20 réponses de 21 à 40 (sur un total de 331)
  • Auteur
    Résultats de la recherche
  • #45341

    En réponse à: Besoin de conseils

    Rodward
    Participant

    Bonjour bonjour !

     

    Je prends pas mal de plaisir dans mes sessions, certains vides, d’autres très plaisantes.

     

    Cependant je viens aujourd’hui pour une certaine problématique.

     

    Je peux utiliser désormais une seringue à lubrifiant avant la session, cependant le beurre de karité et le lubrifiant à base d’eau me donnent un mal de ventre à chaque injection. Là où le lubrifiant à base de silicone ne le fait pas, mais ne lubrifie pas très longuement non plus.  Je suis forcé juste après d’aller aux toilettes et de me cramponner le bide, ce qui casse un peu l’énergie et le mood, mais hélas je n’ai pas vraiment d’autres solution. Je trouve également que le beurre de karité est très gras, maisne lubrifie pas si bien que ça en plus ..

     

    Est-ce que vous avez un bon lubrifiant neutre, ou quel peut en être la cause ?

     

    Merci d’avance

     

    Rodward.

    #45096

    En réponse à: En quête de conseils

    bzo
    Participant

    je te salue, jeune homme de 20 ans

    qui a eu la bonne idée, depuis un certain temps, déjà,

    de se lancer dans l’exploration prostatique,

    la plupart d’entre nous,

    n’en découvrent les bienfaits que très tardivement

     

    devrais-je obter pour un lubrifiant en silicone ? Leur pouvoir lubrificateur est apparement plus important. J’ai également lu que le beurre de Karité faisait des miracles. J’ai notamment lu dans le traité qu’il était possible de se lubrifier le rectum a l’aide de lubrifiant injecté grâce à une petite seringue en plastique.

    lubrifiant au silicone mais alors il faut s’en tenir à des masseurs en plastique.

    J’opterai, personnellement, plutôt pour le beurre de Karité,

    même si cela demande une mise en oeuvre, plus élaborée qu’un lubrifiant du commerce

    puis avec cela, tu peux t’en servir aussi pour soigner la peau, l’hydrater, etc

    pas la manger, tout de même,

    ni la fumer

     

     

     

    Suis-je dans la bonne direction en ne faisant pas beaucoup de contraction, mais au contraire en laissant le masseur s’appuyer contre ma prostate ? Les sensations pourront-elles se construire comme cela ?

     

    peu de contractions, voire pas du tout ou au contraire, beaucoup ,

    tu es dans la bonne direction

    si tu éprouves de bonnes sensations. Suis ton instinct avant tout,

    je ne peux te donner vraiment des conseils plus techniques, dans la manière du Traité d’Aneros

    car je pratique de façon totalement différente

     

    peut-être suis-je trop jeune pour expérimenter ce plaisir si différent du plaisir « habituel », qui demande discipline, connaissance de son corps, patience et espoir ? Peut-être que je suis encore trop immature pour y accéder ?

    non, très certainement, si le plaisir était une question de maturité, cela se saurait,

    mais c’est sur que le massage prostatique demande de la patience et de la persévérance,

    connaissance de son corps? pas vraiment non plus

     

    non, tu as déjà commencé à obtenir des résultats, il faut juste accepter que c’est plus compliqué que de se secouer la tige,

    il faut acquérir des qualités d’écoute de son corps, des qualités de complicité, de dialogue,

    cela demande un travail sur soi-même auquel on n’est pas habitué

    et qui chez certains prend plus longtemps

    car ils sont trop analytiques, ils ne savent pas se laisser aller, se laisser emporter,

    le dialogue avec son corps, leur est totalement étranger,

    essaient de tout diriger avec leur intellect

     

    lors des trois dernières séances, j’ai vraiment ressenti des sensations de plaisirs provenant de ma prostate : je sais maintenant sentir et reconnaître quand la tête du masseur vient s’appuyer contre elle et en ressentir ces ondes de plaisir en résultant.  Je ressens même en cours de journée du plaisir provenant de la zone de ma prostate et de mon périnée, alors que je fait rien pour.

    ça c’est important, ta prostate est réactive, elle se réveille, tu as surement déjà du lire à propos du “rewiring”,

    il faut du temps pour un peu processer ces nouvelles informations qui montent,

    les reconnaitre pour ce qu’elles sont,

    c’est -à-dire, des sensations de plaisir, différentes, très différentes que ce que tu as connu jusqu’ici

     

    cela a démarré chez toi, cela a germé

    maintenant, il;: s’agit de faire pousser la plante, la faire fleurir,

    qu’elle éclate de couleurs

    #45092
    dbl
    Participant

    Bonjour à vous. Je suis un jeune homme de bientôt 20 ans, et voilà maintenant 3 ans que j’ai découvert que l’homme, à l’instar de la femme, pouvait expérimenter des orgasmes intérieurs, longs et surtout répétables, grâce à sa prostate.
    <p style=”text-align: left;”>Mon parcours a toujours été complexe et non linéaire. En effet, j’ai utilisé assez bien de masseurs et n’ai jamais été régulier dans mes séances, abandonnant assez vite lorsque les résultats espérés ne se montraient pas. Je ferai sûrement un post pour détailler mon parcours, l’expliquer en détail.</p>
    <p style=”text-align: left;”>
    Il y a quelques jours, j’ai décidé de me recommencer des séances, avec pour objectif de ne pas abandonner, même si les résultats se sont pas là. J’en ai fait 3 pour l’instant.</p>
     

    Je pense avoir fait une grande avancée dans mon cheminement. En effet, lors de mes anciennes séances, je ne ressentais quasiment aucune sensation parvenant de ma prostate, hormis quelques sensations de léger plaisir par moment, qui ne duraient jamais bien longtemps. Hors, lors des trois dernières séances, j’ai vraiment ressenti des sensations de plaisirs provenant de ma prostate : je sais maintenant sentir et reconnaître quand la tête du masseur vient s’appuyer contre elle et en ressentir ces ondes de plaisir en résultant.  Je ressens même en cours de journée du plaisir provenant de la zone de ma prostate et de mon périnée, alors que je fait rien pour.

