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  • #44819

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    le plaisir en mode yin,

    a encore tellement à m’apprendre,

    un de ses plus grands secrets, est, je crois,

    l’équilibre entre les différents types d’ondes,

    plus particulièrement,

    entre les ondes génitales et les ondes prostatiques

     

    au plus, on augmente les génitales,

    au plus la quantité de volupté ressentie, augmente

    mais au plus, on accentue la quantité d’ondes prostatiques,

    au plus, on semble décoller, au plus on semble prendre de l’altitude,

    au plus l’intensité devient orgasmique

     

    l’art de mixer les deux,

    l’art de les alterner, l’art de les synchroniser,

    l’art de les fusionner

     

    mais un autre grand équilibre à respecter,

    à apprendre à jouer avec,

    est celui des ondes du bassin, avec celles du reste du corps,

    ce reste étant constitué,

    par ce qui est généré par les doigts sur la peau

    et puis par les mouvements, les gestes, les postures,

    les contractions, les tensions, hors du bassin

    et ne tenant pas compte de l’activité des mains gambadeuses

     

    ce second équilibre, on apprend à en tenir compte,

    à le respecter et à jouer avec,

    en faisant dialoguer les parties en présence,

    les mains écoutent le bassin,

    le bassin écoute les mouvements, les gestes, les postures,

    tout cela apprend à se respecter et à jouer la musique, ensemble,

    comme les différents instrumentistes, d’un même orchestre

     

    et même si certains instruments sont plus importants que d’autres,

    il faut apprendre à respecter et à laisser s’exprimer,

    même le plus infime membre de l’orchestre,

    un petit doigt, un cheveu, le moindre cm² de peau,

    a son mot à dire, ses notes à mêler à la mélodie générale

     

    la gestion des différents équilibres,

    des différentes dualités qui nous composent,

    masculin/féminin, étant la principale, dans ce contexte,

    permet de libérer la musique, de la faire monter de toutes parts,

    c’est en même temps, totalement instinctif, tout cela

    et totalement pensé

    mais totalement pensé par le corps,

    à qui l’esprit s’unit et offre ses services,

    le temps de l’action

    #44814
    Onyx
    Participant

    ***RETOUR DE MON CHEMINEMENT***

    Témoignage de mon cheminement depuis la découverte du forum http://www.nouveauxplaisirs.fr qui date de début octobre 2021 suite à quelques recherches que j’avais fait sur la recherche du plaisir prostatique, que je ne connaissais seulement que de nom depuis quelques années, mais sans réellement approfondir le sujet.

    Ma soif de nouvelle expérience et de curiosité, j’ai donc commencé en ce début de mois d’octobre 2021, à parcourir un peu plus en détail le forum (Aneros et Plaisir prostatique). En lisant les différents témoignages et le bouleversement même mental de certain après le réveil prostatique , m’a curiosité ne fût que plus accentué et s’agrandissait de jours en jours sur ce qui était encore pour moi, un plaisir totalement inconnu. Voyant bien que la plupart, voir même, que la majorité des personnes présentes sur ce forum réalisaient leurs premières sessions et sensation prostatique à l’aide de l’ANERO.

    J’ai préféré entamer une autre démarche et n’ayant pas trop l’envie d’investir dedans car, n’étant pas sûr que j’aurais eu réelle satisfaction dans ma phase de recherche de plaisir. J’ai donc commencé mes sessions, sans masseur…

    Et à l’heure ou j’écrit ces lignes, je n’en ai toujours pas acheté. D’ailleurs ce n’est que plusieurs mois plus tard en parcourant ce forum, que j’ai découvert le terme A-less que j’ignorais totalement et qui par la suite, m’a aidé dans la recherche subtile de ce nouveau plaisir.

    ***Début des premières sessions mi-octobre:***

    Dans la phase de recherche de la zone prostatique, j’ai donc commencé mes premières sessions à suivre le procédé présent sur le forum (Note d’Adam) en commençant tout d’abord par la recherche de la zone prostatique sans masseur mais avec l’aide d’un doigt (toujours bien lubrifié) avec une durée des sessions d’environ 1h ou 1h30 selon les soirs.

    Dès mes premières sessions, j’avais déjà une certaine excitation/plaisir juste par la présence d’un doigt dans la région anal et j’avais à chaque fois une érection au début des premières sessions qui au fur et à mesure, ce calmait après quelques minutes avec le début des caresses et en exerçant des petites pressions dans la zone prostatique.

    Pendant ces premiers jours je dois avouer que le plaisir restait très relativement modéré voir même inexistante certains jours et que c’était principalement plus du plaisir anal, même si dans certain moment, il y’avait malgré tout un petit frémissement dans la zone prostatique. Chose qui arrivait rarement.

    Car malgré tout, en regardant du porno pour maintenir ou augmenter mon excitation. je finissais toujours mes sessions par une éjaculation et que lors de ce moment, j’ai constaté qu’avec la pression du doigt au niveau de la zone prostatique, Cela intensifiait grandement et prolongeait mon plaisir avec plus de contraction éjaculatoire.
    J’avais un début de confirmation qu’il y avait bien quelque chose de fou à aller chercher.

    Pendant plusieurs jours/semaine de ce mois de fin octobre, j’ai continué à explorer quasiment tous les soirs avec mon doigt, toujours en massant délicatement la zone prostatique et en finissant toujours par une éjaculation.

    ***Début novembre:***

    Durant ce mois de novembre, il n’y eu guère trop de changement dans ma pratique; Toujours en suivant le procédé (Note d’Adam) et toujours une pratique sur le dos avec les jambes repliés et mon doigt pour masser la zone prostatique. Mais de petite amélioration malgré tout avec la disparition d’une sensation de gêne dans la partie anal durant mes sessions et un “début” de légères sensations agréables après 45min de massage dans la zone prostatique. Ce qui me poussa, certain soir, de prolonger certaine session durant presque 2H.

    Quand cette nouvelle sensation était présente certain soir et, selon le degré d’intensité, j’essayais de garder cette légère sensations agréables le plus longtemps possible en étant le plus possible à l’écoute de mon corps et variant les pressions et les caresses avec mon doigt.
    Lorsque ces sensations furtives de plaisir disparaissait, je finissais mes sessions par habitude toujours par une éjaculation.
    Sur les différentes étapes du voyage prostatique, je devais me retrouver à ce moment là vers l’étape 7.

    ***Début Décembre:***

    Premier léger spasme et contractions de plaisir après une session 1h toujours avec doigt et là! j’ai vraiment compris qu’il y avait un potentiel de plaisir incroyable à aller chercher dans cette zone érogène atypique.
    Chaque session ne ce ressemblait pas; certains soir il ne ce passait rien et d’autres fois j’ arrivais à avoir un degré de plaisir assez satisfaisant en prenant bien le temps de me relaxer et d’être à l’écoute de mon corps.

    Mais de mémoire je crois que pendant une bonne semaine, je n’avais plus vraiment de ressenti intense comme celui que j’avais ressenti en début de ce mois. J’ai eu quelques jours de flottement, ce qui m’a poussé à essayer une nouvelle approche.

    Tout d’abord, j’ai débuté par des entraînements durant mes journées, à bouger/sentir certains muscles (contractions anales et rectales) , en suivant les instructions anero et commencer à reconnaître et prendre conscience des sensations qui venait parfois me titillais ou même à certain moment me chatouillais.
    J’essayais d apprécier au maximum le moindre message de plaisir dans cette zone, ce qui a eu pour effet pour moi, d’une sorte de recâblage mental qui, à force de stimuler certains muscles, cela a dû réveiller certains nerfs je pense dans la zone prostatique.

    J’ajoutais aussi pendant mes sessions du soir, le massages des tétons , ce qui, au bout de 2 jours, m’ont rajouté à me donner du plaisir et en réalisant aussi le lien très étroit qui existe entre prostate et téton.
    Cela m’a vraiment aidé dans le lâcher prise et dans la prise de conscience de mon corps.

    *Durant la période de Noël;*

    Enfin le fameux réveil prostatique!
    Après une session de 2h où j’ai vraiment ciblé la zone qui me titillait tant et en commençant bien à contracter les bons muscles du périnée; j’ai pu avoir mon premier ORGASME
    **Premier déclic !**

    ***Début janvier/février:***

    Arrêt du massage prostatique avec mon doigt et ajout de la découverte de l’ hypnose érotique via le forum pour continuer à m’aider à lâcher prise et en décontractant le plus possible le corps.
    Dès ma deuxième session d’audio d’hypnose érotique (SHIBBYSAYS) j’ai eu ma première éjaculation sans stimulation direct du pénis…Je pensais que cela était totalement impossible! et pourtant…

    j’ai vraiment eu dû mal à réaliser ce qu’il s’était passé. C’était tellement intense et jouissif !

    Simplement en écoutant ses instructions+l’excitation de l’audio, j’étais totalement dans un état d’hypnose profond ou proche d’une trance. À chaque claquement de doigt durant l’audio je ne pouvais m’empêcher de contracter les muscles du périnée ce qui enclenchais au passage des vagues de plaisir totalement nouvelle par leur intensité de plaisir.
    Un niveau de plaisir jamais égalé et mon cœur qui palpitait comme jamais!
    J’avais des piques à +100bpm au moment des grosses montés de plaisir tout en étant allongé dans mon lit d’après ma montre connectée.

