje viens de me commander le Nexus G-Stroker,
je me devais de l’avoir , même si je ne risque pas de trop m’en servir dans un premier temps
mais je me dois de l’avoir dans ma collection,
il y a tellement peu de masseurs là-dehors qui me conviennent
qui correspondent à mes critères,
je n’en connais que deux en fait jusqu’ici,
le Nexus G-Rider et l’Aneros Vice 2celui-ci en tant que successeur du G-Rider, je me devais de le prendre,
encore plus massif, forme légèrement modifiée,
ils semblent avoir nettement améliorer la qualité du moteur et de la panoplie des vibrations proposées,
le G-Rider étant de ce point de vue, certainement un des plus piètres masseurs
que j’ai eu entre les mains et dans le cul,
il n’était vraiment pas difficile de l’améliorercependant ils l’ont rendu imperméable en plus,
ajouté aussi un second moteur qui fait un peu bouger à la base de la hampe
deux petits appendices qui sont sensés exciter l’entrée de l’anus
en effectuant des frottements et des pressions, indépendantes dessusj’utilise jamais le masseur allumé, les vibrations ne m’intéressent pas du tout pour l’instant
mais cela ne veut pas dire que dans un avenir plus ou moins lointain,
ce ne sera pas le casenfin bref, je me devais de le prendre, de l’avoir celui-là
c’est étonnant , les deux masseurs dans ma collection,
je ne parle pas de ceux que j’ai délaissés,
sont des masseurs avec moteurs et panoplie de vibrations
alors que j’aime vraiment pas cela
et qu’il ne me viendrait pas l’idée de les allumer
mais ils ont une forme superbe, qui me convient à merveille, assez proches d’ailleurs
et ce troisième que j’ai commandé, ne déroge pas à la règle4 février 2020 à 7 h 36 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36311bzoParticipantle bzo nouveau est arrivé, oui
dans mon bassin, la pleine puissance de la prostate
mais aussi désormais la pleine puissance du pénis et des couilles
pour me motoriser jusqu’au cielmoi, fuel féminin, fuel masculin,
moi full androgyne4 février 2020 à 0 h 30 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36308bzoParticipantsublime séance au lit de près d’une heure,
je savais que les bouleversements de ces derniers jours allaient me faire faire un grand pas en avant
et j’ai été servi,
comme j’ai été servi,
ah mes amis, ce qu’il y a moyen de vivre dans cette chair,
ces délires de volupté,
ces orgasmes lents, interminables qui semblent vous soulever de terreje n’ai pas éjaculé cette fois-ci, plusieurs fois j’ai cru que cela allait arriver
mais cela n’est pas arrivé,
au fond ce que je vis à présent, c’est une sorte de Mantak Chia
où l’appareil génital masculin est mis à contribution massivement
mais particularité chez moi,
je le vis du côté entièrement de cet autre moi, ce moi androgyne qui règne chez moi durant les séances,
c’est-à-dire un moi essentiellement féminin
mais avec la dose qu’il faut de masculin, là où il faut
pour bien mettre le feu aux poudresles mots me manquent
mais je crois bien depuis que je pratique en aneroless,
ce fut ma meilleure séance,
j’étais dans un état tellement hors de moi, tellement emporté par le plaisir,
c’est indescriptible,
tout est devenu tellement fou dans ma chair, dans tout mon êtrebref que du bon, il me manquait cela, donner libre cours au potentiel du pénis
mais totalement au service de ce féminin que j’éveille si divinement,
qui m’emporte dans des torrents de volupté irrépressiblescela a totalement fonctionné, aucun problème d’équilibre des énergies,
la synergie était parfaite, je n’avais vraiment plus qu’à me laisser emporter par le désir,
ne plus faire attention à aucun voyant dans ma tête qui s’allumerait,,
si cela bande et si cela finit par cracher , pas de problème,
c’est que le corps en avait besoin, avait besoin d’évacuer un peu par là
mais ça n’est pas arrivé,
