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bzoParticipant
La première est d’appliquer un point de pression, du bout de mon index ou de mon majeur, à la jonction du mont de Vénus et de la base de mon pénis, sans le toucher. Ce point de pression, parfois avec quelques petits mouvements circulaires, me fait décoller illico. Peut-être cette zone est-elle particulièrement innervée. Je ne sais pas. En tout cas, une belle sensation de titiller mon clito.
hé hé , je connais bien aussi,je fais cela de temps à autre,
c’est en effet très puissantTout se passe à l’intérieur, derrière, au fond… Mon bassin ondule, je me cambre de plus en plus, de ma main libre je caresse mes seins, ma bouche, mes cheveux… Mon corps entier entre en vibration, ma peau jouit
là aussi, je me reconnais tellement dans cette description
Dans ces moments-là, comme lors de mes séances sans mes mains, je suis complètement femme. Je ne souhaite qu’être prise, pénétrée. Je ne veux qu’être offerte à mon amant, m’ouvrir à lui ou le chevaucher, le faire jouir comme il me fait jouir.
cela , je le vis aussi, totalement, à 100%,
à la différence, que je me sens aussi en même temps, l’amant,
celui qui pénètre,
celui qui fait les va et vient avec son braquemartc’est pour cela que je parle de plaisir androgyne dans mon cas
car je me sens à 100% en même temps les deuxen fait les deux sont tellement proches,
il est si aisé de passer du masculin au féminin instantanément,
ce sont les mêmes sensations
pour employer une image: à l’un des bouts, c’est du masculin
et puis le reste , c’est féminin,
c’est comme cela que je le viset c’est ainsi, je crois,
que cela m’apporte désormais cette sensation de plénitude, d’épanouissement, sans égale,
tellement délicieuse, tellement riche,
sensation d’être unifié en moi-même,
en vivant le spectre complet de la sensation,
du masculin jusqu’au féminin, la consommant, la consumant, dans son entièretéet puis je suis tellement rassasié jour après jour avec ma pratique
qui est ma unique source d’ébats sexuels depuis des années,
jamais je ne me masturbe, en ressens le besoin,
n’ai plus éjaculé depuis plus d’un an et n’en sens pas le besoinEt une transition vers mon vrai sexe, à mon âge, me semble pour l’instant bien compliquée et bouleversante dans beaucoup de domaines. Je me renseigne pour l’instant. Je lis beaucoup. Je n’ai pas encore rencontré de personne trans. Mais c’est un projet.
ce n’est de toute façon pas quelque chose qui doit se décider à la légère,
il faut prendre son temps,
soupeser tous les aspects,
tenir compte aussi du fait que dans l’enthousiasme de vivre certaines choses dans son corps
qui paraissent appartenir à l’autre sexe,
je sais aussi de quoi je parle là car je les vis aussi, tout autant que toi,
on est tenté de tirer certaines conclusionsje crois qu’il faut vraiment mener une réflexion et une introspection avancées, scrupuleuses,
en ne laissant rien au hasard,
en donnant le temps au temps
avant de prendre des décisionsje pense par exemple à @envole qui est venu ici quelques mois
et qui dans un premier temps, évoquait aussi la possibilité d’effectuer sa transition
avant de se rendre compte qu’en fait, il avait fait fausse route,
que ce n’était quand même pas sa voie20 janvier 2020 à 7 h 49 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36029bzoParticipantse laisser bouger, se laisser manipuler,
implique aussi d’accepter pleinement les temps morts, les moments creux
où le corps semblent se chercher, où le corps semble se faire paresseux,
où le corps semble comme prendre son élan rêveusementces moments creux font partie entièrement de l’action,
ne doivent en aucune manière nous faire paniquer ou nous faire chercher à les évacuer,
accepter le rythme du corps, accepter le rythme du désir,
se laisser envahir par l’élan primaire, par l’élan vital, en nousprendre du plaisir même à laisser s’éteindre notre moi pensant,
à vivre ce corps sans être dans le fauteuil de pilotage,
juste à se laisser entraîner, à se laisser envahir,