    **Deuxième gros déclic!**

    Après cette expérience des plus folles, j’ai décidé d’arrêter provisoirement l’éjaculation tous les soirs et d’intensifier les exercices du périnée en pratiquant tous les jours. Quand je suis assis, durant mes trajets en voiture, durant ma sieste allongé, dès que j’ai un peu de tranquillité.
    Au fur et à mesure des mois et en continuant les sessions d’hypnose et en jouant de plus en plus souvent avec mes tétons, les sensations de plaisir orgasmique étaient de plus en plus présent.

    Les vagues de plaisir arrivaient de plus en vite et mon besoin d’avoir des éjaculation diminuait pour vraiment me concentrer et transférer la zone du plaisir orgasmique vers ce nouveau **TRESOR**. (Le fameux point P).

    Au tout début il fallait au moins 45min pour avoir des sensations en suivant la relaxation et en ajoutant les contractions des muscles.
    Après 3mois de pratiques d’entraînement, la sensation de plaisir agréable arrivait de plus en plus rapidement. 30min.
    20min (Mars)
    10/15min (Avril) et là, à partir du mois d’avril j’avais maintenant sensations de plaisir tous les jours à partir de ce mois
    5min durant cet été
    MAINTENANT (Octobre) en seulement quelques secondes je peux déjà ressentir du plaisir qui irradie déjà toute la zone en fessant quelques contractions.

    ***Janvier/Avril:***
    Durant les semaines et les mois qui passèrent j’ai vraiment commencé à sentir une magnifique évolution dans les sensations d’orgasmes avec l’arrivé de vrais contractions involontaire, le début des vagues de plaisirs qui m’enveloppaient quasiment de la tête au pied.

    Les premiers spasmes plus ou moins incontrôlable.
    Les premiers râles intenses. Le plaisir lié au massage des tétons.
    On ressent la vraie connexion de certaines zones. Et que chaque partie de son corps devenant que pur plaisir.
    Les premières coulés du liquide prostatique.
    Les premiers moments de lâchés prise où l’on perd la notion du temps et que l’on ne peut que suivre ces vagues de plaisir encore et encore, les tremblements des jambes et même du corps tout entier au moment du pic! Jusqu’à ce que la fatigue nous dises stop pour nous ramener sur terre.

    ***Septembre (SESSION SHIBARI)***

    Un premier (GRAND) voyage dans les cordes.
    Quelques minutes en suspension, aveugle, l’esprit qui vagabonde, laissant libre cours aux sensations dans les cordes.
    Puis…Le sentiment que mon esprit qui commence à dériver vers un état de décontraction qui s’accentua au fur et à mesure. Ce sentiment d’être ancré un peu plus dans mon corps grâce aux cordes et sentir une forme de liberté dans la contrainte, déclenchant au même moment, à éveiller une zone que j’affectionne depuis peu…La zone prostatique.
    L’arrivée de légers chatouillement/picotement…sensation subtile mais agréable qui commença à émerger, en prenant conscience que mes muscles (périnée) débuta aussi à se contracter tout seuls …Mon esprit est libre de tout et de rien. Je commence alors à totalement lâcher prise…Les sensations gagnent en finesse, en intensité, l’excitation en moi qui augmente, sentir l’énergie circuler …Les battement de cœur qui s’accélère, sentir le flux sanguin qui vient caresser la zone prostatique, m’amenant un peu plus à perdre pied (sans mauvais jeu de mot malgré la suspension) et commence un peu à m’agiter dans les cordes…
    L’arrivée des premiers râles, cette sensation de chatouillement agréable qui continua de s’amplifier puis qui ce transforma ensuite en contractions/spasmes de plaisir plus ou moins incontrôlable dans la zone prostatique, brouillant mon esprit et irradiant de plaisir tout mon bassin…Mon corps me poussa tout seul vers le début des vagues orgasmiques qui s’intensifiaient de plus en plus allant même par m’envelopper quasiment de la tête au pied.
    Je flottais, engourdi dans un état de bonheur… Me laissant inondé par les sensations tout en étant délicieusement torturé avec la cire, ce qui d’ailleurs, me faisait replonger aussitôt dans les vagues de plaisir à chaque contact. Je ne pouvais qu’accepter sans aucunes questions, sans aucune résistance, ce nouveau type de voyage en perdant totalement la notion du temps…J’étais dans une toute autre DIMENSION !
    Les jours qui suivent, je n’ai eu de cesse d’avoir encore une prise de conscience assez intense de la zone prostatique qui me titillait à longueur de journée, chose encore nouveau pour moi que je n’avais encore jamais eu sur une si longue période. et Je devais me pousser à me concentrer sur autre chose pour oublier ces douces sensations et d’éviter de replonger dans les vagues de plaisir. J’étais encore connecté à ce qu’il s’était passé. C’était un peu perturbant à vrai dire, mais dans le bon sens. Cet effet “Afterglow” (une sorte d’échos orgasmiques) est resté quasiment plus d’une semaine……
    L’intensité de la zone avait encore augmenté!

    ***Octobre:***

    Après cette expérience du moi de septembre, mon corps me donne tous les jours de mini orgasme prostatique sans rien faire. Mes dernières sessions prostatiques son maintenant d’une telle intensité que je pers totalement notion du temps à chaque fois, me laissant dérivé dans les vagues de plaisir.
    Je sais encore que ce n’ai que le début d’un nouveau chemin et qu’il a encore plus d’intensité à avoir…Mais peu importe, le principal pour moi, c’est que je m’éclate quasiment tous les jours avec ces nouvelles sensations orgasmiques.
    Tout cela n’est que pur bonheur !
    Ce cheminement qui a commencé il a maintenant un an, m’a totalement changé… Je suis désormais un nouvel homme multi-orgasmique (100% A-LESS), un homme désormais en lien le plus total avec son corps, aussi bien connecté avec tout le côté féminin et tout le côté masculin que je porte en moi.

    Merci pour ce forum! Et à AdamNXPL pour la qualité de son site.

    #44797

    En réponse à: Initiation au plaisir anal

    bzo
    Participant

    Y a t’il stimulation du sexe ou non ?

    Y a t’il éjaculation ? J’imagine que non mais je demande quand même.

     

    aucune stimulation du sexe, ni éjaculation

     

    Cela dure t’il longtemps ?

    pas vraiment car actuellement, par paresse et manque de temps, en même temps,

    c’est toujours, juste avant de me coucher, vers 2, 3 heures du matin,

    après m’être enduit à divers endroits, entre autres, l’anus,

    de beurre de karité ou de coco ou d’avocat,

    que je pratique un peu,

    cela ne dure que quelques minutes car je suis très fatigué

    mais c’est totalement délicieux, ineffable

     

    Le plaisir se manifeste comment ?

    il se manifeste instantanément et il perdure autant de temps

    que je me chipote,

    se terminerait, sans doute, par un orgasme anal ou deux ou trois,

    si je persistais,

    il est très volcanique, comme si j’avais une lave ineffable, entre les reins,

    c’est très puissant,

     

    bon, manquant , sans doute de sophistication, de variétés, un peu

    mais malgré tout, il y a quand même moyen de pas mal varier, aussi

     

    mais c’est assez spécial, la façon dont je pratique et je perçois,

    si tu lis un peu mon fil, tu dois être plus ou moins au courant,

    très honnêtement, quand je me chipote comme cela avec les doigts dans l’anus,

    j’ai plus l’impression de me masturber,

    c’est assez délicieux comme impression

    et le genre de mouvements  que j’effectue,

    sont assez similaires à ceux qu’on voit faire une femme

    dans les vidéos explicites , de masturbation féminine

    avec doigts dans le vagin et alentours

     

    je joue beaucoup avec les muscles du sphincter,

    ceux du périnée et autour de l’anus, sont très développés, chez moi

    et je peux, par exemple, complétement bloquer l’insertion d’un doigt ou autre chose,

    rien qu’en resserrant les muscles

    mais je joue avec ces muscles beaucoup, je serre, je desserre, je frotte le ou les , doigts, contre

     

    parfois les doigts sont complètement passifs et ce sont les muscles de l’anus qui font tout le travail,

    viennent emmailloter les doigts, leur former comme une enveloppe de muscles qui les pressent, les bougent

     

    les doigts se remettent en mouvement, changent de direction frottent sur les côtés, etc, etc

     

     

    #44779
    Kas
    Participant

    Merci à tous pour vos réponses.

    En ce qui concerne les fantasme, ils sont avant tout basés sur les pieds féminin, mes fantasmes contiennent très peu de sexe classique. Et donc pour le porno c’est pareil, et c’est surtout sur Instagram etc que je passe beaucoup de temps. Ces réseau contiennent énormément de porno soft, et on y passe beaucoup de temps sans s’en rendre compte.

    Côté sceance prostatique, je pratique majoritairement en Aless. Mais je me surprend souvent à attende avec impatience la semaine où elle travaille de nuit. Et je pense parfois à comment en vivant seul, je pourrais pratiquer à volonté et aussi rencontrer des femmes pour assouvir mes fantasme. Ma copine est très ouverte, on pratique à peu près tout ce que je veux… Malgres tout je pense que c’est surtout la diversité et la découverte qui m’excite. Et l’inaccessible aussi je pense.

