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20 sujets de 1 à 20 (sur un total de 21)
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  • en réponse à : Plaisir des tétons suite à Prostatectomie #21952
    Papy6748
    Participant

    Les craintes exprimées dans les posts qui précèdent sont légitimes. Il n’en reste pas moins que la prévention est tout aussi légitime.

    L’idéologie du risque zéro et une application dogmatique de la notion de santé publique en France conduit à surévaluer tous les risques potentiels et donc à opérer des patients avant que cela ne soit strictement nécessaire. Cette dérive ne doit pas pour autant nous empêcher de surveiller notre santé et les biopsies bien faites sont utiles.

    Pour vous rassurer @aneveil, si c’est encore possible, j’ai subi une biopsie il y a quelques temps et je n’en suis ni mort ni sorti invalide. L’examen a été fait en ambulatoire sous anesthésie. J’ai eu quelques traces de sang dans mes urines pendant 2 ou 3 jours comme le médecin me l’avait dit. J’ai eu la zone prostatique sensible pendant quelques temps. J’ai attendu 2 bonnes semaines avant de faire un essai de session (le médecin m’avait dit d’attendre 3 semaines 1 mois avant de reprendre une activité sexuelle).

    Tout s’est passé en douceur sans douleur anormale. La vie a repris son cours et je n’ai rien perdu ni rien gagné dans ma quête au Super O. A l’époque j’étais à des années lumière de votre niveau de sensibilité prostatique. Vu les fantastiques progrès que vous avez faits récemment, cet examen qui est inconfortable ne devrait pas avoir de conséquences fâcheuses, indépendamment bien sûr des informations médicales qu’il apportera.

    Je vous souhaite du courage et surtout de bonnes nouvelles de votre santé.

    en réponse à : Ma lente progression vers l'orgasme prostatique #18545
    Papy6748
    Participant

    Bravo Filou ! Le bonheur dont tu témoignes fait chaud au coeur. Je te souhaite de retrouver aussi souvent que tu le désires un tel état de béatitude. A très bientôt.

    en réponse à : Ma lente progression vers l'orgasme prostatique #18538
    Papy6748
    Participant

    Quelques nouvelles de mon cheminement depuis 3 mois à la suite des témoignages de @oilofozil et @Danerosito.

    En fait d’un côté j’ai l’impression de ne rien avoir de nouveau à dire ce qui explique mon silence bien que je continue à lire avec intérêt tout ce qui se dit sur le forum. De l’autre côté les choses continuent à évoluer mais très progressivement sans aucun bouleversement par rapport à la veille ou à la semaine précédente. D’où cette impression de ne rien avoir à dire.

    Je ne peux que me répéter. Mes séances deviennent plus faciles dans la mesure où tout se met en place naturellement dès que je commence la préparation. Les vagues de plaisir arrivent très vite maintenant, les premières en moins de 5 minutes, puis elles s’intensifient peu à peu, durent de plus en plus longtemps au fur et à mesure que je suis de plus en plus détendu. Ce dernier point me paraît devenir de plus en plus important.

    Ce qui m’interroge c’est que je ne ressens pas de montée d’orgasmes même quand le plaisir me submerge et me fait perdre (partiellement pour l’instant) le contrôle de mon corps. C’est plutôt que le plaisir au lieu de conduire à une explosion orgasmique me submerge en montant progressivement le long de ma colonne vertébrale. Et quand le pic est passé j’en reveux encore tout en baignant dans la satisfaction de la dernière vague. Ce qui est formidable c’est que dès que je me reconcentre la montée du plaisir reprend.

    En ramenant mon expérience à l’échelle de la carte au trésor je ne peux pas valider au-delà de 45, 46. De ce point de vue je n’avance pas bien que mon expérience vécue me paraisse toujours en progression. Est-cde qu’il y en a parmi vous qui ont connu ou connaissent cette situation un peu bizarre de progresser sans avancer ? Est-ce que c’est une forme de plateau très prolongé avant de nouvelles découvertes ?

