Toutes mes réponses sur les forums

30 sujets de 121 à 150 (sur un total de 373)
  • Auteur
    Articles
  • en réponse à : Prostate et philosophie #32130
    Epicture
    Participant

    @Jlbe13 à écrit :

    Je suis un vrai cartésien et ça ne facilite pas les choses

    Peux-tu nous dire ce que signifie pour toi, être cartésien, et en quoi cela ne facilite pas les choses ?

    Si pour toi, être cartésien veux dire, s’appuyer sur le principe de causalité, qui consiste à rechercher rationnellement, c’est-à-dire avec sa raison, la cause de chaque chose, alors pourquoi cela est-il un handicap ?
    Il y aurait, sous-entendu derrière ce handicap (volontairement ou involontairement) l’idée qu’il y a au moins deux manières de connaitre, permettant ainsi une progression.
    La première façon serait rationnelle, ou cartésienne, et la seconde serait sensitive. C’est-à-dire que le médiat habituel de notre raison qui s’interpose entre les choses, et notre connaissance, qu’est la raison, s’efface pour permettre une connaissance directe, immédiate.

    Admettons que cela soit possible. Alors je pose une question : est-il préférable d’aborder lentement une expérience que l’on comprend, ou de comprendre lentement l’expérience vécue ?
    Je ne pense pas que la compréhension puisse être immédiate, et je ne pense pas que l’expérience puisse être vécue pleinement sans compréhension. Sans compréhension, l’expérience vécue n’est pas en harmonie avec l’esprit, il y a interférences. On peut vivre des choses formidables, mais si on ne les intègre pas dans une cohérence mentale, ça part en vrille. Que cette compréhension intervienne avant ou après l’expérience ne change rien au début car chacun tâtonne. Mais après, celui qui comprend peu ajuster avec plus de pertinence et de de précision l’expérience qu’il choisit de vivre.

    Du coup, plus de handicap !!! Il n’y a que différentes façons d’aborder les choses avec chacune ses atouts, et ses inconvénients, et en plus on peut faire sans arrière-pensée selon ses affinités.

    Qu’en penses-tu ?
    Qu’en pensez-vous ?

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #32128
    Epicture
    Participant

    Merci mes amis pour ces messages : @lighteningbolto, en ce moment l’encre a à peine le temps de secher je vais d’expérience en experience; @pcommep, c’est bien ça, ca devient quasi permanent; Et @andraneros, pour moi le massage prostatique va bien au delà d’un plaisir sexuel. C’est un rapport au corps dans sa globalité qui a completement changé, beaucoup plus respectueux et qui integre non pas moins de relexion, mais plus de sensitif. Je ne savais pas au debut ce que je trouverais, mais les témoignages, au delà toujours du simple plaisir, ce qu’ ils mettaient en lumière me plaisait bien, sans trop savoir de quoi il s’agissait. En fait je pense que je n’osais pas trop y croire.

    En tous cas, Formidable debut de matinée !
    J’ai pour habitude de me lever tôt, ver 5h00, 5h30. Là je profite du calme, du silence, et de la quiétude pour prendre du temps pour moi. Je lis, j’écris, je médite et/ou je pratique le massage penien, ou prostatique avec ou sans aneros. J’ai devant moi, selon les jours, de 1h00 à 2h00 de solitude totale.
    Ce matin, j’ai pratiqué un peu de massage penien selon les techniques de Mantak Chia. J’ai decouvert une nouvelle phase, avec un seuil. Elle se situe bien en amont de l’éjaculation. Mantak Chia preconise de se tenir juste avant la sensation d’éjaculation, et de stopper le massage pour attendre que le processus d’ejaculation se soit apaisé. Bien que cette technique soit très puissante, c’est une torture de devoir s’arrêter et reprendre une activité normale. Personnellement j’ai beaucoup de difficulté a ne pas finir par une ejaculation relativement contenue, mais suivie tout de même d’une periode de retrait appaisante.

    Je suis à ce moment très éloigné du massage prostatique. Mais il existe une phase, en debut de massage, ou la prostate est connectée et réagi de façon delicieuse aux stimulations peniennes. Puis, l’excitation montant, le mouvement de massage s’accélère, le penis se durci. A ce moment, la prostate decroche. Mais les sensations procurées sont vraiment extraordinaires. Juste avant l’ejaculation, on peut stopper, attendre quelques secondes et reprendre calmement avec des sensations tout aussi orgasmiques. Mais on reste toujours entre un affaisssement du plaisir du à l’absence de stimulation, et le “risque” de l’ejaculation.
    Je reviens a ce moment ou l’excitation monte, avant l’accélération du massage, et avant que la prostate ne décroche. Ce matin je suis resté dans cette zone tranquillement avec des vagues de plaisirs remontant depuis tout mon bassin, jusque dans mon cerveau. Et puis je me suis arrêté. Je suis allé rejoindre ma femme qui somnolait. Nous nous sommes rapprochés comme tous les matins quasiment. Sans desir ni de l’un ni de l’autre de se projeter dans une relation sexuelle au sens “traditionnel” avec pénétration. Elle me carressait le ventre avec amour. A ce moment-là, je sentais une zone, située entre mon anus et mes testicules, zone qui correspond à la pénétration de mon penis à l’intérieur de mon corps, au bout duquel se trouve la prostate. C’est la partie interne du penis ou corps caverneux. J’avais la sensation d avoir un troisieme sexe que ma femme carressait en me carressant le bas du ventre. Il reagissait comme si j’étais une femme a qui l’on carresse le clitoris. Je le sentais se gonfler (sans etre en erection), et reclamer plus de carresse. J’eu alors des orgasmes a repetition : spasmes, contractions, tremblements, soupirs et vocalises étouffées, accompagnés de vagues de plaisir intense. Terrible.
    Ma femme trouva cela assez drôle et s’amusait à me faire fremir et décoller.
    Apres quelques minutes, mon corps s’est calmé et notre câlin à repris un cours plus “normal”. Elle n’etait pas demandeuse de plus, et moi non plus. Pourtant, je sentais et je sens encore cette zone ultra sensible, et siège de multiples sensations, comme prete à décoller à chaque instant. J’adore cet état plus ou moins latent d’excitation.
    J’avais l’impression d’être une femme aimant les femmes. Sans aucune envie ni de pénétrer ni d’être pénétrée.
    Bises à tous !

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #32082
    Epicture
    Participant

    D’après certains témoignages, il existe ce que l’on nomme un orgasme de la chaise. Aujourd’hui, je peux le confirmer.