    Avant de commencer mes séances, je me relaxe 30 minutes : 15 minutes sans masseur et 15 minutes avec le masseur. Je commence après a effectuer les contractions volontaires des sphincters. Au niveau de la lubrification, j’enduit mon masseur d’une couche généreuse de lubrifiant à base d’eau.
    <p style=”text-align: left;”>Les deux premières séances ont été effectués à l’aide de mon aneros helix trident (en silicone). Celles-ci se sont soldés par des sensations plutôt agréables, une sensation de plaisir intense par moments, et puis plus rien. Je pense que le silicone n’est peut-être pas une matière faite pour moi. En effet, je trouve les sensations un peu trop subtiles et préfère les sensations données par le plastique blanc.

    </p>
    <p style=”text-align: left;”>J’ai effectué ma dernière séance à l’aide de mon aneros progasm. Celle-ci fut caractérisée par un plaisir très intense au niveau de ma prostate tout au long de ma séance, avec encore une fois des pics de plaisir à certains moments précis. En effet, je pouvais sentir ce dernier glisser dans mon rectum et cogner contre ma prostate, me donnant beaucoup de plaisir. Cependant, j’ai procédé un peu différemment pendant celle-ci : je ne faisais pas beaucoup de contractions, je laissais simplement le masseur s’appuyer contre ma prostate, ce qui provoquait un plaisir intense, et j’avais l’impression que les contractions venaient écraser ce plaisir, qui ne pouvait donc pas être entretenu.

    </p>
    Je viens donc vers vous en quête de conseils de la part d’utilisateurs expérimentés :

    – devrais-je obter pour un lubrifiant en silicone ? Leur pouvoir lubrificateur est apparement plus important. J’ai également lu que le beurre de Karité faisait des miracles. J’ai notamment lu dans le traité qu’il était possible de se lubrifier le rectum a l’aide de lubrifiant injecté grâce à une petite seringue en plastique.

    – Suis-je dans la bonne direction en ne faisant pas beaucoup de contraction, mais au contraire en laissant le masseur s’appuyer contre ma prostate ? Les sensations pourront-elles se construire comme cela ?

    – peut-être suis-je trop jeune pour expérimenter ce plaisir si différent du plaisir « habituel », qui demande discipline, connaissance de son corps, patience et espoir ? Peut-être que je suis encore trop immature pour y accéder ?

    Je m’excuse pour le long pavé, et vous remercie d’avance pour les précieux conseils que vous pourriez me donner.
    <p style=”text-align: left;”><!–more–></p>

    #45071

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    hier soir,

    mon corps a décidé d’une éjaculation, à un moment donné,

    après plusieurs semaines, sans aucune,

    après plusieurs semaines, d’une accumulation des énergies, dans le réservoir

    et d’une délicieuse montée en puissance,

    surtout du côté de la prostate

     

    hier soir, me suis mis au lit, j’avais envie de jouir et encore de jouir,

    j’avais envie d’une overdose de volupté,

    la fièvre du samedi soir

    et cela a fonctionné divinement,

    j’étais aux anges, le corps frémissant,

    haletant, râlant, gémissant, hurlant,

    dansant de tout mon être sur le lit, possédé, possédant,

    les mains comme des papillons, se posant partout,

    repartant immédiatement, plus loin

     

    quand tout à coup,

    j’ai senti en moi que le sperme allait monter,

    que cela allait cracher bientôt,

    il y a des signes avant-coureurs dans le bas-ventre qui ne trompent pas,

    je me suis bien détendu pour goûter à chaque instant de l’éjaculation

    mais finalement, alors que d’habitude, c’est d’une violence rare

    qui fait se tordre, se convulsionner, mon corps, dans toutes les directions,

    là, ça a été totalement apaisé, calme,

    juste un nectar très chaud et soyeux qui m’a envahi,

    est monté très tranquillement,

    caressant mes boyaux ineffablement, au passage

     

    sensation de bien-être, de bonheur rare,

    mais aucune trace de l’habituel volcan qui se déchaîne

    et qui m’envoie en cent mille morceaux,

    aux quatre coins de la pièce

     

    ce matin, tout est déjà là, à nouveau,

    entre mes cuisses serrées, mes génitaux bien dans leur nid,

    prêts pour de nouvelles passes d’armes amoureuses,

    ma prostate, un peu plus bas et plus en arrière,

    prête aussi, réactive au  quart de tour

     

    je me cambre, me redresse, de tout mon corps,

    contracte un peu les muscles du périnée,

    laisse mes hanches, lascivement,  se mettre en mouvement

    et déjà, je suis assis sur mon trône d’ondes,

    comme suspendu par une grue dans l’invisible,

    me sens pénétrable, pénétré et pénétrant, à l’infini,

    comprenne qui pourra

     

