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  • en réponse à : Ma prostate me donne enfin cet orgasme tant attendu #35922
    bzo
    Participant

    tu es dans la bonne direction, avec le bon état d’esprit
    et avec un bon rythme!

    bravo et bonne continuation,
    cela fait vraiment plaisir de voir quelqu’un découvrir ces trésors en lui
    et de commencer à en profiter de plus en plus et de mieux en mieux

    appréciant ces bienfaits à leur juste valeur, c’est important cela
    car les gens ne se rendent pas toujours compte à quel point c’est exceptionnel et rare
    de pouvoir déguster pareilles sensations générées en eux tout seul

    bzo
    Participant

    mes caresses m’entraînent comme des rames
    allant et venant de part et d’autre d’une barque sur l’onde
    la chair se descelle progressivement, part à la dérive
    on est déjà à côté du monde,
    comme dans un nid sur les hauteurs de l’instant,
    règne bref des énergies,
    un château ailé resplendit dans toute sa splendeur

    bzo
    Participant

    je pratique tellement peu au lit ces derniers temps,
    cela ne m’attire pas du tout, même en aneroless

    pourquoi?
    eh bien parce ces multiples micro-séances intégrées dans mon quotidien
    mais je ne devrais même plus appeler comme cela, ces moments
    car justement leur intégration dans mon quotidien est telle,
    ils en font tellement naturellement partie, ces moments de dialogue avec ma chair
    où que je sois dans mon appartement, quoique je fasse,
    venant s’entremêler intimement dans mes gestes, dans mes mouvements, de mes tâches domestiques,
    les décorant, les rehaussant d’un kaléidoscope de nuances de sensations,
    de variétés de jouissance

    moments magiquement trouble et transgressif de pendre mon linge, de me faire un thé
    et en même temps de jouir doucement de longues secondes durant,
    entremêlant les gestes de mon plaisir androgyne et les gestes les plus triviaux,
    une sorte de ballet de funambule sexuel que j’adore

    c’est cela que j’aime avant tout pour l’instant,
    la façon dont je suis parvenu à rendre mon quotidien sexuel, sensuel, à chaque instant
    avec des plongées vertigineuses dans la volupté en quelques fractions de secondes
    avec à peine quelques gestes, quelques mouvements
    sans me déplacer jusqu’à un endroit spécial pour cela,
    sans dédier des moments uniquement à cela

    en réponse à : Gros bug dans l’édition d’un message #35914
    bzo
    Participant

    monsieur @andraneros,
    je requiers votre expertise de repêcheur de messages entortillés dans les filets du gendarme invisible du forum

    bzo
    Participant

    on peut bander de deux manières,
    l’une, la plus commune, la plus pratiquée très majoritairement,
    c’est vers l’extérieur, la petite colonne de chair dressée fièrement, gorgée de sang,
    l’autre, nettement plus rare, nettement plus confidentielle,
    c’est bander vers l’intérieur

    quand on bande vers l’intérieur,
    il n’y a pas de petite colonne de chair dressée fièrement, gorgée de sang,
    il y a un pénis flasque, indolent, rabougri, pendouillant
    mais derrière cette façade de gros ver débonnaire au repos,
    il y a un bouquet dense d’ondes s’élançant, filant à partir des génitaux, filant à partir de l’anus,
    se répandant vers l’intérieur,
    une érection majestueuse de vibrations s’élançant à l’assaut de la chair tendre des organes,
    les pénétrant, les frottant, les fouillant, les tripatouillant, les retournant dans tous les sens,
    montant jusqu’au cerveau, y explosant en feux d’artifice, en coulées de miel chaud

    quand on bande vers le dehors, on bande vers quelqu’un d’autre,
    quelqu’un d’autre de réel ou d’imaginaire, de fantasmé, voire même de non exprimé en aucune manière,
    alors que quand on bande vers l’intérieur, on bande vers soi, vers soi, pour soi
    en d’autres mots, il y a tentative de pénétration en nous par nous