    J’ai été, durant une bonne partie de la matinée, envahi par des vagues de plaisir sourdes, bloquées par la nécessité de rester concentré (au moins un peu) sur mon travail. Mais je laissais une part de moi-même disponible à ces flots incessants qui me baignaient comme une petite houle chaleureuse. Puis, par un concours de circonstances inhabituel, je me suis retrouvé seul à mon bureau. Je pu alors réduire ma concentration laborieuse, et augmenter ma disponibilité à ce flot langoureux qui m’envahit alors de façon intense et prolongée. Là, assis sur mon tabouret, les yeux fermés, le dos bien droit, les mains croisées et posées sur mon bureau, concentré sur mon existence corporelle, je fus happé dans un état de plaisir jamais connu auparavant.
    Cela dura une dizaine de minutes, mais j’étais de nouveau pris par les nécessités de l’existence, et je dus prendre ma voiture pour circuler. Les vibrations de la route, et du moteur diesel se transmettaient à mon anus. Il véhiculait des vagues de plaisir encore plus intenses. Mais je devais conduire et garder les yeux ouverts. Alors peu à peu, le flot se calma, pour revenir à ce niveau d’avant la “poussée”.
    Je n’avais rien à faire, juste me rendre disponible, présent à ces sensations. Plus ma présence était réelle, plus les sensations s’amplifiaient.
    Ma progression continue. Elle prend des chemins inattendus, et me surprend au détour d’un virage. Mon corps à compris qu’il devait exploiter les opportunités laissées par les turpitudes de la vie, les instants (rares) de solitude qui permettent à mon esprit d’entrer en communion avec lui. La seule chose que j’ai à faire, c’est débander mon arc, arc-bouté sur les principes et objectifs que ma situation sociale m’impose de viser.

    Bonne journée à tous !

    en réponse à : Dur dur pour une femme de faire sa place ici #32043
    Epicture
    Participant

    Non Matou8313, ne t’inquiète surtout pas. Justement je ne me sens pas visé.
    Mais que voulez vous combien existe-t-il sur le net de sites qui ne soit ni pornographique, ni un site de rencontre ou de drague, ni peuplé de vieux lubriques ? 1 seul. Celui-là. C’est pas evident d’être convaincu qu’ici une femme sera respectée pour ce qu’ elle désire, surtout quand on est une femme, et de trouver des conseils pour femmes qui la guide dans sa recherche d’un nouveaux plaisir.
    Sommes nous compétents ?
    Je disparais maintenant pour laisser s’exprimer Libellule78.
    Bises à tous

    en réponse à : De l'ombre à la lumière #32026
    Epicture
    Participant

    Tu me sembles être dans les meilleures dispositions pour progresser.
    N’oublie pas que l’helix n’est pas LA solution.
    Les masseur sont des sortes d’entraîneurs, qui aident à la stimulation, mais le travail, c’est toi qui le fait. Attention à ne pas se laisser abuser par l’action. L’action doit être dosée comme dans une grande recette de cuisine. Il faut un peu de sel mais pas trop, un peu de ci un peu de ça, mais pas trop, sinon l’excès écrase les autres sensations qui ont quelque chose à dire.
    Bon cheminement à toi, et profite de ce que tu parviens à obtenir !

    en réponse à : Dur dur pour une femme de faire sa place ici #32025
    Epicture
    Participant

    Tu as une façon de scinder les choses en deux, avec d’une part nous qui sommes centrés sur la prostate, et ceux qui ne peuvent pas ou ne le sont pas, qui indique un sentiment de stigmatisation, voire de discrimination.

    Personnellement je ne me sens pas concerné. Dans mes posts j’ai tenté à maintes reprises d’aborder des sujets assez divers qui ne sont pas centrés sur la prostate : l’électrostimulation, le rasage et l’épilation, l’usage de plugs, de cockrings, les tantra et le tao, Mantak Chia et ses techniques , la philosophie, et de clamer haut et fort que l’activité sexuelle pouvait ne pas se focaliser sur la prostate, la prostate, et toujours la prostate, mais constamment les réponses me ramènent vers elle, comme une brebis égarée. Aujourd’hui, j’en ai fait mon deuil, je parcours mon bonhomme de chemin, que je partage quelques fois sur mon fil de discussion, et qui parfois fait réagir quelques lecteurs.

    Ici mon premier post de présentation du mois de mars dernier :

    Il se dégage des forums une sorte de distinction entre ceux qui connaissent L’orgasme prostatique, et ceux qui ne le connaissent pas encore, avec pour tâche de découvrir le « GRAAL ». Je sais bien que cette distinction n’a aucune volonté de séparer une sorte de classe d’élites, et une classe de débutants, mais certains sont comme désemparés de voir leur cheminement stagner, ou avancer à une vitesse ne correspondant pas à leurs attentes. A ceux-là, je veux dire ne vous découragez pas !

    Et là la réponse d’andraneros :

    L’un des objectifs du site Nouveauxplaisirs, créé par Adam, est bien d’aider tous ceux qui le souhaitent à découvrir l’orgasme prostatique, je suis heureux de lire que vous avez commencé votre cheminement avec satisfaction.

    Faut-il s’en offusquer ? Ma présence ici depuis lors indique que je suis resté. Chacun est libre de dire et faire ce qui lui semble bon malgré les remarques, les réponses, et le sentiment que chacun finalement reste dans sa bulle, dans son univers mental. c’est pour cela qu’il est si difficile de trouver un ou une partenaire, car le plaisir finalement se vit dans son corps à soi, pas dans celui de l’autre. Cependant, il semble qu’il y ait une possibilité pour que des échanges soient possibles. Adam en a fait l’expérience, mais pas seulement, je pense que ce serait un sujet très intéressant à creuser. C’est déjà le cas un peu dans les sujets consacrés aux tantras.

    Ta prostate n’est pas le seul organe par lequel peut naitre un plaisir qui se transforme en orgasme. J’en fait l’expérience quotidiennement. Et je ne parle pas de super O. Je parle d’un état général ou le corps donne, spontanément des instants de plaisirs intenses. Je suis incapable de dire quelle est la responsabilité de la prostate la dedans. Mon cœur se met à vibrer, ma tête chauffe, et mon corps fourmille par endroits, mais je n’ai rien fait de particulier. Je suis juste dans cet état de disponibilité à ce qui peut arriver. Ca marche pas mal avec le visuel, avec la beauté de ce que je regarde, ou de ce que j’entends, la qualité d’un toucher, d’une caresse, bref ça passe par tout le corps.

    Bises à toi Matou8313

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #32017
    Epicture
    Participant

    Magnifique séance hier soir ! Quel plaisir de se laisser prendre, de se laisser porter. Les contractions involontaires se font plus significatives, et prennent le relais des minuscules contractions volontaires. Mon aneros Helix trident est affuté comme un outil de précision. Les vagues de plaisir désormais passent par devant et remontent dans ma poitrine. Avant c’était dans le dos, mais le dos est moins sollicité. Si bien que les spasmes, au lieu de me cambrer, me recroquevillent, ce qui ne tire plus sur mes cervicales. Je ne sais pas pourquoi le plaisir évolue, pourquoi il change de parcours dans mon corps, pourquoi il provoque tel spasme ou tel autre, ni pourquoi il décide de se manifester plus tel jour ou tel autre. C’est assez mystérieux et ça me va bien. J’apprends à lui faire confiance, à le laisser grandir. Il m’apprivoise peu à peu.