    sans aucune retenue, je me laisse aller,

    à cette sensation de féminin et de masculin qui s’entremêlent,

    qui cherchent à s’unir, toujours plus,

    les frontières de mon genre  n’existent plus,

    le désir est maître et tire les ficelles dans la direction qu’il veut,

    je ne suis plus que son pantin, sans volonté

     

    je laisse glisser ma main vers la fente, à l’arrière

    et enfonce bien lentement deux doigts dedans

    mon anus est encore bien lubrifié,

    du beurre de karité dont je l’enduis avant de m’endormir,

    oh, comme je jouis,

    oh comme ils sont bons, ces doigts,

    je les sens en moi, qui ont la bougeotte, comme c’est divin,

    fouillez, fouillez, farfouillez, ô mes chers bouts de doigts,

    allez titiller mes entrailles,

    faites-moi se contorsionner et gémir,

    alléluia, c’est noël, j’ai le fondement irrésistiblement en feu

     

     

     

    #44863

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    une fausse tentation, une fausse séduction,

    s’est éteinte en moi depuis quelques jours,

    celle périodiquement d’entreprendre une abstinence d’éjaculation,

    dans le but d’accumuler les énergies

    et ainsi de booster ma pratique

     

    non pas que ce n’ait pas des effets intéressants,

    le corps devient incroyablement réactif,

    les sensations fines, précises,

    cependant c’est une illusion d’amélioration

    car il y a des contre-effets négatifs, insidieux,

    bien plus effectifs

     

    il y a quelques jours, au soir, quelques petits jets laiteux sont sortis,

    ont fini par sortir

    et le lendemain, au matin, encore quelques autres,

    cependant le soir, même,

    les couilles passablement vidées, donc, les citernes d’énergie au plus bas,

    j’ai vécu des moments splendides,

    certes, les sensations n’étaient pas aussi finement ciselées,

    le corps pas réactif, d’une manière aussi acérée,

    mais c’était négligeable,

    en regard des extraordinaires moments que j’ai vécus,

    de l’ampleur et de la diversité des sensations,

    du volume et de la qualité de la volupté et de la jouissance

    qui sont passés dans les tuyaux

     

    on pourrait me rétorquer que je suis dans ce moment du cycle

    qui s’est instauré dans ma vie,

    où j’affirme que je ne le ferai plus,

    jusqu’à la prochaine abstinence démarrée,

    avec des textes ici, élogieux, à nouveau,

    à quel point, c’est fantastique, c’est merveilleux, l’action, les séances,

    avec le corps surchargé, le corps gorgé, d’énergies accumulées

     

    cela s’est produit pas mal déjà,

    en fait, je me rends compte,

    cela fait quelques années que je suis dans ce cycle,

    abstinence d’éjaculation,

    louange de la pratique, dans cet état,

    à quel point, cela devient de plus en plus puissant, de plus en plus riche,

    au fur et à mesure des jours qui passent,

    et puis éjaculation

    car cela finit par arriver car dans ma pratique,

    je mêle ondes génitales et ondes prostatiques,

    donc il y a constamment des contacts entre mes cuisses et mes bijoux de famille

    et puis des textes qui vont exactement dans le sens contraire,

    qui expliquent que cela n’a aucune importance,

    que quelques heures après avoir éjaculé,

    cela redevient superbe, que les sensations sont là,

    que la volupté, la jouissance, sont là

     

    qui vivre, verra, j’espère affirmer que c’est définitivement brisé,

    que cette fois j’ai bien réalisé que les avantages de ce type d’abstinence,

    sont en-deçà des effets négatifs,

    que je m’en suis définitivement rendu compte

    et que l’on m’y prendra plus

     

    j’étais dans un cercle,

    je tournais en rond, finalement

    certes, c’était un très très grand cercle,

    avec beaucoup de magie, beaucoup de volupté et de jouissance, sur son parcours

    mais j’en avais fait le tour, déjà, plusieurs fois, ces dernières années

    et il était temps d’aller plus loin, de passer à autre chose,

    d’agrandir ma galaxie, en de nouvelles directions

    de lui chercher d’autres frontières à dépasser

     

    je vais m’atteler, désormais,

    avec beaucoup plus d’attention et de patience,

    consacrer beaucoup plus de temps,

    à retrouver une pratique purement prostatique, aneroless

     

    ainsi que le plaisir anal

    qui est vraiment le parent pauvre, dans mes différentes formes de pratiques

    toujours juste quelques secondes,

    au mieux, quelques minutes,

    juste avant d’éteindre les lumières, vers 2,3 heures du matin, chaque nuit,

    après que je me sens enduit, avec du beurre de karité,

    l’intérieur des cuisses, les couilles, le pénis, l’anus

    pour réhydrater toutes ces zones,

    apaiser, restaurer,  les peaux, par là,

    parfois qui ont été beaucoup frottées,  pressées, cajolées avec insistance,

    pendant des périodes prolongées  d’action enivrante

     

    c’était devenu une habitude,

    d’y aller avec un ou deux doigts, pour un tout petit moment,

    pourtant si riche, si explosif

    mais jamais prolongé,

    malgré la puissance et la richesse, perçues, ressenties

     

