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  • #45683

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    l’abstinence d’éjaculation,

    c’est le royaume du désir qui s’installe peu à peu en vous,

    je veux dire,

    il prend possession de votre chair,

    il en fait ce qu’il veut, à la moindre occasion que vous lui donnez

     

    ce matin au réveil, j’ai commencé à me caresser un peu,

    mon corps ondulait sur le matelas, des contractions montaient,

    mes cuisses faisaient frotti-frotta avec les génitaux,

    enfin, mon habituel manège

     

    tout ce passait très lentement, comme au ralenti,

    ainsi, chaque sensation ressortait mieux,

    était bien mise en évidence

     

    et comme elles ressortaient, les bougresses,

    chaque vague qui passait en moi,

    me faisait comme monter en selle sur elle,

    comme elle m’emportait

     

    je ne vais pas écrire que c’était de la jouissance

    car cela ne l’était pas, au sens habituel du terme

    mais c’était tellement ineffablement bon,

    qu’il n’existe pas d’autre mot pour qualifier ce que je vivais

     

    disons, que chacune m’embarquait sur un train de félicité et de volupté

    qui m’emportait  hors de moi-même,

    me faisait partir corps et âme, quelque part,

    dans un petit ciel privé, à moi

     

    mon sexe, tantôt raide, tantôt mou, pleurait de joie,

    un petit filet qui s’en écoulait, sur mon bas-ventre, sur mes cuisses

     

    le yin s’exprimait tellement totalement en moi,

    un doigt ou deux qui s’attardaient derrière,

    jouaient avec ma petite crevasse, entraient, sortaient, s’enfonçaient,

    se tortillaient, effleuraient, frottaient la peau intérieure, bien lubrifiée,

    du beurre de Karité dont je m’enduis chaque soir avant de dormir

     

    comme tout était bien gras, bien dérapant, là-dedans,

    mes doigts s’en donnaient à coeur joie,

    cela glissait tellement bien,

    comme cela fouinait, comme cela fouillait,

    “frottez bien, récurez, plongez, plongez,

    mes petites souris curieuses”

     

    oh mon bassin est tellement chargé,

    mes cales semblent remplies d’épices exotiques, odorantes voluptueusement,

    leurs parfums se mêlent en moi, envahissent toutes mes cellules,

    comme je suis grisé d’un ailleurs incandescent,

    à la moindre sollicitation sexuelle de ma part

     

    ô ineffable, ô volupté,

    mécanique langoureuse qui s’ébranle à la moindre occasion,

    kaléidoscope de nuances de sensations,

    sans cesse changeant, dans ma chair

     

    je me laisse aller, je me laisse emporter,

    le vent est partout dans mes voiles

    et ma coque glisse légère, sans poids,

    sur un océan de félicité

     

     

    #45682

    En réponse à: Premiers emois

    mijule
    Participant

    Bonjour à tous,

    J’ai fait une troisième séance ce matin car j’ai passé une nuit agitée avec plein de choses dans la tête et surtout une prostate très excitée qui me titillait sans cesse.
    Ce fut très bien !!!! La lubrification au beurre de  karité et un plus. Pas la peine d’y revenir et ainsi de se polluer l’esprit.
    Je n’ai pas voulu brusquer les choses mais j’ai connu de nouvelles expériences. Déjà un type d’orgasme très doux qui semble t’envelopper.  Ça monte pas très haut mais c’est très bon.
    Puis ceux clairement qui sont initiés par la prostate qui semblent monter progressivement avec des minis tremblements dans les hanches qui sont très bons et si à la fin la prostate se contracte c’est top. Enfin une série de 3 mini O presque  consécutifs où j’étais très excité.
    Je pense que la possibilité de monter plus haut est encore très grande. Arrivé à un certain seuil je ne sais plus et ça redescend.
    J’ai senti en fin de séance après avoir retiré l’hélix de nouvelles contractions dans ma prostate qui me semblait engorgée. Je me suis masturbé pour faire retomber la pression car être dans cet état m’inquiétait un peu. Ce fut très agréable et j’ai pu sentir les deux plaisirs s’entremêler.
    Il faut que je me calme car là je suis comme un gamin devant un magasin de jouets.

    #45671
    mijule
    Participant

    Bonjour,

    Je suis tombé sur ce site un peu par hasard il y a quelques temps et comme souvent le hasard fait bien les choses, j’ai commencé à lire pas mal de sujets concernant l’orgasme prostatique.
    C’etait quelque chose qui me titillait depuis un moment car j’en avait déjà entendu parler. Donc je commence à lire ou plutôt à dévorer vos témoignages. Ça me donne follement envie de sauter le pas.
    Je lis aussi le traité d’aneros qui est un peu comme un permis de conduire de l’orgasme prostatique.
    Donc je me rends sur un site marchand du web et je commande un aneros hélix et un eupho pour plus tard quand j’aurais acquis suffisamment d’expérience. Je ne vous cache pas que même si les livraisons sont rapides l’attente m’a semblé longue.
    Réception hier et n’y tenant plus premières session dans la foulée.
    Lubrification, insertion et respiration tranquille pendant une dizaine de minutes. Puis je décide de faire quelques contractions du sphincter et du périnée. Je sens clairement que l’anéros me touche la prostate. Je laisse donc les choses se faire en les guidant un peu. Au bout d’un moment les premières lueurs du plaisir apparaissent. C’est pas fou fou mais ça a le mérite d’exister. Je laisse faire et ça monte doucement.  Les tremblements apparaissent et à ce moment on se demande comment réagir. Difficile de garder son calme. Je perds le fil une fois ou deux mais ça revient pour peu que le calme revienne lui aussi.
    Les contractions involontaires apparaissent aussi quand ça monte un peu plus haut.
    J’ai au cours de cette séance put avoir plusieurs montées dont une qui s’est maintenue dans un état de bien être inconnu. Très déroutant comme sensation mais très plaisant et très excitant. La séance a durée un bon moment puisque le plaisir était au rendez vous.
    Pour être clair aussi j’ai de suite parlé de mes achats à ma femme et de mon expérience aussi ce qui a eu l’air de l’amuser. Elle me connaît et sait que le sexe et le plaisir sont importants pour moi.
    A la suite de cette séance j’ai ressenti aussi des retours en aless. Hier soir dans le lit difficile de s’endormir avec des grosses érections intermittentes.
    Ce matin réveil dans le même état et deuxième session. Relaxation pendant 10mns et premières contractions volontaires.
    Ça monte doucement et le plaisir arrive. C’est vraiment autre chose. C’est très doux et très agréable mais ça peut monter et surtout quand ça monte ça tient et ça monte encore. Ça dure bien au delà du plaîsir pénien.
    Je n’en suis qu’au début de mes aventures prostatique mais je perçois le terrain de jeu qui s’ouvre à moi.
    Je pense aussi avoir énormément de chance d’avoir eu du plaisir si rapidement. Je sais aussi après vous avoir lu que les séances peuvent etre en dent de scie. Ça fait partie du jeu je m’y attends.
    Maitenant il va juste falloir trouver du temps pour aller plus loin.

