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  • en réponse à : la soi-disant opposition plaisir Féminin / Masculin #28330
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    Contrairement à ce que tu dis @Jieffe, je suis parfaitement d’accord avec toi. Nous avons juste des façons différentes de le dire.
    Bon cheminement à vous tous.

    en réponse à : Quel 2eme aneros choisir #28254
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    Hier j’ai fait une seance avec le maximus trident qui est assez proche du junior. Je nai pas eu cette sensation de gene que javais pu avoir les autres fois au niveau du périnee et du coccyx. Il bouge tres bien aussi. Ils sont tres bien tous les deux. Tu auras la sensation d’avoir quelque chose de plus gros et un poil plus long. Si tu as peur que le device soit trop gros, vas y par etapes.

    en réponse à : Quel 2eme aneros choisir #28237
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    Oui en effet @andraneros à raison c’est bien du maximus trident dont je parle. Mais je ne veux pas te compliquer le choix. Si tu veux plus gros, pour moi le device est ce qu’il te faut. Le progasm ou junior ou maximus sont assez differents de l helix en raison de la presence du bras arrière. Mais ma pratique est moins conforme au traité que toi me semble t il. Je suis un peu tous azimuts. Du coup, j’essaye le plus possible. Mais peut être cela manque t il de régularité ?
    Quand tu auras fait ton choix, tiens nous au courant de tes expériences.

    en réponse à : Sexualité transgenre #28226
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    La premiere partie de ton dernier post me laisse perplexe. Je ne suis pas bien convaincu par la communion dans l’énergie cosmique. Cependant je suis 100% d’accord avec la deuxieme partie. Le monde s’en porterait mieux si l’homme acceptait de laisser vivre sa part feminine. Pour la femme, c’est différent parce que pour tirer son epingle du jeu, elle doit faire grandir sa part masculine.
    Bise à vous tous

    en réponse à : Quel 2eme aneros choisir #28223
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    Moi je t’admire. Avoir pratiqué avec un seul masseur pendant 4 ans. Je serais incapable d’autant de rigueur.
    Pour ajouter autre chose à l’helix, je suis d’accord avec @BZO, le DEVICE, serait à mon avis parfait. Pour ce qui est de la fonction vibrante, je doute encore de son efficacité.
    Si tu en as les moyens, je te conseil d’ajouter une autre corde à ton arc avec le MAXIMUS (aneros), qui est de taille juste au-dessus de l’Helix, pour une forme assez similaire MAIS avec 2 branches. C’est le même type de masseur que le PROGASM, mais une taille en dessous, et contrairement au junior qui est de taille similaire, ses 2 branches se finissent par des petites boules ce qui est plus confortable.
    Dans l’ordre de taille du plus petit au plus gros il y a donc : l’helix (plastique blanc), le maximus (plastique blanc) à égalité avec le junior (plastique noir), puis le progasm (plastic noir ou transparent ou rouge) à égalité avec le device (silicone).
    Moi je ne suis pas un adepte du silicone. J’adore le glissement du plastique noir qui est très lisse. Cependant, la texture du DEVICE est vraiment top. Rien à voir avec les trucs en silicone classiques.
    La forme du DEVICE, ainsi que sa taille me vont parfaitement, il est assez gros, et pourtant il se fait “presque” oublier. Je ne ressent aucun inconfort avec, grâce à ses butées qui ne sont pas agressives du tout. Celles du junior et du progasm en revanche finissent à la longue par me gêner, voire me faire mal, car elle pressent trop sur mon périnée et sur mon coccyx. J’ai du mal à les faire glisser. En revanche, pas de problème avec le device.
    Cela étant dit c’est quand même assez personnel comme truc, c’est pourquoi c’est toujours délicat de conseiller un masseur. Mon conseil est d’en avoir au moins 3, ce qui permet de faire varier les plaisirs.
    Hier j’ai même été surpris de l’efficacité du Péridise, qui est tout petit, mais qui n’a aucune butée. Juste des ergots, pour éviter l’aspiration. Il vient délicatement titiller la prostate, comme une petite baguette magique.