    #44801

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    ah, je suis merveilleusement excité ce matin,

    la matinée va être délicieuse,

    tout mon bassin bourdonne déjà légèrement,

    sans que je fasse quoi que ce soit,

    s’emplit de vibrations, au moindre mouvement un peu lascif,

    dès que mes cuisses pressent un peu, mes bijoux de famille,

    je sens comme une boule de chaleur très dense qui grandit entre mes reins

     

    mais je vais d’abord commencer mes jeux,

    avec ma très chère prostate,

    me remettre au lit, pour quelques moments avec elle,

    en tête à tête, avec ses vibrations cristallines

     

    mon anus me démange aussi,

    vais me faire aussi, un aparté,

    avec elle et un peu de beurre de karité,

    allez, mes petits doigts curieux, mutins,

    allez explorer, allez fouiller, la petite cavité là-derrière,

    elle sera toute à vous, dans quelques instants

    #44797

    En réponse à: Initiation au plaisir anal

    bzo
    Participant

    Y a t’il stimulation du sexe ou non ?

    Y a t’il éjaculation ? J’imagine que non mais je demande quand même.

     

    aucune stimulation du sexe, ni éjaculation

     

    Cela dure t’il longtemps ?

    pas vraiment car actuellement, par paresse et manque de temps, en même temps,

    c’est toujours, juste avant de me coucher, vers 2, 3 heures du matin,

    après m’être enduit à divers endroits, entre autres, l’anus,

    de beurre de karité ou de coco ou d’avocat,

    que je pratique un peu,

    cela ne dure que quelques minutes car je suis très fatigué

    mais c’est totalement délicieux, ineffable

     

    Le plaisir se manifeste comment ?

    il se manifeste instantanément et il perdure autant de temps

    que je me chipote,

    se terminerait, sans doute, par un orgasme anal ou deux ou trois,

    si je persistais,

    il est très volcanique, comme si j’avais une lave ineffable, entre les reins,

    c’est très puissant,

     

    bon, manquant , sans doute de sophistication, de variétés, un peu

    mais malgré tout, il y a quand même moyen de pas mal varier, aussi

     

    mais c’est assez spécial, la façon dont je pratique et je perçois,

    si tu lis un peu mon fil, tu dois être plus ou moins au courant,

    très honnêtement, quand je me chipote comme cela avec les doigts dans l’anus,

    j’ai plus l’impression de me masturber,

    c’est assez délicieux comme impression

    et le genre de mouvements  que j’effectue,

    sont assez similaires à ceux qu’on voit faire une femme

    dans les vidéos explicites , de masturbation féminine

    avec doigts dans le vagin et alentours

     

    je joue beaucoup avec les muscles du sphincter,

    ceux du périnée et autour de l’anus, sont très développés, chez moi

    et je peux, par exemple, complétement bloquer l’insertion d’un doigt ou autre chose,

    rien qu’en resserrant les muscles

    mais je joue avec ces muscles beaucoup, je serre, je desserre, je frotte le ou les , doigts, contre

     

    parfois les doigts sont complètement passifs et ce sont les muscles de l’anus qui font tout le travail,

    viennent emmailloter les doigts, leur former comme une enveloppe de muscles qui les pressent, les bougent

     

    les doigts se remettent en mouvement, changent de direction frottent sur les côtés, etc, etc

     

     

    #44718

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    il faudrait vraiment que je trouve du temps,

    pour me refamiliariser avec le plaisir prostatique

    et puis aussi explorer plus sérieusement le plaisir anal,

    le tout aneroless, pour le premier

    et rien qu’avec mes petits doigts, pour le second

     

    pour les jeux avec mon anus,

    en-dehors des moments où je mixe les ondes anales,

    dans le cadre de ma pratique yin/yang, le couple intérieur

    mais strictement du plaisir anal,

    je ne m’en offre que quelques minutes, juste avant d’aller dormir,

    comme je m’enduis toujours les génitaux et l’anus, de beurre de karité,

    avant de m’endormir,

    c’est donc toujours vers 2,3 heures du matin,

    que je m’accorde quelques minutes, de ce plaisir tellement délicieux

     

    oh pourtant comme c’est irrésistible,

    j’aurai envie de pleure tellement c’est bon,

    quand je sens deux de mes doigts, s’engouffrer là-derrière,

    je joue alors avec les muscles du sphincter,

    les resserre autour de mes doigts,

    freine leurs allers et venues, avec

     

    je sens bien qu’en persévérant, il y aurait des orgasmes délicieux et tellurique, à la clef

    mais j’arrête après quelques minutes car j’ai déjà très sommeil, à ce moment-là,

    si je me décide d’aller au lit,

    c’est que je tombe de sommeil

     

    quant au plaisir prostatique,

    bon je l’ai écrit déjà maintes fois,

    mes deux premières années, hors des sentiers battus,

    se sont déroulées, avec des masseurs

    et j’ai atteint avec, tout ce qu’il y avait moyen d’atteindre comme plaisirs,

    des orgasmes de toutes les couleurs et de toutes les formes,

    des courts, des interminables,

    des calmes , des séismiques

     

    mais bon, comme ces dernières années, j’ai tellement habitué ma prostatique,

    à fonctionner en conjoncture avec mes génitaux,

    synchronisés ou en alternance,

    que malgré qu’elle soit parfaitement éveillé,

    réagissant au quart de tour à toutes mes sollicitations, aussi légère soit-elle,

    il faudrait que je la réhabitue à fonctionner toute seule,

    que je retrouve avec elle la capacité d’emballer mon corps,

    rien qu’avec ses ondes à elle,

    me mettre en roue libre, vertigineusement,

    comme dans le bon vieux temps

     

    une sorte de “rewiring”, donc

    mais aussi, je dois mettre au point, une nouvelle technique

    car celle que j’avais peu à peu perfectionner durant cette période,

    c’est celle à partir de laquelle,

    j’ai dérivé ma technique actuelle

     

    il n’y a plus de retour possible, vers une pratique exclusivement prostatique,

    avec elle,

    non, je dois mettre au point quelque chose de nouveau,

    une nouvelle manière pour dialoguer avec ma prostate

     

    je m’y emploie, ça vient, c’est sur le feu,

    en temps utile, quand ce sera bien au point,

    je m’expliquerai dessus,

    pour en faire bénéficier d’autres

    #44412

    En réponse à: Rien ne se passe…!

