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  • en réponse à : Autosexuel(s) ? #32649
    SophiAir
    Participant

    Bonjour @aneveil,
    le plaisir et les orgasmes prostatiques ne remplacent pas les échanges que l’on peut avoir à deux (ou plus).
    Au contraire, ils les amplifient, ajoutent une dimension supplémentaire. Il y a, certes, une modification du rapport à l’autre, dès lors que l’autre n’est plus nécessaire pour atteindre et vivre des orgasmes. Mais contrairement à un plaisir solitaire telle que la masturbation, le plaisir prostatique peut être vécu simultanément à une relation sexuelle avec un autre.
    Comme tu l’indiques, le corps presque entier devient une zone érogène, il est plus sensible, plus ouvert, plus prompt à réagir et à agir. Il offre une qualité différente, amplifiée, au plaisir.
    Ensuite, si tu manques de contacts corporels avec ta partenaire, peut-être cela vaut-il le coup d’en parler avec elle. Elle a déjà dû remarquer que tu réagissais différemment. Est-elle au courant de ta pratique prostatique ? Peut-être faut-il la faire participer ?

    Ai-je trop d’attente ? Mon besoin de l’autre est il trop grand ?
    « Mes orgasmes du popotin » sont-ils encore trop faibles pour me combler pleinement ?
    Ai-je une croyance bien ancrée comme quoi « sexuellement on ne peut être réellement comblé qu’a deux » ?

    A mon sens, tu n’as pas trop d’attente. Rien ne vaut les échanges. Et encore plus avec notre petit plus !
    Cela n’empêche cependant pas une pratique solitaire très riche et épanouissante.
    Bons plaisirs

    en réponse à : Sexualité transgenre #32641
    SophiAir
    Participant

    @envole et @epicture, vos posts renforcent l’idée que je me fais de vivre des orgasmes “féminins”, d’être femme lorsque je jouis de ma prostate. Très enrichissant !

    en réponse à : Chroniques prostatiques #32640
    SophiAir
    Participant

    C’est ce qui est très excitant @arousal, tout ce qui nous reste à découvrir. Bons voyages

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #32622
    SophiAir
    Participant

    @Epicture,
    je partage complètement tes propos :

    Alors, le plaisir que provoque le massage prostatique, s’immisce dans tous les recoins disponibles du reste de mon existence : le soir dans mon lit auprès de ma femme qui dort, ou le matin avec elle, ou très tôt le matin quand je me lève à 5 heures et que je prends mon petit déjeuner, dans ma voiture, sur mon siège de bureau, dans les toilettes, sur mon canapé, etc… l’autre jour, j’ai eu un spasme alors que mon fils était à côté de moi :

    Etre constamment sur la brèche, basculer dans le plaisir à chaque instant disponible, dans l’orgasme lorsque le temps et l’environnement le permettent. Un hoquet ? C’est ça, rester indétectable pour l’entourage, sans perdre l’occasion de profiter de notre trésor.
    Heureux nous !

    en réponse à : De l'ombre à la lumière #32620
    SophiAir
    Participant

    Ca ne fait que commencer @lighteningbolto ! Bons voyages

    en réponse à : Chroniques prostatiques #32618
    SophiAir
    Participant

    Bonjour @Arousal,
    La tyrannie de la prostate !!! Bien détendu, elle prend rapidement le dessus. Je dois parfois aussi me forcer à me déconnecter de ma prostate pour trouver le sommeil.
    Est-ce que tu as ressenti des ondes de plaisirs, des vagues dans tout le corps ? Comme une injection énorme de bien-être généralisé ? Un orgasme beaucoup moins concentré sur une zone, mais diffus, rayonnant sous la peau ?
    J’adore ces phases. Cette impression d’être pulvérisé, de rejoindre l’univers, de n’être “plus que” de la lumière ou de l’énergie.
    Quel chemin @Arousal ! Je suis bien d’accord avec @lighteningbolto

    Quelle merveilleuse aventure que la notre !