    J’éprouve maintenant chaque fois que je le veux beaucoup plus de plaisir que ce que je pouvais imaginer avant de commencer mon cheminement, et j’ai pourtant l’impression d’être dans une impasse par rapport à d’autres expériences. Ça ne m’empêche ni de vivre ni de jouir mais j’ai quand même un petit goût d’inachevé sur la prostate…

    en réponse à : Les toutes premières séances de massage de la prostate #18023
    Papy6748
    Participant

    L’hyperplasie bénigne de la prostate concerne potentiellement et très inégalement tous les hommes quelque soient leurs activités sexuelles, leur environnement, leurs antécédants médicaux. Cette affection existe indépendamment de la pratique du massage de la prostate qui est par ailleurs une méthode non médicale de réduction des risques liés à cette affection en contribuant à améliorer la circulation sanguine de cette partie du corps.

    Etant concerné par ce souci je n’ai noté aucune aggravation de mon état depuis que j’ai découvert le massage de la prostate et je dirais que je ressens plutôt moins de gêne pour uriner depuis quelques mois tout en ayant réduit puis supprimé le médicament qui m’étatit prescrit dans ce but. Ce n’est qu’un petit témoignage sur une expérience personnelle d’une durée réduite d’un point de vue médical.

    en réponse à : Ma lente progression vers l'orgasme prostatique #17687
    Papy6748
    Participant

    Merci Andrenaros pour votre compliment. Vous avez raison par rapport à mon expérience. Mais c’est quand même plus facile d’y croire quand on a commencé à y goûter.

    Mon cheminement continue. Je n’ai pas fait de découverte nouvelle mais chaque séance me donne l’impression d’être plus facile, de mieux ressentir ce qui se passe. Les vagues de plaisir naissent maintenant d’un point précis dans le bas-ventre et plus ça va plus je sens la présence du masseur qui appuie sur ma prostate. Je le sens aussi vraiment bouger et déclencher cette sensation de chaleur, de plaisir qui monte du ventre jusque dans la poitrine, le cou et la tête. Ça devient tellement fort que j’ai l’impression quelque fois de fermer la porte pour me protéger. C’est stupide mais c’est un réflexe incontrôlé. Par chance dès que je m’en aperçois je me détends et le plaisir revient très vite.

    Dernièrement j’ai constaté 2 choses. Je suis tellement près du grand O qu’il m’arrive de l’attendre. Je confirme dans ce cas c’est foutu. Comme il ne vient pas ça m’énerve et ça tue la séance jusqu’à ce que je m’en rende compte pour corriger. Maintenant toutes les nuits sans Helix j’ai quand même des vagues de plaisir, moins fortes mais bien réelles, soit pendant la nuit soit au réveil. Je ne m’en plains pas, vous vous en doutez.

    Pour résumer je suis sur un nouveau plateau mais avec tellement de plaisir en plus que sur les précédents que je suis très heureux d’être là. Donc comme dit plus haut j’y crois encore plus…

    en réponse à : Mon expérience déroutante #17646
    Papy6748
    Participant

    Lerris vous avez ouvert votre porte vers la jouissance prostatique à un âge beaucoup plus jeune que moi. Vous allez connaître le paradis orgasmique comme on dit dans ces colonnes 30 ans plus tôt que moi. Vous êtes évidemment impatient et vous manquez de confiance en vous comme moi au début. Le chemin parcouru est déjà formidable.

    Vous avez tout ce qu’il faut pour aller au bout. SOYEZ EN PERSUADE. Plus vous serez persuadé de vos chances de succès, plus vous vous détendrez et plus votre plasir agmentera. Plus vous serez confiant, plus la certitude de votre succès balaiera votre frustration. C’est ce qui se passe pour moi si mon expérience peut être utile.

    Cette prochaine période de coupure sera certainement bénéfique si vous l’abordez comme des vacances après une année de boulot. Oubliez tout et au retour vous repartirezez avec une énorme envie qui vous propulsera bien au delà du niveau que vous avez atteint.

    CONFIANCE.

    en réponse à : Mon expérience déroutante #17618
    Papy6748
    Participant

    Comme je viens de le dire en faisant moi aussi un petit point sur mon apprentissage on ne progresse pas automatiquement à chaque séance. Surtout si les problèmes de la vie courante, petits soucis, fatigue, préoccupations diverses ou manque de temps nous empêchent d’être disponibles pour notre quête.