    J’ai fais une petite pause des pratiques enseignées par Mantak chia. Désormais, j’essaye de maintenir un rythme plus tranquille : 1 séance tous les deux jours environs avec masseur, et le reste du temps sans masseur. J’arrive à des résultats intéressants sans masseur aussi, parfois même plus qu’avec masseur. Mais je ne suis pas prêt encore à laisser le masseur au placard, j’ai encore beaucoup à découvrir. Les temps de repos sont bénéfiques, ils augmentent la sensibilité. C’est comme quand on utilise un vibreur ou un élétrostimulateur, au bout d’un moment, on sent plus rien. Quand on enchaine trop de séances, on ne sent plus rien. Il faut laisser la zone se reposer, et là c’est beaucoup plus puissant. Du coup ça peu être très frustrant, d’attendre, mais en même temps, c’est un dialogue avec mon corps, et mes sensations. Entre les séances, je ressens cette énergie qui circule tranquillement en moi, de bas en haut qui fait rougir mes tempes et mes oreilles, et haut en bas, en passant par le cœur, qui palpite. Bon bref, j’adore tout ça.

    Bises à tous et bon cheminement

    en réponse à : Dur dur pour une femme de faire sa place ici #32016
    Epicture
    Participant

    Ce que j’entends par populace ce n’est pas une catégorie de gens bien définis, c’est plutôt une attitude qui se laisse émerveiller par les belles promesses. Je suis moi-même fréquemment séduit par de belles promesses, et ne m’aperçoit bien souvent que trop tard que j’ai été berné. Il ne faut donc pas te sentir attaqué, je trouve ton propos tout à fait pertinent, mais que veux-tu, tu ne peux pas demander à quelqu’un qui se passionne pour l’équitation, d’avoir la même passion pour la course automobile, ou l’alpinisme. Bien que tout cela ne soit pas incompatible, ce ne sont pas les mêmes choses. La pratique du BDSM n’est pas la même chose que la pratique du massage prostatique, même si pour certains, l’un les a conduit à l’autre. Ce sont quand même des pratiques très différentes. Or, Je le rappelle, la première page du site affiche le traité d’aneros, pas un fouet, ou de la lingerie féminine. Il y a donc forcément une orientation particulière.
    Toi même, il y a certains sujets que tu n’abordes pas, ou n’enrichis pas, c’est assez normal.
    Cela dit, moi j’entends “la dictature du super O” plutôt comme la dictature des trucs supers : les gros musclés qui arrivent à faire plein de trucs supers, à avoir des orgasmes à la pelle, un peu comme ces acteurs de pornos qui bandes comme des ânes pendant des heures, et qui font jouir ces femmes avides de leur sexe tendu. Les jouisseurs prostatiques seraient ce genre d’homme qui enchainent les orgasmes,les super O et qui demandent à leur corps une fois leur cigarette allumée : “alors, heureux ?”
    Mais je vois que je me suis trompé, ce n’est pas ce que tu voulais dire. pardonne moi de t’avoir fait dire autre chose que ce que tu as écris.
    Bises quand même

    en réponse à : Dur dur pour une femme de faire sa place ici #32013
    Epicture
    Participant

    Bonjour @Matou8313, tu ecris :

    La dictature du Super O ….on peut être nombreux(ses) à le regretter , et là je vais m’attirer des remarques acerbes, ou un silence méprisant 

    Non, tu m’intéresses. Nous navons pas tout a fait les mêmes motivations, mais je suis assez daccord avec toi. Mais cela ne vient pas du super O. La perception que nous avons de la sexualité ou de ce qu’elle devrait être est imprégnée de désir, de culpabilité et de trasgression. L’homme qui ose, cest celui qui reussi a atteindre les sommets, nous dis la vindicte populaire. Cette notion de sommet, de reussite, de super O, d’état extatique, de puissance sexuelle ou energetique, etc… nous pollue l existence paisible d’un cheminement serein. Ce qui ne veut pas dire que ce cheminement ne nous élève pas, mais le sommet nest pas la fin.
    Certains le vivent cruellement : ils sont parvenus à ce que la populace nomme un sommet, mais ont comme un sentiment d’inachevé, alors que le peuple les regarde comme des héros.
    Nous sommes des enfants attirés par ce qui brille, et aveuglés. Nous ne voyons pas toutes ces petites choses qui sont les plus précieuses.
    Bises à toi et à tous

    en réponse à : De l'ombre à la lumière #31918
    Epicture
    Participant

    Le maximus trident est plus gros que l’helix. La forme de sa tête est plus ronde et plus charnue. En terme de taille il est assez similaire au progasm junior (de taille seulement). Avanrt je ne jurais que par le maximus, mais actuellement j’utilise surtout l’helix trident, sa tête est plus “chirurgicale”, elle vient pile poil là où il faut, bien qu’au début j’en était pas convaincu. Je n’aimais pas les anciennes versions avec ce bras qui dépassait et gênait la mobilité dès qu’on se mettait sur le dos. Avec les tridents, on peut se mettre dans n’importe quelle position, il n’entre pas trop en contact avec les draps ou le matelas. Avant donc, je souhaitai une sensation de remplissage. L’Helix me semblait trop petit. J’avais trouvé avec le Maximus un compromis idéal entre l’hélix et le progasm. Mais après avoir acquis une certaine agilité des sphincters, l’hélix trident me convient parfaitement.
    Dans le cadre d’un re-wiring, d’une recherche de sensations, je pense qu’il est utile d’avoir dans sa gamme de joujou 4 tailles de masseurs : Le péridise, l’helix (ou l’eupho ou le mgx) le maximus (ou le progasm junior) et le progasm (ou le device), en fonction de ses moyens bien sûr. Ça permet de faire varier les plaisirs, en fonction de ses désirs du moment. Par exemple en ce moment, je suis assez branché par une augmentation de volume, je vais peut-être refaire quelques sessions avec Maximus, pour voir ce que ça donne.
    Pour ceux qui veulent du remplissage il faut taper plus fort : G ride, ou les mix cockring avec boule type cobra, il m’ont donné quelques bouffées de chaleur ces deux-là.
    En complément et pour un cout modique, on peut se tourner vers des toys en verre de chez GLAASS ou ICYCLES. Le choix est immense, il y en a qui sont vraiment top pour pas trop cher. Je peux te donner quelques conseils si tu veux.
    Bref, comme Naomi, il faut tester, tester, tester, et tester encore. Rien ne vaut sa propre expérience.
    Bises

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #31894
    Epicture
    Participant

    Si je comprends tu subissais ces contractions musculaires dorsales assez brusques pour être parfois douloureuses avant de commencer à utiliser des masseurs prostatiques.

    Avant de d’utiliser des masseurs prostatiques, J’avais des spasmes musculaires abdominaux , et ils n’étaient pas douloureux. Peu après avoir commencé, Les spasmes se sont accentués,. Puis des contractions dorsales se sont ajoutés aux spasmes abdominaux. Ce ne sont pas les spasmes qui sont douloureux, mais la cambrure dorsale qu’ ils provoquent qui peut être trop importante pour mes vertèbres et en particulier cervicales. Ces spasmes et cambrures n’étaient pas nécessairement associées à des vagues de plaisir.