    #45668
    Alokar
    Participant

    Sans surprise, c’est en laissant tomber qu’on progresse, apparemment.

    Après quoi, plus d’1an et demi d’essais en moyenne 3X/semaine, j’ai peut-être enfin eu mon premier dry-O hier

    Au final, vu que pour réussir, le laisser-aller et la détente sont nécessaires, je suis resté à cogiter mais dans le bon sens.

    -Toute la terminologie, les “delicieux” et autres termes pour les sensations me dégoutant plus qu’autre chose, je fais abstraction de ces termes dans ma perception de l’expérience. Je reste froid dans l’expression de la chose.
    -Vu que je suis très stressé et toujours sur le qui-vive en veille, j’ai attendu d’être assez fatigué et donc moins de résistance à devoir vaincre.
    -Un chrono sur 90/120 minutes ainsi l’essai est “limité” mais cela m’évite de courir apres la réussite dès 20 mins. La, y a le temps, faut meubler, on y va tranquille.
    -A cause des murs en carton et des voisins, j’attends qu’ils partent et/ou j’envoie des bruits parasites
    -Inutile de continuer a tester les différents modèles.
    J’aime pas quand c’est trop envahissant —>Dans la boite, le progasm jr
    Les petits modeles me stressent, trop peur qu’ils entrent en mode suppo (surtout le tempo) —>dans le sac tempo et peridise
    Des dizaines d’essais sans trop de succes alors on arrete d’insister tant que le palier n’est pas passé : Le helix, helix syn et helix a moteur (ouais, quand je bute sur un truc, je bourrine un peu)

    Puis on ajuste
    Pour exercer les muscles, mais zone pas encore assez sensibilisée pour atteindre le but : l’eupho 1-2X/semaine max
    Pour quand c’est un lendemain d’essai et qu’il faut reposer la zone mais que ca chatouille encore : peridise fin (l’épais et le tempo sont parmi mes pires modeles)
    1X/semaine, de préférence le we, pour un essai complet : Le MGX . Moins intrusif, et le premier avec lequel il m’a semblé sentir quelque chose.

    -Pour l’état d’esprit : J’essaie pas de me détendre, juste de ne pas trop penser ni vocaliser ou imaginer une scene avec un max de sens possibles.
    -Si je me déconcentre ou fais trop attention au coté mécanique du truc, je visualise un point au niveau de la prostate et me concentre dessus.

    Quelques observations et redites amusantes mais confirmées par l’expérience du coup :

    ->Ne pas viser une réussite type ejac classique. Ici, on a pas le controle sur l’ouverture de la porte, et on a pas la clé. On se contente d’indiquer le bon chemin et on laisser aller, le cerveau sait quoi faire sans qu’on le lui dise. Au contraire, ca bloque de vouloir volontairement déclencher, même quand on sent qu’on est juste sur le seuil. Le seuil n’est pas la porte, et on est pas le portier. Ce n’est pas nous qui décidons si on peut entrer. On se contente de se présenter dans de bonnes conditions et voila.
    ->Si difficile de ne pas penser : Visualiser la scene en mode vr mentale avec une partenaire (dans mon cas). Se rappeller que la sensation n’est pas juste liée à l’éjac mais est une fusion du donner et recevoir. On peut être plus visuel, ou auditif, ou tactile, ou un mélange de tout, il n’y a pas de regles
    ->Si on observe, il y a 2 “paliers” : 1 : L’eveil de la prostate : On sent physiquement quand l’aneros est à sa place, quand les muscles font bien le boulot. Ca met parfois du temps à se sensibiliser (surtout au début j’imagine). Avoir eu cette zone non stimulée quelques jours et ne pas avoir éjac aident pas mal.
    2 : L’eveil de l’automatisation : Perso, juste les muscles internes sans bouger, pas moyen. Idem de rester sur le dos. Par contre, bouger les pieds, le bassin, ca aide. Donc on entame, on laisse faire sans trop réfléchir,et a un moment, le chauffeur viendra prendre le relais. On laisse les commandes et on voit où ca va. Au final, c’est pas la “méthode” qui compte, mais trouver comment s’installer relax.

    Perso, mes deux points-clés a éviter
    -Pas chercher à atteindre l’objectif du super-O, surtout n’en ayant pas encore eu, c’est une quete vide. On fait aller, on tient les 90/120 minutes et puis voila. Rien de plus.
    -Ne pas utiliser les mains. Plus essentiel que je ne l’aurais cru. Surtout on laisse faire l’aneros. Si on ne sent pas assez, c’est que c’est pas encore assez sensible. Utiliser les mains pour forcer le mouvement=prise de controle=blocage pour un O prostatique, et souvent plutot redirection vers une ejac. “boostée”

    Et quelques constatations qui me font dire que je suis sur la bonne voie

    -Une fois en phase 2, le stimulus moteur peut ne même plus etre a caractere sexuel en fait, ou plus limité. Quand la porte s’ouvre, on se retrouve tourné vers l’intérieur et la stimulation se suffit assez bien à elle-même
    -Pas vraiment de période réfractaire, hormis pour souffler un peu. Apres le premier essai, j’ai pu en relancer un second 5 mins plus tard. J’aurais bien continué s’il n’était pas si tard.
    -Pour la crainte du “mais et si c’est pas assez, je termine à la main?” , on dirait bien qu’il faut pas s’en faire, si on est sur la bonne voie, ca sera bien assez. En fait, je n’ai même pas réussi à faire une pratique manuelle avant apres cet essai et ai gardé cette zone sensible jusqu’au lendemain.
    -Vu la durée, c’est tres ennuyant de devoir se lever pour nettoyer l’aneros et remettre du lubrifiant. En général, je le fais 3-4 fois sur 2h d’essais. Ici, j’ai remis une dose quand j’ai senti que je pourrais arriver à quelque chose. Ca casse le mood, mais si on est lancé, ca revient en quelques minutes.