    KIM
    Participant

    Bonjour @Filou,

    C’est intéressant ce que tu dis sur ta progression avec les tétons. Quand je le fais, j’enduis mes doigts de beurre de karité. C’est agréable, sans plus. Mais tu m’encourages beaucoup à le faire systématiquement, et à observer les avancées.

    Je vais lire tes anciens posts.

    Merci à toi

    #44264

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    voilà c’est fait,

    ce fut l’occasion  de passer un court mais tellement bon moment, d’ailleurs,

    jeté de travers sur le lit,

    j’avais un doigt introduit avec le beurre de karité, au bout

    qui allait et venait, ralentissant, accélérant,

    tandis que je serrais et desserrais le sphincter

     

    oh comme c’était bon, comme c’est bon de s’entendre gémir ainsi,

    les sons qui montraient de mes entrailles,

    qui pénétraient dans mes oreilles,

    étaient un bon crû,

    un plaisir bien gras, bien plein, bien puissant

     

    bonne idée que j’ai eu,

    je vais placer plus souvent au programme

    de mes jours et de mes nuits,

    hors du lit, dans le lit,

    des moments ardents de dialogue

    entre mes doigts et puis mon anus chéri

     

    mes petites souris curieuses,

    mes petits pals portatifs,

    mes doigts,

    je vous assigne la mission d’aller plus souvent

    farfouiller là-dedans, là derrière,

    allez, mes agneaux, volez à votre tâche,

    la nation compte sur vous,

    vamos à la playa,

    mon fondement vous appartient pour quelques instants

     

     

    #44263

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    je dois vraiment faire attention pour ne pas me doigter, m’explorer le fion,

    sans qu’il soit préalablement lubrifié ,

    en effet, c’est chercher les problèmes qui auraient pu être facilement évités

    la voie express ouverte à ce locataire indésirable,

    j’ai nommé les tristement célèbres, hémorroïdes

     

    car alors, je peux dire adieu à cet exercice délicieux pour quelque temps,

    le temps qu’ils retournent se coucher,

    alors qu’il aurait pu être si facile de ne pas retrouver avec ce passager indélicat

    qui encombre ma petita cavité anale chérie

     

    dans le feu de l’action? il est hors de question, c’est trop tard,

    en admettant que je trouve la volonté de stopper

    et aller prendre une noisette de beurre de karité

    pour m’en enduire le canal,

    cela éteindrait le désir, l’élan serait retombé,

    non, très certainement, non merci, en aucune façon

     

    la solution serait, en journée ou en soirée,

    quand je suis seul chez moi

    et donc forcément qu’il y aura tout un chapelet de moments intimes, de moments ardents,

    certains, pas forcément tous les jours,

    où l’envie me sera venue, d’aller farfouiller avec un doigt ou deux,

    ma petite fente,

    la solution serait, donc, je disais,

    c’est dès le départ de m’enduire avec un peu de beurre de karité

     

    ainsi, jamais pris au dépourvu, si farfouillage anal, il y a,

    ce ne sera jamais à sec

    mais cela glissera, cela patinera, comme il faut

     

    et ainsi, je peux dire adieu définitivement à monsieur Hémorroïdes,

    aucun risque qu’il refasse son apparition soudainement,

    après une soirée où j’aurai eu, même que quelques minutes

    où mes doigts, comme des petites souris curieuses,

    auront parcouru dans tous les sens et frotter de leur museau, la cavité

     

    aussitôt dit, aussitôt fait,

    je termine ce texte et je me lève

    pour me diriger vers le lit

    et sortir de la table de nuit, le pot de beurre de Karité

    pour en extraire une petite noix

    et m’en enduire l’intérieur du fion, consciencieusement

    #44256
    bzo
    Participant

    sans chercher quoi que ce soit qu’essayer de sentir les mouvements, sans autre but.

    A coté, je vais quand même devoir y aller pas à pas, tester différentes contractions, differents états de fatigue/détente relative. Il faut juste que je trouve l’indice et l’avancée se fera. C’est arrivé ainsi pour le contrôle de base des muscles internes. Au début, c’est mort, puis un jour paf, je capte et voila, je peux m’exercer sans rien. J’imagine qu’à un moment, ca fera pareil pour l’etat d’esprit et que la partie analytique en aura marre de refaire le même niveau et arrêtera de chercher pour juste se promener. Je le connais, à un moment il finira par se lasser de se poser sans arret les mêmes questions sans trouver de réponse.

