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6 janvier 2020 à 18 h 27 min en réponse à : Ma prostate me donne enfin cet orgasme tant attendu #35922bzoParticipant
tu es dans la bonne direction, avec le bon état d’esprit
et avec un bon rythme!bravo et bonne continuation,
cela fait vraiment plaisir de voir quelqu’un découvrir ces trésors en lui
et de commencer à en profiter de plus en plus et de mieux en mieuxappréciant ces bienfaits à leur juste valeur, c’est important cela
car les gens ne se rendent pas toujours compte à quel point c’est exceptionnel et rare
de pouvoir déguster pareilles sensations générées en eux tout seul6 janvier 2020 à 1 h 28 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #35918bzoParticipantmes caresses m’entraînent comme des rames
allant et venant de part et d’autre d’une barque sur l’onde
la chair se descelle progressivement, part à la dérive
on est déjà à côté du monde,
comme dans un nid sur les hauteurs de l’instant,
règne bref des énergies,
un château ailé resplendit dans toute sa splendeur5 janvier 2020 à 23 h 28 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #35917bzoParticipantje pratique tellement peu au lit ces derniers temps,
cela ne m’attire pas du tout, même en anerolesspourquoi?
eh bien parce ces multiples micro-séances intégrées dans mon quotidien
mais je ne devrais même plus appeler comme cela, ces moments
car justement leur intégration dans mon quotidien est telle,
ils en font tellement naturellement partie, ces moments de dialogue avec ma chair
où que je sois dans mon appartement, quoique je fasse,
venant s’entremêler intimement dans mes gestes, dans mes mouvements, de mes tâches domestiques,
les décorant, les rehaussant d’un kaléidoscope de nuances de sensations,
de variétés de jouissancemoments magiquement trouble et transgressif de pendre mon linge, de me faire un thé
et en même temps de jouir doucement de longues secondes durant,
entremêlant les gestes de mon plaisir androgyne et les gestes les plus triviaux,
une sorte de ballet de funambule sexuel que j’adorec’est cela que j’aime avant tout pour l’instant,
la façon dont je suis parvenu à rendre mon quotidien sexuel, sensuel, à chaque instant
avec des plongées vertigineuses dans la volupté en quelques fractions de secondes
avec à peine quelques gestes, quelques mouvements
sans me déplacer jusqu’à un endroit spécial pour cela,
sans dédier des moments uniquement à celabzoParticipantmonsieur @andraneros,
je requiers votre expertise de repêcheur de messages entortillés dans les filets du gendarme invisible du forum5 janvier 2020 à 13 h 41 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #35913bzoParticipanton peut bander de deux manières,
l’une, la plus commune, la plus pratiquée très majoritairement,
c’est vers l’extérieur, la petite colonne de chair dressée fièrement, gorgée de sang,
l’autre, nettement plus rare, nettement plus confidentielle,
c’est bander vers l’intérieurquand on bande vers l’intérieur,
il n’y a pas de petite colonne de chair dressée fièrement, gorgée de sang,
il y a un pénis flasque, indolent, rabougri, pendouillant
mais derrière cette façade de gros ver débonnaire au repos,
il y a un bouquet dense d’ondes s’élançant, filant à partir des génitaux, filant à partir de l’anus,
se répandant vers l’intérieur,
une érection majestueuse de vibrations s’élançant à l’assaut de la chair tendre des organes,
les pénétrant, les frottant, les fouillant, les tripatouillant, les retournant dans tous les sens,
montant jusqu’au cerveau, y explosant en feux d’artifice, en coulées de miel chaudquand on bande vers le dehors, on bande vers quelqu’un d’autre,
quelqu’un d’autre de réel ou d’imaginaire, de fantasmé, voire même de non exprimé en aucune manière,
alors que quand on bande vers l’intérieur, on bande vers soi, vers soi, pour soi
en d’autres mots, il y a tentative de pénétration en nous par noustentative de pénétration dans une forteresse qu’on croyait jusqu’ici impénétrable
mais dont on a eu l’intuition qu’elle ne pourrait être qu’une passoire en fait,
une passoire dont il faut juste trouver les orifices
et puis la manière d’y générer du mouvement, du frottement, avec quelque chose,
beaucoup de mouvements, beaucoup de frottements, oh oui,
tout un travail de patience,
tout un travail de spéléologue dans la chair5 janvier 2020 à 11 h 57 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #35909bzoParticipantje reformule,