    Bon cheminement à toi @Helixir4

    en réponse à : Tout sur la prostate sur France inter #28197
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    Pour moi le plaisir prostatique, de part sa similitude avec le plaisir féminin brouille complètement la difference des sexes. De plus, toujours pour moi, c’est comme si javais appuyé sur le bouton reset, après une mise à jour de mon système qui inclut la prostate. Les cartes ont été irrémédiablement redistribuées. Et la nature ne produit rien d’inutile. Je suis bien d’accord,alors y a t’il un sens à tout ça?

    en réponse à : Tout sur la prostate sur France inter #28196
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    Le plaisir prostatique ne produit rien. Rien d’autre que du plaisir. Si encore on pouvait s’appuyer la dessus pour fabriquer des trucs. Des toys, des lubrifiants. Mais @bzo (entre autres) a montré qu’ on pouvait s’en passer. Dans une société productiviste, ce qui ne produit rien, c’est dangereux. Les femmes tant qu’elles font des bébés ca va. Mais leur plaisir on s’en fou…tait ?
    Quel intérêt avons nous à avoir du plaisir ? en voilà une bonne question !

    en réponse à : la soi-disant opposition plaisir Féminin / Masculin #28166
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    Quand j’observe certaines femmes et leur prétendue féminité, j’ai du mal à m’y reconnaitre. De même, quand j’observe certains hommes et leur prétendue masculinité, je ne peux m’y reconnaitre non plus.

    En fait, je suis incapable de dire si il existe une sensibilité féminine. Et si elle existait, je serais encore moins capable de la définir. De même pour une sensibilité masculine. Supposer l’existence d’une féminité, ou d’une masculinité implique de la considérer comme naturelle, comme s’imposant à nous comme une détermination naturelle, venant en quelque sorte de l’extérieur. Si tel était le cas, elle serait d’origine physiologique. L’homme et la femme ne portant pas les mêmes organes génitaux, cela les conduirait, naturellement, de par leurs sécrétions hormonales et leurs organes différents, à avoir des comportements, des affinités, des désirs différents.

    Faut-il encore plus de défilés d’homosexuels, de bisexuels, de transgenres et autres transsexuels, pour venir affirmer haut et fort que tel n’est pas le cas.

    Pourtant, il y a bien des sensibilités différentes ? Mais il n’y a pas de féminité naturelle, ni de masculinité naturelle. Il n’y a que des comportements appris, construits, élaborés par le rapport des hommes et des femmes entre eux, par le rapport des humains avec leur corps, par le rapport des générations entres elles.

    Je ne me sens donc ni femme, ni homme, ni féminine, ni masculin. Je me sens existant. Contrairement à certains qui pensent qu’il suffit de penser pour se sentir exister, je pense à travers mon corps. Mon corps n’est rien sans sa pensée, et ma pensée n’est rien sans son corps.

    Ainsi, la pensée peut penser son corps comme elle l’entend. Si le corps social dans lequel évolue ma pensée a défini une sensibilité féminine et une sensibilité masculine, alors je peux m’y conformer, ou m’en indigner. Je peux élaborer à mon tour la place que ma pensée et mon corps doit, peut, essaye de prendre dans ce corps social, qu’il soit en conformité ou en totale opposition avec le corps que j’entends avoir.

    Personnellement je ne revendique aucune masculinité, ni aucune féminité. Je ne souhaite pas m’y maintenir. Cela dit, ma sensibilité évolue grâce au massage prostatique. Il accentue la connexion à mon corps, il accorde ma pensée à la vibration de mon corps qui joue sa partition de plus en plus quotidiennement car elle se manifeste aussi sans masseur. Il réunifie ce que des siècles d’histoire humaine ont cherché à séparer : le corps et l’esprit, tout en maintenant la distinction claire. Il n’y a ici, aucune divinité, aucune spiritualité orientale ou ésotérique, aucune magie. Il n’y a que moi, comme corps vibrant, uni à ma pensée jouissant de la vibration.