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane V (aneroless, âge d'or) #32580
    SophiAir
    Participant

    Bonjour @bzo,
    Comme tu as raison, lorsque tu dis :

    cette sexualité qui est vraiment comme un récit qu’on se raconte,
    récit qu’on se raconte avec son corps,
    avec ses fantasmes, avec sa sensibilité, avec son instinct, ses pulsions
    son énergie vitale, avec tout son être, avec tous ses abysses

    je suis moi-même adepte de très peu me toucher pendant mes séances, d’où l’importance énorme des fantasmes, de l’imagination, du cerveau, auxquels répondent les sensations, les pulsions, la sensibilité des différentes parties de notre corps.
    Je te comprends également sur ton désir de pause dans tes posts. Je communique moi-même rarement sur mes propres expériences, effectivement parce que je profite pleinement de cette nouvelle sexualité. En revanche, il me semble important de continuer à réagir, et à apporter des conseils ou de relater nos expériences à d’autres. J’ai tellement appris grâce aux autres justement, grâce à toi et à la richesse de tes posts.
    Bonne route et à très bientôt @bzo

    en réponse à : De l'ombre à la lumière #32513
    SophiAir
    Participant

    @lighteningbolto, ton post donne envie de prendre un bain…
    Et ni contraction ou convulsion, mais ouverture, liquéfaction, sensation de pénétration (être pénétré), tu as essayé ou ressenti ? Ca devrait bien se marier avec la stimulation des tétons.

    en réponse à : Prostate et philosophie #32508
    SophiAir
    Participant

    Merci @Epicture de mettre en mots ce que nous pouvons ressentir. En tout cas, c’est ce que je ressens. Et étant plus sensible qu’intellectuel, je n’avais pas tes mots pour l’exprimer. Merci donc.
    Le rejet des Tartufe, et au contraire, l’échange, le partage de soi,

    je ne suis plus, comme tu disais @andraneros dans l’un de tes posts, en position de prendre et d’avoir, mais bien plutôt en position d’être et d’offrir

    Tellement bon, et tellement vrai.

    en réponse à : De l'ombre à la lumière #32505
    SophiAir
    Participant

    Oui, bien d’accord @Epicture, je ne relatais la sensation du gland (et que le gland, pas le reste du pénis) que pour essayer de faire comprendre le type de sensation ressentie par mon “clitoris”. Mais effectivement, il n’y a aucune stimulation du pénis. Ce serait complètement contre productif pour moi. D’ailleurs, je n’ai jamais d’érection lors de ces séances “féminines”.
    Et effectivement, le plaisir prostatique ne provoque pas, chez moi non plus, de contraction abdominale. Plaisir diffus et plus profond, et des mouvements se rapprochant plus de l’étirement, la plupart du temps les bras au-dessus de la tête, le dos cambré en arrière.

    en réponse à : De l'ombre à la lumière #32501
    SophiAir
    Participant

    Bonjour @Epicture,
    quand tu dis :

    J’ai aussi le sentiment parfois d’être profondément pénétré par cette voie, comme si j’avais un troisième sexe (en plus du pénis et du rectum), entre les deux, qui ne demande qu’à s’ouvrir.

    . C’est cette exacte sensation qui me fait ressentir femme dans ces moments. Ce troisième sexe se matérialise, entre le pénis et le rectum, par une vulve, avec son clitoris qui, sans le toucher physiquement, mais en le stimulant fortement par l’imagination, peut me faire ressentir les mêmes ondes que lorsque le gland est stimulé, mais en beaucoup plus puissant, et son vagin qui prend forme lorsque je “m’écarte” et je m’ouvre. Et le laisser-aller est effectivement indispensable. Se laisser pénétrer, se laisser aller au plaisir…

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane V (aneroless, âge d'or) #32497
    SophiAir
    Participant

    Whoufff @Bzo, tes séances du 3 janvier, c’est quelque chose ! Tellement bien décrites, et, comment dire… organiques.

    enfoncer deux doigts entre vos couilles,
    c’est un peu comme si vous enfonciez une fiche dans la prise,
    le courant va passer, le nectar va se répandre, d’abord dans votre bassin
    puis dans tout le corps,

    j’y sentais de l’humidité, je glissais deux doigts dedans , les rentrais légèrement dans mon A-pussy,
    j’étais déjà en train de me pâmer, frissonnant de la tête aux pieds
    comme deux amants entre deux portes qui se sont rués à l’assaut amoureusement l’un de l’autre,
    avec mes doigts, j’effleurais mon sexe, mes couilles,
    je n’en pouvais plus, tout mon corps bouillait de désir, de plaisir,
    je commençais à simuler des mouvements de pénétration avec mon bassin, mes contractions,
    avec la paume englobant tout mon appareil,
    je sentais comme du feu liquide en moi,
    je sentais une raideur divine aller et venir dans mes entrailles,
    entre mes jambes me travailler lentement