    J’essaye le plus possible d’éviter le porno et ce genre de consommation, on verra ce que ça donne.

    merci encore pour vos nombreuses réponses

    #44769
    Betamax
    Participant

    Bonjour Kas et les autres,

    Concernant ta vie de couple, ce n’est pas totalement la pornographie qui te fais te désintéresser de ta copine, le problème est plus complexe (ce n’est que mon avis). Très souvent les Françaises ne savent plus du tout être féminines ou érotiques. Elles sont persuadées qu’être elles mêmes est largement suffisant à te faire bander. Quand je vois des filles de l’est en robe sexy, minaudant, à côté les Françaises sont des gamines habillées en homme. Ensuite, il ne faut pas voir le sexe comme un produit de consommation standard. Ce qui le rend excitant c’est l’exclusivité, la rareté, mais ça c’est aussi tout un travail. Ensuite, les filles sont souvent pas très portées sur la chose, c’est sur. Enfin, oui, la pornographie a un peu l’ effet d’une drogue, elle te fait croire à des bonheurs qui n’existent pas vraiment et te génèrent de faux désires, de une, de deux elle brise cette fameuse rareté, de trois, c’est un peu comme “aller voir ailleurs”, qui te fait fatalement te désintéresser de ta copine. Donc en couple, t’en a pas besoin, donc arrête cela.

     
    <p style=”text-align: left;”>Pour le reste, j’ai eu le même problème pendant longtemps, jusqu’à comprendre que les aneros c’est pas forcément le Saint Graal, car ils sont trop petits. Ils n’appuient vraiment pas assez là où ça fait du bien, c’est pour cela que tu te tends, car tout ton corps se contracte pour qu’il entre en contact. Chacun est différent, certains les trouvent parfait, toi peut-être qu’il t’en faut des plus gros. Moi ce qui m’a ouvert les portes de la luxure c’est l’usage de masseurs vibrants. Ça a tendance à bien tout éveiller. Mais oui, à trop fortes doses cela anesthésie. Enfin, n’hésite pas à juste jouer avec la main faire des vas-et-vient, te frotter comme une chienne en chaleur. Le coup de rester passif allonger en attendant que ça se passe, ralalah, franchement, j’y crois pas. Après, pour d’autres cela semble très bien marcher.</p>
     

     

    #44691

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    mon corps de femme,

    mon corps de jeune femme qui ne vieillit pas,

    au désir ardent, bien éveillé,

    aux hanches déliées, accortes, souveraines

    à la vulve désireuse d’aller au devant du plaisir,

    sous toutes ses formes,

    mon corps de jeune femme qui aime les bites, les autres vulves,

    qui aime emmêler tout cela,

    sentir tout cela dans sa chair

     

    j’écris tout cela avec fierté, avec émoi, avec excitation,

    avec tout le trouble qu’il se doit,

    les frissons de mon autre corps, sont tout proches,

    tellement proches à chaque instant,

    toujours prêts à m’envahir

     

    je me sens prêt à m’offrir, à ouvrir ma chair,

    je me sens prêt à y accueillir, tout cet autre monde,

    avec gourmandise, avec avidité,

    avec une faim de volupté, de jouissances,

    de communion avec mon corps,

    qui ne se dément pas

     

    et puis une envie, d’aller toujours plus loin,

    de me laisser emporter toujours plus loin,

    je me sens tellement confiant face à tout cet inconnu, en moi

    la sensation qu’il n’y a pas de limites,

    est tellement omniprésente, à chaque instant,

    c’est tellement grisant, enivrant

     

    j’ai la tête haute dans ce texte, le regard droit,

    aucune honte, aucune gêne,

    je ne me sens pas un dégénéré, un pervers, pour un sou,

    j’entrevois même un futur

    où la sexualité et les mœurs auront tellement progressé,

    que ce sera devenu la norme, que ce sera devenu banal,

    que les hommes,

    pour pouvoir vivre plus pleinement leur sexualité

    et profiter de tout le potentiel enfoui en eux,

    auront appris à vivre leur chair au féminin,

    auront appris à se déhancher et à se caresser les seins,

    auront appris à enflammer le vagin, enfoui en eux

     

    ce sera encouragé dans les manuels,

    on expliquera, en long et en large, comment y arriver,

    à mettre le pied, en soi, sur ce continent, sans limites,

    à en exploiter les ressources cachées

     

    on expliquera aux jeunes adultes,

    comment délier le désir,

    à en goûter un spectre beaucoup plus élargi,

    en s’affranchissant des limites de son identité sexuelle,

    que tout cela est en nous , pour une raison,

    pour qu’on en profite, le plus possible

     

     

    #44679

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    j’observe, un instant, mes gestes, mes mouvements,

    je suis devant mon ordinateur, assis,

    je me gratte le nez, je déplace un peu le cul, pour être plus confortable

    et puis je me cambre, je semble allonger ma colonne vertébrale

    tout en rapprochant un petit peu mes cuisses,

    celles-ci viennent presser très légèrement mes génitaux,

    aussi, mes fesses se contractent

    et puis enfin, je lance une contraction à partie du périnée

    que je maintiens, maintiens

     

    la séquence fut parfaitement fluide, les enchaînements sans faille,

    tout est parfaitement intégré, naturel, automatique,

    répond à une petite envie soudaine de volupté, de plaisir,

    de communion avec mon corps,

    deux gestes anodins, dans une posture anodine,

    avec mon véhicule de tous les jours,

    suivi d’une série d’actions en mode yin-yang, le couple intérieur

     

    le yin prend possession instantanément,

    ma chair devient féminine, vibre, bouge au féminin,

    mes cuisses se referment un peu mais mes hanches s’élargissent,

    mon sexe, mes couilles, ma prostate, se mettent au service

    de cet autre corps, lui fournissent le carburant, les ondes,

    pour s’animer, pour ressentir

     

    et c’est parti, je me sens pénétré, mes entrailles fondent,

    mes hanches se mettent à danser,

    j’ai une envie folle de caresses, de sentir des mains sur moi,

    que des doigts courent partout sur moi

     

    le rythme est dans mon bassin, désormais,

    liane lascive en action,

    la contraction maintenue, produit des ondes de plus en plus densément,

    cela devient de plus en plus raide et cela grandit, toujours plus,

    cela semble grimper dans mes entrailles,

    les fendre verticalement,

    comme un navire, lentement, irrésistiblement, fend les flots

     

    je me mets à bouger les cuisses de plus en plus fort,

    mes génitaux réagissent en produisant de plus en plus massivement des ondes,

    cela et la bite bien raide des ondes prostatiques, plantée entre mes reins

    me déplacent déjà dans une autre galaxie,

    l’infini de la constellation de la volupté et de l’extase

    et ses myriades d’étoiles de soie

    qui fondent sur place,

    nagent en moi, me projettent toujours plus loin,

    je tournoie quelque part, lentement, très lentement,

    dans du coton ineffablement caressant

     

    ondulations chaloupées, arabesques capiteuses, serpentins lascifs,

    la courbe, la danse, le rythme, le chant,

    divin laisser-aller, divin emportement, houle ivre d’elle-même

    qui roule, qui me roule,

    toutes mes cellules, semblent baigner dans de l’ineffable

     

    quelques secondes, cela a duré,

    je reprends, avec mon activité anodine,

    je réajuste mon peignoir, je bouge un peu le pied qui s’était ankylosé,

    je commence à taper au clavier

    #44649

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    c’est le geste qui compte avant tout,

    le geste comme un tir à l’arc , les yeux fermés,

    s’oublier, sentir la cible, sentir la corde,

    sentir la flèche, sentir leur lien

     

    se libérer, de plus en plus,

    assouplir son échine,

    mettre de la danse dans ses hanches,

    accepter le féminin, comme le masculin

     

    le geste, c’est le désir,

    le désir qui s’incarne,

    le désir qui se fait chair,

    le désir qui s’envole,

    le désir qui se libère

     

    le désir,

    c’est un sexe qui peut changer de sexe,

    un sexe de haut vol

    qui atterrit où il veut

    qui repart quand il veut

    qui fait du rase-motte,

    comme du vol plané, en altitude

     

    ne recherche pas ton sexe, entre tes jambes,

    il est partout, il est nulle part,

    cherche-le partout, cherche-le nulle part,

    trouve-le partout, trouve-le nulle part

     

    s’habiter entièrement,

    dans la perfection spontanée du geste,

    la puissance absolue du geste,

    sculpte l’instant,

    que la chair aboutisse,

    que la chair s’accomplisse,

    que le spectre complet du kaléidoscope des sensations,

    s’ éveille en toi,

    tourne follement, tourne divinement

     

     

     

    #44612

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    bizarre d’écrire par ici, finalement, jour après jour,

    est-ce de l’exhibitionnisme?