    Cela ne produit rien. Ni enfants, ni œuvre, ni relations humaines, ni sens politique. Ce n’est pas un travail. Si cela est apparenté à la féminité, je comprends mieux qu’elle ait été maintenue tant de siècle dans un rôle subalterne, voire presque exclusivement reproducteur. Je parle de cet être dépourvu de pénis, et pourvu d’un vagin, d’un clitoris, que l’on appelle femme, qui menace, par sa seule existence, tout ce que l’homme, le mâle, à construit, à la sueur de son front, et avec du sang sur les mains. Si la femme est perçue comme cet être pourvu de la capacité de jouir à répétition, sans rien produire, je comprends que cela puisse générer la haine. Dommage que l’immense majorité des hommes passe à côté de cette capacité, dont ils sont pourvus également. Si ce n’était pas le cas, il y a fort à parier que la civilisation occidentale serait cette fois réellement civilisée.

    Bon cheminement à tous

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane III ( aneroless) #28151
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    J’avais bien compris le theme de ton journal version 3. Il manquait un accent sur “où”, a comprendre comme un lieu, un espace, en loccurence revolu, mais pas comme une alternative dans laquelle tu pourrais douter.

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane III ( aneroless) #28150
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    Voilà qui est clair. Merci pour ces precisons.
    Bon cheminement @bzo

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane III ( aneroless) #28148
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    Participant

    Oui,dans ces conditions je comprends que ma suggestion puisse ne pas t’inrerresser.
    J’ai une question cependant: ne penses tu pas finalement qu’avec le temps et la pratique tu t’orientes vers le minimum de stimulations superflues, vers une sorte de “do nothing”, ou le toucher delicat et leger de tes doigts est plus “productif” que le mouvement insistant d’un aneros.
    Autre question : continues-tu a lubrifier ton anus ou ton rectum avec du beurre de karité par exemple ?
    Bon cheminement vers l’ultime @bzo

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane III ( aneroless) #28117
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    Participant

    J’ai juste une petite suggestion : essayer avec un cockring en acier inox. Il va enlacer lourdement tes testicules et ton penis. Tu auras les mains libres de faire autre chose. Tu ne dois pas toucher a ton penis bien sur. La pression que va générer le cockring sera bien suffisante. Une delicate pression sur la base du penis, et sur le perinee juste sois les bourses.
    A mesure que ton penis va s’epaissir, la pression va augmenter. Il est bien possible que ce petit accessoire viennent agreablement compléter la gamme de tes experiences. Personnelement, j’adore. Mais rien ne vaut un anneau large, epais, lourd, en inox. Toi qui ne veux rien laissé de côté…
    Bon cheminement a toi @bzo