déguster dans l’instant tout ce qui se passe en nous,
toutes ces sensations qui nous habitent comme une jungle luxuriante, vibrante de vie,
fourmillante d’une faune et d’une flore, infiniment variées19 janvier 2020 à 23 h 15 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36028bzoParticipantau risque de passer pour un obsédé sexuel,
je pratique autant que je peux,
certains jours, plusieurs heuresmais tant que le désir est dans cette chair,
tant que le désir irrigue cette chair,
la rend avide de plaisir, avide de jouissance,
je ne vois pas pourquoi je me retiendrai19 janvier 2020 à 12 h 05 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36021bzoParticipantpour compléter mon texte juste au-dessus
c’est un travail sur soi-même qui ne se fait pas en un jour,
réussir à mettre à la niche son moi pensant
et à ce qu’il y reste la plupart du temps ou qu’il y retourne en vitesse chaque fois qu’il en sortle fait est qu’on est tellement habitué à ce que notre moi pensant soit aux commandes,
que ce n’est pas évident, juste d’être en action, comme mené par le désiron est tellement habitué à ce que notre moi pensant soit aux commandes,
qu’on ne se rend même pas compte que des tas d’ordres et de suggestions,
émanent en fait de lui,
cela nous parait tellement naturel, machinal, aller de soimais à partir du moment où l’on cherche à faire émerger la spontanéité du désir,
que ce soient nos pulsions, nos instincts, notre chair, notre désir
qui soient aux commandes,
cela ne va vraiment pas de soi,
l’on se rend compte que le moi pensant cherche à intervenir à tout bout de champ,
il faut du temps pour reconnaître ses directives, ses suggestions
et ne plus en tenir compte,
en arriver juste à l’élan primaire en nous, l’élan vital,
le désir pur,
seul aux commandes19 janvier 2020 à 11 h 46 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36020bzoParticipantje ne soulignerais jamais assez l’importance de faire le vide dans sa tête,
de laisser l’espace habituellement occupé par notre moi pensant
devenir un espace de jeu, une cour de récréation pour les sensationsà ce moment-là, vous êtes en contact direct avec votre corps,
vous faites un avec votre corps,
vous êtes dedans à 100%,
pas juste isolé dans une tour dans votre tête,
non vous êtes partout dans votre corps, lié à celui-cibien sûr, les idées, les pensées, les suggestions diverses et variées
sur la façon dont vous devriez mener l’action, vous affluer par moments
mais si vous ne devriez pas en tenir compte,
laisser la place au flux des sensations
comme à des herbes folles envahissantes dansant une farandole endiablée
et plus généralement à une sorte d’élan général, comme cornaqué, chapeauté, par le désir,
manoeuvrer tout seul, vous bougervous êtes pour l’instant qu’un pantin
sans volonté autre que d’éprouver, de ressentir, le plus possible
et de vous laisser emporter autant et aussi loin que possible19 janvier 2020 à 9 h 56 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36019bzoParticipantvivre chaque sensation dans l’instant comme un surfeur vit la vague,
faisant corps avec elle, se laissant emporter par elle,
étant corps et âme avec ellevivre son corps dans toute sa richesse, dans toute sa diversité,
vivre son corps vague après vague,
vivre le grand océan vague après vague,
vivre son corps comme un accès au grand océan, vague après vaguechaque vague est formée de tout ce qui se passe avec ce corps,
chaque déplacement de partie du corps, chaque mouvement, chaque geste,
chaque attitude, chaque posture, chaque pensée,
l’état émotionnel dans lequel vous êtes,
votre état de fatigue, votre ardeur, votre enthousiasme,
tout, absolument tout qui vous concerne de près ou de loin,
participe à la formation des vagues, instant après instantvous changez la trajectoire du mouvement de votre bras, la vague change de coloris,
vous amorcez un mouvement du bassin, la vague change de nuance,
votre main bouge, parcourt, frotte, caresse, des parties différentes du corps,