    L’impression d’être deux, de se faire l’amour, l’action d’un amant puissant en soi, fouillant, poussant…

    Mais pourquoi aujourd’hui vouloir se restreindre ? Pourquoi retenir pour mieux venir ? De mon côté, je sens que plus je pratique et mieux c’est, plus il y a de plaisir(s). Pourquoi cette démarche très “éjaculatoire”, dans le sens pratique masculine habituelle ?
    Est-ce pour ressentir comme une surprise lors d’un nouveau jaillissement de plaisir après une période sans ?
    Tu m’intrigues. j’aimerais comprendre. A bientôt @Bzo

    en réponse à : De l'ombre à la lumière #32495
    SophiAir
    Participant

    C’est formidable @lighteningbolto ! Bon, en voiture, c’est vrai qu’il vaut mieux s’arrêter;)) Et c’est toujours aussi étonnant qu’avec des méthodes propres à chacun, nous arrivions à des résultats similaires. Pour ma part, je ne contracte pas. Au contraire, j’ouvre. Je m’explique. Dès la première stimulation, qui est chez moi l’imagination d’une caresse par mon amant imaginaire, ou la vue d’un beau mec, je ressens les muscles derrière mon pubis agir pour m’ouvrir. Une sensation d’écartèlement intérieur, vertical, de mon périnée à une zone un peu plus bas que mon nombril. (J’ai approfondi cette sensation d’ouverture suite au post de @Libellule78, expliquant l’accroissement de son plaisir lorsqu’elle s’était complètement ouverte à son amant au moment de l’orgasme.) Puis, selon l’endroit où je me trouve, et l’intensité que je souhaite donner, j’imagine que je suis doigté(e) par mon amant, qu’il caresse ma vulve, ou plus fort, qu’il pratique un cunnilingus ou encore plus fort qu’il me pénètre. Selon le cas, mon “soleil”, comme tu dis, me réchauffe, rayonne ou devient énorme et m’irradie. Lumière, chaleur, électricité… Que ce soit la fusée d’@Andraneros, ou le vélo de @Bzo, il semble bien que tu sois parti pour de grandes révolutions. Reviens vite nous raconter tes explorations.

    en réponse à : En route vers le trésor #32479
    SophiAir
    Participant

    Bonjour @Severus, belle description de ton cheminement, et très prometteuse.
    Tu sembles bien être sur la bonne voie, avec l’état d’esprit adéquate, pour de plus amples découvertes, et un plaisir de plus en plus grandissant.
    Quand tu dis :

    Car j’ai compris que l’une des limites que je m’imposais sans m’en rendre compte était que je restais collé à la terre, prisonnier de mon corps, persuadé que si je me laisse m’échapper, je vais manquer le « moment ». J’apprends donc à me détacher, m’isoler et me balader dans mes rêveries.

    , c’est bien le plus paradoxal. Etre à l’écoute de son corps, avoir une oreille intérieure qui sache écouter, “entendre” le moindre signal, et en même temps s’en détacher, se laisser flotter, et permettre à notre cerveau, notre plus gros organe sexuel, de mettre en jeu tout ce qui nous fera décoller, hors contrôle, surtout hors contrôle, sans retenue, sans crispation, complètement ouvert.
    Bons voyages @Severus, en espérant te lire très vite