    Votre cheminement même quand vous vous sentez perturbé ou empêché me paraît formidable. Je ne pense pas que vous ayiez de motifs de frustration en dehors de l’impatience de la jeunesse. Vos résultats vous font du bien donc continuez joyeusement. Il ne faut pas que l’approche du but vous mette dans un état qui ruinerait votre magfnifique cheminement.

    en réponse à : Ma lente progression vers l'orgasme prostatique #17617
    Papy6748
    Participant

    Petite mise à jour rapide
    Depuis 1 mois, après mes découvertes spectaculaires de ces dernières semaines, mes séances ne m’apportent aucune découverte nouvelle. En revanche elles me conduisent au niveaux atteints précédemment de plus en plus facilement,j e dirais de façon de plus en plus certaine. Je ne peux que répéter ce que je disais il y a 1 mois mon plaisir devient de plus en plus facile à atteindre même si je ne progresse pas au-delà de ce que je connais.

    Le processus se répète mais à un niveau supérieur. Maintenant je parviens à déclencher les vagues de plaisir à chaque séance même au coucher avant de m’endormir, même diurnes actives, sans parler de mes réveils nocturnes sous l’effet de l’Helix. Mes sensations s’intensifient doucement sans pour autant me donner l’impression de franchir un cap. Le seul élément nouveau est que dans les meilleurs moments je sens une espèce de brûlure de plaisir très localisée dans le bas ventre, peut-être le contact entre l’Helix et la prostate. Je ressens aussi plus nettement cette impression de devenir électrique, d’avoir la peaau hyper sensible. Mes pointes de sein deviennent des génératrices d’éclairs de plaisir

    Inutile de dire que ce que je vis alimente mon désir et mon excitation. Ces deux points ne me posent plus aucun problème depuis quelques semaines. Il faut dire que les sensations de plaisir que je déclenche entre les séances, sans Aneros, atteignent une intensité qui peut être supérieure à celle que j’obtenais pendant mes séances il n’y a pas si longtemps !

    Je crois que je suis le chemin emprunté par Lerris et par d’autres avant lui. A mon petit rythme bien sur ! avec des périodes de découvertes qui deviennent spectaculaires et des périodes de stagnation qui enr éalité s’avèrent être des périodes de consolidation. En tout cas comme je ne doute plus de mon cheminement, je ne ressens aucune frustration et ça c’est formidable.

    Merci Nouveauxplaisirs pour vos informations précieuses et tous les conseils pertinents parce que concrets que vous nous donnez.

    en réponse à : Ma lente progression vers l'orgasme prostatique #17484
    Papy6748
    Participant

    Cher Filou,
    Dans mon premier post de juin je disais

    J’ai commencé ce que vous appelez le cheminement, je trouve le mot très joli, il y a environ 3 ans.

    Au jour d’aujourd’hui ça fait plus ou moins 3 ans et demi.
    Mais je sens que mes progrès évoluent de façon exponentielle. C’est à dire que mes débuts ont été très très lents et auraient pu être frustrants si je ne m’étais pas préparé à cette situation. Deux des clés sont la relaxation et le lâcher prise, domaines où je suis derrière celui qui est derrière le dernier de la classe. Je m’étais donc préparé à l’échec en me contentant de faire « mes exercices » aussi régulièrement que possible sans jamais attendre l’orgasme absolu.

    Peu à peu des sensations nouvelles infimes sont appartues. Je les ai reconnues grâce à mes lectures attentives des sites sérieux sur ce sujet et je me suis efforcé de me concentrer sur elles. En fait je faisais un exercice de méditation appliquée sans m’en rendre compte. C’est commeça que tout a démarré et s’accélère de façon fantastique maintenant. Même si je n’allais pas plus loin je serais profondément heureux de ce que j’ai découvert en moi.

    La seule position qui me permettait de lancer le processus a longtemps été sur le dos, jambe écartées ou genoux légèrement pliés. La position latérale étouffait tout chez moi. Avec me progrès je commence à ressentir du plaisir même en position latérale.

    Quand vous dites « à mon réveil » est-ce celui provoqué par la sonnerie du réveil-matin, par la lumière du jour ou celui provoqué par l’Helix ? Moi c’est l’Helix qui me réveille, ou les sensations qui envahissent mon bas ventre bien avant l’heure du réveil civil. Si je me réveille à l’heure normale à l’appel de la sonnerie de ma pendulette c’est que j’ai mené mon sommeil réparateur au bout et que l’Helix n’a rien déclenché.