la conscience , le moi pensant, est soit dans sa niche,
soit tenu en laisse, mené par quelque chose en moi,
quoi exactement? je ne suis pas sûr,
un conglomérat formé par le désir, les instincts, les pulsions, de l’imagination aussi
jetons-y pour faire bonne mesure, le moi reptilien,
la vérité, c’est que je ne sais pasun moi plus large, différent, en tout cas, tout le corps semble participer de près,
je me sens comme totalement dissous dans mon corps,
mes instincts, mes pulsions, mes fantasmes, semblent là, enfin des tas de choses qui habituellement sont à la cave,
sont là à la manoeuvre très activementle moi pensant, la conscience, donc est tenu en laisse , soit à la niche,
il doit s’effacer le plus vite possible si l’ordre lui est intimé,
à d’autres moments, il est sorti de sa niche et participe à la manoeuvre
mais toujours tenu en laisse,
on ne lui laisse en aucune façon son libre cours habituel, seul dans le siège du pilote,
non juste il assiste un peu, on l’exploite puis on le dit d’aller se coucher dans son coin,
on est ici dans un trip animal, un trip visant les cieux,
un trip visant l’extase, la jouissance, un kaléidoscope infini de nuances dans notre chair,
notre bateau doit pouvoir glisser sur les eaux sans entraves5 janvier 2020 à 11 h 29 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #35908bzoParticipantdans tous les cas de figure,
la conscience, le moi pensant, doit être comme couché dans sa niche
mais comme il est très indiscipliné, jaloux de ses prérogatives habituelles,
il essaiera régulièrement d’en sortir, parfois avec insistance,
il faut l’obliger à chaque fois avec fermeté à y retourner immédiatement,
il n’a rien à faire dans une séance bien menée où l’on dialogue avec sa chair
si l’on veut que le désir puisse nous entraîner bien loin,
la place qu’elle occupe habituellement,
doit devenir et le rester le plus possible,
un terrain de jeu pour les sensations qui montent de partoutce n’est pas tout à fait vrai, je m’autorise de temps en temps une petite pensée,
pour noter un point intéressant dans mon calepin mental , par exemple,
voire quelque chose de plus trivial, qu’est-ce que je vais manger ce soir ou regarder comme film
mais c’est très bref, effectué à la sauvette
pour ne pas nuire à l’élan général de l’action,
c’est une petite gymnastique dont j’ai l’habitude maintenant,
des pensées-éclairsil y a encore beaucoup plus à dire des rapports entre la conscience, le moi pensant
et le flux de l’action, l’élan, ce qui mène celui-ci,
le désir, les instincts, les pulsions, le moi reptilien, que sais-je,
il y a en fait de l’interaction, de la collaboration
mais ce que je décris plus haut, ce sont les bases5 janvier 2020 à 11 h 15 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #35907bzoParticipantil est temps amplement que je travaille des aspects non sexuels de ma pratique,
avoir accès librement et sans restrictions à ses énergies des profondeurs
offre l’opportunité de les vivre de bien des manières,
pas uniquement sexuellestantriques, par exemple, danse de Tandava, bien d’autres sans doute,
à moi d’explorer, éventuellement d’inventer les miennes,
tout devient possible, le plus important est déjà fait,
parvenir à faire monter dans sa chair le flot des vibrations des profondeursla recette pour démarrer pour moi,
il y en a tout un tas en fait
mais le plus facile et le plus rapide, c’est de partir de la contractionc’est un geste à la fois mental et physique qui traverse de multiples strates de notre être,
je le débute la plupart du temps par la contraction donc,
aussitôt enchaînée par une espèce de relâchement de tout mon être,
aussi bien physique, que mentalmentalement, c’est comme si je m’offrais sans réserve, comme si je levais toutes mes défenses,
que je m’ouvrais, me descellais, dans ma chair sans restrictions,
prêt à me laisser emporter partout,
comme si tout mon être intérieur était devenu un fétu de paille prêt à soulevé, ballotté, roulé,
le désir peut m’entraîner, sans frein et sans hésitation
dans toutes les directions qu’il veut,
plus aucune attache nulle part dans mon corps, dans mon être,
tout est descellé, tout est prêt à être entraînécela sous-entend d’avoir pulvérisé, réduit à néant, les frontières de son identité sexuelle,
que n’importe geste, n’importe quel mouvement, n’importe quel balancement du corps, peut arriver,