ai lâché beaucoup de foutre avant-hier et encore hier une seconde fois,
ceci explique sans doute cela
mais c’était parfait car cela s’étirait en longueur
et montait en puissance comme jusqu’ici je n’avais jamais vécu
si l’on excepte les super O d’une autre période de mon parcoursalléluia, le bzo nouveau est arrivé
et c’est un diablement bon cru!3 février 2020 à 22 h 27 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36307bzoParticipantdans toutes mes explorations, toutes mes tentatives diverses
depuis que je me suis lancé dans les plaisirs où la prostate a un rôle à jouer,
le seul véritable échec patent que je perçois, que je ressens jusqu’ici dans mon parcours,
c’est de ne pas avoir réussi à intégrer les contacts de la main des parties génitales durant l’actionautant avec les cuisses, pas de problème, c’est tellement délicieux,
je ne saurai m’en passer,
les cuisses semblent être les interlocuteurs naturels de mes parties génitales durant l’action,
autant les contacts des mains ont toujours abouti à un échecsi je m’y essaie, c’est chaque fois le même schéma qui recommence, qui se joue
et qui se termine de la même manière,
à savoir, des premiers contacts splendides, explosifs
mais très rapidement, cela tourne à la déconfiture
malgré toutes sortes de tentatives de perpétuer les premières réussitesc’est explosif mais cela devient vite monocorde, sans réelle progression de la tension sexuelle,
et puis mon moi pesant sort de sa niche sans arrêt, je ne peux plus le contrôler,
il me susurre sans cesse, “va-s-y, touche-les, caresse-les, encore, et encore!”ce type de contact semble rompre chez moi un équilibre subtile,
l’accès sans restriction à mes énergies des profondeurs,
le fait que cela éveille des ondes mâles, massivement mâles directement liées à mon sexe,
je glisse vers un plaisir pénien irrémédiablement
malgré toutes sortes de tentatives d’intégrerbzoParticipantmes mots ont été attrapés par le collet
et leur vol ne s’est pas terminé à l’endroit escomptéje compte sur le justicier masqué
pour les libérer et leur permettre de rentrer au nid, sains et saufsmerci d’avance
3 février 2020 à 21 h 25 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36302bzoParticipantCe qui est différent pour toi, comme pour nos amis qui sont devenus capables de vivre à volonté des orgasmes qui apportent une satisfaction très supérieure à ceux qui sont associés à l »éjaculation, c’est que tu peux choisir d’éjaculer ou de ne pas le faire sans aucune perte d’intensité de la jouissance dans laquelle tu baignes au quotidien.
Tu n’éjacules plus par besoin de satisfaire ta libido. Tu éjacules quand tu le choisis ou encore mieux peut-être quand ton corps te dit que c’est le moment de le faire.
hum, tu as raison pour cette nuance et sans doute pour l’explication aussi
un accès sans restrictions à mes énergies
explique sans doute la raison pour laquelle ces éjaculations n’ont pas grand effet sur ma libido
et l’intensité de mes sensationsje peux rester sans éjaculer pendant des mois, des années,
sans ressentir aucun besoin de le faire
mais cela ne veut pas dire que c’est une bonne chose de rester ainsi,
je suis même désormais persuadé du contraire
et qu’il est sain de “se vidanger” régulièrementje vais laisser mon corps gérer cela tout seul
en n’intervenant plus d’aucune façon pour contrôler la chose3 février 2020 à 18 h 57 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36300bzoParticipantje suis toujours en train de digérer et de découvrir les implications
de mon changement de position vis à vis de l’éjaculation,
cela m’a emmené à tout remettre en question
et à questionner certaines certitudes dans la théorie de ma pratiqueTa pratique fait de toi un exemple de ce qu’un homme devient quand il est parvenu à se libérer du besoin d’éjaculer.
