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7 mars 2020 à 10 h 16 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36617bzoParticipant
le texte juste au-dessus pourrait donner l’impression que j’imagine des choses,
que des images défilent dans ma tête,
ce n’est pas ce que j’ai voulu direje pense le moins possible,
je m’évertue à éteindre mon moi pensant et y arrive la plupart du temps,
ma tête s’emplit ainsi de sensations, devient le lit de puissants et variés flux d’énergiesj’injecte plutôt mon imagination dans l’action,
une imagination en action dans le corps,
en action dans la chair,
débridée follement, dansant le désir,
immergée dans le corps ,
comme un poisson dans les profondeurs aquatiquesc’est la sensation que j’ai en tout cas,
qu’elle est là jouant avec mon corps, improvisant le plaisir, au gré du désir
et non plus juste dans ma tête,
sa plaine de jeu s’est immensément agrandiebzoParticipantcela faisait deux semaines
mais malgré la rareté de mes messages,
je suis tout de même parvenu à me faire pinceril doit avoir une mémoire d’éléphant, ce bougre qui patrouille entre les travées
7 mars 2020 à 1 h 17 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36610bzoParticipantje suis quelqu’un qui a toujours eu beaucoup d’imagination,
un peu trop même, diront certains dans mon entourage…
mais ma plus belle, ma plus folle, invention,
la plus réussie aussi,
c’est très certainement cette pratiques’engager de tout son être
comme dans un acte amoureux,
avec quelqu’un quel’on aime passionnément, que l’on aime à la folie,
ne rien retenir, faire monter tout ce que l’on a dans ses tripes,
vouloir se coller à la peau de l’être aimé,
vouloir se presser tout contre l’être aimé,
vouloir se fondre à l’être aimé, vouloir fusionner à l’être aimé,
ne plus former qu’un avec l’être aimé,
l’imaginer très fort pénétrant, s’imaginer très fort pénétré,
s’imaginant très fort pénétrant, l’imaginant très fort pénétréj’ai l’impression désormais constamment d’engager toutes les ressources de mon être,
d’avoir réussi à les réveiller,
d’avoir réussi à les convier pour quelques moments,
leur donner rendez-vous pour un ballet fusionnel,
un ballet corps et âmeque les instants soient totalement fous, soient totalement ineffables,
que les forces déchaînées me libèrent de toutes entraves
que j’improvise en totale liberté, au gré de mon inspiration,
sans me soucier de ce que je fais, comment je dois le faire,
juste en essayant d’éveiller une, à la fois, calme et sauvage harmonie, sous ma peau,
un carrousel variant à l’infini, de sensationsavec la sublime complicité de ce corps, il faut le répéter, encore et encore,
trouver absolument la bonne façon de lui murmurer, la bonne façon de dialoguer avec,
tellement de portes se sont ouvertes depuis le début,
cette pratique est devenue tellement extravagante,
j’effectue un geste, une caresse,
quelque part en moi, une envie, une volonté, impérieuse, d’éprouver du plaisir, ouvre toutes les portes,
les défonce sans ménagement si nécessaire,
je veux ressentir follement, extravagamment, il n’y a que cela qui compte
et avec la complicité de mon corps,
je veux ressentir, éprouver, les choses les plus folles dont cette chair est capableje ne me sens plus éjaculer quelque jets laiteux vers le dehors
mais je sens du sperme chaud et gluant s’écouler en moi comme un raz de marée pendant de longues secondes“imagine avec tes gestes, avec tes mouvements, imagine ce que tu as envie d’éprouver,
danse avec tes cellules, chante avec tes ténèbres,
moi, ton corps, je peux tout, à condition que tu l’imagines, que tu y croies de tout ton être,
instantanément je peux tout concrétiser pour toi, jouons ensemble,
jouons de toi comme d’un instrument mystérieux aux racines s’enfonçant dans les profondeurs de la terre”5 mars 2020 à 20 h 31 min en réponse à : Commutateur corporel Yin/yang et si ça fonctionnait ? #36598bzoParticipantencore un peu sur le sujet
à ce point totalement femme avec ce déchainement de jouissance et de plaisir sans entraves ou bien encore cette absence totale de contrôle dans laquelle j’ai pu laisser s’exprimer totalement cette déesse féminine en moi
c’est splendidement enivrant, n’est-ce pas
tout ce féminin qui gît habituellement dans nos abysses, soudain prenant vie dans notre chairon se sent comme entier tout à coup,
on se sent entrer en communion avec une part oubliée de nous-même ,
on découvre brièvement une unité possible dans tout notre êtreon sent aussi une richesse et une puissance incroyables s’exprimer,
les sensations sont décuplées, perçues dans tout le corps,
moments d’épanouissement, de complicité, d’intimité, extraordinaires, dans la chair5 mars 2020 à 19 h 01 min en réponse à : Commutateur corporel Yin/yang et si ça fonctionnait ? #36597bzoParticipantTout cela reste assez mystérieux, pourquoi ai-je pu me vivre à ce point femme lors de ces deux séances relatées plus haut ? J’ai réessayé mais en vain…
Le problème vient peut-être de mon désir de revivre une telle expérience, une attente une pression…très certainement cela joue mais cela n’explique sans doute pas tout
J’ai réessayé mais en vain, j’arrive à ressentir du féminin, mais cela n’a rien à voir, ce n’est pas aussi fort et mon corps ne se sent pas à ce point totalement femme avec ce déchainement de jouissance et de plaisir sans entraves ou bien encore cette absence totale de contrôle dans laquelle j’ai pu laisser s’exprimer totalement cette déesse féminine en moi.