    Sans aucune prétention je crois que vous devriez renoncer momentanément à découvrir l’orgasme de la prostate et rejeter la frustration qui vous bloque maintenant, tout en continuant vos séances comme si elles n’étaient que de simples exercices utiles à votre santé. Je suis mal placé pour donner des conseils à la manière d’un maître car ma progression a suivi des voies détournées, même si j’ai toujours fait en sorte de replacer mes progrès dans l’esprit de la méthode. Quand je sentais la frustration me gagner, surtout au tout début, je relisais le traité et le forum pour me replacer dans la bonne philosophie du rejet de toute attente et de la concentration sur l’instant.

    Pendant longtemps je n’ai plus regardé la carte au trésor précisément pour ne pas me décourager du chemin énorme qui restait à parcourir. Je me suis contenté d’avancer pas à pas sans m’arréter, sans regarder mon but inaccessible à l ‘époque. Je suis sûr qu’en prenant un peu de recul vous y arriverez.Bon courage Filou.

    en réponse à : Ma lente progression vers l'orgasme prostatique #17356
    Papy6748
    Participant

    Mon expérience récente est l’illustration de l’imprortance pour les apprentis laborieux de prendre du recul par rapport à chaque session individuelle et de n’évaluer leurs progrès que sur l’évolution moyenne entre plusieurs séances.

    J’ai fait une nouvelle séance diurne « active », selon ma classification, qui ne m’a donné qu’une petite partie de ce que la précédente m’avait apporté, bien en retrait de la jouissance ressentie à cette occasion. J’avais pourtant l’impression d’avoir tout fait correctement. Je suppose que je devais être trop dans l’attente du résultat au lieu de vivre ma séance dans l’instant présent. Je suis donc repassé en mode nocturne « passif » ce qui m’a permis de retrouver des sensations moins fortes que lors de ma meilleure nocturne mais néanmoins fort sympathiques.

    Ce matin je me suis doucement réveillé vers 5 heures sous l’influence des vagues de plaisir déclenchées par le masseur. Profitant de ma torpeur je me suis concentré sur le plaisir qui montait du bas-ventre et sur mon relâchement musculaire quand l’intensité des sensations me conduisait à me contracter ou à me crisper. Plus je parvenais à me relâcher, plus l’intensité de mon plaisir augmentait jusqu’à une nouvelle crispation. Ca a duré presque 1h et demie.

    Après une pause toilettes, j’ai renouvelé les deux étages de lubrification (rectum et masseur) et je suis retourné au lit. En 5 minutes je me suis retrouvé là où je m’étais arrêté. J’ai tutoyé le paradis orgasmique pendant près d’une heure encore avant que je ne m’enfonce à nouveau dans le sommeil.

    Cette séance a été en tous points moins intense que ma super-séance active diurne mais quelques semaines plus tôt je l’aurais qualifiée de super méga séance. Je crois que mon expérience m’a fait finalement entrer dans une autre dimmension de la jouissance et j’ose à peine croire les experts ou les maîtres de l’orgasme prostatique quand leurs propos disent que j’ai encore plus à découvrir que ce que je viens de découvrir.

    Je sens que mon plaisir devient de plus en plus facile à atteindre, à répéter et à amplifier même si je suis loin de maîtriser le processus comme me le montrent les résultats variables de mes séances. J’ai l’impression d’être entré dans un cercle vertueux où mes progrès gonflent peu à peu ma confiance ce qui facilite mon lâcher prise ce qui alimente mes progrès.

    Merci Nikos de me rappeler mes 10 % du début. Paradoxalement j’ai maintenant l’impression d’atteindre une jouissance 10 fois plus forte qu’à lépoque alors que je me situe au mieux à 25 % de ce que me semblent devoir être les super orgasmes. Où est l’erreur ? Est-ce que d’autres parmi ceux qui progressent ressentent la même chose où suis-là aussi dans une voie personnelle éloignée de la voie royale ?