si il y a quelques jours, cela m’avait sembler une hypothèse plausible,
j’y crois nettement moins après d’attentives observations de ce qui se passe en moi durant la séanceune autre éjaculation depuis et n’ai senti aucune atténuation du niveau de mes énergies,
tout du contraire,
je ne cherche pas à me masturber, je ne cherche pas à éjaculer durant les séances,
cela ne m’intéresse pas outre-mesure,
cependant je crois fermement désormais que même si grâce au stade où j’en suis arrivé dans mon cheminement
et aux particularités de celui-ci,
je ne sens plus aucunement le besoin d’éjaculer,
mon corps a besoin régulièrement de le faire,
c’est malsain et néfaste de rester ainsi de longs mois, voire de longues années sans le faire
sauf sans doute pour certains cas bien particuliers
mais je n’en fais pas partie, cela j’en suis certainje vais laisser mon corps réguler cela tout seul
en continuer de pratiquer de la même manière,
si de par mes nombreux frottements et pressions de ma cuisse,
une excitation pénienne s’installe aussi, avec la conclusion de l’éjaculation,
je ne tenterai rien pour contrôler la chose, bien que j’en sois parfaitement capable
sans ressentir de frustrationmais comme je le sous-entendais plus haut,
je me sens nettement mieux ainsi,
je sens mon corps d’homme plus apaisé ainsi, ayant lâché de la semence deux fois en trois jours,
même on ne recherche pas de plaisir avec cette action,
c’est néanmoins une soupape pour le corps qu’il est nécessaire de laisser s’activer régulièrement ,
j’en suis convaincu désormaiset je ne crains aucune baisse de mes réserves d’énergie sexuelle
car après d’attentives observations, ces trois derniers jours,
j’ai acquis la conviction qu’avec ma façon de pratiquer,
avec ce que j’appelle un autre moi aux commandes, ce moi androgyne
au-delà des frontières de mon identité sexuelle,
ce sont de toutes autres énergies sexuelles qui montent pour m’assurer des moments de délicece n’est pas mon sexe mais la chair de mon sexe,
mon sexe est lié à mon identité sexuelle
et consomme de fortes quantités d’énergies mâles pour fournir l’éjaculation
accompagnée de son orgasme quelques secondes
mais je sens que cela fonctionne avec tout à fait d’autres énergies chez moi
et que comme je l’ai déjà écrit maintes fois,
j’ai un sexe masculin entre les jambes
mais la chair de mon sexe lui n’a pas de genre,
peut avoir les deux
et c’est ainsi que j’ai accès à tout d’autres énergiesceci étant dit, comme je n’éjaculais pas,
les frottements et pressions sur mes parties par les cuisses,
éveillaient aussi plus facilement des sensations péniennes,
des énergies mâles directement liées à mon sexe,
d’où ces éjaculations, la première accidentelle,
probablement due aux frottements du drap sur mes génitaux tandis que je pratiquais sur le dos
et la seconde, parce que j’ai décidé de laisser faire désormais,
si cela doit venir, que cela vienne,
le corps en a besoince que je ressens à présent, après ces deux éjaculations en trois jours,
c’est que quand je frotte avec mes cuisses,
le frotti frotta que j’aime tellement
et que j’alterne, que je mixe avec les contractions , dans le bassin
et aussi le ou les doigts, derrière dans mon anus-pussy,
c’est qu’il y a nettement moins d’ondes péniennes qui s’éveillent, pratiquement plus en fait,
c’est encore plus doux, plus velouteux, si c’est possible,
cela a changé légèrement de nature,
je ne m’en rendais pas compte car j’y étais habitué
mais il y avait toujours une dosse d’ondes péniennes qui venaient se mêler à mes ébats
du fait que je n’éjaculais jamaisà pré&sent que ce n’est plus le cas,
cela a beaucoup diminué, c’est étonnant
et donc dorénavant je laisserai mon corps gérer tout seul les éjaculations
quand le besoin se fera sentir,
cela montera, mon pénis lâchera de la semence,
cela me procurera un moment un peu particulier qu’il n’y a pas à bouder,
ces éjaculations durant ces pratiques basées sur la prostate essentiellement,
sont toujours particulièrement fortes et productrices d’une grande quantité de semence3 février 2020 à 18 h 22 min en réponse à : Ma prostate me donne enfin cet orgasme tant attendu #36299bzoParticipantJ’espère jouir encore longtemps comme cela
comme cela, tu ne jouiras plus jamais
car cela change constamment, cela se renouvelle chaque jour,
chaque jour, cela parait neuf et différentn’oublie pas de rester curieux avec un esprit vif d’exploration et de questionnement,