    en réponse à : De l'ombre à la lumière #32478
    SophiAir
    Participant

    Heureux @lighteningbolto ! J’adore ces séances sans Aneros, souvent impromptues. Dès que j’ai une minute de cerveau disponible, déclencher le processus, en fait, laisser parler ma prostate. Dans le métro, au bureau, dans la rue, même en marchant maintenant, je sens venir le plaisir. Je le laisse monter, prendre possession de mon corps, complètement si je suis chez moi, tranquille. Si je suis en public, j’en maîtrise la puissance et le développement, profitant de vagues de plaisir, d’ondes de chaleur et d’électricité.
    Ne crains pas d’en devenir esclave. Au contraire, savoir que cette bénédiction est à portée de prostate libère complètement. Si les circonstances ne le permettent pas, eh bien on s’en passe, rassuré par le fait que dès que ce sera possible, le plaisir et l’orgasme seront de nouveau au rendez-vous, n’importe où, n’importe quand, à notre bon vouloir.
    Cela ne m’empêche pas non plus de goûter de temps en temps à une belle séance avec. Avec mon Progasm, par exemple, pour une séance bien musclée, d’une toute autre nature, beaucoup plus masculine. Et même si avec ce bourrin, la séance se termine souvent par une éjaculation, ça continue à stimuler.
    Les séances sans Aneros n’en sont que plus puissantes ensuite.
    J’ai hâte de lire tes nouvelles expériences a-less.

    en réponse à : Je retrouve des sensations enfouies .. mais #32275
    SophiAir
    Participant

    Bonjour @Jlbe13,
    Je n’ai jamais testé les peridises, mais ce que tu décris :

    un intense besoin de serrer les cuisses et mon bassin s’est mis à trembler …ça me faisait vraiment du bien ..j’ai énormément apprécié ..mais ça a duré un très court instant… je crois que j’ai été très surpris de ce qu’il se passait et je me suis vite relâché ..(trop vite je crois ..)
    Je suis resté dans cette position encore un moment en espérant que ça revienne …mais plus rien .. dommage !

    est clairement une réaction de ton corps provoqué par ta prostate. Comme tu le décris, ton corps a été autant surpris que toi, d’où sa réaction de serrer les cuisses. Après mini O ou pas ? je ne saurais dire, n’étant pas à ta place. La sensation de bien-être est en tout cas un signe très encourageant.
    Ces réactions et ces sensations vont se reproduire, et tu vas apprendre à les connaître et les reconnaître. Tu pourras, petit à petit, te détendre pour laisser les sensations se déployer. Ainsi les réactions ne viendront plus stopper ton plaisir.
    Bon cheminement

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #32132
    SophiAir
    Participant

    @epicture, la description de ta matinée avec ta femme me parle beaucoup. Déjà, je trouve que c’est une très belle relation que tu nous décris. Puis, j’ai ressenti cette force de l’orgasme féminin lors d’une fellation que me prodiguait mon ami. J’ai nettement eu l’impression que ce n’était plus mon pénis qui était stimulé, mais mon clitoris. Ca a été grandiose ! Et depuis, je les vis toujours de cette façon… au détriment de nos voisins !
    Nos pratiques sont bien différentes, mais nos ressentis sont bien proches.

    en réponse à : Je retrouve des sensations enfouies .. mais #32125
    SophiAir
    Participant

    La promptitude de tes réactions physiques me laisse croire que tu fais partie des chanceux. A voir sur les forums, est-ce que d’autres ont eu autant de signaux avant-coureurs, sans une évolution rapide ? Il ne me semble pas.

    en réponse à : Savoir lâcher prise ou apprendre à lâcher prise ? #32123
    SophiAir
    Participant

    Ahhh @bzo toujours un plaisir de te lire. Je retrouve ma propre houle dans ta passion.
    Mais je crois que j’ai oublié un détail dans la description de mes séances. Une de nos différences se trouve dans le mouvement. A part le fait de me cambrer, ou d’onduler lentement façon liane, une légère caresse sur la fesse ou à l’intérieur d’une cuisse, je suis pratiquement immobile. La plupart du temps, au lit, couché(e) en chien de fusil à droite. Autant de plaisirs dans des pratiques differentes… Vive la diversité. Des bises @bzo

    en réponse à : Je retrouve des sensations enfouies .. mais #32119
    SophiAir
    Participant

    @jlbe13, ces petits mouvements réflexes sont de très bons signes. Ton corps te fait des signes précurseurs. En les écoutant conscienceusement, et en continuant à lâcher la bride, ils vont être de plus en plus présents en dehors et pendant tes séances. Ce sont eux, par la suite, et en plus ou moins de temps, selon les individus, qui te conduiront vers les rivages du plaisir.
    Bon cheminement

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