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11 juillet 2020 à 0 h 22 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #38045bzoParticipant
dans une pratique où il y a un minimum d’action,
je ne pense pas donc à des pratiques du genre “do nothing”
où tout est dans la détente si j’ai bien compris
où de temps à autre, on bouge vaguement,
là d’autres dynamiques sont sans doute à l’oeuvre
mais bien une pratique où il y a de l’action très régulièrement, même si minimalistequand on est dans ce genre de cas de figure,
il est vraiment important de bien mettre le corps en tension comme il faut,
lui faire acquérir une unité,
pour toute notre chair devient alors comme une gigantesque piste de danse pour les ondes,
pour qu’elles puissent circuler le plus librement possible,
valser follement dans toutes les directionsc’est la raison pour laquelle désormais
mes bras et mes mains ne participent plus indépendamment à l’action,
plus de caresses, de pressions tendres des doigts, de frottements, d’effleurements,
ils font pour l’instant totalement partie du corps,
en agrandissant l’espace, en renforçant l’unité, l’intégritécouché, mes bras sont généralement derrière moi, plus ou moins tendus,
mes mains se rejoignent, ainsi je m’étire, me mets en tension, relache les hanches,
laisse la houle les prendre,
les postures semblent s’optimiser d’elles-même ainsi
où la circulation des vibrations peut être maximale,
je les sens courir en moi partout dans tous les sens follementle yin prend aussi encore plus puissamment possession de mon corps ainsi,
toute ma chair semble former comme un arc, un pont délicieux, fin,
plein de courbes, de rondeurs, de suavité, de finesse, d’arabesques,
mes hanches dansent, mes cuisses frottent, les contractions montent,
tout mon bassin est comme une dynamo produisant follement
un mix d’ondes génitales et prostatiques
qui montent, qui descendent, se répandent partoutje me sens féminin, je me sens masculin, je me sens uni à moi-même,
moments de volupté débridée à l’extrême, moments de communion absolue,
la jouissance ne me lâche plus, court en moi sans discontinuité
de temps en temps, cela explose en un orgasme prostatique qui vient se sur-ajouter,
j’en pleurerai tellement c’est bon,
tellement ma chair me convie à une liesse divine10 juillet 2020 à 23 h 48 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #38044bzoParticipantJe commence à comprendre pourquoi il y a maintenant tant de bugs et de failles de sécurité dans les applications… Ça codait bien plus sérieusement dans ma jeunesse, avant internet et le télétravail !
hé hé, j’ai perdu le feu sacré aussi entre temps
ou plutôt il est descendu plus bas…10 juillet 2020 à 22 h 13 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #38041bzoParticipantl’art de se lâcher, l’art de s’embraser,
l’art de s’aimer, l’art de vivre l’instantl’art d’être l’amoureux dans sa chair et l’art d’être l’aimée dans sa chair,
l’art d’être en même temps, celui à qui on fait l’amour et celui qui fait l’amourl’art d’être homme de plus en plus justement,
de plus en plus librement, de plus en plus passionnément,
de plus en plus richementl’art de savoir éveiller la tempête,
l’art de jouir de la tête aux pieds,
l’art d’être à l’écoute de son corpsl’art de vivre les gestes de l’amour
et l’art de vivre l’amour dans ses moindres gestes,
l’art d’être aimé et en même temps d’aimerl’art de la quête en soi de moments de liberté absolue,
l’art de la communion avec son corpsl’art de vivre au-dessus de ses précipices,
l’art de s’engager dans des moments comme un équilibriste,
l’art d’improviser un chemin de soie en soi-mêmel’art de danser la folle et brève incandescence de l’instant présent,
l’art de laisser fondre son coeur et ses tripes tout entièrement
dans le creuset ardent de l’instant présent10 juillet 2020 à 19 h 26 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #38037bzoParticipantaujourd’hui , autre jour de télétravail, commencé à poil,