les nuances de la vague évoluent sans cesse plus ou moins fort,
comme un film dont la vitesse ralentit, s’accélère où défilent des personnes, des actions différentes,
vous vous frottez un peu contre la couverture,
de nouvelles nuances apparaissent,
vous arrêtez mais vous pressez maintenant vos cuisses avec plus de force contre vos parties,
de tas de nouveaux coloris dans la vague, apparaissentvous êtes inquiet tout à coup parce que vous vous rendez compte
qu’il est plus que temps d’aller promener le chien,
la vague perd de ses coloris, devient terne,
tout ce qui se passe en vous à chaque instant,
absolument tout contribue à la vague,
à vous d’apprendre à le percevoir
à vous d’apprendre à tisser l’océan en vous
et le ressentir vague après vaguecar l’océan se tisse en nous
comme une majestueuse tapisserie,
il faut assembler avec patience les fils
et puis un jour c’est là, tout un pan de tapisserie est là en nous
prêt à prendre vie, prêt à s’animer, prêt à nous animer,
prêt à faire vivre l’océan un instant en nous,
comme un film en trois dimensions, expérience complètement immersive,
tout d’un coup on est dans l’écran, on est dans ce qui se passe sur l’écran,
on est dans l’image, on est dans le film, on est les acteurs, on est le paysage, on est l’action,
on est les coups d’éclats, la tension dramatique, le suspensune idée arrive dans votre cerveau, s’installe,
mauvaise facteur, toujours,
cela plombe immédiatement, voile la perception des sensations,
leur présence n’est acceptable que si elles passent fugacement, en catimini, en sourdine,
qu’on ne leur laisse pas le temps de s’installer,
de reprendre pied en vous dans le fauteuil du pilote,
d’installer leur grisaille sur la perception de ce qui se passe dans votre corps,
on ne peut pas en même temps percevoir, ressentir à 100%
et réfléchir, avoir des idées,
c’est comme boire ou conduire, il faut choisirle secret espoir de tout prostatonaute,
au lieu d’un hypothétique super O,
cela devrait être cela,
parvenir à ressentir son corps de cette manière,
comme un océan de vagues aux nuances infinies,
à ressentir instant après instant, à vivre instant après instant,
où tout, absolument tout, participe,
où dès que l’on bouge déjà le petit orteil du pied
et cela fait changer le coloris de la vague en nous et nous le ressentons, nous le dégustonsà vous d’apprendre aussi à ne plus se laisser influencer
par tout ce qu’il peut nuire dans l’instant à la vague
mais laisser le désir reprendre le dessus en vous,
juste laisser le désir s’exprimer sans restrictions en vous
contre vents et marées parfois
mais le désir peut ce miracle en nous,
il peut tout vaincre, anxiété, dépression, mal être, perte de confiance,
tout cela peut être emporté par le désir
si on s’en remet entre ses mains et qu’on le laisse prendre les rennes de ce corps18 janvier 2020 à 22 h 49 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #36018bzoParticipantprendre la tangente, l’ascenseur des caresses,
il existe comme un paradis momentané dans ma chair,
un endroit tout en miel chaud, frissons onctueux et soie ondulante,
on baigne là-dedans comme dans un lac d’été,
tout votre corps en est enveloppé ineffablement
de l’extérieur comme de l’intérieurles rives résonnent mystérieusement,
envols d’oiseaux multicolores et criards,
les arbres semblent danser faisant des signes vers le ciel,
mon sang court jusqu’à l’horizon parfois
comme un tapis rouge à fouler triomphalementbzoParticipantbon ben c’est encore arrivé,
dans le fil Ca marche ! , j’ai voulu éditer mon texte
mais comme une bestiole volante, j’ai été attrapé par un filet en plein volbzoParticipantCe Yin si fort, ce féminin est devenu extrêmement important et présent chez moi. Ma pratique a fait remonter beaucoup de choses de mon enfance et mon adolescence. Je suis sûr qu’à 20 ans aujourd’hui, j’aurais commencé une procédure de transition. A mon âge, avec ma vie, même si cela reste possible, cela est beaucoup plus compliqué, et me fait énormément hésiter.