aussi féminin, aussi lascif, aussi non habituel, voire maladif qu’il puisse paraître à la conscience
rien n’est freiné en aucune manière, le désir fait tout ce qu’il veut,
fait de moi tout ce qu’il veutphysiquement cet relâchement,
c’est comme si toute la tension qu’il y a dans mon corps,
se retirait et allait se loger dans la contraction
mais aussi éventuellement quelques autres points ou lignes de tension reliant différentes parties de mon corps
formées par mes bras et mes mains pressant contre mon corps, plus ou moins forts,
comme je l’ai décrit dans un texte plus haut,
ces bras et ces mains ainsi, collés à diverses parties de mon corps,
semblent changer la géographie de la circulation des énergies,
tout le reste semblent neutre, inerte mais fortement conducteur
comme offert aussi à la manipulation, aussi bien extérieure qu’intérieureles bras et les mains peuvent aussi se décoller du corps dans un contexte non sexuel, j’ai remarqué,
bouger dans l’espace, semblant comme brasser les énergies qui circulent dans le corps,
les mouvoir comme si c’étaient des voiles se déplaçant doucement en nousla circulation des énergies hors contexte sexuel, crée une sensation d’allègement très puissant,
on ne sent bientôt plus que ces voiles de vibrations se déplaçant lentement en nous,
brasser par les bras dansant lentement dans l’espacedans tous les cas de figure,
la conscience, le moi pensant, doit être comme couché dans sa niche
mais comme il est très indiscipliné, jaloux de ses prérogatives habituelles,
il essaiera régulièrement d’en sortir, parfois avec insistance,
il faut l’obliger à chaque fois avec fermeté à y retourner immédiatement,
il n’a rien à faire dans une séance bien menée où l’on dialogue avec sa chair
si l’on veut que le désir puisse nous entraîner bien loin,
la place qu’elle occupe habituellement,
doit devenir et le rester le plus possible,
un terrain de jeu pour les sensations qui montent de partout5 janvier 2020 à 9 h 48 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #35906bzoParticipantquelques petits réajustements du texte au-dessus:
ce corps a besoin de deux sortes de nourriture ici-bas,
les aliments qui assurent sa survie
et le plaisir sexuel qui lui fait goûter à la vie
comme à un cheval qu’on dételle de l’attelage qu’il tire quelques instants
pour lui permettre de galoper librements’offrir des ébats, offrir des ébats à ce corps,
c’est le sentir libre sous nous, chevauchant libre comme le vent,
à nous de bien saisir l’occasion, de nous montrer à la hauteur
et de galoper de concert avec lui, serré tout contre lui, faisant un avec lui5 janvier 2020 à 1 h 10 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #35905bzoParticipantà nous de bien saisir l’occasion
et de galoper avec lui, se serrant contre lui, faisant un avec lui5 janvier 2020 à 0 h 36 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #35902bzoParticipantce corps a besoin de deux sortes de nourriture,
d’une part les aliments et puis d’autre part le plaisir sexuel, la voluptéles aliments assurent la survie de ce corps,
le plaisir sexuel, la volupté, lui font goûter à la vie véritablement,
comme un cheval qu’on dételle de l’attelage qu’il tire
pour lui permettre de galoper librement quelques instantss’offrir des ébats, offrir des ébats à ce corps,
c’est le sentir libre sous nous, galopant,
libre comme le ventbzoParticipantmerci beaucoup @andraneros
beaucoup de moments passionnants, de moments incandescents, dans ta chair, à toi aussi
et à tous ceux aussi qui se lancent dans cette quête de ressources cachées en nous
pour vivre des moments sexuels, des moments sensuels, autrement4 janvier 2020 à 9 h 48 min en réponse à : Mon retour, mon cheminement (qui ressemble aux vôtres) #35872bzoParticipantPar une simple concentration mentale, j’ai réussit à ressentir du plaisir et des vagues de plaisirs qui m’ont envahits. Cela n’a pas durée très longtemps et j’ai pu retenter l’expérience à plusieurs reprises. J’ai l’impression de contrôler ma prostate plus facilement maintenant
j’ai eu le droit à une autre expérience un peu étrange et assez difficile à décrire car celle-ci ayant eu lieu pendant mon sommeil. Un soir au couché, je me suis concentré pour ma prostate et les sensations qu elle pouvait me donner. A plusieurs reprises j’ai senti ma prostate qui gonflait, le rythme cardiaque qui augmentait et quelques très brèves instant où je me sentais très léger.