    J’ai considérablement réduit ces contractions en faisant attention à rester le plus profondément et le plus longtemps possible détendu quand je sentais le plaisir s’intensifier et devenir  » insupportable «

    Oui, c’est ce que je fais maintenant. Ma concentration est bien meilleure qu’ au début. C’est aussi parce que je ressens plus de choses, j’ai quelque chose sur quoi concentrer mon attention. Je focalise moins sur ce qu’il faut faire. Je maintiens une petite contraction, la plus petite possible, et j’écoute mon corps. Il me parle. Plus j’en fait, moins je l’entends. Mais je ne fais pas rien : j’en fais le moins possible. C’est difficile parce que la tentation d’agir, et de provoquer des contractions volontaires est très grande. Ces contractions volontaires peuvent être extrêmement jouissives, mais elle assourdissent l’écoute de mon corps. Et quand je parviens à l’écouter sur le long terme, le plaisir monte, monte… parfois, j’ai de violentes contractions qui sont contre productives. J’apprends à les accompagner pour qu’elles s’intègrent dans la progression du plaisir. Toute intervention autre que juste maintenir une petite contraction, entraine une stagnation de la progression du plaisir. C’est un équilibre subtil entre action minimale, désir ardent, écoute profonde de soi, et réponse corporelle allant crescendo. C’est un état très instable, et j’apprends à le maitriser peu à peu. De toute façon, je ne veux pas aller trop vite, je consolide mes progrès en appréciant chaque petite parcelle de plaisir.

    En outre cette attitude a permis une sorte de déblocage qui a eu deux effets :
    1) l’un d’ouvrir la voie à l’intensification de mon plaisir,
    2) l’autre d’élargir la zone perçue comme source de mon plaisir, me donnant l’impression charnelle d’être inondé de l’intérieur par le plaisir.

    Ton message vient conforter ma démarche.

    Enfin, en ce qui te concerne, le mot cheminement n’est pas un vain mot. En relisant tes messages plus anciens j’ai constaté que la tonalité de tes messages récents est bien différente de celle des premiers. C’est très réjouissant pour moi et j’espère très encourageant pour les débutants de lire : “Vous l’avez compris, déjà beaucoup de plaisir, et encore beaucoup à venir…”

    J’essaye d’encourager les débutants. C’est l’objectif de cette petite phrase. Mais je sens que cela est assez difficile, car chacun aborde cette pratique par le bout qui lui convient, et c’est tant mieux. Personnellement cela m’ennuie toujours un peu de voir un prostatonaute se décourager, il y a déjà tant à apprécier et à vivre avant de parvenir au super O. Mais je comprends que le désir puisse générer des attentes qui dépassent nos capacités à les satisfaire, et qu’on s’oriente vers des choses plus directement abordables. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je pratique en parallèle le méthode de Mantak Chia : Je deviens multi orgasmique, avec des sensations incroyables. Mais cela ne m’empêche pas de continuer à pratiquer le massage prostatique “hand free” avec ou sans aneros, et sans stimulation pénienne.

    Merci @andraneros pour ton post très instructif.

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #31879
    Epicture
    Participant

    Je consulte régulièrement un ostéopathe qui propose des séances en piscine. Cela est étrange au début, mais peu à peu ça devient un vrai moment de pratique corporelle : pendant que je me laisse aller dans une sorte de torpeur favorisée par la flottaison, et la température de l’eau, je suis manipulé dans tous les sens, selon une technique qui n’appartient qu’au praticien. Pourquoi je vous raconte ça ? Parce que sa conclusion de la dernière séance : votre périnée est bétonné, vous n’avez pas de problèmes de ce côté-ci. Par contre il y a un déséquilibre musculaire avec les jambes.
    Donc bien sûr, entre ma pratique assidue du massage prostatique, et les séances de Pilate, mon périnée, mon plancher pelvien, et mon transverse sont biens musclés. Je n’ai plus de problèmes de dos. L’ostéopathe est venu confirmer cette re-musculation de la zone.
    Je suis absolument convaincu que mes progrès en matière de sensations au massage prostatique sont directement liés à cette musculation. Elle permet en plus d’une maitrise des mouvements de mon plancher pelvien, de mon bassin, (sans risques de me blesser les vertèbres), une sensibilité nerveuse accrue…. Et des séances de plus en plus consistantes.
    Il me reste désormais à rééquilibrer avec les jambes car je sens que les jambes (comme le reste du corps) ont une importance capitale dans la diffusion du plaisir.
    Pourquoi il y a risque de se blesser les vertèbres ? Je suis l’objet parfois de spasmes violents qui provoque une cambrure brusque de ma colonne vertébrale. Il m’est déjà arrivé de ressentir à cette occasion, une douleur dans le dos, ce qui bien entendu ne favorise pas la poursuite de ma pratique. Il faut donc d’une part permettre au plaisir de se diffuser le long de la colonne sans provocation de spasme, et lorsque cela arrive malgré tout, d’avoir la musculature suffisante pour maitriser la cambrure, avec douceur, pour pouvoir continuer la séance tranquillement. C’est tout un art qui demande de l’entrainement.

    Vous l’avez compris, déjà beaucoup de plaisir, et encore beaucoup à venir…

    Bises à tous

    en réponse à : De l'ombre à la lumière #31860
    Epicture
    Participant

    Bienvenue Lightningbolton !
    Personnellement, je n’ai jamais eu aucune véritable contraction involontaire. Cependant j’ai acquis au fil du temps une capacité certaine à provoquer la montée de vagues de plaisir intense.
    Je te souhaite plein de plaisirs. Tu semble bien parti !

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #31768
    Epicture
    Participant

    Bonjour à tous !

    J’ai eu ces 4 derniers jours des difficultés à me connecter via mon appareil mobile. C’est pourquoi je vous prie d’excuser ma faible réactivité à tous vos posts très intéressants

    Julie Armandine :

    Ton intervention me fait plaisir.
    J’ai ouvert par ailleurs un fil de discussion “prostate et philosophie”, mais il ne semble pas attirer les foules. Cependant, les forums en sont imprégné… de philosophie. Car la pratique du massage prostatique ne peut pas ne pas engager un processus de réflexion sur soi-même, l’existence et la vitalité de ce forum en sont la preuve. Si le contenu n’était que technique, on finirai par tourner en rond, mais il se renouvèle constamment, car le contenu va bien au-delà de la simple technicité d’une pratique. Pour faire simple, je pense qu’il s’agit de donner à sa sexualité la place qu’elle mérite. Quand cette démarche est engagée, on entre profondément en soi-même, que ce soit spirituellement ou corporellement. l’un ne va pas sans l’autre.

    Tu dis par exemple

    je crains fort qu’elle ne soit interminable

    comme si c’était pénible, et à craindre, et tu poursuis en disant :

    ma vie est ma quête, ! Instable, déséquilibrée, mais jamais ennuyeuse

    ce qui en revanche respire la joie et la confiance.

    Les discussions que j’ai avec @bzo, écrites dans le but de partager avec tous, sont le reflet de ces paradoxes. @bzo ne m’engage pas à suivre sa voie, ni moi l’invite à suivre la mienne. Notre discussion permet de mettre en lumière un fait qui semble simple, voire idiot mais qui pourtant est capital : nous n’allons nulle part, et pourtant nous cheminons. Nous arrivons tous à la même conclusion, mais par des chemins différents. nous vivons tous les choses de manière différentes, mais nous parlons tous de la même chose. Il n’est pas nécessaire que nous soyons d’accord, bien au contraire, cela stimule notre réflexion et notre cheminement.