    cela semble tout à fait pertinent, on ne peut , en effet progresser

    qu’en se fiant à soi-même, à ses tripes, à son jugement, en définitive

     

    sauf exceptions, ceux qui essaient d’appliquer à la lettre des consignes,

    en sont pour leurs frais et tournent en rond,

    non, la seule manière, c’est de s’écouter et encore de s’écouter

     

    cela s’apprend aussi, bien sûr,

    s’écouter,

    ce n’est pas réfléchir ce que l’on va faire

    mais déduire de son ressenti,

    des informations qui montent de la chair,

    en temps réel,

    la suite des opérations,

    dans l’instant de l’action

     

    Ces deux prochaines semaines, déja, je vais tester au niveau lubrifiant. J’utilise principalement du à l’eau, mais vu la longueur des sessions, peut-être que l’absence de sensation pourrait venir qu’il seche. En général quand j’utilise l’hélix en plastique, je mélanger celui à l’eau avec un autre au silicone. Je testera uniquement silicone pour voir, et j’ai lu que l’huile de coco faisait assez bien le taf aussi et ne sechait pas aussi vite. On verra, on verra.

    pas mal de textes consacrés au sujet, ici

    mais aussi de tests par Adam et son “équipe”,

    l’huile de coco  et le beurre de karité, ont bonne réputation,

    avec les masseurs en plastique

    #44233

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    un ou deux, doigts, dans le cul,

    comme c’est délicieux,

    je m’invente le plug de bout de chair vivante, le plug humain,

    je me promène dans mon appartement,

    avec le doigt planté dans le cul

     

    je le bouge volontairement un peu, pas du tout, à la folie,

    il bouge, de toutes façons, tout seul, avec mes mouvements, mes déplacements,

    petite ogive bien chaude,

    comme ta présence est stimulante, revigorante

     

    oh comme tes frottements,

    comme tes va et vient,

    dans mon canal, encore lubrifié du beurre de karité

    dont je t’enduis l’intérieur de l’anus, chaque nuit, avant de m’endormir,

    me font gémir,

    me font râler sans discontinuité,

    pleurer, même, en fait, il faut bien le dire,

    je pleure de plaisir quand je te s’enfoncer toujours plus loin,

    remonter, redescendre, frotter, frotter, ah oui, frotter!

     

    je serre, je desserre, le sphincter, tantôt tout en délicatesse, tantôt tout en force

    et je bouge le doigt en même temps,

    cela fait pop, pop, pop, en bas, entre mes fesses

    j’ai des goutes qui sortent de mon pénis,  sans discontinuité,

    il pleure aussi, de bonheur, le bougre,

    il se raidit, il me salue, a des soubresauts, se dégonfle, se raidit à nouveau,

    mon petit robinet qui fuit, qui fuit, qui fuit,

    des gouttes jusqu’au ciel

    #44138

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    ah, doigt(s) dans le cul,

    comme j’adore

     

    un peu de beurre de karité dans le tuyau

    et c’est parti,

    de lents va et vient,

    du tripatouillage, de la fouille, du chipotage,

    des serrements et desserrements de sphincter

     

    il me faut rien de plus

    pour des sensations fortes,

    tellement intenses,

    tellement jouissives

     

    vive le doigt au cul,

    vive l’anus,

    vive le sphincter

    #44134

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    me suis beaucoup réveillé, la nuit passée

    mais ce n’est pas grave, c’était chaque fois l’occasion

    de passer un moment ardent avec ma chair,

    mon corps se mettant chaque fois, automatiquement en route

     

    quand je repense à cette nuit, je suis ému et heureux,

    même si fatigué du manque sommeil

    mais le souvenir combiné de mes rêves et de mes moments de plaisir,

    est quelque chose d’intrinsèquement très satisfaisant

     

    beaucoup eu de doigt dans l’anus, cela je m’en souviens très précisément,

    c’était chaque fois le même procédé,

    le petit doigt, complètement de travers, latéralement, qui faisait le plongeon,

    l’endroit glissait à merveille car bien lubrifié

    de tout le beurre de karité dont je m’étais enduit avant d’aller dormir

     

    donc, le petit doigt, plongé, non pas verticalement

    mais vraiment complètement de travers,

    une fois ainsi, en place, il ne bougeait plus de lui-même,

    juste avec la danse lascive du bassin,

    il acquérait le rythme général, langoureux, nonchalant, de houle

    et bougeait, ainsi,  de-ci, de-là,

    générant les ondes puissantes si caractéristiques

    qui venaient se combiner dans le bassin,

    aux ondes génitales, occasionnées par les frottements de mes cuisses

    et celles de la prostate

    qui chez moi, est comme un perroquet bavard qui se mêle de tout,

    à tout bout de champ

     

    divine combinaison, le bassin à pleine puissance

    qui répand ses ondes, dans toutes les directions,

    venant se mêler aux autres types d’ondes , générées par le reste de mon corps,

    mes mains caressant, lentement, passionnément, mes seins, mes flancs, mes cuisses

    et puis les lentes ondulations générales de mon corps en mode liane lascive

     

    le tout, à chaque fois, ne durait qu’entre une dizaine de secondes, jusqu’à une minute

    mais c’était tellement intense, tellement débridé, à chaque fois

    puis je replongeais au royaume des rêves,

    emportant avec moi quelques gémissements

    comme bagages pour la route

    #44110

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    dès que je passe en mode yin,

    mon corps réagit instantanément,

    comme un instrument de musique,

    délivre des torrent de notes de plaisir,

    au moindre contact, au moindre mouvement,

    au moindre changement de position,

    à la moindre contraction

     