    Du coup, me voila équipé de l’eupho syn, du peridise fin, du mgx syn et plastique (c’est avec ce dernier que j’ai réussi, d’ailleurs, à ma grande surprise. Les bras plus épais sont moins genants que les autres modeles, et je pense que le lubrifiant tient mieux avec. ) Le reste basta. Et on va attendre ce we pour un nouvel essai.

    Le psychologique jouant beaucoup, c’est aussi pour garder une trace que je pond ces pavés. Ainsi on a eu le premier essai, puis le premier ejac prostatique avec le njoy wand (qui du coup commence a partir a la retraite car j’allais un peu fort avec, pas l’idéal pour les tissus), puis un premier ejac avec mains pour faire bouger l’insert. Puis ici sans les mains complet.

    Si il faisait meilleur (ma chambre est tres froide) et sans voisins, je suis sûr que j’y serais arrivé. En tout cas j’ai une nouvelle piste de réussite a creuser.

    Et en dernier tips, c’est qu’a chaque fois qu’on essaie sans les mains, sans stimulation du pénis en même temps, ce n’est pas que par principe, mais pour “forcer” le cerveau à se dire “bon,il fou quoi la? On va voir? Tiens, c’est quoi ces terminaisons nerveuses mal branchées, la?” alors qu’avec les mains, il va juste se dire “bon, encore un kink, c’est rien, on envoie la sauce comme d’hab”

    A voir pour la suite.

    #45460
    Lalienrouge
    Participant

    Bonjour , j’ai reçu mon Aneros Helix ce midi et l’ai testé dans la foulée avec au préalable une bonne douche pour être serein .

    Avec une bonne lubrification ,c’est rentrer tout seul .Je pense n’en avoir pas assez mis sur l’Aneros mais je rectifierais la prochaine fois .

    Niveau sensation rien d’exceptionnelle mais je m’y attendais, malgré  cela j’ai ressentis du plaisir quand même .

    La séance à duré environ 1 h en commençant par 20 minutes de relaxation puis des petites contractions mais encore une fois rien de fou niveau prostate car elle n’est pas habituée.

    Par moment j’ai eu des sensations bizarre dans le bas ventre et les jambes qui gigotent un peu .

    #45447
    bzo
    Participant

    oui, premier stade, lire bien à fond le Traité d’Aneros,

    il a permis à de nombreuses personnes de gouter au plaisir prostatique

     

    ce n’est pas une méthode infaillible qui garantit le succès,

    il y  a d’autres manières d’y arriver, le Traité ne convient pas à tout le monde

    mais c’est un bon point de départ,

    car encore une fois, elle a été efficace pour de nombreuses personnes

     

    pas essayer de rigoureusement appliquer ce qui est écrit,

    personnaliser à son tempérament,

    s’écouter, s’écouter toujours plus,

    le Traité ultime, il est inscrit au fond de nos tripes,

    c’est lui que tu dois apprendre à décrypter

     

    concernant le masseur, le Leko Loli,

    n’est pas vraiment un bon masseur pour débuter,

    il faudrait, idéalement, quelque chose de non mécanique,

    où l’on peut se passer de la main,

    le masseur se met en mouvement, facilement tout seul

    si on est bien lubrifié

     

    choisis-toi plutôt quelque chose dans la gamme des Aneros,

    le Helix est , en général, recommandé le plus, pour débuter

    mais si tu n’es pas trop serré financièrement,

    je te conseille d’en avoir 3 ou 4 sous la main;

    cela permet de varier et de trouver ceux qui te conviennent

     

    tous les modèles ne conviennent pas à tout le monde,

    il y a des préférences, des modèles qui ne vont pas du tout,

    donc en avoir un petit panel sous la main,

    accroit sérieusement les chances de succès

     

    bon courage et bonne chance

    #45439
    Alokar
    Participant

    Je lis, je lis, mais au final, je suppose que c’est là ma limite.

    A part le vice et le progasm que je trouve beaucoup trop intrusifs, j’aurai testé toute la gamme.

    Les pires pour moi sont clairement le tempo et le progasm jr. Impossible de me détendre avec le premier qui ne stimule rien et au contraire inhibe totalement parce que j’ai toujours l’impression qu’il va partir à l’intérieur. Vu qu’une décontraction suffisante n’est pas a ma portée, le progasm jr fait juste mal et la tete n’arrive pas au bon endroit. Le helix syn V est un échec complet aussi. Je ne le sens pas bouger, les vibration insensibilisent la zone et le bruit est un bloqueur complet.

    Je n’aime aucun modèle plastique parce que les tab sont douloureux à terme. En fait ils pourraient etre ok en mettant du scotch épais et tendre, genre scotch isolant, sur les bords.

    Les deux où j’approche le plus d’un résultat sont
    l’eupho syn, où j’ai l’impression que le bout effleure quelque chose, mais qui manque de punch. Je l’utilise pour m’exercer au controle musculaire, mais fini chaque fois a essayer de contracter au plus fort.

    Et le mgx syn. 2-3 fois, j’ai cru y arriver, mais l’interrupteur ne s’est pas enclenché.

    Au final, chaque fois que j’ai approché d’un résultat, c’était en effet hors manuel. De côté, sur le ventre, assis, et en faisant jouer de la respiration abdominale et les muscles fessiers. Autant les contractions “de contour”, j’y arrive, autant celles du groupe musculaire de rétention (je connais pas le terme; Les muscles pour se retenir d’uriner) c’est plus compliqué. Pas de contractions involontaires, mais chaque fois que j’ai eu l’impression d’approcher d’un résultat, c’etait en le contractant assez fort, comme si je bombais le torse intérieurement pour faire ressortir la prostate.

    Un peu de mal aussi avec le fait que tout dit que cela bouge, mais je n’en ai pas du tout l’impression. Je sais que les syn demandent plus de lubrifiant, mais ils en sont bien recouverts, et j’utilise un applicateur pour en insérer 5-8 ml

    Rester deux heures ainsi, ca me fonctionne pas, j’ai pas la patience, mais j’alterne les modeles, des moments en isolation sensorielle, etc.

    Le plus sûr en résultat, c’est avec le njoy wand, que je limite à max 2-3X/mois et le we car j’ai tendance a aller assez fort avec et il faut que laisse la zone se reposer. La, je sens plus facilement les différentes contractions par le mouvement controlé du wand, et c’est d’ailleurs ce qui m’a étonné car c’est ce qui m’a donné l’impression que ma prostate, ou en tout cas une zone sensible était bien plus haut que prévu. C’est avec que j’ai eu les premieres résultats “sans les mains”

    Il y a certainement une astuce a trouver quelque part, une approche non testée. Ce serait bien au moins car cela montrerait qu’on peut aussi y arriver en étant assez rigide avec le mental et le ressenti.