    en réponse à : Mon petit journal #28063
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    c’est bien la problématique dans laquelle je baigne tous les jours : L’envie ne manque pas, ça c’est sûr, mais le soir, je suis complètement crevé. Quand un soir je ne pratique pas, je suis en meilleur forme le lendemain, et je remets ça, et puis le lendemain, je suis naze. Je n’ai pas réussi à me résoudre à enlever mon masseur, alors je dors avec… d’un œil. Alors durant la nuit, il me fait quelques bisous, et là je repars : fourmillements, érection, spasmes, et puis je me rendors, jusqu’au petit matin où là je me dis ça suffit, faut dormir, mais c’est un peu tard. Et je suis tellement fatigué que j’en ai des vertiges parfois. C’est ça depuis des mois. Je vis dans une sorte de nuage. Quand je sais que je ne pourrai pas faire de séance le soir parce que je suis trop fatigué, alors, dans la journée, je porte un plug. J’ai des micros séances de plaisirs dans la voiture, à mon bureau, dans les wc, en marchant dans les couloirs, etc… Et le soir mon rectum est usé, mais ma prostate m’appelle, encore et encore. Alors je pratique en anerosless, mais je suis vraiment trop fatigué, et je dors comme un bébé, et c’est reparti pour un tour. Pourtant je n’ai jamais d’explosion, d’orgasmes au sens où vous le décrivez. Mon anus ou mon rectum n’a pas de contractions autonomes. Mais ce que ça me fait vivre, j’adore ça. Cela dit j’adore aussi passez du temps avec ma femme et mes enfants, mais c’est un plaisir d’un tout autre genre.
    L’autre jour, ma femme a juste posé sa main sur moi, mon corps s’est violemment convulsé ce qui l’a fait beaucoup rire. Elle a trouvé le point d’orgue : à peine elle le touche, je saute comme un ressort.
    Alors que j’étais assis dans le canapé, à me détendre, un spasme m’est venu, mon fils qui m’a vu m’a demandé ce que j’avais. Je lui ai dit que j’étais fatigué, et qu’on avait ce genre de secousses quand on commence à se relaxer. Mais moi, je sais que c’est ma prostate qui m’appelle.
    J’ai l’impression que tout mon corps est prêt pour le grand saut, mais il n’y va pas encore. Comme si ce jeu avec la limite était tout aussi jouissif que le saut lui-même.
    Allez, bises à vous deux @BZO et @JIEFFE
    PS : Le DEVICE, c’est vraiment une tuerie !

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane III ( aneroless) #27911
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    Participant

    Je consomme les détails de tes descriptions avec gourmandise. C’est excellent.
    Je fais aussi en parallèle de tous le reste des micro-sessions aneroless.
    Je progresse aussi pas mal de ce côté là.
    Mais je ne suis pas pressé, j’adore vraiment tout essayer, tout varier, ça en fait presque trop, mais je profite de chacune de mes expériences.
    Bonnes séances à toi @BZO

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #27904
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    Hier j’ai testé le DEVICE de Aneros. Plus ça va, plus mes joujoux grossissent. J’avais l’impression que ma prostate, faisait une fellation à l’aneros, comme si elle voulait l’englober. Magique ! Mais pas de véritable orgasme. Par contre des vagues de plaisirs, ça oui, oh que oui.

    Ma femme me disait l’autre jour à propos de ma nouvelle sensibilité (bien que je ne sois pas rentré dans le détail pour l’instant) : “de toutes façons, tu es un explorateur”. Elle intègre ça à ma personnalité, comme un fait normal.
    C’est assez réconfortant, mais je préfère y aller doucement. Je dois encore lui dire de ne pas s’inquiéter si elle m’entend gémir. Elle a toujours peur que je fasse une attaque, bien que à ma connaissance, je n’y sois pas sujet. Je ne lui ai pas encore montré un aneros. Il le faudra un jour, ça prendra une dimension plus concrète.

    j’aime bien l’idée d’explorateur. Un explorateur vise un but, mais une fois son objectif atteint, il n’a qu’une idée en tête : repartir. Parce qu’il prend au moins autant de plaisir à explorer qu’à atteindre son objectif. Moi j’explore mon corps, je ne m’en lasse pas et j’adore ça, même si je n’ai pas encore atteint l’objectif visé. Mon corps est un continent inconnu dont j’ai découvert l’immensité il y a peu. Cela ouvre des perspectives de voyages palpitantes (et pour un budget modique).

    Le massage prostatique, et tout ce qui va avec, convient parfaitement à ma personnalité autarcique. Me suffire à moi-même ne signifie pas que je suis coupé des autres. Cela signifie que je peux cesser de faire de l’autre un objet de mon désir. Du coup l’autre existe en tant que tel, non plus en tant qu’intérêt, si bien que lorsqu’il donne, cela est un don, ce n’est plus un dû. Comme dit @andraneros, ça permet de passer du mode prendre au mode recevoir. C’est ça pour moi la vraie liberté : ne pas être dépendant de qui que ce soit.