    je peux vraiment  me dire

    que cela commence à être sérieusement bien au point,

    tout cela,

    oh que oui,

    comme j’ai appris à l’aimer ce corps,

    à vivre une intimité avec lui,

    à libérer le désir ,

    à faire flamboyer les énergies qu’il porte en ses flancs

     

    tout n’est pas rose, cependant,

    le massage prostate, je n’y arrive pas,

    malgré que j’ai eu deux années de pratique avec

    où j’ai été aussi loin qu’il y a moyen,

    je n’arrive pas à le redémarrer en moi,

    je n’obtiens avec,

    que des résultats très peu satisfaisants

     

    je manque surtout de temps

    pour pouvoir produire cet effort

    qui me permettrait de me remettre en selle,

    dans ce type de pratique aussi

     

    et puis dans le domaine du plaisir anal,

    il y a aussi des pistes à explorer

    mais je ne le fais presque pas

     

    avant de me coucher,

    je m’enduis de beurre de karité et d’huile de jojoba,

    certaines parties du corps,

    dans l’anus, je me mets un peu du beurre de karité,

    c’est chaque fois l’occasion de jouer quelques secondes dedans avec le doigt,

    avec systématiquement, des résultats très très plaisants

     

    je devrais faire cela , à d’autres moments, aussi,

    que juste avant de me coucher , vers 3 heures du matin,

    explorer un peu cela, plus en avant,

    le jeu avec les doigts, avec l’anus, offrent pourtant des sensations bien spécifiques

    mais je n’ai jamais vraiment développé cela

    et c’est bien dommage

     

    là, aussi, dans deux ans , quand je serai à la retraite,

    c’est au programme

     

    plaisir en mode yin,

    massage prostatique,

    plaisir anal avec mes petits doigts,

    je revendique le tout naturel, sans aucun accessoires,

    sans aucune béquilles extérieures, genre porno

     

    le circuit fermé, avec ses propres énergies,

    quand on a une sexualité en solitaire,

    ce n’est pas juste pour satisfaire des idées qu’on a,

    non, pas un seul instant,

    c’est juste que c’est ainsi que c’est le plus efficace,

    le plus puissant, le plus riche, le plus varié au niveau des sensations

     

    je reprend toujours cette image de mettre de l’eau dans son vin,

    ainsi, on le consomme pur,

    on consomme ses énergies, pures, sans aucun additif, du tout BIO, fait maison,

    sans rien d’ajouter,

    le nectar produit par sa chair, dans toute sa splendeur

    #43919
    RobertLelan
    Participant

    Bonjour,

    J’essaie de répondre depuis le 28 mars, mais j’ai un message me signalant un problème!!! Je retente ce soir…

    Je disais donc que j’allais commander du beurre de karité sur fr. naissance. com

    Sauf que depuis, je me suis rendu compte d’effet indésirable. État de fatigue, extrasystole, bref, dans un état d’allergie, enfin c’est maintenant que je m’en rends compte. J’ai arrêté depuis une grosse semaine, et plus de symptôme.
    Si c’est bien le cas, il faudra arrêter le karité 🙁 .
    Pour l’instant, j’ai remplacé le karité par du silicone Pjur Original. Mais est-ce bien bon à la longue?
    L’huile de coco est trop fluide, elle fond trop vite, et risque de tache.

    J’ai pensé à Crisco! Quelqu’un a essayé?

    Y-a-t’il d’autre avis ou expérience?

    #43818

    En réponse à: Chroniques prostatiques

    Arousal
    Participant

    Nouveau point d’étape à 1 an du dernier 🙂
    Je peux écrire à peu près la même chose que l’an dernier : séances le plus souvent dans une bonne moyenne mais rarement époustouflantes.
    Depuis quelque temps, sensation d’irritation peu après la mise en place du masseur. Pas insupportable mais un peu ennuyeux, et qui s’estompe assez vite.
    Il semblerait que ce soit le beurre de karité. Je ne sais pas si c’est mon beurre de karité qui n’est plus assez « frais » ou si je fais une sorte d’allergie… Je me résous à faire sans.
    Fidélité absolue à l’Eupho… jusqu’à hier soir.
    Libido assez discrète ces derniers jours, brutalement réveillée hier soir sans raison particulière.
    Tiens, pourquoi pas un massage prostatique ?
    Et l’idée m’a traversé l’esprit de réessayer le Progasm Junior, que je n’ai pas dû ressortir depuis pas loin d’1 an.
    BINGO.
    Dès l’insertion, sensations agréables inhabituelles.
    Et très vite, plaisir prostatique qui monte crescendo. Avec des sensations moins précises, plus « diluées » qu’avec l’Eupho, mais semblant arriver beaucoup plus vite et facilement. Puis les orgasmes intenses et prolongés comme on les aime…
    Et à un moment, d’un coup, un emballement brutal, comme un coup de poing voluptueux dans le bas-ventre qui coupe le souffle et me fait me tortiller, limite convulser.
    Ca faisait longtemps !
    Mais pourquoi j’ai délaissé aussi longtemps les Progasm ???

    #43679

    En réponse à: Heureux mais inquiet

    Caktil
    Participant

    Bonjour à tous,

     

    Cela fait un moment que je n’ai plus donné de nouvelles à propos de mes aventures prostatiques. Pour résumer, je continue à progresser et à avoir des séances de plus en plus belles. Cela fait déjà longtemps que je n’ai plus de sessions ratées pour autant que j’aie accès à ma potion magique… Donc je continue à progresser de paliers en paliers comme depuis le début de mon parcours, il y a déjà plus de deux ans et demi.