En tous cas, je n’en suis pas encore arrivé à ne plus supporter ma vie d’homme, même si la source de mon plaisir n’est qu’intérieur. Pointe parfois la frustration de ne pas vivre ma sexualité de femme.je fais remonter ton fil, y place cette citation de toi
dans le le fil Commutateur corporel Yin/yang et si ça fonctionnait créé par @aneveil
car elle m’évoque beaucoup de choses et voulais faire quelques réflexions
sans polluer d’avantage le fil d’@aneveil
@ch313 qui vit une expérience très similaire à celle que nous vivons,
s’était aussi demandé à un moment donné, je me souviens, s’il n’était pas hermaphrodite,
moi-même , parce que j’essaie d’être intellectuellement aussi objectif et exigeant que possible,
vu la nature tellement féminine de mon plaisir,
à quel point je parviens à me laisser envahir par du féminin durant l’action,
je me suis posé des questions sur moi-même, sur ma nature profondemais les conclusions auxquelles je suis parvenus, sont différentes de toi
et cela a changé légèrement ma perspective,
c’est pour cela qu’à partir d’un moment donné,
j’ai commencé à parler de plaisir androgyne plutôt que de plaisir au féminin
parce que je sens constamment un braquemart bien dur, bien dressé, au travail en moi,
je le sens dans un sexe féminin, dans ma petite chatte qui n’existe pas
mais que je sens avec une acuité confondante, bouleversante, entre mes jambes
je sens les deux en moi, ils semblent indissociables,
je veux dire que le masculin semble indissociable en moi, je m’en suis rendu compte peu à peu
et je l’ai accepté et c’est à partir de ce moment que mon plaisir a été total, complet
et totalement épanouissantl’essentiel est féminin bien sûr, à 90, 95% , je dirai
mais les 5 à 10 % de masculin sont bien là et je les sens indispensables à la machinerie
pour que le moteur puisse fonctionner à plein régimeje crois que cela correspond à ma nature profonde
et donc l’accepter, c’est pouvoir exprimer celle-ci pleinement,
en extraire, faire monter, toute la richesse, toute la diversité, toute l’intensitéma nature profonde, je crois, est celle d’un homme
qui peut prendre son plaisir en tant qu’homme avec une femme
mais aussi en tant que femme avec une femme
et puis aussi en tant qu’homme avec un homme et en tant que femme avec un homme,
je suis, on ne peut plus, omnivore et satisfait que mon corps d’homme m’offre ces possibilités,
je ne me sens à aucun moment le besoin d’assumer cette féminité plus que cela,
au quotidien, elle m’irrigue par les soubassements, je sens mes racines baigner dedans,
me nourrir secrètement, m’enrichir, me diversifier, m’assouplir, me rendre plus ouvert, plus attentif
et c’est bien ainsi, cela me suffit,
je suis content ainsic’est la différence donc, je crois, par rapport à toi,
c’est 5 à 10% de masculin en toi, sans doute parce que ta nature profonde t’indique cette direction,
que c’est là que tu seras pleinement toi,
tu préfères les vivre à 100 du côté du féminin,
tu ressens l’effet du masculin en toi mais à 100% du côté du féminin,
la pine bien dure, tu en ressens les effets, tu la sens monter en toi, frotter dans tes chairs en toi,
moi aussi, o combien
mais tu as sens comme extérieure à toi,
alors que moi je prends du plaisir avec aussi, je la manipule, je prends du plaisir à la sentir s’enfoncer en moi,
je prends un plaisir mâle à l’enfoncer en moi,
à la sentir s’enfoncer dans ma chair, je prend un plaisir mâle en même temps que femelle,
à la sentir s’enfoncer en moiune chose est sûre, on est sur les mêmes longueurs d’ondes,
on est devenu totalement complice de cette chair
on vit le plaisir qu’on a envie d’éprouver,
notre désir semble se transformer instantanément
en un kaléidoscope de sensations avec la complicité totale de ce corpsune chose que je t’envie, à laquelle je ne parviens pas du tout,
c’est à me contrôler en “public”,
je veux dire que très rapidement je me mets à gémir, cela semble totalement incontrôlable
et puis je sens aussi mon visage qui devient très expressif des sensations que j’éprouve,
donc hors de chez moi, je m’offre seulement des doses homéopathiques d’action
par peur de me faire surprendre18 janvier 2020 à 7 h 14 min en réponse à : Commutateur corporel Yin/yang et si ça fonctionnait ? #36013bzoParticipantDans mon lit, pour les orgasmes, allongée, il est sûr que la cambrure joue énormément, l’offrande du corps, ouvert, les fesses et les cuisses qui s’écartent légèrement grâce à cette cambrure, ouvrant l’accès à mon « vagin ». Et j’amplifie le phénomène si, couchée sur le dos ou le côté, je lève mes bras au-dessus de ma tête. J’offre ma poitrine, mes seins, les tétons se durcissent naturellement, et le moindre contact (main, drap…) est déclencheur.