je perçois bien cette différence que tu essaies de faire passer avec cette phrase,
je croyais que tu y parvenais plus systématiquementc’est très certainement une question d’entraînement aussi, de répétitions,
j’y arrive systématiquement, pleinement, totalement, depuis pas mal de temps
mais cela a pris tout de même des mois et des mois de travail sur moi-même,
ce fut très progressif comme processus,
apprendre à se laisser lâcher d’une certaine manière, laisser monter tout ce féminin en nous,
le laisser s’exprimer sans aucun tabou,
parvenir à sortir des limites de notre identité sexuelle, sans restrictions,
laisser courir, s’amplifier, son désir dans notre chair,
jusqu’à ce que tout soit senti différemment, comme si toutes les actions sur notre corps,
étaient les actions d’un autre sur son corps,
tout cela ne se fait pas en un jour
quand on veut arriver à ce résultat plus systématiquement
et non pas une fois ou deux qu’on trouve la voie en nous un peu par hasardil n’y a rien vraiment de très sorcier, on a tout cela en nous, chacun,
il faut juste aller le chercher patiemment,
c’est à la portée de tout homme qui n’a pas froid aux yeux,
qui sait ce qu’il veut, est prêt à y mettre le prix
et qui peut trouver des moments à se consacrer à soi-même dans la solitudeon a tous au fond de nous ce féminin et qui peut monter,
qui peut s’emparer des commandes de notre corps
et nous faire vivre ainsi une autre sexualité dans notre chair
grâce à une alchimie un peu mystérieuse (un peu beaucoup?)juste laisser donc tout ce féminin monter,
tout un apprentissage cependant de vivre l’action au travers lui,
des moments plutôt androgynes que totalement féminins en fait,
car le masculin s’exprime aussi à travers mon corps dans ces moments,
cependant entièrement au service du féminin,
il y a une sorte de partage des gestes, des mouvements, de la chair, une fluctuation,
avec ces deux pôles en action, s’ébattant en quelque sorte,
même si le féminin a 90% de la place pour lui
et que c’est au travers de lui, qu’on vit les sensations, la jouissancec’est pour cela que je parle d’un autre moi, en moi dans ces moments
car quand je suis en action, j’ai vraiment l’impression d’être quelqu’un d’autre dans ce corps,
comme une sorte de docteur Jeckil and mister Hide
qui change d’identité sexuelle dans un seul corpsbzoParticipantparcours presque idéal,
si on devait réaliser une grande affiche publicitaire pour le massage prostatique,
toi et madame , vous seriez des candidats idéaux,
“posterboy”, “postergirl”plaisir toujours plus dans tout le corps et perception toujours plus grande de tous les détails,
c’est l’étape suivante,
l’accroissement de la qualité des sensations
qui rend véritablement notre pratique,
sans limitesau fond de nous, quelque chose nous connecte aux autres, au vaste monde,
il y a du territoire commun,
la sensation de communion peut devenir magique, ineffable, bien au-delà des motsune qualité cristalline des sensations
peut émerger de plus en plus,
des vibrations, comme de pur cristal,
partout, illuminant tout notre intérieurje ne sis pas si tout cela, résonne, comme trop mystique, trop illuminé,
enfin ce sont des choses que je vis,
cependant tout cela reste aussi sexuel, en même temps, très animal, de plus en plus, en fait,
cela descend de plus en plus, et cela monte de plus en plus, en même temps,le gain de qualité,
le spectre devient très très large29 février 2020 à 0 h 58 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36560bzoParticipant6 jours…
cela fait une paie,
j’ai définitivement rompu le lien qui devenait un peu morbide
de venir écrire tous les jours icije n’avance toujours pas beaucoup plus avec mes travaux et mes bricolages en retard
mais je suis tout de même sur la bonne voie,
quelque chose est en train de se mettre en place
qui va finir par porter fruitssinon avec ma pratique, tout va bien, tout va très bien même,
cela n’a jamais été aussi bien fait
mais j’aurai pu aussi écrire cela il y a quinze jours
et je parie que je pourrai encore l’écrire dans 15 jours,
c’est au beau fixe depuis bien longtemps chez moi,
soleil radieux, resplendissant, dans ma chairn’ayant pas d’enfants, pas vraiment de responsabilités sérieuses, vivant seul,
je donne à des tas de sociétés caritatives, j’aide ma vieille mère,
cependant personnellement, mes meilleurs amis depuis longtemps,
même si je m’amuse beaucoup avec certaines personnes,
sont des bouquins, des films, des oeuvres d’artmais là, je me suis trouvé un objectif vibrant dans ma chair,
je me suis trouvé un océan où me laisser dériver
à la rencontre d’îles inconnues,
il y a une galaxie à explorer en nous,
alors je me concentre dessus
et je fais preuve d’une persévérance inhabituelle,
borné, systématique, acharné, patient mêmeenfin je me suis concentré dessus,
maintenant je ne me concentre plus du tout,
je n’ai plus besoin de me concentrer dessus,
quelque chose a tellement pris vie en moi, m’accompagne tellement constamment,
que je n’ai plus aucun effort à faire,
je n’ai qu’à donner juste mon accord brièvement et cela se met en route
comme un spectacle de cirque soudainement dans ma chair,
un chapiteau immense avec des milliers de clowns, d’acrobates, de saltimbanques de toutes sortesj’ai l’impression d’être emporté dans un film,
qu’un écran me happe directement,
avec des personnages, des événements
qui échappent à ma volonté, qui arrivent sur moi,
tout bouge tout seul dans ma chair
un film d’action m’emporte sur son toboggan de délices perpétuels,
de telles forces se sont libérées en moi,
je navigue tellement en des eaux inconnues,
que cela me trouve tout seul, sans efforts de ma part,
moins j’en fais en fait désormais, au plus cela se fait tout seull’instant d’avant
j’étais en train de regarder un film, une série
et l’instant d’après, un autre film, lui en trois dimensions
et impliquant toutes les cellules de mon être
m’a happé dans un flot de volupté et de jouissance continuesce n’est pas que ce soit hors de contrôle,
tout du contraire,c’est plus que jamais contrôlé,
en ce sens que je peux m’arrêter quand je veux et reprendre aussi quand je veux
mais dès que cela démarre, c’est totalement hors de contrôle, l’action me happe irrésistiblement
et la seule action possible désormais pour moi,
c’est soi de tout arrêter instantanément ou d’être totalement hors de contrôlel’impression de n’être plus qu’une bouche haletante dans l’espace,
avec une coupe emplie entre mes lèvresla complicité avec mes abysses, est sans faille,
mais le mystère dans ma chair, s’est épaissi plus que jamais
une source de très haute altitude, me fait des signes amicaux, à travers la brume,
des moments de communion splendide, me font pleurer à chaudes larmes, sur mes draps défaits,
je me sens comme un petit enfant de longs moments,
innocent, jouant librement avec son corps, avec ses sens et ses sensations,
son imagination ayant bâti un empire autour de luile féminin devant l’immense miroir de la vie,
au fil des instants,
reflet d’ailes géantes de papillon, battant lentement, magnifiquement colorés,
les cieux nous attendent,
je glisse sur un toboggan de poil soyeux éternellement,
la vie s’auto-célèbre un instant, au travers nousbzoParticipantah, j’allais oublier
Mmmm la sensibilité des seins qui pointent, la peau comme organe de plaisir, les frissons ondulant sur toute la surface du corps… et l’ouverture, l’accueil de l’univers en soi, sensation de plénitude et d’harmonie.
c’st tellement juste cela
nous sommes vraiment sur la même longueur d’onde, làce corps est devenu tellement complice,
vivant tellement librement un plaisir montant des profondeurs
et qui ensorcelle le moindre millimètre carré de ma chair, de ma peau, de mes os, de mes organescette sensation d’intimité dans la chair, d’ineffable volupté, de nid chaud, soyeux
et puis le désir qui court tellement librement,
sans se soucier des limites de l’identité sexuelle de ce corpsbzoParticipantMême si de mon côté mes couilles sont plutôt une gêne qu’autre chose.