    @bzo
    tu dis :

    je ne sais pas pour toi
    mais ce plaisir, ces sensations qui dès le premier instant , sont ressentis dans tout le corps,

    Non, pour moi ces sensations ne sont pas ressenties dans tout le corps dés le premier instant.
    Il monte par degrés, par paliers. Parfois il ne monte pas du tout. Il n’y a pas de vibration particulière. Mais le fait de me recentrer sur moi même, d’être présent à moi même, de me ressentir comme vivant, me fait énormément de bien.
    Cela ne pourrait être que cela : me sentir vivant, me sentir respirer, sentir les battements de mon cœur et sentir dans certains de mes membres, mes doigts, mes tempes, et parfois mais pas toujours, mon anus ou mon coccyx, la pulsation du sang qui circule en moi.
    Le cheminement prostatique m’a conduit à apprécier ces instants qui sont en quelque sorte un état préparatoire ou intermédiaire avant le plaisir prostatique (ou pas), cela semble se rapprocher d’un état auto-hypnotique. Pour moi c’est déjà énorme.
    Bien sûr le plaisir prostatique, ou du moins les plaisirs que j’ai déjà ressentis sont assez différents de ce que je connaissais avant. Ma sexualité bien que assez solitaire s’est complètement renouvelée.
    Mais comme je le martèle depuis le début, ça va bien au delà du plaisir sexuel.

    je crains fort qu’elle ne soit interminable.

    Julie Armandine, pour moi, ce n’est pas une crainte…

    Cela vient compléter ton dernier post cher @andraneros, tu m’as devancé, et nous sommes d’accord.

    Bises à tous

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #31750
    Epicture
    Participant

    Bonjour @bzo, tu dis :

    c’est bien que tu fasses contre mauvaise fortune bon coeur,

    Justement, je ne fais pas mauvaise fortune, bien au contraire,

    même les jours où je suis moins en forme, mes séances m’apportent beaucoup de satisfaction,
    suffisamment pour m’estimer heureux, comblé, après chaque séance,

    C’est exactement ça!

    Bise à toi @bzo

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #31748
    Epicture
    Participant

    Il ne s’est rien passé de particulier. Je temoigne simplement de la variabilité de mon etat que je considère comme un bienfait. Je ne vise pas la “topitude” permanente. Cet etat d’esprit est pour moi contre productif.

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #31743
    Epicture
    Participant

    Bonjour à tous

    Nous autres hommes devons être comme les femmes, soumis à des variations lunaires. Le désir, ou la réceptivité de nos cellules au plaisir ou à la jouissance présentent une grande variabilité. Notre conditionnement culturel nous engage à être toujours au top de nos capacités. Alors quand on est au flop, on pense qu’on est nul, ou pas fait pour ça. C’est bien dommage.
    Personnellement je profite des creux pour consolider mes acquis. Désormais, quand je retombe au creux de la houle, et de la vague, je traque le résidu de sensibilité. Car je sais que c’est de lui que tout repartira. J’entends déjà les apôtre du lâcher prise : il ne faut pas se prendre la tête, il faut se laisser aller ! OUI OUI, lâchez moi un peu avec ça, justement.
    Je ne m’habille pas en treillis couverts de feuilles de camouflage, avec mon fusil d’assaut pour traquer une bête sauvage, la piéger, et l’abattre comme un chien, pour pouvoir lui couper la tête, l’empailler et l’accrocher au-dessus de mon lit !
    Je suis plutôt un pisteur qui décrypte le moindre signe laissé par mon corps, qui puisse me guider et m’emmener, telle une onde sensuelle, dans les profondeurs de mon être.
    Donc je profite, de cette faiblesse du désir, pour identifier ce qui reste. Il ne reste pas rien. Le désir fait du bruit et nous transporte comme fusée assourdissante. La faiblesse du désir fait silence. Ce silence permet d’être à l’écoute. On se rapproche plus ici d’une pratique méditative qui profite du silence, pour écouter les petites pulsations qui s’expriment comme des petits gazouillis joyeux.
    Cette pratique me permet de consolider, pour repartir de plus belle quand la pression du désir me propulse.

    Bises à vous tous et bons cheminements !!

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #31627
    Epicture
    Participant

    Ce n’est pas cela qui m’effraie. Ce n’est pas mon moi conscient qui est effrayé.
    Un jour j’ai fait l’expérience de sauter d’un avion accroché à une sangle qui devait déclencher automatiquement l’ouverture de mon parachute.
    Je me souviens parfaitement avoir perdu connaissance pendant un laps de temps assez court, mais qui m’avait parru hors du temps.
    Pour sauter, javais du faire abstraction de moi-même, ce qui m’avait rendu absent à moi-même.
    Je suis un peu aujourd’hui dans la même situation : je saute, cela ne me fait pas peur, mais quelque chose me ramène très rapidement. Il subsiste une crainte, une inquietude que je ne parviens pas à éliminer. Du moins pour l’instant. Mais je crois que ce qui m’aspire n’est pas encore assez fort. Je travaille à le renforcer, et il progresse jour apres jour.
    Je reduis ma pratique du massage penien au profit du massage prostatique, et mes sensations sont decuplees. Mon moteur démarre avec une facilité étonnante !

    Bonne nuit @bzo

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #31621
    Epicture
    Participant

    tu n’as pas à essayer de garder l’équilibre,
    tu as juste à tout lâcher sans réserve, à tout laisser se desceller

    Je m’y emploie !

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #31617
    Epicture
    Participant

    toi tu appelles cela la vie,
    moi, j’appelle cela le féminin en moi,
    mais les forces vives de la vie, les forces les plus secrètes en nous, en toute chose vivante,
    sont peut-être juste féminines

    quoi qu’il en soit, cela se libère et c’est tellement bon à ressentir,
    c’est comme si des vannes s’ouvraient, des digues s’évanouissaient,
    libérant de flots de volupté, de sensualité, libérant mon corps, libérant mes mouvements, mes gestes,
    c’est une danse tellement sensuelle en moi, une danse de vie,

    Voilà @bzo !! Tu resumes ici brillamment l’essence de ma quête !

    La notion de féminin ou de vie, peuvent a un certain moment jouer un role moteur, car rassurant pour notre esprit, mais ensuite, ils sont autant de mots qui agissent comme des digues devant le flux, la vague, qui nous ubmerge. Accepter d’être submergé, va a l’encontre de la nature même de l’esprit. C’est donc un travail de funambule pour être submergé sans perdre l’équilibre. Toute la difficulté est là.

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #31605
    Epicture
    Participant

    Tu ecris sur le post de @envole :

    un phénomène de libération est en cours, je ne sais pas jusqu’où cela va me mener mais c’est en cours**

    D’apres ce que j’ai compris de Spinoza, la liberté, la vraie, s’obtient par l’acceptation pleine et entière de ce pour quoi nous avons été programmé par la nature, ce qui pour beaucoup est une enorme contradiction. Mais cette acceptation passe par la compréhension de cette “programmation” qu’ il nomme connaissance du troisieme genre. Je me retrouve bien dans cette préoccupation.