évoquer ces énergies vives, ces énergies subtiles, que nous avons au fond de nous,
leur potentiel, c’est comme évoquer des capacités de sorcellerie que nous avons en nous,
tellement les sensations deviennent sans limites, riches, puissantes et diversifiées
dès que nous avons un accès privilégié à elles, dans nos profondeursalors oui ce que tu évoques est possible, cela me rappelle certains moments que j’ai déjà eus,
je n’ai pas poussé plus loin car j’aime utiliser mes mains,
j’aime bouger mon corps, j’aime caresser ma peau,
j’aime effectuer ces contractions qui me font vivre et ressentir,
en même temps du côté de la femme et de l’homme, une pénétration,
presser inlassablement avec mes cuisses comme dans un slow sensuel, mes couilles, mon sexe,
action qui me fait ressentir une volupté ineffable dans tout le corpsmais donc j’ai déjà eu aussi des moments où je n’ai eu que le mental comme déclencheur
des moments de sensations très agréables, sans rien bouger, juste en me concentrant,
cela doit pouvoir se développercela me rappelle irrésistiblement @ch313
qui ne vient plus depuis un certain temps
mais dont les uniques déclencheurs étaient mentaux
et lui donnaient un accès total et sans restrictions à ses sources d’énergie
pour vivre avec une puissance magnifique, inégalée, des ébats androgynes dans sa chair,
il ne se touchait pas, bougeait peu, si j’ai bien compris,
enfin si mouvement et action du corps, il y avait,
ils étaient plutôt les conséquences non contrôlées de son excitation,
c’est toujours avec des “mains mentales” qu’il se caressait avant tout
ou plutôt je devrais écrire avec “des mains mentales qu’ils se caressaient en lui,
le masculin et le féminin,
faisaient de sa chair le lieu privilégié de leurs ébatsbzoParticipantbon, ce n’était plus arrivé depuis un certain temps,
c’est la première de l’année,
je dirais même la première de la décadeil est au panier à salade,
mon dernier né4 janvier 2020 à 1 h 02 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #35869bzoParticipantil y a quelque chose d’extraordinairement émouvant à parvenir à une telle complicité avec son corps,
à parvenir à ce qu’il se livre comme cela, à ce qu’il se révèle comme cela,
à ce qu’il nous emporte comme celaun corps à corps ardent du cavalier avec sa monture,
ils ne font plus qu’un, serrés l’un contre l’autre, tantôt au galop, tantôt au trot,
la cadence des sabots empli leur âme et leur cœur,
du doux rythme, du lancinant rythme, au contact répété de la terrec’est notre propre corps, cet amas de chair, d’os et de sang
et pourtant vécu autrement, habité autrement,
il y a comme de l’altérité en nous, une autre version de nous, en nous,
une version complémentairece corps, tellement il peut paraître étranger à nous par moments,
réagir différemment, vibrer de sensations inhabituelles
comme s’il était un peu devenu celui de quelqu’un d’autre,
en même temps que le notretelle est la zone d’ombre en nous,
que si nous parvenons à invoquer tout cela un peu puissamment dans la durée,
c’est comme si nous devenions un autre en nous,
plus riche, plus complexe, plus mystérieux, plus connecté en même temps au ciel et à l’animal
jouissant solairement,
d’un bloc des pieds à la têtel’altérité est en nous aussi donc, pas seulement hors de nous,
l’autre en nous, c’est ce que nous avons tous et toutes en commun,
trouver cet autre en nous, c’est aller immanquablement vers l’autre hors de nous aussi
mais par les souterrains, par les dédales sombres dans nos profondeurs, par la caveplonger en nous en se laissant entraîner par le grand désir,
en quêtes des forces les plus vives de la vie,
faire boire à cette source, notre chair,
s’en abreuver encore et encore,
jouir de toutes ces vibrations cristallines libérées,
laisser danser et chanter librement notre chair dans l’incandescence ineffable de l’instant,
est une aventure solaire,
un cheminement d’ouverture extraordinaire peu à peu et d’épanouissementbaignant dans l’apaisante douceur du plaisir,
il y a comme un baiser céleste dans mon âme,
en même temps que dans mon cul3 janvier 2020 à 19 h 36 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #35865bzoParticipanthum, je rectifie le texte au-dessus pour qu’il exprime bien ce que j’ai voulu dire
avant la naissance, il y a toute une période où l’on est en même temps homme et femme,
on le reste quelque part toute sa vie,
même si une grande partie de tout cela, est remisée à la cave,
nos pratiques consistent essentiellement, à mon avis,
à essayer de faire interagir de mille et une façons ces deux pôles
dont l’un est enfoui au plus profond de nous,
à raviver cette dualité,
jusqu’à ce qu’ils forment à nouveau un arc tendu en nous
qui vibre sur toute sa longueur