hum, cela ne devrait pas, je t’assure
quand je me frotte, je me malaxe, les couilles, le sexe, inlassablement, avec les cuisses,
ce que je ressens, ce ne sont pas des couilles , un sexe d’homme, frottés, malaxés,
tu peux me croire, c’est tout à fait autre choseà partir du moment où tu es dans ce corps
avec ton autre moi, libéré, totalement aux commandes,
tu perçois tes organes tout à fait différemment,
toi-même, tu as relaté des expériences de ce genre, de nombreuses foisquand je perçois et je vis dans mon corps avec mon autre moi aux commandes,
les ondes qui me parviennent de ces contacts, sont tellement incroyables,
tu passes à côté de quelque chose d’énorme, à côté d’une source ultra-puissante ,
pour venir alimenter ton plaisir de femmede même, quand avec un ou deux doigts derrière, je farfouille dans mon anus,
là aussi, c’est à travers l’autre moi que je ressens
et là encore, tu peux me croire,
c’est quelque chose de tout à fait différent d’un plaisir anal d’hommeje perçois chez toi, malgré l’extraordinaire facilité que tu as,
qu’il y a là encore de belles évolutions possible,
tu as un corps d’homme, que tu le veuilles ou non
mais la bonne nouvelle, c’est que tu peux le vivre à 100% au féminin
et cela sous-entend aussi, exploiter tes organes génitaux
et la puissance splendide des vibrations qu’ils peuvent générerune fois que tu es à 100% avec ton autre moi lors de la séance, tout change,
toutes les règles changent, tous les repères sont différents,
tu te touches tes couilles mais c’est autre chose que tu vas vivre,
tu ne vas pas sentir des ondes mâles
mais ce qu’ils déclenchent comme réactions chez ton moi fémininessaie , tu m’en diras des nouvelles,
ta pratique va s’envoler vers des hauteurs insoupçonnées
car les génitaux dans un corps d’homme, sont la source la plus puissantes d’ondes sexuelles
et à partir du moment où on arrive à les détourner, à les retourner même vers l’intérieur,
c’est du tout profit pour ton moi féminin qui va adorer cela,
qui va en être folle à un point que tu n’imagines même pas pour l’instantne pas avoir peur de l’éjaculation non plus
là aussi, c’est quelque chose de tout à fait autre chose que tu vas vivre,
elle vient très lentement chez moi malgré les nombreux contacts des cuisses,
(jamais les mains, c’est mon seul interdit)
et quand elle vient, c’est tout mon intérieur qui est inondé de lave délicieuse
et je vis à chaque fois, ce que je qualifie, de super O au féminin,
tellement cela me rappelle irrésistiblement
la puissance splendide des super O que j’ai connu par le passé, avec le masseur,
rien à voir, là non plus, avec les sensations classiques d’une éjaculationbzoParticipantpuisque tu m’as fait un clin d’oeil
La chevauchée fantastique m’a emmené visiter plusieurs sommets, tous plus beau les uns que les autres. Un rythme tantôt au petit trot, tantôt au grand galop, très agité en me frottant de partout, torse, cuisses, fesses, hanches et gigotant dans tous les sens
tu n’indiques pas si cela a contribué à varier, à enrichir, tes sensations
mais en tout cas, persistes, ton corps va peu à peu s’éveiller de partout avec de pareilles sollicitations
et réagira de plus en pluspour un dernier orgasme, le premier en A-less tout aussi bon et intense que les autres.
ça, c’est très bien, à marquer d’une pierre blanche
tu avances à bonne allure sur tous les fronts,
tout seul, avec madame, avec masseur, sans…toutes mes félicitations,
la magie secrète du corps te révèle de plus en plus de secrets,
profite-s-en bien,
goûte tout ce que la mère nature a enfoui en nous,
on a un peu de la puissance du noyau de la terre dans nos abysses,
à nous de creuser le puits et de faire monter ces délicieuses eauxbzoParticipantc’est une question vraiment complexe, délicate,
mais s’il t’aime comme tu ais, sans deviner, ce qui se passe en toi,
sans ressentir une atténuation de ses sentiments vis à vis de quelque chose en toi
qu’il n’a pas encore identifiée mais qu’il rejette instinctivement,
c’est qu’il y a une chance pour qu’il puisse continuer de t’aimer,
même après que tu lui ais révélécependant prends bien le temps de laisser évoluer tout cela,
de laisser mûrir le processusmais je comprends que cela ait pu déclencher un pareil mécanisme en toi,
je sors du lit d’une belle et longue séance,
toi, tu peux deviner sans doute ce que j’ai vécu,
pas beaucoup par ici le peuvent,
tant que quelqu’un n’a pas vécu son corps comme cela, bien au-delà des limites de son identité sexuelle,
avec tout ce florilège de sensations les unes plus extraordinaires que les autres
qui montent sans cesse et qui envahissent tout le corps,
des flots de volupté et de félicité, non stop, partout, dans la moindre fibre de notre êtrec’est tellement éblouissant, tellement épanouissant, tellement ineffable, à chaque instant,
j’en frissonne des pieds à la tête, rien que d’y penser
mais je n’ai pas besoin d’y penser en fait
parce que désormais c’est constamment là en moi,
je n’ai qu’à m’effleurer d’un doigt, serrer un peu une cuisse sur une couille
et déjà tout est là, partout en moibzoParticipantet tout cela grâce au massage prostatique
si j’ai bien suivi toute l’histoire,
il t’a permis de te révéler pleinement à toi-mêmeje ne suis pas étonné qu’il ait ce pouvoir,
nous vivons grosso modo la même chose,
je connais la puissance , la richesse splendide, de tout cela,
de ces moments tellement emplis de grâce, de volupté et de féminité épanouissanteton compagnon? cela se passe comment?
ou bien tu en n’es pas encore au stade de laisser sortir cela dans tout entourage immédiat?bzoParticipantmais arrivé à ce stade j’ai été plusieurs fois frustré car un rien ( une baisse de concentration, un bruit extérieur et tout retombe brusquement). Avez-vous ressenti ce genre de chose, est-ce cela fait partie de la progression et d’un passage obligé?
tout à fait, quelques chanceux n’ont aucun effort à faire, tout est là directement pour eux
mais la très grande majorité des hommes, enfin qui ont un corps d’homme,
qui se lancent là-dedans,
cela prend du temps,
pour certains-même , beaucoup beaucoup de tempsparcours en zigzag, sensations capricieuses, il y a toute une palette d’obstacles, de hauts et de bas
avant que la consistance et les orgasmes à gogo, soient làJ’ai atteint une sensation de bien être profond en caressant mon corps mes tétons surtout mes tétons une ou deux fois j’ai eu quelques contractions involontaires, parfois la sensation que le bas de mon corps est parcouru par du courant électrique qui fait frissonner
tout cela, ce sont plutôt des bons signes,
il faut s’armer de patience, juste essayer d’être là dans ce corps, réceptif,
attentif à tout ce qui se passe en soi
et puis essayer de se laisser entraîner par le désirPensant que les massages de la prostate étaient peut-être insuffisant avec l’Hélix, j’ai acquis un Anéros progasm plus imposant, mais cela n’a rien changé en dehors du fait d’avoir le sentiment d’être rempli par le progasm cela n’a rien changé.
