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Sujet: Comment j’y suis arrive
Pour moi, le grand mérite de ce forum est de pouvoir profiter des expériences des autres pour pouvoir progresser vers cet orgasme dont on parle sans vraiment savoir à quoi s’attendre. Depuis quelques mois je profite de ce plaisir et je voulais partager mon expérience au cas ou cela peut aider certains ici (de la raison d’un nouveau sujet diffèrent de celui que j’avais commencé l’année dernière).
Tout d’abord je me suis toujours demandé ce que l’on ressentait lors d’un orgasme de la prostate. Personnellement je ne connaissais que l’orgasme éjaculatoire jusqu’à présent et, a vrai dire, je ne suis pas sûr de pouvoir décrire physiquement ce que je ressens alors à part employer des mots comme plaisir, jouissance etc… Mais ça ne décrit pas vraiment ce qui se passe alors. J’ai essayé de décrire le plaisir que je ressens dans ce post même s’il est difficile de mettre des mots sur un orgasme.
Personnellement mon cheminement s’est fait étapes par étapes pour lesquelles j’ai essayé divers moyens dont certains se sont révélés inutiles voire contre productifs. Quand j’avais passé cette étape, je me suis aperçu qu’il fallait que j’abandonne alors ce moyen, cette béquille, pour passer à la prochaine étape avec l’aide de quelque chose d’autre. En fait je ne l’ai pas vraiment fait consciemment.
Tout d’abord et comme beaucoup d’autres à lire ce forum, j’ai dû atteindre cette fameuse relaxation. L’HypnAerosession d’Alana a été le moyen parfait pour moi. Il y a deux cd. Le premier qui décrit ce qu’il faut faire m’a permis d’atteindre le premier degré de détente que je n’arrivai pas à atteindre. La voix d’Alena m’a permis de me détendre, de me mettre en route et de me laisser guider pas à pas. Je faisais aussi des séances aneroless seulement en écoutant ce morceau et j’ai ressenti mes premiers plaisirs seulement en respirant profondément et en me laissant aller en écoutant sa voix.
Au bout de quelques séances avec ce premier « morceau », je suis passe au second qui a toujours la voix d’Alena mais sans décrire ce qu’il faut faire. Au bout d’un moment le premier morceau m’empêchait de me lâcher car je ne pouvais pas me synchroniser avec les conseils, consignes et donc ça me gênait. J’avais du plaisir mais je ne progressai pas. Cette première ‘béquille’ m’a permis de passer une étape mais m’empêchait de passer à la suivante. Donc abandon du premier cd et passage au second. Je savais comment me relaxer et me mettre en route, je savais ce que je devais faire. Le second cd me permettait de rester dans un état de détente mais en me concentrant mieux sur ce qui m’arrivait, en prenant plus de plaisir.
Après quelques séances, même problème que précédemment, je suis relaxé, le plaisir est beaucoup plus fort mais je ne m’écoute pas assez, je ne me laisse pas aller. Je reste trop à l’écoute du cd et cela m’empêche d’aller plus loin. Donc abandon de cette béquille dont je n’ai plus besoin et mes séances se font sans HypnAerosession depuis. Je n’en ai plus besoin, je suis détendu, je sais ce que je dois faire et je suis prêt pour la suite. Ce qui me semble intéressant c’est que j’avais essayé le second cd très rapidement au début et cela n’avait pas marcher. J’ai eu besoin de passer une étape avec le premier cd avant que le second ne m’aide à passer à une autre étape.
A ce moment de mon cheminement, j’ai du plaisir à chaque séance, ces fameuse ‘p-waves’ mais pas encore ce que je qualifierai d’orgasmes. Jusque-là j’avais toujours utilisé l’Helix. Je ne le sentais pas bouger beaucoup et je me suis alors décidé à essayer quelque chose d’autre. J’ai acheté l’Eupho. L’Helix m’a permis d’atteindre mes premières vagues de plaisir. Exit l’Helix, bienvenue à l’Eupho. Les sensations sont pour moi beaucoup plus fortes, plus puissantes. J’en ai profité pour essayer le beurre de karité puisque je voulais plus de mouvement. Les deux combinés m’ont amené à mes premiers orgasmes prostatiques. Le plaisir qui monte dans le bas ventre, qui s’amplifie comme lors d’un orgasme éjaculatoire mais qui dure, qui revient et se répand sur le corps. Le simple fait de me toucher les tétons me fait partir alors que me toucher ne m’avait jamais donné aucun plaisir avant que je ne commence les séances de massage prostatique.