    Je profite de mon état d’esprit euphorique pour essayer de me situer sur la carte du trésor, ce que j’évitais de faire jusqu’à présent par peur de me trouver ridicule.
    Je valide 1-12, 15-19, 21-25, 27-30, 32, 34, 36-37, 39-42.
    Je valide partiellement 13, 14, 20 sauf respiration, 26 et 31 irrégulièrement,35 oui mais sous forme ondulatoire (je sens le plaisir monter puis chuter puis remonter mais avec un niveau « bas » (un plateau) des ondulations que je sens être de plus en plus élevé au fil des séances, 38 je pense que ça commence à un niveau très modeste, 43 selon le sens qu’on donne à intense (cette notion devient très relative au fur et à mesure que j’avance dans mon cheminement), 44-46 je pense que ça commence,
    Je ne connais pas encore 33, 47 et au-delà.
    Je me rends compte en faisant cet exercice que je suis beaucoup plus avancé sur la carte du trésor que ce que je pensais même si les étapes qui me restent à franchir me paraissent énormes. Merci Hector de m’avoir remis la carte devant les yeux.

    J’espère que mon bavardage auto-centré peut-être un peu lourd aidera ceux qui débutent avec quelques lenteurs dans leur progression. Prenez du recul, soyez persévérant, expérimentez, n’attendez rien et vous serez largement récompensé même si vous êtes loin du n° 60 de la carte du trésor.

    A bientôt pour la suite de mes incroyables progrès.

    en réponse à : Ma lente progression vers l'orgasme prostatique #17351
    Papy6748
    Participant

    Ma dernière séance m’a apporté une intensité de plaisir que je ne pensais pas connaître avant plusieurs semaines ou mois compte tenu de mon expérience jusqu’à hier soir. En effet j’ai pu dépasser les meilleurs résultats que j’avais atteints depuis quelques jours mais avec deux différences qui changent toutes les perspectives de mon cheminement.

    Encouragé par mes derniers progrès je me suis lancé dans une séance active en me couchant au lieu de m’endormir et d’attendre que mon masseur me réveille… Les sensations anales et périnéale sont apparues quasiment tout de suite. Je n’ai eu qu’à me détendre et à me concentrer sur elles pour qu’elles deviennent beaucoup plus nettes et bien mieux localisées. Quand je sentais que je les perdais (respiration bloquée, tension musculaire qui revenait…) je n’avais qu’à penser à me relâcher, à me reconcentrer pour les retrouver et les développer. J’avais l’impression d’avoir une forme de contrôle sur ma séance. Chaque sensation était bien mieux perçue et bien mieux reconnue.

    En plus ce qui ne m’apparaissait jusqu’à maintenant que comme les éléments d’un plaisir morcelé, qui m’apportaient quand même de plus en plus de jouissance, a pris la forme de véritables montées d’orgasme avec des vagues de plaisir qui me donnaient l’impression de s’appuyer les unes sur les autres et qui m’ont enfin conduit à de vrais sommets d’où je redescendais pour remonter en me relâchant de plus en plus et en travaillant mes contractions anales tout en finesse. Alors que les éléments de ma séance étaient les mêmes que ceux de mes dernières séances, l’impression d’ensemble a été très différente et plus gratifiante.

    En relisant mes mes messages précédents je me demande comment j’ai pu décrire tant de plaisir et de satisfaction alors que, comme je le sais maintenant, c’était nettement moins intense et moins profond que ce que je viens de vivre. Est-ce que je me suis menti à moi-même ou est-ce qu’il y a vraiment tant de jouissance que je ne peux pas l’imaginer au cours de ma progression ? ( Avec beaucoup plus d’expérience que moi le lecteur cité par Adam dans Mon expérience de l’orgasme prostatique au bout de 2 ans semble donner la réponse

    En effet, les sensations apportées par ce petit jouet ne sont allées que crescendo au point de penser à chaque fois (ou presque) à une amélioration presque incroyable du ressenti.

    en réponse à : Mon parcours vers l'orgasme prostatique #17338
    Papy6748
    Participant

    Je répète ci-dessous un passage de mon dernier témoignage qui j’espère soit vous aidera à mieux comprendre votre propre fonctionnement, soit aidera les experts à mieux répondre à votre question.

    Selon les moments la « source », le « cœur » de mon plaisir, je ne sais pas exactement quel mot correspond le mieux à ce que je ressens, est soit à l’intérieur dans le bas-ventre peut-être généré par le contact du masseur sur la prostate, soit au niveau de l’anus comme une caresse d’une douceur insupportable, soit plus en surface au niveau du périnée à la base du pénis ou carrément dans le pénis quand les pulsations deviennent si fortes que j’ai l’impression d’éjaculer.