j’ai tellement l’habitude quand je suis seul chez moi, d’être dans la tenue d’Adam
mais après une bonne demie heure,
je me suis rendu compte que je ne boulottais pas vraiment,
que je n’arrêtais pas de répondre aux appels de mon corpsje me suis souvenu de ma résolution de l’autre jour
et mis un short,
cela a coupé net l’effet excitation permanente
bien que de temps à autre, je m’offrais tout de même quelques instants de bon temps
car en fait, même habillé, je peux pratiquer aneroless,
cependant les ondes ne se propagent pas de la même façon,
le tissu du short est stratégiquement parfaitement placé
pour tempérer mon excitation, l’empêcher de se diffuser à pleine puissanceainsi, j’ai pu nettement plus me concentrer sur mon travail
10 juillet 2020 à 0 h 37 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #38025bzoParticipantpratiquer, c’est progresser
pas avoir peur de régresser,
plutôt craindre comme la peste l’immobilité9 juillet 2020 à 22 h 29 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #38024bzoParticipantmes premiers émois de la journée,
juste une quinzaine de secondes
mais quand votre chair vibre si magiquement,
que c’est comme si vous étiez empli de cristal chantant, frémissant dans la lumière9 juillet 2020 à 0 h 32 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #38008bzoParticipantcela vous change un homme ça,
de pouvoir éprouver du plaisir sexuel, de la volupté,
quand je veux, avec quoique je sois occupé,
en train de faire la vaisselle, du thé,
regarder un film ou une série sur mon écran d’ordi, à écrire un petit texte ici sur le forum,
il suffit que l’envie me vienne (et il vient o combien souvent…)
et en deux temps, trois mouvements,
je suis déjà à gémir, le corps empli de bonnes ondes bien chaudes, bien soyeusescela vous change un homme, ça, donc j’écrivais,
parvenir à répondre à toutes les sollicitations du désir,
permettre à celui-ci de prendre ses aises en nous,
de s’amplifier, de n’en faire qu’à sa tête,
eh oui, cela vous change un homme, çame donner du plaisir est devenu une occupation à plein temps,
j’explore les ressources cachées de mon corps,
quelle aubaine, mes amis, quelle aubaine!
dire que j’ai tout ça en moi depuis toujours,
toutes ces années avec ce trésor en moi, ignorédans l’épanouissement de la chair, un esprit nouveau naît,
plus apaisé, plus équilibré, plus prêt à donner et à recevoir,
plus prêt à aimer et à être aimébzoParticipantmerci @andraneros
je peux te demander encore une petite chose dans ce texte que je n’ai pas pu éditer?ce serait de remplacer
excrétions
par
sécrétions
çà doit se trouver vers la fin, l’avant-dernier paragraphe, je crois
bzoParticipantQu’est qui c’est passé depuis le 12 juin
Et bien pas grand chose black-out total, aucune envie, plus de désir
tout c’est envolé
Même quand j’avais une barre de fer à la place
Mon corps est resté de marbrepas terrible cela,
notre pratique en mode yin, dépend beaucoup de notre “bonne volonté”, de notre engagement,
j’ai parfois des blocages mais qui ne durent pas plus de quelques secondes,
cependant je me rappelle que par le passé,
j’ai pu avoir aussi des passages à vide comme cela de plusieurs jours,
le yin vient de plus loin en nous,
le chemin peut être plus hasardeux pour arriver jusqu’à dans notre chair,
la consistance viendra avec le tempsou alors cela peut être dû à des soucis, à des problèmes, dans ta vie personnelle
Après on peut être frustrer d’être obliger d’arrêter quand on a du plaisir
hé hé, cela a repris alors,
la machine n’est plus grippée et fonctionne à plein rendement?bzoParticipant@andraneros
j’ai crée un nouveau sujet “ode aux poils” mais je n’ai pas pu l’éditer,
il a été tout de suite mis au troumerci d’avance
7 juillet 2020 à 23 h 04 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #37974bzoParticipantquels moments délicieux au lit, 45 minutes à peu près de pur bonheur