    après tout, texte après texte, j’évoque, je détaille, en long et en large,

    mon jardin le plus secret,

    ce qui m’est le plus intime, le moins avouable,

    une façon de pratiquer,

    qui n’a plus grand chose à voir avec le massage prostatique,

    spécialité, tout de même, de ce forum

     

    j’expose la façon dont j’explose les limites de mon identité d’homme,

    les éparpillent, les réduit à néant,

    en recherchant et trouvant,

    un plaisir, que je qualifierai sans hésiter,  de féminin

     

    et donc je laisse mon corps durant l’action, par moments,

    se féminiser, dans les gestes, les postures, les mouvements,

    sans limites, sans tabous,

    je deviens homme-femme,

    je deviens liane lascive,

    je remue des hanches, j’écarte et je referme les cuisses,

    j’ai une fente et une bite, en même temps

    même si je prends surtout mon plaisir par la fente,

    cela circule mieux par là,

    le tuyau dressé, il est trop étroit,

    les flots de ce que cela peut charrier,

    sont limités par cette étroitesse,

    les vagues ne peuvent pas s’y engouffrer,

    sans ralentir drastiquement

     

    ah comme j’aime remuer mon cul,

    remuer le cul et frotter mon sexe avec les cuisses,

    c’est la base pour moi,

    cela ne fait pas de mal, bien sûr, d’y ajouter quelques caresses,

    un peu partout mais surtout sur les seins,

    les frotter à pleine main, les presser, les palper

    et puis faire monter aussi des contractions

    pour que la prostate participe,

    sa puissance est irremplaçable,

    tellement nécessaire pour décoller bien haut,

     

    sacré cocktail  que j’ai mis au point,

    cela fonctionne si bien, cependant

    parce que je n’ai à forcer en aucune manière,

    tout cela est moi, dans mes profondeurs,

    tout ce féminin,

    j’ai appris  juste, à le laisser monter à la surface,

    appris à le libérer sans limites,

    appris à le laisser s’emparer de ma chair,

    à en prendre les commandes,

    étonnant, les sensations qu’il y a moyen de vivre ainsi,

    ah messieurs, si vous saviez…

     

    certains, sur ce forum, évoque des moments qu’ils ont eu

    durant l’action avec masseur prostatique ,

    où ils semblaient se faire l’amour,

    des moments incroyablement intenses

    où le masseur semble leur faire l’amour tout seul,

    ils se percevaient tout à coup, pendant quelques instants, au féminin,

    ils ont là eu, un avant-gout sérieux de ce qu’est ma pratique,

    seulement j’ai développé tout cela,  systématiquement,

    l’ai développé démesurément,

    l’ai laissé prendre toute la place

     

    j’ai honte un peu quelque part, malgré tout,

    tellement je sens que ma pratique est hors normes, extrême,

    suis-je un déviant, un pervers, de prendre mon plaisir ainsi,

    d’une façon si peu masculine, tout seul dans mon coin?

     

    mais en même temps, c’est tellement bon,

    les mots ne pourront jamais convier, faire vivre,

    l’incroyable sensation de plénitude, d’extase voluptueuse,

    de moments de grâce charnelle,

    qui peuvent s’emparer de tout mon corps,

    pendant de longues périodes

     

    à quel point,  les  sensations varient constamment,

    à quel point tout mon corps participe,

    à quel point, n’importe quel geste, n’importe quel mouvement, n’importe quelle posture,

    tout en fait,

    éveille des sensations

     

    à quel point c’est instantané

    et peut être vécu même pour quelque secondes,

    à quel point, même ainsi, pour une si brève période,

    c’est incroyablement intense, riche

    comme des injections de volupté, de jouissance,

    pures à 100%, non diluées, non frelatées,

    qui se répandent partout en moi

     

    la sensation de communion avec son corps,

    est juste magique,

    comment voulez-vous résister à cela?

    je n’ai d’autre choix

    que de me laisser entraîner toujours plus,

    toujours plus loin

     

    #44600

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    assis à mon bureau,

    je traine devant l’écran, encore pour quelques minutes,

    j’ai envie d’une petite injection de plaisir,

    je resserre les cuisses sur mes bijoux de famille,

    je fais monter une contraction, lentement, bien lentement

    et je laisse l’autre main se poser sur ma poitrine

    et commencer à dériver, tranquillement, au hasard

     

    un petit obus, bien gentil,

    s’est formé tout de suite dans mon bassin,

    mélange d’ondes prostatiques et génitales,

    en haut, dans mon torse,

    les ondes générées par la lente caresse,

    semble les inviter à venir les rejoindre,

    à fusionner joyeusement,

    pour aller foncer ensemble, vers mon cerveau,

    pour y finir en un mini feu d’artifice soyeux

     

    dans l’épaisseur sirupeux des secondes

    car le temps a une épaisseur,

    il a même un noyau, où il semble ne plus être présent

    où il semble ne plus exister,

    où il y a comme un vide

     

    on peut dériver à sa surface,

    c’est notre quotidien

    mais là, pour quelques secondes,

    j’ai entamé un plongeon,

    je fonce vers les profondeurs

     

    la machinerie habituelle,

    semble, de plus en plus, tourner au ralenti,

    une autre dans l’invisible, a pris instantanément, sa place

    faite d’énergies, en circulation,

    de sensations générées, à partir d’elles

     

    c’est sa face cachée à mon corps, son continent secret,

    l’envers joyeux, l’envers somptueux, l’envers miraculeux,

    l’envers au masque lunaire,

    l’envers nébuleuse, l’envers constellation, l’envers galaxie,

    l’envers, nage ondulante parmi les étoiles,

    l’envers où masculin et féminin, se confondent, de plus en plus,

    l’envers sans fondements, sans assises,

    où tout est mouvement, fluidité cristalline

    et rayonnement souterrain

    #44590

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    le plaisir au féminin,

    semble tellement couler de source,

    je laisse le yin entièrement s’emparer de moi

    et les caresses, les mouvements, les gestes, les postures,

    tout ce qu’il faut faire,

    semblent tellement venir tout seuls, tellement naturellement,

    éveillant, sans discontinuité,

    des flots soyeux de volupté et de jouissance,

    quel cortège

     

    le secret , c’est de se donner au plaisir,

    de s’offrir sur un plateau, sans aucune résistance

    il est mon maître, je lui appartiens pour l’instant,

    pas lui, le porteur de bite,

    pas le yang en nous ou hors de nous,

    lui, c’est juste un intermédiaire,

    la bougie qui délivre les étincelles

     

    non,

    le plaisir,

    c’est lui qui commande , pour l’instant, ma chair,

    il en fait ce qu’il veut,

    je le laisse entièrement faire,

    ainsi, on devient tellement totalement comme de la paille sèche

    et la moindre étincelle là-dedans

    a de sublimes cataclysmiques conséquences

     

    cela s’allume par vagues, continuellement, de tous les côtés,

    je résiste toujours moins,

    je parviens toujours moins à résister, à toujours plus me laisser faire,

    à me laisser emporter, rouler, chambouler, dérégler,  désenclaver

     

    se sentir ainsi, s’enflammer intérieurement, de toutes parts,

    c’est juste magique,

    mon corps se met à onduler,

    c’est le plaisir qui danse en moi,

    qui remplace par des vagues dans l’invisible,  ma chair

     

    mes doigts affolent ma peau,

    ils se fondent ensemble, dans un bouquet,

    je suis parcouru par un déluge de fleurs qui traversent tout mon être,

    comme jetées en désordre de tous les côtés,

    au fur et à mesure des caresses

     

    les ondes prostatiques montent depuis mon bassin

    comme un tronc puissant, immense, avec ses branches,

    ses feuilles bruissent de tous les côtés

    et la lumière danse partout,

    oh comme elle danse,

    en couple avec le vent,

    jouant à cache cache parmi les branchages

     

    la volupté est tellement forte,

    tellement ineffablement partout,

    je râle, je gémis,

    je pleure par moments,

    il faut qu’il y ait des gouttes qui sortent de mes yeux,

    c’est trop fort, trop beau, trop irrésistible,

    il faut que les meubles autour le sachent, que les murs le sachent,

    que la terre sous le béton, le sache

    la  volupté fait de moi un être possédé, un être chamanisé,

    un pantin agité, dansé, par le désir

    #44506

    En réponse à: A l’ écoute de mon corps

    bzo
    Participant

    je crois qu’on est vraiment sur la même longueur d’ondes,

    aussi étonnant que ce soit,

    compte tenu de l’extrême spécificité de cette voie

    mais c’est, en fait, très touchant de savoir

    qu’à quelques centaines de kilomètres, vers le sud,

    il y a quelqu’un qui vit le même genre d’expérience

     

    oui, autonome, n’est pas un mot excessif, exagéré,

    on a tant de puissance sexuelle en nous,

    il y a de quoi se satisfaire totalement

    si on parvient à libérer ses énergies, libérer son désir

    et puis faire sauter ses tabous

    et embrasser le féminin en nous,

    le laisser s’emparer de notre corps

     

    autonome, aussi

    car c’est une expérience complète, totalisante

    qui nous permet d’aller au bout de nous-même,

    de nous découvrir, de nous enrichir,

    en même temps qu’apportant satiété à notre chair

    donc une expérience,  très épanouissante,

    très équilibrante

     

    cela peut paraître paradoxale, tellement notre façon de pratiquer,

    est extrême quelque part, flirtant avec des précipices en nous,

    on se déstabilise beaucoup,

    on remet en question notre masculinité, de fond en comble,

    en action,

    jusqu’au plus profond de nous-même

     

    mais cette voie est profondément positive

    car elle nous permet de nous découvrir de plus en plus,

    elle nous révèle à nous-même,

    nous permet de vivre des moments tellement aboutis

     

    et puis tout le corps qui nous répond,

    tout le corps qui devient tellement notre complice,

    c’est aussi une preuve à quel point,

    on est dans le vrai, on est dans l’épanouissement, avec ce cheminement,

    aussi atypique, soit-il,

    c’est , je crois, ce que j’aime le plus dans cette façon de pratiquer,

    à quel point, je communie avec mon corps,

    je m’unis à lui,

    semble ne plus former qu’un,

    avec des territoires immense, à ma portée, grâce à lui

    #44487

    En réponse à: A l’ écoute de mon corps

    modeyin
    Participant

    J’ai l’impression que mon corps est devenu autonome dans sa sexualité

    Les semaines sont riches en plaisir

    Une pensée, un mouvement, une position ou un regard

    peuvent provoqué l’ étincelle qui va enflammer mon corps

    L’alchimie entre mon yang et ma yin devient de plus en plus fort

    Il se complète de plus en plus dans ma vie de tout les jours

    autre que sexuel et je m’en réjouis

    Je laisse carte blanche à mon côté féminin et je ne suis pas déçu

    Je vis seul ma sexualité depuis un certain temps

    Mais quelles richesses incroyables

    on peut éprouver avec sa propre chair

    sans artifice et sans éjaculation

    Je deviens de plus en plus épanoui

    Ma femme me rejoindra peut être un jour

     