c’est une excellente chose d’avoir au moins deux, trois masseurs différents pour varier,
pour mettre toutes les chances de son côtéPensez-vous que ma cage de chasteté puisse être un obstacle à l’orgasme prostatique? Merci d’avance pour vos conseils.
alors vraiment pas, cela t’aide indirectement, en t’empêchant de toucher tes organes génitaux,
ce qui dans une pratique prostatique est plutôt à déconseiller, en tout cas au début
mais même plus tard, je dirai22 février 2020 à 0 h 00 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36498bzoParticipanttout ce qu’on peut obtenir avec quelques serrements de cuisses et quelques contractions
une vraie tempête dans un verre
et nous, juste un petit grain de poussière,
ballotté dedans,
emporté par des courants et des vagues monstrueuses, tout autour21 février 2020 à 23 h 33 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36497bzoParticipantma chair aurait pu être la chair d’une femme,
un coup de dés, à un moment donné avant ma naissance, en a décidé autrement,
tant de choses ont été rangés, à partir de ce moment-là, à la cave,
tant de breloques, tant de fourbi, tant de couleurs vibrantes, tant de magieune porte oubliée,
recouverte de toiles d’araignées, d’une épaisse couche de poussière,
des gonds qui grincent, qui cèdent millimètre par millimètre,
se révèle en nous, le baiser des profondeurs,
le baiser infini du partage et de la communion
dans l’incandescence de la chair21 février 2020 à 23 h 05 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36496bzoParticipantcomme une sensation d’infini dans ce plaisir,
juste cela devient tellement, tellement, ineffable,
que l’instant semble sans fin,
dans ma chairje touche mes organes, je me caresse, je bouge,
je serre les cuisses, je frotte, j’effleure,
et je vis la sensation en creux
tapie dans ma chairla sensation en creux vient de tellement loin,
c’est une lente conquête sur soi,
d’arriver à la faire vivre,
d’arriver à ce que la mer se formec’est un autre corps, armé de pied en cap, qui surgit de nos abysses,
nos sensations sont comme des icebergs, une partie émergée directement accessible par défaut,
et puis une part souterraine, plus sombre, plus étendue, plus mystérieuse,
plus difficile d’accès,
ce sont nos sensations en creux,
tout un pactole dans nos profondeurstant de complicité à établir en nous,
tant de chuchotements dans cette chair,
vivre cet autre moi,
brièvementl’androgynie est l’amour parfait,
l’amour qui s’auto-féconde,
la chair éclot,
l’instant devient une fleur géante, au parfum capiteux,
moments de velours, l’embrassade sans fin, tout en courbures,
l’ivresse du chant de toutes les cellules,
libérées par le désir20 février 2020 à 0 h 38 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36486bzoParticipantJe comprends aussi pourquoi cette solitude peut te permettre de vivre une telle richesse intérieure
et d’aller aussi loin dans l’exploration d’une forme de « sexualité expérimentale »
qui d’ailleurs je crois, n’est pas vraiment duplicable et partageable à d’autres individus
(mais certaine grandes lignes peuvent l’être).je reviens là-dessus, cela m’avait échappé
je suis tout à fait d’accord, il n’est sans doute pas possible d’aller aussi loin,
avec quelqu’un à ses cotés, partageant sa vieune grande partie de notre plaisir est en partage, est mis en commun avec le plaisir de quelqu’un d’autre,
il ne reste donc sans doute pas assez de place pour mener aussi loin des expérimentations en solitairecependant je crois qu’on peut obtenir des résultats très intéressants aussi en couple,
à condition d’avoir une compagne ouverte et intéressée par la question,
j’ai acquis dernièrement un livre “modernité hermaphrodite”, un gros pavé universitaire
qui fait bien le tour de la question de l’androgynie
dans toute l’histoire de l’humanité jusqu’à nos joursdans certains courants de pensée, le couple est considéré comme une tentative
pour retrouver l’androgynie originelle,
on fusionne du masculin et du féminin
jusqu’à ce que les frontières s’effacent et qu’on ne forme plus qu’un être,
en même temps masculin et fémininc’est ce que je fais aussi mais tout seul,
c’est à la fois plus facile et plus difficileen couple, c’est une piste puissante à explorer,
si l’homme a un bagage déjà, avec une prostate bien éveillée
et puis la capacité de faire monter le féminin en soi
et puis la femme, là je suis moins sûr si elle doit avoir quelque bagage spécial,
juste être elle peut-être, elle ouverte à toutes les explorations, sans tabou,
libre dans sa tête, épanouie dans sa sexualité, cela devrait suffire,
son potentiel étant , dès le départ, tellement plus énorme avec des racines qui vont tellement profond20 février 2020 à 0 h 26 min en réponse à : Commutateur corporel Yin/yang et si ça fonctionnait ? #36485bzoParticipantC’est intéressant, tu veux dire que tu peux avoir des orgasmes prostatiques après avoir éjaculé ?
non, l’éjaculation ne provoque pas un orgasme masculin chez moi,
enfin rien de ce qui ressemble à ce que j’ai pu ressentir avec des femmes lors de l’orgasme,
ni plus récemment (enfin relativement récemment) lors de masturbations,
cela n’a tellement plus rien à voir,
je vis tellement ce corps avec le féminin aux commandes lors de l’action,
que l’éjaculation provoque chez moi une sorte de super O au féminin,
je sens l’éjaculation se répandre en moi, imprégner ma chair,
mon bassin se cambre, je commence à ruer
et puis mon corps part de tous les côtés sous la force du torrent qui me traverse
comme un cheval fou au galopce n’est pas prostatique mais il y a des ondes de la prostate qui sont là
et c’est sur eux que je compte pour prolonger, pour allonger, ces orgasmes si merveilleux,
qui ont la puissance des super O que j’ai connu avec le masseurle fameux Dr Jivago
tiens, il y a vraiment eu un docteur Jivago?