    tentative de pénétration dans une forteresse qu’on croyait jusqu’ici impénétrable
    mais dont on a eu l’intuition qu’elle ne pourrait être qu’une passoire en fait,
    une passoire dont il faut juste trouver les orifices
    et puis la manière d’y générer du mouvement, du frottement, avec quelque chose,
    beaucoup de mouvements, beaucoup de frottements, oh oui,
    tout un travail de patience,
    tout un travail de spéléologue dans la chair

    bzo
    Participant

    je reformule,
    la conscience , le moi pensant, est soit dans sa niche,
    soit tenu en laisse, mené par quelque chose en moi,
    quoi exactement? je ne suis pas sûr,
    un conglomérat formé par le désir, les instincts, les pulsions, de l’imagination aussi
    jetons-y pour faire bonne mesure, le moi reptilien,
    la vérité, c’est que je ne sais pas

    un moi plus large, différent, en tout cas, tout le corps semble participer de près,
    je me sens comme totalement dissous dans mon corps,
    mes instincts, mes pulsions, mes fantasmes, semblent là, enfin des tas de choses qui habituellement sont à la cave,
    sont là à la manoeuvre très activement

    le moi pensant, la conscience, donc est tenu en laisse , soit à la niche,
    il doit s’effacer le plus vite possible si l’ordre lui est intimé,
    à d’autres moments, il est sorti de sa niche et participe à la manoeuvre
    mais toujours tenu en laisse,
    on ne lui laisse en aucune façon son libre cours habituel, seul dans le siège du pilote,
    non juste il assiste un peu, on l’exploite puis on le dit d’aller se coucher dans son coin,
    on est ici dans un trip animal, un trip visant les cieux,
    un trip visant l’extase, la jouissance, un kaléidoscope infini de nuances dans notre chair,
    notre bateau doit pouvoir glisser sur les eaux sans entraves

    bzo
    Participant

    dans tous les cas de figure,
    la conscience, le moi pensant, doit être comme couché dans sa niche
    mais comme il est très indiscipliné, jaloux de ses prérogatives habituelles,
    il essaiera régulièrement d’en sortir, parfois avec insistance,
    il faut l’obliger à chaque fois avec fermeté à y retourner immédiatement,
    il n’a rien à faire dans une séance bien menée où l’on dialogue avec sa chair
    si l’on veut que le désir puisse nous entraîner bien loin,
    la place qu’elle occupe habituellement,
    doit devenir et le rester le plus possible,
    un terrain de jeu pour les sensations qui montent de partout

    ce n’est pas tout à fait vrai, je m’autorise de temps en temps une petite pensée,
    pour noter un point intéressant dans mon calepin mental , par exemple,
    voire quelque chose de plus trivial, qu’est-ce que je vais manger ce soir ou regarder comme film
    mais c’est très bref, effectué à la sauvette
    pour ne pas nuire à l’élan général de l’action,
    c’est une petite gymnastique dont j’ai l’habitude maintenant,
    des pensées-éclairs

    il y a encore beaucoup plus à dire des rapports entre la conscience, le moi pensant
    et le flux de l’action, l’élan, ce qui mène celui-ci,
    le désir, les instincts, les pulsions, le moi reptilien, que sais-je,
    il y a en fait de l’interaction, de la collaboration
    mais ce que je décris plus haut, ce sont les bases

    bzo
    Participant

    il est temps amplement que je travaille des aspects non sexuels de ma pratique,
    avoir accès librement et sans restrictions à ses énergies des profondeurs
    offre l’opportunité de les vivre de bien des manières,
    pas uniquement sexuelles

    tantriques, par exemple, danse de Tandava, bien d’autres sans doute,
    à moi d’explorer, éventuellement d’inventer les miennes,
    tout devient possible, le plus important est déjà fait,
    parvenir à faire monter dans sa chair le flot des vibrations des profondeurs