ainsi tu ne risques pas de verser dans une routine
qui seule peut compromettre les délices que tu vis à présent quotidiennementsinon , si tu fais bien attention à éviter ce écueil,
tu constateras de plus en plus qu’il n’y a aucune limite, vraiment aucune,
ce n’est pas juste de la rhétorique de forum,
c’est totalement vrai et quelque chose qu’on peut expérimenter dans sa chair2 février 2020 à 11 h 53 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36206bzoParticipantbon, comme je me suis promis dans ce fil-blog de tout écrire le plus honnêtement possible,
je me dois d’admettre à ce stade certaines choses,
quand je ne fais plus attention à ce petit voyant qui se met à clignoter à un moment donné dans ma tête,
cela conduit inévitablement à l’éjaculationainsi je crois que je pratique juste une sorte de variante à la Mantak Chia
avec retardement à l’extrême de l’éjaculation,
exploitant toute une zone d’excitation avec beaucoup de potentiel, ainsije viens de m’offrir une petite séance comme cela au lit, un bon quart tout à fait délicieux
mais à un moment donné, j’avais le petit voyant dans ma tête qui clignotait
et au lieu de faire comme d’habitude,
de ralentir les les pressions et les frottements de mes cuisses
et de mettre plutôt l’accent sur les contractions,
j’ai laissé faire le désir comme je l’avais ditmais c’était tout de même extraordinaire, je sentais bien que l’essentiel des vibrations
était dorénavant produites par mes organes sexuels,
que la prostate avec les contractions, s’effaçait de plus en plus
mais le féminin était tout de même là,
l’autre moi était toujours en action,
le plaisir continuait d’être ressenti puissamment dans tout le corps,
sensations riches, variées,
je continuais en fait, à bien ressentir, avec l’autre moi, féminin,
et quand l’éjaculation est arrivé, à exploser,
c’était comme on éjaculait en moi, c’est comme cela que je l’ai ressenti,
mon bassin se cabrait follement
tandis que je sentais la chaleur irradiante de l’explosion se répandre partout en moij’ai bien senti à partir d’un moment donc ainsi
que c’était la voie de l’éjaculation immanquablement dans laquelle j’étais engagée,
mais voie étirée comme un élastique dans tous les directions, ralentie, exploitée autrement
et donc quand cela arriva, ce fut sans doute le plus délicieux orgasme avec éjaculation que j’ai eu de toute ma vie,
je me tordais dans toutes les directions,
j’avais la sensation que des vagues lentes de lave sortait de mon sexe mi-dur, me montaient au cerveau,
se répandaient dans tout mon corpsje vais tout réévaluer, je vais garder cette pratique,
il n’y a pas de raison de l’éviter,
on verra ce qu’il en ait des réserves d’énergie sexuelle,
j’aviserai s’il y a des problèmes de ce côté-làcependant je vais équilibrer cela par une pratique plus exclusivement prostatique,
avec beaucoup moins, voire pas du tout, de frotti frotta des cuisses et des génitaux,
de la prostate, rien que de la prostate, encore de la prostate, donc, back to basics,
équilibrer cette nouvelle façon de pratiquer,
orientée extraction ondes du pénis avec éjaculation en conclusion éventuellement
par de la prostatepeut-être ainsi je suis en train de mettre quelque chose en place
de plus complet,
qui tient compte encore plus des possibilités de ce corps d’homme
mais aussi de ses nécessités
comme celle d’éjaculer de temps à autre,
j’ai l’intuition que cela peut s’équilibrer tout seul,
que le corps peut gérer tout seul son besoin d’éjaculer
avec cette nouvelle pratique, enfin pas nouvelle
mais en me retenant aucunement,
j’ai senti cela, pour l’instant il y a éjaculation
mais cela ne sera pas forcément le cas dans les jours à venir
quand j’aurai satisfait à cette nécessité2 février 2020 à 11 h 01 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36205bzoParticipanttoujours concernant cette histoire d’éjaculation,
dans ce que j’ai écris plus haut,
des choses pourraient être mal interprétées,
je ne pratiquais pas avec l’appréhension d’éjaculer, je n’y pensais pas du tout en fait
je n’étais pas là constamment à me dire, “oh tu dois faire attention pour ne pas …”,
nonjuste que si je commençais à sentir mon sexe se durcir sérieusement et rester dans cet état,
il y avait un petit voyant qui s’allumait dans ma tête
qui me prévenait,