je croyais que c’était juste le héros du roman de Pasternak,
le grand poète russeje pouvais effectivement être une femme dans un corps d’homme…
bah, je me pose plus ce genre de question,
je suis heureux de vivre ainsi mes séances,
je n’ai jamais vraiment eu de fantasme d’être une femme et toujours pas depuis,
je suis bien en homme
et encore mieux en homme capable de vivre des moments si merveilleux,
éloigné totalement de son identité sexuelle d’hommebien sûr la capacité sexuelle féminine tellement supérieure à la notre par défaut,
me laissait rêveur, comme tous les hommes sans doute
mais jamais je n’aurai oser imaginer qu’un jour,
j’arriverai à vivre des moments de jouissance et de richesse de sensations, équivalentesje vis ce que je vis durant mes séances,
j’ai osé briser toutes sortes de tabous en moi seulement parce que j’ai senti que cela en valait la peine
mais quand je redeviens le moi du quotidien,
je n’ai pas plus de fantasme d’être une femme
ou je ne me pose plus la question si je une femme dans un corps d’homme,
oui je me le suis demandé à un moment mais cela n’a pas duré bien longtempsje suis juste un homme qui va chercher un plaisir sans doute extrême en lui,
que d’aucun qualifierait de pervers, de détraqué
mais je m’en fous, c’est vraiment trop bon,
j’ai toujours vécu d’une façon extrême
et là-dedans je me reconnais, c’est moi, c’est 100% moibzoParticipanthelp,
je me suis fait attraper à nouveau,
je suis collé à l’attrape-mouche, je secoue les ailes, je vibre, je trépigne
mais rien n’y fait, j’y reste collé19 février 2020 à 22 h 52 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36480bzoParticipantEn cette fin d’après-midi cette femme, La Femme, reflets de toutes celles qui m’ont fait tant vibrer
était en moi aux commandes, j’étais elle, totalement libre, sans pudeur ni tabous, puissante et animale.oui, une fois qu’on parvient à faire cela,
c’est quelque chose d’assez unique,
il faut l’avoir vécu pour savoir à quel point c’est spécial,
à quel point c’est une aventure en territoire inconnu qu’on vit dans sa chairà quel point on vit une communion aussi,
avec toute une part habituellement inaccessible en nous,
on se sent plus complet quelques instants, uni, entier, déliéavec le désir qui peut couler librement, sans tenir compte des frontières de notre identité sexuelle,
le désir aux commandes qui nous entraîne par où il veut,
c’est aussi quelque chose de tellement particulier,
une sensation tellement grisante de libération, de liberté totale dans sa chairvivre cela même pour quelques secondes,
juste un petit geste peut déjà le déclencher chez moi
et c’est parti juste pour une petite vague qui passe en moi
mais c’est une vague qui monte de tellement loin,
qui lui appartient,
moment de partage, moment de complicité, moment d’intimité, avec ses abysses19 février 2020 à 22 h 23 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36479bzoParticipanthello @aneveil
je constate avec plaisir que les éjaculations
qui peuvent à présent arriver quand ton corps le décide ne semblent
pas pour autant diminuer ton énergie sexuelle.non en effet mais cela n’a pas toujours été comme cela,
je me rappelle quand je pratiquais d’une façon plus conventionnelle,
du massage prostatique exclusivement, avec masseur,
il me fallait un certain temps avant de retrouver la pleine puissance des sensations,
jusqu’à dix jours
si j’éjaculais, si je me masturbais de temps à autre
c’est d’ailleurs grâce, ou plutôt à cause de cette croyance,
que je suis resté pendant largement plus d’un an, presque deux, sans éjaculer,
pour être constamment au pic de mes énergiesmais il y a quelques jours, quand par accident j’ai éjaculé lors d’une séance,
une des rares fois que j’ai pratiqué avec une couverture sur moi,
probablement les frottements du tissu ont contribué à provoquer cet “accident”,
c’est souvent un équilibre tellement fragile, un rien peut suffire,
j’étais mortifié, catastrophé, au début
mais après une demie heure quand j’ai un peu recommencé machinalement,
je me suis vite rendu compte que toutes les énergies étaient de nouveau là,
cela n’avait duré qu’une petite demie heure
où j’avais la sensation que tout était éteint dans mon bassin,
bien au contraire, quelque part c’était mieux quelque part,
ma chair était plus détendue, j’étais plus serein
et je sentais de nouvelles possibilités qui s’ouvraient à moi
qui n’ont pas été démenties,
que du contrairec’est, je crois, pour reprendre ta terminologie,
parce que je fonctionne depuis bien longtemps exclusivement avec le plaisir Yin situé dans nos entrailles souterraines.
qui ne dépend pas de l’éjaculation,
qu’on peut éveiller, goûter, aussi bien par la prostate, que par l’excitation de l’anus
et de nos parties génitalesc’est ce que j’appelle, mon plaisir androgyne, essentiellement féminin malgré tout donc,
toutes les sensations, j’ai l’impression, sont inversées quelque part,
les contacts de mon sexe, de mes couilles, sont ressenties
comme ce qu’ils peuvent éveiller comme sensations, je crois, quand ils sont en contact avec le corps de la femme
et qu’ils éveillent toutes sortes de délices voluptueux chez ellema prostate aussi, désormais, toutes ses ondes passent par les contractions
sont ressenties comme des va et vient de pénétrationj’ai désormais une éjaculation presque tous les jours, toujours très abondante,
alors qu’avant il y a quelques années,
j’éjaculais aussi tous les jours quand j’avais l’habitude de me masturber abondamment
mais c’était quelques vagues gouttes,
à mon âge, cela devient de plus en plus difficile,
enfin plus maintenant, avec la façon donc je pratiquemais surtout cette éjaculation est ressentie,
comme si j’étais le réceptacle de cette éjaculation, comme si je la ressentais en moi
comme je l’ai écrit dans ton fil,
j’ai désormais la sensation de vivre des super O au féminin
grâce à ces éjaculations qui déclenchent systématiquement des orgasmes très très puissants,
pour l’instant d’une quinzaine à une trentaine de secondes,
je rue, je me cabre, mon corps part de tous les côtés , c’est un tel torrent qui me passe au travers du corps
qui me rappelle irrésistiblement la puissance des super O plus classiques que j’ai vécus avec le masseurje suis confiant de parvenir à les allonger de plus en plus,
l’éjaculation est un tremplin qui permet de faire décoller le vaisseau
mais je sens qu’il y a moyen de les faire durer beaucoup plus longtempsbzoParticipantj’ai voulu éditer mon texte dans le fil d’@aneveil
mais il ne m’a pas laissé effectuer l’opérationsi tu pouvais remplacer le texte existant par celui-ci,
merci d’avance:Pourtant dans les faits ce n’est pas toujours simple : trop de yang peut m’empêcher d’accéder au plaisir prostatique et trop de yin peut me faire perdre une érection, mais il n’y a pas d’incompatibilité définitive et j’aime par dessus tout quand ces deux polarités cohabitent, s’additionnent, voir se multiplient même si l’alchimie reste complexe et délicate à doser…
tellement vrai,
je suis en plein cela pour l’instant, le rééquilibrage de ces deux pôles en moi,
j’écrivais justement là-dessus hier soir
mais depuis j’ai renoncé pour l’instant,
dans la séance nocturne,
mon corps m’a fait clairement savoir qu’il n’en voulait pas, de rééquilibrage ,
que cela lui convenait tout à fait comme cela,
avec en aneroless pour l’instant un pourcentage de 60 à 70 % d’ondes provenant de mes génitaux
et du reste de la prostatebien qu’en soi, cela ne veut pas dire grand chose, je trouve, cela renseigne juste sur la source
mais aucunement du type de plaisir,
cela fait longtemps que chez moi, les sources sont brouillées, court-circuitées,
que mes bijoux de famille
me procurent la plus douce des voluptés possible
et que mes contractions motorisées par la prostate me procurent une irrésistible sensation de pénétrationtout semble inversé en fait
et c’est assez logique quelque part si on se place du côté de ma théorie,
que durant l’action, je suis avec cet autre moi dans mon corps,
avec cet autre moi que je perçois, que je ressens,
un moi essentiellement féminin,
même si le terme androgyne correspond plus à la réalitéCet après midi une énergie sexuelle assez pressante m’a poussé à me mettre nu pour me masturber, j’avais très envie d’enfiler
mon Satisfyer Partner multifun comme un cockring
…
J’ai ensuite utilisé mon masturbateur le plus soft, le plaisir conjugué de mon sexe et de mes profondeurs était délicieux
…
N’y tenant plus j’ai alors introduit mon Progasm qui m’a très rapidement fait oublier mon pénis,
…
plus tard, j’ôtais le Progasm pour enfiler la grosse boule du Pure-Wand Chinois
…
qui allait me faire prendre encore de l’attitude, mon dieu que c’était divin…étonnant éclectisme, tu es tout-terrain, je t’envie cela un peu
mais j’ai tellement tendance à plonger dans la monomanie
et à foncer avec des œillères dans une directionMes premiers orgasmes prostatiques m’ont fait prendre conscience d’une part de féminité dans ma nouvelle forme de jouissance. Mon expérience depuis a confirmé et amplifié ma perception de ma part féminine mais pas au point de vivre comme toi ou @bzo ou d’autres la présence de deux pôles distincts en moi, capables de générer chacun son mode de jouissance particulier.