    la recette pour démarrer pour moi,
    il y en a tout un tas en fait
    mais le plus facile et le plus rapide, c’est de partir de la contraction

    c’est un geste à la fois mental et physique qui traverse de multiples strates de notre être,
    je le débute la plupart du temps par la contraction donc,
    aussitôt enchaînée par une espèce de relâchement de tout mon être,
    aussi bien physique, que mental

    mentalement, c’est comme si je m’offrais sans réserve, comme si je levais toutes mes défenses,
    que je m’ouvrais, me descellais, dans ma chair sans restrictions,
    prêt à me laisser emporter partout,
    comme si tout mon être intérieur était devenu un fétu de paille prêt à soulevé, ballotté, roulé,
    le désir peut m’entraîner, sans frein et sans hésitation
    dans toutes les directions qu’il veut,
    plus aucune attache nulle part dans mon corps, dans mon être,
    tout est descellé, tout est prêt à être entraîné

    cela sous-entend d’avoir pulvérisé, réduit à néant, les frontières de son identité sexuelle,
    que n’importe geste, n’importe quel mouvement, n’importe quel balancement du corps, peut arriver,
    aussi féminin, aussi lascif, aussi non habituel, voire maladif qu’il puisse paraître à la conscience
    rien n’est freiné en aucune manière, le désir fait tout ce qu’il veut,
    fait de moi tout ce qu’il veut

    physiquement cet relâchement,
    c’est comme si toute la tension qu’il y a dans mon corps,
    se retirait et allait se loger dans la contraction
    mais aussi éventuellement quelques autres points ou lignes de tension reliant différentes parties de mon corps
    formées par mes bras et mes mains pressant contre mon corps, plus ou moins forts,
    comme je l’ai décrit dans un texte plus haut,
    ces bras et ces mains ainsi, collés à diverses parties de mon corps,
    semblent changer la géographie de la circulation des énergies,
    tout le reste semblent neutre, inerte mais fortement conducteur
    comme offert aussi à la manipulation, aussi bien extérieure qu’intérieure

    les bras et les mains peuvent aussi se décoller du corps dans un contexte non sexuel, j’ai remarqué,
    bouger dans l’espace, semblant comme brasser les énergies qui circulent dans le corps,
    les mouvoir comme si c’étaient des voiles se déplaçant doucement en nous

    la circulation des énergies hors contexte sexuel, crée une sensation d’allègement très puissant,
    on ne sent bientôt plus que ces voiles de vibrations se déplaçant lentement en nous,
    brasser par les bras dansant lentement dans l’espace

    dans tous les cas de figure,
    la conscience, le moi pensant, doit être comme couché dans sa niche
    mais comme il est très indiscipliné, jaloux de ses prérogatives habituelles,
    il essaiera régulièrement d’en sortir, parfois avec insistance,
    il faut l’obliger à chaque fois avec fermeté à y retourner immédiatement,
    il n’a rien à faire dans une séance bien menée où l’on dialogue avec sa chair
    si l’on veut que le désir puisse nous entraîner bien loin,
    la place qu’elle occupe habituellement,
    doit devenir et le rester le plus possible,
    un terrain de jeu pour les sensations qui montent de partout

    bzo
    Participant

    quelques petits réajustements du texte au-dessus:

    ce corps a besoin de deux sortes de nourriture ici-bas,
    les aliments qui assurent sa survie
    et le plaisir sexuel qui lui fait goûter à la vie
    comme à un cheval qu’on dételle de l’attelage qu’il tire quelques instants
    pour lui permettre de galoper librement

    s’offrir des ébats, offrir des ébats à ce corps,
    c’est le sentir libre sous nous, chevauchant libre comme le vent,
    à nous de bien saisir l’occasion, de nous montrer à la hauteur
    et de galoper de concert avec lui, serré tout contre lui, faisant un avec lui

    bzo
    Participant

    à nous de bien saisir l’occasion
    et de galoper avec lui, se serrant contre lui, faisant un avec lui