    Se laisser emporter par le courant du fleuve, ressemble assez je trouve a cette conception philosophique.

    Et le tantrisme dont le credo est la reconnaissance de ce qui est, aussi.

    D’ailleurs François Julien fait de Spinoza, une sorte de passerelle entre la philosophie occidentale et la philosophie orientale.

    Bonne reflexion !!

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #31604
    Epicture
    Participant

    j’ai repensé tout à l’heure en terminant une petite séance au lit
    à la phrase du philosophe de l’Antiquité, Heraclite
    -on ne peut pas entrer deux fois dans le même fleuve

    Alors là, ça me fait plaisir que tu fasses référence à la philosophie pour decrire ce que tu ressens !

    Il y a dans la philosophie, qu’elle soit occidentale ou orientale une multitude de references possibles. Cependant, les orientaux font plus facilement références aux pratiques corporelles. Ils ont comme les grecs en leur temps, une approche cosmologique. Le but etant de se mettre en harmonie avec un monde, une force, une energie, qui nous depassent. Heraclite ne deroge pas a cette règle. C’est un pré – Socratique. Certains pensent que les ioniens, c’est à dire ceux qui vivaient sur le bord Turque de la mer egee on eu de nombreux contacts avec l’extrême orient et quils ont été influencés. Ainsi, la naissance de la philosophie, soit le questionnement sur la place de l’homme dans le monde, prendrait racine quelque part en Inde. Elle auraient suivie des voies différentes, tant en europe avec socrate, quen asie avec le tantrisme, et plus tard le boudhisme et le confucianisme !

    J’adore comprendre comment l’homme est parvenu à devenir ce qu’il est. Cela passe par une pensée qui a pris de multiples formes, avec ou non des liens multiples. C’est passionnant.
    Bises à toi @bzo

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #31593
    Epicture
    Participant

    @bzo tu occultes une partie de mes explications.

    Je ne crois pas que l’accès au plaisir prostatique soit une question d’action ou de non action pendant l’action. Ce n’est pas non plus une question de volonté qui serait pure ou impure, d’un lâcher prise qui serait véritable ou pas véritable, d’une non attente qui n’en serait pas une, etc.. Toutes considérations sur lesquelles certains buttent désespérément, et que d’autre traversent allègrement.
    Je ne les balaye pas d’un revers de main car elles ont leur importance, mais elles viennent dans un second temps. Dans un premier temps, il faut avoir renoué des connexions physiologiques, nerveuses, musculaires. Et pour atteindre cet objectif, il faut s’entrainer, pratiquer, comme tout musicien, tout sportif, tout pratiquant d’une activité exigeante.

    Pourquoi certains y arrivent plus facilement que d’autres ? Simplement parce que ceux-là ont développé, de par leurs activités ces connexions nerveuses et musculaires, par “hasard”. Les hommes ne sont pas égaux, certains ont plus de facilité que d’autres, mais cela n’a rien à voir avec le mental, du moins dans un premier temps. Si mentalement on éprouve une culpabilité, ou une retenue à prendre plaisir avec son anus, ou autre chose que son pénis, ça va être plus difficile de se mettre à l’entrainement.
    Mais l’entrainement, la pratique, fini à la longue par générer des connexions nerveuses qui sont le chemin par lequel va circuler le plaisir, la vibration, dans tout le corps. Lorsque le plaisir se répand : exit !!! toutes les considérations citées plus haut, elles disparaissent comme par enchantement.

    L’insertion quotidienne d’un masseur peux vite devenir pénible, et contre-productive, alors on doute, on cherche, on s’impatiente. La patience et la persévérance, sont pour moi les plus importantes qualités à avoir. Après il faut savoir profiter de ce qui se présente aussi infime soit-il. Puis peu à peu, ces petites choses grandissent, et s’imposent, comme prioritaires. Alors on bascule comme dit @Andraneros en mode orgasmique. Mais ce chemin a toujours été pour moi extrêmement progressif. Ce qui le rend difficile, c’est qu’on a très souvent l’impression de régresser, mais ce n’est qu’une impression générée et amplifiée par notre éducation qui rejette l’échec comme une faute culpabilisante. Il faut continuer à pratiquer pour nourrir les connexions nerveuses qui de cette façon continuent à se développer très progressivement.

    Dernière chose qui me semble importante : cette pratique doit être intégrée à l’équilibre de sa vie quotidienne, familiale et professionnelle. Elle doit prendre sa place gentiment, progressivement, en équilibre avec son environnement, et suivre les mouvements de l’environnement. Heureusement la grande progressivité de l’évolution du plaisir permet de prendre son temps.

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #31577
    Epicture
    Participant

    Je te remercie @bzo pour tes conseils. Je sais que tu souhaites ardemment et sincèrement que je parvienne à vivre des choses intenses et belles. Mais l’analyse de la technique, le décorticage des sensations, le tissage mental de ma pratique, appelle le comme tu veux, fait partie intégrante de mon cheminement. Je ne peux pas faire autrement, je ne sais pas, et je ne le souhaite pas. J’ai BESOIN de comprendre ce qui se passe. Que ce soit en moi, ou autour de moi. Faire autrement, c’est aller contre ma nature profonde, et ça ne me convient pas du tout. Cela ne signifie pas que je ne sais pas “lâcher prise”, mais pour cela, j’ai besoin d’être en confiance avec moi-même. Et pour être en confiance avec moi-même j’ai besoin de comprendre. Ce travail d’analyse, je ne le fais pas nécessairement en LIVE, pendant que je pratique, ce sont des analyses après coup. Je sais bien que l’envahissement du mental pendant la pratique est contre-productive, d’autant plus que lorsque le plaisir m’étreint, je ne désire plus rien, je me laisse aller. Ca ne prend pas encore la forme extatique que tu décris parfois, mais j’ai confiance. Quand je vois le chemin parcouru, je n’ai aucune inquiétude, ni aucun regret, je profite déjà de ce qui m’est permis d’expérimenter.

    Bonne journée à Toi @bzo

    en réponse à : Des conseils svp #31576
    Epicture
    Participant

    Bonjour @aros

    N’éprouves tu pas un certain plaisir dans le fait même d’insérer un masseur. Le glissement du masseur sur les parois de ton anus , avant même d’être totalement inséré, ne provoque-t-il pas un peu de sensations ?
    N’y a-t-il pas quelque chose d’autre que juste la curiosité attisée par tes lectures, qui t’a conduit à acheter ce matériel ?
    Moi il fallait une quinzaine de jours pour commencer à ressentir une certaine pression du désir. D’autres parlent de 1 mois, voire plus. Patience, Patience…
    j’ai lu un texte érotique sur le forum (de Adam je crois) où le personnage raconte sa soumission à une femme qui le fait languir. C’est assez puissant comme histoire je te la conseille.

    Ne t’arrête pas @aros, et explore, ne perd pas espoir de découvrir de nouveaux horizons

    Le traité d’aneros n’est pas la seule voie possible il y en a une multitude

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #31563
    Epicture
    Participant

    Tu sembles définitivement passer de l’orgasme localisé, plutôt bref, clos par l’éjaculation et associé à la stimulation du pénis à la jouissance profonde de tout le corps, qui se prolonge, se renouvelle et te fait peu à peu basculer dans un état proprement orgasmique.