parfois on vit de tels instants de communion charnelle,
de communion resplendissante avec son corps,
une telle sensation d’épanouissement et de sublime nous envahit
tout l’être rayonne, tout l’être chante, tout l’être est enchantéj’ai vécu de ces moments-là,
l’injection massive, à volonté, d’ondes prostatiques, dans ma pratique,
est de mieux en mieux intégrée,
j’ai abandonné toute volonté d’essayer de contrôler la balance
et c’est tant mieux,
le corps, selon son envie, tantôt est plus prostate, tantôt plus génitaux,
cependant il me semble, que la balance reste désormais tout de même plus du côté de la prostateen tout cas, j’ai désormais de nombreux orgasmes prostatiques,
je veux dire, de vrais orgasmes prostatiques, définitivement différents de ceux en mode yang
mais néanmoins, je suis très satisfait car ce sont de vrais orgasmes,
avec explosion à chaque fois mais avec une telle douceur,
c’est de la douceur qui explose en encore plus de douceur
mais c’est une véritable explosion,
des flots de nectar qui se répandent, qui éclaboussent, qui envahissent,
j’ai l’impression que je vais devenir fou de bonheur,
tellement ma chair fleurit, s’épanouit,
est empli du nectar le plus ineffable qu’on peut s’imagineret puis cela explose désormais aussi dans ma chair donc,
c’était la nouveauté absolue de cette séance , o combien, glorieuse,
on dirait des bulles qui grossissent tantôt lentement, tantôt rapidement,
et puis soudain qui éclatent entraînant toutes sortes de vagues partout
et puis cela n’arrête pas, cela n’arrête pas,
la jouissance est implacable, systématique, n’oublie pas une once de mon être,
tout vole, tout chante,
quel bonheur de vivre des moments pareils7 juillet 2020 à 18 h 23 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #37971bzoParticipantaujourd’hui j’étais en télé-travail
mais différence notable par rapport à ces dernières semaines,
première fois que j’étais tout seul chez moi,
cela fait bizarredu coup, je suis resté tout nu,
cela aurait été gênant, très très gênant si accidentellement durant une de nos réunions virtuelles,
j’avais allumé par accident la webcam au lieu de juste le son
mais je ne le ferais plus de rester tout nu,
c’est bien agréable mais j’étais trop sollicité à tout bout de champ par mon corps,
rien ne s’opposait à ce que je m’offre des moments de plaisir
et ils ont été bien plus nombreux que les moments, plongé dans le code,
je dois garder un minimum de discipline et d’éthique professionnelle
par rapport aux gens qui me paientdonc la prochaine fois, ce sera slip et t-shirt, ainsi je suis déjà nettement calmé,
il n’y a plus les contacts entre mes cuisses et mes bijoux de famille
ou bien le simple fait de me sentir nu, ma chair toute à ma disposition,
je me sens tout de suite tout chose7 juillet 2020 à 1 h 33 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #37965bzoParticipantdeux, trois choses comptent au fond réellement dans cette histoire, pour moi
-d’abord, avec de plus en plus accès aux énergies en nous,
parvenir à les libérer et à les faire monter-ces énergies, peuvent être vécues de trente six mille manières,
certaines sexuelles, d’autres pas, des tas de voies,
sexuellement, rien que dans le bassin déjà,
des ondes prostatiques, anales, génitales, un peu emmêlées, beaucoup emmêlées, pas du tout,
le tout c’est de bien maîtriser au moins d’un de ces types,
de pouvoir jouer avec de plus en plus de consistance,
ainsi ces énergies que nous faisons monter, sont transformées, deviennent consommables, dégustables,
perçues dans notre chair en sensations de volupté, de jouissance, nous font vivre des orgasmes-et puis un dernier facteur tellement tellement important,
c’est à quel point, nous parvenons à être là dans l’instant,
à être dans l’instant présent, présent dans notre chair, à notre chair,
à quel point nous parvenons à vivre en osmose avec notre corps,
la recette n’est vraiment pas compliquée, je l’ai déjà maintes fois répétée,