je vérifiais alors mon attitude, ma posture, ce qui pouvait avoir provoqué cette réaction,
la plupart du temps c’est parce que j’effectuais trop de frottements, de pressions , sur les parties,
alors je ralentissais un peu, voire j’arrêtais totalement
si je sentais que j’étais trop engagé dans la voie d’un plaisir pénien qui débouche sur l’éjaculationdonc désormais ce voyant ne fonctionnera plus,
sauf s’il y a des frottements de couverture, par exemple,
ou autre raison externe qui interfèrent
car là c’est juste de la masturbation, ce n’est pas intéressant, enfin cela ne m’intéresse pas
mais si cela vient juste comme cela dans le courant de mon action normal,sans aucune interférence externe,
cela n’allumera plus aucun voyant dans ma tête2 février 2020 à 10 h 46 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36204bzoParticipantj’ai juste voulu vérifier ce matin mes soupçons concernant la pratique sous la couverture
et en effet durant une séance sur le ventre avec une couverture même légère,
avec une pratique aussi dynamique, beaucoup de mouvements, de gestes, que moi,
on s’en rend pas toujours compte dans le feu de l’action
mais il y a des réguliers frottements, effleurements, de la couverture , sur les parties,
cela peut à la longue contribuer à provoquer une éjaculation non désirée1 février 2020 à 23 h 45 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36203bzoParticipantpeut-être certains qui me lisent dans mon fil,
enfin s’il y a seulement quelqu’un à part @andraneros qui me lit
doivent se dire, il fait tout un plat d’une éjaculation
mais quand vous en n’avez plus eu depuis près de deux ans,
c’est un événement, c’est un séisme,
et qui a provoqué de sacrés changements dans mon corpsce corps dont je suis devenu tellement complice,
j’ai une grande oreille comme un radar dirigé constamment vers l’intérieur,
je perçois le moindre changement dans la circulation des énergies
et là beaucoup de choses ont changé depuis ce matin,
très positivement contrairement à ce que je craignais du à ce lâcher de sperme involontaire,
très positivement1 février 2020 à 23 h 22 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36202bzoParticipantc’est un moment important ce qui s’est passé pour moi,
je crois qu’il va me permettre de passer au stade suivant
(car il y a toujours un stade suivant, aussi loin qu’on soit )dorénavant l’éjaculation sera intégré dans ma pratique,
à ma façon,
c’est-à-dire ne la recherchant aucunement
mais si elle arrive, je laisserai faire désormais,
si cela doit venir, si cela doit cracher, que cela se passe, que cela arrive,
je sais qu’il n’y aura pas de déperdition d’énergie, d’atténuation de mes sensations ainsi,
au contraire, je serai plus calme, plus relax, ma chair encore plus disponiblesi on n’a pas de rapport sexuel,
l’éjaculation est comme une soupape qui doit relâcher le trop-plein de temps à autre,
me masturber, ne m’intéresse pas,
sans doute il existe des techniques plus élaborées, Mantak Chia, électrostimulation
qui apporte un plaisir nettement plus riche et plus intense
qu’une masturbation basique à la force du poignetmais ces plaisirs ne m’intéressent pas, les plaisirs du pénis en solitaire ne me parlent pas vraiment,
ma pratique me fait goûter à des délices qui me satisfont totalement,
juste désormais cette soupape de sécurité qui lâchera du sperme de temps à autre
pour que les énergies circulent d’une façon encore plus efficace, plus précises,
je le sens déjà maintenant,
non seulement rien n’est atténué
mais c’est encore mieux, c’est plus calme dans ma chair, plus équilibré,
le contact de mes couilles avec les cuisses,
je sens aucune onde pénienne au contact de mes parties, juste ce qui monte de mes profondeurs,
le fait d’avoir lâcher ma bordée,
permet une meilleure circulation des seules ondes qui m’intéressent1 février 2020 à 18 h 19 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36201bzoParticipantun homme, qui sait contrôler le cycle de ses éjaculations et ainsi augmenter son niveau d’énergie sexuelle, peut éjaculer et conserver après la déperdition associée à l’éjaculation un niveau d’énergie sexuelle très supérieur à celui d’un homme « normal ». Son retour à des niveaux très élevés d’énergie sexuelle est donc très rapide.
peut-être en effet, c’est l’explication
en tout cas désormais, je ne vais plus chercher spécialement à éviter l’éjaculation.