juste j’avais envie de citer ce passage, il me parle tellement,
ce matin encore je me suis réveillé beaucoup plus tôt car hier soir la fatigue a été souveraine
et me suis endormi beaucoup plus tôt que d’habitude (2,3 heures du matin),
du coup je me suis déjà réveillé vers 5 heures du matin
et bien sûr plutôt que de me tourner les pouces,
j’ai juste ouvert la boîte magique dans ma chairla cambrure a tout instant dans mes ébats joue tellement énormément,
j’ai vraiment l’impression de prendre appui dessus
et puis d’être emportée sur un toboggangrâce à cette notion d’interrupteur rapportée par @aneveil, j’ai pris conscience
que je bougeais beaucoup pour rien, que cela créait juste du parasitage,
qu’il était beaucoup plus efficace de rester quasi immobile à partir d’un de ces moments “interrupteurs”
qui peuvent consister en un geste, un mouvement, une posture, une attitude, etc
parfois un enchaînement de gestes, de mouvementsle toboggan pour qu’il puisse m’emporter, il faut le coups de pompe d’énergie qui fournit le fluide dedans,
le petit torrent qui va me faire dévaler,
le moment “interrupteur” est celui qui est bien synchronisé avec un de ces coups de pompe,
qui accompagne optimalement celui-ci,
après il faut savoir rester plus ou moins immobile pour bien apprécier la glissade sur le tobogganje me sens plus doué à expliquer avec des images, j’espère que c’est assez parlant
18 janvier 2020 à 7 h 02 min en réponse à : Commutateur corporel Yin/yang et si ça fonctionnait ? #36012bzoParticipantIl y a peu de temps j’ai lu que notre organisme avait des « pompes » pour faciliter la circulation de cette énergie. L’une d’entre elles est au niveau du coccyx et l’autre au niveau du cou. J’ai lu qu’on activait ces pompes par un mouvement de cambrure du bas du dos pour celle du coccyx et par un mouvement de cambrure du cou pour la seconde. (C’est ici que je rejoins le contenu cité de ton message.)
cela me parle énormément,
j’ai moi-même utilisé de nombreuses fois l’image de la pompe,
tout simplement parce qu’elle correspond le plus, elle est à même de restituer le plus exactement ce que je vis,
la façon dont je sens que je fais monter les énergies en moi,
j’effectue des coups de pompe,
parfois il faut l’amorcer donner des coups de pompe à vide
mais une fois qu’elle est bien amorcée ,
le flot est de plus en plus conséquent, jusqu’à être maximal et de se déverser à plein régimeJ’ai lu qu’on activait ces pompes par un mouvement de cambrure du bas du dos pour celle du coccyx et par un mouvement de cambrure du cou pour la seconde.