Pour résumer, ce qui a marché pour moi, c’est de trouver le bon moyen pour passer d’une étape a l’autre, d’apprendre ce dont j’avais besoin pour progresser et d’accepter de me défaire de ce moyen pour atteindre une autre étape grâce à un nouveau moyen.
Depuis quelques temps maintenant, ma femme et moi avons ajouté l’Eupho a nos rapports sexuels. Elle ne m’avait jamais vu dans cet état de plaisir ce qui lui donne aussi plus de plaisir. Pas de phase de relaxation, a peine introduit, dès les premières caresses, je sens le jouet glisser en moi. Je suis parcouru de contractions, de secousses électriques qui s’amplifient encore et encore. Toutes les sensations que je connais depuis des années sont démultipliées, amplifiées a des niveaux que je n’avais jamais atteint. Pendant la pénétration, non seulement tout mon corps prend du plaisir avec un niveau de perception jamais ressenti mais j’ai l’impression de lui faire l’amour en même temps que je me fais l’amour, l’impression que ma femme me fait l’amour, qu’elle aussi me pénètre. Ca peut sembler peut être ‘cérébral’ mais les orgasmes sont vraiment très puissants. Rien de comparable avec ce que j’ai pu ressentir dans le passé.
Voilà, mon post est peut être un peu trop long, mais en partageant mon expérience, j’espère avoir rendu un peu de ce que les autres expériences dans ce forum m’ont aidé au fil de mes lectures.
Bon cheminement a tous.
Bonjour à tous,
Petit sondage pour les débutants comme les confirmés : écoutez-vous quelque chose pendant vos séances (musique relaxante, de méditation, hypnose érotique, sons binauraux, etc.) ?
Pour ma part, je tâtonne encore, souvent en lançant un peu au hasard sur youtube une “musique” de méditation (souvent intitulée “musique zen” ou “de relaxation”, ou “pour yoga”), au casque. J’ai aussi testé des vidéos avec des sons binauraux, je ne suis pas beaucoup plus convaincu que les musiques de méditation. J’ai tout de même l’impression que ces musiques m’aident à m’enfermer dans une bulle et perdre conscience du monde extérieur.
Enfin, j’ai testé ceci https://deepsurrender.com/product/slip-mindlessness/ , suggéré par Adam dans le forum “hypnose érotique”. Le souci, c’est que la compréhension de l’anglais me demande de la concentration et donc limite le lâcher prise. C’est pour la même raison que je n’ai pas testé les hypnaerosessions. Toujours rien en français ?
Des suggestions de choses à essayer ?A la suite de ce témoignage apporté par @lighteningbolto, je regroupe ici quelques passages dans lesquels j’insistais sur l’utilité de renoncer aux tensions, aux contractions réflexes que nous subissons quand nous vivons un plaisir d’une intensité inhabituelle contre lequel se protège instinctivement notre cerveau. J’espère que les situations auxquelles renvoient les liens aideront les lecteurs intéressés à mieux comprendre l’expérience qu’ils vivent et à relancer leur progression si nécessaire. La discussion est ouverte, n’hésitez pas à apporter vos questions et vos témoignages sur ce point.
20/05/14 en réponse à @Hyménée
La jouissance de plus en plus profonde que je ressens me bouleverse et je ne me sens pas capable de l’exprimer publiquement. L’intensité de mon émotion m’aide à comprendre celle de ma femme, l’intensité de mon abandon dans le plaisir aide ma femme à sortir de sa carapace de protection. Le plus avancé des deux aide l’autre à exprimer ses désirs, à renoncer à résister, à se laisser submerger par le plaisir.