il faut parvenir le plus possible et le plus longtemps possible
à éteindre notre moi pensant, notre intellectce que nous avons dans notre tête, notre puissance réelle, à nous autres, humains,
ce qui à fait que nous sommes devenus, en tout cas momentanément, les maîtres absolus de cette planète,
ce avec quoi nous avons bâti des civilisations et des civilisations qui recouvrent tout,
ici dans ce jeu sexuel, au moins il est présent, au plus on parvient à se connecter à son corps,
au plus on parvient à être en osmose avec lui,
au plus on parvient à vivre l’instant présent avec luiêtre là dans l’instant présent, avec une dynamo dans notre bassin, éructant des torrents d’ondes,
un corps avec toute sa chair, son sang, ses os, ses organes, ses membres,
bougeant, travaillant, à vivre ces ondes,
à en extirper jusqu’à la dernière once d’ivresse, d’extase, de jouissance, de volupté,
être là dans l’instant présent, fusionné à son corps,
vivant chaque seconde avec lui en intense communion,
formant comme une boule de feu doux, soyeux, de tout son être,
avec le monde aussi, avec toutjuste là dans l’instant, une boule de feu doux et soyeux
formé de tout son être, formé du monde entier
qui grossit et qui grossit puis qui éclate
puis qui se remet à grossir encore plus et à éclater encore plusincandescence de vivre, incandescence d’aimer,incandescence d’être,
incandescence d’être là dans l’instant,
incandescence de jouir de tout son être7 juillet 2020 à 0 h 59 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #37964bzoParticipant–
6 juillet 2020 à 22 h 11 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #37962bzoParticipantun des premiers actes quand je rentre chez moi, c’est de me déshabiller,
nu comme un ver, ma peau commence à respirer,
je commence à me détendre souverainement
et puis presque instantanément, un petit voyant quelque part, se met à clignoter
qui m’indique que tout l’équipage sexuel est prêt désormais, à tout moment, à se mettre en action,
que toute le délicieux, le sophistiqué, mécanisme, générateur de volupté et de jouissance,
est en mode stand-by,
prêt à tout moment à inonder momentanément ma chair d’ineffablecomme j’aime me sentir ainsi,
dans cet état de réceptivité ardente, prêt à frémir de tout mon être,
prêt à me laisser emporter par la lascivité,
prêt à accueillir en moi un torrent de sensations voluptueuses,
prêt à m’ouvrir, prêt à gémir, prêt à lever toutes mes défenses
pour m’offrir sans retenue, sans tabous, sans entraves, morales ou autres,
freiné aucunement par les frontières de mon identité sexuelle non plusje me sens prêt à accueillir le désir, oh comme je me sens prêt à accueillir le désir,
qu’il flambe souverainement en moi,
qu’il m’emporte où il veut, me dépose sur le rivage qu’il aura choisi,
j’ai effectué beaucoup de travail patiemment pour ça pour que son cours soit le plus libre possible,
sans entraves d’aucune sorte, pendant quelques instants dans ma chair6 juillet 2020 à 8 h 47 min en réponse à : Ma prostate me donne enfin cet orgasme tant attendu #37959bzoParticipantjuste encore rajouter
Depuis quelques jours ces pressions et massages des testicules déclenchent la réaction de ma prostate
oui, une fois que notre prostate est bien éveillée,
elle est prête à vibrer, à se mêler à tous nos jeux, à tout bout de champ,
c’est là véritablement que les choses sérieuses commencent
car pour un peu qu’on soit curieux et explorateur,
on peut étendre considérablement le territoire de notre bac à sable favoripour un peu qu’on la sollicite dans les règles de l’art,
notre prostate depuis tout en bas dardera ses rayons puissants
pour bien amorcer, intensifier et enrichir nos jeux5 juillet 2020 à 21 h 20 min en réponse à : Ma prostate me donne enfin cet orgasme tant attendu #37957bzoParticipantJe commence à comprendre ce que tu dis Bzo en parlant de tes génitaux et du plaisir qu’ils te donnent.