    bzo
    Participant

    ce corps a besoin de deux sortes de nourriture,
    d’une part les aliments et puis d’autre part le plaisir sexuel, la volupté

    les aliments assurent la survie de ce corps,
    le plaisir sexuel, la volupté, lui font goûter à la vie véritablement,
    comme un cheval qu’on dételle de l’attelage qu’il tire
    pour lui permettre de galoper librement quelques instants

    s’offrir des ébats, offrir des ébats à ce corps,
    c’est le sentir libre sous nous, galopant,
    libre comme le vent

    en réponse à : Gros bug dans l’édition d’un message #35875
    bzo
    Participant

    merci beaucoup @andraneros

    beaucoup de moments passionnants, de moments incandescents, dans ta chair, à toi aussi
    et à tous ceux aussi qui se lancent dans cette quête de ressources cachées en nous
    pour vivre des moments sexuels, des moments sensuels, autrement

    en réponse à : Mon retour, mon cheminement (qui ressemble aux vôtres) #35872
    bzo
    Participant

    Par une simple concentration mentale, j’ai réussit à ressentir du plaisir et des vagues de plaisirs qui m’ont envahits. Cela n’a pas durée très longtemps et j’ai pu retenter l’expérience à plusieurs reprises. J’ai l’impression de contrôler ma prostate plus facilement maintenant

    j’ai eu le droit à une autre expérience un peu étrange et assez difficile à décrire car celle-ci ayant eu lieu pendant mon sommeil. Un soir au couché, je me suis concentré pour ma prostate et les sensations qu elle pouvait me donner. A plusieurs reprises j’ai senti ma prostate qui gonflait, le rythme cardiaque qui augmentait et quelques très brèves instant où je me sentais très léger.

    évoquer ces énergies vives, ces énergies subtiles, que nous avons au fond de nous,
    leur potentiel, c’est comme évoquer des capacités de sorcellerie que nous avons en nous,
    tellement les sensations deviennent sans limites, riches, puissantes et diversifiées
    dès que nous avons un accès privilégié à elles, dans nos profondeurs

    alors oui ce que tu évoques est possible, cela me rappelle certains moments que j’ai déjà eus,
    je n’ai pas poussé plus loin car j’aime utiliser mes mains,
    j’aime bouger mon corps, j’aime caresser ma peau,
    j’aime effectuer ces contractions qui me font vivre et ressentir,
    en même temps du côté de la femme et de l’homme, une pénétration,
    presser inlassablement avec mes cuisses comme dans un slow sensuel, mes couilles, mon sexe,
    action qui me fait ressentir une volupté ineffable dans tout le corps

    mais donc j’ai déjà eu aussi des moments où je n’ai eu que le mental comme déclencheur
    des moments de sensations très agréables, sans rien bouger, juste en me concentrant,
    cela doit pouvoir se développer

    cela me rappelle irrésistiblement @ch313
    qui ne vient plus depuis un certain temps
    mais dont les uniques déclencheurs étaient mentaux
    et lui donnaient un accès total et sans restrictions à ses sources d’énergie
    pour vivre avec une puissance magnifique, inégalée, des ébats androgynes dans sa chair,
    il ne se touchait pas, bougeait peu, si j’ai bien compris,
    enfin si mouvement et action du corps, il y avait,
    ils étaient plutôt les conséquences non contrôlées de son excitation,
    c’est toujours avec des “mains mentales” qu’il se caressait avant tout
    ou plutôt je devrais écrire avec “des mains mentales qu’ils se caressaient en lui,
    le masculin et le féminin,
    faisaient de sa chair le lieu privilégié de leurs ébats

    en réponse à : Gros bug dans l’édition d’un message #35870
    bzo
    Participant

    bon, ce n’était plus arrivé depuis un certain temps,
    c’est la première de l’année,
    je dirais même la première de la décade