personnellement j’évite assez systématiquement tout plaisir masculin direct,
n’ayant pas d’interaction sexuelle depuis quelques années,
les formes de masturbation pour remplacer, ne m’intéressent pascertaines sont sans doute très satisfaisantes, apportent un plaisir puissant
mais étant dans la situation dans laquelle je suis,
j’ai l’impression qu’ils ne seraient perçu que comme des pis-aller en définitivealors que cet univers que j’ai développé, avec des sensations tellement différentes,
un corps vécu tellement autrement,
qu’il semble être habité par un autre moi, avec une identité sexuelle différente,
là je suis dans tout à fait autre chose
et je connais un véritable épanouissement,
une véritable satisfaction physique, sensitive et intellectuellemon expérience m’a emmené aux conclusions
que les sensations dites féminines et dites masculines, étaient toutes relatives
et que ce pôle masculin et ce pôle féminin en nous,
ne sont pas liés aux organes,
même que le pôle masculin n’était pas lié à mes organes génitaux
mais à notre approche, la perspective qu’on a développée,
la façon dont on vit ce corpsje m’ouvre, je cède,
je laisse tout ce féminin qu’il y a dans mes abysses, monter,
m’envahir, prendre les commandes,
exploser les limites de mon identité sexuellemon sexe et mes couilles peuvent me procurer des sensations qui semblent féminines ineffablement
et ma prostate une sensation très virile de pénétrationmes éjaculations semblent le premier étage d’une fusée qui me propulse
dans les délices d’un super O au fémininAssis très cambré sur le bord du lit mes jambes écartées et en appui sur le bout de mes pieds comme si j’avais des chaussures à talons, ma zone anale très ouverte profitait alors pleinement de cette stimulation et je sentais ma prostate pulser de délices
ici, c’est l’autre moi, le moi androgyne, féminin qui est aux commandes,
@aneveil, tu sembles pouvoir permuter rapidement entre les deux,
pour passer d’un plaisir mâle, plus classique,
à tout le spectre, où les limites sont brouillées, voire inexistantes19 février 2020 à 13 h 34 min en réponse à : Commutateur corporel Yin/yang et si ça fonctionnait ? #36471bzoParticipantPourtant dans les faits ce n’est pas toujours simple : trop de yang peut m’empêcher d’accéder au plaisir prostatique et trop de yin peut me faire perdre une érection, mais il n’y a pas d’incompatibilité définitive et j’aime par dessus tout quand ces deux polarités cohabitent, s’additionnent, voir se multiplient même si l’alchimie reste complexe et délicate à doser…
tellement vrai,
je suis en plein cela pour l’instant, le rééquilibrage de ces deux pôles en moi,
j’écrivais justement là-dessus hier soir
mais depuis j’ai renoncé pour l’instant,
dans la séance nocturne,
mon corps m’a fait clairement savoir qu’il n’en voulait pas, de rééquilibrage ,
que cela lui convenait tout à fait comme cela,
avec en aneroless pour l’instant un pourcentage de 60 à 70 % d’ondes provenant de mes génitaux
et du reste de la prostatebien qu’en soi, cela ne veut pas dire grand chose, je trouve, cela renseigne juste sur la source
mais aucunement du type de plaisir,
cela fait longtemps que chez moi, les sources sont brouillées, court-circuitées,
que mes bijoux de famille
me procurent la plus douce des voluptés possible
et que mes contractions motorisées par la prostate me procurent une irrésistible sensation de pénétrationtout semble inversé en fait
et c’est assez logique quelque part si on se place du côté de ma théorie,
que durant l’action, je suis avec cet autre moi dans mon corps,
avec cet autre moi que je perçois, que je ressens,
un moi essentiellement féminin,
même si le terme androgyne correspond plus à la réalitéCet après midi une énergie sexuelle assez pressante m’a poussé à me mettre nu pour me masturber, j’avais très envie d’enfiler
mon Satisfyer Partner multifun comme un cockring
…
J’ai ensuite utilisé mon masturbateur le plus soft, le plaisir conjugué de mon sexe et de mes profondeurs était délicieux
…
N’y tenant plus j’ai alors introduit mon Progasm qui m’a très rapidement fait oublier mon pénis,
…
plus tard, j’ôtais le Progasm pour enfiler la grosse boule du Pure-Wand Chinois
…
qui allait me faire prendre encore de l’attitude, mon dieu que c’était divin…étonnant éclectisme, tu es tout-terrain, je t’envie cela un peu
mais j’ai tellement tendance à plonger dans la monomanie
et à foncer avec des œillères dans une directionMes premiers orgasmes prostatiques m’ont fait prendre conscience d’une part de féminité dans ma nouvelle forme de jouissance. Mon expérience depuis a confirmé et amplifié ma perception de ma part féminine mais pas au point de vivre comme toi ou @bzo ou d’autres la présence de deux pôles distincts en moi, capables de générer chacun son mode de jouissance particulier.