    Comme déja remarqué, mon approche est à l’opposé complet de ta pratique pour tout un tas de raisons.

    Pas de bruits. Outre les murs en papier, je ne supporte pas ca. J’ai une hypersensibilité aux sons, et en temps normal, même m’entendre respirer trop fort déclenche un blocage au point où j’hésite à acheter un masque respiratoire de sport pour étouffer les bruits.

    Ecoute du corps limitée. Je n’ai pas une vie tres facile, je ne peux me permettre de rendre ma carcasse trop sensible aux stimulus et sensations. Mon max restera un conditionnement mental comme une porte qu’on ouvre et qu’on ferme.
    Mental un peu trop fort. SI je ne l’occupe pas, je cogite, j’analyse. Je pense que c’est pas une surprise vu les précedents posts. Donc je dois l’occuper autrement pendant que l’autre partie fait son affaire.  Le bon point est que quand la focalisation se fait enfin, je peux visualiser sur 3-4 sens.

    Le bon point est que je repère quelques “switch” mentaux quand les neurones restent concentrés sur le moment présent (c’est lent, et ca part tres vite), et quand la prostate se gonfle un peu

    Les points à travailler seraient que quand je teste, si je n’y arrive pas, je devrais juste laisser tomber. Pour diminuer la frustration de l’échec, j’ai tendance à termine une ejac. a la main et je pense que c’est une mauvaise habitude et conditionne le cerveau au fait que l’étape finale reste centrée autour de l’éjaculation.  Le but reste d’y arriver au moins une fois pour me prouver que c’est possible, et ensuite ca ira mieux.

    Par contre niveau “sensualité”, “laisser parler le corps” etc., il faudra obligatoirement que je trouve une autre voie parce que cela n’ira pas. Pour donner une idée, j’ai déja du mal à  ne fut-ce que lire les posts ici qui parlent de cela. Blocage complet que je n’envisage pas de régler.

    Bien évidemment, vu comme j’expliquais, c’est ici la partie analyste qui écrit. L’autre est dans son coin et n’a pas son mot a dire quand je communique. Je ne suis pas non plus avec un carnet a coté de moi pour tout noter et à un moment l’autre prend l’avantage, hop^^

    L’autre avantage de ces posts d’analyse et de réflexion, c’est que cela fait justement plaisir à l’analyse, parce qu’il n’est pas super patient, et j’ai assez régulierement la pensée que vu le peu de résultat, j’aurais du consacrer ces heures a autre chose de plus utile, apprendre un instrument, à cuisiner un truc, que sais-je. Le genre de truc qui réduit la pratique à zero.

    #45437

    En réponse à: La Séance Idéale

    Rodward
    Participant

    Bonsoir !

     

    ça a l’air extrêmement jouissif de vivre ce que tu nous dis, j’en frissonne de plaisir pour toi !

     

    Personnellement j’ai commencé à m’intéresser au plaisir prostatique il y a 6 ans, mais pratiquant “sérieusement” depuis 4 ans. Je considère avoir de “bonnes” sessions lorsque j’en tire du plaisir. Hélas je n’ai vécu qu’un mini-o en ces quatre années, et c’était il y a trois mois. J’ai acheté un lubrifiant en sillicone pour changer de celui à base d’eau, qui je pense, est la source du manque de lubrification car ils sèchent vite.

     

    Je suis curieux de savoir, si tu peux nous partager, quels model utilises-tu ? Quel lubrifiant ? Ainsi que quelles positions prends-tu s’il te plait par curiosité ?

     

    Merci d’avance, et bon plaisirs !

    #45403
    Alokar
    Participant

    Un retour apres pas mal de temps.

    Malheureusement, toujours peu de changements. J’essaie de ne pas me décourager, mais je cherche a trouver ce qui bloque car je sens le potentiel mais ca ne décolle pas malgré des séances de relaxation, des tentatives de plus d’une heure, etc.

    Mon principal point est peut-être que je les place mal, car j’ai peu de pistes :

    -Je les sens tres peu bouger malgré pas mal d’exercices pour controler les muscles internes
    -J’arrive à un éjaculatoire avec le njoy wand, mais en l’enfonçant presque de moitié et le bougeant assez fortement
    -Pour les aneros, je me demande encore si ils doivent se placer jusqu’au croisement des bras, ou dans la zone courbée un peu avant. Peut-être qu’un obstacle est qu’il est mal placé, et que je devrais essayer jusqu’à la derniere courbe avec moins de lubrifiant car, utilisant surtout des syn (les bras rigides sont vite genants), il se retrouve vite a fond.

    Peut-être simplement la phase de “rewiring” qui n’est pas encore activée, mais ca fait pourtant presque un an avec plusieurs essais par semaine. Difficile de savoir entre le Jnoy placé à plus de 15 cm et le reste. Je finis par me demander si ma prostate ne serait pas plus haute ou si le wand ne fonctionne pas en tapant dans la vessie ^^

    La patience, la patience

    #45343

    En réponse à: Besoin de conseils

    bzo
    Participant

    salut,

    tu devrais demander cela plutôt sur le discord,

    Adam est un expert en lubrifiants, il pourra t’aider sûrement

     

    la douleur au ventre et le fait que tu ne trouves pas assez efficace, ces lubrifiants

    qui ont pourtant bonne réputation,

    me suggère que tu te l’injectes peut-être trop profondément

    #45341

    En réponse à: Besoin de conseils

    Rodward
    Participant

    Bonjour bonjour !

     

    Je prends pas mal de plaisir dans mes sessions, certains vides, d’autres très plaisantes.

     

    Cependant je viens aujourd’hui pour une certaine problématique.

     

    Je peux utiliser désormais une seringue à lubrifiant avant la session, cependant le beurre de karité et le lubrifiant à base d’eau me donnent un mal de ventre à chaque injection. Là où le lubrifiant à base de silicone ne le fait pas, mais ne lubrifie pas très longuement non plus.  Je suis forcé juste après d’aller aux toilettes et de me cramponner le bide, ce qui casse un peu l’énergie et le mood, mais hélas je n’ai pas vraiment d’autres solution. Je trouve également que le beurre de karité est très gras, maisne lubrifie pas si bien que ça en plus ..

     

    Est-ce que vous avez un bon lubrifiant neutre, ou quel peut en être la cause ?

     

    Merci d’avance

     

    Rodward.

