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Bonjour à tout le monde,
Je ne peux pas résister à l’envie d’écrire quelques mots suite à une expérience extraordinaire d’orgasme prostatique Aneros-Less/simplement avec son corps… J’écris ces premiers mots quelques dizaines de minutes après une délicieuse et non prévue série d’orgasmes prostatiques… sans que ma prostate n’ait vu de près ou de loin l’ombre d’un sextoy ou autre doigt ! C’est arrivé suite à la lecture de ce fil : https://www.nouveauxplaisirs.fr/forums/topic/orgasme-prostatique-sans-aides-externes/page/3 et je remercie tous les participants. Je me permets faire un petit récit et de dire quelques mots sur mon parcours, en espérant que ça éclaire ou inspire quelques lecteurs découragés par le tortueux trajet vers ces nouveaux plaisirs.
J’ai découvert vers 2020 l’existence de l’orgasme prostatique en écoutant le podcast “les couilles sur la table” dans lequel Adam, le créateur du site, est intervenu (j’ai alors 21 ans). Curieux, je décide de tester et d’acheter un masseur (Aneros Helix). Je le teste ici et là pendant quelques mois, je ressens quelques sensations agréables, mais sans plus. Puis le confinement de 2020 tombe, je rentre chez ma famille et je laisse le jouet et l’envie de continuer l’exploration derrière moi. Pourtant, ma curiosité est piquée parce que les quelques sensations ressenties m’en rappellent une autre : je crois que je suis “conscient” de l’existence de cette curieuse prostate depuis longtemps, déjà étant enfant, car je me souviens d’avoir ressenti d’étonnantes sensations agréables (à un niveau très léger) quand je devais me retenir d’aller à la selle (en contractant ces différents muscles donc). Cette première découverte m’a permis d’identifier cette étrange sensation comme une légère “activation” de la prostate, et de brancher cette sensation sur “l’idée du plaisir”.
Finalement, ma vie passe, les études m’occupent, des difficultés arrivent, on me diagnostique une dépression en 2023 (dont je suis quasiment sorti !) et j’oublie tout à fait les quelques épisodes de plaisirs prostatiques. Sans doute que mon stress, mes angoisses et ma fatigue m’empêchaient d’atteindre un niveau de lâcher-prise suffisant pour gouter à ces plaisirs. Puis, nous voilà en 2024, une psychothérapie ma remis sur pied, je m’ouvre de nouveau au monde. Très important, dans ce processus, j’ai découvert la méditation. Pour moi, c’est tout simple : je m’assieds quelque part et je me concentre sur les sensations de mon corps tout en étant conscient de ma respiration. Je suis plutôt un contemplatif, alors l’exercice est assez naturel pour moi. Je pense par contre que c’est un élément crucial (le plus important ?) pour l’atteinte de ces plaisirs. Je médite ici et là, chez moi, attablé tranquillement à une terrasse d’un café… Un jour, en terrasse donc, je ferme les yeux, et je commence à méditer. Je suis particulièrement détendu, et je me surprends à remarquer mon sourire : je me sens bien. Plus que ça, je sens une excitation monter en moi… Incroyable ! Les picotements internes me rappellent l’existence de l’orgasme prostatique, et, quelques jours après, je ressors le fameux jouet. C’est un dimanche, je me sens bien, je médite, et à l’aide de mon Aneros Helix, je ressens un niveau de plaisir jamais atteint, au point que je n’arrive plus à contenir mes gémissements ! Je n’ai pas vraiment cherché à contracter activement les différents muscles entourant la prostate, je suis simplement resté à l’écoute du corps, en respirant doucement. Je répète alors l’expérience 5 ou 6 fois, à une semaine d’intervalle à chaque fois (environ). Par contre, pour une raison inconnu, les sensations sont variables, souvent plus faibles, avec notamment des sessions “ratées” de ce point de vue-là.