personnellement j’évite assez systématiquement tout plaisir masculin direct,
n’ayant pas d’interaction sexuelle depuis quelques années,
les formes de masturbation pour remplacer, ne m’intéressent pascertaines sont sans doute très satisfaisantes, apportent un plaisir puissant
mais étant dans la situation dans laquelle je suis,
j’ai l’impression qu’ils ne seraient perçu que comme des pis-aller en définitivealors que cet univers que j’ai développé, avec des sensations tellement différentes,
un corps vécu tellement autrement,
qu’il semble être habité par un autre moi, avec une identité sexuelle différente,
là je suis dans tout à fait autre chose
et je connais un véritable épanouissement,
une véritable satisfaction physique, sensitive et intellectuellemon expérience m’a emmené aux conclusions
que les sensations dites féminines et dites masculines, étaient toutes relatives
et que ce pôle masculin et ce pôle féminin en nous,
ne sont pas liés aux organes,
même que le pôle masculin n’était pas lié à mes organes génitaux
mais à notre approche, la perspective qu’on a développée,
la façon dont on vit ce corpsje m’ouvre, je cède,
je laisse tout ce féminin qu’il y a dans mes abysses, monter,
m’envahir, prendre les commandes,
exploser les limites de mon identité sexuellemon sexe et mes couilles peuvent me procurer des sensations qui semblent féminines ineffablement
et ma prostate une sensation très virile de pénétrationmes éjaculations semblent le premier étage d’une fusée qui me propulse
dans les délices d’un super O au fémininAssis très cambré sur le bord du lit mes jambes écartées et en appui sur le bout de mes pieds comme si j’avais des chaussures à talons, ma zone anale très ouverte profitait alors pleinement de cette stimulation et je sentais ma prostate pulser de délices
ici, c’est l’autre moi, le moi androgyne, féminin qui est aux commandes,
@aneveil, tu sembles pouvoir permuter rapidement entre les deux,
pour passer d’un plaisir mâle, plus classique,
à tout le spectre, où les limites sont brouillées, voire inexistantes.18 février 2020 à 23 h 45 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36469bzoParticipantavec ces contacts sans plus aucune restrictions, sans plus aucun frein,
les ondes provenant de mes génitaux sont plus envahissants, plus omniprésents, que jamais,
inondant mon bassin instantanément
puis tout mon corpscela veut dire des flots et des flots de volupté,
de nectar ineffable chaud, frissonnant, soyeux, partout
mais ainsi j’ai aussi assez rapidement senti le besoin de rééquilibrer vers la prostate,
je sentais un déséquilibre trop fort désormais entre ces deux principaux pôles d’ondes en moi,
dans mon bassin,
c’est le travail que je suis en train d’opérer ces derniers jours,
aussi bien en aneroless qu’avec masseuravec masseur, c’est plus facile, il y a les contacts directs avec la prostate,
cela vient tout seul pour moi, c’est instinctif,
je n’ai qu’à laisser faire,
le masseur bouge comme un sexe qui me fouille inlassablement,
je n’ai qu’à laisser faire l’inspiration dans ma chairpar contre j’ai plus difficile en aneroless
mais cela commence à se dessiner tout doucement,
il y a toute une recherche technique à faire,
rendre plus pointues mes contractions, plus fouillées, plus élaborées, plus performantes,
de façon à produire des ondes suffisamment efficaces, puissantes
que pour faire le poids face à tout ce déferlement, ce torrent doux, soyeux,
de vibrations provenant de mes couilles, de mon sexe,
frottés, malaxés, pressés, par mes cuisses, sans retenuealors je fais de l’expérimentation, je teste,
cela commence à prendre forme,
après il faudra synchroniser tout cela, retrouver les automatismes,
avec les nouveaux gestes, les nouvelles routines, parfaitement intégrés,
jusqu’à ce que tout redevienne comme instinctifen fait ici, comme toujours dans ma façon de pratiquer,
il suffit juste finalement de laisser parler le corps,
le laisser trouver tout seul le type de contractions qui conviennent le mieux pour répondre à ce besoin,
le placer donc en situation de pouvoir y répondreen fait mes recherches consistent,
d’abord à avoir toutes sortes d’idées de mouvements, d’enchaînements, de façons de contracter différemment
puis de les abandonner les unes après les autres, ces idées,
pour finalement juste laisser faire le corps
par rapport à cette nouvelle exigence que j’aurai plantée dans ma chairfaire passer le message
à cette masse, cet amas mystérieux de bidoche, de sang, de nerfs, d’os et de bien d’autres choses, sous moi,
comme planter une graine et attendre que cela germe
c’est cela, le dialogue avec ma chair, la complicité avec mon corps,
c’est lui faire comprendre que j’attends quelque chose de nouveau, quelque chose d’un peu différent, de lui,
et le laisser concocter la réponsec’est comme si une sculpture se réalisait,
j’en suis le commanditaire, j’ai défini le cahier de charges
d’abord il y a comme un morceau de pierre brute, inerte,
aucune idée de ce que cela va devenir
mais peu à peu quelque chose se dessine,
comme une inspiration taille à même ma chair,
se révèle lentement une nouvelle façon d’effectuer les contractions, plus efficace, plus riche,
répondant à un besoin que j’ai identifié
pour préserver un équilibre, maintenir une synergie puissante et efficacetout un travail d’équipe
dont je suis le coordinateurbzoParticipantme voilà encore au placard avec mon dernier message
merci d’avance
18 février 2020 à 1 h 12 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36465bzoParticipantune bonne heure au lit,
quelle merveilleuse séance encore,
une bonne demie heure en aneroless puis avec masseur,
malgré que je m’étais promis de ne plus mixer
mais il fallait que je termine avant une heure du matin
pour tenir ma nouvelle discipline de me coucher avant cette heurecependant je ne l’ai pas regretté, séance tellement riche en délices
et aussi en enseignement, plus particulièrement avec le masseur,
je reprends goût à des longues périodes à du pure prostatique,
de temps à autre je serrai les cuisses pour laisser mon bassin être envahi de volupté ,
de nectar tellement ineffable
mais ainsi je ne restai que quelques secondes,
je repartais après les cuisses écartées en ondes prostatiques,
je sentais qu’ainsi il y avait énormément de potentiel,il m’aurait fallu plus de temps
pour obtenir des orgasmes prostatiques mâtinées de la volupté générée par mes organes génitaux
*mais je n’avais plus de temps,
aussi je serrais les cuisses et ainsi en quelques minutes,
l’éjaculation a envahi mon bassin,
je ruais et je cabrais pendant une trentaine de secondes,
il m’a fallu de longues secondes pour retrouver mon souffle et mes esprits,
j’étais cloué au lit par un bien-être post-orgasmique
qui est en soi une délicieuse jouissance, on se sent infiniment léger et bien dans sa peauj’utilise mon dernier tube de Swede Aquaconfort, mon lubrifiant d’élection depuis tellement longtemps,
j’y suis tellement habitué, il me va bien et aussi à mes masseurs en silicone,
je me suis rué sur internet pour essayer d’en recommander
tout en sachant qu’il y avait peu de chances d’en trouver car il n’est plus fabriqué,
cependant sur Amazon.de, un vendeur en a encore et à un prix tout à fait intéressant,
du coup j’ai voulu acheter tout son stock mais c’est 5 maximum par client,
enfin c’est déjà celabzoParticipantIl est peut-être encore un peu tôt pour moi de changer de masseur.