    #45322

    En réponse à: Journal du prostatomane

    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Salut

    bzo a écrit

    mais oui, un coin de table,

    c’est avant tout une question de chevaucher comme une amazone,

    en bien se lâchant, faisant fi de toute retenue,

    mais c’était moins de sentir le coin du bois, vaguement enfoncé en moi

    que le pressage, le massage qui était fourni au périnée,

    qui compte

     

    Tu es très inspirant.

    Au petit matin j’ai introduit le suppo_3*  et avec la partie charnue de mon majeur,
    je me suis massé/pressé le périnée, de l’orifice à la base du pénis, pendant une demi-heure
    le bas du bassin s’est bien échauffé, ce fut un bon moment de petit plaisir, 5 heures après le périnée me dit encore merci.

    *: le suppo_3 est le peridise n°3, lorsque je l’insère bien lubrifié, il remonte seul dans l’anus

    comme les suppos que me mettait Maman et dont les sensations “bizarres”, m’interrogeaient un peu.

    A+

    #45281

    En réponse à: Journal du prostatomane

    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Bonjour

    mais nous sommes trois dans le lit,

    Bigre une partie à trois !! ça en fait des doigts et des orifices.
    Pendant que tu farfouillais la chatte poilue et odorante de la Dame, il pouvait facilement dilater ta rondelle, tu as eu de la chance !! ou pas.
    Ce soir je vais me refaire le film avec un god lubrifié sur la table de nuit, on ne sait jamais…..

    Bonsoir

    #45263
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Bonjour,

    L’été réchauffe les corps et la libido, j’ai décidé de reprendre mes sessions mais différemment.

    L’aneros peridise 3 et 4 remplacent l’helix car la recherche pure de l’orgasme prostatique n’est plus l’objectif.
    Le but est minimaliste, rien de précis, c’est le corps qui va décider.
    Insertion d’un peridise lubrifié et décontraction maxi, je ne touche à rien je ne souhaite rien.
    Après 15 min de relax, le sphincter a repéré l’intrus et des petites sensations émergent, quelques légères contractions anales font bouger le plug qui titille le sphincter.
    Maintenant le jeu consiste à faire sortir/entrer le peridise qui glisse facilement en poussant/serrant l’anus.
    Je suis loin de l’orgasme prostatique, que je ne cherche pas en ce moment, mais le bas ventre et l’anus sont bien excités, j’en redemande.
    La pratique devient addictive, sans éjaculation l’énergie est toujours là, le feu couve.
    J’évolue dans la pratique, arrivé à un palier, un doigt touche doucement la crosse de l’aneros et le fait basculer vers le devant, il touche la prostate, les sensations sont différentes.
    Le plaisir montant d’un cran, à l’exception du pénis, je me caresse le corps, les mamelons surtout, je gigote du bassin aux pieds, le souffle est court, je plane un peu, un peu de liquide sort du méat, c’est très bon.
    Je siffle la fin en ôtant le peridise, la machine s’arrête lentement, je ne sais pas si c’est de l’orgasme prostatique ou anal mais j’évolue et dans le bon sens.
    Je me demande s’il n’est pas temps d’essayer avec l’aneros eupho?

    A+

     

    #45223
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Bonjour à tous

    Il y a plusieurs années, grâce à NXPL et le traité d’Aneros bien en tête, je me suis lancé dans l’aventure prostatique. Il me semble que lors d’une des premières sessions il y a eu, la chance du débutant,
    dans le bassin une montée très forte qui m’a fichu la trouille et j’ai stoppé net. Ensuite fort de ce beau début j’ai voulu le revivre mais ça n’a pas marché.

    Les causes sont connues:
    1)Trop d’attentes, trop d’envies, trop de tout en fait.
    2)Ensuite le besoin d’une logistique importante par rapport au sopalin d’une branlette raffinée.

    Certes je fais chambre à part mais il faut protéger la literie si je perds le contrôle, bonjour l’angoisse,
    il faut penser au moment ou on va retirer l’helix avec 5 cc de lubrifiant dans le rectum, prévoir une rehausse du bassin afin que la crosse inversée de l’hélix ne frotte pas sur le drap du dessous.
    Bref un vrai barnum et après, avec tout ça il faut être calme et zen, tu parles!  Donc 20 minutes de relaxation/respiration et….je m’endors l’helix dans le cul. Lol.

    Malgré tout quelques sessions ont été effectuées au milieu de la nuit ou pas, avec parfois de belles sensations sans doute plus anales que prostatiques, l’helix ne bougeant pas des masses.
    Las, j’ai lâché l’affaire dans cette configuration.

    Je reparlerai d’une autre configuration.

    A+

    #45192

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    va suivre, un scénario de fantasme homosexuel

    que j’ai imaginé, il y a quelques minutes, sur mon lit,

    j’étais couché, la queue dure comme de la pierre, à la verticale,

    tandis que dans ma tête, des choses très crues se passaient

     

    se jouer un scénario pornographique, dans sa tête,

    c’est vraiment, pour un homme,  une excitation purement pénienne, je le sentais

    aussi, je restai presque complètement passif sur le lit,

    juste, j’ondulais un peu du bassin,

    entamais comme des mouvements langoureux avec,

    cela suffisait pour bien accompagner,

    je ne frottais pas ma queue avec les cuisses

    ou faisais monter des contractions,

    ne me caressais même pas,

    car je sentais que dans l’état d’excitation pénienne dans lequel j’étais

    en faisant une de ces actions, en plus,

    j’aurai atteint très rapidement un point de non retour

    et me serai retrouver à éjaculer

    ce que je ne voulais absolument pas

    car je veux rester ainsi, en sursaturation d’énergie, dans ma chair

    pour mon plaisir en mode yin et mon plaisir prostatique

     

    j’allais déguster à l’intérieur, dans ma tête, essentiellement,

    quelques mouvements, juste, du bassin,

    c’était vraiment suffisant pour bercer

    ce qui était en train de se passer dans mon imagination

     

    ce matin, au réveil,

    j’ai eu envie envie dans ma tête, de faire des très grosses cochonneries avec des hommes,

    de sentir leur queue dressée,

    énorme, toutes, bien sûr,

    violemment, sans ménagement, me rentrer par tous les orifices,

    qu’ils me manipulent comme si j’étais leur objet sexuel,

    leur pantin à traiter, à jouer avec, sans aucun égard

     

    nous sommes en été, je déambulais dans la rue

    quand tout à coup, je passe à côté d’un chantier,

    j’entends des bruits d’outils en action et des voix d’hommes qui rient et qui parlent, très fort entre eux,