Les semaines passent, je continue à expérimenter, les sensations sont chouettes mais je les qualifierais de petits orgasmes légers au mieux. Par contre, je me mets à “sentir” ma prostate régulièrement, voire un peu tout le temps. Désormais, je sens qu’elle est-là, je sens une chaleur, des picotements intempestifs, des sensations de plaisir ici et-là. Dans le même temps, je me mets à explorer plus sérieusement mes tétons (après la lecture d’un article sur ce site), que je finis par ressentir d’une façon similaire à ma prostate (bien moins intense tout de même), à force de stimulation au moment des masturbations péniennes. Je les sens désormais parfois comme tendus vers l’avant, comme s’ils envoyaient de l’énergie devant moi…
Et nous arrivons à aujourd’hui… Sans rentrer dans les détails, je dois dire qu’hier a marqué un accomplissement personnel important pour moi, qui me fait dire que ma dépression est sans doute bel est bien derrière moi. Je me sens donc depuis ce matin très satisfait, détendu, et calme. Après une après-midi à la terrasse d’un café à écouter le bruit de la fontaine et à lire tranquillement, je décide une fois rentré chez moi de me lancer dans la lecture d’articles sur ce site, pour m’inspirer, et finis par tomber sur le post indiqué en début de mon message. Je suis assis sur une chaise, mon ordinateur est devant moi, et je lis vos messages. Je me sens bien, et je me décide à tenter d’appliquer vos conseils : je contracte légèrement à la fin de mes expirations, je titille mes tétons, etc… Lisant que l’écoute de mp3 de méditation pouvait aider, je lance une vidéo de méditation au hasard (https://www.youtube.com/watch?v=KcU6w1Pr5gc&t=14317s). Je me trouve alors de plus en plus excité, la chaleur arrive, et mes tétons m’ordonnent de m’occuper d’eux. Petit à petit, au fil de mes lectures, (j’arrive à la page 3 du fil indiqué plus haut…), je sens un plaisir fort monter en moi, un bien être généralisé, sans que je sois particulièrement actif dans mes contractions. Toujours assis, je ressens le besoin de bouger légèrement mon bassin, la chaleur se diffuse, et le plaisir irrigue tout mon corps. Les sensations sont de plus en plus fortes, je ferme alors les yeux. Je me concentre, comme lors de mes sessions de méditation classiques, sur les sensations de mon corps : mes jambes qui touchent la chaise, mes muscles plus ou moins tendus, l’air qui pénètre mes poumons, la chaleur dans mon corps, et mes tétons. Je crois que j’ai alors en tête comme un “triangle de plaisir” formé par mes deux tétons et ma prostate. Je sens comme une énergie qui circule et je me concentre fermement sur ces trois points. Petit à petit, les gémissements montent, les tremblements puis les spasmes aussi. Je ne contrôle plus bien mes jambes, je bouge le bassin sans le vouloir… Un plaisir comme je ne l’ai jamais ressenti ! Je crois que mon sexe est dur tout du long, avec une grande quantité de liquide séminal qui s’en écoule, bien que je ne le touche pas. Ces vagues puissantes persistent, entre deux gémissements, j’ouvre parfois un œil qui tombe sur l’horloge de l’ordinateur… Cela dure environ une quinzaine de minutes pendant lesquelles je suis délicieusement à la merci de mon corps qui exulte et qui tremble. Le plaisir va et vient, il reste fort, et s’intensifie puissamment quand je titille plus fortement mes tétons. Transporté, je décide de continuer cette session en sortant mon Aneros et en m’allongeant sur mon lit. La perspective d’utiliser le jouet me fait me tordre de plaisir dans mon lit, et me force à le reposer le temps que la vague passe. Finalement, le moment vient où j’insère l’Aneros… Mais après quelques sensations agréables, je sens que le “moment” est passé, et que le plaisir aussi. Finalement, je n’ai pas pu poursuivre cette extase avec l’Aneros !
Je sors véritablement changé de cette expérience. C’est tout à fait extraordinaire de pouvoir ressentir de telles sensations par des moyens finalement assez simples ! Il s’agit de notre très cher corps, et rien de plus. Je me sens bien ! J’ai très hâte de pouvoir renouveler l’expérience en Aneros-Less.