Je me sens bien, très très bien, cette séance m’a fait du bien, éjaculer m’a fait du bien,
pas tellement pour les quelques secondes d’orgasme sans érection,
c’était très intense mais cela dure tellement peu de temps
que c’est bien peu de choses finalement comparées à tout le reste que j’obtiens durant mes séancesmais surtout un bien-être général dans mon corps,
je crois désormais que ce n’est pas très sain de rester ainsi pendant des mois, des années,
sans se “vidanger”, enfin c’est comme cela que je le ressens pour l’instant,
cela ne me manquait pas, je n’en ressentais pas le besoin pourtantje ne vais plus chercher du tout à contrôler,
je ne vais pas la chercher spécialement, pas du tout même
mais si elle vient durant une séance, je ne vais rien faire pour l’éviter,
juste suivre mon désir, rien que mon désir, tout mon désir
sans tenir compte qu’au passage, il y aurait un petit lâcher de semence1 février 2020 à 14 h 32 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36199bzoParticipantje dois dire que je suis vraiment épaté,
en action, je sens mes parties génitales fatiguées, vidées par l’éjaculation
mais malgré tout, la puissance des ondes est là, sans aucune perte,
elles n’ont chez moi donc, vraiment rien à faire, avec mon sexe,
avec la puissance de production habituelle de sensations par làet pourtant c’est bien avec mes couilles et mon sexe qu’une partie de ces ondes dans mon bassin, arrivent
ou plutôt devrais-je écrire,
par la chair ultra-conductrice de celles-ci
mais plus conditionnées par mon identité sexuelle,
par la sexualité par défaut, liée à mon pénis1 février 2020 à 13 h 07 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36198bzoParticipantbon ben c’est assez étonnant
mais le petit incident de ce matin, à savoir cette éjaculation accidentelle lors de la séance
que je relate plus haut,
est en train de bousculer toutes mes idées sur le sujetj’ai toujours affirmé et lu sous la plume d’autres
que pour le type de plaisir solitaire qui nous occupe, essentiellement motorisé par la prostate,
le fait de ne pas éjaculer, permettait d’avoir ses réservoirs d’énergie sexuelle bien emplis
et qu’ainsi notre plaisir était plus intense, plus riche
et c’était vrai à une certaine époque pour moi, je peux l’affirmer,
je m’en souviens bien, c’était bien le cas, ce n’est pas une affirmation faussemais la donne, semble-t-il, désormais, a changé pour moi,
au stade où j’en suis arrivé, aussi bien en aneroless qu’avec le masseur,
avec cet autre moi dans mon corps aux commandes tellement totalement, tellement puissamment,
les ondes que je génère dans le cadre de mes ébats,
les vibrations que je fais monter, dont je me nourris, qui font mes délices,
n’ont plus grand chose à voir avec les énergies sexuelles habituelles de l’homme, liées à son pénis
et diminuant au plus on éjacule, au plus on fait couler sa semenceencore mieux, en fait, maintenant que j’ai expérimenté cela,
je n’ai plus aucune réticence, plus aucune appréhension,
quant à une éventuelle éjaculation
et à ses effets néfastes ultérieurs dans les heures et les jours qui suivent
sur l’intensité de mon ressentije croyais que c’était lié à l’aneroless
mais non, j’ai refait une petite séance de 15mn avec le masseur, même mode opératoire,
va et vient du masseur + cuisses pressant, frottant, ardemment
et c’était tout aussi bon,
aucune baisse d’intensité, même meilleur en fait
puisque je n’ai plus aucune appréhension quant à une éventuelle éjaculation -
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