hé hé, je soupçonne fortement
que tu commences aussi à avoir ces ondes voluptueuses comme de la soie chaude, ondulante, dans la zoneon n’imaginerait pas que ce sexe, ces couilles
soient capable de tant de vagues de douceur, de tant de volupté puissante et tranquillec’est une question juste d’oser aller chercher le plaisir autrement
que par les sollicitations habituelles dans la zone,
érection, friction de la tige, va et vient de la main dessus,
enfin tout le petit rituel masturbatoire habituelnos bijoux de famille peuvent tellement autre chose aussi,
nous donner accès à une telle richesse de sensations fines, délicates, voluptueuses5 juillet 2020 à 0 h 22 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #37951bzoParticipantune posture du corps, dans ma pratique,
c’est comme une rampe de lancementje prends une pose, je fais monter une contraction,
je sens tout de suite alors si la posture est bonne, si elle peut délivrer,
le yin en moi, prend des couleurs, a des ailes qui poussent,
une bonne cuvée, les vibrations bourdonnent de tous les côtéstemps de changer un peu, je me cambre un peu plus,
mon bras le long de ma poitrine sur l’épaule opposée, remonte encore un peu plus,
la main va encore plus dans le dos et ma tête bascule encore un peu plus vers l’arrièrejouir est devenu si facile,
ma chair semble grésiller de partout tellement elle est emplie d’ondes en un instant,
bouger un peu les cuisses, senti les lobes de mes fesses s’écarter,
créent tellement de vagues tout de suite dans mon bassin
je sens les flots se fendre, la contraction monte en moi,
une galère romaine avec son éperon, au son des tambourscomme chaque mouvement, chaque geste, m’emplit de sensations délicieuses
et puis le yin, tantôt gazelle, tantôt fauve,
j’aime sentir mon corps se féminiser durant l’action,
comme attraper des rondeurs, des courbes,
tant de douceur et en même temps, tant de violence,
meilleure qualification du yin, une main de fer dans un gant de velours,
une main précise, fine, sophistiquée qui titille dans ma chair,
quelle délicieux remue-ménage dans mon bassin4 juillet 2020 à 18 h 08 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #37946bzoParticipantà côté de mes micro-séances si délicieuses,
bien intégrées dans mon quotidien, pimentant mes instants régulièrement,
je viens de découvrir une autre possibilité de forme brève à pratiquer,
le shot d’énergie prostatique, une trentaine de secondes maximum,
juste un petit verre d’énergie pure, concentrée à 100%, à ingérer cul seccela monte d’en bas comme un coup de canon au ralenti mais accélérant, accélérant,
cela racle tout sur son passage comme une gorgée de tord-boyaux,
cela monte de plus en plus vite, cela éclate, cela se disperse, cela frotte, cela mord,
cela ne dure pas plus de quelques secondes
mais comme on le sent passer…une contraction soudainement aussi fort que possible tout en me détendant adéquatement, pour démarrer cela,
maintenue, relâchée éventuellement fugacement pour re-presser aussitôt aussi fort que possible encore,
plusieurs fois éventuellement en rapide succession
comme quelques rapides et puissants coups de pompe pour amorcer le jus,
avec l’idée de faire monter le plus possible de fracas délicieux dans ma chair,
d’imbiber autant que possible d’étoiles soyeuses, mon cerveauc’est au fond l’équivalent prostatique de mes micro-séances en mode liane lascive
4 juillet 2020 à 12 h 39 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #37945bzoParticipantje m’installe dans une position, bien confortablement calé dans mon fauteuil,
ne bouge plus, fais monter une contractionje la maintiens, assez fort au début,
pour bien mettre en route le flux d’ondes prostatiques
puis joue avec, relâche un peu la pression, ré-appuie,
alterne les muscles qui opèrent, autour de l’anus, le périnée,
la contraction semble rouler par moments, changer de forme,
c’est comme si je me caressais la prostate, la tripotait avec passion,
maintenant et faisant constamment évoluer le flux
comme un jongleur faisant virevolter en l’air des quillesje deviens un bouchon de liège emporté par le flux puissant qui monte depuis tout en bas,
cela n’arrête pas de monter et encore de monter comme le jet d’une fontaine puissante,,
un espace semble s’ouvrir derrière quelque part en moi,
comme si on avait ouvert un rideau dans ma chair,
je suis entraîné de plus en plus, les vagues me font danser doucement, rythmiquement,
mon corps me semble tellement éloigné,
comme si je flottais sur une mer d’énergie pure, à des années-lumière,
quel bombardement de rayons, comme c’est délicieux de dériver lentement là-dedans -
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