27/09/14 en réponse à @jeff
Le témoignage de @brucewayne confirme l’importance de cette attitude d’abandon, de renoncement au contrôle qui est à la base de l’induction hypnotique apportée par Hypnaerosession. L’avantage de cet enregistrement est qu’en vous guidant il vous décharge de toute responsabilité sur le déroulement de la session et vous plonge naturellement dans l’écoute de vos sensations et le lâcher-prise.
21/05/15 en réponse à @rotsak69
Je ressens aussi cette sensation de « crampe » qui gagne peu à peu l’ensemble de mes muscles en partant du bas ventre et en se propageant le long de mon dos jusqu’au cou et aux mains et dans l’autre sens jusqu’aux doigts de pieds par l’arrière de mes jambes. De même à la place de la douleur liée à la crampe je me sens envahi d’un plaisir de plus en plus incontrôlable au fur et à mesure que la crampe s’étend. Plus je parviens à me détendre, à renoncer aussi bien à résister à cette crampe qu’à chercher volontairement un orgasme libératoire, plus la jouissance s’intensifie et se prolonge.
18/02/16 en réponse à @remy26
Votre réaction pour approfondir votre détente quand vous sentez que vous vous tendez sous l’effet de l’intensité de votre plaisir est excellente. Ce qui semble bloquer la poursuite de votre plongée dans la jouissance est à mon avis un refus inconscient de lâcher-prise devant ce plaisir qui devient insupportable. Vous êtes à la porte du Super O’ mais votre inconscient n’ose pas l’ouvrir. Acceptez l’idée qu’il vous faudra un peu de temps pour la franchir.
Lors de vos prochaines sessions, quand vous sentirez que vous êtes à nouveau au même point, prenez un peu de recul par rapport à vos sensations et renoncez très provisoirement à aller au-delà. Efforcez-vous d’approfondir votre relaxation en chassant toutes les tensions musculaires et mentales, en plongeant encore plus dans l’instant, en vous concentrant encore plus sur l’action du masseur, en prenant encore plus conscience de l’énergie qui naît autour de votre prostate et en vous ouvrant pour qu’elle se répande dans tout votre corps.
Si vos spasmes sont involontaires il ne faut pas chercher à les contrôler car ce faisant vous vous crispez, vous vous bloquez pour les empêcher. Vous faites donc le contraire de ce qu’il faudrait pour lâcher-prise. Tout ce que vous pouvez faire est encore et toujours approfondir votre état de relaxation.20/05/16 en réponse à @fidelio
Au lieu de guider votre plaisir avec des mouvements la prochaine fois que vous sentirez être à ce stade, essayez d’approfondir votre détente, de renoncer à toute contraction musculaire tout en restant concentré sur cette vague de plaisir et en imaginant qu’elle se répand pour emplir tout votre corps. Et si cet exercice vous fait ressentir votre plaisir encore plus intensément, plongez encore plus profondément dans la relaxation jusqu’à la submersion complète.
17/11/16 en réponse à @anerosplayer
Cette impression de fatigue est la conséquence d’une tension même si tu n’en as pas conscience. Tu peux éliminer cet obstacle à la montée de ton plaisir en localisant la source de cette fatigue, en te concentrant particulièrement sur cette zone non pas dans l’esprit d’éliminer la tension, ce qui est de nature à créer une autre forme de tension, mais de renoncer à cette tension .
L’attitude pour retrouver le plaisir renversant que tu as connu précédemment n’est pas de chercher à déclencher « des spasmes et du plaisir ». C’est plutôt de te préparer à recevoir les effets de la stimulation du masseur complétée éventuellement par d’autres formes de stimulation, effets que tu amplifies en te concentrant sur les zones stimulées. Tu ne cherches pas à déclencher le plaisir mais tu te prépares à le recevoir sans résistance.19/03/17 en réponse à @ane-et-rosse
L’image qui correspond à mon expérience est celle d’une jouissance qui me submergeait, qui me noyait et contre laquelle je luttais inconsciemment. Le déblocage s’est fait quand j’ai cessé de lutter contre cette impression de noyade, quand j’ai accepté de me laisser submerger par mon plaisir, quand j’ai enfin renoncé à contrôler quoique ce soit. Ca m’a pris du temps.