     

    #44400

    En réponse à: A l’ écoute de mon corps

    bzo
    Participant

    bravo, je vois très bien ce que tu veux dire,

    ce sont des moments tellement émouvants, tellement intenses,

    ce corps quand il est ainsi tout entièrement habité par le yin et le yang,

    à l’oeuvre ensemble

     

    c’est splendide aussi de découvrir

    que rien n’est cloisonné, que rien n’est figé, en fait,

    malgré les apparences,

    on est dans un corps d’homme

    mais que cela ne veut pas dire grand chose

    car le féminin est en nous aussi

    et très bien capable de prendre les commandes de ce corps

    et alors on vit des moments vraiment très spéciaux

    de complicité avec celui-ci

    #44291

    En réponse à: A l’ écoute de mon corps

    modeyin
    Participant

    il y a un équilibre général et un épanouissement sexuel,

    pour les gens comme moi,

    sans aucun partenaire, depuis longtemps,

    possible aussi

     

    un autre individu nous offre l’altérité,

    la possibilité de découvrir un tout autre univers,

    à la fois si similaire et si différent,

    du notre,

    la possibilité de découvrir une autre chair

    que la notre

     

    cependant, en soi,

    nous avons aussi toute une altérité,

    avec laquelle on peut entrer  en contact,

    laquelle on peut explorer,

    inlassablement

     

    nous avons le yin et le yang,

    pôles indépendants dans notre chair

    qui peuvent interagir, entre eux,

    tout en interagissant avec elle

     

    bon,

    il faut être prêt à aller loin, très loin,

    prêt à briser beaucoup de frontières et de tabous,

    en nous

    mais  nous avons la possibilité d’éveiller,

    un soi agissant, ressentant, percevant,

    tellement totalement différent,

    un soi enrichi,

    de tout le féminin et du masculin

    que nous portons en nous

     

    nous utilisons de notre corps,

    comme de notre cerveau,

    qu’une toute petite partie,

    finalement, aussi bien pour l’un comme pour l’autre,

    c’est comme si nous étions installé sur un tout petit bout de territoire

    planté au bord  d’un immense continent, sans limites,

    territoire inexploré, essentiellement,

    terra incognita

     

    il s’agit donc, grâce au désir,

    grâce aux ressources infinies de celui-ci,

    grâce à ce moteur

    qui peut tout traverser, tout briser, tout révéler,

    quelques instants, en nous

    de se découvrir un tout autre, un instant,

    de se découvrir être un tout autre et une toute autre, entremêlés,

    de révéler ce que la toute puissance du désir,

    quand il est lâché, sans aucun tabou,

    Entièrement d’accord avec toi

    #44290

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    il y a un équilibre général et un épanouissement sexuel,

    pour les gens comme moi,

    sans aucun partenaire, depuis longtemps,

    possible aussi

     

    un autre individu nous offre l’altérité,

    la possibilité de découvrir un tout autre univers,

    à la fois si similaire et si différent,

    du notre,

    la possibilité de découvrir une autre chair

    que la notre

     

    cependant, en soi,

    nous avons aussi toute une altérité,

    avec laquelle on peut entrer  en contact,

    laquelle on peut explorer,

    inlassablement

     

    nous avons le yin et le yang,

    pôles indépendants dans notre chair

    qui peuvent interagir, entre eux,

    tout en interagissant avec elle

     

    bon,

    il faut être prêt à aller loin, très loin,

    prêt à briser beaucoup de frontières et de tabous,

    en nous

    mais  nous avons la possibilité d’éveiller,

    un soi agissant, ressentant, percevant,

    tellement totalement différent,

    un soi enrichi,

    de tout le féminin et du masculin

    que nous portons en nous

     

    nous utilisons de notre corps,

    comme de notre cerveau,

    qu’une toute petite partie,

    finalement, aussi bien pour l’un comme pour l’autre,

    c’est comme si nous étions installé sur un tout petit bout de territoire

    planté au bord  d’un immense continent, sans limites,

    territoire inexploré, essentiellement,

    terra incognita

     

    il s’agit donc, grâce au désir,

    grâce aux ressources infinies de celui-ci,

    grâce à ce moteur

    qui peut tout traverser, tout briser, tout révéler,

    quelques instants, en nous

    de se découvrir un tout autre, un instant,

    de se découvrir être un tout autre et une toute autre, entremêlés,

    de révéler ce que la toute puissance du désir,

    quand il est lâché, sans aucun tabou,

    peut en nous

     

    #44278

    En réponse à: A l’ écoute de mon corps

    bzo
    Participant

    le corps et l’esprit c’était pareil

     

    je crois que c’est ce qu’on parvient à vivre avec notre façon de pratiquer,

    la sensation d’unité, de communion avec son corps

     

    ce que j’écrivais au-dessus,

    comme si mon imagination était partout à l’oeuvre dans ma chair,

    réinventant l’instant, sculptant les sensations

     

    j’imagine le plaisir,

    avec la collaboration étroite de mon corps,

    mon imagination à pour quelques instants,

    tous les  pouvoir sur ma chair

     

    le temps de l’action,

    mon corps lui fait confiance

    ce que je crois deviner de ce qui m’arrive,

    devient la réalité, instantanément, de ma chair,

    il est totalement complice

     

    retrouver le lien à son corps,

    c’est peut-être le fondamental dans notre façon de pratiquer,

    quand j’écris, retrouver le lien,

    c’est être avec son corps, au plus près, dans l’instant,

    il nous récompense directement

    car c’est bien la clef de la boîte au trésor,

    juste faire cet effort d’être au plus près de son corps,

    beaucoup de portes secrètes, s’ouvrent alors,

    nous vivons la pleine puissance des énergies libérées en nous,

    de plus en plus

     

    sublime apprentissage,

    essayez d’être le plus possible, entièrement soi,

    avec tout le féminin et tout le masculin, qu’on porte en nous

    et de ne rien retenir,

    que le désir affranchisse les limites, de plus en plus

     

    #44269

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    nous parvenons au parfait équilibre entre les énergies libérées,

    à leur optimale consumation,

    quand notre écoute est à son maximum, aussi

     

    l’oreille intérieure,

    totalement déployée, totalement réceptive,

    ne manquant rien de ce qui se passe,

    de ce que la chair nous envoie comme informations

     

    il se produit, dans ces moments-là,

    comme une parfaite balance,

    un jaillissement, à chaque instant,

    idéal

     

    le fait est qu’alors,

    la coopération de l’esprit et du corps,

    est à son maximum,

    leurs efforts sont parfaitement coordonnés,

    aucun ne cherche à tirer la couverture,

    tous les deux, sont entièrement tournés

    à vivre l’instant incandescent,

    le plus totalement possible,

    en travaillant en conjonction,

    à tout instant,

    l’un avec l’autre

     

    à tous les étages,

    des duos, des couples,

    en nous,

    à l’oeuvre,

    des bipolarités , des tandems

    qui apportent la possibilité de fusion,

    la possibilité de tension,

    la possibilité d’élévation,

    la possibilité de volupté,

    la possibilité de jouissance,

    la possibilité d’extase

     

    le corps et l’esprit,

    le masculin et le féminin,

    plus prosaïquement,

    la prostate et le masseur ou les contractions,

    les mains et la peau,

    chez moi, les cuisses et les génitaux,

    tout fonctionne en tandem, en nous,

    deux cailloux sont nécessaires

    pour obtenir des étincelles

    pour allumer le feu

    #44213

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    cela fait maintenant à nouveau quelques jours

    que je ne suis plus intéressé que par des micro-séances, extrêmement courtes,

    une à deux minutes maximum

    mais plutôt de quinze à une trentaine de secondes, en moyenne

     

    des séances aussi courtes, n’ont pas pour objectif d’atteindre un orgasme,

    juste de déguster des sensations,

    goûter à l’infinie palette des nuances de sensations

    qu’il y a moyen d’éveiller dans son corps

     

    ne sous-estimez , cependant pas, la puissance de ce qu’il y a moyen d’obtenir ainsi

    comme moments ardents, comme moments de communion, avec son corps,

    ce sont comme des plongeons soudains,

    des plongeons à froid , depuis un ponton, dans une eau profonde et mystérieuse,

    on s’engouffre dans un tout autre univers, l’espace de quelques instants

     

    ils viennent entrecouper mes faits et gestes du quotidien,

    quoi qu’ils soient,

    en train de cuisiner, me faire un thé, pendre mon linge à sécher, etc

    debout, assis, couché,

    cela peut ne pas se produire pendant plusieurs heures

    et puis soudainement, je les enchaîne

    comme les perles d’un magnifique collier

     