    je m’arrête et regarde par l’interstice entre deux planches,

    je vois des ouvriers torse nus, ils sont tous musculeux, la poitrine, le dos, luisant de sueur,

    certains ont des outils à la main et travaillent avec, d’autres portent des sacs de ciment,

    ils parlent une langue que je ne comprends pas du tout du roumain, peut-être,

    ils s’expriment, fort, rient très haut, font des grands gestes,

    semblent tellement puissants, conquérants, d’une vigueur toute animale

     

    cela a commencé à me démanger partout, en les voyant, ainsi,

    surtout dans mon anus, j’ai eu envie de voir leur sexe se dresser devant moi,

    je les imaginais splendides, avec des veines saillantes, un aspect guerrier, arqués,

    je me dirigeais vers l’entrée et allais sans hésiter vers le premier,

    il me voit arriver, un peu étonné,

    je m’agenouille tout près de lui et je commence à ouvrir sa braguette,

    il commence à sourire, d’un sourire carnassier et me laisse faire,

     

    dès que sa braguette est complètement ouverte,

    un gourdin gigantesque, déjà bandant à pleine puissance,

    d’un aspect exactement comme je me l’imaginais, en sort tout seul,

    vient me cogner le visage,

    comment je vais le prendre dans ma bouche, je vais étouffer,

    j’engloutis d’abord son gland, le léchouille, le presse entre mes lèvres,

    il a un fort goût d’urine et de sueur

    mais après quelques instants,

    il saisit ma tête et l’enfonce de toute sa force,

    je me mets à étouffer, il rit

    il fait faire des va et vient à ma tête sur son braquemart,

    je saisis la base de la hampe des deux mains et ne la lâche plus

    pour qu’elles bloquent l’amplitude possible  de la descente sur son sexe

     

    d’autres ouvriers nous ont vu, commencent à venir,

    ils ouvrent tous leur braguette en chemin,

    en émettant des rires bien gras et en me montrant du doigt,

    ils nous entourent, l’un d’eux frotte déjà son sexe contre mon visage,

    un autre cherche à me faire mettre à quatre pattes,

    obligeant celui qui a son dard dans ma bouche, à plier de plus en plus ses genoux

    pour suivre le mouvement

     

    je lève une jambe, il tire le pantalon puis sur l’autre,

    il m’arrache maintenant mon caleçon,

    je me retrouve, avec le sexe et le cul à l’air,

    mon pénis est dur, ridiculement court à côté des leurs,

    l’un d’eux, le saisit, le presse très fort,

    cela me fait débander instantanément, ils rigolent tous

    mais je rebande déjà entre ses doigts et émet un peu de sperme,

    il l’essuie sur mes cheveux

     

    il commence à m’écarter les fesses,

    il a aussi sorti une  verge surdimensionnée, de son pantalon,

    elle est encore plus énorme que celle des autres,

    déjà à l’air, tout autour de moi,

    je le sens qui cogne à l’entrée de mon anus,

    il cherche à forcer son chemin, sans égard pour mon petit cul,

    il va me déchirer,

    heureusement j’ai l’anus bien lubrifié,

    il est toujours bien lubrifié pour les rencontres surprises

    j’écarte les cuisses , autant que possible,

    pour aider à la dilatation du tunnel

    où il commence à faire entrer son engin

     

    il appuie sur moi, sa queue, de toutes ses forces,

    force comme un bucheron,

    son gland est enfin enfoui entre mes fesses

    et gagne du terrain centimètre par centimètre,

    ils rient tous très fort,

    il donne  quelques coups de rein

    et déjà éjacule en moi

     

    celui dont j’avais le braquemart dans la gorge, a éjaculé, aussi ,

    j’ai  son foutre qui sort d’entre mes lèvres,

    j’en ai dans les cheveux, sur le visage,

    un autre l’a remplacé,

    il a éjaculé très rapidement, aussi,

    un autre, encore, est arrivé,

    il a une queue un peu plus petite, plus raisonnable de taille,

    il fait des mouvements de va et vient très rapidement, avec

    il essaie d’enfoncer sa queue, aussi loin que possible, dans ma gorge,

    j’étouffe car il se maintient ainsi,

    comme s’il voulait ressortir par l’autre côté,

    me transpercer le crane de part en part,

    ils rient toujours plus fort, autour de nous

     

    un autre s’est assis sur un siège

    et m’a fait asseoir sur ses genoux, m’a pris ainsi,

    il était un peu plus attentionné que les autres,

    il me caressait un peu, tandis que je rebondissais sur lui, comme une poupée de chair

    à un moment donné, il m’a fait se lever puis accroupir devant lui,

    il voulait m’envoyer son foutre dans la bouche,

    je le suçais, il se laissait faire plus tranquillement que les autres,

    aussi, je pu déployer toute une science du léchage de queue

    pour le faire jouir avec un peu plus de raffinement

    que les autres qui me prenaient comme un animal

     

    ma langue allait sur son gland, tournait dessus, dans tous les sens,

    de temps autre, je descendais la bouche sur sa hampe,

    la pressait contre mes dents, donnait des baisers bien humides,

    elle devenait de plus en plus luisante,

    sa queue s’est mise à  trembler,

    lui-même a été pris de soubresauts,

    du sperme très épais est sorti, des flots, j’avais l’impression,

    j’en avalais toute une partie,

    je laissais l’autre m’en recouvrir le visage

     

    ils m’ont foutu à la porte, en continuant de rire très fort,

    j’ai à peine eu le temps de me reculotter,

    de m’essuyer du sperme qui dégoulinait et collait, un peu partout,

    j’étais dehors, le cul et la queue, encore à l’air,

    un couple est passé à côté de moi, ils me regardaient d’un air très choqué,

    cela m’a fait bander, ils se sont enfuis en pressant le pas,

    je me reculottais avec hâte

    et continuais mon chemin,

    le goût de leur sperme, encore dans ma bouche

     

    et avec tout cela, je ne suis même pas homosexuel,

    bon, un peu bisexuel, sur les bords des orifices, tout de même,

    juste j’aime jouer dans ma tête, sans rien retenir,

    est-ce que cela doit en rester là,

    une question pour un autre jour

     

     

    #45096

    En réponse à: En quête de conseils

    bzo
    Participant

    je te salue, jeune homme de 20 ans

    qui a eu la bonne idée, depuis un certain temps, déjà,

    de se lancer dans l’exploration prostatique,

    la plupart d’entre nous,

    n’en découvrent les bienfaits que très tardivement

     

    devrais-je obter pour un lubrifiant en silicone ? Leur pouvoir lubrificateur est apparement plus important. J’ai également lu que le beurre de Karité faisait des miracles. J’ai notamment lu dans le traité qu’il était possible de se lubrifier le rectum a l’aide de lubrifiant injecté grâce à une petite seringue en plastique.

    lubrifiant au silicone mais alors il faut s’en tenir à des masseurs en plastique.