08/09/17 en réponse à @kirah
Quand tu sentiras ton masseur « appuyer très fortement sur la prostate » pense à ce moment précis à approfondir ton relâchement, à t’enfoncer encore plus dans la détente, à renoncer à toute contraction. Attention je dis bien « renoncer à » et non « lutter contre ». C’est ce qui ouvrira la porte à ta jouissance, lui permettant de gagner en intensité, de s’étendre dans ton corps, de se prolonger.
14/12/17 @voyageur en réponse à @kirah
En ce qui me concerne les orgasmes les plus forts ont été atteint dans un état d’abandon et de renoncement. C’est assez étrange, car comme toi j’analyse, je cherche, je veux agir et comprendre. Mais c’est comme ça. Pour l’instant, je grimpe les échelons en me laissant aller, et je rejoins la remarque de Jieffe qui souligne ton témoignage sue l’abandon.
Et dernière remarque, malgré ce qu’on pense – il m’est arrivé aussi de bâcler la partie relaxation – et à chaque fois ça marche moins bien dans ces cas là. Relaxation = résultat. J’ai la sensation que même si on peut avoir du plaisir et obtenir des contractions sans relaxation ( grâce à l’expérience ), s’accorder ce temps là au départ donne de meilleurs résultats.27/12/17 en réponse à @jieffe
Il est important de ne pas « lutter contre », ce qui est source de tensions et de conflits. Il faut seulement renoncer aux réflexes « naturels » en ne pensant qu’à ce qui se passe à l’intérieur.
27/03/18 en réponse à @buzzi
Ce qu’il faut mettre en application quand vous percevez les premiers signes du plaisir montant c’est de vous détendre encore plus, d’être attentif à la moindre tension pour y renoncer. Même si, ce faisant, vous pouvez avoir l’impression de perdre un peu d’intensité, en réalité vous préparez votre corps et votre esprit à accepter encore plus de plaisir. J’emploie l’expression « renoncer à la tension » et non « lutter contre la tension » pour effacer toute idée de résistance et bien mettre en valeur la notion d’abandon, de relâchement qui seule ouvre la porte aux orgasmes prostatiques.
11/05/18 en réponse à @jieffe
« Cette presque nécessité de crier mon plaisir » est l’équivalent vocal des spasmes qui secouent le corps quand l’intensité du plaisir semble devenir insoutenable. De mon point de vue « laisser sortir l’énergie en trop » n’est qu’une réaction instinctive de défense contre l’intensité du plaisir que ton organisme vit comme une forme d’agression. Le problème est qu’en bloquant tes cris, tu te mets dans le contrôle, tu n’es pas dans le lâcher prise.
Ton état d’esprit devrait plutôt être de faire circuler cette énergie dans l’ensemble de ton corps physique et mental comme pour la diluer en l’étalant ce qui te permettra de vivre une jouissance encore plus intense. C’est l’étape où je répète qu’il est important d’approfondir ta détente pour recevoir ta jouissance sans crispation, de percevoir tes moindres contractions (pour crier il faut contracter le diaphragme, les cordes vocales, les abdominaux…) pour y renoncer, pour laisser ton plaisir t’envahir. Plus tu y parviendras, plus tes sessions te permettront « d’être » ta jouissance au lieu de « subir » ta jouissance.23/06/18 en réponse à @Happy Ellis
Dans tous les cas vous pouvez améliorez votre réaction au plaisir en vous efforçant consciemment de vous détendre encore plus, de relâcher la tension musculaire quand elle apparaît. Cela suppose une grande attention à ce qui se passe dans votre corps, autour de la zone prostatique. Attention vous ne luttez pas contre les tensions, cause de nouvelles tensions, mais vous y renoncez en vous détendant encore plus.
29/07/18 en réponse à @jieffe
Je constate que la liberté d’action dont tu bénéficies maintenant te permet de t’offrir sans retenue à ton plaisir.