    ne vous y trompez pas, ce sont bien des moments magiques,

    à l’intensité tellement particulière,

    leur brièveté est presque une condition

    pour qu’ils puissent avoir lieu,

    on ne peut garder pareille intensité, pareille singularité, bien longtemps,

    comme quand on plonge d’un ponton,

    sans équipement, sans rien,

    on s’enfonce dans la masse liquide

    que le temps qu’on peut retenir son souffle,

    il faut remonter après quelques longues secondes d’immersion,

    de total dépaysement, de total déconnexion, de ce monde

     

    il n’y a aucune tension sexuelle,

    on passe instantanément d’un corps, juste véhicule au quotidien,

    chair anonyme et muette,

    à un corps qui se livre, qui ouvre toutes ses portes les plus secrètes,

    à un corps complice,

    à un corps monture, avec lequel on galope follement réunis

     

    la richesse des sensations qu’on peut obtenir , en un si court laps de temps,

    est confondante,

    le corps, instrument de musique,

    le corps, envolée de notes,

    le corps, participant de toutes ses fibres,

    le corps communion, le corps fusion,

    le corps transe instantanée,

    le corps vécu, en même temps,

    au masculin, comme au féminin

    #44194

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    ma seule technique, de plus en plus,

    c’est être juste une éponge, dans l’instant,

    de tout mon être

     

    pour le reste, je laisse venir,

    c’est la grande improvisation,

    tout est, de plus en plus, prétexte à me laisser imbiber

     

    la richesse, la variété, des sensations,

    me ravit, m’éblouit,

    cela se sculpte dans l’instant,

    une sculpture de satin, de soie, mouvante,

    dans notre chair,

    déployant ses tentacules ineffables

     

    cela se déguste,

    à chaque jour, ses millésimés,

    lent nectar dans mon gosier,

    papillons d’arômes,

    tourbillonnant jusqu’à dans mon âme

     

    le plaisir, au féminin, comme au masculin,

    comme j’aime cette sensation de pénétration,

    vécue par les deux bouts,

    plénitude de l’instant, on se sent complet,

    avec tout le spectre du prisme de l’arc en ciel,

    déployé dans sa chair

    #44187

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    assis dans mon fauteuil, face à l’écran,

    je laisse négligemment courir un doigt,

    à gauche, à droite,

    sur mes seins, mon torse, mes flancs

    tandis que mes cuisses font un petit nid chaud, enveloppant, malaxant,

    à mes couilles, à mon sexe,

    synchronisé à de lentes contractions

    qui font sonner le tocsin à ma prostate

     

    oh, comme je suis traversé d’ondes voluptueuses,

    quelle ineffable circulation dans ma chair,

    comme il est bon de se laisser emporter

     

    je sens mon corps réagir,

    au masculin comme au féminin,

    je sens une telle fluidité en moi,

    tellement plus aucune frontière, tellement plus aucun tabou,

    juste le désir qui s’exprime, en toute liberté

     

    #44181

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    pour comprendre le mode yin yang, le couple intérieur,

    comment il peut fonctionner,

    comment il peut se mettre en action

    et nous faire vivre des sensations , de la volupté, de la jouissance,

    en même temps, au masculin comme au féminin,

    il faut comprendre, accepter, qu’en chacun  de nous,

    homme comme femme,

    tout le spectre des sensations humaines, existe

    absolument tout,

    pas une once qui manque, en chacun de nous

     

    une fois qu’on accepte cela,

    que c’est à la portée de tout un chacun qui s’y applique,

    qui y met le prix en effort, en patience, en audace,

    dès lors, ce n’est plus qu’une question d’aller déterrer,

    tout ce qui est nécessaire  à ce à quoi nous aspirons,

    à ce que nous voulons vivre, comme expérience sexuelle, de tout notre être,

    cela prendra beaucoup de temps, d’effort, de patience, pour la plupart,

    cela  prendra l’invention d’un nouveau langage pour interagir avec  son corps

    qui nous sera imminemment personnel

    et peu transmissible

     

    mais cela prendra peu à peu forme,

    la sensation constamment de se faire l’amour

    et de ressentir au masculin, comme au féminin,

    la sensation d’être pénétré, comme de pénétrer,

    la sensation d’avoir un corps au masculin, comme au féminin,

    la sensation d’avoir un vagin

    avec un pénis en érection dedans,

    on bouge un peu et les deux semblent se mettre en mouvement,

    irradier dans toutes les directions,

    de la volupté, de la jouissance,

    on semble au coeur de leur interaction,

    entraîné par elle comme par un torrent

    #44162

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    petites gâteries du matin,

    dans la cuisine, je m’assieds sur mon tabouret haut,

    lentement, je croise et je décroise les jambes,

    au passage, je  presse, je frotte, avec les cuisses, mes génitaux,

    de temps à autre, j’y ajoute une contraction

    qui fait résonner délicieusement ma prostate

     

    mes mains, ne sont pas en reste,

    caresse ma poitrine, mes seins, mes flancs, mes fesses,

    tout mon tronc se cabre, se détend, se retend,  danse un peu sur place,

    joue avec la posture, avec les gestes, les mouvements

     

    ma tête se rejette en arrière, je ferme les yeux,

    comme je suis envahi de volupté,

    comme je suis envahi d’une chorégraphie, langoureuse, soyeuse,

    d’ondes qui circulent,

    comme je suis au bord de la jouissance,

    déjà, en quelques instants

     

     

    avec le yin et le yang,

    tellement développés, tellement réactifs, en moi,

    tellement s’emparant , au masculin, comme au féminin,

    de tout mon corps,

    de  mes gestes, de mes mouvements, de mes positions,

    en action,

    je deviens  un autel, dédié à la volupté et à la jouissance,

    je suis en cérémonie de plaisir

    un réceptacle,  inondé de toutes parts, de sensations

    #44155
    Rouge et noir
    Participant

    Bonjour à toute la communauté de l’Orgasme Prostatique !

    Et oui, quel étonnement, mais aussi quelle tristesse de constater que le plaisir terrestre absolu (à mon sens), à savoir l’Orgasme peut être un sujet difficile voir tabou en fonction de la forme qu’il revêtit…

    Mais très heureux de voir que c’est aussi un sujet fédérateur et source d’échange. Ce qui me pousse à apporter ma modeste contribution.

    Agé de 49 ans, j’ai testé tout au long de ma vie hétérosexuelle le plaisir anal sans vraiment me concentrer sur le plaisir prostatique. Récemment, je m’y suis penché avec un peu plus d’intérêt avant de connaitre ce forum. J’avais essayé il y a un an le Helix sans succés, voir avec déception. J’étais resté sur l’utilisation traditionnelle d’un gode sans forcément en connaitre toute la philosophie et surtout l’anatomie mais j’y reviendrai.

    Récemment, j’ai investi dans le Edge 2 de Lovense.

    Première utilisation, très bonne sensation mais pas d’orgasme

    Deuxième session: BAM! Avalanche de plaisir… orgasmes multiples…. Je ne reviendrai pas sur le plaisir tout juste indécent et incroyable que procure l’orgasme prostatique ! Pourquoi n’ai-je pas connu pas cela plus tôt ?

    Moi qui jalousait tant la gente féminine et son clitoris, ses orgasmes multiples. Et bien messieurs, nous sommes leur égal ! Quel dommage, une fois encore, que tout plaisir anal soit assimilé (et quand bien même) à des tendances homosexuelles.

    Revenons à mon Edge et mon Helix (je n’ai d’action dans aucune des deux modèles! 🙂 )

    En pratique, je n’ai pas obtenu l’orgasme prostatique en mais libres totales ! Je m’explique: pour atteindre l’orgasme prostatique avec le Edge, et ce , malgré ses possibilités de modifier l’inclinaison, j’ai été obligé de l’orienter manuellement sur le fameux point P. Là, festival à tous les coups !!

    Un peu frustré car je pensais vraiment qu’une fois en place, le travail se ferait tout seul !!

    Mais le point P est finalement une zone très précise et assez limitée, et j’en ai tiré la conclusion, notamment en repensant à l’Helix, que l’anatomie pouvait beaucoup varier d’un individu à l’autre. En effet, je suis très grand et c’est une évidence que ma prostate n’est pas forcément localisée au même niveau qu’un homme de petite taille. Forme et position du bassin etc, autant d’éléments qui à mon sens change de façon plus ou moins radicale la position du point P.

    Evidemment, les fabricants se basent sur des statistiques anatomiques moyennes.

    Ma conclusion est, qu’à chaque homme, il y a peut-etre son stimulateur prostatique.

    Alors messieurs, prenez le temps d’explorer, de changer, de tester pour trouver le Saint Graal, parce que OMG, ça en vaut vraiment la peine !!