    il est au panier à salade,
    mon dernier né

    bzo
    Participant

    il y a quelque chose d’extraordinairement émouvant à parvenir à une telle complicité avec son corps,
    à parvenir à ce qu’il se livre comme cela, à ce qu’il se révèle comme cela,
    à ce qu’il nous emporte comme cela

    un corps à corps ardent du cavalier avec sa monture,
    ils ne font plus qu’un, serrés l’un contre l’autre, tantôt au galop, tantôt au trot,
    la cadence des sabots empli leur âme et leur cœur,
    du doux rythme, du lancinant rythme, au contact répété de la terre

    c’est notre propre corps, cet amas de chair, d’os et de sang
    et pourtant vécu autrement, habité autrement,
    il y a comme de l’altérité en nous, une autre version de nous, en nous,
    une version complémentaire

    ce corps, tellement il peut paraître étranger à nous par moments,
    réagir différemment, vibrer de sensations inhabituelles
    comme s’il était un peu devenu celui de quelqu’un d’autre,
    en même temps que le notre

    telle est la zone d’ombre en nous,
    que si nous parvenons à invoquer tout cela un peu puissamment dans la durée,
    c’est comme si nous devenions un autre en nous,
    plus riche, plus complexe, plus mystérieux, plus connecté en même temps au ciel et à l’animal
    jouissant solairement,
    d’un bloc des pieds à la tête

    l’altérité est en nous aussi donc, pas seulement hors de nous,
    l’autre en nous, c’est ce que nous avons tous et toutes en commun,
    trouver cet autre en nous, c’est aller immanquablement vers l’autre hors de nous aussi
    mais par les souterrains, par les dédales sombres dans nos profondeurs, par la cave

    plonger en nous en se laissant entraîner par le grand désir,
    en quêtes des forces les plus vives de la vie,
    faire boire à cette source, notre chair,
    s’en abreuver encore et encore,
    jouir de toutes ces vibrations cristallines libérées,
    laisser danser et chanter librement notre chair dans l’incandescence ineffable de l’instant,
    est une aventure solaire,
    un cheminement d’ouverture extraordinaire peu à peu et d’épanouissement

    baignant dans l’apaisante douceur du plaisir,
    il y a comme un baiser céleste dans mon âme,
    en même temps que dans mon cul

    bzo
    Participant

    hum, je rectifie le texte au-dessus pour qu’il exprime bien ce que j’ai voulu dire

    avant la naissance, il y a toute une période où l’on est en même temps homme et femme,
    on le reste quelque part toute sa vie,
    même si une grande partie de tout cela, est remisée à la cave,
    nos pratiques consistent essentiellement, à mon avis,
    à essayer de faire interagir de mille et une façons ces deux pôles
    dont l’un est enfoui au plus profond de nous,
    à raviver cette dualité,
    jusqu’à ce qu’ils forment à nouveau un arc tendu en nous
    qui vibre sur toute sa longueur
    et puisse envoyer de délicieuses, d’ineffables, flèches qui se perdent dans les cieux

    bzo
    Participant

    on est né tous, en même temps homme et femme,
    on le reste quelque part toute sa vie,
    même si une grande partie de tout cela, est remisée à la cave,
    nos pratiques consistent, essentiellement à mon avis,
    à essayer de faire interagir de mille et une façons ces deux pôles,
    à raviver cette dualité,
    à faire à ce qu’ils forment à nouveau un arc tendu en nous
    qui vibre sur toute sa longueur et envoie de délicieuses, d’ineffables, flèches

    en réponse à : Sexploratrices et sexplorateurs bonne année 2020 ! #35858
    bzo
    Participant

    hé hé, tu prends soin de bien inclure tout le monde,
    des mots qui ratissent aussi large que possible
    comme des bras grands ouverts et bienveillants