    Bon cheminement à Tous

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #27903
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    Merci @Jieffe et @BZO pour vos commentaires et réflexions. Ils me sont très utiles. Ce n’est pas parce que je ne réponds pas tout de suite, ou ne réagis pas tout de suite que cela ne fait son chemin dans mon esprit.

    La question de la relaxation, et ou du lâcher prise est un point central qui fait débat : faut-il s’en inquiéter, ou pas, faut -il travailler dessus ou pas ? je disais dans un autre sujet de discussion que je pensais cela comme un faux problème. Mais ce n’est ni un faux problème, ni un problème. Chacun doit trouver sa façon d’être à l’aise au moment d’engager une séance, à peu près tranquille d’esprit, puis les sensations permettent de décrocher de son bla bla intérieur. Des fois ça marche, des fois ça marche pas. Ce qui est le plus important, c’est que comme le souligne justement @andraneros, sur le long terme, nous sommes presque tous sur une pente plus ou moins raide, mais toujours ascendante.

    Concernant les conditions de mes séances, j’ai bien conscience de la difficulté que cela représente. Mais ne vous faites pas de souci, je travaille activement à leur amélioration.

    Bon cheminement à vous deux

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane III ( aneroless) #27901
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    Participant

    Il m’arrive quand je suis en séance de prendre mon pénis et de tirer dessus, de façon langoureuse, ce qui envoie une armée de millepattes disposés en colonnes bombarder ma colonne vertébrale jusqu’à la racine de mes cheveux; mais ça marche une fois. Il faut attendre un petit moment avant de recommencer pour avoir un nouvel effet boost. Si j’insiste, la sensibilité pénienne prend le dessus sur la sensibilité prostatique, et c’est foutu : le désir de masturbation est trop grand et je quitte le mode prostatique. C’est un numéro d’équilibriste, qui pour moi a plus souvent basculé dans la masturbation que dans le plaisir prostatique. Mais peu à peu je maitrise mieux.
    C’est cool de voir que je ne suis pas tout seul à “transgresser” LA règle. Je rigole, c’est pas vraiment une transgression, c’est plus l’apprentissage d’un jeu subtil.
    Mais pour l’instant le plaisir donné par la masturbation est tellement intense, même si c’est éphémère, je ne suis pas encore mûr pour m’en passer. Sentir le sperme traverser mon pénis en érection, en jets longs et puissants, ça me transporte dans un autre monde. Jouer longuement avec la limite de l’éjaculation, j’adore. C’est pas quelque chose que j’arrive à faire avec une partenaire (ma femme en l’occurrence) qui s’accommode mal des phases de ramollissement.
    Cela dit, le massage prostatique apporte une nouvelle dimension à l’activité sexuelle, c’est comme si du 2D on passait en 3D.
    Je sais ce que tu vas dire : c’est pas une 3D mais une 10 D. Mais comme ça il me reste encore plein de dimensions à découvrir, j’adore aussi.
    Bon cheminement @BZO

    en réponse à : Mon petit journal #27848
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    Justement je m’apprêtais à ecrire sur ce sujet. Ca revient tellement souvent, et c’est tellement peu evident a rendre concrètement : le lacher prise. Ce que tu dis est juste : il ne faut rien attendre d’une séance. Je me ferais l’avocat du diable en disant : alors pourquoi on la fait?
    Difficile de repondre non ?
    Mon avis est que ce lacher prise va bien au delà de la simple seance. C’est un état d’esprit général de “no soucy”. La tonne de choses à faire dans l’après midi n’est pas propice. Non qu’il ne faut rien avoir à faire, mais cela ne doit pas representer le moindre souci. En tout cas au moment de la seance. Je m’aperçois que mon corps est dans un etat de tension constante. A chaque fois que je localise un point de tension, et que je parviens à l’apaiser, un autre se découvre. Si je ne maintiens pas, par une action volontaire cet état de relachement, alors la tension reprend le dessus presque naturellement. A force de travailler sur ces points, je parviens à conserver un meilleur état desprit général, et la qualité de mes seances est meilleure. C’est pourquoi, pour ce qui me concerne, mon cheminement est long. La relaxation est un point capital, et ca demande beaucoup de temps.
    Dis moi si je me trompe, mais au vu de ce que tu dis a BZO : “le sentiment de plenitude… rien d’autre n’a d’importance à mes yeux.”Ca indique une capacité à faire table rase de tout le reste, durant ta seance. Pour moi c’est encore difficile de faire table rase : il y a la sante, la famille, le boulot, et tout le reste…
    Bon cheminement a toi @Jieffe