    J’opterai, personnellement, plutôt pour le beurre de Karité,

    même si cela demande une mise en oeuvre, plus élaborée qu’un lubrifiant du commerce

    puis avec cela, tu peux t’en servir aussi pour soigner la peau, l’hydrater, etc

    pas la manger, tout de même,

    ni la fumer

     

     

     

    Suis-je dans la bonne direction en ne faisant pas beaucoup de contraction, mais au contraire en laissant le masseur s’appuyer contre ma prostate ? Les sensations pourront-elles se construire comme cela ?

     

    peu de contractions, voire pas du tout ou au contraire, beaucoup ,

    tu es dans la bonne direction

    si tu éprouves de bonnes sensations. Suis ton instinct avant tout,

    je ne peux te donner vraiment des conseils plus techniques, dans la manière du Traité d’Aneros

    car je pratique de façon totalement différente

     

    peut-être suis-je trop jeune pour expérimenter ce plaisir si différent du plaisir « habituel », qui demande discipline, connaissance de son corps, patience et espoir ? Peut-être que je suis encore trop immature pour y accéder ?

    non, très certainement, si le plaisir était une question de maturité, cela se saurait,

    mais c’est sur que le massage prostatique demande de la patience et de la persévérance,

    connaissance de son corps? pas vraiment non plus

     

    non, tu as déjà commencé à obtenir des résultats, il faut juste accepter que c’est plus compliqué que de se secouer la tige,

    il faut acquérir des qualités d’écoute de son corps, des qualités de complicité, de dialogue,

    cela demande un travail sur soi-même auquel on n’est pas habitué

    et qui chez certains prend plus longtemps

    car ils sont trop analytiques, ils ne savent pas se laisser aller, se laisser emporter,

    le dialogue avec son corps, leur est totalement étranger,

    essaient de tout diriger avec leur intellect

     

    lors des trois dernières séances, j’ai vraiment ressenti des sensations de plaisirs provenant de ma prostate : je sais maintenant sentir et reconnaître quand la tête du masseur vient s’appuyer contre elle et en ressentir ces ondes de plaisir en résultant.  Je ressens même en cours de journée du plaisir provenant de la zone de ma prostate et de mon périnée, alors que je fait rien pour.

    ça c’est important, ta prostate est réactive, elle se réveille, tu as surement déjà du lire à propos du “rewiring”,

    il faut du temps pour un peu processer ces nouvelles informations qui montent,

    les reconnaitre pour ce qu’elles sont,

    c’est -à-dire, des sensations de plaisir, différentes, très différentes que ce que tu as connu jusqu’ici

     

    cela a démarré chez toi, cela a germé

    maintenant, il;: s’agit de faire pousser la plante, la faire fleurir,

    qu’elle éclate de couleurs

    #45092
    dbl
    Participant

    Bonjour à vous. Je suis un jeune homme de bientôt 20 ans, et voilà maintenant 3 ans que j’ai découvert que l’homme, à l’instar de la femme, pouvait expérimenter des orgasmes intérieurs, longs et surtout répétables, grâce à sa prostate.
    <p style=”text-align: left;”>Mon parcours a toujours été complexe et non linéaire. En effet, j’ai utilisé assez bien de masseurs et n’ai jamais été régulier dans mes séances, abandonnant assez vite lorsque les résultats espérés ne se montraient pas. Je ferai sûrement un post pour détailler mon parcours, l’expliquer en détail.</p>
    <p style=”text-align: left;”>
    Il y a quelques jours, j’ai décidé de me recommencer des séances, avec pour objectif de ne pas abandonner, même si les résultats se sont pas là. J’en ai fait 3 pour l’instant.</p>
     

    Je pense avoir fait une grande avancée dans mon cheminement. En effet, lors de mes anciennes séances, je ne ressentais quasiment aucune sensation parvenant de ma prostate, hormis quelques sensations de léger plaisir par moment, qui ne duraient jamais bien longtemps. Hors, lors des trois dernières séances, j’ai vraiment ressenti des sensations de plaisirs provenant de ma prostate : je sais maintenant sentir et reconnaître quand la tête du masseur vient s’appuyer contre elle et en ressentir ces ondes de plaisir en résultant.  Je ressens même en cours de journée du plaisir provenant de la zone de ma prostate et de mon périnée, alors que je fait rien pour.

    Avant de commencer mes séances, je me relaxe 30 minutes : 15 minutes sans masseur et 15 minutes avec le masseur. Je commence après a effectuer les contractions volontaires des sphincters. Au niveau de la lubrification, j’enduit mon masseur d’une couche généreuse de lubrifiant à base d’eau.
    <p style=”text-align: left;”>Les deux premières séances ont été effectués à l’aide de mon aneros helix trident (en silicone). Celles-ci se sont soldés par des sensations plutôt agréables, une sensation de plaisir intense par moments, et puis plus rien. Je pense que le silicone n’est peut-être pas une matière faite pour moi. En effet, je trouve les sensations un peu trop subtiles et préfère les sensations données par le plastique blanc.

    </p>
    <p style=”text-align: left;”>J’ai effectué ma dernière séance à l’aide de mon aneros progasm. Celle-ci fut caractérisée par un plaisir très intense au niveau de ma prostate tout au long de ma séance, avec encore une fois des pics de plaisir à certains moments précis. En effet, je pouvais sentir ce dernier glisser dans mon rectum et cogner contre ma prostate, me donnant beaucoup de plaisir. Cependant, j’ai procédé un peu différemment pendant celle-ci : je ne faisais pas beaucoup de contractions, je laissais simplement le masseur s’appuyer contre ma prostate, ce qui provoquait un plaisir intense, et j’avais l’impression que les contractions venaient écraser ce plaisir, qui ne pouvait donc pas être entretenu.

    </p>
    Je viens donc vers vous en quête de conseils de la part d’utilisateurs expérimentés :

    – devrais-je obter pour un lubrifiant en silicone ? Leur pouvoir lubrificateur est apparement plus important. J’ai également lu que le beurre de Karité faisait des miracles. J’ai notamment lu dans le traité qu’il était possible de se lubrifier le rectum a l’aide de lubrifiant injecté grâce à une petite seringue en plastique.