tout prostatonaute embarqué dans son périple
devrait avoir au moins deux, trois masseurs différents sous la main,
c’est un minimum pour moiil faut varier, confronter,
si l’un ne fonctionne pas un jour, l’autre aura peut-être plus de chance,
il peut y avoir émulation,
les sensations changent de l’un à l’autre,
cela permet d’aiguiser notre sensibilité,
accélérer le rewiringbref c’est avoir beaucoup plus d’atouts de son côté
il ne faut jamais oublier qu’un modèle qui fait grimper au plafond une personne,
peut n’avoir aucun effet sur une autre,
il est indispensable d’en avoir au moins un autre sous la main
mais si les finances le permettent, alors quatre, cinq, pour avoir un sérieux choix à sa portée,
toute une gamme pour faire face à la richesse et la complexité de cette pratiquesi on n’obtient aucun résultat avec l’un,
inutile de persister pendant des semaines, des mois, voire des années, avec le même masseur
sous prétexte que c’est celui qui a la meilleure réputation dans la communauté,
qui est le plus utilisé, le plus cité,
vous passez ainsi peut-être à côté de votre chance, de votre bonne fortune,
alors qu’avec un autre modèle sous la main, en quelques jours peut-être vous auriez bien progressé
et seriez déjà sérieusement engagé sur la voie des délices prostatiquesbzoParticipantdans le fil Mon retour, mon cheminement (qui ressemble aux vôtres)
j’ai tenté d’éditer mon message,
il a été cueilli en plein vol et dévié vers la poubellemerci d’avance
16 février 2020 à 12 h 17 min en réponse à : Mon retour, mon cheminement (qui ressemble aux vôtres) #36441bzoParticipantPlusieurs choses ont changer, tout d’abord avec celle qui partage ma vie, qui me rend heureux chaque jour dès le réveil puisque hier elle m’a encouragé. Donc pour la première fois ma session a débuté avec des petits câlins et des bisous.
c’est très très positif cela, quand la compagne devient réceptive par rapport à cette nouvelle pratique dans laquelle tu t’es engagé, qu’elle ne la perçoit plus comme quelque chose qui pourrait t’éloigner d’elle,
que tu cherches du plaisir en solitaire, sans elle
mais au contraire, comme une pratique qui pourrait enrichir votre relation, vos ébats communsdans un couple, je crois, il est important d’avoir chacun un petit domaine à soi,
dans la sexualité aussi, s’enrichir, se développer dans un plaisir en solitaire, dans une exploration de son propre corps
qui va après enrichir la relation commune, la sexualité à deuxJe ne sais pas si cela fait la même chose pour vous mais après avoir retiré mon aneros, je continuais à avoir des petites sensations de plaisir au niveau de ma prostate. J’arrivais encore à la sentir et ce matin mon appétit sexuel a grimper (est-ce normal??). Je n’ai qu’une envie, c’est de recommencer le plus rapidement possible mais en lisant différents postes il est recommandé d’espacer les séances et c’est peut être un bon moyen pour faire grandir mon désir sexuel (même si ce matin il est déjà haut)
malheureux! ne te retiens pas, fais comme bon il te semble, juste écoute ton corps, si ton désir veut cinq séances par jour,
si tu peux te le permettre dans l’emploi du temps, va-s-y, fonce,
encore une fois n’écoute que ton propre désirOr, parmi vous, j’entends toujours parlé des contractions involontaires et pour ma part je n’ai aucune contractions involontaires et je me demande si j’arrive au point limite avant d’avoir ces contractions ? J’ai donc réussis à avoir un petit moment où mon plaisir a atteint un point qu’il jamais atteint auparavant et je suis heureux d’avoir pu connaitre cela.
cela n’a aucun importance, tu ne devrais y consacrer aucune attention,
il y a des gens qui en ont jamais mais le plaisir est bien là, les sensations en abondance, sont bien làDe plus, je suis assez jaloux du plaisir qu’elle peut avoir en temps que femme, qu’elle puisse avoir plusieurs orgasmes d’affilés (je rêve d’être une femme pour cela principalement je dois avouer).
avec le plaisir prostatique, tu vas être servi, une fois que ce sera bien lancé, tu connaîtras un plaisir équivalent, avec des orgasmes à répétition
Je ne suis pas un transsexuel enfin je pense mais il m’arrive de rêver que je puisse me transformer en femme pendant une journée. De pouvoir m’habiller comme elles (soutien gorge, body, justaucorps, doudoune…). Je suis quand même content d’être un homme et je ne me vois pas faire une transformation pour devenir femme mais… Ce doit être mon côté féminin.
on est tous plus ou moins hanté par ce genre de fantasmes,
ma théorie, je la décris en long et en large dans mon fil, c’est que nous avons beaucoup beaucoup de féminin en nous,
dans nos abysses,
cela se traduit au quotidien sans doute diversement en chacun de nous,
la façon dont cela peut rejaillir soudainement, même ne fusse que pour un instant, sous forme de fantasme, sous forme d’envie, de mille et une façons dans notre personnalité, dans nos gestes,
dans notre façon de faire l’amour, dans nos relations avec l’autremoi, je n’ai jamais vraiment eu de fantasmes de ce type,
pourtant mes séances désormais, je les vis avec ce féminin en moi, entièrement aux commandes,
j’ai pu creuser cela sans doute parce que je vis plutôt isolé, avec pas de relations amoureuses depuis de nombreuses annéestout seul chez moi, durant mes séances de massage prostatique, j’ai senti que tout ce féminin que je percevais au fond de moi,
eh bien il y avait moyen en quelque sorte de le faire monter à la surface, de lui faire prendre les commandes de ce corps
et de vivre ainsi un plaisir complètement différent
mais sans doute si j’avais une compagne à mes côtés, cela aurait pris une direction différente,
mon besoin aurai été différent, se serait exprimé d’une façon différenteen tout cas avec le massage prostatique, tu peux laisser ce féminin en toi s’exprimer,
si tu en éprouves le besoin, il n’y a juste qu’à t’écouter, qu’à te laisser aller,
à partir du moment où ta pratique est devenue un peu consistantej’admets que ce genre de mots peut paraître un peu abstrait
tant qu’on n’a pas atteint un certain point de son évolution,
juste essaie de t’écouter, d’écouter ce corps sous toi,
essaie de laisser le désir s’exprimer de plus en plus,
il saura puiser dans tes fantasmes aussi sans que tu n’ais à forcer quoique ce soit,
il ne faut pas chercher à forcer
mais pas chercher à se retenir non plus,
le désir est toujours sur la bonne longueur d’onde si on s’en remet entièrement à luibzoParticipanthé hé, bienvenu au club,
je vois que les choses commencent à être sérieuses par là-bastout ton corps commence à participer, travaille bien cet aspect,
il est une steppe immense, sans fin,
qui ne demande qu’à ressentir le choc des sabots, les vibrations du galopet comme je l’ai déjà écrit pas le passé, si tu doutes un instant que c’était un super O,
c’est que ce n’en était pas un,
il n’y a pas moyen de douter du super O,
on le sait quand il y en a un qui est passé dans sa chair,
il n’y a pas moyen de ne pas le reconnaître -
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