Voici donc ce que je retiens de mon parcours, en espérant que ça puisse en éclairer quelques-uns :
- il est difficile d’atteindre ces types de plaisir lorsque l’on se sent mal (cela semble évident, mais par exemple je pouvais tout à fait atteindre un orgasme éjaculatoire même quand j’étais au plus bas de ma vie), et c’est après avoir lentement (et avec aide extérieure) construit une vie plus équilibrée que le verrou de la porte des plaisirs a sauté ;
- la méditation, ou du moins la relaxation, est absolument fondamentale pour atteindre la moindre étincelle de plaisir (en tout cas, ma rencontre avec la méditation, que je pratique très simplement et sans me prendre la tête, est sans doute l’étape la plus importante du parcours : arriver à lâcher prise quelques minutes en se concentrant sur les signaux qu’envoie le corps) ;
- je ne l’ai pas indiqué plus haut, mais l’utilisation d’un (petit) plug juste avant une session avec mon Aneros-Helix m’a aidé une ou deux fois pour me sentir à l’aise avec un objet en moi, et atteindre un haut niveau d’excitation ;
- les tétons, tristes oubliés de la sexualité masculine, semblent avoir un potentiel de plaisir important ;
- il y a des sessions parfois décevantes, on n’est pas toujours dans le bon état d’esprit (et de corps ?) pour accueillir ces plaisirs.
Voilà la fin du récit. Excusez-moi si c’est trop long, peut-être trop cru, je ne sais pas. Désolé pour le récit peut-être décousu et pour les inévitables fautes ici et là. J’écris tout ça un peu à chaud. L’expérience m’a suffisamment transporté pour que je me jette sur mon clavier pour vous la partager. Merci à toutes les personnes du fameux post (https://www.nouveauxplaisirs.fr/forums/topic/orgasme-prostatique-sans-aides-externes) ! C’est un peu la dernière pierre d’un parcours de plusieurs années. J’ai hâte d’en poursuivre la lecture… 😉 Je n’en suis finalement qu’au début de l’exploration de ces plaisirs, mais je suis désormais confiant. Il y aura des hauts et des bas, mais je sais que ça existe et je vois plus ou moins clairement le chemin pour le toucher (pas du doigt donc !). Merci Adam pour le passage dans le podcast de Victoire Tuaillon, merci pour le traité, merci aux contributeurs du forum.
SF
(PS : durant toute l’écriture, ma prostate est restée doucement active, me rappelant plaisamment sa présence, tout comme mes tétons qui transpercent l’air devant moi !)
Bonjour O adeptes des nouveaux plaisirs,
cela fait je pense plus de 7 années que je vous lis avec plaisir et délectation, et jusqu’ici cela m’a suffit pour m’informer, me former et surtout découvrir à mon rythme de nouvelles pratiques.
Je me permets juste, comme une récompense après autant d’années de lecture silencieuse, de vous livrer mon humble récit, afin de me présenter (bien que je l’ai fait sur le post adéquat) et de recueillir vos sensations, émotions, partagés, conseils et suggestions que vous voudrez (ou non) partager avec moi.
Tout d’abord, quelques mots d’introduction en ma personne, je suis un homme de 40 ans, hétéro de surcroît mais ayant un penchant depuis toujours, presque une obsession pour les femmes. J’aime donc me sentir femme, et il fallait évidemment que je découvre les joies des plaisirs prostatiques au travers de mon premier achat d’un aneros Helix il y a exactement 7 ans, suivi de peu d’un eupho syn. Comme vous l’aurez compris, mon penchant féminin est très important, depuis aussi longtemps que je me souviens, j’ai une fascination pour les femmes et j’aime leur vêtements que je porte régulièrement, cela a commencé très jeune et comme une honte, je l’ai toujours vécu caché. Aujourd’hui papa et séparé, le chemin parcouru est incroyable. Je n’assume toujours pas mon penchant en public et c’est pourquoi cela fait du bien de le partager avec vous. J’aime mon corps d’homme également, et j’essaye d’en prendre le plus grand soin au quotidien : sport, nutritherapie, méditation, relaxation, sophrologie et … beaucoup de lectures et de curiosités. MAIS…
il y a tjs un mais n’est ce pas ? Je me dois aussi de vous parler de quelques détails personnels de ma santé qui ont toute leur importance. C’est étrange de se déshabiller en public de cette façon et à la fois l’anonymat et le fait d’avoir l’impression de vous connaître depuis toujours aide grandement. Et puis j’apprécie cette communauté ou le jugement n’a pas sa place. C’est peut être aussi un des points qui m’a décidé à vous parler aujourd’hui.