    #44103

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    équilibre…

    j’ai pas mal utilisé ce mot ces derniers temps,

    j’écrivais qu’en ne laissant se déplacer sur la peau

    que le bout de mes doigts,

    j’obtenais une sorte d’équilibre, entre les énergies montant du bassin

    et puis celles générés par mes doigts

     

    j’irai plus loin, exprimant plus précisément,

    en formulant autrement,

    équilibre des énergies qui circulent,

    équilibre des énergies mises en mouvement,

    voilà, ainsi, les mots touchent plus juste,

    reflètent plus correctement

     

    ainsi,  les sensations qui naissent,

    à partir des énergies qui ont été générées,

    sont  perçues plus optimalement

    sont plus riches, plus variées, plus intenses

     

    on est décoché vers le centre de la cible,

    à chaque instant ,

    et au plus, on reste ainsi, touchant juste,

    au plus cela devient un  maelstrom délicieux,

    en nous

     

    l’équilibre des énergies qui circulent,

    c’est aussi,

    une précision et une finesse, maximales,  des sensations,

    des nuances, perçues dans toute leur richesse et toute leur diversité

     

    des sensations en dialogue,

    qui se questionnent, qui se répondent,

    qui se respectent,

    s’amalgamant parfaitement, envahissant ensemble,

    additionnant tout l’arc en ciel de leur spécificités

     

    c’est aussi, le corps qui est perçu dans sa globalité,

    c’est le corps à corps, la communion, la fusion,

    c’est la libération du désir, toujours plus immensément,

    c’est le yin et le yang en nous,

    enlacés, toujours plus splendidement,

    c’est en même temps, un rut animal

    et une volupté sophistiquée, cérébrale, céleste

     

    d’après mes expérimentations, de ces derniers jours,

    je parviens pour l’instant, à cet équilibre suprême,

    entre les énergies générées dans le bassin

    et puis celles du reste du corps,

    celles éveillées par mes doigts,

    des ondulations  des hanches, en mode liane lascive,

    mes gestes, mes mouvements, mes postures,

    les contractions diverses et variées,

    dans le bassin ou ailleurs

     

    soit, en ne laissant circuler sur la peau,

    que le bout de mes doigt,

    ceux-ci alors, dictant aussi le rythme de la séance,

    l’intensification très progressive de  la tension sexuelle

     

    ou alors avec les mains et les bras ,

    quelque part, immobiles sur le corps,

    comme si je me serrai, m’enlaçais, moi-même

     

    seules, de très minimes mouvements, presque involontaires,

    de mes bras, collés sur ma poitrine ou ailleurs,

    plutôt des changements de pression, des ajustements

    pour perfectionner la position

    en fonction de l’intensité des énergies qui circulent,

    qui change

     

    je cherche dans ces moments, à mieux m’enlacer,

    à mieux me serrer contre moi-même,

    me sentir collé tout contre moi,

    me sentir de plus en plus entièrement en fusion,

    incandescent

     

    me sentir uni,

    un tout uni dans le même but,

    que les énergies circulent le plus optimalement

    tout s’est immobilisé, à peu près,

    sinon dans le bassin,

    celui imprime le rythme,

    le reste ne bouge que parce que le bassin est en feu et fait son show

    les énergies se ruent vers le haut

     

    les contractions sont en action dans le bassin,

    les frottements et pressions des cuisses sur les génitaux, aussi,

    générant comme un mouvement de pénétration, de va et vient

    entre deux corps qui tanguent, incrustés l’un dans l’autre,

    tentent de fusionner,

    qui se cherchent et qui se trouvent,

    qui amalgament leurs énergies

     

    un corps, un seul corps

     

    mais dans toute sa richesse et sa diversité,

    ne tenant plus compte, pour l’instant,

    des frontières de son identité sexuelle

    mais ayant libéré le féminin aussi en lui

     

     

     

     

    #44056

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    il n’y a plus vraiment de différence de niveau

    entre mes séances nocturnes et mes séances diurnes,

    c’est du passé, ce que j’écrivais un peu plus haut

     

    je me suis inspiré de ce que je faisais la nuit ,

    quand je me réveillais pour quelques secondes

    et que mon corps se mettait en route,

    m’offrant quelques moments tellement délicieux et complètement débridés

     

    je me suis rendu compte que durant le jour,

    j’analysais encore trop,

    n’avait pas cette totale spontanéité dans l’action,

    comme durant la nuit,

    en fait c’est essentiellement sur la technique des mains

    que je réfléchissais trop, disséquais encore trop

     

    enfin, quand j’écris cela, il faut relativiser,

    disons que ce n’étais pas encore aussi totalement spontané

    que durant la nuit,

    désormais c’est le cas, je me laisse aller de la même manière,

    il n’y a plus que l’élan de mon désir, comme durant la nuit,  pour me guider

    et je retrouve la même sensation de communion totale avec mon corps,

    la même richesse et diversité splendides que durant ces séances nocturnes,

    brèves mais tellement intenses, magiques

     

    magique est bien le mot, le seul qui puisse convenir

    à ce que je parviens à faire avec mon corps,

    tout seul dans mon coin,

    cette sensation de se faire l’amour, c’est juste divin,

    cette sensation de se sentir vibrer, en même temps au féminin et au masculin,

    c’est juste magique aussi

     

     

    #44051

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    mais en journée, c’est merveilleux aussi, bien sûr,

    il n’y a pas cette sensation de liberté totale, complète,

    dans l’expression du désir,

    dans son enflammement,

    comme s’il n’y avait aucune entrave,

    aussi bien, externe, qu’interne,

    à son cours,

    que la fusion entre le corps et l’esprit,

    semble totale, absolue, sans restrictions

     

    c’est différent, en fait,

    les choses suivent leur cours, on vit notre vie

    où le sexuel constitue, en principe, des moments précieux , bien à part,

    chez moi, je me prépare un thé, je prends mon petit déjeuner, je vais aux toilettes,

    je lis, je regarde un film, je bricole, je fais mon yoga, ma gym,

    mais toutes ces actions peuvent devenir tellement spéciaux, pour de courts moments,

    avec mon mode yin tellement  prêt en moi, constamment,

    cela peut se mettre à chanter, à danser, en moi

    le désir peut m’envahir , me faire vibrer,

    à tout moment, de fond en comble,

    quoique que je fasse

     

    ma réalité, tout seul à la maison, chez moi,

    c’est comme du piano à quatre mains,

    deux mains pour les taches et évènements du quotidien

    et deux mains pour la fusion, l’incandescence, la volupté, la jouissance,

    la communion avec mon corps

     

    dans ces moments, j’ai l’impression de m’élancer intérieurement vers lui, sans rien retenir

    comme deux amants s’élanceraient l’un vers l’autre

    et qu’on se met à galoper follement ensemble,

    collés l’un à l’autre, fusionnés l’un à l’autre

     

    sensation aussi de se faire l’amour,

    il faut avoir vécu cela au moins une fois,

    pour saisir à quel point c’est divin, ineffable,

    notre chair, enflammée, incandescente,

    sans tabou, se percevant en même temps,

    au féminin et au masculin

     

    on semble complet, un moment, dans sa chair,

    entier,

    être un homme ou être une femme,

    c’est fondamentalement être incomplet, divisé,

    on cherche toute sa vie à se sentir plus uni à soi-même,

    aux autres

     

    notre corps nous offre une possibilité secrète d’union,

    à nous-même,

    unique, splendide,

    de vibrer au-delà des frontières de notre identité sexuelle,

    avec cette part de l’autre sexe,  enfouie en nous,

    dans nos profondeurs,

    des moments magiques de ruts androgynes, parmi les étoiles

     

    #44028

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    durant la journée,

    je n’ai quasi plus de moments dédiés, où je ne me consacre qu’à cela,

    plus vraiment de séances au lit,  en mode yin, en tout cas,

    ni même de micro-séances

     

    je ne suis plus intéressé actuellement

    qu’à ces très brèves mais innombrables injections

    dans mes faits et gestes du quotidiens,

    ainsi, la complicité avec mon corps, la communion, avec lui,

    est ressentie avec une intensité remarquable

     

    en faisant n’importe quoi, soudainement mon geste dévie un peu, se ralentit,

    mes cuisses se rapprochent, un instant, de mes génitaux,

    j’ondule vaguement,

    enfin, cela peut être pas mal de choses

    et instantanément, mon corps est envahi du yin,

    ce n’est plus mon corps d’homme, juste mon véhicule de tous les jours

    mais un autre corps, en même temps masculin et féminin

    dont les deux parts s’entremêlent, se font l’amour

     

    ainsi, parfois, juste pour une seconde ou deux

    mais le temps n’a tellement plus d’importance, que cela ne dure si peu,

    l’intensité est instantanée, magnifique,

    ressentie partout, dans tout mon être

    et comme je l’ai écrit plus haut, si particulière

     

    la sensation de se faire l’amour, ressort tellement ainsi,

    quand c’est un geste , un mouvement, une position du quotidien

    de mon corps de tous les jours

    qui est interrompu, un instant,

    qu’il fleurit brièvement,

    moment magique, moment d’incandescence,

    moment de fusion avec mon corps

     

    mais je multiplie ces moments, ils sont innombrables,

    cela me fait comme un collier de félicité, au cou de ma journée,

    le plaisir ne me quitte jamais, en fait,

    je le sens constamment en moi,

    juste qu’il s’exprime différemment

    mais sa présence est constamment en moi,

    comme un gros oiseau perché,

    il bat des ailes, un instant et tout de suite, je m’envole,

    je suis empli de plumes qui bougent de tous les côtés

    #43968

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    ma mue se complète de plus en plus,

    mon plaisir au féminin s’est enrichi ce matin extraordinairement,

    j’écrivais régulièrement que le seul interdit que j’avais encore,

    c’était de toucher les génitaux avec la main,

    ce n’est désormais plus le cas

     