    Je parle du « centre » d’où semble émaner le plaisir qui m’irradie. Au plus fort de ma jouissance j’ai l’impression d’être entièrement sous l’effet du plaisir. Ou alors la jouissance devient-elle tellement forte qu’elle efface les sensations normales de la présence du corps, de ses organes voire qu’elle efface toute autre pensée ? Est-ce que c’est cette forme de ressenti qui conduit au sentiment « d’orgasme diffus » ?

    en réponse à : Ma lente progression vers l'orgasme prostatique #17337
    Papy6748
    Participant

    J’ai l’impression que je viens d’atteindre un nouveau niveau. Je vais essayer de décrire ce que j’ai vécu ce matin jusqu’à la sonnerie du réveil. Malheureusement à aucun moment je n’ai pensé à regarder l’heure pendant ma séance. Je n’ai donc aucune idée de sa durée.

    Je me couche hier avec mon Helix inséré en bonne place, bien lubrifié avec un suppositoire de beurre de karité pour le rectum et une bonne couche de vaseline sur le masseur. Je m’endors. Je sors de mon sommeil sous la caresse de vagues de plaisir qui me chauffent le ventre et me font cambrer dans le lit. (encore merci Andrénaros pour vos conseils sur ces 2 points)

    A moitié éveillé, à moitié endormi je me mets en mode séance de massage prostatique et je pense à relâcher tous mes muscles en me concentrant sur les sensations qui me parcourent. Les vagues de plaisir deviennent très intenses ; en même temps j’ai de fortes pulsations au niveau pénis et du périnée comme lors d’une éjaculation et une grosse érection qui me rend extrêmement sensible à toute forme de contact. C’est la première fois que je ressens en même temps et aussi intensément toutes ces manifestations de l’action du masseur.

    malheureusement lorsque mon plaisir atteint un sommet je suis envahi par une contraction lente incontrôlable qui me prend tout le corps et expulse peu à peu l’Hélix, mais dès que je le remets en bonne place tout recommence aussitôt.

    Selon les moments la « source », le « cœur » de mon plaisir, je ne sais pas exactement quel mot correspond le mieux à ce que je ressens, est soit à l’intérieur dans le bas-ventre peut-être généré par le contact du masseur sur la prostate, soit au niveau de l’anus comme une caresse d’une douceur insupportable, soit plus en surface au niveau du périnée à la base du pénis ou carrément dans le pénis quand les pulsations deviennent si fortes que j’ai l’impression d’éjaculer. Mais à aucun moment je n’ai la moindre envie d’éjaculer. Je suis tellement libéré sur ce point que je peux m’abandonner complètement à mon plaisir ce qui me me permet de m’enfoncer dans ma jouissance bien au-delà de ce que mes séances de masturbation me permettent de connaître.

    Ce qui est extraordinaire c’est que chaque fois que l’intensité du plaisir baisse ou que l’Helix est expulsé je n’ai qu’à me reconcentrer sur les sensations résiduelles, qu’à faire attention à me détendre, pour que tout recommence et que je me sente à nouveau transpercé par mon plaisir. J’ai l’impression de pouvoir plonger dans la jouissance comme je veux.

    J’espère que mon résumé de cette séance n’est pas trop confus.

    en réponse à : Ma lente progression vers l'orgasme prostatique #17330
    Papy6748
    Participant

    Ma progression tranquille continue. Je sens maintenant l’Helix toucher un point très sensible presque à chaque séance sans que ce soit une impression de massage. A ces moments mon plaisir est nettement plus vif et je ne peux pas empêcher des gémissements de sortir. Lorsque je parviens à rester détendu dans la montée des vagues de plaisir, je constate qu’elles durent plus longtemps. Soit elles sont plus intenses soit elles elles me remplissent mieux ; je ne parviens pas à bien expliquer ce que je ressens à ces moments.

    J’ai fait aussi une nouvelle découverte qui me rappelle quelque chose que j’ai lu ici, mais je ne sais plus où. Alors que l’intensité de mon plaisir augmente pendant mes sessions au point d’approcher ce que je ressens lors de mes orgasmes avec éjaculation je ne ressens pas la satisfaction post-orgasmique qui suit l’éjaculation, quand on a plus envie de rien tellement on se sent bien. Je n’ai pas cette libération du corps et de l’esprit et j’ai l’impression d’avoir raté quelque chose même si je sais que ce n’est pas le cas.