Voila, depuis tjs je souffre des intestins. Les médecins classiques m’ont diagnostiqué un syndrome de l’intestin irritable (IBS en anglais) et du, évidement au stress et psychologique (aaaah quand ils ne savent pas, tout est psy… respect aux fybromyalgiques). Bref, avec cela depuis mon plus jeune âge (enfin ado) je souffre d’hémorroïdes, et même de déchirure anale. Ce qui… a retardé grandement ma découverte du plaisir anal et prostatique comme vous vous en doutez. Toujours est il, et grâce à un père médecin lui très ouvert aux médecines alternatives et fonctionnelles, j’ai réussi à, non pas guérir complètement, mais limiter drastiquement mes crises et vivre enfin une vie bcp plus épanouie (et professionnellement également, même si ce n’est pas tjs évident). Mais ma volonté et curiosité de découvrir de nouvelles sensations a toujours été plus forte, et donc … l’hélix et le eupho il y a 7 ans…
je me rappelle, mes premières séances, la peur de m’insérer quelque chose et de ressentir de la douleur. Je me rappelle, la difficulté de bien tout lubrifier, quel lubrifiant et comment, tout cela dans le secret car ma femme (de cette époque) n’en savait rien… pas plus que je lui piquais de tps en tps quelques vetements… je pense avoir essayé enormement de choses, du lubrifiant au silicone, a l’eau, en injection par seringue, a la lubrification toutes les 10 min., des seances de 30min a plus de 3h, ma volonté de ressentir qq chose etait tres grande, trop peut etre.
Je me souviens de ces premieres contractions involontaires, de cette sensation de plaisir tres tres leger, mais il y avait tjs qq chose… soit une legere douleur, soit une peur de la douleur, soit une peur que le lubrifiant m’enflamme mes entrailles, soit encore une autre peur. bcp d’angoisses, oui je suis comme ca. et a la fois, je veux progresser, depasser ces contraintes qui me retiennent! chaque session, je devais m’habiller en femme, ou du moins avec un vetements et une texture qui me plaisit pour m’exciter legerement. Pareil pour le porno mais ma relation au porno est totalement differente. j’aime regarder ces femmes se faire penetrer car je m’imagine a leur place. idem quand deux femmes se font l’amour…
aujourd’hui, je fais des seances sans porno dans le noir presque complet et un calme absolu. je m’habille tjs femme car c’est pour moi un declencheur et m’aide a me sentir plus proche et plus ouverte a ma feminité, a recevoir sans attendre.
Malgré tout cela, le chemin fut long et dur et encore aujourd’hui j’ai parfois du mal a ressentir.
j’ai decouvert l’huile de coco il y a peu que je fais fondre et injecte avec la seringue, ce qui lubrifie tres bien. plus du lubrifiant a base d’eau sur l’aneros. j’ai acheté du beurre de karite mais je n’ai pas reussi a le faire fondre (peut etre pas assez longtemps au micro onde) et donc peut etre avez vous quelques conseils a ce sujet ? il semble bcp plus gras.
concernant les aneros, je commence souvent avec le eupho, et puis monte dans les tailles : helix et progasm. j’ai essayé la methode de BZO (merci a toi) qui consiste a se faire l’amour et penetre litteralement avec le progasm, et je dois dire que j’ai aussi des agreables sznsations comme le do nothing du debut avec l’eupho.
j’ai deja ressznti plusieurs fois des agreables ondes et des tremblements dans tout le corps mais vraiment ce n’est pas du tout a chaque seance et je remarque que je dois bien etre excite. sinon c’est juste agreable, sans plus. (je sais j’en attend trop mais quand on y a gouté, on veut tjs plus).
recemment j’ai atteint un niveau que je n’avais jamais atteint (donc ma progression continue, ca me motive) et j’etais vraiment avec le souffle court, battement rapide du coeur, trembmement du corps et le masseur qui allait de lui meme avec une vague de plaisir comme si j’avais un vagin! et evidemment cela s’est arrete, peut etre ai je trop analyse, en tout cas j’etais sur que cela pouvais monter encore bien plus haut. pourtant je n’ai plus jamais reussi a avoir cette sensation, et meme si je sais qu’il ne faut rien attendre, il y a bien une part de frustration.
evidemment, j’ai aussi travailler en aless, et je ressens parfois qq sensations agreables mais jamais rien de comparable a ce que j’ai vecu.
la detente a fait bcp avancé mais aujourd’hui je stagne. meme parfois sans me masturber ou sans sexe pendant 1 semaine, l’excitation n’est plus la. surtout quand je pense a toute la preparation.