là encore cela me parle énormément, un mouvement que je fais systématiquement,
c’est de fermer les yeux et de laisser ma tête aller en arrière, je sens au niveau du cou dans ces moments-là que quelque chose s’active,
se met à circuler en moi, des vibrations tout en arabesques, ondulations et sinuositésidem pour le coccyx , mon bassin comme j’aime le bouger, cela met directement tellement de chose en route
donc typiquement, je ferme les yeux, laisse aller ma tête en arrière lentement
et puis je me mets à bouger un peu du bassin
et déjà il y a le feu partout en moi17 janvier 2020 à 20 h 00 min en réponse à : Commutateur corporel Yin/yang et si ça fonctionnait ? #36010bzoParticipantUne démarche avec les pieds un peu moins écartés fait bouger mon bassin autrement, un buste un peu plus porté vers l’avant tend un peu plus ma poitrine et fait pointer mes seins, des gestes des bras et des mains un peu plus doux et délicats, des cuisses un peu plus serrées quand je suis assis
oui c’est tout à fait cela
ceci dit, si on y analyse un peu objectivement, en prenant du recul,
on se rend compte que c’est un tout petit geste, un tout petit mouvement,
un léger changement dans le comportement, dans l’attitude,
mais pas fait n’importe comment, pas du tout fait n’importe commentje peux faire un geste n’importe comment, de façon un peu inhabituelle
et cela ne va rien provoquer, rien déclencher,
non ce petit geste, ce petit mouvement doit avoir ce petit quelque chose
qui va me connecter avec ce que je porte en moi
et que j’invoque ainsisensation de complicité profonde immédiate avec ma chair,
avec ce qu’il y a dans mes profondeurs,
c’est comme si un autre moi était né peu à peu durant l’action,
entremêlement chatoyant de masculin et de féminin,
de yin et de yang?j’ai fait germer les gestes,les mouvements, les attitudes, les postures, de cet autre moi,
ils ont poussé, grandi, lentement en moi
et désormais c’est une jungle luxuriante dans laquelle je m’anime et suis tout à fait à l’aise17 janvier 2020 à 0 h 45 min en réponse à : Commutateur corporel Yin/yang et si ça fonctionnait ? #36005bzoParticipantj’espère que tu me pardonnes mes trois, quatre textes successifs
qu’ils n’empiètent pas, ne prennent pas trop de place dans le fil que tu as créé ici
avec un but bien précis et des réponses qui vont dans ce sensje ne suis pas sûr que mes réponses aillent vraiment dans cette direction
que tu souhaitais que ce fil prenne17 janvier 2020 à 0 h 35 min en réponse à : Commutateur corporel Yin/yang et si ça fonctionnait ? #36004bzoParticipanten tout cas je te remercie,
ta phrase aura été un déclic pour moi,
je comprends désormais que je m’agitais beaucoup tropce que tu appelles “interrupteurs”,
que je qualifierais comme des postures, des gestes, des mouvements, des attitudes
sur lesquels, je m’appuies pour me propulser dans un autre moientre deux moments “interrupteurs”, appelons-les comme cela,
je m’agitais inutilement,
ces moments qui servaient d’appui,
qui me servait à me propulser,
étaient beaucoup moins efficace ainsi
car entourés de parasitage inutilemais grâce à ton texte,
j’ai perçu avec une acuité forte,
à que point il suffisait que je me mette en mouvement
uniquement pour passer d’un moment “interrupteur” à un autre,
varier les vibrations, leur intensité,leurs nuances
et que tout le reste autour,
était comme de l’agitation vaine et superflue, une façon de se disperser,
une bonne partie de mes caresses,
même mes ondulations en mode liane lascive,
ma danse avec le bassin,
mes frottements et pressions avec les cuisses16 janvier 2020 à 23 h 22 min en réponse à : Commutateur corporel Yin/yang et si ça fonctionnait ? #36003bzoParticipantcela me passionne ce que tu as écris
parce que je me rends compte que j’utilise tout le temps ce genre “d’interrupteurs” pour reprendre ton terme,
pour passer de “l’autre côté”,
enfin ce que moi j’appelle, cette identité sexuelle androgyne, mêlant du masculin et du fémininil y a toujours un geste, un mouvement, une posture
et puis c’est comme si je m’appuyais dessus pour basculer et mettre en route toute une machinerie
et cela se renouvelle constamment très régulièrement,
c’est comme si je passais d’un “interrupteur” à un autre
pour rester constamment de “l’autre côté”16 janvier 2020 à 22 h 49 min en réponse à : Commutateur corporel Yin/yang et si ça fonctionnait ? #36001bzoParticipantune autre attitude que j’aime beaucoup,