    nouvelle année, nouvelle décade,
    nous plongeons vertigineusement dans un avenir de plus en plus incertain,
    on est là cependant pour encore un peu de temps,
    alors autant faire de notre mieux avec ce que l’on a sous la main
    pour vivre décemment
    et essayer d’éveiller plein de douceurs dans notre chair,
    le désir peut flamboyer comme un rire intemporel en nous,
    comme une lumière ineffable dans notre sang

    et puis on a par ici un refuge où la libre parole sur le sexe,
    est érigée en principe sacré
    et où l’entraide n’est pas un vain mot,
    que gagnent lentement du terrain dans l’esprit des gens
    la tolérance et l’ouverture d’esprit
    et qu’ils se lancent avec curiosité, audace et respect
    dans l’exploration des ressources de leur propre corps
    et du corps des autres

    bonne année de décadence, de stupre et de foutage tous horizons à tous et à toutes,
    je vous embrasse bien chaleureusement

    bzo
    Participant

    les bras avec les mains dans ma façon de pratiquer,
    caressent tout le corps, sauf les parties génitales,
    aussi les doigts s’aventurent derrière, explorent la petite fente, y farfouillent, explorent

    mais dernièrement j’ai découvert qu’il y avait aussi une autre façon de les utiliser
    et c’est peut-être même la façon la plus puissante de se servir des bras et des mains,
    dans cette manière, ils restent bien en contact avec le corps,
    avec différentes parties de celui-ci
    mais sont relativement inertes, collés à la peau, serrées contre la peau,
    comme enlaçant, parfois sans bouger pendant de longues secondes,
    parfois pressant un peu plus ou au contraire, relâchant la pression,
    se déplaçant un petit peu, imperceptiblement, par petites touches, centimètre par centimètre,
    comme explorant la peau au microscope

    parfois soudainement s’animant pendant quelques secondes, vont caresser un sein, un flanc,
    fiévreusement, ardemment ou alors avec une sensuelle lenteur
    puis reprennent leur manège d’immobilité ou quasi, en un autre endroit

    de quoi s’agit-il?
    il s’agit ici d’exploiter d’autres propriétés que je découvre peu à peu,
    par un simple contact insistant, changeant un peu la pression,
    se déplaçant moins, nettement moins,
    les bras et les mains agissent comme des conducteurs, des canalisateurs, ils relient, forment des ponts,
    des circuits accélérant, dirigeant, concentrant,
    les énergies passent à travers eux d’une partie du corps à une autre,
    les bras avec les mains relient des pans entiers de corps plus puissamment entre eux,
    créent des points de focus, des points de concentration d’énergies,
    des autoroute d’énergie où elles semblent se déplacer à plus grande vitesse
    comme si elles prenaient un raccourci d’un endroit à un autre

    c’est assez mystérieux mais c’est là, cela fonctionne, j’en témoigne,
    cela en alternance avec des moments, plus courts
    où les mains retrouvent leur liberté de parcourir la peau, de caresser , de palper, de frotter, de presser,
    c’est très très puissant et délicieux, ces alternances

    une synchronisation où l’immobilité ou quasi immobilité, des bras et des mains
    est coordonnée avec une activité intense dans le bassin de contractions
    et de pressions des cuisses sur les génitaux,
    se fait tout naturellement

    quand les mains reprennent leurs balades sensuelles sur la peau,
    l’activité dans le bassin change, les contractions s’arrêtent
    le corps se met en mode liane lascive, avec beaucoup d’ondulations,
    de danse langoureuse des hanches, du bassin,
    et puis libre cours au frotti-frotta délicieux des cuisses avec les génitaux,
    ce sont des moments avant tout de volupté soyeuse,
    alors que les contractions, bien sûr,
    font vivre, font ressentir, des moments de pénétration, de va et vient

    en réponse à : Gros bug dans l’édition d’un message #35855
    bzo
    Participant

    en tout cas,
    merci d’avoir accepté mon petit caprice de nouvel an, @andraneros

    car c’est sans doute, pas grand chose de plus que cela, un caprice

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