     

    Ce qui m’a donné envie de venir raconter un peu de ma vie ici aujourd’hui, c’est l’extraordinaire séance de ce jeudi matin. Je pense que j’ai franchi un nouveau palier depuis celui de novembre 2021 (voir ci-dessus). Un nouveau palier dans l’intensité des sensations, dans l’amplitude des mouvements du masseur et dans une meilleure perception des positions du stimulateur par rapport à ma prostate. Ces meilleures perceptions se produisaient déjà régulièrement depuis quelques séances, mais aujourd’hui c’était spécialement notable. Cette séance du 31 mars 2022 a duré exactement deux heures. Deux heures de bonheur, deux heures au paradis des Dry-O’s !

     

    Ça a été la séance parfaite, idéale ! Vous savez, ces sessions qui se déroulent sans la moindre anicroche. Ces sessions qui sont à marquer d’une pierre blanche. Ces sessions dont on se souvient très longtemps. Un jalon sur la route. Il y a les vraiment bonnes séances et il y a les sessions qui sont exceptionnelles comme celle que je viens de vivre.

     

    J’ai utilisé mon Aneros Progasm Ice transparent, abondamment enduit de beurre de karité bio et il a tout de suite commencé à produire son petit effet. Il était en moi depuis à peine une ou deux minutes que les première vagues de plaisir parcouraient mon corps, irradiant depuis la zone de ma prostate. Les premiers Mini-O’s se font sentir et je me mets sur le dos, ma position préférée.

     

    Une fois allongé sur le dos, j’accompagne les orgasmes de caresses sur les seins et les tétons ce qui décuple le plaisir et le fait exploser dans mon corps en entier. Ce plaisir si particulier des orgasmes prostatiques que je pense avoir réussi à un peu mieux définir ces derniers jours. Pour moi, ce plaisir ressemble au plaisir de l’orgasme traditionnel, mais ce n’est pas le même. Il fait partie de la même famille bien-sûr (le plaisir sexuel), mais il est subtilement différent, bien plus satisfaisant, bien plus long et bien plus intense que le plaisir de l’orgasme éjaculatoire. Il est plus profond aussi et, surtout, il se propage dans le corps entier.

     

    Bref, durant les deux heures de cette session, le schéma suivant s’est déroulé, habituel pour les sessions remarquables chez moi :

    Je respire profondément, détendu, attentif à mes sensations, et je sens un Dry-O pointer le bout de son nez dans ma prostate. Je le laisse s’épanouir en continuant à être détendu, bientôt je me laisse flotter au beau milieu d’un « calm sea orgasm » dont l’intensité et la plénitude augmente peu à peu et m’enveloppe de mieux en mieux. Je commence à tourner autour de mes tétons, mes deux pouces font des cercles concentriques et finissent par toucher mes tétons. À ce moment, le plaisir devient trop bon, trop intense et il finit par exploser et à irradier dans mon corps entier. Des contractions involontaires finissent par se produire et je me retrouve agrippé à mon Progasm de toutes mes forces, savourant un plaisir tel que j’ai de la peine à y croire. Malgré sa taille assez imposante, mon jouet bouge comme un beau diable, il va et vient et caresse ma prostate qui n’en peut plus de plaisir. J’ai l’impression de découvrir de nouveaux muscles ou de nouvelles combinaisons de contractions. Cette phase de plaisir extrême dure pendant plusieurs minutes, entre une et dix minutes. C’est comme une cascade de Dry-O’s qui se suivent, chacun étant meilleur que le précédent. Souvent ces multiples Dry-O’s se suivent sans interruption et finissent par fusionner et devenir un magnifique Super-O. Au bout d’un moment, je m’apaise et retrouve le calme pendant une ou deux minutes. Puis la vague de cascades d’orgasme suivante se manifeste. Ce qui est fou, c’est qu’au cours de cette nouvelle vague, le plaisir est plus fort et plus satisfaisant à chaque fois. A chaque vague de ce matin je me suis dit « Ça y est ! C’était les meilleurs orgasmes de ma vie ! » et bam ! la vague suivante était emplie de Super-O’s encore plus fous. J’ai dû avoir plus de dix vagues d’orgasmes dans cette session.

    Je sais que je raconte un peu toujours la même chose, les meilleurs orgasmes de ma vie, la meilleure session, etc. Oui, c’est vrai, mais il ne faut pas croire que ça m’arrive à toutes les séances. L’immense majorité de mes sessions sont super à vivre et m’apporte beaucoup de plaisir mais sans être exceptionnelles. Mais quand il se produit une séance aussi extraordinaire que celle de ce matin, je ne peux pas m’empêcher d’en parler.

    Bref, ce matin, j’ai vécu les deux plus belles heures de ma vie sexuelle.

     

    Bon cheminement à vous tous, prenez soin de vous.

    #43672
    Caktil
    Participant

    Bonjour à vous,

    Je suis aussi un adepte du beurre de Karité. Celui que j’utilise est bio et pressé à froid. Je l’achète en pharmacie au prix exorbitant de 29 € les 100 grammes. Que voulez-vous… Ce sont les prix suisses…

    D’un autre côté, cette pratique m’apporte tellement de plaisir que le prix est vraiment secondaire.

20 réponses de 21 à 40 (sur un total de 331)