par contre je sais que la lubrification est importante, et que j’ai remarque comme mes seances sont generalement longue (je suis lent tres lent a me calmer), je suis sur que je peux ameliorer cela. auriez vous qq conseils ? j’utilise l’aneros session pour le moment.
concernant les jouets, le progasm me procure bcp de sensations mais j’ai l’impression que c parfois trop fort, et de plus la taille avec ce que j’ai comme passé ne me permet pas un confort comme avec l’eupho. devrais je tester le eupho trident ? et ne plus prendre en syn ? une autre recommendation ?
pourtant j’apprecie avoir le progasm surtout quand il vient d’etre lubrifie et qu’il glisse bien mais je trouve qu’il glisse pas assez et “freine” assez vite (ma lubrification qui n’est sans doute pas optimale). j’apprecie la methode de BZO qui consiste a “forcer” cette penetration et a se faire penetrer et sentir glisser avec des contractionq fortes. ce sont pour moi des sensations differentes que le do nothing mais tout aussi agreables… mais generalement je le fais en fin de seance, quand j’ai deja un peu dilater l’entree.
j’ai remarque aussi que l’helix en debut etait souvent un fiasco, alors que le eupho me procurait bien des sensations, qui, a un moment disparaissait. et le fait alors de changer pour l’helix me redonnait quelques vagues mais de courtes durees. je suspecte tjs ma lubrification mais pas que, je pense etre pret a decouvrir d’autres anatomies pour cette partie de mon corps mais lesquels choisir ?
bref, je suis sur un plateau mais tres content d’etre arrivé jusqu’ici. je sais que mon voyage ne s’arrete pas ici et vous remercie tellement pour l’aide passée, presente et future!
je developperai bien sur tous les points que vous voudrez, il y a tellement a dire.
merci deja pour vos retours.
laria
Bonjour bonjour,
J’aimerais demander un petit retour, histoire de voir si je suis sur le bon chemin.
J’ai débuté il y a quelques semaines avec un aneros helix plastique, et dans un excès de zele, ai enchainé avec un eupho (mais trop fin, je n’arrive à rien à part pour l’échauffement) et un helix Syn V (mais j’ai l’impression que les courbes sont moins fortes et qu’il stimule moins passivement…je pensais que les vibrations aideraient mais je pense que c’est un faux bonus, car comme il a été dit, cela a tendance a anesthésier la zone. A part les déclencher au dernier moment, je les trouve assez contre productives quand on est en phase d’apprentissage. Bref.)
Je ne connais pas grand chose aux stimulations prostatiques, alors j’apprends et je lis.
Apres quelques semaines et 2-3 essais-semaine, je stagne un peu. Le “sans les mains” ne monte pas tres haut car j’ai tendance a vite me contracter lorsque j’ai l’impression que ca arrive. De base, j’ai beaucoup de mal à me détendre. A ce stade, j’arrive “juste” a déclencher un orgasme non-sec en stimulant l’aneros d’une main.
-J’ai constaté qu’un peu de méditation binaurale aidait dans la premiere phase. Etant tres visuel, j’essaie aussi d’ajouter de la visualisation, ce qui aide également à la concentration.
-Par contre, malgré des enchainements de contractions/détentes, j’ai beaucoup de mal a atteindre le stade des spasmes passifs.
-Pour ne pas aider, je ne suis pas trop du genre à savoir me détendre, à avoir des zones plus sensibles et suis plutot de caractère analytique et pas du tout dans le laisser aller, le feeling et la “passion”. Je lis souvent que le psycho joue beaucoup dans la quete du super O, et j’ai l’impression que ce point sera mon cerbère.Du coup, sachant que ces traits de caractère auront énormément de mal à changer, est-ce que je peux quand même espérer une progression?
Physiquement parlant, j’essaie de fatiguer les muscles avec les contractions mais les bougres lâchent difficilement l’affaire ^^ Je me demande encore si l’aneros est bien au niveau de la prostate, ou si taille/poids pouvait influer (taille moyenne, 1m75 environ et un peu de surpoids. Trop de temps devant le pc, mais j’y travaille.
Je compte néanmoins persévérer, essayer de trouver “ce qui fonctionne”. J’ai souvent vu cité le njoy Pure pour ceux qui auraient besoin d’etre plus actifs, au moins au début, pour développer la conscience musculaire et la facon dont “travaille” la prostate. Comme on dit, y a plus qu’à.