ce sont les bras croisés sur la poitrine,
comme si je m’enlaçais,
je vais changer légèrement la pression, bouger un peu les doigts,
chercher à aller plus loin sur le dos
ou au contraire retournant un peu vers le devant,
frottant les seins au passage avec les avant-brasbzoParticipantdans le nouveau fil d’@aneveil,
j’ai édité deux fois mon texte,
mal m’en a pris,
mon texte est dans le panier à salade désormais16 janvier 2020 à 22 h 17 min en réponse à : Commutateur corporel Yin/yang et si ça fonctionnait ? #35997bzoParticipantje serais intéressé par des témoignages de postures corporelles
qui agissent tels des interrupteurs Yin/Yang sans passer par la case mentale de la suggestion,
des images ou des fantasmesc’est quelque chose que j’utilise constamment dans ma pratique,
quelque chose que j’ai complètement assimilé,
mes postures, mes attitude, mes gestes, mes mouvements
constamment me font passer de “l’autre côté”,
agissent comme des interrupteurs pour reprendre ta terminologiepar exemple je suis debout dans ma cuisine, en train de faire du thé,
mes gestes, mes mouvements, sont machinaux
eh bien si j’ai envie de vivre un moment de dialogue intime avec ma chair,
je vais changer légèrement un petit quelque chose à cela,
glisser un grain de sable dans cette mécanique,
il ne faut vraiment pas grand chose, il ne me faut vraiment plus grand chose,
cela peut être juste un petit geste, un mouvement, une vague posture
mais sur lequel , c’est comme si je prenais appui à l’intérieur,
comme si je prenais totalement appui dessus pour me lâcher, me laisser entraîner,
fonctionner totalement différemmentdonc par exemple dans la cuisine, je m’immobilise,
je cambre légèrement les reins, pose une main sur la poitrine ou la bouche
et directement c’est comme si mon corps était habité tout à fait autrement,
je suis passé de “l’autre côté”,
je peux rester juste ainsi, bougeant à peine mais habitant autrement mon corps,
avec une identité sexuelle androgyne prête à se mettre en route, avec d’autres sensations,
si je me mets en action, cela vient tout seul,
mon corps va bouger différemment, mes gestes vont être différents,
un mix de masculin et de fémininpersonnellement, j’adore mettre la main sur la bouche,
j’ai la main gauche qui est beaucoup sur les lèvres, les caressant doucement,
ou simplement paume inerte sur la bouche comme si je baillais,
cela suffit déjà à m’allumer et à me mettre en route,
l’autre main cherche la poitrine, la caresse
après tout le reste s’enclenche tout seul, les contractions, les cuisses avec les génitaux
et déjà je fonctionne à plein régimebzoParticipantAvec-vous des conseils pour garder la foi ?
à ce stade, la seule réelle motivation, c’est la perspective de connaître des sensations, des orgasmes, hors du commun
des orgasmes qui peuvent durer pendant de longues minutes
et se répéter des dizaines de fois,
plus encore les fameux super Omais écrire ce genre de choses , peut paraître contradictoire quelque part
car d’un côté, on martèle qu’il ne faut rien attendre des séances,
qu’il faut les aborder la tête bien vide de toute attenteet puis d’un autre côté, il faut faire bouger la carotte devant soi,
d’orgasmes d’une richesse et d’une puissance, de proportions tout à fait hors normes
et puis répétable à l’envic’est comme cela, cela fait partie du cheminement, ce n’est pas instantané, du moins pour la grande majorité,
cela demande un certain travail sur soi-même, une certaine progression,
cela se mérite en quelque sorteil faut se dire avant la séance qu’on le fait parce que les perspectives sont immenses, très prometteuses,
un plaisir comparable en intensité, en richesse, en variété,
à celui de la femme
mais que cela peut prendre du temps
et puis pendant la séance, il faut oublier qu’on espère tout cela dans sa chair,
juste être là dans l’instant et essayer d’amorcer tout cela durablement15 janvier 2020 à 20 h 42 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #35987bzoParticipantquelque soit notre stade d’avancement,
on reste toujours quelque part qu’un débutant en apprentissage,
tel est vaste en notre chair l’inconnu
et le chemin sur lequel on avance, minuscule et encerclé par lui -
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