    Je suppose que c’est mon schéma initial du plaisir orgasmique qui résiste alors qu’un nouveau schéma est en train de se mettre en place. En tout cas je ne regrette pas de m’être engagé deans ce « cheminement ».

    en réponse à : Suite de mon parcours #17283
    Papy6748
    Participant

    Hector ton expérience de masturbation avec tes orgasmes répétés ressemble à ce que je parviens à faire maintenant quand je me masturbe mais avec nettement moins de maîtrise. Tu me donnes de grands espoirs pour la suite. Comment se sont faits tes progrès en masturbation comparés à tes progrès en orgasme de la prostate ?
    Tu regrettes d’avoir perdu 1/4 de siècle pour ton plaisir, moi c’est 1/2 siècle et je suis encore loin de connaître les mêmes jouissances que toi.. Mieux vaut tard que jamais.

    en réponse à : Les toutes premières séances de massage de la prostate #17282
    Papy6748
    Participant

    Merci pour ton commentaire Nikos. C’est chouette de voir que mon expérience n’est pas isolée et apporte un petit soutien à d’autres. Tu as ien fait de ne pas vouloir rester sur une impression d’échec. Il y a trop de facteurs qui entrent en jeu pour tout maîtriser à chaque fois. Mon expérience est qu’il faut prendre du recul et raisonner sur la moyenne de plusieurs séances. Tu peux faciliter l’association de ton plaisir à ces sensations anales en reproduisant tes contractions des muscles PC quand tu te masturbes ou que ta femme te caresse. Ça m’a bien aidé personnellement.

    en réponse à : Les toutes premières séances de massage de la prostate #17230
    Papy6748
    Participant

    J’ai eu l’impression de discerner l’action des sphincters anaux de celle des muscles PC.

    Merci Nikos de mentionner cette sensation. J’ai aussi ressenti cette diffrence sous forme d’une série de bascules entre une pulsation anale et une pulsation périnéale. J’emploie le mot pulsation parce que c’est tellement faible que le mot contraction me paraît trop fort. Cette découverte a précédé de très peu l’expérience des mini O. Tu suis sur ce point ma progression 1000 fois plus vite moi. Bravo ! Surtout continue car à ce rythme très bientôt ce seront tes témoignages et tes conseils qui m’aideront à avancer.

    en réponse à : Ma lente progression vers l'orgasme prostatique #17140
    Papy6748
    Participant

    On ne peut rien cacher à Andreneros. Oui Filou j’ai commencé au printemps 2012. Puis je me suis retrouvé un peu comme Fanprostate faute du plaisir de la prostate qui refusait de venir. Il m’a fallu du temps pour prendre du recul et prendre conscience de mon manque de détente et de ma précipitation. Ca marche pour moi avec de la persévérance dans la pratique en acceptant de ne pas réussir tout de suite, en acceptant d’appliquer autant que possible les conseils de relaxation, en faisant l’effort de me détacher de mon pénis. Ca ne marche pas à chaque fois et ça prend du temps mais peu à peu je sens bien que ça évolue et après de longs mois j’ai l’impression d’entrer au paradis.

    Cela dit c’est loin d’être sur commande. Depuis mon dernier post je n’ai eu que 4 séances qui m’ont conduiit aux mini o dont 2 la semaine dernière. En fait je ne progresse pas dans l’absolu mais c’est la satisfaction moyenne qui augmente semauine après semaine. Donc à un moment ou à un autre je franchirai un nouveau seuil de plaisir. En tout cas j’y crois et je vous tiendrai au courant.

    Pour terminer puis-je demander si ceux qui ont réussi à connaître l’orgasme de la prostate y sont arrivés dans une progression constatnte et rapide ou bien s’ils ont eux aussi connu des hauts et des bas?

    en réponse à : Ma lente progression vers l'orgasme prostatique #16813
    Papy6748
    Participant

    C’est la rentrée pour tous mes petits enfants, mais à mon grand plaisir pour moi aussi… Depuis la présentation de mon expérience faite il y a plus de deux mois, il ne s’était pas passé grand-chose. En particulier je n’ai pas réussi à reproduire ma (toute) petite expérience orgasmique. Je ne me suis pas découragé sachant que la progression est souvent irrégulière et que j’attendais peut-être trop ces mini O.