    ce geste,  je l’ai compris ce matin,

    bien que profondément yang

    qui entraîne des ondes de plaisir pénien,

    il y a très bien moyen de l’intégrer dans mon mode yin

    et de bénéficier ainsi de toute la puissance explosive mâle

    dont sont capables les génitaux,

    j’ai obtenu ce matin de splendides et interminables orgasmes , ainsi

    sans aucune éjaculation

    et le sexe , même pas dressé,  à peine durcissant et s’allongeant, un peu

     

    le contact est yang mais le geste était profondément yin,

    rien à voir , donc, avec des gestes de la masturbation masculine,

    c’était vraiment délicieux,

    j’avais la sensation d’entrer en contact avec mes lèvres,

    de tripoter  entre elles, avec les doigts

    et cela provoquait explosion sur explosion,

    tout à fait irrésistible

     

    je frottais un peu plus longuement, par moments, un peu mon sexe

    mais cela restait des contacts sporadiques et ponctuels, dans l’ensemble,

    noyés et dissous dans le reste

    cela m’incitait d’ailleurs, aussi,

    à aller aussi beaucoup plus du côté de l’anus,

    enfin ce furent des orgasmes très cosmopolites du côté de la source des ondes

    et c’est ainsi que c’est le mieux,

    le plus riche, le plus varié

     

    mais c’est indéniable, ces contacts aussi ponctuels que massifs et insistants

    des doigts avec mon double sexe,

    je me dois de le définir ainsi,

    occasionnaient des incroyables coups de turbo,

    c’est bien simple, j’orgasmais quasi directement

    et je sentais une puissance brute en moi

    comme encore jamais, auparavant

     

    les contacts doivent néanmoins, rester ponctuels,

    sinon tout ce que l’on obtient, c’est très rapidement une éjaculation,

    cela n’a pas grand intérêt,

    peut-être après des heures ainsi, à orgasmer,

    pour s’achever, pour se finir en beauté,

    on vide la soute, avant d’aller dormir

    ou de conclure la séance

     

    et puis avec un contact , un frottement, un effleurement,

    de quelques secondes,

    les génitaux se chargent d’ondes péniennes puissantes,

    pendant toute une période,

    inutile de persister,

    au contraire, on parvient moins à les exploiter au maximum,

    en noyant notre sexe de telles ondes,

    alors qu’à forte dose, ponctuellement,

    c’est ainsi que c’est le plus efficace,

    qu’on parvient à le mieux les intégrer dans l’ensemble

     

    #43967

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    ce qu’il faut bien comprendre

    c’est qu’il n’existe pas de sensations spécifiquement féminines

    et de sensations spécifiquement masculines

    qui seraient , en quelque sorte, des entités complètement séparées,

    indépendantes, les unes des autres,

    éventuellement connectées, même très fort,

    ponctuellement,

    mais pas forcément,

    ayant leur vie à eux, aussi, indépendamment, les unes des autres

     

    non, ce n’est pas comme cela que cela se passe

    mais alors, pas du tout,

    on est complètement à côté de la plaque si on le croit

     

    non, quand une femme vibre ou qu’un homme vibre,

    ils éprouvent les mêmes sensations

    simplement ils en vivent des secteurs  différents

     

    les sensations ont donc une zone masculine et une zone féminine,

    tout un spectre, qui va de l’un à l’autre,

    avec toutes les gradations et nuances,  possibles

    et si on a fait un travail adéquat sur soi-même, en profondeur et en surface,

    alors on finit par être capables de basculer,  entre les zones masculines et les zones féminines, des sensations,

    très facilement , constamment et avec une fluidité parfaite

     

    la difficulté étant, que nous avons un corps d’homme,

    avec un pénis, des couilles, pas de seins gonflés, pas de vagin,

    pas de hanches larges, souples et mélodieuses,

    ce n’est pas l’idéal pour aller chercher en nous, le féminin,

    c’est plus facile, bien sûr, beaucoup plus facile,

    si nous avons un corps en adéquation

     

    il est plus facile de vivre les sensations et les émotions

    que peuvent nous faire vivre un vagin et tout le reste,

    si nous les avons effectivement,

    si tout cette machinerie est déjà là, bien en place

    mais ce n’est pas obligatoire

    car justement, tout le spectre du masculin jusqu’au féminin ,

    des sensation, de la jouissance, des orgasmes, des extases,

    enfin, tout le féminin et tout le masculin,  possibles et imaginables

    sont  en nous,

    en chacun de nous, homme comme femme,

    nous sommes universels, chacun de nous,

    sommes capables de tout éprouver,

    tout ce que la femme peut éprouver

    quand nous sommes un homme, aussi

    et vice et versa

     

    mais cela peut aller plus loin,

    par les émotions et par les sensations,

    nous pouvons en fait, éprouver, ressentir, vibrer,

    en adéquation avec tout ce qui vit, tout ce qui vibre, ici bas,

    avec tout ce qui a du souffle, même très très discrètement

     

    chacun définit ses limites, jusqu’où il veut aller

    mais les sensations, la jouissance, la volupté,

    les extases de toutes sortes, sexuelles ou pas,

    sont infinies en nous,

    ce n’est qu’une question de travail sur soi,

    jusqu’où on veut aller

     

    certains ont envie de vivre le féminin en eux, très ponctuellement,

    dans le contextes bien spécifique d’une interaction,

    en utilisant des accessoires adaptés,

    le pegging en est un exemple parfait

     

    cependant, sans aucun accessoire, tout seul ou pas, d’ailleurs,

    on peut y arriver aussi,

    c’est avant tout une question d’accepter la sensation de pénétration,

    dans sa chair et son âme

    dissocier celle-ci de l’homosexualité,

    ce n’est pas parce qu’on aime se sentir pénétré

    qu’on est forcément un homosexuel

    et puis d’inventer une langue avec son corps

    pour exprimer l’autre sexe en nous,

    faire comprendre à son corps,

    avec des gestes, des mouvements, des attitudes,

    ce qu’on attend de lui,

    s’engager avec suffisamment de conviction,

    s’engager tout entièrement, sans rien retenir,

    alors il finira par répondre,

    deviendra notre complice,

    nous fera vivre notre face cachée,

    la partie immergée de l’iceberg

     

    une fois qu’on a fait ce travail sur soi-même,

    on peut pousser plus loin, beaucoup plus loin,

    laisser son corps s’exprimer au féminin, dans les gestes, les mouvements, les postures,

    il ne s’agit de pas devenir une caricature digne de la cage au folle,

    ce n’est pas comme cela que cela se passe

     

    non, juste laisser le désir nous entraîner, sans aucune limitation,

    sans aucune frontière, sans aucun tabou,

    oui, par moments, les gestes, les positions se féminisent beaucoup

    mais pas forcément, parfois très vaguement, parfois pas du tout,

    je n’y fais plus attention,

    le désir m’entraîne où il veut,

    il a toute liberté en moi

    et je peux vivre les sensations sur tout leur spectre

    et c’est avant tout, une sensation incroyable de liberté en soi,

    de complicité et de communion, avec son corps

     

    enfin de sensations partant dans toutes les directions, plutôt

    car écrire qu’on peux les vivre, sur tout leur spectre,

    serait extrêmement  prétentieux et faux d’ailleurs,

    les sensations étant infinies, sans limites, en nous,

    on n’en vivra jamais qu’une infime portion,

    aussi gigantesque et magnifique soit notre plaisir, sur le moment,

    mais le plus important,

    c’est que cela parte dans toutes les directions possible en nous

     

    libérer le désir,

    qu’il puisse nous entraîner, par où il veut,

    voilà bien la manière,

    de vivre le  plaisir plus complet et  le plus riche possible

     

    il faut voir les sensations et les émotions,

    comme une émanation commune de la chair et de l’esprit,

    sans limites,

    qui nous permettent de nous projeter, résolument,  hors de ce corps,

    nous donne la sensation d’aller pouvoir nous unir à d’autres,

    nous emmêler à d’autres,

    de ne plus former qu’un avec d’autres

     

    alors que bien sûr, ce n’est que des sensations, extrêmement puissantes, certes

    mais on ne vit jamais que dans son corps à soi,

    on est séparé irrémédiablement des autres, matériellement,

    cependant nous avons en nous, cette nappe phréatique extraordinaire,

    formée des émotions, des sensations,

    tellement sans limites et tellement prolifique,

    sans sexe, ayant les deux

     

    pour un homme vivant uniquement de plaisir en solitaire,

    n’ayant aucune ou très peu d’interaction, avec d’autres sexuellement,

    comme c’est mon cas,

    il est nettement plus intéressant d’aller éveiller autant que possible, le féminin en soi,

    tout simplement car c’est le secteur le plus vaste, le plus riche,

    que nous avons en nous,

    le plaisir est plus vécu dans tout le corps, constamment, aussi

     

    mais si on a une compagne ou un compagnon, c’est différent,

    on priverait celle-ci ou celui-ci, d’une part de nous-même,

    si on reste ainsi, uniquement vibrant au féminin

    et que c’est uniquement que cette part de nous

    que nous proposerions en partage,

    à l’autre, avec  notre corps d’homme,

    ce serait une façon extrêmement égoïste de se mettre en partage,

    priver l’autre d’une partie de nous-même,

    au plus, nous nous proposons le plus entièrement, le plus complètement, possible,

    au plus l’union sera intense, riche et sans limites,

    donc il faut proposer à l’autre,

    tout le féminin et tout le masculin qu’il y a en nous

     

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