    – Suis-je dans la bonne direction en ne faisant pas beaucoup de contraction, mais au contraire en laissant le masseur s’appuyer contre ma prostate ? Les sensations pourront-elles se construire comme cela ?

    – peut-être suis-je trop jeune pour expérimenter ce plaisir si différent du plaisir « habituel », qui demande discipline, connaissance de son corps, patience et espoir ? Peut-être que je suis encore trop immature pour y accéder ?

    Je m’excuse pour le long pavé, et vous remercie d’avance pour les précieux conseils que vous pourriez me donner.
    <p style=”text-align: left;”><!–more–></p>

    #45071

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    hier soir,

    mon corps a décidé d’une éjaculation, à un moment donné,

    après plusieurs semaines, sans aucune,

    après plusieurs semaines, d’une accumulation des énergies, dans le réservoir

    et d’une délicieuse montée en puissance,

    surtout du côté de la prostate

     

    hier soir, me suis mis au lit, j’avais envie de jouir et encore de jouir,

    j’avais envie d’une overdose de volupté,

    la fièvre du samedi soir

    et cela a fonctionné divinement,

    j’étais aux anges, le corps frémissant,

    haletant, râlant, gémissant, hurlant,

    dansant de tout mon être sur le lit, possédé, possédant,

    les mains comme des papillons, se posant partout,

    repartant immédiatement, plus loin

     

    quand tout à coup,

    j’ai senti en moi que le sperme allait monter,

    que cela allait cracher bientôt,

    il y a des signes avant-coureurs dans le bas-ventre qui ne trompent pas,

    je me suis bien détendu pour goûter à chaque instant de l’éjaculation

    mais finalement, alors que d’habitude, c’est d’une violence rare

    qui fait se tordre, se convulsionner, mon corps, dans toutes les directions,

    là, ça a été totalement apaisé, calme,

    juste un nectar très chaud et soyeux qui m’a envahi,

    est monté très tranquillement,

    caressant mes boyaux ineffablement, au passage

     

    sensation de bien-être, de bonheur rare,

    mais aucune trace de l’habituel volcan qui se déchaîne

    et qui m’envoie en cent mille morceaux,

    aux quatre coins de la pièce

     

    ce matin, tout est déjà là, à nouveau,

    entre mes cuisses serrées, mes génitaux bien dans leur nid,

    prêts pour de nouvelles passes d’armes amoureuses,

    ma prostate, un peu plus bas et plus en arrière,

    prête aussi, réactive au  quart de tour

     

    je me cambre, me redresse, de tout mon corps,

    contracte un peu les muscles du périnée,

    laisse mes hanches, lascivement,  se mettre en mouvement

    et déjà, je suis assis sur mon trône d’ondes,

    comme suspendu par une grue dans l’invisible,

    me sens pénétrable, pénétré et pénétrant, à l’infini,

    comprenne qui pourra

     

    sans aucune retenue, je me laisse aller,

    à cette sensation de féminin et de masculin qui s’entremêlent,

    qui cherchent à s’unir, toujours plus,

    les frontières de mon genre  n’existent plus,

    le désir est maître et tire les ficelles dans la direction qu’il veut,

    je ne suis plus que son pantin, sans volonté

     

    je laisse glisser ma main vers la fente, à l’arrière

    et enfonce bien lentement deux doigts dedans

    mon anus est encore bien lubrifié,

    du beurre de karité dont je l’enduis avant de m’endormir,

    oh, comme je jouis,

    oh comme ils sont bons, ces doigts,

    je les sens en moi, qui ont la bougeotte, comme c’est divin,

    fouillez, fouillez, farfouillez, ô mes chers bouts de doigts,

    allez titiller mes entrailles,

    faites-moi se contorsionner et gémir,

    alléluia, c’est noël, j’ai le fondement irrésistiblement en feu

     

     

     

    #45021

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    ah mes couilles, mon pénis,

    comme je les adore,

    je n’ai peut-être plus fait l’amour depuis des années,

    ni même les ai touché de la main, non plus

    mais ils me servent tous les jours, oh combien

     

    ils sont vraiment le pilier, de toute ma pratique,

    certes ma prostate darde tout le temps aussi ses ondes

    mais ce sont vraiment le jeu de mes cuisses avec mes génitaux,

    pressions diverses, frottements qui sont ma principale source ,

    combinés avec ce qui est généré par les contacts des mains

    et puis les mouvements divers du corps,

    ils offrent une richesse et variété de nuances de sensations, juste infinies

     

    au moindre contact de mes cuisses,

    cette vague de volupté qui envahit instantanément mon bassin ,

    en quelques secondes qui se répand à tout le corps,

    c’est tellement ineffable

     

    mon sexe, mou la plupart du temps, rayonne, rayonne

    mais dur de chez dur, cela me va aussi

    mais là, il finit par cracher après quelques heures de ce traitement

    et puis mes deux grosses boules hirsutes, pendouillantes,

    ne sont pas en restent ,

    deux gros réservoirs à velours contagieux

     

    bien sûr, ma prostate , aussi, est irremplaçable,

    la puissance de ces ondes, m’aide tellement à décoller,

    à monter toujours plus haut,

    sans elles, mon moteur manquerait  irréparablement de chevaux,

    je ne pourrais faire que du rase-motte,

    jamais vraiment monter dans les altitudes stratosphériques

     

    et puis le reste du corps, il apporte une extraordinaire diversité,

    quelque endroit que je touche, doigt de pied,

    joue, torse,

    tous génèrent des ondes tellement différentes,

    mêlées à celles provenant du bassin

    et puis celles générées par mon corps,

    grâce aux mouvements divers et variés, aux ondulations,

    les postures lascives dans lesquelles je m’engage

     

    tout cela forme comme un delta ,

    approvisionné de toutes parts,

    un delta vibrant, comme de lumière chaude,

    comme de frissonnements, comme de soie inondante

     

    mais il y a aussi des moments plus animal,

    plus cru, plus coït primal,

    oh le volcan alors qui crache sa lave brûlante, à travers moi

     

    j’allais oublié dans ce petit éloge, mon anus,

    mon cher petit trou trou, à l’arrière,

    je confesse , j’adore le masturber bien lentement,

    avec un doigt ou deux, en solo

    ou alors en le faisant participer, avec tout le reste

     

    mais deux doigts, là-derrière, dans le canal mignon bien lubrifié

    qui font de lents, de très lents aller-retour,

    en bougeant un peu, vers gauche, vers la droite, vers le haut, vers le bas,

    pour dévier les trajectoires, fouiner, fouiner,

    oh quelle jouissance, quelle volupté

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