    J’ai profité des vacances pour faire un break et j’ai laissé mon Helix au repos pendant un mois. J’ai repris mes sessions lundi dernier. Première point, j’en avais incroyablement envie. Je ne m’imaginais pas que la préparation de la session et l’insertion du masseur m’exciteraient autant. J’ai donc commencé à me détendre et à me concentrer sur mes sensations. J’ai vite retrouvé ces pulsations périnéales / anales semi involontaires qui ont été complétées peu à peu par des pulsations du pénis en même temps qu’elles devenaient vraiment automatiques, sans aucune nécessité pour moi de les entretenir.

    Puis des vagues de plaisir se sont développées remontant du bas ventre le long du dos jusque vers les épaules et la nuque. Contrairement à d’habitude ces vagues n’ont en rien perturbé les pulsations involontaires qui au contraire avaient tendance à s’accentuer, s’accélérer momentanément. Pour la première fois je n’avais aucun besoin de relancer la machine, Comme si mon corps avait pris de l’élan. J’ai profité de la situation pour appliquer les conseils souvent répétés d’approfondir son relâchement quand le plaisir monte.

    Je sentais que mon cheminement me conduisait sur des territoires nouveaux. J’ai ressenti une vive augmentation de l’intensité de mes contractions et une accélération de leur rythme. J’ai ressenti la jouissance d’un orgasme, sans éjaculation, plus faible qu’un orgasme traditionnel mais très satisfaisante. A ce point l’intensité des contractions a baissé mais elles ont continué d’elles mêmes sans que je ne fasse rien pour les entretenir. J’ai donc à nouveau profité de ma disponibilité pour me concentrer sur mon relâchement musculaire et sur ce que je ressentais.

    J’en ai été récompensé par un nouveau mini O, puis un autre…Je n’avais rien à faire, ils montaient et explosaient automatiquement. J’ai vécu ces délices pendant près de deux heures. Quand j’ai senti que la séance était terminée je me suis accordé une masturbation dont l’orgasme ma donné l’impression de durer une éternité.

    Mais ce n’était pas fini. Deux heures plus tard j’étais réveillé par ces pulsations qui m’électrisaient à nouveau tout le bas ventre. Le temps de me remettre en situation de relâchement et d’abandon, j’ai été à nouveau secoué par une série de mini O jusqu’à ce que je me rendorme. Depuis j’ai des échos de pulsations tout au long de la journée. Je ne m’en plains pas…

    Je suis encore étonné et évidemment ravi de découvrir ces plaisirs après tant d’années d’efforts sans succès. Je dis aux lecteurs du forum qui ont le sentiment de ne pas progresser n’abandonnez pas. On ne sait pas à l’avance ni quand ni comment nous franchirons les étapes qui mènent au plaisir prostatique.

    en réponse à : Mon âge est-il un obstacle à l'orgasme prostatique ? #16571
    Papy6748
    Participant

    Filou je ne connais pas encore le super O mais je pense que mon expérience m’autorise à répondre NON à votre question. Votre âge n’est pas un obstacle pour votre quête du super O si vous avez suffisamment de désir d’orgasme et si vous êtes capable de ressentir suffisamment d’excitation quand vous vous occupez de votre plaisir. Dans ce cas il vous faut seulement un peu de discipline pour accepter cet apprentissage en tant que tel sans rester accroché au super O.

    Après il faut vous organiser pour donner une certaine priorité au temps que vous consacrez à votre plaisir. Dites ouvertement ce que vous recherchez à votre femme en insistant sur les effets avantageux pour la santé de votre prostate et renoncez à la faire participer au moins dans un premier temps. Prenez du temps pour vous pendant lequel elle ne devra pas vous déranger. Alternez masturbation longue et massage de la prostate. Ces étapes libéreront votre esprit en éliminant un obstacle beaucoup plus important que votre âge.

    C’est comme ça que j’ai géré mes propres difficultés et blocages pour ouvrir la voie à ma progression. Comparé à d’autres membres du forum je ne suis qu’un riquiqui du plaisir prostatique, mais comme les vétérans le répètent chacun est différent et je trace mon petit chemin.

    Allez Filou rejoignez-moi pour montrer aux jeunots qu’on peut aussi y arriver…

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