    Oui en effet @andraneros, il y a propagation des sensations à tout le corps. Ce phénomène que je ressentais assez brièvement avant, se prolonge et se renouvelle. Mais mon corps ne prend pas le contrôle, ou disons que je ne me sens pas véritablement partir dans une forme d’état de conscience différent, même si parfois je ferme les yeux, et me sens sur un petit nuage. Ma gestuelle est totalement sous contrôle, et j’ai toujours pleine conscience de ce que je fais de ce que je vis et du temps que j’y passe. Il n’y a aucun regret là dedans, mais je ne me retrouve pas (encore) dans certaines descriptions d’expériences vécues par quelques uns de nos chers prostatonautes du forum.

    sans rien donc, pas de masseur, juste les muscles autour de l’anus, du périnée,
    tu les contractes, mouvement lascif, avoir la sensation d’un mouvement de pénétration,
    essaie, chez moi c’est mon moteur principal,
    ma petite pile atomique d’amour

    Oui @bzo, cette piste je la pratique très régulièrement. C’est une sorte d’entrainement musculaire que je fais depuis déjà 3 ou 4 mois. J’ai acquis une capacité à dissocier certaines parties de mon anatomie. Je dois cela aussi à @nydor qui m’a conseillé sur ce point. Au début, je contractais l’anus sans parvenir à le différencier des autres muscles, puis j’ai appris à contracter l’arrière de l’anus, et le devant de l’anus, puis le périnée, en faisant des contractions alternées dans un sens, puis dans l’autre. Avec Mantak Chia, j’ai appris à contracter le muscle qui fait remonter les testicules vers le haut, c’est également celui du “stop pipi”. Je dois parvenir au passage d’un seuil en la matière, car mes contractions deviennent effectivement moteur dans le développement du plaisir. Je sens également la possibilité de plus en plus de contracter un muscle qui doit se trouver tout à fait à l’intérieur et dont l’effet s’apparente plus ou moins distinctement à une pénétration, mais pas anale, c’est différent. J’avais ressenti ça une fois il y a un mois ou deux, mais je n’avais pas encore réussi à le reproduire.

    Bref, tout ça se met en place, peu à peu. Ça prend du temps. Peut-être que je prends des chemins de traverse, mais mon corps n’a pas trouvé la ligne droite. Cela n’a de toute façon pas beaucoup d’importance, car je traverse de beaux paysages… avec de belles vallées orgasmiques, et de beaux pics éjaculatoires. Ce matin j’en ai vécu un que je ne savais pas possible. J’ai bien cru que mon cerveau allait se décrocher de ma tête. Mais ce n’est pas ce que je vise. Je vise plutôt des voyages orgasmiques au long court, parcourant les sinuosités du plaisir et de la jouissance, pas les sommets.

    Bon cheminement à vous tous

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #31548
    Epicture
    Participant

    Bonjour à tous !

    j’introduis peu à peu dans ma pratique du massage pénien enseigné par Mantak Chia, des stimulations non péniennes. j’utilise le terme de massages péniens parce que le terme masturbation est trop connoté comme une activité rapide, palliative, et à but éjaculatoire. Le massage pénien, c’est tout autre chose. C’est pour moi maintenant de plus en plus clairement une voie d’accès au plaisir prostatique.

    Donc, j’introduis d’autre formes de stimulation :
    – les tétons, ont une sensibilité telle que leur “rewiring” conduit directement à des réactions prostatiques
    – L’introduction de masseurs prostatiques bien sûr, mais pas trop gros
    – l’intérieur des cuisse est un puissant stimulant, et le jeu d’ouverture et de fermeture des cuisses
    – L’usage des doigts, et des ongles, permettent de mettre tous le corps en éveil
    – J’utilise également régulièrement un cockring, qui enserre mon pénis et mes testicules, cela crée une légère pression à la base de la verge, et sur le périnée qui forme une sorte d’accélérateur orgasmique.

    Le masseur, sous le jeu du mouvement de mes cuisses qui s’ouvrent et se ferment et des mouvements du bassin qui bascule d’avant en arrière, bouge à l’intérieur de mon rectum de façon jubilatoire. Le fourmillement ressenti au niveau de la prostate, s’associe à l’onde orgasmique provoquée par le massage pénien, et remonte jusque dans mon cerveau, redescend dans mon visage sous forme de chaleur, mon dos se met à suinter, mon front s’humidifie, je sens la sueur couler à la naissance de mon sillon fessier, et les vagues s’enchainent, mon cœur perd les pédales se met à battre de façon hiératique, je sens mes muscles pectoraux vibrer, et ma bouche s’ouvre pour que sorte le son de ma jouissance, mais je dois le retenir car je ne suis pas seul.
    A mesure que ma pratique progresse, le massage pénien se fait moins intense et laisse place aux autres sources de plaisir, qui grandissent peu à peu. Naissent alors de nouvelles sensations, dont je perçois, au milieu des vagues vibratoires de plaisir le potentiel immense.

    Je me focalise de moins en moins sur le fait d’éjaculer ou pas, ça devient naturel. Quand la pression devient trop forte, je passe en mode massage prostatique, ouverture fermeture des jambes, bascule du bassin, puis j’y reviens, puis j’arrête pour faire un tour sur les tétons, ou l’entrecuisse, c’est un voyage délicieux, dans la vallée orgasmique, je circule entre les pics éjaculatoires.
    Parfois je suis propulsé vers une éjaculation, de façon involontaire, alors j’arrête toute stimulation, je laisse faire, je profite sans rien faire. De cette façon l’éjaculation se fait moins abondante, et je perds moins d’énergie. Cela me permet de reconstituer plus rapidement mon énergie sexuelle, indispensable à la pratique, que j’apprécie de plus en plus.

    Bises à tous et bon cheminement !

    en réponse à : Des conseils svp #31529
    Epicture
    Participant

    Bonjour @Aros

    Je pense comme CH313 que la position de la prostate n’a aucune importance. Si toutefois il devait y avoir des prostates plus hautes ou plus basses, les masseurs prostatiques permettent tous de la masser. Je pensais moi aussi que ma prostate était plus haute que la “normale”. Je suis passé par le progasm, le device, le G RIDE, et des masseurs avec électro-stimulation. Ils ont probablement contribué à ma re-sensibilisation. Aujourd’hui j’utilise préférentiellement un péridise, qui est le plus petit des aneros, et qui en plus n’est pas un masseur prostatique, et pourtant quel délice.

    Il est tout à fait possible que ta prostate soit très peu sensible du fait d’une très faible connexion nerveuse à la dimension plaisir de ton cerveau. Mais, et c’est là la bonne nouvelle : ce n’est pas irréversible. Je n’ai pas de sources scientifiques, ou littéraire, pour venir accréditer ce que j’affirme, seule mon expérience me le permet : Il est possible de recréer des connexions nerveuses entre la zone du bassin et le cerveau. Avec le temps et l’entrainement, ces connexions se ressentent plus facilement, plus fortement, plus nettement. Ce n’est absolument pas pour moi un phénomène brutal, comme si d’un seul coup le nirvana s’ouvrait à moi. C’est extrêmement progressif. Et il est vrai, que l’on doute régulièrement des progrès effectués, mais qui sont pourtant bien réels.