• Tu engages tes sessions quand tu le souhaites, en ce moment tous les jours, pour assouvir une soif de jouissance qui me semble croître session après session. Tu ne nous parles plus de tes problèmes de libido. Ton désir et ton excitation me semblent être très au dessus de ce que tu connaissais en débutant ton cheminement, pour ne pas dire au niveau le plus élevé de ta vie d’adulte.
• Tu ne freines plus la montée de ton plaisir, tu renonces en toute sérénité à contrôler, tu te laisses complètement aller, jouir, gémir, secouer sans restriction. Comme annoncé par @bzo, l’intensité de ton ressenti commence à bénéficier de ce nouvel état d’esprit. Il y a là aussi une boucle vertueuse dans laquelle l’accroissement de ta jouissance conduit à l’approfondissement de ton lâcher-prise qui ouvre la voie à encore plus de jouissance.29/07/18 réponse de @jieffe
Tu ne freines plus la montée de ton plaisir, tu renonces en toute sérénité à contrôler, tu te laisses complètement aller, jouir, gémir, secouer sans restriction.
Oui, très clairement, et je pense même que c’est une des clés essentielle.
18/06/19 En réponse à @madjek
Je comprends en lisant ce passage que votre objectif à ce moment serait de « maîtriser vos réactions involontaires pour faire durer cet état » et à partir de là « lancer une procédure orgasmique ». Or c’est précisément le contraire qu’il faut mettre en œuvre à ce moment précis. Tout les efforts de contrôle que vous avez déployés pendant les minutes précédentes, pour lancer les contractions involontaires, doivent s’effacer au profit du « lâcher prise ». Ne cherchez surtout pas à « travailler sur l’orgasme ». Renoncez à tout effort à ce moment. C’est contre-intuitif certes mais c’est la clé qui vous ouvre la voie d’une jouissance plus profonde. Plus vous sentez le plaisir monter, plus vous devez vous mettre en posture d’acceptation, plus vous devez accepter de perdre le contrôle.
Comme je le disais en commençant la discussion est ouverte. Bon cheminement à tous.
Les deux premières séances, je n’ai rien ressenti. Je précise que je suis complètement néophyte sur la partie anale. La troisième fois, j’ai eu un très léger tremblement mais aucun plaisir en tant que tel. La 4e fois, j’ai tenté sur le dos avec l’audio Hypnaerosession et ce fut le vide intersidéral en terme de sensations. Certes la bande son m’a détendu mais j’étais tellement détendu qu’il m’était impossible d’imaginer des scènes érotiques.
Pour la 5e fois (hier), j’ai retenté en position chien de fusil. J’ai lubrifié un peu plus le rectum en envoyant le lubrifiant plus loin pour la deuxième partie (Pour l’instant , je pars sur du 2×2.5ml). J’ai changé d’audio et je suis passé sur la bande son de Nikki Fatale. Là c’était bien mieux. J’ai pu à la fois me détendre et conserver un certain désir érotique.
J’ai eu cette fois-ci de nombreux tremblements qui ont tétanisé mon corps à tel point que tous mes muscles étaient sous tension. Je précise bien qu’il s’agit de tremblements et pas de gros mouvements des bras et des jambes. On pourrait comparer ça à des tremblements dus au froid mais là ils étaient bien plus nombreux et sans arrêt. J’ai éventuellement ressenti un peu de plaisir mais rien de très inoubliable non plus. C’était très très léger.
Ma question concerne l’après tremblements. Comment on fait pour passer à la suite sachant que si j’essayais de reprendre une respiration ventrale en me détendant, les tremblements s’arrêtaient. J’ai donc multiplié les contractions mais je n’ai fait que trembler. Je ne suis pas allé plus loin.
Aujourd’hui, j’ai tenté tout en étant debout et sans Aneros une contraction d’un muscle que j’ai découvert hier soir. J’ai tout de suite senti un peu de chaleur envahir mon corps et une certaine excitation.
Je pense bientôt tester le sommeil de 1h sur le ventre pour voir si ça fonctionne mieux.
Des idées sur l’après tremblements ?