et puisse envoyer de délicieuses, d’ineffables, flèches qui se perdent dans les cieux3 janvier 2020 à 0 h 57 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #35859bzoParticipanton est né tous, en même temps homme et femme,
on le reste quelque part toute sa vie,
même si une grande partie de tout cela, est remisée à la cave,
nos pratiques consistent, essentiellement à mon avis,
à essayer de faire interagir de mille et une façons ces deux pôles,
à raviver cette dualité,
à faire à ce qu’ils forment à nouveau un arc tendu en nous
qui vibre sur toute sa longueur et envoie de délicieuses, d’ineffables, flèches3 janvier 2020 à 0 h 53 min en réponse à : Sexploratrices et sexplorateurs bonne année 2020 ! #35858bzoParticipanthé hé, tu prends soin de bien inclure tout le monde,
des mots qui ratissent aussi large que possible
comme des bras grands ouverts et bienveillantsnouvelle année, nouvelle décade,
nous plongeons vertigineusement dans un avenir de plus en plus incertain,
on est là cependant pour encore un peu de temps,
alors autant faire de notre mieux avec ce que l’on a sous la main
pour vivre décemment
et essayer d’éveiller plein de douceurs dans notre chair,
le désir peut flamboyer comme un rire intemporel en nous,
comme une lumière ineffable dans notre sanget puis on a par ici un refuge où la libre parole sur le sexe,
est érigée en principe sacré
et où l’entraide n’est pas un vain mot,
que gagnent lentement du terrain dans l’esprit des gens
la tolérance et l’ouverture d’esprit
et qu’ils se lancent avec curiosité, audace et respect
dans l’exploration des ressources de leur propre corps
et du corps des autresbonne année de décadence, de stupre et de foutage tous horizons à tous et à toutes,
je vous embrasse bien chaleureusement2 janvier 2020 à 22 h 16 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #35856bzoParticipantles bras avec les mains dans ma façon de pratiquer,
caressent tout le corps, sauf les parties génitales,
aussi les doigts s’aventurent derrière, explorent la petite fente, y farfouillent, explorentmais dernièrement j’ai découvert qu’il y avait aussi une autre façon de les utiliser
et c’est peut-être même la façon la plus puissante de se servir des bras et des mains,
dans cette manière, ils restent bien en contact avec le corps,
avec différentes parties de celui-ci
mais sont relativement inertes, collés à la peau, serrées contre la peau,
comme enlaçant, parfois sans bouger pendant de longues secondes,
parfois pressant un peu plus ou au contraire, relâchant la pression,
se déplaçant un petit peu, imperceptiblement, par petites touches, centimètre par centimètre,
comme explorant la peau au microscopeparfois soudainement s’animant pendant quelques secondes, vont caresser un sein, un flanc,
fiévreusement, ardemment ou alors avec une sensuelle lenteur
puis reprennent leur manège d’immobilité ou quasi, en un autre endroitde quoi s’agit-il?
il s’agit ici d’exploiter d’autres propriétés que je découvre peu à peu,
par un simple contact insistant, changeant un peu la pression,
se déplaçant moins, nettement moins,
les bras et les mains agissent comme des conducteurs, des canalisateurs, ils relient, forment des ponts,
des circuits accélérant, dirigeant, concentrant,
les énergies passent à travers eux d’une partie du corps à une autre,
les bras avec les mains relient des pans entiers de corps plus puissamment entre eux,
créent des points de focus, des points de concentration d’énergies,
des autoroute d’énergie où elles semblent se déplacer à plus grande vitesse
comme si elles prenaient un raccourci d’un endroit à un autrec’est assez mystérieux mais c’est là, cela fonctionne, j’en témoigne,
cela en alternance avec des moments, plus courts
où les mains retrouvent leur liberté de parcourir la peau, de caresser , de palper, de frotter, de presser,
c’est très très puissant et délicieux, ces alternancesune synchronisation où l’immobilité ou quasi immobilité, des bras et des mains
est coordonnée avec une activité intense dans le bassin de contractions
et de pressions des cuisses sur les génitaux,
se fait tout naturellementquand les mains reprennent leurs balades sensuelles sur la peau,
l’activité dans le bassin change, les contractions s’arrêtent
le corps se met en mode liane lascive, avec beaucoup d’ondulations,
de danse langoureuse des hanches, du bassin,
et puis libre cours au frotti-frotta délicieux des cuisses avec les génitaux,
ce sont des moments avant tout de volupté soyeuse,
alors que les contractions, bien sûr,
font vivre, font ressentir, des moments de pénétration, de va et vientbzoParticipanten tout cas,
merci d’avoir accepté mon petit caprice de nouvel an, @andraneroscar c’est sans doute, pas grand chose de plus que cela, un caprice
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