    Je n’aime pas l’expression “ne rien attendre”, parce que bien sûr qu’on attend quelque chose. Comment ne rien attendre, c’est un non-sens : on se projette forcément dans une représentation de ce que l’on voudrait vivre, sinon, on ne tenterait pas l’expérience. En fait le problème vient de l’idée de ce que l’on attend. On s’en fait une idée fausse. Ce qui arrive en réalité est complétement différent de ce que l’on attend. Et comme on guette quelque chose d’autre, ce qui arrive vraiment, on ne le voit pas. Il faut donc s’attendre à des choses que l’on ne connait pas, et dont on ne sait absolument pas si c’est de cela qu’il s’agit ou pas. Pour les reconnaitre, il faut pratiquer, pratiquer, pratiquer… Nous autres hommes avons été conditionné à faire valoir notre puissance, et bien sûr l’on attend reconnaissance et gratitude pour cette démonstration de puissance. Engager une session de massage prostatique en cherchant dans les cas extrêmes à faire gonfler sa prostate comme si c’était un pénis en érection, jouir, et en être satisfait, c’est totalement à côté de ce qu’est le massage prostatique.

    je n’aime pas non plus l’expression “lâcher prise”, parce qu’elle est contre-productive. Lâcher prise demande de ne pas y penser. Du coup, peu importe. Laissons aller quoi qu’il arrive, même si on s’accroche à quelque chose. Seule la pratique régulière permettra de dédramatiser les séances, de les rendre plus naturelles, presque évidentes, même si cela n’est qu’un instant de détente, un instant pour soi, c’est déjà énorme. Nous sommes tellement sollicités par notre environnement pour être au taquet, tout le temps, que pouvoir se permettre de se retrouver seul, avec soi-même c’est déjà énorme, profitons-en ! Moi en effet j’ai porté des masseurs la nuit (encore aujourd’hui d’ailleurs), et le plus souvent je n’ai rien ressenti de particulier. Et puis, dans la journée, alors que j’étais au travail, sans rien dans le derrière, je sentais qu’il se passait des choses en moi, sans avoir aucun contrôle dessus, juste une attention à cette chose, que je savais reliée à ma prostate.

    Je ne rejette absolument pas une pratique à deux, bien au contraire, mais je manque d’expérience en la matière, et tout ce que je pourrais en dire ne serait que des élucubrations. Cependant, pour moi, l’un n’empêche pas l’autre : Une pratique à deux ne peut remplacer une pratique solitaire, et vice versa. Cela dit, si cette voie (pratique à deux) est pour toi celle qui éveillera ta prostate, alors il n’y a pas à hésiter, ta pratique solitaire saura en bénéficier.

    Bon cheminement à toi @aros

    en réponse à : Des conseils svp #31436
    Epicture
    Participant

    Bonjour @aros

    Je viens apporter ma pierre à l’édifice de ces conseils, sur la base de mon expérience personnelle.

    Ce que te dit CH313 est très intéressant, Le fait de se dire que l’on a pas de prostate, de se vivre femme, d’être femme, cela permet de se libérer de la pression d’avoir “quelque chose” et de le faire valoir. Faire valoir qu’on a quelque chose n’est pas nécessairement destiné aux autres. Le premier autre c’est nous-même, auquel nous nous adressons, et à qui nous rendons des comptes. Faire de cet autre non plus une instance juridique qui proclame des sentences, mais un ami qui renonce à faire de soi un superman, ou un super n’importe quoi, c’est déjà un premier pas. Cela a pour moi été l’occasion de laisser s’éveiller quelque chose que n’importe quel texte, n’importe quelle description, aussi précise soit-elle, aussi lyrique soit-elle, aussi belle soit-elle, ne pourra décrire tellement c’est une sensation personnelle.
    Ca, c’est pour la partie philosophique. Pour ce qui est de l’aspect pratique, concret, il me semble important de faire une sorte de diagnostic. Quel est ton environnement de pratique ? Disposes tu d’espace et de temps pour te retrouver totalement seul, avec la possibilité de te concentrer sur ce que tu désires, en situation de solitude. Peux -tu te mettre en situation qui correspond à celle d’une méditation ? Il faut pouvoir être complétement débarrassé de toute source de dérangement, ou d’inquiétude. Il faut pouvoir se consacrer à 100% à ce moment. Et contrairement à ce qu’on pourrait penser de prime abord, pour certains, c’est loin d’être évident.
    Enfin et j’en resterait là pour le moment, il faut être en situation de désir. Si tu as une vie sexuelle qui éteint, à grand coup de jet d’eau, le désir qui brule en toi, ça va être compliqué de ressentir quelque chose. Je ne dis pas impossible, mais très compliqué. L’abstinence éjaculatoire, a été pour moi un passage obligé, et le reste encore. Ne pas éjaculer pendant quelques jours permet de faire grandir le désir, et augmente le taux de réponse de ma prostate aux diverses sollicitations auxquelles je la soumet. Moi je ne regarde pas de vidéos c’est pas bon pour la concentration, je préfère les photos. Au plus elle sont suggestives, c’est-à-dire pas trop explicites dans ce qu’elles montrent (un peu comme celles du blog d’adam), au plus cela stimule mon imagination, au plus cela me détourne de vouloir ressentir quelque chose de la prostate, au plus je ferme les yeux, et me laisse partir gentiment dans les bras de mon désir et de mon plaisir. Je me caresse, de façon totalement aléatoire sans m’interdire aucune parties de mon corps (je dis bien aucune, à condition de ne pas éjaculer), je me dandine ce qui fait bouger le masseur à l’intérieur sans chercher à faire des contractions, j’ouvre et je ferme les jambes, je me lève, je me rallonge, ou m’assois, je bouge “comme une liane lascive” pour reprendre l’expression de @bzo. Avant de souhaiter un super orgasme ou je ne sais quoi, je profite de ces moments qui sont délicieux. Le reste viendra en son temps.

    Je rappelle juste ce que tu disais sur ton premier message : “la “seule chose”, c’est que je ressens comme des fourmis vers la prostate, quand je suis assis en journée. Rien d’autre”

    Tout commence là !

    Je te souhaite un bon cheminement @aros

    en réponse à : Sexualité transgenre #31295
    Epicture
    Participant

    Pour certaines personnes qui se sentent de genre neutre, ou sans genre, le plaisir sera du plaisir, et rien d’autre, sans question de genre. Pour d’autres qui se sentent un peu masculin.e et beaucoup féminin.e, ou l’inverse, le plaisir pourra être vécu sur l’un ou l’autre pôle…

    Comme ça, plus besoin de se prendre la tête, on fait comme on veut.

    Bon j’arrête là toutes ces considérations !!! En ce moment je vis beaucoup mon plaisir dans l’intestin, c’est assez incroyable, comme une vibration qui me prend dans tout le ventre…C’est génial

    Dans l’intestin ?! C’est assez haut dans le ventre non ? Je me demande bien comment tu fais ?

    Bon cheminement a toi, Naomi

30 sujets de 121 à 150 (sur un total de 373)