    en réponse à : Équilibre du couple #27843
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    @Jieffe et @andraneros t’on déjà prodigué de judicieux conseils. Et d’après ce que tu dis, ta femme éprouve encore un désir tout à fait palpable, bien que irrégulier, et pas forcément en phase avec le tien. Ensuite il me semble que tu disposes désormais avec le massage prostatique de quoi satisfaire un certain désir, à même d’apaiser la frustration que provoque ce “déphasage”.
    Je suis donc, comme nos autres lecteurs, très optimiste quant à l’évolution de votre relation, car si ce n’est déjà fait tu vas pouvoir lire dans sa gestuelle les signes qui indiquent tantôt un appel de son désir, tantôt une absence de son désir, et adapter ta réponse. L’apaisement permet de ne pas être aveuglé par son propre désir. Cette lecture conduit au respect mutuel, parce qu’il encourage l’autre à faire de même.
    Du moins c’est ce que je vis avec ma femme. l’apaisement est fondamental, dans ces temps difficiles ou la santé pèse sur le désir comme une chape de plomb. Mais je sais que le désir est toujours là, prêt à ressurgir.
    Bon cheminement @helixir4

    en réponse à : Sexualité transgenre #27820
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    Dans ce monde qui prône l’égalité comme une valeur absolue, il est parfois difficile de comprendre que nous sommes tous très différents. Je sais il ne faut pas tout mélanger, mais ce n’est pas ce que je fais.
    Nos parcours d’explorateurs prostatiques sont tous bien différents les uns des autres. Malgré les différences nous y trouvons des point communs. L’un d’eux, semble être manifestement le sentiment qu’à travers ces parcours de découverte de notre corps, se dévoile la part féminine de notre être. Et plus on progresse dans ce parcours, plus elle prend de place. Non qu’elle remplace tout à fait une autre part que l’on pourrait qualifier de masculine, mais un rééquilibrage se produit.
    Ton témoignage est très intéressant car il fait état de cette étrangeté à être masculin, à se couler dans le rôle du séducteur entreprenant, et dans cet amour de la féminité, non comme objet de désir sexuel, mais comme modèle d’identification qui correspond mieux à ta personnalité profonde.
    Cette étrangeté, je la vis aussi chaque jour. Moins intensément que toi, mais cela génère une situation très ambiguë, tant dans mes relations avec le monde masculin, qu’avec le monde féminin, et provoque un sentiment d’isolement : les préoccupations masculines m’ennuient, el les préoccupations féminines me sont socialement difficilement accessibles. Heureusement, ma femme accueille ce rééquilibrage avec bienveillance, par ailleurs mes enfants, souvent m’appelle maman. Mais je sens bien que certaines limites, si elles devaient être franchies, ne provoqueraient qu’incompréhension et probablement rejet, du moins dans un premier temps.
    Alors, comme BZO, je vis ce délicieux trésor dans le secret. Je regarde les courbes féminines, la délicatesse des bijoux qui ornent leur peau légèrement dénudée, le soulignement du regard, des lèvres, par quelques fards habillements disposés, juste pour le plaisir. Les hommes au sens “mâle du terme” voient ça comme de la provocation. Moi je vois ça comme une œuvre qui délecte le regard et les sens, et qui appelle le respect, la retenue, et la délicatesse. Cependant, je sais que sous ce voile délicat, se cache, parfois à demi-mot, un profond désir de plaisir. Dans tout cela, je me reconnais.
    Bon cheminement à toi @envole

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